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13 janvier 2025 1 13 /01 /janvier /2025 19:44
ÉLYSÉE : ON RECHERCHE LE LOCATAIRE

ÉLYSÉE : ON RECHERCHE LE LOCATAIRE

Y A-T-IL ENCORE UN PILOTE DANS L’AVION ET UN COMMANDANT DANS LE PAQUEBOT FRANCE ?

 

Les pays créanciers de la France et les français peuvent être inquiets...et ils ont de quoi...Nous voudrions par cet « appel » que les Français aient bien conscience de la situation.

 

Rappelons :

  • Que seulement 6 conseils des Ministres ont eu lieu depuis le 6 novembre 2024. De plus, certains conseils ont été purement formels comme l’attestent les comptes-rendus et la tradition du Conseil des Ministres tous les mercredis qui est (provisoirement ?) abandonnée...La France n’est plus gouvernée : le commandant du navire a déserté.
  • Que la dette flambe et les besoins de financement de l'État sont estimés à 306,7 milliards d'euros en 2025.
  • Que la France n’a toujours pas de budget et le déficit du budget 2024 est déjà estimé à 163,2 milliards d'euros, soit une augmentation de 16,3 milliards d'euros par rapport aux prévisions de la loi de finances initiale pour 2024 donc déficit dépassant les 6 % du PIB.
  • Que la FRANCE s’installe dans une crise institutionnelle qui met à mal sa crédibilité sur le plan international.
  • Que le Chef de l’État est soit aux abonnés absents soit en voyage tourisme et affaires tous frais payés.

 

LA FRANCE INGOUVERNABLE EST INGOUVERNÉE

Comme l’a dit la porte-parole du Gouvernement « la situation de la France demande et nécessite, je le redis, du courage !»

 

Or, nous constatons qu’au lieu de courage, de réalisme, de mobilisation le dernier Premier Ministre nommé négocie sans fin la non censure, qu’il y a une quarantaine de ministres et secrétaires d’État qui sont au chômage technique à moins qu’ils soient en RTT, en congé parental...

Le temps passe, les Services Publics poursuivent leurs descentes aux enfers : l’Hôpital est malade, les grands projets concernant l’énergie nucléaire, la modernisation des Armées, la réforme de l’Éducation et la recherche attendent un budget...

On se pose des questions : 7 millions de fonctionnaire sont-ils l’arme au pied ? Les députés et sénateurs sont-ils rémunérés ?...

Ce n’est pas cela une posture de « courage » d'un peuple. À quand le réveil, la fin du cauchemar, le sursaut ?

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14 décembre 2024 6 14 /12 /décembre /2024 19:11
MATIGNON : ENCORE UN CHANGEMNT DE LOCATAIRE !

MATIGNON : ENCORE UN CHANGEMNT DE LOCATAIRE !

 

FRANÇOIS BAYROU, PREMIER MINISTRE, PAS DU PREMIER CHOIX...PAS LE CHOIX DU ROY

 

En effet, le deuxième défilé des prétendants au poste nous rappelle des souvenirs historiques du temps où la royauté se cherchait des grands Ministres et surintendants mais pas trop grands pour que le peuple sache bien que le ROY ne délègue pas plus que des miettes de son Royal pouvoir.

 

LES MILLE RAISONS D’UN MAUVAIS CHOIX

Extrait de « L’art de choisir les ministres selon Louis XIV » Mémoires de Louis XIV, le métier de roi

« il n’était pas de mon intérêt de prendre des sujets d’une qualité plus éminente. Il fallait, avant toutes choses, établir ma propre réputation, et faire connaître au public, par le rang même d’où je les prenais, que mon intention n’était pas de partager mon autorité avec eux. Il m’importait qu’ils ne conçussent pas eux-mêmes de plus hautes espérances que celles qu’il me plairait de leur donner »

Quand le nom de BAYROU est ressorti dans les dédias nous fûmes parmi les sceptiques sur ce projet de nomination pour des raisons basiques d’abord la première est une raison de principe et de bon sens populaire : on ne fait pas du neuf avec du vieux. Alors que la France déborde de têtes bien faites ? Dans la période difficile qu’elle traverse la France elle a besoin de sang neuf...pourquoi aller rechercher François BAYROU de Président dans sa retraite dorée de Président d’un « machin » nommé Haut Commissariat au Plan HCP.

Ce «truc » mal nommé puisque la planification est une race de procédure en voie d’extinction a été créé par Emmanuel MACRON pour offrir en remerciement une Présidence à son fidèle François BAYROU, éphémère Ministre de la Justice, démissionnaire en catastrophe, lors sa mise en cause par la Justice dans une affaire LE PEN bis, de détournement de fonds publics européens pour financer son parti UDF renommé MODEM.

Du temps de la royauté sa majesté le ROY aurait offert à François BAYROU un Château. Notons que tout un chacun reconnait que le HPC ne sert à rien d’autre que de pondre des études « prospectives » qui sont d’une inutilité notable et font aussi souvent doublon avec d’autres études.

Voir l’étude :

https://actu.fr/politique/francois-bayrou-est-premier-ministre-mais-pas-que-peut-il-garder-ses-cinq-autres-fonctions_62001671.html

 

CETTE NOMINATION : UN SCANDALE ?

Cette nomination confirmée un vendredi 13 peut, à juste titre, donc scandalisé nombre de français.

Dans la constitution, le Premier Ministre est « nommé » par le Président de la République...il n’est pas écrit « choisi » par le Président qui doit, par contre selon l’article 8 « mettre fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement. »...Rien n'est dit si le Premier Ministre ne remet pas au Chef de l'État la démission de son Gouvernement !

Il n’y a donc pas constitutionnellement de hiérarchie entre le Premier Ministre et le Président de la République, Chef de l’État.

Par contre, le France comme la Belgique, l’Espagne...démontrent qu’un pays peut se passer des semaines durant, des mois même de Premier Ministre...c’est donc bien une fonction qui n’est pas vitale pour un pays.

Compte tenu des faiblesses que nous avons indiquées ci-dessus dans le passé voire le passif des 45 années de politique de François BAYROU nous devons nous étonner de la nomination de celui-ci comme chef d’un futur gouvernement.

Notons que François BAYROU est aussi maire de la belle ville de PAU, Président de son Agglomération et.... qu’il a 73 ans et donc qu’il a un droit à une juste retraite et à un généreux cumul de fonctions. Il y avait potentiellement nombre d’autres élus ou personnalités de valeur qui pouvaient prétendre au poste de Premier Ministre.

Emmanuel MACRON a fait un choix personnel donc fort critiquable au nom de l’intérêt général et de la situation de crise institutionnelle que vit la France.

 

 

 

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11 décembre 2024 3 11 /12 /décembre /2024 20:00
L'ASSEMBLÉE NATIONALE PALAIS BOURBON FACE À LA PLACE DE LA CONCORDE : QUE DE SYMBOLES !

L'ASSEMBLÉE NATIONALE PALAIS BOURBON FACE À LA PLACE DE LA CONCORDE : QUE DE SYMBOLES !

L"ASSEMBLÉE DITE NATIONALE FACE À LA CONCORDE !

 

 

L'ASSEMBLÉE NATIONALE ÉLUE LES 30 JUIN ET 1er JUILLET  2024 EST DITE "INGÉRABLE"

 

L'article 24 de la Constitution stipule dans son article 24:

 

Le Parlement vote la loi. Il contrôle l'action du Gouvernement. Il évalue les politiques publiques.

Il comprend l'Assemblée nationale et le Sénat.

Les députés à l'Assemblée nationale, dont le nombre ne peut excéder cinq cent soixante-dix-sept, sont élus au suffrage direct.

Le Sénat, dont le nombre de membres ne peut excéder trois cent quarante-huit, est élu au suffrage indirect. Il assure la représentation des collectivités territoriales de la République.

 

MAJORITÉ ABSOLUE ET MAJORITÉ RELATIVE

 

La majorité absolue à l'Assemblée nationale est donc fixée à 289 sièges. Si un groupe politique, ou une coalition, atteint ce nombre - et si cette majorité fait preuve d'unité et de cohésion - l'exécutif (Président de la République et son"Premier Ministre" ) peut faire adopter les lois qu'il propose sans difficulté. 

Quand aucun groupe politique, ou aucune coalition, n'atteint le seuil des 289 députés, le groupe ou la coalition qui détient le plus grand nombre de siège est en situation de majorité relative. Dans cette situation, il est plus difficile pour le gouvernement de faire adopter ses projets de loi, puisqu'il lui faut convaincre d'autres groupes politiques de les soutenir ou, au moins, obtenir un certain nombre d'abstentions. Surtout si toutes les oppositions votent contre un texte, le gouvernement peut être mis en minorité et le projet de loi rejeté.  

 

PAS DE "GROUPE" DANS CETTE ASSEMBLÉE 2024 ATTEIGNANT LA MAJORITÉ DE 289 SIÈGES DE DÉPUTÉS

Examinons le document officiel ci-dessus : le groupe se rapprochant de cette majorité est le "bloc"des 4 groupes  de gauche qui rassemble 192 députés et qui ne font donc pas même, à quatre, une majorité absolue.

Donc quand des députés ont des exigences arguant du fait qu'ils sont majoritaires  c'est pour le moins un abus de langage !

Le seul groupe dépassant le 100 députés est le Rassemblement National (124 élus) et il est aussi très loin de la majorité absolue.

Nous sommes bien dans le cas de figure que les constituants de 1958 et ceux qui l'ont modifiée ultérieurement ont ignoré.

Nous sommes aussi dans le cas déjà vécu où le Président de la République n'a pas "sa majorité" et subit la cohabitation difficilement gérable car il impose des compromis difficiles sur toute question importante comme le vote du budget.

Cette situation conduit à ce que nous vivons sans la nommer une crise institutionnelle que seul le recours au vote du peuple souverain peut éventuellment

C'est l'inconvénient de la démocratie à la française qu'a osé ignorer le Président MACRON lorsqu'il a pris brutalement et seul la décision de dissoudre l'Assemblée Nationale.

 

 

 

 

 

 

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10 décembre 2024 2 10 /12 /décembre /2024 18:48
LE PRÉSIDENT MACRON FACE À SES HAUTS FONCTIONNAIRES

LE PRÉSIDENT MACRON FACE À SES HAUTS FONCTIONNAIRES

 

 

 

UNE LEÇON QUI N’AURAIT PORTÉ AUCUN FRUIT

Suite de ...

https://www.olonnes.com/2024/12/rappel-le-12-mars-2024-rappel-d-une-grand-messe-surprise-sur-la-reforme-de-l-etat.html

 

« DÉCONCENTRER, SIMPLIFIER, ASSOCIER »

Mot d’ordre et belle formule présidentielle tirée du cours magistral dit « convention managériale de l’État » du Président MACRON, le 12 mai 2024 aux 700 hauts fonctionnaires convoqués par leur Maître et rebaptisés, pour la cause, « cadres dirigeants de l’État »

La réalité n’est pas aussi belle : que ce soit dans le domaine de la Santé ; voir les critiques qui fusent sur les ARS, l’Éducation, la Justice en perdition ...les 7 années de Présidence MACRON furent marquées par la marche en avant de la complexification des procédures, des projets annoncés et non finalisés, des finances publiques dégradées ...

En début 2024, après des vœux aux français au gout amer, le Président constatant et avouant l’échec du réformisme annoncé a gratifié ses hauts fonctionnaires d’une avoinée d’un rare violence voire excessivement pertinente.

Si les choses vont si mal au niveau de l’État c’est de votre faute ...je donne l’impulsion et derrière cela ne suit pas !

Comme si Emmanuel MACRO, tout à coup, se rappelait soudain de ce qu’il écrivait comme candidat en 2017 « Nous voulons un État agile concentré sur les priorités du pays, qui s’adapte à nos besoins et à nos modes de vie. Efficacité, simplicité, adaptabilité : c’est aussi comme cela que nous ferons des économies » ...c’est une exigence pour « RENOUER AVEC L’EXCELLENCE DE NOS SERVICES PUBLICS »

« Je ne vous lâcherai pas collectivement. » a prévenu le Chef de l’exécutif...la plus haute Autorité de l’État. On peut se demander comment ces ex hauts fonctionnaire rebaptisés « cadres dirigeants de l’État » ont pu percevoir le message présidentiel. Des exécutants qui exécutent peu ou mal.

Le Président a eu beau tenter de vanter et défendre son bilan pour conclure « que la perception générale est qu’on n’a pas totalement réussi » donc en clair, c’est un échec ! Il est vrai que le Président dans son discours a dit ce qu’il ne fallait pas dire en évoquant son bilan : « on a pris beaucoup de lois ! » Si l’on veut vraiment simplifier la vie des citoyens il aurait fallu dire... » on a pris « trop de lois ! »

Le message d’Emmanuel Macron fut certainement une façon de mettre la pression sur la haute administration pour relancer une réforme de l'État qui « manque en intensité, qui manque en force, qui manque en radicalité pour pouvoir être perceptible », « Il y a des textes qui ne sont pas appliqués !»

Pendant son heure de leçon du discours sur la méthode MACRON nous avons entendu un brouillon de « feuille de route exigeante et motivante » à l’attention de hauts fonctionnaires mais tout cela dans le cadre existant et sans budget !

Le Président parle de déconcentration alors que la Constitution parle de « décentralisation ».

C’est un constat dur à entendre...un aveu d’échec.

Le cadre du Président pour nous n’est donc pas le bon. Il veut conforter des pratiques qu’il dénonce Cette méthode ne sera donc certainement pas la bonne réponse à la « crise démocratique que traverse l’ensemble des démocraties occidentales » évoquée par le Président.

Comme l’atteste la crise de l’agriculture, les français sont fatigués de leurs administrations, des circulaires, des obligations administratives nouvelles qui s’accumulent...le citoyen a même pu constater qu’il faut attendre 6 mois et plus pour faire refaire sa carte d’identité

C'est Georges Pompidou, alors premier ministre, qui aurait répondu ainsi en 1966 ! à Jacques Chirac, jeune collaborateur de Matignon, qui venait lui présenter un parapheur rempli de décrets :

« Arrêtez d'emmerder les Français ! »

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/la-petite-histoire-derriere-le-arretez-d-emmerder-les-francais

 

Rappelons le lien de la leçon du Professeur MACRON donnée à ses hauts fonctionnaires le 12 mars 2024 :

https://www.youtube.com/ »watch?v=XrXIlTv18nw&t=1431s

 

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3 décembre 2024 2 03 /12 /décembre /2024 20:39
LA GESTION DE LA FRANCE !
LA GESTION DE LA FRANCE !

LA GESTION DE LA FRANCE !

 

 

UNE FIN DE RÈGNE CATASTROPHIQUE : CELUI DE BRUNO LE MAIRE

 

En matière d’économie il faut du sérieux pour être crédible et mériter la confiance du monde des finances. Un doute maléfique vient de tomber sur la fiabilité et la sincérité des comptes des Finances Publiques de la France.

La seule stabilité qui caractérise la France ce furent ces 7 dernières années où, à BERCY, a régné Bruno LE MAIRE qui nous laisse des Finances Publiques délabrées et honteuses et où se poursuit la recherche d’une somme de 100 milliards d’euros perdue on ne sait où ?

Ce règne du Ministre des Finances se termine donc, quoiqu’il en coûte, en catastrophe.

Certes, cela pouvait arranger le Président MACRON qui pouvait sortir son carnet de chèques quand il voulait comme il l'a fait à maintes occasions y compris dans la gestion de l'Élysée et donc de la Présidence de la République où il a été rappelé à l'ordre par la Cour des Comptes pour des dépassements importants de budget. Quelle gestion !

Le Ministre des Finances a non seulement laissé la caisse vide et même plus que vide puisque la dette a poursuivi sa montée vertigineuse et des comptes où plus aucun haut fonctionnaire des Finances ne peut dire où on en est la France. Ce fut la conclusion de cette Commission mixte d’enquête de l’Assemblée Nationale et du Sénat sur « les variations et les écarts des prévisions fiscales et budgétaires 2023-2024 » : un titre de la Commission qui déjà en dit long sur une situation inquiétante.

Les auditions de la Commission se au niveau de l’Assemblée Nationale se poursuivent si l’on en croit le programme figurant sur le site de l’Assemblée même durant cette période trouble :

« Mardi 3, mercredi 4 et jeudi 5 décembre 2024, la commission des finances débute ses auditions dans le cadre des travaux d’enquête menés pour étudier et rechercher les causes de la variation et des écarts des prévisions fiscales et budgétaires des administrations publiques pour les années 2023 et 2024. »

Pour prolonger ce qui est dit ci-dessus nous allons convier nos lecteurs à faire une visite dans le monde de l’Union Européenne qui devient le « juge » de la gestion irresponsable des Finances Publiques françaises victime de son addiction aux déficits budgétaires.

Et n’oublions pas que, depuis le 26 juillet 2024, la France est en « procédure de déficit excessif » une décision prise par l’Union européenne dans le cadre du « pacte de stabilité et de croissance » ce qui implique une surveillance renforcée de son budget : la France sous tutelle ?

 

 

À Suivre...

L’ADDICTION AUX DÉFICITS BUDGÉTAIRES

 

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1 décembre 2024 7 01 /12 /décembre /2024 23:09
L'ASSEMBLÉE NATIONALE

L'ASSEMBLÉE NATIONALE

UNE ASSEMBLÉE NATIONALE À LA DÉRIVE

 

 

 

Adrien MATHOUX, rédacteur en chef du journal MARIANNE, débute ainsi son édito sur son site internet :

« Une assemblée incapable du moindre effort de construction collective. » !

Quel constat qui fait mal et peur aux bons et braves citoyens.

Pour ceux qui croient comme Winston CHURCHILL que « La démocratie est le pire système de gouvernement, à l'exception de tous les autres qui ont pu être expérimentés dans l'histoire » la déception doit être grande quand ils subissent le spectacle que leur offre leurs représentants par exemple dans l’enceinte de l’Assemblée Nationale.

La violence verbale et même physique a envahi cette semaine même le Palais BOURBON lors du « Débat ?» sur le retrait de la la réforme des retraites. Un débat sans conclusion puisque les députés ont clos après plusieurs suspensions de séance sans vote !

Certes, ce n’est pas une première fois dans une enceinte sensée devoir légiférer dans la sérénité que des députés en viennent aux mains. Mais enfin peut-on, doit-on tolérer cette conduite de nos élus ?

 

QUEL EFFORT DEMANDÉ AUX DÉPUTÉS ? L’UNION POUR SERVIR L’INTÉRÊT GÉNÉRAL DU PAYS ET RÉTABLIR UN FONCTIONNEMENT DÉMOCRATIQUE DES INSTITUTIONS

Ce sera un appel à la raison qui risque malheureusement d’être vain et donc encore un coup porté à la démocratie.

Comment les citoyens peuvent-ils faire confiance à des hommes et femmes élus incapables d’assumer avec dignité leurs fonctions ?

Cette image donnée du pouvoir législatif va détériorer encore plus l’image que les français vont avoir de leur Parlement et leurs élus.

Au-delà du jugement que peuvent porter les français sur ce type d’épisode qui ridiculise nos institutions...quand nous osons parler d’État de droit...

Au-delà de l’exemple que les députés ont pu donner à tous ceux qui ont déjà tant de mal à respecter nos institutions...

L’effort demandé à nos élus est donc d’abord celui du respect dû à nos institutions. Dans les moments difficiles que vit la République, il est indigne que des conduites individuelles d’élus aggravent une situation déjà très dégradée et anxiogène.

Le Parlement doit donc être composé d’hommes et de femme qui doivent être capables et aptes à s’unir pour gérer une situation de près-crise qui peut conduire au pire...et nous pesons nos mots.

Tout ce qui affaiblit la France est condamnable car cela conduit au désordre qui détruit l’espoir du renouveau, des lendemains meilleurs plus fraternels et solidaires.

Déjà nous devons constater que le Président de la République dont le rôle constitutionnel est d’« assurer  par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État » est aux abonnés absents et les demandes de son départ se font de plus en plus nombreuses et pressantes.

Si, en plus, le Parlement par ses incartades se met hors-jeux...

Et si le gouvernement pléthorique « construit » à la hâte après un vide pour cause de jeux olympiques et sans cohésion ne peut rassurer son peuple et son environnement dans le vote d’un budget 2025 sérieux ...

Que reste-t-il à la tête de la France ?

 RIEN DE SOLIDE ?

DANGER : LA NATURE A HORREUR DU VIDE !

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30 novembre 2024 6 30 /11 /novembre /2024 20:43
DANS LES  MESURES D'ÉCONOMIES LE GOUVERNEMENT A-T-IL ENVISAGÉ DE FERMER CETTE BOUTIQUE ?

DANS LES MESURES D'ÉCONOMIES LE GOUVERNEMENT A-T-IL ENVISAGÉ DE FERMER CETTE BOUTIQUE ?

 

UNE ASSEMBLÉE NATIONALE À LA DÉRIVE

 

 

 

Adrien MATHOUX, rédacteur en chef du journal MARIANNE, débute ainsi son édito sur son site internet :

« Une assemblée incapable du moindre effort de construction collective. » !

Quel constat qui fait mal et peur aux bons et braves citoyens.

Pour ceux qui croient comme Winston CHURCHILL que « La démocratie est le pire système de gouvernement, à l'exception de tous les autres qui ont pu être expérimentés dans l'histoire » la déception doit être grande quand ils subissent le spectacle que leur offre leurs représentants par exemple dans l’enceinte de l’Assemblée Nationale.

La violence verbale et même physique a envahi cette semaine même le Palais BOURBON lors du « Débat ?» sur le retrait de la la réforme des retraites. Un débat sans conclusion puisque les députés ont clos après plusieurs suspensions de séance sans vote !

Certes, ce n’est pas une première fois dans une enceinte sensée devoir légiférer dans la sérénité que des députés en viennent aux mains. Mais enfin peut-on, doit-on tolérer cette conduite de nos élus ?

 

QUEL EFFORT DEMANDÉ AUX DÉPUTÉS ? L’UNION POUR SERVIR L’INTÉRÊT GÉNÉRAL DU PAYS ET RÉTABLIR UN FONCTIONNEMENT DÉMOCRATIQUE DES INSTITUTIONS

Ce sera un appel à la raison qui risque malheureusement d’être vain et donc encore un coup porté à la démocratie.

Comment les citoyens peuvent-ils faire confiance à des hommes et femmes élus incapables d’assumer avec dignité leurs fonctions ?

Cette image donnée du pouvoir législatif va détériorer encore plus l’image que les français vont avoir de leur Parlement et leurs élus.

Au-delà du jugement que peuvent porter les français sur ce type d’épisode qui ridiculise nos institutions...quand nous osons parler d’État de droit...

Au-delà de l’exemple que les députés ont pu donner à tous ceux qui ont déjà tant de mal à respecter nos institutions...

L’effort demandé à nos élus est donc d’abord celui du respect dû à nos institutions. Dans les moments difficiles que vit la République, il est indigne que des conduites individuelles d’élus aggravent une situation déjà très dégradée et anxiogène.

Le Parlement doit donc être composé d’hommes et de femme qui doivent être capables et aptes à s’unir pour gérer une situation de près-crise qui peut conduire au pire...et nous pesons nos mots.

Tout ce qui affaiblit la France est condamnable car cela conduit au désordre qui détruit l’espoir du renouveau, des lendemains meilleurs plus fraternels et solidaires.

Déjà nous devons constater que le Président de la République dont le rôle constitutionnel est d’« assurer  par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État » est aux abonnés absents et les demandes de son départ se font de plus en plus nombreuses et pressantes.

Si, en plus, le Parlement par ses incartades se met hors-jeux...

Et si le gouvernement pléthorique « construit » à la hâte après un vide pour cause de jeux olympiques et sans cohésion ne peut rassurer son peuple et son environnement dans le vote d’un budget 2025 sérieux ...

Que reste-t-il à la tête de la France ?

 RIEN DE SOLIDE ?

DANGER : LA NATURE A HORREUR DU VIDE !

 

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25 novembre 2024 1 25 /11 /novembre /2024 22:09
DANS LE PANTHÉON DES ÉNARQUES S'EST ÉLABORÉ LA FAILLITE DU PAYS VUE PAR LES NULS DE L'ÉLITE IRESPONSABLE. IL FAUDRA FAIRE LE MÉNAGE ET DES EXEMPLES

DANS LE PANTHÉON DES ÉNARQUES S'EST ÉLABORÉ LA FAILLITE DU PAYS VUE PAR LES NULS DE L'ÉLITE IRESPONSABLE. IL FAUDRA FAIRE LE MÉNAGE ET DES EXEMPLES

 

 

 

UNE FRANCE EN FAILLITE, LES CITOYENS AU RÉGIME

 

L’État français est lié par traité à l’Union EUROPÉENNE...elle s’est engagée à avoir une conduite exemplaire en matière de gestion de ses finances publiques, traité de Maastricht oblige.

Bruno LE MAIRE qui fut responsable, 7 années durant, des finances publiques de la France a fait des promesses aux français et à l’Union Européenne qu’il n’a jamais tenues. Les déficits budgétaires qu’il s’engageait publiquement à faire décroître se sont cumulés gonflant la dette qui dépasse les 2 600 milliards d’euros.

La dette publique comprend l’ensemble des emprunts contractés par les administrations publiques : État, organismes d'administration centrale, collectivités locales et administrations de sécurité sociale.

En suivant l’actualité et particulièrement les auditions et rapports des Commissions d’enquête Sénat et Chambre des députés et les rapports de la Cour des Comptes nous découvrons des ministres aussi incompétents que menteurs.

Rappelons notre parution de mars 2024 le dialogue Alain MINC et Jacques ATTALI  :

https://www.olonnes.com/2024/03/les-impots-augmenteront.html

Tout y était dit...même les mensonges de Bruno LE MAIRE, l’urgence d’agir et le matraquage des impôts, la dette qui flamberait et les risques de cette situation.

Comme nul n’est prophète en son pays, personne ne s’est attardé sur ces pertinentes analyses.

 

TOUT CELA NE SUFFISAIT PAS : LE CAMOUFLAGE DES DÉFICITS BUDGÉTAIRES 2023 et 2024

C’est le summum...le Ministère donc le Ministre et ses services ont camouflé, 20 puis 50 puis 100 peut-être 200 milliards d’euros...envolés, perdus...nous avions parlé de scandale.

En effet, si un particulier, une entreprise tenaient leur compatibilité ainsi le Ministère des Finances crierait au scandale et chercherait des responsables. Dans cette crise budgétaire... aucun responsable : notre élite gouvernante n'est pas courageuse !

 

L’INJUSTICE : LE VOTE AU PARLEMENT DU BUDGET 2025 RÉVÈLE PLUS D’IMPÔTS, PERTE DE POUVOIR D’ACHAT...

La situation horrible des Finances Publiques qu’il faudra IMPÉRATIVEMENT REDRESSER. Pour 2025, il faut trouver 100 milliards d’économies et ce seront de nouveaux impôts...et, en 2025, le Ministre des Finances irresponsable (l’adjectif n’est pas assez fort) ira faire fortune en Suisse, donner des cours de gestion et continuera à écrire des livres que personne ne lira tandis que les contribuables français payeront plus d’impôts et de taxes.

Ce sont les pauvres qui payeront la casse au moins pour les 5 ans à venir, le pouvoir d’achat va baisser, le chômage repartira à la hausse ...Il faudra se serrer la ceinture pour sauver la France que ses gouvernant ont massacrée...les citoyens trop laxistes dans le choix de leurs élus payeront.

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