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21 mars 2023 2 21 /03 /mars /2023 12:32
DANGER TRAVAUX ! ...JUSQU'À QUEL ÂGE ?

DANGER TRAVAUX ! ...JUSQU'À QUEL ÂGE ?

 

 

 

 

 

UN PROJET DE LOI INCOMPRÉHENSIBLE ET DONC UN COMBAT SANS FONDEMENT

Suite de:

https://www.olonnes.com/2023/03/travail-un-droit-et-un-devoir.html

 

Excusez-nous, mais nous n’arrivons toujours pas à vraiment comprendre comment sur le projet de loi qui nous est si peu et si mal présenté peut-on bâtir un dialogue constructif ?

Comment un texte incompréhensible, par manque de 9 voix lors du vote et du rejet de la motion de censure, peut-il être considéré comme adopté ? ...sauf si, (ce qu’on espère sournoisement) une décision des Sages (Conseil d’État et Conseil Constitutionnel) l’annule !

Les citoyens ont glosé sur un texte qui est tellement incompréhensible que ses auteurs l’ont caché sous un titre qui n’a presque aucun rapport avec son objet (une escroquerie !) et que nous vous rappelons « Projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 »

À ce titre légal a été ajouté abusivement non par les rédacteurs du texte mais par les commentateurs journalistes «  portant réforme des retraites »....expression que vous ne retrouverez jamais dans le texte officiel...quand il sera publié ou oublié.

Vous pouvez juger par vous-même avec ce lien du document présenté à la Commission Mixte Paritaire Chambre des députés/Sénat.

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/dossiers/plrfss_pour_2023

Voir aussi notre document ci-dessous !

 

UN ÂGE LÉGAL DU DÉPART À LA RETRAITE...MAIS POURTANT C’EST BIEN LE SALARIÉ QUI ÉMET SON SOUHAIT DE PRENDRE SA RETRAITE

Il ne faut pas confondre cette notion toute théorique de "l’âge légal de départ à la retraite" avec la réalité.

Aujourd’hui le 21 mars 2023, en France, qui part donc en retraite exactement le jour de ses 62 ans ????

Or, dans ce texte fourre-tout du projet de loi composé de 20 articles avec des titres des sous-titres, sections, sous-sections...imbuvable, incompréhensible, il y avait perdu un article 7 qui traitait de l’âge légal de départ à la retraite sur lequel le bon peuple trompé a pu se défouler.

Ce fameux « âge légal du départ à la retraite » n’est qu’une « référence » pour liquider des droits à une ou des pensions ou rentes.

Dans cette liquidation entrent en jeu tant de paramètres : temps effectif de travail, santé, types de travail, adhésion à plusieurs caisses régime général et régimes complémentaires obligatoires et facultatifs, régimes tellement spéciaux ...mais pas d'âges de départ.

Pour le salarié, la réalité est donc plus complexe et plus bassement matérielle ...c’est la « liquidation de ses droits » avec les Caisses concernées où durant sa vie de travail il a « cotisé ».

Ce n'est pas une réforme que nous venons de voir discutée, approuvée mais une escroquerie dite réformette.

 

DES FONCTIONNAIRES EN POSTE APRÈS 62 ANS : IL Y EN A DÉJÀ !

MAIS MAINTENANT IL Y A ET AURA DES FONCTIONNAIRES EN ACTIVITÉ JUSQU’À 70 ANS ET PLUS !

Dans le projet de texte de loi qui fait débat il y a effectivement la partie concernant les retraites des fonctionnaires.

Mais ce régime spécial des fonctionnaires catégorie de fonctionnaires "sédentaires" l’âge limite d’activité est déjà de 67 ans !

Mais la surprise vient de ce projet de texte "approuvé" qui propose ceci à certains fonctionnaires :

« Toutefois, le fonctionnaire occupant un emploi qui ne relève pas de la catégorie active et auquel s’applique la limite d’âge mentionnée au 1° du présent article ou une limite d’âge qui lui est égale ou supérieure peut, sur autorisation, être maintenu en fonctions jusqu’à l’âge de soixante-dix ans. »

« Le bénéfice cumulé de ce maintien en fonctions et des reculs de limite d’âge prévus aux articles L. 556-2 à L. 556-5 ne peut conduire le fonctionnaire à être maintenu en fonctions au-delà de soixante-dix ans ». 

Cela aussi n’est pas une novation. Il y a déjà des fonctionnaires ou assimilés qui peuvent déjà  poursuivre leur activité au-delà de 65 ans.

Le bénéfice cumulé de ce maintien en fonctions et des reculs de limite d’âge prévus aux articles L. 556-2 à L. 556-5 ne peut conduire le fonctionnaire à être maintenu en fonctions au-delà de soixante-dix ans 

Décidément ce projet de loi qui peut devenir loi réserve bien des surprises !

PAGE DE PRÉSENTATION DU PROJET DE LOI...IL N4EST PAS QUESTION DE RÉFORME DES RETRAITES

PAGE DE PRÉSENTATION DU PROJET DE LOI...IL N4EST PAS QUESTION DE RÉFORME DES RETRAITES

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20 mars 2023 1 20 /03 /mars /2023 14:00
UN CÉLÈBRE SYMBOLE DU TRAVAIL

UN CÉLÈBRE SYMBOLE DU TRAVAIL

 

 

 

 

 

LE DROIT AU TRAVAIL ET LES SANCTIONS PRIVATIVES DE LIBERTÉ

 

Nos anciens pénalistes avaient pour coutume de dire que la privation de liberté que constitue l’incarcération est assortie d’une autre perte de liberté non dite qui est la perte du droit de travailler. Le juge enferme un individu fautif pour le priver du droit de travailler.

Le préambule de la Constitution de 1948 inclus dans notre Constitution de 1958 stipule cette phrase porteuse d'espoir : « Chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi. »

Ce psychodrame de la réformette des retraites que nous subissons a donné l’occasion à des penseurs et élus de remettre en cause la notion même du devoir de travail puisque passer de 62 à 64 ans parait à nombre (?) de nos concitoyens une montagne infranchissable. Dans le projet de loi, pour certains salariés, pour des  causes de pénibilité, de maladies, de conditions exceptionnelles...un départ aménagé avant 62 ans est déjà aménagé.

Ceci atteste déjà de la vanité des auteurs du texte projet de loi dite à tort réforme des retraites qui voudraient de vouloir tout régler par un seul texte soumis au Parlement.

 

CONDAMNONS FERMEMENT LE DROIT  À LA PARESSE PRÔNÉ PAR MADAME SANDRINE ROUSSEAU

Ces grands penseurs hors sols ont donc exposé des théories inquiétantes car irresponsables telles que le droit à la paresse, ou le parasitisme social.

Prenons le cas de Sandrine ROUSSEAU, enseignante dans l’Enseignement supérieur chargée de Recherche et mère de famille (3 enfants) et en plus maintenant députée Vert qui a dit  "Oui au droit à la paresse, oui au droit à la retraite à 60 ans" et qui donc défend aussi le parasitisme spécial.

Au nom de la liberté d’expression, nous lui laissons l’entière irresponsabilité de ses dires et le choix de leur nuisibilité sur le plan social et économique.

Mais, nous devons dénoncer ce comportement de la petite bourgeoise privilégiée qu'est Sandrine ROUSSEAU.

Par ses déclarations, elle insulte gravement ceux qui par millions se lèvent le matin pour aller travailler et ont tant de mal à joindre les deux bouts. Ceux-là voient leur juste rémunération amputée de charges sociales qui feront vivre les paresseux de Madame Sandrine ROUSSEAU!

Désolé; Madame Sandrine ROUSSEAU, il ne faut pas faire croire que les indemnités chômage sont un moyen pour les individus d’éviter de travailler !!

De plus, vos dires constituent un délit d’incitation à la fraude et au hold-up sur les fonds des institutions qui gèrent les organismes sociaux du chômage, santé, assurance maladie...

Les déclarations de Madame Sandrine ROUSSEAU constituent donc l’expression répréhensible de la démagogie de bas étage qui vise à tromper un peuple déjà très à la peine.

Puisque Madame le la députée annonce aussi le droit au « parasitisme social », nous lui rappelons la définition du mot parasite : « organisme animal ou végétal qui se nourrit strictement aux dépens d'un organisme hôte d'une espèce différente, de façon permanente ou pendant une phase de sa vie »

Madame le, la députée, faites un peu d’introspection ou d’auto-critique...vos larges moyens d’existence ne sont-ils pas aussi l’expression d’un certain parasitisme ?

À Suivre:

OUI AU DROIT AU TRAVAIL JUSQU’À 64 ANS VOIRE AU-DELÀ

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 21:18
EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

EST-IL INTEDIT D'INTERDIRE ?

 

 

 

 

 

DES RÈGLES NOUVELLES NON PAS D’INTERDICTION DE CIRCULER MAIS ÉLABORÉES POUR MIEUX CIRCULER ET MIEUX RESPIRER

 

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2023/03/stationnement-deplacements-il-faudra-accepter-de-changer-nos-comportements-pour-mieux-vivre.htm

 

Il faut aménager les Centre-Villes et faire en sorte qu'ils demeurent vivables et attractifs : il faut réussir à satisfaire

Pour atteindre cet l'objectif ambitieux mais nécessaire la méthode n’est pas de contraindre mais d’améliorer la qualité de vie de tous sédentaires, visiteurs, vacanciers, travailleurs, enfants, adultes, valides, handicapés....

Une première batterie de textes législatifs et réglementaires est mise en place ! Il y en aura d’autres qu s'impose déjà au niveau national et européen  :

  • Loi Climat et Résilience
  • Loi d’orientation des Mobilités
  • Les normes européennes qui datent de 2008

...

Il faudra y passer, savoir accepter.

Il faudra que les responsables écoutent et agissent sans émettre de diktat.

 Il y aura donc des efforts d'écoute à faire tant au niveau des élus qu’à celui des citoyens.

Il faut ien savoir que toutes les mesures pour améliorer auront un coût : les aménagements bien sûr mais aussi les transports publics de demain déjà "en marche"...et nos chères habitudes !

Mais reconnaissons qu’il n’est pas normal, par exemple, d’avoir des pistes cyclables et à un mètre d’elles des cyclistes sur la chaussée.

Comme, il n’est pas normal d’avoir une piste cyclable qui s’arrête brutalement. !

Que de chemin à parcourir ensemble !

 

GÉRER INTELLIGEMMENT LE CHANGEMENT ; RENDRE DES RÈGLES ACCEPTABLES AVEC DES MESURES D’ACCOMPAGNEMENT ADAPTÉES, NÉGOCIÉES, ACCEPTÉES

Comme au niveau national y a une batterie de textes législatifs et réglementaires contraignants et au niveau local une situation qui impose des règles aussi contraignantes il doit y avoir en contrepartie petit à petit une batterie de mesures d’accompagnement pour faire passer la pilule de la chère voiture qui reste au garage.

Il doit y avoir des exceptions pour les personnes qui ont des difficultés de déplacement.

Évidemment tout cela nécessite le renforcement coordonné voire la création de transports urbains nouveaux adaptés avec des véhicules non polluants et les arrêts à la demande, des parkings à la périphérie...

Nous sommes tous concernés nous devons tous participer et collaborer au changement qui est une obligation de santé publique et de sécurité.

 

RÂLER NE SERT À RIEN...C’EST CEPENDANT UN DROIT, UNE LIBERTÉ CONDITIONNÉE À CELLE DE PROPOSER, D’AIDER AU CHANGEMENT, DE PARTICIPER, D’IMAGINER ET D’INVESTIR

LA VILLE DE PARIS NE S’EST PAS FAITE EN JOUR : il faudra de la patience, de la compréhension pour s’adapter et faciliter le changement

 

À DIFFUSER SANS MÉNAGEMENT

 

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7 mars 2023 2 07 /03 /mars /2023 10:36
UN PLAN DE SAUVETAGE DES MOBILITÉS

UN PLAN DE SAUVETAGE DES MOBILITÉS

 

 

STATIONNEMENT, DÉPLACEMENT : IL FAUDRA CETTE FOIS ACCEPTER DE CHANGER NOTRE COMPORTEMENT POUR MIEUX VIVRE

Par exemple, dans une agglomération comme Les Sables d’Olonne, nous avons été habitués:

  •  à faire en sorte que chacun ne change rien de ses bonnes ou mauvaises habitudes,
  •  et à ce que les responsables de la Sécurité et de l’Urbanisme de ma Municipalité ne fassent eux aussi rien pour changer l’existant quitte à contraindre toute la population à endurer des situations extrêmement nocives...auxquelles elle s'habituait mal.
  •  

Ce n'est pas en ne faisant rien que la plaie béante de la circulation et du stationnement en Agglomération pourra guérir.

Osons constater cependant que le Centre-Ville et même sa périphérie deviennent inaccessibles de plus en plus souvent aux voitures. Il faut donc se résoudre que les choses puissent bouger. Une ville moyenne peut-elle se laisser envahir par les voitures et autres véhicules qui n'auront jamais assez de places pour stationner.

Constatons bien aussi que l’emplacement de la mer, la plage, le cœur de ville centenaire avec ses rues très étroites, les commerces de proximité...ne bougeront pas et sont tous à préserver et doivent demeurer accessibles à tous sédentaires et visiteurs.

Donc, pour pouvoir bouger et respirer, il va falloir accepter d’abord de modifier nos habitudes et examiner positivement le projet proposé aux Sablais et de participer à son amélioration.

Nous attendions en vain, depuis des mois, que les oppositions au Maire des Sables d'Olonne Yannick MOREAU se manifestent comme ils en eurent l'occasion lors des très nombreuses fois où il fut question de parkings de "dissuasions" sur le site de La Vannerie en entrée de ville.

Cette fois, cette occasion leur est donnée de faire des propositions sérieuses sur ce problème qui empoisonne la ville des Sables d'Olonne, ses habitants et commerçants depuis des décennies. Les  critiques faites par des opposants ces jours-ci par voie  de presse ne sont malheureusement pas accompagnées de contre-propositions constructives alors qu'il faut avancer vite...le début de l'afflux de visiteurs du printemps est aux portes de visiteurs  et nous avons déjà eu lors de ces dernières  vacances d'hiver les prémisses des difficultés de stationnement.

Un débat qui débute mal ? Soyons positifs et ensemble, faisons bouger les mentalités et  les mauvaises habitudes avec l'objectif d'améliorer très rapidement le cadre de vie dans l'agglomération.

 

PLUS JAMAIS CELA ! LA CIRCULATION ET LE STATIONNEMENT  IMPOSSIBLE

Rappemlons que dès le printemps 2022, aux Sables d’Olonne, nous avons subi des embouteillages avec des voitures figées, scotchées au bitume et il fallait parfois plus d’une heure pour faire le beau parcours des Atlantes au lac de TANCHET et, en prime, il y eut des répercussions de ces blocages sur tout le Centre-Ville.

Il y a, ainsi, eu de longs arrêts complets des véhicules à croire que les voitures stationnaient sur le remblai par plaisir pour permettre à leurs passagers d’admirer la mer au loin et la plage d’ailleurs invisible ou qu’ils ne voyaient d’ailleurs pas depuis leur siège dans leur voiture.

En même temps, les terrasses des cafés débordaient de monde venu respirer les vapeurs d’essence et autres gasoil.et mélange-maison de certains « deux roues » particulièrement nocifs.

Sérieusement, est-il encore possible d’admettre que les véhicules de secours puissent aussi être bloqués aux heures d'affluence ?

 

À SUIVRE...

DES RÈGLES NON PAS POUR UNE INTERDICTION DE CIRCULER MAIS ÉLABORÉES POUR TENTER DE MIEUX CIRCULER ET MIEUX RESPIRER

 

À DIFFUSER SANS MÉNAGEMENT

 

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6 mars 2023 1 06 /03 /mars /2023 17:44
PEUT-ON FAIRE CONFIANCE ?

PEUT-ON FAIRE CONFIANCE ?

 

 

 

VOILÀ LE SCANDALE ET LE DANGER POUR TOUT CITOYEN 

Suite de:

https://www.olonnes.com/2023/03/votre-banquier-auxiliaire-de-la-police-et-du-fisc.suite.html

 

LE RISQUE RÉEL ET IMPORTANT DE VOLS DE MILLIONS DE DONNÉES PERSONNELLES...ET LE FISC !

L' information a été tardive et jamais démentie : le danger d’atteinte grave aux libertés individuelles pour tout citoyen n’est donc pas écarte.

La Direction Générale des Finances Publiques (le fisc) a essayé, en 2021, de se ménager un accès à l’ensemble des opérations bancaires sur tous les comptes de France.

Votre banquier vous contraint maintenant à remplir un formulaire qui alimente en informations le fisc, la justice...

Mais le fisc a tenté d'obtenir un accès direct et permanent à toutes les opérations réalisées sur l'ensemble des comptes bancaires ouverts en France : virements, dépôts, chèques émis ou encaissés, sur des années, jusqu'à dix ans après la clôture du compte. La totale !

Il s'agissait de faire évoluer, sur le plan technique, le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba).

Créé en 1971, informatisé en 1982, mis à jour en 2002, le Ficoba liste tous les comptes bancaires ouverts en France : comptes courants, comptes d'épargne, comptes titres, etc. Il contient actuellement près de 800 millions de références, dont 300 millions de comptes actifs. Les établissements bancaires sont obligés de l'alimenter. Il est utilisé par les services des impôts, mais aussi par la police et les organismes de sécurité sociale ou les notaires, afin d'identifier un bénéficiaire.

Grand spécialiste des finances publiques, le député Nouveau Centre Charles de Courson confirme : « Un tel projet n'a pas été évoqué au Parlement. C'est une réforme qui n'aurait pas de base légale, a priori. »

La CNIL, Commission Nationale Informatique et Libertés,  n’a pas été consultée alors qu’une extension aussi massive du Ficoba porterait indiscutablement atteinte au respect de la vie privée.

C'est une information d'une gravité extrême qu'une association citoyenne se doit de dénoncer fermement au nom des sacro-saints droits de l'homme et des atteintes ou des tentatives d'atteintes aux libertés individuelles soient perpétrées. Cela est maintenant possible et facile à réaliser ! ET S'AMPLIFIE

 

LA COLLECTE DES DONNÉES PERSONNELLES A DÉBUTÉ ET S'AMPLIFIE

A lire de site officiel service-public.fr : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2233 (voir ci-dessous) le nombre et la liste des informations personnelles collectées et rentrées au fichier Ficoba est limitée

Mais, le problème c'est que le banquier qui vous interroge ou vous fait remplir le fichier va beaucoup plus loin ??? alors de quel droit ?

- est-ce les banques qui trichent ? En profitant du dossier Ficoba ?

- est-ce que le particulier peut s'opposer aux désirs des banques d'en savoir plus et trop sur ses clients ?

- quelles protections existent sur l'exploitation de ces données et leur diffusion à des tiers ?

 

LE FICHIER FICOBA

 

Le fichier Ficoba liste tous les comptes bancaires ouverts en France : comptes courants : Également appelé compte à vue ou compte chèque. C'est un compte de dépôt ordinaire ouvert auprès d'une banque qu'on utilise pour effectuer des opérations courantes (retrait, virement, paiement).,comptes épargne, comptes-titres : Compte sur lequel le titulaire peut déposer des titres financiers (par exemple : actions, obligations, Sicav), etc.

Ficoba liste aussi les coffres-forts loués en France.

Il indique les opérations d'ouverture, de modification et de clôture d'un compte, en précisant les informations suivantes :

  • Nom et adresse de la banque qui gère le compte
  • Identité du ou des titulaires
  • Caractéristiques essentielles du compte (numéro, type de compte, etc.)
  • Date et nature de l'opération déclarée (ouverture, clôture, modification)

Il n'indique pas les opérations effectuées et le solde des comptes.

Les informations sont conservées pendant toute la durée de vie du compte et 10 ans après sa clôture.

Le fichier est renseigné et actualisé par les banques.

Vous ne pouvez pas vous opposer à l'inscription de vos comptes dans le Ficoba : mais qui sait cela ?

 

LE DANGER RÉEL : PIRATAGE ET USAGES ABUSIFS DE DONNÉES PAR DES PERSONNES AYANT ACCÈS À FICOBA

- La cybercriminalité 

Le 10 octobre 2022 nous apprenions que les données personnelles bancaires de plus d’un million de personnes avaient " fuité".

La fuite porte  des informations telles que les numéros de carte, les dates d'expiration, les numéros, les noms des titulaires de cartes, les noms des banques, les types de cartes, les adresses physiques, les adresses électroniques, les numéros de sécurité sociale et les numéros de téléphone.

- Qui a accès à Ficoba ?

Des milliers de personnes ont accès au fichier Ficoba : sont-elles toutes fiables ? Certainement pas !

- Quelles sont les mesures de sécurité prises ?

Par définition, on ne sait pas.

 

Ce qu'on sait de manière sûre, c'est que que les clients des banques se font régulièrement pirater à partir de données figurant sur leur RIB.

Donc, nous ne pouvons donner que des consignes de prudence et signaler à travers les réseaux sociaux les abus des banques, les risques encourus par leurs clients et exigez des pouvoirs publics que déjà le nombre de personnes ayant accès à Ficoba soit limité et qu'elles soient identifiées et responsabilisées.

Nous savons aussi maintenant que les banques collectent à l'insu de leurs clients plus d'informations que Ficoba le permet .

LE DOSSIER EST OUVERT ! RÉAGISSONS.

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5 mars 2023 7 05 /03 /mars /2023 21:36
NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

NOUS ADORONS LE TITRE : AUTO-CERTIFICATION D'UNE PERSONNE PHYSIQUE À DES FINS FISCALES

 

 

 

 

Rien que l'intitulé du document est aussi repoussant que bassement technocratique. Il ne cache qu'à moité son objectif inquisitoire et certainement inutile.

 

LES BANQUES : ATTEINTES GRAVES À NOS LIBERTÉS INDIVIDUELLES ET GROS RISQUES DE DIVULGATION DES DONNÉES PERSONNELLES DES CLIENTS DES BANQUES  

Suite de:

https://www.olonnes.com/2023/03/votre-banquier-auxiliaire-de-la-police-et-du-fisc.html

https://www.olonnes.com/2022/10/les-banques-n-aiment-plus-leurs-clients.html

En France, les banques ont donc accepté de sacrifier leurs devoirs de conseiller de leurs clients, leur devoir de confidentialité, devenant une annexe des services fiscaux et des services de sécurité (Police, Renseignements...).

 

LA BANQUE N’A PLUS DE CLIENTS. ELLE A DES VACHES À LAIT SOUS HAUTE SURVEILLANCE TAILLABLES ET CORVÉABLES

Donc, le client n’est plus un client, le conseiller de clientèle n’est plus un conseiller et nous, les simples citoyens, sommes contraints de devoir être leurs clients et dans l'obligation de leur confier toutes nos transactions et toutes nos petites économies.

Les droits reviennent aux banquiers, les devoirs incombent aux clients particuliers et aux personnes morales concernées.

Il y a le droit à erreur pour le banquier et pas de droit à l’erreur pour tous les déposants de fonds dans une banque...toutes dérives volontaires ou pas du client est sanctionnée par des frais mal encadrés par la loi et prélevés d’office sur ses comptes : 20 euros de pénalités pour, par exemple, 2 millions de clients cela fait 40 millions d'euros au profit de la banque.

 

QUELQUES PRÉCISIONS CHIFFRÉES SUR LES BANQUES ET LEURS CLIENTS

Les résultats des comptes des banques sont opaques à cause de nombreuses provisions pour risque difficiles à identifier. Mais quand on examine les chiffres ci-dessous il faut bien conclure en demandant humblement et fermement aux banques de mieux considérer leurs clients...elles travaillent pour et grâce à eux.

99% des français ont au moins un compte en banque

Près d’un français sur 2 est multibancarisé, c’est-à-dire qu’il a plusieurs banques

81 millions de cartes de paiement en France

Seulement 42 % des Français déclarent avoir confiance dans le système bancaire.

Résultats net 2022 pour BNP : dix milliards d'euros

 

UNE PROCÉDURE ET DES DEMANDES HORS NORMES. LES « OBLIGATIONS LAGARDE » NOUS MÈNENT OÙ EN MATIÈRE DE LIBERTÉS INDIVIDUELLES ?

Certes, on peut comprendre que la banque ait besoin de connaitre ses clients par exemple si un particulier demande un crédit il doit donner des garanties ne serait-ce que pour justifier de son domicile, ses revenus et de sa capacité d'assumer le remboursement de la somme empruntée.

Mais il est incompréhensible que, par exemple, pour une simple clôture de compte, le banquier invoque une « circulaire » de 2009 (version en vigueur au 29 mars 2021) pour justifier la collecte des informations très personnelles de son client.

Ces données  sont  introduites au niveau des ordinateurs des banques et elles iront on ne sait où et seront consultables par on ne sait qui sauf qu'on sait qu'il y a le fisc comme destinataire !

C'est un manque sérieux de professionnalisme. Pourquoi les banques maintenant ont-elles accepté cette contrainte et piègent-elles leurs clients pour les contraindre à répondre à un très long questionnaire fort indiscret.

D’ailleurs, ce type d’action auprès des particuliers n’a jamais empêché la fuite des capitaux et la circulation de l’argent sale.

Pour nous, une circulaire n’impose pas à une banque d’être l’auxiliaire de services de renseignements avec du personnel non qualifié pour ce type d’opération. Si elle acquiesce par devoir, obligation ou complaisance, cela ne devrait être possible que, dans des circonstances précises, en avisant clairement le client et sous contrôle judiciaire de l’utilisation et de la destination des informations collectées...

 

CHANTAGE ET DÉONTOLOGIE

Le client n'a pas à subir le chantage que nous avons vécu : pas d'informations sur une seule question...blocage du compte client !

Cette obligation généralisée comme toute autre n’a jamais  empêché les transferts illégaux de fonds par des politiciens, par des patrons d’entreprises en quête de paradis fiscaux pour échapper à l’impôt en France par des truands et trafiquants...

N’empêche que les demandes d’informations du « conseiller » se fondant sur les pseudo risques de blanchiment d’argent ou pire de financement du terrorisme sont ainsi manipulées maladroitement par un employé de banque.

Ce sont de sublimes HUMILIATIONS du client et un danger latent d’utilisation dévoyée de nos données personnelles de client faites par les banques.

La techno hiérarchie de la banque se soumet à BERCY et à des traités mais elle en oublie les bases du métier, sa déontologie :

  • Respect du client qui la fait vivre,
  • Mesures de protection des données personnelles,
  • Formation du personnel en contact avec la clientèle.

Nous devons faire cesser ce scandale et aussi protéger le personnel des banques contraint à cette basse besogne. Il doit abandonner son rôle d'inquisiteur.

Nous savions déjà depuis des décennies que les institutions bancaires françaises n’étaient pas enclin à instaurer en leur sein une vraie gestion des ressources humaines chargé d'exécuter les ordres cogités par des directions lointaines et hors sol ! Comme celle de faire la course à l'ouverture de succursales puis quelques années âpres d'en fermer des milliers ! C'est le client et le personnel des banques qui payent ces erreurs comme celles du dossier Jérôme KERVIEL, le scandale du CRÉDIT LYONNAIS et celui de la Banque DEXIA.

Aujourd’hui, les banques  franchissent un pas que nous devons aussi dénoncer pour protéger les 370 000 salariés du secteur bancaire chargés de faire appliquer strictement et bêtement des normes que nous jugeons pernicieuses et dangereuses pour toute la collectivité française.

Nous le démontrerons dans notre prochaine parution.

 

À SUIVRE ...

VOILÀ LE SCANDALE ET LE DANGER POUR TOUT CITOYEN : LE RISQUE IMPORTANT DE VOLS DE MILLIONS DE DONNÉES PERSONNELLES...ET LE FISC !

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4 mars 2023 6 04 /03 /mars /2023 17:58
LE CLIENT D'UNE BANQUE EN FRANCE PRÉSUMÉ COUPABLE DE BLANCHIMENT D'ARGENT ET DE TERRORISME

LE CLIENT D'UNE BANQUE EN FRANCE PRÉSUMÉ COUPABLE DE BLANCHIMENT D'ARGENT ET DE TERRORISME

 

 

LES BANQUIERS ET LEURS CLIENTS : UNE SITUATION DÉGRADÉE

 

Poursuivons notre pérégrination dans le monde bancaire en développant l'incroyable que nous avons vécu.

Ce voyage nous a projeté dans un monde où la Banque sur "ordre de l'État"ne cesse d'imposer au client des contraintes nouvelles tout en diminuant sans cesse la qualité du service rendu.

Suite de:

https://www.olonnes.com/2022/10/les-banques-n-aiment-plus-leurs-clients.html

D’un côté, nous sommes informés souvent de nouvelles mesures souvent contraignantes pour protéger nos données personnelles sur nos portables, sur nos ordinateurs personnels... et de l’autre côté, nous apprenons régulièrement que des hackers avaient encore réussi à s’introduire dans les ordinateurs soi-disant protégés et à voler des données personnelles médicales, financières, bancaires ...des particuliers, des entreprises, des services d’État...

Et maintenant, la Banque va imposer à son client de lui fournir des données personnelles sans respect des  garanties de confidentialité sur ces données !

 

LA BANQUE COLLECTEUR INTRAITABLE DE VOS DONNÉES PERSONNELLES : L’INQUISITION

FOURNITURE OBLIGATOIRE DE DONNÉES TRÈS PERSONNELLES

La liste des questions très personnelles posées par notre « conseiller » s’allongeait alors que notre rendez-vous n’avait comme seul objet celui de clore un compte d’assurance vie pour des besoins de trésorerie urgents !

Compte tenu des questions personnelles posées, nous avons décidé de cesser d'y répondre alors que notre « conseiller » n’était pas arrivé au bout des questions qu’il devait poser pour compléter toutes les rubriques figurant sur son écran.

 Simplement, nous voulions savoir où il voulait en venir et si nous étions dans l’obligation de répondre à toutes ses questions (notre situation de famille, impôts, revenus, placements...). La réponse du conseiller fut : c’est la loi, ce sont des circulaires qui nous imposent de faire cela.

Et le chantage a suivi : si nous ne répondions pas, il refuserait de s’occuper de notre dossier et de nous donner tout conseil : pas d’information, pas de conseil, pas d’opérations bancaires sur notre compte !!!

Nous avons donc réitéré simplement notre demande de justifier le pourquoi de cette inquisition et son fondement en lui rappelant que nous étions un client depuis plus de 30 ans ...Il avait donc eu largement le temps de s'informer sur notre situation.

Nous lui avons suggéré faire venir sa chef (e)!..il est effectivement sorti de son bureau. Son retour fut, sans sa chef (e), mais avec le document qui figure en illustration ci-dessus. Ce document est censé justifier son droit ou pire son devoir d’inquisiteur.

C’est la copie d’un arrêté de 2009, signé Christine LAGARDE, qui fixe les droits et devoirs des banques en matière d’informations « liées à la connaissance du client et de la relation d’affaires aux fins d’évaluation des risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme » 

D’abord ce qui se conçoit bien s’énonce clairement...du pur jus de l’énarchie cette circulaire !

Deuxièmement, et plus grave, le client est donc  présumé fraudeur ou terroriste par le seul fait qu'il est ou devient client d'une banque qui, elle  est prisonnière d’une circulaire qui porte atteinte aux libertés individuelles. Ce texte dont la valeur juridique est à relativiser contraint les banques à une action de collecte d'informations abusive voire humiliante pour celui qui pose la question et celui qui doit, sous la menace, y répondre

Pourquoi les banques ont-elles accepté ce rôle de "flic" qui n'est vraiment pas le sien ?

À SUIVRE...

ATTEINTES AUX LIBERTÉS INDIVIDUELLES DES CLIENTS D'UNE BANQUE ET DIVULGATION DE DONNÉES PERSONNELLES

 

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24 février 2023 5 24 /02 /février /2023 16:49
LE SÉNAT VA ENGAGER LE DÉBAT SUR CE PROJET DE LOI REJETÉ PAR LA MAJORITÉ DES FRANÇAIS

LE SÉNAT VA ENGAGER LE DÉBAT SUR CE PROJET DE LOI REJETÉ PAR LA MAJORITÉ DES FRANÇAIS

 

 

 

DE QUOI SE MÊLE LE LÉGISLATEUR ?

 

UNE LOI HORS SOL ET FOURRE TOUT : LES SENIORS À L’INDEX. ENCORE UNE USINE À GAZ !

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/02/loi-dite-reforme-des-retraites-un-debat-pour-rien-a-suivre-au-senat.html

Il faut entendre par « législateur » la chaîne des politiciens, technocrates, hauts fonctionnaires, rédacteurs, assistants parlementaires (pour les propositions de loi)... qui va de celui qui a eu l’idée d’un projet ou proposition de loi jusqu’à ceux qui les votent et prennent ainsi la décision d’accepter ou de refuser un texte de loi

En première lecture, cet « index » a été rejeté par les députés : 253 voix Contre, 203 voix Pour.

 Rien que l’appellation absconse du texte gouvernemental « PROJET DE LOI DE FINANCEMENT RECTIFICATIVE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR  2023 » est faite sciemment pour camoufler l’objectif du Chef de l’État qui est de faire passer en force son projet de réforme des retraites et bien d’autres choses par une procédure abusive (article 47-1 de la Constitution).

Il s’agit bien d’une volonté malsaine de tromper les français dans un projet fourre-tout que les parlementaires et les médias ne peuvent ni saisir en son intégralité ni en conséquence le voter en l’état...

Ce texte est un pur produit des technocrates qui nous dirigent afin d’accroître et de complexifier les tâches administratives pesant sur les entreprises qui sont créées pour produire des richesses et non pour subir des contraintes administratives supplémentaires.

 

NON À L’INDEX SENIOR QUI MET LES SENIORS À L’INDEX AVEC UN TEXTE LIBERTICIDE ET CONTRE-PRODUCTIF !

Le Sénat va aborder le 2 mars prochain le débat sur le projet de loi nommé abusivement « PROJET DE LOI DE FINANCEMENT RECTIFICATIVE DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR  2023 ». Le gouvernement ainsi confirme la création d’un « index seniors » annuel dans les entreprises de plus de 300 salariés. L’outil, calqué sur l’index d’égalité femmes-hommes, sera mis en place fin 2023. Il permettra de mesurer l’implication des grandes entreprises pour la formation, le maintien et le recrutement des salariés seniors

Voici comment se présente l’Index Senior camouflé dans le projet de loi en débat au Sénat

 

Article 2

I. – La section 4 du chapitre Ier du titre II du livre Ier de la cinquième partie du code du travail est ainsi rétablie :

« Section 4

« Indicateurs relatifs à l’amélioration de l’emploi des seniors

« Art. L. 5121-6. – L’employeur poursuit un objectif d’amélioration de l’embauche et du maintien en activité des seniors.

« Art. L. 5121-7. – Dans les entreprises d’au moins cinquante salariés, l’employeur publie chaque année des indicateurs relatifs à l’emploi des seniors, en distinguant leur sexe, ainsi qu’aux actions mises en œuvre pour favoriser leur emploi au sein de l’entreprise.

« La liste des indicateurs et leur méthode de calcul sont fixées par décret. »

D’abord, ce projet constitue une nouvelle façon complémentaire de charcuter le Code du Travail qui n’a pas besoin de cela. 2 articles de plus au Code du travail ! C'est inutile.

L'objet de cet article 2 du projet de loi s'il est adopté va encore accroître et complexifier les tâches administratives des entreprises ; c’est donc contre-productif.

C’est au chef d’entreprise qu’il appartient le devoir, la charge et la responsabilité de gérer son personnel. Ce n’est ni le rôle du Président de la République ni celui du Ministre du Travail.

Monsieur Emmanuel MACRON, Madame Élisabeth Borne, Monsieur Olivier DUSSOPT, vous n’avez jamais vraiment vécu la vie de l’entreprise...il existe déjà des textes qui protègent le salarié. Que pouvez-vous savoir de la relation entre employeur et salarié lié par un contrat de travail ?

D’abord, le senior dans une entreprise est un salarié commun autre. Pour son départ à la retraite il a des droits et des devoirs précisés dans son contrat de travail, dans le Code du Travail, dans les conventions collectives...

Ensuite un senior, dans une entreprise, fait partie intégrante de la richesse du capital humain de l’entreprise : c’est un modérateur, c’est une mémoire des process, c’est un collègue précieux, écouté voire tés souvent admiré.

Il peut être fatigué, « usé » mais il peut aussi tés souvent être en pleine forme et avoir envie de rester travailler au-delà de 62 voire de 64, 65 ans et plus comme il peut vouloir prendre sa retraite plus tôt.

Il y a des seniors qui sont moins productifs que les plus jeunes et d’autres seniors qui sont plus performants que des plus jeunes

Comment une loi supplémentaire peut-elle améliorer la gestion de tous ces paramètres humains ?

L’article que vous voulez ajouter au Code du Travail est donc inutile et porte atteinte aux libertés de l’employeur et du salarié déjà encadrées par la loi et autres textes de l’employeur et du salarié.de l’employeur et du salarié

Ajoutons que cette nouvelle contrainte va nécessiter des contrôles et donc des contrôleurs en plus !

Les deux modifications prévues dans le projet de loi sont donc inutiles et malsaines.

Nous répétons qu'un tel débat doit avant tout être négocié entre les organisations syndicales de salariés et les organisations professionnelles d'employeurs.

Un accord éventuel pourra éventuellement être ratifié et étendu par un texte législatif et ou réglementaire...Ce n'est pas non plus dans la rue que doit se régler le problème du départ en retraite des SENIORS !

 

À SUIVRE...

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