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16 septembre 2024 1 16 /09 /septembre /2024 18:13
L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

LE BUDGET 2025 DE LA VILLE DES SABLES D'OLONNE

 

Le déroulement de ce Conseil Municipal de rentrée fut, pour le moins étrange, avec un très, très long débat sur le budget 2025 et de lourdes interrogations de la part des OPPOSITIONS sur la gestion financière de la ville .

D’abord, une nouvelle fois, il y avait beaucoup trop d’absents parmi les élus de la majorité du maire. Puis à l’instigation des représentants des 3 oppositions les débats furent centrés sur les « généralités »concernant le budget 2025 qui sera le dernier réalisé lors de la mandature actuelle.«

»

LE NOUVEAU GYMNASE

Au hasard des nombreuses modifications budgétaires, objet du point 1 de l’ordre du jour nous avons noté le rappel fait sur un des plus importants investissements de la mandature que constitue la reconstruction du Gymnase du Centre avec la confirmation du montant de cet aménagement soit 9,3 millions d’Euros et le planning prévisionnel : le Gymnase sera livré pour la partie sportive en juin 2025 et la partie bureaux en septembre 2025.

 

BUDGET 2025 : IMPÔTS, DETTE, INVESTISSEMENTS...FINANCIÈREMENT OÙ VA LA VILLE DES SABLES D’OLONNE ?

Le sujet avait déjà été abordé lors du Débat d’Orientation Budgétaire DOB 2025.

Les taux des recettes fiscales (taxe foncière bâti, taxe foncière non bâti et taxe d’habitation des résidences secondaires) demeurent donc inchangés.

Les chiffres concernant la dette et les investissements sont aussi en concordance avec le DOB présenté aux élus en juillet dernier :

https://www.olonnes.com/2024/07/le-rapport-d-orientations-budgetaires-2025-de-la-ville-des-sables-d-olonne.html

La prévision de Capacité d’Auto-Financement CAF est de 14,5 millions d’euros.

Le Budget « Primitif 2025 » du budget principal de la Ville des Sables d’Olonne s’équilibre à 76,8 millions d’euros en fonctionnement et la prévision d’engagements atteindra le haut de la courbe prévue pour cette mandature avec 65 millions d’euros en investissement.

La dette pourra atteindre 100 millions d’euros.

 

Ce sont ces 4 chiffres qui donnent le vertige aux opposants au Maire Yannick MOREAU et font donc débat. Ils font écho aussi aux craintes ressenties par certains citoyens : est-ce trop ambitieux ?

Que retenir du débat qui s’est parfois égaré en joute politique nationale, le maire Yannick MOREAU n’appréciant pas trop la gestion macronienne ? L’opposante de gauche Caroline POTTIER critique aussi la politique du Président MACRON et, par ricochet, l’action du maire des Sables d’Olonne qui n’en font l’un et l’autre, pas assez pour les plus démunis particulièrement en matière de pouvoir d’achat et de logements et en n’allant pas chercher l’argent chez ceux qui sont jugés comme riches et nantis. On était loin du débat au niveau sablais.

Le Maire défend son budget et sa politique ambitieuse d’investissements qui d’une part, permet d’adapter la cité balnéaire de près de 50 000 habitants et qui, d’autre part, conforte le bien - vivre aux Sables d’Olonne en répondant à de réels besoins.

Pour l’opposant Anthony BOURGET, c‘est la gestion du maire qui est gravement mise en cause puisque l’équilibre même du budget est précaire et risqué ..Les finances municipales ne sont pas saines car d’un part, l’équilibre du budget est fragile car fondé d’une manière aléatoire et hasardeuse sur un « matelas » d’impôts et d’autre part, la capacité de désendettement atteint un niveau dangereux.

Il voit à travers le transfert de compétences de la Ville des Sables d’Olonne à l’Agglomération un moyen de faire supporter une part de la charge aux autres communes et pour le futur nouveau conseil municipal d’avoir un avenir plombé.

La transparence de la gestion municipale devrait être mise en cause. En effet, avec les transferts de compétence VILLE/AGGLOMÉRATION et les conséquences de ces opérations tant au niveau des comparaisons des budgets d'une année sur l'autre qu'à celui des grands  chapitres comme celui des charges de personnel. Une clarification à l'avenir sera nécessaire et certainement délicate à présenter.

Bruno RIVALLAND pose le réel problème bien illustré par ce débat budgétaire...qui est celui du statut des élus et spécialement celui des élus d’opposition dont la tâche est particulièrement difficile. Pour bien s’informer sur les dossiers, à la différence des élus de la majorité adjoints et délégués, ils ne bénéficient d’aucune prise en charge alors que nombre et la complexité des dossiers imposent un investissement personnel en temps important. Le problème de la réforme nécessaire du statut des élus locaux devra impérativement et le plus tôt possible être abordé et comprendre ce volet du rôle de l’opposition et des moyens qui pourraient leur être donnés.

 

DETTE ET INVESTISSEMENTS : UN CHOIX NÉCESSAIRE ET DIFFICILE À ASSUMER

Pour l'opposant Anthony BOURGET comme pour son collègue Jacques BARRETEAU, l’étude du dossier du budget 2025 fait apparaître un risque qui est celui  de présenter l’investissement qui pèse sur la collectivité comme une charge financière qui charge  l’exercice prochain alors que, par exemple, un hôpital, une école, de gros travaux ont une durée de vie qui peut aller jusqu’à 30 voire 50 ans. La Comptabilité Publique des communes au nom de la vieille règle dépassée de l’«annualité» du budget à la différence de la comptabilité privée ne prend pas en compte cette durée de vie de l’investissement dans une collectivité territoriale et donc la nécessité ou la possibilité d’étaler la charge d’investissement sur la durée de vue présumée de l'investissement.

Le problème est complexe car quand une collectivité décide d’investir elle engage aussi l’avenir des futurs élus nouveaux qui seront prisonniers des choix qu’ils n’ont pas faits pour une durée où la dette liée à l'investissement pèsera.

La problématique est donc inhérente au système.

Or, une municipalité est contrainte d’investir c’est-à dire d’avoir, en principe, recours à l’emprunt donc de s’endetter... à condition que ce soit «raisonnablement».

À l'inverse, ne pas investir, c’est condamner la ville à mal vieillir et à utiliser ses recettes (surtout impôts et, dans une moindre mesure, les recettes propres de la collectivité et les éventuelles subventions) à financer des frais de fonctionnement. C’est la solution de facilité pour les élus qui ne veulent prendre aucun risque car d’une part, tout investissement a des partisans et mais aussi des adversaires et cela fait donc des mécontents et d’autre part, et ne pas investir évite de voir la dette grossir et les futurs impôts augmenter.

La dynamique d'une ville pousse donc les élus logiquement à investir en fonction de leur programme entériné lors de leur élection par les citoyens. Alors, c'est le choix des investissements qui fait débat et dès que ce choix est entériné, il est quasiment impossible de revenir en arrière.

Ainsi, le rôle de la ou des oppositions est de tenter de peser sur le choix initial des investissements qui importe et aussi d'assumer le suivi financier et technique des conséquences de ces choix.

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12 septembre 2024 4 12 /09 /septembre /2024 12:18
LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ONT DÛ INVESTIR DANS DU MOBILIER URBAIN POUR INCITER À LA RESPONSABILISATION CITOYENNE

LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ONT DÛ INVESTIR DANS DU MOBILIER URBAIN POUR INCITER À LA RESPONSABILISATION CITOYENNE

 

 

 

 

 

INCIVILITÉS : UN TERME QUI COUVRE BEAUCOUP D’ACTES PARFOIS DÉLICTUEUX ET GRAVES MAIS SURTOUT INSTALLE UN COMPORTEMENT QUI, PETIT À PETIT,  TUE LE BIEN VIVRE ENSEMBLE

 

Mais qu’est-ce donc l’incivilité ?

En 2024, les français sont, malgré les JO, dans une phase de crise morale qui nécessite une réforme des comportements. Les incivilités se multiplient et débouchent maintenant avec violence à chaque coin de rue. Elles sont banalisées. Rien de sérieux n'est vraiment fait pour redonner aux citoyens le goût des gestes et autres manifestations de sympathie entre citoyens.

Il est faux de croire qu’il est interdit d’interdire...Cette formule ouvre le droit de la jungle, la loi du plus fort : que le plus fort gagne au mépris de tous les plus faibles. Les interdits sont malheureusement la sauvegarde de l’expression des libertés.

Les incivilités désignent ces désordres et comportements d'inconduite qui, sans être expressément visés par le code pénal, constituent des manquements aux règles élémentaires de vie en société : nuisances sonores, dégradations des biens publics et privés, manque de respect...et parfois cette dérive mène au pire.

 

UN EXEMPLE BANAL D’ACTE D’INCIVILITÉ : LES DÉJECTIONS DES ANIMAUX DE COMPAGNIE

LES ANIMAUX DE COMPAGNIE : UN PHÉNOMÈNE SOCIAL

Depuis ces dernières décennies, le nombre d’animaux de compagnie augmente continuellement (avec une petite pause au moment de la crise COVID). La France compte en 2024 10 millions de chiens.

Le revers de la médaille...ce sont, surtout dans les zones urbanisées, les déjections de nos chers toutous.

Or, le maire est légalement responsable de la salubrité dans les lieux publics : l’accumulation de déjections sur les trottoirs et lieux ouverts au public est devenue insupportable.

Ainsi, petit à petit, les communes ont pris des décisions d’abord d’informer le public sur la nécessité de prendre des mesures d’abord incitatives invitant les propriétaires à ramasser les déjections de leur chien puis sont venues ensuite les mesures répressives (contraventions en principe ).

 

FONDEMENT JURIDIQUE DES AMENDES ET AUTRES SANCTIONS

Ainsi l’article R 632-16 modifié en 2007 du Code pénal et l’article R541-76 du Code de l’environnement classent les déjections canines au même rang que les déchets, les ordures, les liquides et les liquides insalubres. Par conséquent, le fait d’abandonner les crottes de son chien sur la voie publique expose à une contravention de 2e classe s'élevant à 35 €.  

Enfin, l’article  R 633-6 sanctionne maintenant de contravention de troisième classe qui peut aussi être donnée et peut être majorée par les communes qui le désirent.

À cette amende, peut s’ajouter aussi la condamnation à payer des frais de nettoyage, déplacement du personnel municipal...

 

À travers cet exemple banal et bénin il est aisé de conclure encore une fois qu’aucune société ne peut vivre sans morale, c’est-à-dire sans que soit construit un ensemble de règles et valeurs, qui s’imposent absolument aux individus. C’est la condition même du fonctionnement de la vie en société. Sans ces règles, l’ordre, protecteur de l’individu, ne peut jouer son rôle.

Nous vivons une dégradation de la paix civile et la banalisation de l’ensauvagement, de la décivilisation, de l’irrespect... qui ont pour conséquence le climat général d’insécurité que nous subissons tous.

 

INCIVILITÉS : UN MAL QUI DÉCONSTRUIT LE VIVRE ENSEMBLE
INCIVILITÉS : UN MAL QUI DÉCONSTRUIT LE VIVRE ENSEMBLE
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9 septembre 2024 1 09 /09 /septembre /2024 16:02
L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

IL EST PRÉCISÉ QUE LE PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL

DES SABLES D'OLONNE 

 

 

AURA LIEU LE LUNDI 9 SEPTEMBRE 2024, (ce jour !)

 

dans la salle de la Mairie Annexe  de la JARRIE

Centre-ville d'Olonne-sur-Mer

à 18 Heures

 

31 QUESTIONS À L'ORDRE DU JOUR

 

Être citoyen :  des droits et des devoirs.

Les séances du Conseil Municipal sont publiques

 

 

Avec nos excuses pour la présentation tardive de cet ordre du jour que la Ville des Sables d'Olonne n'a mis en ligne que ce jour à 15 heures...pour un conseil qui va se tenir à 18 h

 

Participer à la vie de la Cité, c'est d'abord s'informer et pouvoir être informé (!) afin de pouvoir approuver et éventuellement critiquer démocratiquement les orientations, projets, décisions des élus que les citoyens se sont donnés.

N'oublions pas que c'est le peuple qui détient le pouvoir souverain qu'il délègue à ceux qu'il a élus.

Nous le répétons, le vote lors d'une élection consiste à donner son pouvoir à des concitoyens mais aussi, comme pour tout mandat, il appartient à celui qui donne mandat de vérifier la bonne exécution du mandat.

D'un autre côté, les élus doivent en permanence sentir que leurs concitoyens veillent avec bienveillance et sérieux sur les projets et la gestion de leur ville, c'est bien "leur" ville !

C'est pour cela que nous renouvelons notre appel aux citoyens pour les inciter à assister aux réunions des conseils municipaux et communautaires même si les conditions d'accueil demeurent spartiates.

 

Suivez ainsi l'activité de la Ville des Sables d'Olonne

 

Le Maire, Yannick MOREAU, propose, pour ce Conseil Municipal, un menu chargé de 31 points à l'ordre du jour avec les informations  sur le suivi de nombreux projets en matière de logement, réserve foncière et les taux d'imposition taxes locales 2025...

 

C'est aussi une occasion pour majorité et oppositions de pouvoir débattre sur les projets en cours et de savoir comment ont été ou seront utilisés les impôts des contribuables.

 

ORDRE DU JOUR COMPLET

LES SABLES D'OLONNE, CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI  9 SEPTEMBRE 2024
LES SABLES D'OLONNE, CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI  9 SEPTEMBRE 2024
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17 juillet 2024 3 17 /07 /juillet /2024 19:23
UNE POLITIQUE DU LOGEMENT DANS UNE COLLECTIVITÉ COMME LES SABLES D'OLONNE CELA SE PRÉVOIT, SE DÉCIDE ET CELA SE FINANCE

UNE POLITIQUE DU LOGEMENT DANS UNE COLLECTIVITÉ COMME LES SABLES D'OLONNE CELA SE PRÉVOIT, SE DÉCIDE ET CELA SE FINANCE

 

 

 

 

LES SABLES D’OLONNE : UNE GESTION FINANCIÈRE PRUDENTE ET DES PROJETS DE MANDAT QUI SE RÉALISENT

 

UNE CERTAINE SÉRÉNITÉ SUR LE PLAN DE LA GESTION FINANCIÈRE DE LA VILLE

Selon le rapport de la Chambre Régionale des Comptes de 2023 examiné lors du Conseil Municipal du 25 septembre 2023 la situation est rassurante : « La commune des Sables d’Olonne produit des informations financières, budgétaires et comptables de qualité...et jouit d’une bonne situation financière ». La fusion permet maintennat de dégager des moyens d'investir pour une politique sécurisée financièrement du mieux vivre dans la Ville.

 

LES ORIENTATIONS BUDGÉTAIRES POUR 2025

EN FONCTIONNEMENT

Concernant les recettes la fameuse Taxe d’Habitation pour les Résidences Secondaires THRS pour la ville et l’Agglomération est en dessous de la moyenne des collectivités pour les blocs communaux comparables à ceux des Sables d’Olonne (ville et Agglomération) . Il n’y a donc pas matière à remettre en cause la décision prise en la matière qui d’ailleurs est généralise pour les collectivités concernées.

Il en est de même pour le Foncier Bâti et Non Bâti, dont les taux sont identiques aux exercices précédents.

Pour les autres recettes (jeux casino, droits de mutation, recettes des services...)  la municipalité joue la prudence sur une base prévisionnelle d’inflation de 2 % ou sur le stabilité.

Pour les dépenses, le poste principal est celui des frais de personnel (20,3 millions d’euros) qui est maitrisé et marqué par les effets positifs de la mutualisation entre Ville et Agglomération.

La dette de la Ville sera impactée par la hausse des taux d’intérêts mais le risque lié aux emprunts toxiques (hérités d'une gestion passée hasardeuse qui n'est pas malheureusement propre à cette collectivité) poursuit sa décrue et ne représentera en 2025 que 6% de la dette totale (10 % en 2020). Il est provisionné pour les intérêts à payer en 2025 3 millions d’euros soit 3 % de la dette.

La dette en fin 2025 s’élèverait à 100,2 millions d’euros et la capacité de la ville peut perdurer et rester sous la barre de désendettement de 7 années. La cote d’alerte est de 10 années.

Les recettes prévisionnelles de la Ville attendraient 74,1 millions d’euros en 2024 et 76,2 en 2025 pour des charges de fonctionnement estimées à 60,6 millions d’euros en 2024 et 61,7 millions d’euros en 2025 (soit une hausse raisonnable de 1,8%).

 

EN INVESTISSEMENTS

La Ville prévoit une enveloppe de 55 millions d’euros en légère diminution par rapport à la prévision 2024 qui était de 60 millions d’euros à comparer avec cet exercice 2024 dont l’estimation du « réalisé » serait aussi de 55 millions d’euros.

Les opérations qui sont programmées sont comprises dans le plan pluriannuel dont 15 millions d’investissements récurrents et 5 millions d’euros pour les opportunités d’achats de foncier.

En recettes, il est prévu le recours à l’emprunt pour un montant de 28,5 millions d’euros.

Rappelons que la CAF (Capacité d’AutoFinancement) serait de 14,5 millions d’euros pour 2025.

Comme prévu, l’endettement de la ville est maîtrisé et s’inscrit dans la trajectoire « prédéfinie dans les prospectives financières » : converger vers 7 années de capacité de désendettement.

Avec les recettes diverses dont 9 millions de subvention le budget investissement devrait s’équilibrer à 69 millions d’euros.

La ville des Sables d’Olonne reste en dessous des moyennes des taux des villes appartenant à la même strate pour les recettes fiscales et il en est de même pour la capacité de désendettement.

Il n’y a donc pas matière à suspicion de danger dont il est question quand la municipalité aligne des projets importants qui donc, pour l’instant, demeurent « finançables » sans excédent de recours à l’emprunt ni augmentation de la pression fiscale. La dette municipale ne flambe pas encore. Et ce d'autant plus que la maîtrise des dépenses de fonctionnement permet de dégager des capacités d'autofinancement dont la municipalité s’engage à assumer la pérennité sur cette fin de mandature (jusqu’au budget 2027)!

 

Nous avons donc du mal à comprendre et admettre pourquoi lors des débats budgétaires des doutes alarmistes peuvent être émis sur la gestion de la collectivité.

Les élus peuvent et doivent pouvoir mettre en doute les choix de la municipalité, s'y opposer avec fermeté, critiquer mais une fois ces choix adoptés et les financements fixés les projets doivent être menés à leur terme dans le cadre ainsi fixé.

La municipalité doit respecter ce cadre au niveau de ses engagements en matière d'endettement et en fonction de ses moyens financiers.

Il y a là peut-être matière à donner aux élus et aux citoyens un éclairage sous forme d’une information adaptée, compréhensible et accessible à tous les citoyens.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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27 mars 2024 3 27 /03 /mars /2024 22:30
UN CENTENAIRE DANS LES TURBULENCES

UN CENTENAIRE DANS LES TURBULENCES

 

 

L'ENQUÊTE PUBLIQUE EST OUVERTE :

"OPTIMISER" L'AÉRODROME DES SABLES D'OLONNE ! POURQUOI ? POUR QUI ?

 

Développer cet aérodrome au profit de quelques-uns, n’est-ce pas augmenter paradoxalement les nuisances sonores et olfactives pour la majorité ?

 

A quoi bon dépenser 4,5 millions d’euros auxquels s’ajoute le coût d’acquisitions foncières, pour un aérodrome destiné à l’origine à un aéroclub et à quelques usagers locaux ? Ne serait-ce pas pour en faire un aérodrome dévoyé aux vols d’affaires alors qu’il en existe déjà un à La Roche sur Yon à 30 minutes des Sables ?

Où est la logique ?

Alors que le Conservatoire du Littoral, la Ville et l’Agglo prévoient déjà d’étendre l’espace naturel protégé qui borde d’aérodrome pour le porter à plus de 60 hectares ?

Ces zones sont classées Natura 2000 et  ZNIEFF (zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique). Ce milieu naturel déjà perturbé par l’activité actuelle de l’aérodrome serait soumis à des nuisances supplémentaires.

Face au changement climatique et au bilan environnement négatif des activités aériennes à propulsion thermique, comment l’agglomération des Sables peut-elle vouloir les développer ?

Un commissaire enquêteur a été nommé. L’enquête publique sur ce projet a débuté le 18 mars 2024 et s’achèvera mercredi 17 avril. Le dossier version papier est consultable au siège des « Sables d’Olonne Agglomération », à l’Hôtel de Ville des Sables d’Olonne et à la Mairie annexe du Château d’Olonne.

Le dossier est également consultable sur le site internet des Sables d’Olonne Agglo : www.lsoagglo.fr. et de la Ville des Sables : www.lessablesdolonne.fr

Pendant la durée de l’enquête, le public peut consigner ses observations, propositions, soit :

Nous sommes tous concernés. Les nuisances n’ont pas de barrières et le coût impacte tous les contribuables.

Une association, la DCA qui a une parfaite connaissance de ce projet, pourra vous éclairer sur les conséquences de cette « optimisation »

Son site est : https://dca-des-olonnes.fr.

 

Vous comprendrez ainsi mieux l’enjeu et les conséquences pour vous.

UN COMPLEXE AMBIGU

UN COMPLEXE AMBIGU

AÉRODROME DES SABLES D'OLONNE : L'ENQUÊTE PUBLIQUE DOIT ÊTRE LE TEMPS DE LA TRANSPARENCE

 

UN PROJET PEUT EN CACHER D'AUTRES : AÉROCLUB OPTIMISÉ OU AÉRODROME EN ZONE URBAINE ET EN TENUE CAMOUFLÉE ? L'ENQUÊTE PUBLIQUE VOUS PERMETTRA PEUT-ÊTRE DE DÉCOUVRIR POURQUOI L'AGGLOMÉRATION INVESTIRA PLUS DE  4, 5 MILLIONS...

 

POUR UN VRAI DÉBAT DÉMOCRATIQUE IL FAUDRA QU'ÉLUS ET CITOYENS DIALOGUENT  SUR L'OBJECTIF RÉEL POURSUIVI SUR LE PROJET NOMMÉ "OPTIMISATION DE L'AÉROCLUB "

IL FAUT DONC QUE CESSENT LES PRESSIONS INADMISSIBLES ET QUE L'ENQUÊTE PUBLIQUE SE DÉROULE DANS LA PLUS GRANDE SÉRÉNITÉ, À LIVRE OUVERT.

 

LE DEVOIR DE CITOYEN : S'INFORMER...CELUI DE L'ÉLU : INFORMER EN TOUTE TRANSPARENCE

EST-CE VRAIMENT UNE PUBLICITÉ POUR UN AÉROCLUB GÉRÉE PAR UNE ASSOCIATION ?

EST-CE VRAIMENT UNE PUBLICITÉ POUR UN AÉROCLUB GÉRÉE PAR UNE ASSOCIATION ?

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23 février 2024 5 23 /02 /février /2024 18:01
JACQUES ATTALI, IL RIT MAIS CET INTELLECTUEL LANCEUR D'ALERTES NOUS INTERPELLE SÉRIEUSEMENT

JACQUES ATTALI, IL RIT MAIS CET INTELLECTUEL LANCEUR D'ALERTES NOUS INTERPELLE SÉRIEUSEMENT

 

 

ÉLUS ET PARENTS, MÊMES COMBATS : ÉDUCATION ET RESPONSABILITÉS POUR ÊTRE RECONNUS

 

LE DONNEUR DE LEÇONS JACQUES ATTALI SORT DE LA PHILOSOPHIE DU POUVOIR POUR LA PHILOSOPHIE DU TERRAIN

Dans sa chronique des ÉCHOS de ce 23 février 2024, Jacques ATTALI s’attaque à des maux qui frappent deux catégories de français : les élus et les parents qui doivent tout deux assumer leurs responsabilités dans des conditions de plus en plus difficiles et qu’ils ressentent de plus en plus souvent comme une mission impossible.

Pour être élu ou parent il n’y a nulle obligation de diplôme, de formation qui engendrerait une forme impossible de sélection et de ségrégation.

D’ailleurs, pour être élu l’exigence d’un niveau intellectuel, d’une formation serait attentatoire à la liberté et à l’égalité devant la fonction...c’est au bon peuple qui vote qu’il appartient de se choisir celui qui le ou la représentera le mieux .

Pour la fonction parentale, c’est encore pire : toute mesure qui pourrait être prise pour créer un droit d’accès à la parentalité serait utopique, malsaine et contradictoire avec le principe de la liberté individuelle.

L’avertissement de Jacques ATTALI est cinglant et peut-être même prémonitoire...De moins en moins de gens veulent être parents. De moins en moins de gens veulent exercer des responsabilités d'élus.

Pourtant sa conclusion est péremptoire et prend une alluré de fin d’un monde :

« Aucune communauté humaine ne survivra sans parents et dirigeants bien préparés et respectés »

 

POUR LES ÉLUS

Il y a en France environ 600 000 élus en France, ils sont très, très peu à avoir pu acquérir une formation qui les préparerait à exercer leurs fonctions. Ils découvrent vraiment celles-ci une fois qu’ils ont été élus.

Un candidat à l’élection est donc volontaire pour se faire élire et une fois élu il est condamné à exercer des fonctions qui souvent le dépassent complétement. Il découvre ainsi et, même souvent, ses responsabilités « sur le tas » dans un domaine où tout se complexifie.

Jacques ATTALI suggère donc par exemple, que « les candidats aux prochaines élections européennes devraient pouvoir bénéficier, sinon justifier même, d'une formation aux enjeux et aux arcanes de l'Union et de ses institutions »

 

AMÉLIORER, VALORISER, LES CONDITIONS D’EXERCICE DES FONCTIONS DE PARENTS ET D’ÉLUS

Pour remédier à cette situation qui n’est pas porteuse d’avenir il « suffirait » de créer les conditions d'incitation à un plus grand respect des élus et des parents aussi. Pour les élus Jacques ATTALI est clair. « Personne n'a envie de se faire insulter, traîner dans la boue, traiter de menteur, de voleur et pire encore, d'y exposer sa famille ».

Il faudrait ajouter que les élus ont donné durant ces dernières décennies une image dévalorisante de la fonction. Elle fut gratifiante, elle est devenue incomprise voire honnie.

Pourtant les remèdes à cette désaffection pour ces deux très nobles fonctions méritent une approche plus positive. Il ne s’agirait pas qu’accessoirement d’améliorer la condition matérielle d’élu et de parent mais « simplement » de remettre au goût du jour avec les moyens de communication du jour l’éducation, la morale laïque, la solidarité, le respect de l’autre...

Respectons nos parents, respectons les élus et faisons qu'ils se sentent aimés et reconnus et qu'eux, ils fassent le nécessaire pour l'être. Ils ont des efforts à faire pour ne pas transformer les ors du  Parlement en champs de foire!

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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 19:07
LE MAIRE YANNICK MOREAU MENACÉ SUR INTERNET

LE MAIRE YANNICK MOREAU MENACÉ SUR INTERNET

 

 

 

 

MENACES, PROPOS OUTRAGEUX À L’ENCONTRE DU MAIRE DES SABLES D’OLONNE

 

 

Le Conseil Municipal des Sables d’Olonne le 12 février 2024 a été saisi d’une demande de «protection fonctionnelle» suite à l’envoi par internet, le 11 novembre 2023, sur le site de la Ville, d’un texte comprenant des propos outrageux et même des menaces de mort à l’encontre de Yannick MOREAU en tant que Maire des Sables d’Olonne.

Bien sûr, l’auteur de ces propos cache courageusement son identité et signe son méfait sous un pseudo.

Si elle n’est pas sanctionnée, la facilité que procure INTERNET pour menacer est un danger pour la collectivité. En effet, elle banalise la violence verbale, la calomnie, la diffamation et l’incitation aux actions violentes y compris celle de se faire justice.

Le maire des Sables d’Olonne Yannick MOREAU a porté plainte et nous espérons que l’auteur sera rapidement démasqué et sanctionné. Le Conseil Municipal a donné son accord pour actionner la protection fonctionnelle se son maire, une manière pour les élus de se montrer solidaires de leur maire.

 

 

LA PROTECTION DES ÉLUS LOCAUX

Nous devons constater que les élus locaux sont malheureusement de plus en plus exposés aux attaques ou actions judiciaires de leurs administrés. Ils bénéficient du régime de protection de leur commune, prévu aux articles L. 2123-34 et L. 2123-35 du Code Général des Collectivités Territoriales CGCT (L. 5211-15, L. 215-16, L. 5216-4 pour les élus communautaires).

La collectivité est donc légalement tenue de protéger ses élus contre les « violences, menaces et outrages » dont ils pourraient être victimes à l'occasion de leurs fonctions (article L. 2123-35 du CGCT), ainsi qu'en cas de diffamations ou d'injures. Elle doit également réparer le préjudice éventuel qui en est résulté.

Cette protection recouvre les actions de prévention pour ainsi faire faire cesser les attaques dont l'élu est victime, une 'assistance sur le plan juridique et aussi une obligation de réparation en cas de préjudice subi par l’élu.

Nous avons vu, lors des événements de juin juillet 2023, qu’avec la montée de la violence les attaques de toutes sortes à l’encontre des élus et même de leurs proches deviennent chose courante et même organisée (Voir les affaires de la Commune de Saint Brévin les Pins, de L’Hay-les-Roses...)

Il faut d’urgence que ces pratiques soient éradiquées et donc il faut donc qu’elles soient sanctionnées vite et sévèrement...et que les sanctions soient effectives et effectuées.

 

 

LA PROPOSITION DE LOI n°240, DISCUTÉE PAR L’ASSEMBLÉE NATIONALE RENFORCE LA PROTECTION DES MAIRES ET ÉLUS LOCAUX

Un nouveau texte de loi est élaboré et doit être voté en « procédure accélérée ».

Son titre 1 est explicite « CONSOLIDER L’ARSENAL RÉPRESSIF POUR MIEUX PROTÉGER LES ÉLUS EN CAS DE VIOLENCES COMMISES À LEUR ENCONTRE

Le nombre de plaintes déposées par des élus croît de façon exponentielle (plus de 30% par an !) ...il pourrait atteindre le chiffre de 4 000 pour 2023 !

Mais il faut aller au-delà et il faut attaquer le mal à la racine par le retour immédiat et très sérieux comme promis par nos gouvernants à l’éducation civique à l’école, au collège et au lycée. La pratique du conseil municipal des jeunes doit être généralisée.

Il faudra aussi un consensus entre élus pour donner l’exemple de débats publics serein où devront être bannies l’injure et les menaces.

L’exemple que nous venons de vivre aux Sables d’Olonne est une incitation à une réflexion et une action positive pour agir en toutes circonstances contre toutes les violences et autres incivilités qui aboutissent à déstabiliser notre société même dans une ville où il fait bon vivre !

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15 février 2024 4 15 /02 /février /2024 20:00
YANNICK MOREAU MAIRE, À SA DROITE MATHIEU SORIN, DIRECTEUR DES SERVICES, EN ARRIÈRE PLAN  DAVY LERSTEAU, DIRECTEUR DE CABINET

YANNICK MOREAU MAIRE, À SA DROITE MATHIEU SORIN, DIRECTEUR DES SERVICES, EN ARRIÈRE PLAN DAVY LERSTEAU, DIRECTEUR DE CABINET

 

 

 

 

 

UN ÉCHANGE FONCIER AVEC BOUYGUES IMMOBILIER : DÉCLASSEMENT ANTICIPÉ DE L'AIRE DE CAMPING-CARS DU CENTRE VILLE

 

 

UN ÉCHANGE FONCIER EN FAVEUR D’UNE CONSTRUCTION DE LOGEMENTS RAISONNÉE

 

La Ville des Sables d’Olonne souhaite faire preuve d’exemplarité sur son territoire et s’est engagée dans un plan ambitieux pour faciliter notamment l’accès au logement en location ou en accession à la propriété adopté lors du Conseil Municipal du 30 janvier 2023.

Mais la ville des Sables d’Olonne est surtout confrontée au problème aigu du logement et des « normes » qui se cumulent pour rendre difficile la réalisation d’équipements sans enfreindre ses propres engagements et sans enfreindre les contraintes imposées comme le Zéro Artificialisation Nette et autres multiples dispositions législatives et règlementaires.

D’un côté, il y a l'aspect très attractif de la Ville et de l’autre, un marché de l’habitat qui ne répond pas aux demandes particulièrement celles les familles et des jeunes ménages locaux à revenus modestes ou intermédiaires qui n’ont pas les ressources suffisantes pour acquérir ou louer un logement sur la commune.

Il faut aussi concilier la réponse aux demandes et la greffe d’ensemble immobiliers nouveaux sur un tissu urbain dont il faut conserver l’identité avec un « urbanisme vertueux ».

Le site EDF est donc stratégiquement parlant un espace sur lequel la Municipalité ne peut laisser faire n’importe quoi.

 

LE PROJET D’UN DEAL SOCIÉTÉ BOUYGUES IMMOBILIER - VILLE DES SABLES D’OLONNE

Par délibérations en date du 30 janvier et du 22 mai 2023, la Ville des Sables d’Olonne a entériné un échange foncier avec la société BOUYGUES IMMOBILIER prévoyant :

  • L’achat par la Ville auprès de la société BOUYGUES IMMOBILIER de l’ensemble immobilier sis au 26, Cours Louis GUÉDON (Ex-Ilot EDF) et disposant d’un terrain d’assiette de 3 965 m2 en vue de la réalisation d’équipements publics.
  • En échange, la cession par la Ville auprès de BOUYGUES IMMOBILIER d’une emprise de 9466 m2 issue du terrain à usage de parking pour camping-cars situé rue Printanière qui accueillera un programme de 120 logements dont 40 % de logements sociaux, d’un ensemble immobilier a usage de bureaux, sis 4, rue des Religieuses sur un terrain de 1276 m2 destine a accueillir un programme de 16 logements dont 40 % de logements sociaux.

Le versement d’une soulte de 860 000 € par la société BOUYGUES IMMOBILIER à la Ville des Sables d’Olonne et correspondant aux frais de démolition, désamiantage, dépollution et frais de maitrise et d’assistance à maitrise d’ouvrage que la ville endossera.

Pour concrétiser son engagement la Ville doit donc réglementairement « déclasser » son terrain affecté au terrain camping-car et qui fait partie du domaine public pour le réintégrer dans le domaine privé et le rendre « vendable » : opération classique que réalisent régulièrement les collectivités. 

 

Il était donc demandé au Conseil Municipal d’approuver le déclassement de la parcelle cadastrée 194 AM 1520 d’une contenance de 9 466 m²et d’autoriser le Maire à signer tout document relatif à ce déclassement.

 

UN LONG DÉBAT HORS SUJET

C’était donc une opération de pure forme, accessoire concernant un déclassement d’un terrain pour une opération déjà entérinée puisqu’il y a eu accord pour l’enquête publique et que cela n’a pas posé de problème. Le rapport du commissaire-enquêteur ne fait ressortir aucune réserve.

Le principe du deal n’est pas remis en cause et la Ville des Sables d’Olonne n’a pas eu de mal à démontrer et justifier que cette opération répond bien aux objectifs croisés d’intérêt public et d’intérêt général, de maitrise de l'étalement urbain, de revitalisation urbaine et, par conséquent, de limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers.

Alors pourquoi les élus d’opposition ont-ils profité de cette délibération pour aborder des points complétement hors sujet par rapport à l’ordre du jour :

  • La votation de novembre 2023, et particulièrement les conditions et la réalisation la présentation du projet Cours Louis GUÉDON,
  • La protection de l’environnement du Musée,
  • La cohérence des projets du Maire qui pourrait faire ressortir et avancer le dossier du projet Cours Louis GUÉDON alors que la population l’a rejetée. On était là dans le domaine du procès d’intention.
  • À l’inverse, il a même été dit soulevé par un opposant la question de reprendre le projet « plus sobrement »...et alors l’opposition remet-elle en cause le résultat de la votation ?

 

D’INUTILES ET LONGS DÉBATS HORS SUJET

La réponse du Maire Yannick MOREAU: « Nous ne ferons pas la place Louis GUÉDON ce sont bien les Sablais qui ont décidé. » Même si ce n’était pas à l’ordre du jour il a, bien sûr, défendu le bien-fondé et d'ailleurs incontesté du deal avec la Société BOUYGUES IMMOBILIER.

 

Lors de ces conseils municipaux, le Maire joue la démocratie locale et ainsi cède très, voire, trop, aisément la parole aux membres des oppositions même s’ils sont dans leurs nterventions complétement en dehors de l’ordre du jour et s’ils ne présentent pas de contre-propositions constructives.

La délibération est adoptée mais ont voté CONTRE 5 élus et se sont abstenus 2 élus.

Par contre, au-delà de ces critiques évoquées par les oppositions, il nous semble opportun de rappeler qu’il appartient au maire en place de veiller à préserver l’avenir comme justement en sauvegardant un espace comme le site EDF.

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