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13 mai 2021 4 13 /05 /mai /2021 09:15
L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

LE PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE DES SABLES D'OLONNE

AURA LIEU

 

LE LUNDI 17 MAI  2021

À 18 HEURES

SALLE DU CONSEIL

MAIRIE ANNEXE DE LA JARRIE

(Quartier Olonne-sur-Mer)

 

ATTENTION !

Compte tenu des normes sanitaires, le public ne pourra suivre les débats dans la salle où se déroulera la réunion du Conseil.

Une diffusion en direct est proposée au public sur la chaine YouTube de la ville :    

https://www.youtube.com/c/VilledesSablesdOlonne85

 

Assister au Conseil Municipal, même par temps de "couvre-feu" , est un devoir citoyen facilité par le fait que désormais on peut suivre les débats depuis son domicile.

Nous rappelons qu'il est important pour les citoyens qui doivent s'intéresser à leur cité et particulièrement à l'utilisation qui est faite de leurs impôts par les collectivités de pouvoir suivre les conseils municipaux. Ils sont ainsi bien informés des orientations prises par les élus, des projets municipaux et des réalisations.

 

ORDRE DU JOUR COMPLET

LES SABLES D'OLONNE CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 17 MAI 2021
LES SABLES D'OLONNE CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 17 MAI 2021
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7 mai 2021 5 07 /05 /mai /2021 17:33
NON AU PROJET DE RÉFORME DE LA CONSTITUTION ET AU RÉFÉRENDUM
LE PRÉSIDENT MACRON, L'ASSEMBLÉE NATIONALE, LE SÉNAT ET LE GOUVERNEMENT : LES   ACTEURS D'UNE TRISTE PIÈCE ILLISIBLE LE PRÉSIDENT MACRON, L'ASSEMBLÉE NATIONALE, LE SÉNAT ET LE GOUVERNEMENT : LES   ACTEURS D'UNE TRISTE PIÈCE ILLISIBLE

LE PRÉSIDENT MACRON, L'ASSEMBLÉE NATIONALE, LE SÉNAT ET LE GOUVERNEMENT : LES ACTEURS D'UNE TRISTE PIÈCE ILLISIBLE

IL EST INTERDIT À CEUX À QUI LES FRANÇAIS ONT DONNÉ POUVOIR DE GOUVERNER LE PAYS DE JOUER AVEC LEUR CONSTITUTION

 

Nous avons clairement expliqué pourquoi ce projet de référendum est inutile.

https://www.olonnes.com/2020/12/projet-de-referendum-demagogie-et-realisme.html

L'objet du référendum est simplement d'ajouter cette phrase à l'article 1 de "notre" Constitution de 1958 :

« La France garantit la préservation de l’environnement et de la diversité biologique et lutte contre le dérèglement climatique ».

Or,  ceci existe déjà dans cette même constitution qui inclut dans sa rédaction la "charte de l'environnement".

De plus, ce référendum devrait avoir lieu en pleine période préélectorale (fin 2001) certainement pour faire passer son auteur, le Président de la République, pour un sauveur de la planète.

La ficelle politicienne est trop grosse !

 

UN PROJET INUTILE, COÛTEUX, INCOMPRÉHENSIBLE...

Ce projet adopté par l'Assemblée Nationale le 16 mars 2021 avance en catimini. Il n'intéresse quasiment personne.

Par contre, il  tombe dans une période où les "responsables" que sont le Président de la République, le Gouvernement, les députés et les sénateurs ont indubitablement d'autres décisions plus importantes à prendre : crise sanitaire, économie, réforme de la Justice, sécurité (terrorisme, banlieues?...), relance, chômage, retraites, dépendance, extrême pauvreté...

 

UNE MANŒUVRE D'ÉVITEMENT DU SÉNAT

Le Sénat a donc dû manœuvrer pour éviter l'affrontement et aussi éviter aux sénateurs de se faire traiter d'affreux anti "écologistes irresponsables de base ."

Il vient donc de voter un texte différent de celui qui a été adopté par l'Assemblée Nationale...donc juridiquement...le référendum ne peut avoir lieu. 

En effet, il faut que le texte soumis au référendum soit adopté par l’Assemblée Nationale et le Sénat dans les mêmes termes.

Ce qui à ce jour n'est donc plus le cas suite au vote par les sénateurs du texte suivant :

La France préserve l’environnement ainsi que la diversité biologique et agit contre le dérèglement climatique, dans les conditions prévues par la Charte de l’environnement de 2004. (en bleu, les différences entre les deux textes).

La procédure se poursuit donc et le Président de la République doit négocier avec le Sénat...puis avec les députés pour trouver un texte très hypothètique de compromis.

Répétons-le : un référendum est inutile ! La Constitution, texte de fondement de nos institutions, ne doit pas servir à des fins de basse politique politicienne. Ce n'est pas un hasard si le Conseil d'État, dans son avis obligatoire, a proposé une modification du texte et a attiré poliment l'attention du gouvernement sur les dangers graves de ce projet de référendum.

https://www.conseil-etat.fr/ressources/avis-aux-pouvoirs-publics/derniers-avis-publies/avis-sur-un-projet-de-loi-constitutionnelle-completant-l-article-1er-de-la-constitution-et-relatif-a-la-preservation-de-l-environnement

 

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2 mai 2021 7 02 /05 /mai /2021 21:02
LA COUR DE CASSATION

LA COUR DE CASSATION

 

LE PORT DU FOULARD ISLAMIQUE : UNE DÉCISION QUI NE PEUT PAS FAIRE JURISPRUDENCE

La Cour de Cassation fonde ainsi son arrêt :

https://www.courdecassation.fr/jurisprudence_2/chambre_sociale_576/479_14_46873.html

« Ayant d’abord relevé qu’aucune clause de neutralité interdisant le port visible de tout signe politique, philosophique ou religieux sur le lieu de travail n’était prévue dans le règlement intérieur de l’entreprise ou dans une note de service soumise aux mêmes dispositions que le règlement intérieur, la cour d’appel en a déduit à bon droit que l’interdiction faite à la salariée de porter un foulard islamique caractérisait l’existence d’une discrimination directement fondée sur les convictions religieuses de l’intéressée. »

 

LES FAITS : LE PORT DU FOULARD ISLAMIQUE PAR UNE VENDEUSE

L’employeur (la Société Camaïeu) a développé devant les Prud’hommes puis en appel et enfin devant la Cour de Cassation ses arguments : sa vendeuse a refusé d’enlever son foulard. Avant son congé parental en 2015 et depuis son embauche, en 2012, elle ne portait pas le foulard islamique.

L’employeur a un pouvoir et un devoir de direction : il lui appartient de fixer les règles adaptées au bon fonctionnement de l’entreprise dans le cadre de la loi.

Des directives concernant la tenue vestimentaire peuvent (et non doivent) être incluses dans le règlement intérieur de l’entreprise justement comme c’est le cas pour des raisons de sécurité, l’image de marque de l’entreprise, le contact avec la clientèle...

Donc, l’employeur a pris sa décision de licenciement après le refus de la salariée d’ôter son voile. Il n’invoque pas le motif de convictions religieuses.

 

LA COUR DE CASSATION DOIT DIRE LE DROIT ET NON FAIRE LA LOI

Ce sont les magistrats de la Cour d’Appel puis ceux de la Cour de Cassation qui concluent que l’interdiction du port du foulard islamique faite à sa salariée par l’employeur est une mesure prise par l’employeur caractérisant l’existence d’une discrimination fondée sur les convictions religieuses de l’intéressée (la salariée).

Mais que savent donc ces magistrats de ce que l’employeur intimement pouvait penser pour le bon fonctionnement de son entreprise du port du foulard islamique dans son magasin...il n’a exprimé que son devoir de chef d’entreprise : le port de ce foulard pouvait porter préjudice à son commerce, aux autres salariés, à la marque...

 

CET ARRÊT DE LA COUR DE CASSATION NE DOIT PAS FAIRE JURISPRUDENCE

Ce qu’on appelle la jurisprudence ce n’est pas la loi mais seulement l’interprétation que fait le magistrat des textes législatifs au temps T pour une affaire donnée. Il n’y a pas de décision de principe !

Les gens de justice parlent d’une jurisprudence constante. Il faut bien savoir que ce qui, justement, ne cesse de changer, c’est la jurisprudence qui s’adapte sans cesse. Le droit n’est pas une chose figée...et heureusement !

Ainsi, en prenant position comme elle vient de le faire, la Justice impose à l’employeur d’accepter sur le lieu de travail le port du voile par une salariée, donc d’accepter le port d’un signe ostentatoire exprimant des convictions religieuses. La Justice crée ainsi une obligation à la charge de l’employeur que la loi n’a pas créée. Si le port du voile est un signe extérieur religieux et si celui-ci porte atteinte au bon fonctionnement de l’entreprise les juridictions imposent ainsi à l’entreprise une nouvelle obligation sans texte de loi.

Bizarrement, les juridictions concernées tentent de fonder leur décision accessoirement aussi sur des directives du droit européen et sur une jurisprudence de Cour de justice de l’Union européenne ! D’abord, la jurisprudence d’une juridiction européenne ne s’impose pas face au droit et à la Constitution de la France ! Secundo, la directive européenne n’est pas non plus expressément opposable ni « supérieure » au droit français !

 

CETTE DÉCISION : UNE PROVOCATION DES MAGISTRATS ?

Nous concluons avec l’intime conviction que cet arrêt de la Cour de Cassation pris 6 ans après les faits est insatisfaisant sur le pur plan juridique.

 C’est une forme d’appel que font les magistrats, une provocation faite au gouvernement et au législateur qui refusent de prendre une position claire sur tout ce qui entoure l’islamisme et sa place en France.

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27 avril 2021 2 27 /04 /avril /2021 19:07
LES CINQ QUARTIERS DES SABLES D'OLONNE

LES CINQ QUARTIERS DES SABLES D'OLONNE

LORS DU VOTE DU BUDGET 2021 IL Y AVAIT UNE NOVATION : LES BUDGETS PARTICIPATIFS ACCORDÉS AUX QUARTIERS...MAINTENANT,  À TOUS NOUS DISONS : PARTICIPONS  !

Qui mieux que le "local"peut connaître les besoins de son quartier pour améliorer le quotidien aux Sables d'Olonne ?

C'est à une démarche de longue haleine à laquelle se sont attelés  les élus dès la fusion : créer et faire vivre les 5 quartiers de la ville nouvelle.

La structure se met en place avec les comités de quartier,  les élus responsables ont été nommés, les réunions ont débuté...chaque quartier est doté d'une enveloppe budgétaire.

  Au total, 150 000 euros de budgets participatifs, harmonieusement sont répartis entre les 5 quartiers.

Il faudra réussir à "impliquer tous les habitants dans la construction de la ville d'aujourd'hui et de demain"  comme l'indiquait la présentation du budget au Conseil Municipal du 2 avril dernier.

Certes, il y a des délégués de quartiers mais c'est à toute la population qu'il est fait appel pour faire émerger les "projets".

Pour toute informations :

Vie des Quartiers :02.51.23.16.03 - poste 1603

 

 

AUX SABLES D'OLONNE, FAISONS ENSEMBLE VIVRE NOS QUARTIERS
AUX SABLES D'OLONNE, FAISONS ENSEMBLE VIVRE NOS QUARTIERS
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27 avril 2021 2 27 /04 /avril /2021 14:38
YANNIK MOREAU, MAIRE DES SABLES D'OLONNE

YANNIK MOREAU, MAIRE DES SABLES D'OLONNE

 
 
OH ! LIBERTÉ QUE DE CRIMES ON COMMET EN TON NOM !
 
Manon ROLLAND s'est ainsi écriée en montant à l'échafaud le 8 novembre 1793
...la suite de l'histoire, on la connait...ce fut la Terreur !
 
Les apprentis sorciers et les malades de la haine devraient apprendre que la liberté ne résiste pas si elle n'est pas protégée voire encadrée par la loi et la jurisprudence et qu'abuser de la liberté, c'est tuer la liberté.
 
 
 
CE DIMANCHE 25 AVRIL 2021, YANNICK MOREAU, MAIRE DES SABLES D'OLONNE, PRÉSIDENT DES "SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION", ANNONCE QU'Il CESSE DE COMMUNIQUER SUR SON COMPTE PERSONNEL FACEBOOK
 
UNE DÉCISION QUI DOIT TOUS NOUS INTERPELLER

 

FACEBOOK  : ESPACE D'EXERCICE DE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION EST DEVENU POUR CERTAINS INCONSCIENTS ET IRRESPONSABLES UN ESPACE D'ABUS DE LA LIBERTÉ
 
Nos ancêtres ont fini de rédiger en fin août 1789 la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen et ils ont ainsi rédigé son article  11:
 
"La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi."
 
L'euphorie du début de la Révolution et de ses espoirs n'a pas empêché l'Assemblée nationale de prévoir le cas des abus de la liberté d'expression..."dans les cas déterminés par la Loi"
 
"
C’EST DÉCIDÉ, J’ARRÊTE D’ALIMENTER CETTE PAGE FACEBOOK
 
Lorsque j’ai rejoint facebook il y a 9 ans, ce réseau social portait la promesse de partages, d’échanges, de communication avec des personnes que l’on n’a pas la possibilité de connaître ou côtoyer dans la vie courante.
 
Et puis, progressivement, on a assisté à des dérives, des excès qui étaient l’exception il y a 10 ans mais qui deviennent la norme aujourd’hui.
Il ne se passe pas une journée sans que l’on assiste au triste spectacle de personnes qui s’invectivent, se provoquent. Parfois même, ce sont des voisins qui préfèrent régler leur différend devant témoin, par clavier interposé.
 
Ce réseau social est devenu un catalyseur de méchanceté, de bassesses.
 
Un amplificateur d’idées formatées et de libertés contraintes.
 
Progressivement ce sont les algorithmes qui ont commencé à décider à votre place ce qui mérite ou non d’être diffusé, connu; ce qui est conforme ou non aux intérêts du nouveau monde digitalisé, aux intérêts financiers considérables des multinationales de la communication numérique.
 
Plus localement, dans le débat politique sablais et vendéen, ce réseau social reflète de moins en moins la vraie vie, la réalité des honnêtes gens.
Facebook laisse se développer une forme de tyrannie.
 
La tyrannie de la minorité. La tyrannie des faux comptes. La tyrannie des snipers anonymes. La tyrannie des intérêts particuliers.
Longtemps, malgré ces dérives insupportables, j’ai voulu continuer à rendre compte de mon action publique, de mes choix, de mes engagements via mon compte et ma page facebook.
 
Longtemps, j’y ai personnellement consacré beaucoup d’énergie et de temps.
 
Cette dépense d’énergie ne me paraît plus raisonnable aujourd’hui, voire même contre-productive à bien des égards puisqu’elle alimente toutes celles et tous ceux qui se nourrissent de la polémique et existent par elle
 
J’ai décidé de briser mes chaînes, de vivre loin de ce torrent de jalousie et de haines recuites, de renouer avec la vraie vie.
 
Après quelques années d’errance numérique, je suis arrivé à la conclusion que je ne suis décidément pas du « nouveau monde », de ce nouveau monde numérique, digital et froid.
 
Je ne suis pas de ce monde qui promeut ceux qui salissent ou détruisent au détriment de ceux qui positivent et construisent.
 
Je suis de l’ancien monde, celui des vrais « amis », de la société de voisinage, des traditions, de la vie et de la chaleur des rencontres.
Je me retire, j’arrête, pour mieux me consacrer au cœur de ma mission d’élu des Sables d’Olonne : le service du bien commun, le service des enfants, des femmes et des hommes qui font battre le cœur de notre ville et agglomération.`
 
Je prie tous les habitués, tous les « amis » sincères, de m’excuser pour ce retrait. Je comprends vraiment que ma décision - même argumentée - puisse les dérouter, mais elle me paraît la seule raisonnable pour être pleinement au service des Sablais et des causes qui fondent mon engagement public et politique.
 
Si vous souhaitez continuer à suivre mon action de responsable public, je vous invite à le faire à travers les communications des pages FACEBOOK institutionnelles de la ville ou de l’agglomération des Sables d’Olonne.
 
Si vous vous définissez comme l’un(e) de mes ami(e)s, vous pouvez toujours rejoindre l’association des « amis de Yannick Moreau » via contact@lesamisdeyannickmoreau.fr
 
Vous y serez bien accueilli(e). Dès que les conditions sanitaires le permettront, ce sera l’occasion de vraies rencontres et de vraies échanges, et de temps à autres, de partages d’informations ou de communications directes et exclusives.
 
Merci de votre aimable et bienveillante compréhension.
 
Yannick Moreau"
 
 
 
 
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20 avril 2021 2 20 /04 /avril /2021 08:54
ASSURANCE CHÔMAGE UNE RÉFORME INJUSTE ET INADAPTÉE

 

LE DÉCRET SUR LA RÉFORME ASSURANCE-CHÔMAGE : COPIE NULLE À REFAIRE POUR LA DEUXIÈME FOIS

Pour la deuxième fois la Ministère du Travail dépasse les bornes. Elle est obligée de reprendre sa nouvelle copie de décret concernant la réforme de l’Assurance-chômage. Ce décret publié le 31 mars 2021 que vous pourrez le trouver avec ce lien :

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043306112

À mettre : « Dans la rubrique, chut ! On en parle pas ! »

Nos remarques sont aussi désabusées qu’acrimonieuses : ce n’est pas possible, Madame la Ministre du Travail, d’être aussi négligent !

 

UN TEXTE SENSIBLE ET ILLISIBLE

Minable : un texte retoqué une première fois sévèrement par le Conseil d’État qui, à nouveau, est retiré du circuit par la Ministre après avoir été publié au JO pour erreurs graves ! Exemples : il sanctionnait chômeurs partiels et congés maternité ...

 

NE PAS SE MOQUER DES DEMANDEURS D’EMPLOI

Il est interdit de se moquer des demandeurs d’emploi...le chômage est déjà une sanction terrible qui touche le travailleur : il lui fait mal, il fait mal à ses proches, c’est une plaie.

Il y a certes quelques abus de faux chômeurs : qu’ils soient plus sanctionnés ! Mais ces abus ne peuvent cacher l’immense détresse des 6 à 7 millions de vrais demandeurs d’emplois dans la détresse : COVID + CHÔMAGE, c’est si lourd à vivre !

 

LA GESTION DU CHÔMAGE : UN DOSSIER À RÉGLER ENTRE LES EMPLOYEURS ET LES REPRÉSENTANTS DES SALARIÉS : C’EST LE DIALOGUE SOCIAL

Que l’État laisse aussi aux partenaires sociaux le soin de régler le bon fonctionnement de Pôle Emploi et l’indemnisation du chômage.

Aujourd'hui la législation sur l'indemnisation du chômage a créé une usine à gaz et aboutit à ce type de fiasco antiréglementaire et financier (dette de 66 milliards d'euros à ce jour de l'UNEDIC) que nous rappelons ici.

Seul le dialogue social entre ces partenaires peut déboucher sur la gestion responsable, saine et difficile du problème. L’État doit être facilitateur du dialogue social mais pas étouffeur du dialogue social.

L’État n’a rien à faire dans ce dialogue...qu’il s’occupe d’abord et avant tout de ses fonctions régaliennes : SÉCURITÉ, ÉDUCATION, JUSTICE, SANTÉ...Qu’il se concentre déjà en priorité sur la pandémie et le grand service public de la Santé, celui de la Justice en panne et ceux de la Sécurité et de l’Éducation en décrépitude.

Cette « réforme » 2020, 2021 de l’Assurance Chômage : une faute lourde qu'il faut rajouter au passif du Gouvernement et du Président de la République.

 

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1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 16:23
LES SABLES D'OLONNE : CONSEIL MUNICIPAL DU MARDI 2 AVRIL 2021

LE PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE DES SABLES D'OLONNE

AURA LIEU

 

LE VENDREDI 2 AVRIL  2021

18 HEURES

SALLE "LES CORDULIES"

DU HAVRE D'OLONNE

71,  RUE DU 8 MAI

 

ATTENTION !

Compte tenu des normes sanitaires, le public ne pourra suivre les débats dans la salle où se déroulera la réunion du Conseil.

Une diffusion en direct est proposée au public sur la chaine YouTube de la ville :    

https://www.youtube.com/c/VilledesSablesdOlonne85

https://www.youtube.com/watch?v=lfZZrhlh1uU

 

Une bonne nouvelle pour suivre l'activité municipale...à 18 heures chez vous devant votre écran

 

40  questions sont inscrites à l'ordre du jour. Cette séance est importante puisqu'y sera présentée à l'adoption des délibérations concernant le budget primitif 2021 premier de cette nouvelle mandature déjà fortement influencé par la pandémie.Il y aura aussi les budgets participatifs des quartiers et bien sûr le vote des taxes directes locales qui feront débat et nous l'espérons une mise au point nécessaire.

 

Assister au Conseil Municipal, même par temps de couvre-feu , est un devoir citoyen facilité par le fait que désormais on peut suivre les débats depuis son domicile.

Nous rappelons qu'il est important pour les citoyens qui doivent s'intéresser à leur cité et particulièrement à l'utilisation qui est faite de leurs impôts par les collectivités de pouvoir suivre les conseils municipaux. Ils sont ainsi bien informés des orientations prises par les élus et des projets municipaux.

 

 

ORDRE DU JOUR COMPLET

(nécessaire pour suivre aisément les débats )

LES SABLES D'OLONNE : Conseil Municipal du lundi 15 février 2021
LES SABLES D'OLONNE : Conseil Municipal du lundi 15 février 2021
LES SABLES D'OLONNE : Conseil Municipal du lundi 15 février 2021
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1 avril 2021 4 01 /04 /avril /2021 14:53
MARIANNE BAILLONNÉE

MARIANNE BAILLONNÉE

N'oubliez pas ce soir 20h diffusion du conseil communautaire Les Sables d'olonne Agglomération

Plus d'informations : https://www.olonnes.com/2021/03/les-sables-d-olonne-agglomeration-conseil-communautaire-du-jeudi-1er-avril-2021.html

 

LA LIBERTÉ D’EXPRESSION UN BIEN PRÉCIEUX TOUJOURS MENACÉ

On entre en période électorale pour les régionales et les départementales (si COVID-19 et le gouvernement n’imposent pas un nouveau report). C’est un galop d’entraînement pour 2022 où nous attendent la Présidentielle suivie des législatives.

Après ce que nous avons vécu lors de la précédente présidentielle de2017 avec le déclenchement de l’affaire FILLON, on peut s’attendre à tout...sauf à la sérénité, sauf à un vrai débat projet contre projet.

Il faudrait que la fièvre citoyenne pousse les candidats au dialogue et au réalisme. Faire des promesses à tout-va ne grandit ni le pouvoir ni le respect dû aux fonctions d’élus.

Déjà la machine à contrôler les médias est en route...la liberté d’expression va souffrir. Il y a des signes précurseurs inquiétants comme la loi Sécurité Générale, le contrôle sur les réseaux sociaux...

Il y a eu deux atteintes à la liberté d’expression qui se manifestent en limitant la liberté d’information : en bâillonnant les médias ou en tuant le débat.

 

L'INDÉPENDANCE DE LA PRESSE : UNE LIBERTÉ TRÈS RELATIVE

La presse est sous perfusion. Elle a besoin des subventions directes et indirectes (6 à 8 milliards d’euros par an). Ceci signifie que la presse est sous la dépendance du pouvoir distributeur des subventions et autres aides. Un faux pas vis-à-vis du pouvoir en place et c’est la menace de la perte de la subvention et de la disparition du journal.

L’autre pouvoir est celui ce l’argent ; le propriétaire de journaux et revues d’une part, ne peut plus pour vivre voire survivre économiquement, se passer de subventions et d’autre part, s’il veut rentabiliser ses affaires il est contraint de recourir aux recettes de publicité qui sont une forme de dépendance...nous nous souvenons de ces maires s’adressant à des journalistes en les menaçant de ne plus leur donner à publier les annonces municipales s’ils continuaient à les critiquer !

Avec la loi « Climat » nous voyons arriver la fin de nombreuses et importantes recettes de publicité pour la presse qui sera brutalement en grave péril économique et devra demander donc encore plus de subventions donc devra être encore plus de dépendante du pouvoir.

Combien de journalistes « impertinents » et bien appréciés du public de la télévision ont été mis sur la touche parce qu’ils avaient déplu au pouvoir pour avoir dit un mot de travers !

Ici s’arrête la liberté d’expression.

 

L’ASPECT SOURNOIS DU « POLITIQUEMENT CORRECT » QUI DÉFORME LA LIBERTÉ D’EXPRESSION

Le politiquement correct est le mode d’expression qui interdit désormais d’appeler un chat, un chat !

Ainsi il interdit de parler d’islamisme, d’orientations sexuelles, de religions principalement pour la dénoncer, une attitude qui consiste à policer excessivement son langage ou modifier des formulations parce qu'elles peuvent choquer.

Donc, il y a des mots interdits qui sont remplacés par des circonlocutions qui ne représentent plus la réalité.

C’est une forme sournoise et implacable de censure qui impose à celui qui veut s’exprimer d’utiliser le mot exact pour ne pas offenser tel ou tel groupe d'individus : les mots racisme, homo..., islamisme, gauchisme...et autres « isme ».

Or, lors des prochaines campagnes électorales il faudra bien que soient abordés les thèmes de fond : bilan de ce septennat, décentralisation, sécurité, laïcité, immigration, dette publique...et ce sera le « juge et partie et aux ordres » nommé Conseil Supérieur de l’Audiovisuel CSA, qui orientera le débat...au mépris de la liberté d’expression.

Il y a bien le refuge des réseaux sociaux qui sont de plus en plus cernés par ceux qui veulent les faire taire.

Certes, de ce côté, il y a des débordements insupportables et punissables. Mais la loi de 1881 dite loi sur la liberté de la presse et la Déclaration des Droits de l’Homme (1789) écornée par le projet de loi sur la « sécurité générale » doivent en théorie protèger cette liberté. Les juges sanctionnent les écarts et alimentent une jurisprudence abondante et incontestée et en constante évolution. Mais trop souvent quand le juge intervient le mal et les dégâts faits aux personnes par les abus de liberté ont déjà causé des préjudices irréparables.

 

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