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17 avril 2025 4 17 /04 /avril /2025 19:18
OH LIBERTÉ QUE DE CRIMES SONT COMMIS EN TON NOM !

OH LIBERTÉ QUE DE CRIMES SONT COMMIS EN TON NOM !

 

 

NOS GOUVERNANTS NOUS ROULENT DANS LA FARINE : LE CITOYEN DOIT EN AVOIR CONSCIENCE

La politique est l'art de savoir mentir.

Le Président Trump lui, pratique la menace.

Il nous montre comment la démocratie peut être dévoyée par ses faiblesses congénitales  trop de libertés tuent la liberté. Il peut avoir des réactions aussi nocives qu’imprévisibles. Il tente d’interdire à l’Université d’Harvard d’accueillir des étudiants étrangers. Donald Trump a accentué mercredi ses critiques contre l’Université de Harvard et son wokisme et la menace même de lui couper les subventions fédérales et de la priver du droit d’accueillir des étudiants étrangers si elle n’accepte pas de se soumettre à un contrôle en matière d’admissions, d’embauche et d’orientation politique. C’est cela que la statue de la LIBERTÉ doit endurer et nous la regardons avec tristesse.

C’est la dépendance du citoyen et d’institutions financées avec fonds publics et autres subventions dont l’attribution peut devenir aléatoire car soumise au bon vouloir de la tyrannie et foucades d’un Président.


EN FRANCE, C’EST  COPIE CONFORME DE CE QU'ENDURENT LES ÉTATS UNIS MAIS LA MÉTHODE EST DIFFÉRENTE ET PLUS SOURNOISE : LE TOUJOURS PLUS D’IMPÔTS ET TAXES...

Voilà ce qui doit aussi arriver en France d’une manière plus polie, plus adroite et plus vicieuse...certainement avec une forme plus acceptable que celle que met le Président TRUMP qui ne s’embarrasse pas de belles manières !


Mais le résultat sera toujours le même ! Les libertés sont fragiles...comme nous le subissons avec les médias, leurs services publics de l’information ou de la désinformation, la fermeture de la Chaîne C8...

Autre exemple : « on n’augmentera pas les impôts... »...vous avez entendu ce refrain répété à nouveau tant de fois depuis quelques jours par nos gouvernants...

Nous verrons que les impôts et surtout les taxes vont augmenter fortement...même si le prix du pétrole baisse !...vos factures d’énergie (électricité, eau, gaz et tout ce qui taxable et touche le développement durable et les mesures de lutte contre le réchauffement climatique)  vont augmenter, les retraités seront ponctionnés, la qualité des prestations des Services Publics va continuer à s’effondrer à l’exemple des Hôpitaux, de l’Éducation...Il faut subir passivement ?

Nos gouvernants ne savent pas faire d’économies. Ils ne savent que dépenser plus.

La Cour des Comptes vient, dans une nouvelle mise en garde, une nouvelle fois de dénoncer l’irresponsabilité du Gouvernement et même sa fourberie...mais la Cour des Comptes n’a aucun moyen pour sanctionner les menteurs et les tricheurs ! Elle prêche dans le désert. Qui écoute encore ses appels "au feu" ?

Faut-il continuer à subir ?

 

FLASH CONSEIL DES MINISTRES

LES COMPTES "TORDUS" DE 2024 SOUMIS À L’APPROBATION DU CONSEIL DES MINISTRES !

Nous vous incitons à lire le communiqué du gouvernement...un tissu d’hypocrisie. 

Le citoyen est pris pour un gogo qui se mener par une caste sans scrupule
https://www.info.gouv.fr/conseil-des-ministres/compte-rendu-du-conseil-des-ministres-du-16-04-2025#a973e26c-14e0-48ec-93ed-1ef28d542373-0

 

Tout va bien, les comptes sont redressés, la dette on n'en parle plus.....


 

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9 avril 2025 3 09 /04 /avril /2025 20:13
BERCY : LA FORTERESSE PLEINE D'INTOUCHABES IRRESPONSABLES FAUTIFS OU COMPLICES

BERCY : LA FORTERESSE PLEINE D'INTOUCHABES IRRESPONSABLES FAUTIFS OU COMPLICES

 

 


UNE CASTE D’INTOUCHABLES À PARIS, À BERCY ?


Dans nos précédentes parutions nous avons fait de notre stupéfaction (et le mot n’est pas assez fort) d’avoir trouvé les sources et aveux par exemple de Pierre MOSCOVICI, Président de la Cour des Comptes et du Haut Conseil des Finances Publiques, qu’il y a bien eu au moins pour les budgets 2023 et 2024 une méthode qui à permis à BERCY de s’affranchir des règles constitutionnelles, légales et réglementaires qui a abouti à camoufler des déficits dont nous ignorions l’ampleur. 

Le même Pierre MOSCOVICI a avancé devant la commission sénatoriale d’une part 180 milliards d’euros et d’autre part, la perte de crédibilité de l’État qui fixe des « trajectoires busgétaires » qui sont déjà dépassées avant d’avoir été annoncées.


Certes ces règles concernant l’exécution des budgets, les déficits...sont des matières avec lesquelles le public n’est pas particulièrement familiarisé et est donc insensible aux dérapages que nous aussi avons découverts et constatés.


De plus, la politique de la redistribution prélève sur les finances de ceux qui acceptent et accepterait de travailler plus pour qu’une élite autoproclamée de la France puisse s’enrichir et travailler moins.


Ainsi un « machin » le Haut Conseil des Finances Publiques est chargé d'apprécier le réalisme des prévisions macroéconomiques associées aux textes financiers et la cohérence de la trajectoire des finances publiques.et d’informer parlement, gouvernants, et donc les citoyens ..mais il est aux mains de cette caste.


Quel terrible aveu fait Pierre MOSCOVICI qui a dû, devant la commission sénatoriale chargée d’éclairer la dérive des déficits, reconnaitre  que le  budget  2024 a été une année noire pour les finances publiques ! 

Mais qui peut vraiment donc avouer être choqués par une situation impossible à bien cerner pour le commun des mortels jusqu’à ce qu’on lui explique que la situation est grave et que c’est lui qui va payer les pots cassés?

Le même haut fonctionnaire sur les prévisions de recettes et de dépenses ose dire que "malgré nos demandes" les réponses du gouvernement  "ont insuffisantes voire inexistantes pour examiner... »…Alors que faire, qui doit ou peut être sanctionné ?

Comment peut-on faire confiance à ce juge suprême des Comptes ; il suffit de voir le parcours et l’attitude de Pierre MOSCOVICI face aux parlementaires...il ose à peine leur révéler la vérité dans le scandale des dysfonctionnements des budgets 2023,2024...et bientôt 2025 !! Son pouvoir est limité à des rapports qui n'apportent aucune solution et l'institution Cour des Comptes a perdu son aura et son Président garde le droit de crier dans le désert sa désapprobation et au feu !


Ainsi nous en sommes réduits à voir se créer des organismes pour surveiller ceux qui doivent surveiller (ou devraient surveiller) déjà eux aussi des fonctionnaires de Bercy, la Cour des Comptes et fonctionnaires du  budget voté par le Parlement...en français... les Finances Publiques ...c’est le foutoir ! et rien n’annonce un changement : il y a eu un constat public mais pas de remède ni proposé, ni imposé.

En fin de compte, il y a tant de responsables connus de cette situation dénoncée mais pas ou trop de responsables et ils peuvent dormir tranquilles...affaire à suivre...qui mettra au pas la forteresse de BERCY ?

Ben voyons ...personne!

On comprend mieux le réflexe populaire et intuitif des gilets jaunes qui demandaient la suppression de la Cour des Comptes qui est inutile et impuissante ...mais le remède ne sera pas là...il faudra frapper plus fort !

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10 février 2025 1 10 /02 /février /2025 19:43
LES DÉPUTÉS TROMPÉS OU TROMPEURS

LES DÉPUTÉS TROMPÉS OU TROMPEURS

 

 

 

 

UN BUDGET 2025 TROMPEUR

 

Le titre du Journal « Le Monde » vient conforter le jugement que nous faisons dans nos analyses de la situation politico-financière de la France dominée par des prises de position de nos dirigeants plus idéologiques que financières :

« Le budget 2025 qui vient d’être adopté est une cote mal taillée, sans boussole, sans courage, sans remède structurel »

Sans remise à plat du financement de notre modèle social, la France ne pourra reprendre le contrôle de ses finances publiques ».

Il ne faut pas oublier que les dépenses de l'État représentent près de 60 % du PIB ! Donc, toute l'économie française est impactée par les dépenses publiques.

En matière de Finances Publiques, il y a des principes fondamentaux tels que l’équité que nous devons aux Constituants qui les ont gravés dans la DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN de 1789 et qui s'imposent encore aujourd'hui constitutionnellement :

 

L’IMPÔT DOIT ÊTRE JUSTE ET CONSENTI

Article 13.

- Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.

Article 14.

- Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

L’impôt doit être également réparti entre les citoyens en raison de leurs facultés.

 

 

LE PARLEMENT DE 2025 NE VEILLE PAS AU RESPECT DES PRINCIPES RAPPELÉS CI-DESSUS

Si l’on se remémore les longs débats sur le budget 2025 les représentants du peuple au Parlement parlent quasiment des seules dépenses de l’État alors qu’ils devraient se focaliser aussi et peut-être surtout sur les moyens du citoyen contribuable pour financer les dépenses de l’État et sur le bon emploi des recettes d'impôts et taxes et autres prélèvements.

Dans les longues et souvent confuses discussions qui ont eût lieu avant l’adoption forcée par le Parlement et par l’article 49 3 de la constitution nous n’avons pas entendu parler de cette notion d’impôt consenti de manière équitable mais surtout et presque exclusivement de défense de droits et budgets "acquis".

Pourquoi toujours plus de dépenses : Est-ce l’intérêt national ? Comment justifier cette fuite en avant irresponsable ? N’y a-t-il vraiment pas des dépenses choquantes que l’impôt ne doit pas financer ? C’est la vraie question à laquelle nos élus ne savent pas répondre ou ne veulent ou ne peuvent pas répondre.

Le Résultat est simple : « DÉPENSER TOUJOURS PLUS » est la raison de vivre et de survivre des élus de 2024 comme le fut celle de leurs prédécesseurs des dernières décennies.

 

LE DÉFICIT PRÉVISIONNEL DE 2025 INADMISSIBLE

L’ampleur du déficit prévisionnel du budget 2025 de l’État ajouté à celui de la Sécurité Sociale (161 milliards d’euros en tout) n’est pas admissible. De plus, le chiffrage des recettes 2025 attendues est dangereusement surévalué mais il sauve la face et permet aux représentants du peuple de dire qu’enfin le pays a un budget pour 2025 !

Pourtant, en 2025, l’État ne fera pas sérieusement d’économies et surtout ce qui est gravissime c’est que ses représentants n’ont pas abordé les vrais problèmes économiques qui font que le Pays est notoirement mal géré et est peut-être ingérable par nos élus actuels : le trop d’État dépensier et le trop d’État laxiste tuent l’État.

L’ÉTAT EN 2025 VA DONC CONTINUER À DÉPENSER PLUS QU’IL NE GAGNE. 

CE SERA INCOMPATIBLE AVEC LES EXIGENCES D’UN REDRESSEMENT INCONTOURNABLE DES FINANCES PUBLIQUES.

 

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7 novembre 2024 4 07 /11 /novembre /2024 22:25
GÉRER 7 MILLIONS DE SALARIÉS : MISSION IMPOSSIBLE !

GÉRER 7 MILLIONS DE SALARIÉS : MISSION IMPOSSIBLE !

 

 

ARRÊT MALADIE, LE DÉLAI DE CARENCE : QU’EST-CE ?

 

Un salarié est placé en arrêt maladie lorsqu’il ne peut pas poursuivre sa prestation de travail pour cause d’accident ou d'affection de santé. Cet arrêt entraîne la suspension du contrat de travail, donc le salarié ne perçoit plus son salaire en arrêt maladie.

 

Toutefois, il peut avoir droit à une indemnisation d’arrêt maladie versée par la CPAM Caisse Primaire d’assurance Maladie. Cette indemnité n’est pourtant pas immédiate : le salarié arrêté doit attendre un délai de carence.

Donc, la règle concernant les salariés du secteur privé sont soumis à un « délai de carence de 3 jours pour les arrêts maladie ». Cela signifie que les indemnités journalières de la Sécurité sociale ne sont versées qu'à partir du 4ème jour d'arrêt. Pendant ces 3 jours, le salarié ne perçoit en principe aucune rémunération.

Pendant ce délai, le salarié ne perçoit ni salaire ni indemnités : ce sont des jours de "carence" de revenus.

 

DANS LE SECTEUR PRIVÉ : LA NORME EN ABSENCE POUR CAUSE DE MALADIE : 3 JOURS DE CARENCE

Cela c’est la règle pour le régime général des salariés du Secteur Privé mais cette « rigueur » est souvent atténuée, c’est l’exception qui est largement répandue.

En effet, pour s'assurer que le salarié ne soit pas privé de revenu, certaines conventions collectives et des accords d'entreprise prévoient souvent la prise en charge totale ou partielle par l'employeur du délai de carence.

En réalité, et en simplifiant, dans le secteur privé, c’est le contrat de travail du salarié qui fait logiquement la loi. Le contrat de travail fait référence à la convention collective à laquelle il sera rattaché le salarié et ainsi celui-ci sait à quel régime il sera soumis en prenant connaissance de la convention collective à laquelle il est rattaché.

Le salarié et l'entreprise cotisent pour s'assurer contre le risque maladie. Ils ont des droits?

Ainsi, dans le secteur privé, un certain nombre de salariés voient leurs jours de carence couverts par leurs "complémentaires".

 

 

LE DÉLAI DE CARENCE DANS LE SECTEUR PUBLIC : 3 JOURS ?

Les salariés de la fonction publique titulaire (État, territoriale, hospitalière), ont droit à des congés de maladie rémunérés à plein traitement pendant 3 mois, puis à demi-traitement pendant 9 mois.

Il y a un délai de carence d’une journée

Les études, les expérimentations attestent que dans le secteur public les arrêts de courte durée pour « convenances personnelles ou autres » sont plus importante que dans le secteur privé

L'amendement soutenu par le gouvernement proposé en novembre 2024 à l'Assemblée nationale visant à fixer à 3 jours le délai de carence des fonctionnaires justifie ainsi la mesure : « cet amendement prévoit d'aligner le délai de carence dans la fonction publique sur le secteur privé, actuellement fixé à trois jours"

L’argument du Ministre de la Fonction Publique est celui qui est entendu depuis une dizaine d’années.

« L’écart s’est creusé entre la fonction publique et le secteur privé, puisque, aujourd’hui, les fonctionnaires sont absents en moyenne 14,5 jours par an contre 11,6 jours pour les salariés du privé »

C’est vrai que 2 jours de délais de carence de plus pour environ 7 millions de salariés...cela mérite réflexion sur l’économie réelle, sur l’impact mal mesuré sur la fréquence des arrêts pour maladie ordinaire et le délai de carence.

Quels rôles peuvent jouer les RTT pour une absence de très courte durée dont le motif peut être personnel voire douteux ? et qui fera le travail de la personne absente sans vraiment une justification sérieuse ? et pire : s'il y a un taux anormal d'absentéisme dans le secteur public...pourquoi ? défaillance du management des ressources humaines, trop ou pas assez de fonctionnaires ? 

Le débat doit dépasser vraiment très largement celui du délai de carence...c'est ce qu'a osé dire le Ministre Guillaume  Kasbarian .

Ce qui nous parait plus grave et plus important c’est que l’écart se creuse entre la fonction publique et le secteur privé.

Mais la discussion qui s’entrouvre entre les syndicats et le Ministre de tutelle des fonctionnaires mérite-t-elle la réponse syndicale de FO et de CGT : 3 jours de grève...ce qu’il y a de sûr c’est que cette grève ne valorisera pas l’opinion des salariés du privé sur le statut des fonctionnaires.

Les citoyens sont-ils égaux devant la loi ?

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31 octobre 2024 4 31 /10 /octobre /2024 20:00
QUI VEUT BOUCHER LES TROUS DES FINANCES PUBLIQUES ?

QUI VEUT BOUCHER LES TROUS DES FINANCES PUBLIQUES ?

 

 

IL FAUDRA PAYER DE TOUTES FAÇONS !

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2024/10/travailler-plus-eventualite-d-une-recette-supplementaire-pour-le-budget-de-l-etat.html

 

La gestion de l’État, ces 40 dernières années, conduit la France, pays riche, à l’austérité et à une quête de nouvelles recettes quoi qu’il en coute aux citoyens, qui nous le souhaitons, permettront de faire front aux risques et conséquences d’un endettement excessif et aux déficits budgétaires chroniques.

Mais qui dit recettes fiscales nouvelles dit prélèvements fiscaux et sociaux plus élevés, mécontentements, les 9 millions de français pauvres encore plus pauvres...

Et pourtant, l’effacement des traces de 40 ans d’incurie passera inévitablement par des efforts demandés aux citoyens.

Ceux qui vont devoir mettre la main au portefeuille, se serrer la ceinture ne sont pas ceux qui ont commis les fautes de gestion.

Le seul reproche que nous pouvons leur faire, à nous tous citoyens, c’est d’avoir donné leur pouvoir de représentation à des hommes et des femmes qui furent indignes de la confiance du peuple souverain.

 

PUISQU’IL FAUDRA Y PASSER, IL FAUDRA AUSSI QUE NOS GOUVERNANTS FASSENT EN SORTE QUE L’EFFORT SOIT JUSTEMENT RÉPARTI

 

Cette juste répartition est imposée par les 3 articles suivants de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen

Article 12

La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Article 13

Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

Article 14

Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

 

TRAVAILLER PLUS....CE N’EST PAS EN TRAVAILLANT MOINS QU’UN PAYS S’ENRICHIT

Le salarié français peut d’abord travailler plus (voir ci-dessous les statistiques), puis aussi il peut travailler mieux !

Plus et mieux : ce sont des idées qui fait depuis des années leur chemin ...depuis l’irréaliste « travailler plus pour gagner plus » jusqu’aux idées nouvelles sur travailler autrement, la semaine de 4 jours, le télétravail...

 

RAPPEL STATISTIQUES TEMPS DE TRAVAIL PAR AN (sources OCDE 2021)

 

Nombre maximum de jours travaillés en France en 2024 : 227

 

Nombre d’heures travaillées par an en France : 1490 heures

 

Nombre d’heures travaillés dans le monde (moyenne mondiale) : 1716 heures

 

Les extrêmes : le Mexique : 2128 heures travaillées par an

                          L’Allemagne : 1349 heures travaillées par an

 

Le travail est enrichissant : cela se découvre dans la notion de productivité qui sert comme unité de mesure pour comparer les capacités des pays .

La productivité : c’est le rapport entre une production et les ressources (travail et capital) mises en œuvre pour l'obtenir.

D’où l’idée simple et simpliste : la France a une richesse inexploitée : la possibilité de travailler plus et même de travailler mieux.

« L’expérience » du passage aux 35 heures en France qui n’a d’ailleurs pas pu être vraiment généralisée a fait perdre de la productivité dans de nombreuses activités.

 

UNE MESURE PROPOSÉE PAR DES DÉPUTÉS : UNE NOUVELLE JOURNÉE SOLIDARITÉ

Se fondant sur l’autre expérience pérennisée de la journée de solidarité (2004 suite à la canicule de 2003) des députés proposent la création d’une deuxième journée.

Cette mesure présente divers avantages :

  • Elle fonctionne depuis plus de 10 ans
  • Elle est presque « indolore ». Elle a été généralisée y compris aux pensionnés qui n’ont généralement pas envie de mesurer « leurs pertes de pouvoir d’achat ». Il n'a a pas pour le salarié cette impression de ses démunir en envoyant de l'argent à l'État.
  • Les seuls exonérés sont les travailleurs indépendants. Tous les salariés du secteur privé "payent".

 

Une journée travaillée et non payée au salarié mais versée à l’État c’est quand même 3 milliards d’euros qui rentrent dans les caisses de l’État !

Mais il y a quand même une différence notable avec la « journée de solidarité » qui avait un objet social déterminé qui était le recueil de fonds affectés à une caisse dont les personnes âgées en perte d’autonomie et les handicapés « devaient » bénéficier.

La nouvelle journée travaillée et non payée au  salarié a un objectif moins noble...même si le résultat est le même : faire entrer des fonds dans les caisses de l’État. !

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30 octobre 2024 3 30 /10 /octobre /2024 21:40
LE DRAPEAU EUROPÉEN

LE DRAPEAU EUROPÉEN

 

 

 

 

 

LE POIDS FINANCIER DE LA PROTECTION SOCIALE : LE PLF 2025  ET PLFSS 2025

IL faut bien prendre conscience que le Budget de l’État comprend désormais deux parties :

  • Le Projet de loi de finances PLF qui propose au Parlement l’ensemble des recettes et dépenses de l’État pour l’année suivante.
  • Le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale PLFSS qui a pour but de tenter de maitriser les dépenses de la Sécurité sociale au sens large.

Il y a donc en France deux sources légales qui viennent alimenter le déficit budgétaire...et donc la dette .

Le Projet de loi de financement de la sécurité sociale PLFSS pour 2025 nous annonce déjà que, pour les comptes de 2024, il faut s’attendre déjà à un déficit de 18 milliards d’euros.

Nous pouvons écrire qu’aujourd’hui avec des gouvernants bons gestionnaires en 2024 l’héritage de ces quarante dernières années n’est fait que de dettes et d’humiliations alors qu’il aurait pu ou dû être de prospérité et d’honneur.

Les dettes sont le fruit d’un orgueil démesuré qui voit la France vouloir maintenir contre vents et marées son pseudo modèle social qui n’a plus sa raison d’être en l‘état. Les régimes de protection, de retraite, de sécurité du travail, de protection en matière d’accident du travail et maladies professionnelles n’ont plus les justifications qu’elles pouvaient avoir lors de l’après-guerre.

À force de travailler moins, de dégénérescence de la notion de famille et d’abandon d’une politique familiale la France s'est condamnée à faire marche arrière et elle est obligé à se poser la question du comment faire survivre un « modèle » à bout de souffle et ne pas oublier la notion initiale qui était une démarche nationale de solidarité.

La dégradation des finances publiques impose maintenant aux français une révision peut-être déchirante mais nécessaire de leur modèle : les dépenses à caractère social augmentent et même la Cour des Comptes estime qu’elles ne sont plus maîtrisées.

Or, les recettes de ce budget social étant  basées sur les salaires et le poids des régimes spéciaux de retraite maintenus à flot grâce aux milliards de subventions que doit verser l’État donc les citoyens, c'est donc le budget de l’État qui a une source qui vient grossir un déficit budgétaire de l’État déjà insupportable.

Ne pas réagir c’est garantir la fin de la protection sociale à la française. Mais la réaction ne pourra s’effectuer que dans le sang et les larmes c’est-à-dire concrètement par des efforts et sacrifices demandés et fournis par tous les français ...quoi qu’il en coûte !

Notons que ce serait un comble que ce soient les régimes sociaux qui contribuent à mettre en péril l’équilibre des comptes de la nation.

 

LIMITER LES DÉPENSES DE L’ÉTAT, AUGMENTER SES RECETTES

Quand nos gouvernants sont à la recherche d’une part d’économies sur les dépenses qui figurent au projet budget de l’État 2025 et d’autre part, des recettes nouvelles afin d’obtenir un ensemble qui soit compatible avec les engagements de la France.

En effet, un État-membre de l'Union Européenne ne peut user et abuser des déficits budgétaires qui sont financés par des emprunts qui eux génèrent en se cumulant un endettement qui met en péril les Finances Publiques de l’État considéré et celui de l’Union Européenne et de la crédibilité de la valeur de l'euro.

C’est la règle du traité de MAASTRICHT qui impose un code de bonne conduite avec un déficit maximum de 3 % du PIB et un endettement inférieur à 60 % du PIB...or la France risque pour 2024 d’avoir un déficit qui atteigne les 7 % et un endettement qui lui dépasserait en 2025 les 112% actuels du PIB ! La France est déjà en procédure de déficit excessif.

 

DES RECETTES NOUVELLES : PRODUCTIVITÉ ET TEMPS DE TRAVAIL

Ainsi parmi les projets présentés de recettes nouvelles figurent l’allongement de la durée du travail avec la création d’un type de journée "solidarité" de 2013

 

À SUIVRE...

LE TRAVAIL AU SECOURS DE LA MAUVAISE GESTION DES FINANCES PUBLIQUES

 

 

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30 septembre 2024 1 30 /09 /septembre /2024 21:52
BERCY : LE MAMMOUTH NUMÉRO DEUX

BERCY : LE MAMMOUTH NUMÉRO DEUX

 

 

LE CONSENTEMENT À L'IMPÔT EST UN DROIT IMPRESCRIPTIBLE À RÉTABLIR

 

À La veille de la déclaration de politique générale du nouveau Premier Ministre Michel BARNIER où il est beaucoup question d’impôts, nouveaux, augmentés...il nous semble important de rappeler à nos concitoyens qu’il y a des règles incontournables et protectrices du citoyen concernant ses impôts. Il n’y a pas un droit de laisser faire n’importe quoi par n’importe qui en matière d’impôt.

Il n’appartient pas à un groupe de technocrates qui ont conduit la France à la faillite (les occupants de BERCY) et à un endettement hors norme et hyper dangereux sur le plan économique de continuer à faire joujou avec les impôts des français pour combler le trou qu’ils ont contribué à créer.

Le principe est constitutionnel et gravé dans la « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ».

Revenons ainsi à ses fondamentaux :

 

Article 13

Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

 

Article 14

Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

 

 

L’IMPÔT, C’EST UNE « CONTRIBUTION », DONC C’EST LE PEUPLE SOUVERAIN QUI EST SOUMIS À UNE CONTRIBUTION DONT IL DÉFINIT LES NORMES

 

L’IMPÔT

Une contribution indispensable, nécessaire au fonctionnement de la nation,

Répartie entre tous les citoyens

En raison de leurs facultés : notion d’égalité et de proportionnalité aux moyens du citoyen et donc basé sur des principes d'équité, de justice

Droit ou devoir du citoyen de consentir librement à l'impôt

Au peuple, en effet, le droit d’en déterminer le montant, les moyens et modes de calcul...et même la durée !

 

CE SONT CES DROITS FONDAMENTAUX DE LA GESTION « CONTRIBUTION » DU CITOYEN QUI AUJOURD’HUI SONT PARFOIS OCCULTÉS

Le principe d'égalité devant les charges publiques et devant l’impôt n’est plus respecté.

Il a été monté une usine à gaz sur laquelle le citoyen n’a plus son mot à dire...à la limite ce sont les seuls élus représentants du peuple souverain de qui émane tout pouvoir qui devraient gérer la « contribution » dans l’intérêt général de la Nation.

En réalité, en 2024, ce droit fondamental du peuple est confisqué par la technocratie, les lobbys...que reste-t-il comme pouvoir au peuple souverain ?

Il va falloir sérieusement trouver l’homme et l’équipe qui devraient s’engager et s’attacher à revoir complétement le système de contribution citoyenne à l’échelle du « territoire » nouveau défini...c’est déjà, par exemple, en partie,  le cas avec les impôts locaux.

Les replâtrages du système actuel ne sont plus possibles pour un système devenu lui aussi un mammouth ingérable démocratiquement qui ne respecte plus le droit fondamental fixé par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen...il ne s’agit pas d’aménager, de dégraisser le mammouth mais de l’abattre et de le remplacer par un dispositif décentralisé apte à respecter l’égalité des citoyens et la justice.

 

Utopie ? peut-être pas ...ce ne sera pas plus difficile que ce qui fut élaboré par nos ancêtre de la Constituante à partir d’août 1789 !...À l’époque de l’Intelligence Artificielle serait-on plus bête que nos « constituants » ?

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16 mars 2024 6 16 /03 /mars /2024 19:09
PRÉSENTATION DU RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES

PRÉSENTATION DU RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES

 

 

LA COUR DES COMPTES JUGE LES FINANCES PUBLIQUES FRANÇAISES ET NOUS INTERPELLE : ATTENTION DANGER !

 

https://www.ccomptes.fr/fr/publications/le-rapport-public-annuel-2024

Quand approche le printemps, la Cour des Comptes célèbre maintenant l’événement à sa manière en publiant son RAPPORT PUBLIC ANNUEL RPA.

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/68842

Les médias se précipitent sur ce « monument» (725 pages) en espérant y trouver des éléments révélateurs des dysfonctionnements de l’État et de ses centaines de démembrements. En effet, tout un chacun critique cet État tentaculaire surtout quand il en subit les conséquences désagréables : gaspillages, hausses injustifiées ou insuffisamment justifiées des dépenses publiques, procédures complexifiées, normes...

 

UN BUDGET 2024 ENCORE EN FORT DÉFICIT ET EN PLUS INSINCÈRE : UN SOMBRE TABLEAU

Le problème est que comme ce qu’écrit la Cour des Comptes n’est pas contestable et se révèle parfois scandaleux le « Tribunal des comptes publics » dit Cour des Comptes commence par nous dire ce que nous savions déjà...les finances publiques sont mal gérées. L’habitude de l'État MACRON quoiqu'il en coûte de dépenser toujours plus qu’il ne gagne génère des dettes de l'État qui cumulées mettent en péril la crédibilité même du Pays.

C’est là où on voit la quasi inutilité de la Cour des Comptes impuissante à faire respecter l’orthodoxie comptable et budgétaire, le respect des traités et engagements de l’État. Il constate et dénonce...mais derrière et après, rien ne se passe. Même au Parlement il n’y a pas de moyen coercitif pour dénoncer une situation dangereuse et y remédier. Rappelons-nous les grandes crises financières.

En effet, la France s’est engagée par la loi de programmation des finances publiques 2023-2027 à résorber son déficit budgétaire à l’horizon 2027, donc à faire des économies et à diminuer cette dette dont le niveau a dépassé la côte d’alerte  et plombe l'avenir.

Le déficit public du budget 2023 s’est encore légèrement creusé et devrait atteindre 4,9 % du produit intérieur brut (PIB), dans un contexte marqué, à la différence des deux années précédentes, par un faible dynamisme des recettes fiscales.

La situation d’ensemble des finances publiques (à fin février 2024) est donc anormalement mauvaise et condamnable et la Cour des Comptes nous dit que le budget 2024 n’arrangera pas la situation.

Donc, pour 2023, plus de dépenses que prévu et moins de recettes que prévu...et pour 2024 ce n’est pas mieux : plus de dépenses publiques votées et encore moins de recettes. C’est la marche vers la faillite ! (sauf s’il y a recours à des hausses massives des impôts...perspective fort désagréable).

Tout laisse à croire que ce qui a été voté dans la loi de programmation 2023/2027, loi de redressement des finances publiques, devient pour la Cour des Comptes en ce début 2024 obsolète et mensonger.

Tel que c’est parti, en ce début 2024, le redressement des finances publiques en France pour 2027 n’est pas possible.

En clair, le Président de la République et son et ses futurs Gouvernements laissent filer la dérive budgétaire et ils s’en lavent les mains...Emmanuel MACRON en 2027 ne sera plus là et laissera la France et ses finances publiques dans une situation dégradée et dégradante pour la France.

CE QUE DÉNONCE LA COUR DES COMPTES SERA-T-IL ENFIN ENTENDU PAR LE PRÉSIDENT MACRON ? OSERA-T-IL PRENDRE LES MESURES QUI S'IMPOSENT ?

 

 

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