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19 septembre 2023 2 19 /09 /septembre /2023 20:45
C'ÉTAIT POUR 2023 ! 2024 N'AMÉLIORERA PAS LA SITUATION...DES NUAGES DANS LE CIEL DE FRANCE

C'ÉTAIT POUR 2023 ! 2024 N'AMÉLIORERA PAS LA SITUATION...DES NUAGES DANS LE CIEL DE FRANCE

 

 

 

 

UNE RENTRÉE POLITIQUE SOUS LE SIGNE DE LA DIFFICULTÉ BUDGÉTAIRE ET FINANCIÈRE DE LA FRANCE

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/09/le-budget-2024-une-equation-difficile-a-resoudre.html

 

LES CONTRAINTES 2023 NÉES DE 50 ANS DE LAXISME BUDGÉTAIRE

Le résultat de 50 ans de toujours plus de dépenses publiques conduit l'État Français à devoir se serrer la ceinture sans dire qu'il va mettre en place un plan d'austérité !

Comme cela fut clairement dit par Pierre MOSCOVICI Premier Président de la Cour des Comptes lors de sa présentation en juillet 2023 de la trajectoire financière de l'État :

Pour ceux qui veulent aller plus loin nous recommandons le document de la Cour des Comptes : Situation et perspectives des finances publiques;

https://www.ccomptes.fr/system/files/2023-06/20230629-RSPFP-2023.pdf

 

- La France au sein de la zone Euro ne peut plus se permettre d'afficher des divergences au sein de cette zone euro...la France  présente une trajectoire moins ambitieuse que celle de nos partenaires européens,

 - La France doit donc s'engager à maîtriser ses dépenses publiques ; il faudra faire porter les efforts pour obtenir 10 à 12 milliards d’économies à réaliser par an !

- Mais la France ne doit  pas dépenser plus mais dépenser mieux...et là il y beaucoup à retenir pour pouvoir répondre à la question : la France en Europe dépense plus que les autres pays pour obtenir une qualité des Services Publics dégradée,

- La trajectoire financière présentée par la France n'est pas crédible car elle est fondée sur des hypothèses notoirement trop optimistes et le France si elle ne rétablit pas ses finances publiques sera isolée au sein de l'Europe...la Cour des Comptes parle de divergences au sein de la zone Euro et c'est très grave.

Pour ceux qui veulent aller plus loin nous recommandons le document de la Cour des Comptes : "Situation et perspectives des finances publiques" :

https://www.ccomptes.fr/system/files/2023-06/20230629-RSPFP-2023.pdf

 

UN GOUVERNEMENT VEUT RASSURER LES CITOYENS POUR 2024 MAIS LA CRUELLE RÉALITÉ DE LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA FRANCE NE PERMET PAS L'OPTIMISME

Des cafouillages que nous avons entendus ces dernières semaines avec des communications divergentes entre l’Élysée, Matignon et  BERCY...il ressort :

- pour le budget 2024 qu'il n'y aura pas d'impôts nouveaux et même une promesse de baisse en...2025 ?? ce qui est intéressant mais seulement pour celui qui y croit ! et 2025 n'est pas 2024 !

- pas de hausse de la facture électricité, mission impossible...puisque la facture d’aujourd’hui est amoindrie fictivement par le bouclier tarifaire...

- une baisse des dépenses publiques de 16 milliards d'euros particulièrement en supprimant ou diminuant le "bouclier tarifaire" électricité, 

- 7 milliards de dépenses seront consacrés au plan Vert...

 

LE GOUVERNEMENT VA-T-IL FAIRE VOTER AU PARLEMENT UN BUDGET INSINCÈRE ?

Comment le Gouvernement pourra-t-il dégager des moyens pour rétablir une situation claire et saine et crédible ?

Nous découvrirons le déficit prévisionnel du budget en fin septembre : une seule chose est sûre, encore une fois, le budget de la France va être présenté avec un déficit supérieur au fameux 3% du PIB.

La situation financière de la France est dégradée : trop de dépenses, pas de recettes nouvelles possibles, une dette insoutenable qui va continuer à augmenter en 2024.

Les prélèvements obligatoires mettent la France en tête, pour la zone Euro, en battant tous les records avec un taux de 45,4  % du PIB. Or, il  n'est nullement question de rogner sur les dépenses publiques.

Les dépenses publiques culminent à 57% du PIB et la qualité des services publics paradoxalement ne cessent de se dégrader : hôpitaux, sécurité, armée, éducation...

La dette a franchi le cap symbolique et alarmant des 3 000 milliards d'euros soit 115% du PIB et les taux d’intérêts qui montent pour lutter contre l'inflation vont impacter fortement le budget : le poste "intérêts de la dette" va en 2024 dépasser le budget de l’Éducation !...il pourrait atteindre 50 milliards en 2024 et atteindre 70 milliards d'euros en 2027 ! Et face à cette situation le Président MACRON ne cesse de promettre des dépenses supplémentaires.

Face à cette situation et aussi face à l'inexistence de volonté ferme exprimée par le Gouvernement de redressement des finances publiques de la France, nous ne pouvons qu'afficher notre pessimisme.

Aujourd’hui,  déjà la Banque de France prend du recul et elle contredit les annonces des hypothèses gouvernementales pour l'élaboration du budget 2024 jugées trop optimismes pour ne pas dire mensongères particulièrement sur l'évolution de l'inflation et pour la prévision de la croissance. Les chiffres annoncées par la Banque de France sont inférieurs à ceux du gouvernement. Par exemple, pour le taux de la croissance la Banque de France annonce un taux de 0,9 % pour 2024 alors que le Gouvernement a opté pour un hypothèse de taux de 1,4 %. 

Déjà, la Cour des Comptes avait estimé que les prévisions gouvernementales étaient trop optimistes.

Maintenant, sortant de son habituelle réserve, la Banque de France contredit aussi le Gouvernement.

Tout cela n'est pas rassurant ! et n'est pas de bonne augure pour rétablir la confiance entre le peuple français et ses dirigeants : Président de la République et Gouvernement. Cela se traduit déjà par les dépôts record des français en épargne : signe patent de défiance par rapport au lendemain.

 

 

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18 septembre 2023 1 18 /09 /septembre /2023 10:07
LES COLLECTIVITÉS DOIVENT AVOIR UN BUDGET EN ÉQUILIBRE L'ÉTAT S'EST AFFRANCHI DE CETTE OBLIGATION ET LES FINANCES PUBLIQUES SONT MALADES

LES COLLECTIVITÉS DOIVENT AVOIR UN BUDGET EN ÉQUILIBRE L'ÉTAT S'EST AFFRANCHI DE CETTE OBLIGATION ET LES FINANCES PUBLIQUES SONT MALADES

 

 

 

 

 

LE BUDGET 2024 : UNE ÉPREUVE POUR LE GOUVERNEMENT ET LES CHIFFRES PARLERONT PEUT-ÊTRE ...LA FRANCE VA-T-ELLE TRÈS MAL ?

suite de

https://www.olonnes.com/2023/09/un-budget-2024-sincere-impossible.html

 

En cette fin septembre 2023, le Gouvernement achève dans la douleur en lâchant des informations parcellaires et contradictoires la préparation du budget 2024. L'heure de vérité ou celle du mensonge que nous attendons avec une grande inquiétude va sonner. En effet, les bruits de couloir ou fuites intentionnelles ou pas ne sont pas rassurantes.

Pourtant des barrières vertueuses avaient été dressées pour que ce deuxième mandat du Président MACRON se termine sur une bonne note...paroles... paroles...

L'État français est piégé : les caisses sont vides mais il ne faut pas le dire, la confiance en la solvabilité de la France est ébranlée,  le recours au crédit va donc être de plus en plus difficile, les engagement de bonne conduite au sein de l'Euro ne sont pas tenus et l'épée de Damoclès des sanctions est suspendue au-dessus de la tête des français : la France en danger !

 

DES VŒUX MAIS PAS DES ENGAGEMENTS CRÉDIBLES : IL Y A EU POURTANT LE "PROGRAMME DE STABILITÉ 2023/2027"

Rappelons que le Programme de Stabilité (PSTAB) 2023-2027 a été présenté en Conseil des ministres le mercredi 26 avril 2023. En acceptant ce programme, la France s'est engagée à revenir à  des pratiques vertueuses notamment en matière de déficit budgétaire donc de dette !

La France n'a pas tenu ses engagements.

L' objet du PSTAB était d'exposer les prévisions de croissance et la trajectoire des finances publiques à horizon 2027.

À partir de ces hypothèses, le gouvernement s'engageait donc au retour à l'orthodoxie budgétaire :

- au  retour à des "comptes publics normalisés" ...ces 3 mots accolés sont bien l'aveu que l'État français avait une conduite répréhensible en matière budgétaire. Cet engagement est conditionné par la fin des crises sanitaires (c'est fait !) et celles de l’énergie (c'est en cours),

-le déficit public reviendrait sous le seuil de 3 % de PIB à l’horizon 2027, et ce grâce à un redressement du solde structurel de 1,3 point entre 2023 et 2027 et à la dynamique attendue de l’activité,

- la dette publique s’inscrirait en baisse à l’horizon 2027, avec une stricte décroissance année après année sur l’ensemble de la trajectoire et à un rythme marqué à compter de 2026.

Ce "programme de stabilité" répond à une demande expresse de l'Europe qui craint les écarts de conduite  budgétaire de la France dont la dette dont on parle tant.

Et pourtant "quoi qu'il en coûte" a fait fi de ses engagements et poursuit sa politique dépensière.

 

UN BUDGET 2024 QUI DEVRAIT SE VOULOIR VERTUEUX ET NE LE SERA PAS : LA DETTE, UNE CATASTROPHE  !

Régulièrement comme d'habitude avec l'arrivée des vacances les médias nous ont abreuvés de nouvelles qui pouvaient nous faire croire que l'argent coulait à flot et que le Gouvernement pouvait distribuer des chèques à tout va malgré  "l'état dégradé de nos finances publiques" comme l'a dit le Président de la Cour des Comptes lors de sa présentation du rapport relatif à la situation et aux perspectives des finances publiques !

"Français cigales" partez en vacances en toute quiétude, tout va bien ! Faites comme nous au Fort de BRÉGANÇON ! les pieds dans l'eau, la tête dans les nuages ! mais la rentrée ne sera pas joyeuse !

Malgré cette situation critique, les  discours irresponsables du Gouvernement Élisabeth BORNE veulent nous faire croire qu’en augmentant les charges et en diminuant les recettes par rapport à 2023 il va présenter un budget vertueux c’est-à-dire simplement moins en déséquilibre que ceux de ces dernières années, moins de dettes, des économies sur les charges, pas d'impôts nouveaux et même moins d’impôts entre autres, pour les classes moyennes !

Or, quand on regarde et analyse le détail du projet de budget 2024 il faut constater qu'il n'y a aucun signe concret de volonté de redressement.

Les Gouvernements Macron successifs n’ont fait que suivre en pire leurs prédécesseurs dans la facilité et l'irresponsabilité.


C'est que la dette en 2023 a crevé le plafond catastrophique des 3 000 milliards d’euros. Cela n'a l'air de gêner personne mais il faut le dire et nous expliquerons dans nos prochaines parutions à nos concitoyens le grand danger que cela fait peser sur la France.

Pour ne pas créer de panique "financière" et pour cacher son incurie "quoi qu'il en coûte", le Gouvernement est obligé d'occulter  la dure vérité et les menaces qui pèsent sur la France et de faire de nouvelles promesses d'efforts de redressements dont on sait qu'elles n'engagent que ceux qui les écoutent.

 

À SUIVRE

 

MENACES TRÈS GRAVES SUR LA FRANCE QUI A TRÈS MAL À SES FINANCES PUBLIQUES

 

 

 

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3 septembre 2023 7 03 /09 /septembre /2023 18:30
2017...en 2023 LES FRA?ÇAIS N'Y CROIENT PLUS

2017...en 2023 LES FRA?ÇAIS N'Y CROIENT PLUS

 

 

 

 

 

 

APPEL AU BON SENS POUR UNE FRANCE NOUVELLE

 

Chaque jour apporte son lot de drames de la décivilisation et le pouvoir politique répond à cette situation par des pantalonnades : des réunions festives d'élus où les EGOs s’étalent sans pudeur, s’invectivent…Droite,  Gauche, Extrémistes, Nupes, Ecolos… Cela n'est pas à la hauteur de l'inquiétude des français, cela n’a plus de sens.

Ce n’est pas avec des partis et autres groupuscules déconsidérés que la Confiance et l’Autorité seront rétablies.

Ce n’est pas avec du vieux que l’on pourra reconstruire du neuf auquel les citoyens croiront.

Les idéologues qui ont conduit les français au bord du gouffre sont disqualifiés. Irrémédiablement. Ils veulent et réussissent encore à  survivre dans une indifférence résignée alors qu’ils n’ont plus aucune crédibilité.

Les Présidentielles de 2027 ? Mais  les citoyens « s’en foutent » !  ils veulent des Services Publics qui retrouvent le chemin de leur mission : offrir le service de qualité pour lequel ils ont été missionnés :

Une Éducation qui éduque, qui recivilise,

Une Justice protectrice des libertés,

La Sécurité : c’est le droit de sortir de chez soi à toute heure sans avoir peur, 

La Sécurité c'est aussi un service de santé et une protection sociale qui retrouvent et puissent exercer leurs fonctions gratifiées  et gratifiantes pour tous les français,

La Sécurité, ce sont aussi des forces de maintien de l'ordre admirées et respectées tant à l'intérieur qu'à l'extérieur,

Des énergies au service de tous.

...

 

LES MOYENS POUR ATTEINDRE CES OBJECTIFS

Ce ne sont pas des mesurettes, des réformettes, de beaux discours qui redonneront à la France son élan pour le renouveau promis en 2017 par Emmanuel MACRON :" bâtir une France nouvelle" ," retrouver notre esprit de conquête".

Cette France Nouvelle n'est jamais née. Ce fut une duperie.

Nous le répétons : la France est un pays qui a une richesse insoupçonnée mais qui, en 2023, est confisquée par un État aussi tentaculaire que dépensier et par des serviteurs aujourd’hui souvent trop indignes des fonctions qui leur sont confiées. 

Soyons logiques : Pourquoi le citoyen payerait-il encore toujours plus des impôts et des centaines de taxes s’il sait que les sommes ainsi collectées seront particulièrement mal dépensées par un État budgétivore, impersonnel et  donc irresponsable ?

Les citoyens rouvriront leurs bas de laine pour bâtir cette France nouvelle à condition  qu'ils puissent avoir à leur tête des chefs avec qui ils signeront le contrat de confiance.

Ce contrat devra comprendre au minimum l'engagement de la réforme de l'État, d'un plan de vraie décentralisation qui est déjà  inscrite dans la Constitution, d'un objectif chiffré de réduction des dépenses publiques.

Recherchons les hommes nouveaux capables de rétablir avec ce contrat la confiance, l’ordre, la justice...et la France mobilisée avec eux se redressera.

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2 août 2023 3 02 /08 /août /2023 18:47
BIEN SÛR, ÉCOLOGIE NE RIME PAS AVEC PLANIFICATION

BIEN SÛR, ÉCOLOGIE NE RIME PAS AVEC PLANIFICATION

 

 

 

 

 

NE PAS CONFONDRE PLAN ET PLANIFICATION

Il ne faut pas confondre un plan pour faire face à une situation grave qui nécessite de fixer un objectif pour sortir d’une passe difficile avec la folie des technocrates de vouloir tout prévoir et tout régenter y compris ce à quoi ils n’avaient pas pensé.

Nous pouvons penser que le Plan MARSHALL, le Plan MONNET...étaient des créations qui correspondaient aux besoins de la reconstruction de l’Europe et de la France après la fin de la deuxième guerre mondiale.  Il y avait tant de besoins qu’il fallait gérer les priorités dans un objectif : relancer la machine surtout en Europe.

Mais les nombreux autres plans annoncés répondent à l’utopie d’un moment : ce sont des plans tirés sur la comète.

Pour les réalistes qui veulent avancer, créer, bâtir, ce mot « plan »fait peur En effet, planification est synonyme d’échec : le plus spectaculaire fut, bien sûr, celui de l‘URSS dont les plans et la tentative de tout planifier furent un des paramètres de la faillite complète du système communiste. En France, le Premier Ministre Dominique de VILLEPIN a mis fin à la planification tous azimuts.

Les tentatives qui suivirent furent des échecs comme celui du plan énergie, du plan relance...

 

AVEC LE PRÉSIDENT MACRON, IL Y A LA RENAISSANCE DU "HAUT COMMISSARIAT AU PLAN" ET « LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE », LES PONPONS DES PLANS INUTILES

Pour le Chef de l’État, il fallait trouver à François BAYROU, l’allié pas objectif mais opportuniste d’Emmanuel MACRON, un os à ronger et quelques moyens financiers pour permettre à l’ami politique de l’instant T de survivre.

C’est ainsi qu’en 2020 Emmanuel MACRON a ressuscité le Haut-Commissariat au Plan. Pour 2023, c'est le contribuable qui finance ainsi par le biais de ce Haut-Commissariat les frasques de Monsieur BAYROU nommé haut-commissaire.

 Le bon peuple attend toujours que ce Haut-Commissariat élabore le plan miracle qui équivaudrait à ce que Madame SOLEIL n’osait même pas prédire : « de quoi demain sera fait ! »...pour éclairer Parlement, Gouvernement et Chef de l’État à savoir comment « Gouverner, c’est Prévoir ».

Il n’y a aucune justification à la création d’un tel Haut-Commissariat au Plan.

Celui-ci est ainsi défini légalement sur le site officiel vie-publique « Le Haut-commissaire au Plan est chargé d’animer et de coordonner les travaux de planification et de réflexion prospective conduits pour le compte de l’État et d’éclairer les choix des pouvoirs publics au regard des enjeux démographiques, économiques, sociaux, environnementaux, sanitaires, technologiques et culturel. »

Nous n'avons rien vu de remarquable et génial sortir de ce Haut-Commissariat .

Celui-ci est d’autant plus inutile que les français savent maintenant que le Chef de l’État décide de tout : Où et comment la France va ? Où l’Europe va ? où le Monde va...il n’a pas de conseil à recevoir !

Il sortira peut-être de cette officine clandestine électoraliste nommée Haut Commissariat au PLan des réunions et études qui feront des doublons avec les rapports sérieux de la Cour des comptes, les enquêtes INSEE, les enquêtes du Sénat et de L’Assemblée Nationale, les documents du Conseil Économique, Social et Environnemental, INSEE, Banque de France...

 

LA PLANIFICATION ÉCOLOGIQUE

Il vient de nous être annoncé maintenant un plan pour l’écologie au sein de France Nation Verte. Le 12 juillet 2023, Élisabeth Borne a présenté devant le Conseil national de la transition écologique (CNTE) les grandes lignes de la planification écologique d'ici à 2030, qui va bénéficier de 7 milliards d'euros supplémentaires dès 2024.

Il a bien été précisé que ce plan n’est ni figé ni budgété !

Heureusement, car en matière d’écologie, les paramètres sont particulièrement difficiles à cerner. Ils sont évolutifs comme on peut s’en rendre compte avec les engagements déjà pris par les accords internationaux déjà signés et les difficultés pour suivre les résultats.

La première Ministre a beau dire « nous sommes bel et bien sur le chemin de la neutralité carbone » et parler d’un « plan collectif et ambitieux pour l'écologie », il s’agit de verbiage donc pas d’un engagement ni d’une planification rigide...sage précaution !

 

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22 juillet 2023 6 22 /07 /juillet /2023 15:45
LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

 

 

 

 

 

LE TOUR D’HORIZON DU PRÉSIDENT D'EMMANUEL MACRON

 

L’exercice de communication du Président MACRON devant les Ministres ce vendredi 21 juillet était très difficile voire suicidaire. Il a refusé de faire campagne en 2022, il a refusé de faire le bilan de son premier quinquennat et il essaie apostériori maintenant de combler ce vide car il subit les conséquences du fait que la France ne sait pas où elle va. Nous reprenons l’analyse de ces 25 minutes d’intervention déroutante : aveux,  directives et auto-satisfaction...

 

ALLUSION AU DOSSIER DE L’EX-MINISTRE MARLÈNE SCHIAPPA ? EXEMPLARITÉ FONDS MARIANNE

De l’intervention du Président MACRON en préliminaire du Conseil des Ministres de ce 21 juillet 2023 nous retenons, entre autres termes abordés, le mot fort sur le plan éthique, le terme « EXEMPLARITÉ » qui, dans la bouche du Président MACRON, ne manque pas de sel.

Certes, morale et politique ne font pas très bon ménage et revenant sur ce thème le Président a pris soin de dire à l’adresse de ses ministres que ce sont les incartades des membres du Gouvernement qui sont une cause du fait que « les gens ont perdu la confiance » en leurs élus.

Nous ne nous étendrons pas sur le dossier du confident du Président son Secrétaire Général de l’ÉLYSÉE Alexis KOHLER inculpé depuis 2022 par le Parquet National Financier PNF au motif de prise illégale d’intérêts. Nous ne reviendrons pas non plus sur le dossier BENALLA !

Le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président.

 

Les ministres nouveaux et les autres plus anciens ont dû être étonnés de cette leçon de morale donnée par le Président qui a protégé Marlène SCHIAPPA y compris après l’enquête du Sénat qui a au moins eu l’intérêt de faire apparaitre presque toute a vérité.

On peut imaginer tout le mal que Marlène SCHIAPPA a pu faire quand nous, vous, tout le monde avons découvert qu’elle avait réussi à « escroquer » 2,5 millions d’euros d’argent public pris sur un reliquat de budget de l’année précédente (2020) .

Madame Marlène SCHIAPPA n’a pas détourné des fonds publics à son profit personnel  mais elle a distribué cette somme de manière totalement obscure et douteuse : deux enquêtes sont encore en cours une pénale devant le PNF et l’autre par l’Inspection Générale de l’Administration.

Nous notons que le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président. Rappelons que le PNF est un bout de juridiction d'exception où les magistrats qui officient ont un statut privilégié.

Il faut quand même ajouter que la distribution cette manne n’était pas innocente elle était faite pour aider des initiatives en général du monde associatif à proposer des projets d’actions de lutte contre la discrimination, le racisme ; le communautarisme...suite au meurtre atroce de l’enseignant Samuel PATY

Il est reproché à Madame Marlène SCHIAPPA d’avoir utilisé ses fonds pour financer un formidable outil de communication à son profit.

 

On comprend ainsi la gêne du Président à parler à ses ministres et à la France de son exigence d’Exemplarité  : efficacité, continuité, probité...

 

LE DÉLABREMENT DES FINANCES PUBLIQUES ?

Nous avons aussi retenu de ce propos présidentiel cette phrase que le Président a d’ailleurs eu du mal à prononcer et qui peut cacher une très mauvaise surprise « Nous aurons, dès la rentrée, à préparer en quelque sorte le pays pour un cadre exigeant et l’ordre en matière de finances publiques ».

Le "en quelque sorte" a eu du mal à sortir de la bouche présidentielle.

Les finances publiques françaises sont donc en désordre. Nous en prenons acte et posons la question : qu’avez-vous fait, Monsieur le Président, pour redresser cette situation que vous jugez maintenant critique « quoiqu’il en coûte ! »

Le Président MACRON semble souffrir d’amnésie et oublier son long passage au Ministère des Finances dont la période2014/2016 ? Qu’a-t-il fait pour sauvegarder les finances publiques ? Puis plus récemment comme Président il a fait flamber la dette publique et les déficits publics.

Décidément nous ne comprenons rien à la politique vue par le Président MACRON et le fameux« faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais ».

Le Président était bien au courant en aout 2022 des difficultés financières de la France quand il déclarait la fin de l’abondance :

« Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance, celles des liquidités sans coût, (…) la fin d’abondance de produits, de technologies qui nous semblaient perpétuellement disponibles, (…) la rupture des chaînes de valeur, (….) la fin de l’abondance de terre ou de matière et celle de l’eau »

 

Rappel REPLAY pour ceux et celles qui voudraient entendre ce monologue présidentiel de 25 minutes sur le quinquennat N°1 du Président et l’annonce un peu clandestine qu’il fixe un CAP cette fois après plus d’un an en fonction pour ce nouveau quinquennat.

 

https://www.youtube.com/watch?v=FaxoLme-1lM

 

 

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1 juin 2023 4 01 /06 /juin /2023 20:56
L'ÉLYSÉE ET BERCY EN 2023 : DEUX INSTITUTIONS QUI ONT PERDU LEUR CRÉDIBILITÉ AU NIVEAU MONDIAL
L'ÉLYSÉE ET BERCY EN 2023 : DEUX INSTITUTIONS QUI ONT PERDU LEUR CRÉDIBILITÉ AU NIVEAU MONDIAL

L'ÉLYSÉE ET BERCY EN 2023 : DEUX INSTITUTIONS QUI ONT PERDU LEUR CRÉDIBILITÉ AU NIVEAU MONDIAL

 

 

 

2022 : 45,4 % DU PIB ENGLOUTI PAR LES IMPÔTS EL LES COTISATIONS SOCIALES

Les résultats officiels définitifs des comptes 2022 de l’État commencent à tomber.

En matière de recettes tous les records sont battus en 2022 (source INSEE).

C’est un record de recettes pour l’État qui trouve en partie son explication et son origine par la reprise économique post COVID.

Sans polémique, c'est un constat dramatique pour la France, un risque qu'il faut avoir en tête par exemple pour expliquer la crise des retraites.

 

 

LA REPRISE DE 2022 : UNE AUBAINE IMMORALE POUR LES FINANCES PUBLIQUES : salaires en hausse, TVA boostée...

Une bonne part des impôts et cotisations sociales sont basées sur les salaires et sur la consommation TVA)... quand l’activité redémarre les rémunérations des salariés augmentent en masse et ceux-ci consomment plus dont payent plus de TVA sur leurs achats de produits de consommation et sur leurs investissements !

En 2022, le déficit public s'établit à 124,5 milliards d'euros, après 162 milliards d'euros en 2021, soit 4,7 % du produit intérieur brut : « nul mais en progrès ! » aurait pu écrire le Professeur Principal, la Cour des Comptes à son élève (l’État) !

Ainsi, les charges de fonctionnement nettes de l’État s’élèvent à 225,6 Md€ en 2022, en hausse de 18,9 Md€ par rapport à 2021 ! Il avait été question d'économies de fonctionnement !

L’impact de la forte hausse des prix à la consommation et plus particulièrement des prix de l’énergie, conséquences de la guerre en Ukraine est donc hyper favorable aux recettes de l’État  si celui-ci était raisonnable.

C’est immoral mais c’est comme cela ! Plus l’essence est chère, plus l’État s’en frotte les mains...cela lui évite de chercher à faire des économies...ce qui peut générer du mécontentement social, comme ce fut le cas pour les Gilets Jaunes.

 

LA POLITIQUE IMMORALE D’EMMANUEL MACRON ET BRUNO LE MAIRE

L’État poursuit sa fuite en avant du dépenser plus et souvent mal.

Pour l’État s’éviter aujourdhui de tenir ses engagements de faire des économies, c’est aussi immoral.

En effet comme il est dit ci-dessus en 2022, l’État se paye un déficit de 124,5 milliards d’euros qui ont fait que la dette continue à croître et dépasse les 3.000 milliards d’euros. Plus cela va, plus l’État vit à crédit et c’est la France qui passe sans cesse plus sous le joug des fournisseurs de crédit...souvenons-nous de la Grèce !

Au lieu d’utiliser l’aubaine de la croissance de ses recettes pour faire diminuer la dette de la France l’État joue les cigales et surcharge la dette avec son "quoi qu’il en coûte" poursuivi.

Le Président de la République et son Ministre des finances surchargent la barque France en 2023.

 

LES AVEUX SOUS PRESSION DE L’EUROPE ET DE LA FINANCE  : L’HABITUDE DU DÉFICIT BUDGÉTAIRE QUI DÉCRÉDIBILISE LA FRANCE

Le budget 2024 en préparation va être douloureux à expliquer aux français qui commencent à craindre les méfaits d’une dette dont le remboursement se fait avec de nouveaux emprunts...donc avec des taux qui ne cessent de croître.

Le Ministre des Finances fait des promesses qu’il ne tiendra pas...il en est ainsi non seulement avec les projets de budget 2024 où le ministre des Finances ose parler d’économies et de retour à un déficit budgétaire qui serait ramené en dessous de 3% du PIB.

En effet, le Programme de Stabilité (PSTAB) 2023-2027 a été présenté en Conseil des Ministres le 26 avril 2023.

Ce Programme de Stabilité présente les prévisions de croissance et la trajectoire de finances publiques que le Gouvernement s’est fixée à horizon 2027.

Cette trajectoire traduit l’objectif de retour à des comptes publics normalisés une fois les crises sanitaires et de l’énergie passées : le déficit public reviendrait sous le seuil de 3 % de PIB à l’horizon 2027, et ce grâce à un redressement du solde structurel de 1,3 point entre 2023 et 2027 et à la dynamique attendue de l’activité.

Le ratio de dette publique s’inscrirait en baisse à l’horizon 2027, avec une stricte décroissance année après année sur l’ensemble de la trajectoire et à un rythme marqué à compter de 2026...on rase gratis !

 

LE PROBLÈME : LE MONDE FINANCIER, LA COUR DES COMPTES, NE FONT PLUS CONFIANCE AU POUVOIR EN PLACE. ATTENTION AUX COTATIONS DE LA France !

La France est attendue au coin du bois par le monde implacable de la Finance.

Si le Président de la République et son ministre des Finances n’apportent pas des preuves tangibles du retour à une gestion saine de la France, celle-ci perdra toute crédibilité.

Puisqu’elle est en position de faiblesse de par ses mauvaises habitudes dépensières et de par une dette hors normes qui ne cesse de lui coûter plus cher, le danger de la mise sous-tutelle de la France existe concrètement et structurellement.

Ceci explique aussi pourquoi le bateau France tangue, que le capitaine semble incapable de redresser la barre...la France n'est plus écoutée car elle a trop menti et que ses dirigeants ne sont crédibles. Les chiffres eux ne mentent pas et les dernières annonces gouvernementales ont donc été accueilles avec un grand scepticisme.

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21 janvier 2023 6 21 /01 /janvier /2023 14:47

 

 

PROMESSES DE RÉFORMES DU CANDIDAT EMMANUEL MACRON : 

2017, 2022

 

 

IL Y A PLUS IMPORTANT QUE LA RÉFORMETTE SUR LES RETRAITES

 

VERSION MACRON CANDIDAT 2017

 

 

 

IL Y A PLUS IMPORTANT QUE LA RÉFORMETTE SUR LES RETRAITES

 

 

 VERSION MACRON CANDIDAT 2022

 

 

 

 

 

 

RETRAITES : UNE RÉFORME DONT LA JUSTIFICATION N’EST PLUS ÉVIDENTE. ELLE N’EST NI URGENTE NI, MÊME, PEUT-ÊTRE PAS VRAIMENT NÉCESSAIRE

 

 

SUR LA FORME : LA MÉTHODE NE PEUT QU’INCITER AU REJET

 

La réforme des retraites parait aujourd’hui plus un caprice présidentiel qu’un besoin réel et urgent du Pays. Cela est ressenti par nous tous.

Au nom de l’exemplarité, on ne peut demander au bon peuple de faire des efforts et sacrifices et ostensiblement ne pas en faire soi-même. Le « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ne passe plus.

Il y a des symboles qui comptent et qui font très mal dans l’opinion : des voyages pléthoriques inutiles, le fort de Brégançon, le recours jamais vu précédemment aux cabinets-conseil à coup de millions d’euros, un entourage pas toujours "transparent", un gouvernement promis resserré qui compte plus de 40 ministres ...alors que le Président MACRON avait promis la réforme de l’État et des économies au niveau de l'État.

 

SUR LE FOND : EST-CE LE RÔLE DU CHEF DE L’ÉTAT DE TENTER DE RÉGLER LES PROBLÈMES SOCIAUX ? CERTAINEMENT PAS.

 

LA PATRIE N’EST PAS EN DANGER SAUF SI LA GROGNE ENGENDRÉE PAR UNE GESTION HASARDEUSE DU PETIT PROBLÈME DES RETRAITES TRANSFORME LE PAYS EN CHAMP DE BATAILLE ET QUE LE BON FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS EST MIS EN GRAVE DANGER.

Dans la Constitution de 1958, le rôle du Président de la République (Articles 5 à 19) est ainsi clairement défini : il « veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État ».

Mais quand l’arbitre sort de son rôle et veut  modifier les règles du jeu, c’est l’arbitre qui est exclu du terrain.

La Patrie n’est pas en danger parce qu’il y a à plus ou moins long terme un déséquilibre du régime général des retraites et des inégalités très relatives entre les citoyens.

Par contre, elle est effectivement en danger à cause de sa dette, à cause de la Sécurité intérieure ébranlée et d’une Justice défaillantes et parce qu’il y a la guerre à sa porte.

Le Président Macron sort de son rôle constitutionnel d’arbitre et affaiblit inutilement la fonction présidentielle. Il y a plus et mieux à faire pour rétablir la France sur des points essentiels et prioritaires qui concernent les fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité intérieure et extérieure, la Justice et d’une manière générale le bon fonctionnement des Pouvoirs Publics.

Quand l’Arbitre sort de son rôle pour  modifier les règles du jeu, c’est l’arbitre qui est exclu du terrain.

Aucun texte n’autorise et n’oblige le chef de l’État à déterminer la politique en matière sociale et à se substituer aux partenaires sociaux qui gèrent déjà le chômage, la Sécurité Sociale, la formation professionnelle, les Prud’hommes...

Depuis 2017, celui qui est devenu Président de la République agite des projets de réforme à géométrie variable. Le projet présidentiel concernant les retraites de 2017 n’a plus rien à voir avec le projet 2023 ! Alors qui croire en matière de réforme des retraites MACRON 1 ? MACRON 2 ? Voir illustration ci-dessus.

Les analystes sont d’accord au moins sur un point : la réforme Macron est beaucoup plus souple que la réforme Sarkozy de 2010. Alors l’enjeu est bien moindre. Alors pourquoi un tel tapage ?

Puisque le Chef de l’État est l’Arbitre et il doit respecter les attributions des corps intermédiaires :  les retraites sont du domaine des partenaires sociaux que le Chef de l’État n’aime pas beaucoup. Mais les corps intermédiaires comme les élus, les syndicats ont des fonctions indispensables dans la démocratie.

 

SUPPLIQUE :

Monsieur le Président MACRON, laissez donc les représentants légitimes des syndicats de salariés et des employeurs, les représentants des forces vives du Pays décider, s’il y a lieu à réforme du régime général des retraites et comment celle-ci doit  opérée ?

 

MONSIEUR LE PRÉSIDENT, ÉCOUTEZ LA VOIX DE LA SAGESSE ET LA « VOX POPULI »

Les régimes de retraites complémentaires fonctionnent bien car le dialogue social y fonctionne bien.

Ils savent s’adapter, se réformer alors pourquoi tout ce chahut inutile, pourquoi jouer avec le feu en voulant imposer votre réforme des seules retraites du régime général.

Ce projet de réforme :  la majorité des français n'en veut pas. 

 

 

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10 janvier 2023 2 10 /01 /janvier /2023 15:58
"BÂTIR UNE FRANCE NOUVELLE" ! LE PRÉSIDENT PRISONNIER DU POUVOIR ET DE LA FRANCE INGÉRABLE

"BÂTIR UNE FRANCE NOUVELLE" ! LE PRÉSIDENT PRISONNIER DU POUVOIR ET DE LA FRANCE INGÉRABLE

 

 

 

LE CITOYEN EST DEVENU UN SPECTATEUR PASSIF, RESPONSABLE DU NAUFRAGE DE LA France

 

Nous pouvons et devons citoyennement critiquer le Chef de l’État actuel dans ses errances même si « Errare humanum est ».

Mais est-il seul responsable de la décadence actuelle de la France ?

Certes, effectivement, il a sa grande part de responsabilité, puisqu’en se présentant en 2017 avec un programme prometteur, il a accepté l’héritage de ses prédécesseurs et qu’il a tout fait ce qui était de son pouvoir pour manipuler les français afin d’accéder à cette fonction de Président de la République.

Ministre de l’Économie en 2014, il ne pouvait ignorer la tâche qui l’attendait et l’état et le mode de fonctionnement des institutions de la France.

Oui, il porte une lourde et double responsabilité : il a fait des promesses qu’il n’a pas tenues et il n’a pas géré la France pour bâtir la « France nouvelle » promise (voir illustration ci-dessus) .

Mais nous tous, le petit peuple râleur, devons aussi faire notre auto-critique...nous l’avons élu et réélu. Il fallait au peuple souverain, de qui tout pouvoir est issu se faire entendre, ne pas élire des députés fantoches, user et abuser des droits et devoirs du citoyen pour le chasser des ors du Palais Élyséen.

Mais le Président actuel  n'est pas le seul coupable car, nous tous citoyens, depuis des décennies, avons accepté et élu des Présidents qui n’ont pas porté la grandeur de la France.

Ce furent des tout petits, ivres d’honneurs, parfois même sans foi ni loi, comme François MITTERRAND, François HOLLANDE, Nicolas SARKOZY et même Jacques CHIRAC et Valéry GISCARD D’ESTAING. Ils ont usé et abusé de leur Cour de cireurs de bottes, ramasseurs de miettes de pouvoirs volés au peuple.

Certes, nos anciens Présidents avaient eu l’intelligence de comprendre que la France était ingouvernable mais ils n’ont rien fait pour la rendre gouvernable et pire, ils se sont accrochés au pouvoir et même parfois ils en ont redemandé ! Ils ont pris leur part du gâteau que la démocratie leur offrait et en revoulait.

Ainsi, peut-on aisément comprendre que la démocratie à la française fasse rire POUTINE et ses sbires et ses confrères dictateurs africains, sud-américains, asiatiques. 

Nos derniers Présidents ont pu prendre le peuple français en otage et le peuple s’est laissé berner. Il faut être conscient de cette situation et réagir.

 

LE PEUPLE FRANÇAIS SE DOIT DE SE RÉVEILLER ET SE METTRE VRAIMENT « EN MARCHE » POUR RÉCUPÉRER SON POUVOIR :  LE POUVOIR DU PEUPLE SOUVERAIN

La France déborde de grands serviteurs de l’État mais ils n’ont aucune chance d’accéder à la fonction suprême car ils ont ou étaient humbles, honnêtes, pas avides du pouvoir pour le pouvoir. Ils ne sont ou n’étaient ni manipulateurs, ni menteurs, ni..

Ils étaient et sont simplement des personnalités compétentes, exploitées et  dévouées à la chose publique.

 Ces grands serviteurs de l’État étaient honnêtes et attendaient des jours meilleurs où le peuple français dirait NON au système oligarchique mis en place et reprendrait le pouvoir, son pouvoir confisqué par cette oligarchie énarchique destructrice des richesses et vertus tant jalousées du Pays France.

Nous espérons cependant que ce réveil du peuple sera pour 2023 ! 

Le Tribunal Populaire est habilité à juger ceux qui ont confisqué le droit du peuple et le pouvoir.

Pour que l’espoir renaisse pour les français d’abord mais aussi pour tous les peuples qui attendent de la France qu’elle redevienne la France...le citoyen français avachi dans un pseudo confort acceptant qu’il y ait dans son pays des millions de « pauvres », des inégalités insupportables, des services publics dégradés...doit avoir le sursaut salutaire pour redresser et imposer une France exemplaire, créatrice et courageuse.

 

CE N’EST PAS IMPOSSIBLE EN 2023 !

 

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