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23 mars 2023 4 23 /03 /mars /2023 15:36
L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

L'HÔTEL DE VILLE DES SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

 

LE PROCHAIN CONSEIL MUNICIPAL DE LA VILLE

DES SABLES D'OLONNE

AURA LIEU

 

LE LUNDI 27 JANVIER 2023

 

À 20 HEURES

 

SALLE DU CONSEIL

MAIRIE ANNEXE  DE LA JARRIE

(Quartier Olonne-sur-Mer)

Attention changement d'horaire 20 heures pour ce conseil !

 

 

 Être citoyen, c'est accepté de jouir de droits et d'accepter des devoirs.

Les Séances du Conseil Municipal sont publiques

Participer à la vie de la Cité, c'est d'abord s'informer pour pouvoir approuver et éventuellement critiquer démocratiquement les orientations, projets, décisions des élus que l'on s'est donnés. Nous le répétons, le vote c'est donner son pouvoir à un autre citoyen mais aussi, comme tout mandat, il appartient à celui qui donne mandat de vérifier comment le mandat est exécuté !

D'un autre côté, les élus doivent en permanence sentir que leurs concitoyens veillent avec bienveillance et sérieux sur les projets et la gestion de leur ville.

C'est pour cela que nous insistons, depuis des années, pour inciter nos concitoyens à assister aux réunions des conseils municipaux.

Suivez ainsi l'activité de la Ville des Sables d'Olonne.

 

Le Maire, Yannick MOREAU, propose, pour ce Conseil Municipal, un menu très copieux avec pas moins 49 points à l'ordre du jour.

Seront passés en revue et en débat les résultats comptables de l'année 2022 ainsi que le point sur quelques uns des grands projets : groupe scolaire René-Guy CADOU, le plan local d'habitation PLH de l'Agglomération, la politique foncière, des acquisitions foncières, des projets sur le nautique, l’aménagement du front de mer...

C'est donc une  une séance tés importante qui peut permet à chacun d'être informé sur la vie de sa cité et sur les projets en cours ou envisagés et sur la situation financière de la ville donc de savoir comment ont été utilisés ses impôts.

 

L'ORDRE DU JOUR COMPLET

 

LES SABLES D'OLONNE : CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 27 MARS 2023
LES SABLES D'OLONNE : CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 27 MARS 2023
LES SABLES D'OLONNE : CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 27 MARS 2023
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22 mars 2023 3 22 /03 /mars /2023 18:10
LE PRÉSIDENT FACE AU DÉFI DU LENDEMAIN DE CRISE : UNE FRANCE NOUVELLE ATTENDUE DEPUIS 2017

LE PRÉSIDENT FACE AU DÉFI DU LENDEMAIN DE CRISE : UNE FRANCE NOUVELLE ATTENDUE DEPUIS 2017

 

 

 

 

LA FRANCE MALHEUREUSE, APPAUVRIE...N’EXAGÉRONS PAS, MAIS QUAND MÊME !

 

S’il y a au moins une chose à retenir de cette crise tous azimuts que nous vivions et qui s’est cristallisée sur la réformette des retraites, c’est le très fort mécontentement des français.

Tout cela est relatif. Mais le Président MACRON réussit l’exploit de leur faire oublier la chance qu’ils ont encore de vivre en France.

Les Français se sont laisser submerger par toutes les foucades, par toutes les marques de mépris que leur adresse leur président, par toutes les injustices qu’il institue, par toutes les négligences qu’il commet et qui leur pourrit la vie : santé, éducation, sécurité, justice, opacité de la transparence promise...

Certes, tout cela n’est pas grand-chose par rapport à tous les malheurs qui frappent de nombreux pays sur tous les continents et qui dépassent de loin les petits et réels sentiments de peur, de gâchis, d’injustices ressentis par les citoyens français qu’ils mettent sur le dos d’un Président qu’ils n’aiment plus.

Quand on est avec ostentation le Président des riches, les millions de pauvres ne peuvent que ressentir de l’amertume et des aigreurs à l’encontre de celui qui avait promis une France nouvelle.

Chaque catégorie sociale a été déstabilisée par la politique ou l’absence de politique du Président MACRON qui a eu le grand tort de monopoliser le pouvoir encore plus que ses prédécesseurs. Le cumul des pouvoirs par un homme en démocratie entraîne sa mise en cause personnelle dans tous les échecs.

On ne se moque pas impunément de son peuple.

 

LES DEUX QUINQUENNATS MACRON

Quand les français ont voté pour le jeune et fringant candidat Emmanuel MACRON en 2017 ils ont voté pour un programme « RETROUVER NOTRE ESPRIT DE CONQUÊTE POUR BÂTIR UNE France NOUVELLE... »...document (ci-dessus).

Le premier quinquennat a allié la crise sanitaire mal gérée et un immobilisme de l’État qui a été ressenti comme une duperie : rien ne bougeait et le pays s’enfonçait dans le « déclassement » .

Les citoyens ont commencé à ressentir le MÉPRIS présidentiel pour son peuple. Le changement annoncé fut un désenchantement si bien et si mal exprimé par les Gilets Jaunes. Le Pouvoir croyait qu’il pouvait se passer du Parlement, des Syndicats, du peuple, des élus...

Le premier quinquennat fut donc le quinquennat de la déception.

Désormais ce fut la totale défiance du peuple qui s'installait à l'encontre de tout le pouvoir en place.

Ce fut maintenant le deuxième quinquennat débutant où est constaté que rien ne change pour ne pas dire que le « nouveau » pouvoir est encore plus méprisant que le précédent et que les citoyens s’unissent contre un homme leur Président.

L'exercice de son pouvoir continue à gâcher les atouts du pays France : C’est une France humiliée où, en réaction, le citoyen se recroqueville sur lui-même puisqu’on ne lui donne pas l’espoir et les moyens de rebondir alors que la guerre est à ses portes, que les services publics s’effondrent (Santé, Sécurité, Éducation, Finances...)

Une déception au niveau individuel et collectif se digère sauf s’il n’y a rien du beau et du bon qui se profile à l’horizon

 

UNE LEÇON À MÉDITER

Les actifs et activistes qui ont eu pour des raisons très diverses voire opposées le courage de descendre dans la rue sans trop savoir pourquoi sont l’expression d’un malaise français multiformes.

Le Pouvoir enfermé dans sa Tour d’Ivoire nommé ÉLYSÉE-MATIGNON, cœur de Paris et de la France , ne veut pas tenir compte de cette situation.

Aussi, nous nous permettons de vous indiquer ci-dessous le lien des extraits d’un article limpide frappant paru des Échos de ce mardi 21 mars.

« Comment lutter contre l’appauvrissement français sous-titré ainsi :

En laissant notre territoire se désindustrialiser, nous avons fait le choix d'une économie de services où les salaires sont bas, les compétences limitées et la productivité faible. Un cocktail qui explique l'appauvrissement des ménages français

https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/comment-lutter-contre-lappauvrissement-francais-1917532#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=idees2_edito&utm_content=20230321&xtor=EPR-6060-[20230321]

Nous allons assister au retour des promesses avec le « dossier » Travail qui était tellement présent dans la grogne qui s’est répandue dans la rue. Le Président MACRON a parachevé comme Ministre des finances puis Président la grande braderie des fleurons de l’Industrie française et là-dessus...on ne vous a pas tout dit !

Alors, comment le même Président avec une économie très affaiblie pourra-t-il dans un contexte politique démagogique qui promeut le "non-effort" redonner aux français goût au travail avec une feuille de paye plombée par les charges sociales du modèle social français inébranlable?

 

 

 

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20 mars 2023 1 20 /03 /mars /2023 14:00
UN CÉLÈBRE SYMBOLE DU TRAVAIL

UN CÉLÈBRE SYMBOLE DU TRAVAIL

 

 

 

 

 

LE DROIT AU TRAVAIL ET LES SANCTIONS PRIVATIVES DE LIBERTÉ

 

Nos anciens pénalistes avaient pour coutume de dire que la privation de liberté que constitue l’incarcération est assortie d’une autre perte de liberté non dite qui est la perte du droit de travailler. Le juge enferme un individu fautif pour le priver du droit de travailler.

Le préambule de la Constitution de 1948 inclus dans notre Constitution de 1958 stipule cette phrase porteuse d'espoir : « Chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi. »

Ce psychodrame de la réformette des retraites que nous subissons a donné l’occasion à des penseurs et élus de remettre en cause la notion même du devoir de travail puisque passer de 62 à 64 ans parait à nombre (?) de nos concitoyens une montagne infranchissable. Dans le projet de loi, pour certains salariés, pour des  causes de pénibilité, de maladies, de conditions exceptionnelles...un départ aménagé avant 62 ans est déjà aménagé.

Ceci atteste déjà de la vanité des auteurs du texte projet de loi dite à tort réforme des retraites qui voudraient de vouloir tout régler par un seul texte soumis au Parlement.

 

CONDAMNONS FERMEMENT LE DROIT  À LA PARESSE PRÔNÉ PAR MADAME SANDRINE ROUSSEAU

Ces grands penseurs hors sols ont donc exposé des théories inquiétantes car irresponsables telles que le droit à la paresse, ou le parasitisme social.

Prenons le cas de Sandrine ROUSSEAU, enseignante dans l’Enseignement supérieur chargée de Recherche et mère de famille (3 enfants) et en plus maintenant députée Vert qui a dit  "Oui au droit à la paresse, oui au droit à la retraite à 60 ans" et qui donc défend aussi le parasitisme spécial.

Au nom de la liberté d’expression, nous lui laissons l’entière irresponsabilité de ses dires et le choix de leur nuisibilité sur le plan social et économique.

Mais, nous devons dénoncer ce comportement de la petite bourgeoise privilégiée qu'est Sandrine ROUSSEAU.

Par ses déclarations, elle insulte gravement ceux qui par millions se lèvent le matin pour aller travailler et ont tant de mal à joindre les deux bouts. Ceux-là voient leur juste rémunération amputée de charges sociales qui feront vivre les paresseux de Madame Sandrine ROUSSEAU!

Désolé; Madame Sandrine ROUSSEAU, il ne faut pas faire croire que les indemnités chômage sont un moyen pour les individus d’éviter de travailler !!

De plus, vos dires constituent un délit d’incitation à la fraude et au hold-up sur les fonds des institutions qui gèrent les organismes sociaux du chômage, santé, assurance maladie...

Les déclarations de Madame Sandrine ROUSSEAU constituent donc l’expression répréhensible de la démagogie de bas étage qui vise à tromper un peuple déjà très à la peine.

Puisque Madame le la députée annonce aussi le droit au « parasitisme social », nous lui rappelons la définition du mot parasite : « organisme animal ou végétal qui se nourrit strictement aux dépens d'un organisme hôte d'une espèce différente, de façon permanente ou pendant une phase de sa vie »

Madame le, la députée, faites un peu d’introspection ou d’auto-critique...vos larges moyens d’existence ne sont-ils pas aussi l’expression d’un certain parasitisme ?

À Suivre:

OUI AU DROIT AU TRAVAIL JUSQU’À 64 ANS VOIRE AU-DELÀ

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19 mars 2023 7 19 /03 /mars /2023 11:20
DE L'EAU : LA FRANCE EN POSSÈDE LARGEMENT MAIS IL FAUT SE DONNER LES MOYENS POUR EN PRÉLEVER ET GÉRER LA RESSOURCE

DE L'EAU : LA FRANCE EN POSSÈDE LARGEMENT MAIS IL FAUT SE DONNER LES MOYENS POUR EN PRÉLEVER ET GÉRER LA RESSOURCE

 

 

 

 

LA COUR DES COMPTES MET LES PIEDS DANS L’EAU

 

L’EAU ; IL NE FAUT PLUS ATTENDRE, IL FAUT AGIR ET, SUR CE SUJET, C'EST L'ÉTAT ET LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES QUI DOIVENT EXERCER LEURS COMPÉTENCES

Suite de :

https://www.olonnes.com/2023/03/l-eau-un-bien-commun-vital-un-combat-ou-il-y-a-des-tricheurs.html

 

Depuis des années nous avons beaucoup entendu parler des scandales autour de l’eau : marchés publics, arnaques...mais rien ne bougeait.

Le monde s’agite enfin un petit peu autour de l’eau et même la Cour des Comptes y va de son plongeon.

En effet, dans son rapport annuel 2022 qui vient de paraitre, La Cour des Comptes vient d’en rajouter un grand verre dans le débat qui s’ouvre ou s’entrouvre sur la gestion de l’eau en France.

C’est pourtant carrément une alerte que lance la Cour des Comptes.

Voir le document dans son intégralité :

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/63651

 

L’EAU : UN ENJEU NATIONAL

Enfin, l’eau est reconnue comme un enjeu national et cela va donc bien au-delà de la pleurnicherie des médias sur un risque très hypothétique de sécheresse.

D’abord et enfin, le risque de pénurie d'eau en France est abordé par la Haute Juridiction.

Ce rapport, même s’il ne restera qu’un rapport, a au moins le mérite d’exister et d'être sérieux et crédible et il a aussi l’avantage de décrire des points rarement analysés en indiquant là où le bât blesse : 

« Une organisation inadaptée aux enjeux de la gestion quantitative de l’eau »

« La gestion quantitative de l’eau, prise sous l’angle de la rareté de la ressource, est devenue une préoccupation majeure. »

Oui, c’est une préoccupation mais, en face, il faudrait des réactions adaptées des pouvoirs publics.

Des organismes locaux multiples ont des bouts de compétences et selon nos observations sur place et sur pièces ces comités et autres machins dont l’énorme AGENCE DE L’EAU, les SAGE, la Police de l’Eau ,les SDAGE, des dizaines de syndicats mixtes ou pas ...sont dotés d’une super-capacité de ne pouvoir rien faire de positif sauf celui de se congratuler sur les vicissitudes locales de pénurie d'eau, de la disparition de zones humides, des coûts de traitement exorbitants des eaux usées, des réseaux défectueux, des cours d’eau pollués...

 

DES INTÉRÊTS DIVERGENTS ET LA PRESSION DES LOBBYS

Il est vrai que les enjeux sont de taille et que certains  intérêts locaux et nationaux inavoués des uns et des autres rendent la tâche des élus qui veulent avancer quasiment inutiles.

Citons le rapport de la Cour des Comptes :

"D’ores et déjà, sur une partie croissante du territoire, la consommation liée aux différents usages excède, sur des périodes de  l’année de plus en plus longues, la capacité des milieux à fournir de l’eau, et les mesures de restriction prises par l’autorité administrative se multiplient. L’insuffisance de la ressource et l’intensification des usages de l’eau, dont la consommation augmente dans de nombreux territoires depuis 2017, exacerbent les conflits d’usage."

Que ces choses-là sont bien dites...mais maintenant il faut passer à l'action.

 

Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République, ne pensez-vous pas que ce sujet « vital » de l’eau est plus important pour l’avenir du pays, de ses habitants, de son économie que votre réformette des retraites qui fait tant de bruit ?

Ce projet de réformette fait perdre trop d'énergie dont les citoyens ont besoin pour résoudre le problème des risques de pénuries d'eau, de la qualité de celle-ci, de sa distribution...Là, il y a bien un coup de pied à donner dans la fourmilière des lobbys qui s'agitent impunément.

 

 

 

L’EAU EN FRANCE : ATTENTION, ON VA COULER !
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10 mars 2023 5 10 /03 /mars /2023 21:41

AVANT

 

UNE DÉCENNIE DE HONTE SUR L'ANCIENNE COMMUNE

 

DE CHÂTEAU D'OLONNE...PUIS L'ESPOIR

 

L' année 2010 ont consacré le transfert de la Clinique dite du Val d'Olonne à Olonne-sur-Mer au sein du Pôle Santé avec l’abandon pur et simple du site où seuls régnaient les squatters, le mépris du maire de la commune de Château d'Olonne et de son équipe dans un climat malodorant d'affairisme, de prise illégale d'intérêts...Rien n'était possible à faire sur ce site...c'était une volonté du maire de ne rien faire ! Nous ne saurons jamais à qui a profité le crime...la page est tournée ! L'heure est donc à l'oubli d'un passé peu glorieux. Regardons l'avenir : une Agglomération en Marche !

L'ABANDON INDIGNE ET MAGOUILLEUX ...RIEN N'ÉTAIT FAISABLE SUR CE SITE POURTANT CONVOITÉ

L'ABANDON INDIGNE ET MAGOUILLEUX ...RIEN N'ÉTAIT FAISABLE SUR CE SITE POURTANT CONVOITÉ

UNE DES VUES DE L'INTÉRIEUR

UNE DES VUES DE L'INTÉRIEUR

LA VERRUE QUI A DÉFIGURÉ L'ENTREÉE DE VILLE DIX ANNÉES DURANT

LA VERRUE QUI A DÉFIGURÉ L'ENTRÉE DE VILLE DIX ANNÉES DURANT

UNE BELLE FIN POUR UNE VERRUE DÉFIGURANT L'ENTRÉE DE VILLE
2016 : ÉTAT DE LA VERRUE QUE LES ÉLUS DE L'ÉPOQUE ONT LAISSÉ PROSPÉRER

2016 : ÉTAT DE LA "VERRUE"QUE LES ÉLUS DE L'ÉPOQUE ONT LAISSÉ PROSPÉRER

 

LE FUTUR

2023 : UN GRAND CHANTIER EN COURS ET UN PROJET INTÉRESSANT

QUI L'EÛT CRU ?

UNE BELLE FIN POUR UNE VERRUE DÉFIGURANT L'ENTRÉE DE VILLE
C'ÉTAIT DONC POSSIBLE

C'ÉTAIT DONC POSSIBLE !

VUE SANS LA VERRUE DES ANNÉES QUI SUBSISTA DONC JUSQU'EN 2022...SOUHAITONS LA RÉUSSITE DE CE PROJET

VUE EN 2023 SANS LA VERRUE DES ANNÉES QUI SUBSISTA DONC JUSQU'EN 2022...SOUHAITONS LA RÉUSSITE DE CE PROJET !

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 21:18
EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

 

 

 

 

 

DES RÈGLES NOUVELLES NON PAS D’INTERDICTION DE CIRCULER MAIS ÉLABORÉES POUR MIEUX CIRCULER ET MIEUX RESPIRER

 

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2023/03/stationnement-deplacements-il-faudra-accepter-de-changer-nos-comportements-pour-mieux-vivre.htm

 

Il faut aménager les Centre-Villes et faire en sorte qu'ils demeurent vivables et attractifs : il faut réussir à satisfaire

Pour atteindre cet l'objectif ambitieux mais nécessaire la méthode n’est pas de contraindre mais d’améliorer la qualité de vie de tous sédentaires, visiteurs, vacanciers, travailleurs, enfants, adultes, valides, handicapés....

Une première batterie de textes législatifs et réglementaires est mise en place ! Il y en aura d’autres qu s'impose déjà au niveau national et européen  :

  • Loi Climat et Résilience
  • Loi d’orientation des Mobilités
  • Les normes européennes qui datent de 2008

...

Il faudra y passer, savoir accepter.

Il faudra que les responsables écoutent et agissent sans émettre de diktat.

 Il y aura donc des efforts d'écoute à faire tant au niveau des élus qu’à celui des citoyens.

Il faut ien savoir que toutes les mesures pour améliorer auront un coût : les aménagements bien sûr mais aussi les transports publics de demain déjà "en marche"...et nos chères habitudes !

Mais reconnaissons qu’il n’est pas normal, par exemple, d’avoir des pistes cyclables et à un mètre d’elles des cyclistes sur la chaussée.

Comme, il n’est pas normal d’avoir une piste cyclable qui s’arrête brutalement. !

Que de chemin à parcourir ensemble !

 

GÉRER INTELLIGEMMENT LE CHANGEMENT ; RENDRE DES RÈGLES ACCEPTABLES AVEC DES MESURES D’ACCOMPAGNEMENT ADAPTÉES, NÉGOCIÉES, ACCEPTÉES

Comme au niveau national y a une batterie de textes législatifs et réglementaires contraignants et au niveau local une situation qui impose des règles aussi contraignantes il doit y avoir en contrepartie petit à petit une batterie de mesures d’accompagnement pour faire passer la pilule de la chère voiture qui reste au garage.

Il doit y avoir des exceptions pour les personnes qui ont des difficultés de déplacement.

Évidemment tout cela nécessite le renforcement coordonné voire la création de transports urbains nouveaux adaptés avec des véhicules non polluants et les arrêts à la demande, des parkings à la périphérie...

Nous sommes tous concernés nous devons tous participer et collaborer au changement qui est une obligation de santé publique et de sécurité.

 

RÂLER NE SERT À RIEN...C’EST CEPENDANT UN DROIT, UNE LIBERTÉ CONDITIONNÉE À CELLE DE PROPOSER, D’AIDER AU CHANGEMENT, DE PARTICIPER, D’IMAGINER ET D’INVESTIR

LA VILLE DE PARIS NE S’EST PAS FAITE EN JOUR : il faudra de la patience, de la compréhension pour s’adapter et faciliter le changement

 

À DIFFUSER SANS MÉNAGEMENT

 

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5 mars 2023 7 05 /03 /mars /2023 21:36
NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

 

 

 

 

Rien que l'intitulé du document est aussi repoussant que bassement technocratique. Il ne cache qu'à moité son objectif inquisitoire et certainement inutile.

 

LES BANQUES : ATTEINTES GRAVES À NOS LIBERTÉS INDIVIDUELLES ET GROS RISQUES DE DIVULGATION DES DONNÉES PERSONNELLES DES CLIENTS DES BANQUES  

Suite de:

https://www.olonnes.com/2023/03/votre-banquier-auxiliaire-de-la-police-et-du-fisc.html

https://www.olonnes.com/2022/10/les-banques-n-aiment-plus-leurs-clients.html

En France, les banques ont donc accepté de sacrifier leurs devoirs de conseiller de leurs clients, leur devoir de confidentialité, devenant une annexe des services fiscaux et des services de sécurité (Police, Renseignements...).

 

LA BANQUE N’A PLUS DE CLIENTS. ELLE A DES VACHES À LAIT SOUS HAUTE SURVEILLANCE TAILLABLES ET CORVÉABLES

Donc, le client n’est plus un client, le conseiller de clientèle n’est plus un conseiller et nous, les simples citoyens, sommes contraints de devoir être leurs clients et dans l'obligation de leur confier toutes nos transactions et toutes nos petites économies.

Les droits reviennent aux banquiers, les devoirs incombent aux clients particuliers et aux personnes morales concernées.

Il y a le droit à erreur pour le banquier et pas de droit à l’erreur pour tous les déposants de fonds dans une banque...toutes dérives volontaires ou pas du client est sanctionnée par des frais mal encadrés par la loi et prélevés d’office sur ses comptes : 20 euros de pénalités pour, par exemple, 2 millions de clients cela fait 40 millions d'euros au profit de la banque.

 

QUELQUES PRÉCISIONS CHIFFRÉES SUR LES BANQUES ET LEURS CLIENTS

Les résultats des comptes des banques sont opaques à cause de nombreuses provisions pour risque difficiles à identifier. Mais quand on examine les chiffres ci-dessous il faut bien conclure en demandant humblement et fermement aux banques de mieux considérer leurs clients...elles travaillent pour et grâce à eux.

99% des français ont au moins un compte en banque

Près d’un français sur 2 est multibancarisé, c’est-à-dire qu’il a plusieurs banques

81 millions de cartes de paiement en France

Seulement 42 % des Français déclarent avoir confiance dans le système bancaire.

Résultats net 2022 pour BNP : dix milliards d'euros

 

UNE PROCÉDURE ET DES DEMANDES HORS NORMES. LES « OBLIGATIONS LAGARDE » NOUS MÈNENT OÙ EN MATIÈRE DE LIBERTÉS INDIVIDUELLES ?

Certes, on peut comprendre que la banque ait besoin de connaitre ses clients par exemple si un particulier demande un crédit il doit donner des garanties ne serait-ce que pour justifier de son domicile, ses revenus et de sa capacité d'assumer le remboursement de la somme empruntée.

Mais il est incompréhensible que, par exemple, pour une simple clôture de compte, le banquier invoque une « circulaire » de 2009 (version en vigueur au 29 mars 2021) pour justifier la collecte des informations très personnelles de son client.

Ces données  sont  introduites au niveau des ordinateurs des banques et elles iront on ne sait où et seront consultables par on ne sait qui sauf qu'on sait qu'il y a le fisc comme destinataire !

C'est un manque sérieux de professionnalisme. Pourquoi les banques maintenant ont-elles accepté cette contrainte et piègent-elles leurs clients pour les contraindre à répondre à un très long questionnaire fort indiscret.

D’ailleurs, ce type d’action auprès des particuliers n’a jamais empêché la fuite des capitaux et la circulation de l’argent sale.

Pour nous, une circulaire n’impose pas à une banque d’être l’auxiliaire de services de renseignements avec du personnel non qualifié pour ce type d’opération. Si elle acquiesce par devoir, obligation ou complaisance, cela ne devrait être possible que, dans des circonstances précises, en avisant clairement le client et sous contrôle judiciaire de l’utilisation et de la destination des informations collectées...

 

CHANTAGE ET DÉONTOLOGIE

Le client n'a pas à subir le chantage que nous avons vécu : pas d'informations sur une seule question...blocage du compte client !

Cette obligation généralisée comme toute autre n’a jamais  empêché les transferts illégaux de fonds par des politiciens, par des patrons d’entreprises en quête de paradis fiscaux pour échapper à l’impôt en France par des truands et trafiquants...

N’empêche que les demandes d’informations du « conseiller » se fondant sur les pseudo risques de blanchiment d’argent ou pire de financement du terrorisme sont ainsi manipulées maladroitement par un employé de banque.

Ce sont de sublimes HUMILIATIONS du client et un danger latent d’utilisation dévoyée de nos données personnelles de client faites par les banques.

La techno hiérarchie de la banque se soumet à BERCY et à des traités mais elle en oublie les bases du métier, sa déontologie :

  • Respect du client qui la fait vivre,
  • Mesures de protection des données personnelles,
  • Formation du personnel en contact avec la clientèle.

Nous devons faire cesser ce scandale et aussi protéger le personnel des banques contraint à cette basse besogne. Il doit abandonner son rôle d'inquisiteur.

Nous savions déjà depuis des décennies que les institutions bancaires françaises n’étaient pas enclin à instaurer en leur sein une vraie gestion des ressources humaines chargé d'exécuter les ordres cogités par des directions lointaines et hors sol ! Comme celle de faire la course à l'ouverture de succursales puis quelques années âpres d'en fermer des milliers ! C'est le client et le personnel des banques qui payent ces erreurs comme celles du dossier Jérôme KERVIEL, le scandale du CRÉDIT LYONNAIS et celui de la Banque DEXIA.

Aujourd’hui, les banques  franchissent un pas que nous devons aussi dénoncer pour protéger les 370 000 salariés du secteur bancaire chargés de faire appliquer strictement et bêtement des normes que nous jugeons pernicieuses et dangereuses pour toute la collectivité française.

Nous le démontrerons dans notre prochaine parution.

 

À SUIVRE ...

VOILÀ LE SCANDALE ET LE DANGER POUR TOUT CITOYEN : LE RISQUE IMPORTANT DE VOLS DE MILLIONS DE DONNÉES PERSONNELLES...ET LE FISC !

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27 février 2023 1 27 /02 /février /2023 17:05
UN SYMBOLE DU MAL ETRE

UN SYMBOLE DU MAL ETRE

 

 

 

CONSTATONS LE SCANDALE DE LA MALTRAITANCE DE NOS MÉDECINS GÉNÉRALISTES, VICTIMES DE LEUR CONFIANCE EN LA SÉCURITÉ SOCIALE,  MAIS SOIGNONS LE MAL QUI EST BEAUCOUP PLUS PROFOND

 

CONVENTION MÉDECIN SÉCURITÉ SOCIALE : ERREUR FUNESTE DES MÉDECINS DONT LES CONSÉQUENCES RETOMBENT AUSSI SUR LES PATIENTS

Le corps médical a accepté de dépendre totalement de la Sécurité Sociale pour « récupérer » ses 25 euros d’honoraires par visite.

Ce que n’imaginait pas les inventeurs de cette coopération scellée par une convention entre les parties c’est que cette solution de facilité pourrait tourner au cauchemar pour les médecins et pour leurs patients.

Les honoraires demandés au patient par un généraliste libéral pour une visite correspondent à la rémunération qui lui sera versée par la Sécurité Sociale.

Ils sont définis par la convention médicale signée entre les médecins libéraux et l'Assurance Maladie.

Il faut comprendre l’enjeu : sur 25 euros d’honoraires reçus pour une visite il reste au praticien « en net » entre 5 à 10 euros une fois ses charges payées. S'il est malade ou en congés  comme tout libéral il n'a pendant cette période aucun revenu...sauf s'il s'est assuré!

En échange du service rendu par la Sécurité Sociale les médecins doivent remplir les documents qui leur sont demandés ce qui leur permet d’avoir leur activité contrôlée et d’être « payés ».

Les médecins sont donc maintenant prisonniers et otages aux mains de de la Sécurité Sociale.

 

LES MÉDECINS ET LES ASSURÉS SOCIAUX PIÉGÉS, LA CAISSE SÉCURITÉ SOCIALE EST PLUS QUE VIDE

Depuis des décennies cette grosse machine Sécurité Sociale a des soucis de gestion et des dettes cumulées et bien camouflées !

Voir le dernier Rapport de la Cour des Compte alarmiste et alarmant. : « Une situation financière dégradée,

un redressement à engager »...c’est clair !

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/61636

Selon le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023, le déficit des régimes de base et du Fonds  Solidarité Viellesse « se réduirait » à 17,8 Milliards d’euros  pour 2022 et une prévision de 6,8 Milliards d’euros pour 2023.

Donc, pour assainir la situation il faut que la Sécurité Sociale fasse des économies douloureuses, injustes, par exemple :

  • en diminuant les remboursements dus aux assurés,
  • en privant les médecins d’une juste rémunération,
  • en frappant les mutuelles complémentaires santé de prendre en charge une part de plus en plus importante de ce qui reste à la charge des adhérents suite aux déremboursementx de ses clients adhérents.
  •  

SAUVEGARDER LE MODÈLE...NON, IL FAUT LE RÉFORMER

Les français demandent toujours plus d’État Providence...mais parfois la Providence devient L‘Enfer.

Il faudrait quand même que les français prennent conscience qu’il y a trop d’État qui ne sait que dépenser et qu’il devient nécessaire de réduire les compétences de l’État à ce pourquoi il était fait : les fonctions régaliennes : Justice, Sécurité, Monnaie.

Chacun et en premier les fonctionnaires savent que le pire des patrons, c’est l’État. C’est un dépensier : 58% du PIB est consommé par l’État endetté jusqu’au cou. C'est un irresponsable anonyme.

Cette situation est un danger pour tous.

 

SAUVEGARDER LE MODÈLE.SOCIAL...NON, IL FAUT D’ABORD LE REPENSER ET DONC LE RÉFORMER COMPLÉTEMENT

La « gratuité » des soins telle qu'elle existe est illusoire et source de gaspillages comme cela a pu être constaté avec la crise sanitaire

Donner du pouvoir et une partie importante de la richesse produite à des irresponsables, c’est condamner à terme le principe même de la protection sociale.

Ce jour, l’enjeu des honoraires des médecins généralistes n’est que la partie visible de l’iceberg du besoin de réforme totale du système.

Les principes de notre système de santé doivent être sauvegardés. Ils ne peuvent l’être que si nos dirigeants toutes parties confondues (Syndicats de salariés, organisations patronales, personnel de santé) s’attachent à aboutir à un accord de refondement de notre système santé.

Ce serait est plus important et sera plus payant qu’une fausse réforme des retraites.

Notre système de santé n’a pas besoin d’une rustine pour boucher le trou des honoraires insuffisants des médecins généralistes il a besoin d’une révision intégrale.

 

 

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