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15 novembre 2025 6 15 /11 /novembre /2025 21:37
ENCORE LA JUSTICE À LA PEINE

ENCORE LA JUSTICE À LA PEINE

 

 

 

CES HOMMES ET INSTITUTIONS POLITIQUES QUI SONT SORTIS DE LEUR OBLIGATION DE RÉSERVE

Ce jeune franco-algérien de 17 ans Nahel MERZOUK vous le connaissez tous ...c’est lui qui par un beau matin du 27 juin 2023 à Nanterre au volant d’un véhicule de location très puissant a été tué lors d’un contrôle de la police après avoir commis plusieurs infractions.

Ce policier, ancien militaire, vous le connaissez tous ...même ni son nom ni son visage ne vous disent rien et pourtant vous êtes prêts à le soutenir car les policiers et gendarmes risquent tous les jours leur vie pour protégeant votre vie. C’est lui qui le brigadier-chef Florian M., accusé du meurtre du jeune NAHEL en juin 2023, qui est accusé maintenant d’avoir assassiné NAHEL au petit matin. 

Le Président MACRON, le Ministre Gérald DARMANIN, la Première Ministre Elizabeth BORNE...prennent le 27 juin 2023 jour du drame et les jours suivants la parole faisant abstraction de la présomption d’innocence.

Elizabeth BORNE : « une intervention qui n'est manifestement pas conforme aux règles d’engagement de nos forces de l'ordre »

Gérald DARMANIN déclare que la vidéo filmée par un témoin de la scène est « extrêmement choquante » et « apparemment pas conforme à ce que nous souhaitons dans la police ». Le ministre se transforme en juge sans connaitre le dossier !

Emmanuel MACRON  juge « inexplicable » et « inexcusable » la mort de NAHEL MERZOUK.

L’inexcusable est un mot violent du Président et c'est une faute grave de sa part !

 L’Assemblée Nationale observe une minute de silence « en mémoire de NAHEL, en soutien à ses parents, et à ses proches ». 

Les services police et justice ont été immédiatement saisis, il restait donc à nos politique MACRON et DARMANIN ... un droit et devoir de ne pas intervenir ainsi. Ce ne sont pas des juges !

Ces malencontreuses interventions n’ont en plus vraiment pas contribué à empêcher les nuits d’émeutes qui ont suivi !

 

LES ÉNORMES RESPONSABILITÉS SOCIÉTALES

Ce qui pour nous est gravissime c’est que notre Société dans cette affaire a déjà fait deux victimes personnes physiques : le jeune NAHEL élevé par sa mère et abandonné « avant sa naissance » par son père.

NAHEL, conducteur sans permis, sans assurance ayant déjà été poursuivi pour des délits routiers et arrêté déjà deux fois pour refus d’obtempérer ; la dernière foi, le 24 juin avec garde à vue 3 jours avant le drame !

Le conducteur du véhicule ce matin commet plusieurs infractions au code de la route, dont le franchissement d'un passage piétons, mettant ainsi en danger un piéton et un cycliste

Il a été noté aussi à son encontre les poursuites pour usage et détention de stupéfiants.

Il n’a et ne sera jamais condamné.

Tout cela nous permet de faire porter une grande part de la  charge de cette affaire à notre société et à sa tolérance, à son laxisme que la Justice devra justifier ...jamais NAHEL n’aurait dû être là où il était  à l’heure où il a été tué au volant d’un véhicule alors qu’il n’a pas son permis et ne peut même pas disposer des moyens légaux de financer le prix de la location de la puissante voiture qu’il conduisait et lui permettait de rouler sur une voie réservée aux bus !

Que faisait donc NAHEL ainsi avec ses deux amis mineurs ce matin ? Se dirigeaient-ils vraiment ans vers leur établissement scolaire ?

La JUSTICE a dû éclaircir ces points pour oser prendre le risque d’accuser de meurtre le policier qui lui est et restera avec les siens un serviteur de l'État et de notre sécurité cassé pour la vie. Il faudra bien suivre son procès pour savoir si la France sait reconnaitre ceux qui la servent et porter le juste jugement. 

Se jouera dans ce procès l'avenir de notre police et le poids de ceux qui doivent oser la défendre.

Il faut préciser que le motard policier aujourd'hui libre après des mois en préventive puis libéré et en poste dans le Sud de la France et son collègue étaient bien de 27 juin 2023 en mission de policier. Ce n’est pas contesté.

 

Nous attendrons donc maintenant la décision de la Cour d’appel le 3 décembre prochain sur le renvoi du policier devant la Cour d’Assises de Versailles. Les juges seront-ils à la hauteur des enjeux de ce drame ?

 

 

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14 novembre 2025 5 14 /11 /novembre /2025 21:14
LA JUSTICE C'EST L'IMPARTIALITÉ

LA JUSTICE C'EST L'IMPARTIALITÉ

 

 

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2025/11/pauvre-justice-pauvre-magistrature-pauvre-justifiable.html

 

DES MOYENS TRÈS INSUFFISANTS

Le Service Public de la Justice c'est près de 9 000 magistrats sur un effectif de 90 000 fonctionnaires et 85 000 prisonniers..et 1 100 00 affaires par an ! en croissance sans cesse .

Il ne faut pas oublier que ce Ministère gère la « pénitentiaire » et qu’en ce domaine il y a une inadéquation impressionnante entre les missions et les moyens.

Ceci « pénalise » fortement le fonctionnement de toute l’institution et peut expliquer au moins en partie ses dysfonctionnements souvent dénoncés.

À cela, il faut rajouter la mauvaise habitude de l’État d’une part, de charger de missions nouvelles l’institution et celle aussi des réformes déstabilisatrices, incomplètes, non financées...

En plus, le législateur ne travaille pas avec assez de sérénité et la prolifération de textes et missions nouvelles déstabilisent le personnel de la structure (voir les projets informatiques et les observations de la Cour des Comptes. Là, aussi !.

Cela laisse une impression très désagréable d’une Justice débordée, désordonnée.

Il est un fait indéniable, en France, budgétairement, la Justice française dans les études comparatives n’a pas été gâtée depuis des décennies et, en ce domaine, particulièrement, le retard a du mal à être comblé. Et la période actuelle ne lui est pas encore favorable.

 

L’ÉCOLE NATIONALE DE LA MAGISTRATURE ( ENM ) MISE EN CAUSE

Elle est souvent mise en cause par les professionnels liés au Service Public dans le malaise judiciaire que traverse la France.

Nous n’avons malheureusement pas les moyens de pouvoir porter un jugement objectif sur ses méthodes pédagogiques mais, par contre, nous en voyons le résultat dans la pratique. Il y a des failles, des fautes que l’on retrouve dans les décisions de Justice dont les Chroniqueurs juristes peuvent faire leurs choux gras.

 C’est le déshonneur de la Justice même si les chroniqueurs parfois eux-mêmes ne sont pas exempts de subjectivisme. Mais eux ne sont pas juges !

Cette « école » comme d’autres institutions de l’État est marquée par les ravages de la pensée unique, par l’anarchisme dans sa version wokisme, par le pouvoir de juges qui s’immiscent dans le pouvoir d’État...Le vers est dans le fruit.

Nous avons noté cet aveu de magistrats qui ont publiquement affirmé qu’il est de leur pouvoir de traiter un ancien Président de la République comme un simple citoyen ainsi broyé par un petit juge aux pouvoirs surdimensionnés qui s’affranchit des textes qui s’imposent à lui et à la déontologie . Voir nos précédentes parutions.

Cet aveu est corroboré par une déviance de la conception même de la fonction du juge par les juges eux-mêmes.

Sur le plan pratique, cette « école » a failli à sa mission car elle n’apprend plus assez aux futurs magistrats la modestie qui est de mise quotidienne dans la fonction de juge.

En 2025, l'ENM est-elle, comme les Tribunaux  comme le  Ministère de la Justice débordée ?

Être modeste, c’est pour un magistrat douter, toujours douter et ne pas se fier à cette déviation grave nommée improprement « son intime conviction » qui peut ainsi devenir un moyen vicieux et pervers pour le magistrat de s’affranchir de textes de droit qui pourtant s’imposent à lui.

L’intime conviction est subjective donc dangereuse. Elle est la porte ouverte pour permettre au magistrat de mettre de côté le droit pour tenter d’imposer ses supputations et aspirations personnelles au détriment de l'impartialité de la Justice.

Dire le droit, rien que le droit c’est pour un magistrat fonder sa décision sur le droit objectif, sur la loi et non dévier de cette obligation pour imposer sa vision personnelle, toujours subjective du dossier. C'est son engagement personnel vis à vis de la société.

Il est donc constaté qu’il a manqué et manque encore aux magistrats ce que leur École ne leur a pas assez inculqué : douter, la modestie, le sens de l’impartialité.

 

À SUIVRE...

Carriérisme, Syndicalisme et Corporatisme 

 

 
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13 novembre 2025 4 13 /11 /novembre /2025 21:03
LE MINISTÈRE AMBIGU

LE MINISTÈRE AMBIGU

 

 

ESSAIS POUR RETROUVER LES CLEFS POUR COMPRENDRE LES DIFFICULTÉS DE NOTRE JUSTICE

 

Être magistrat ce n'est pas qu'un honneur , c'est un véritable  un sacerdoce. C’est exercer un pouvoir « extra ordinaire » où le doute, la remise en cause du juge doit être une présence pesante de tous les instants .

Les magistrats intellectuels reconnus et patentés et parfois irresponsables n’ont pas fini de souffrir au niveau du fameux rapport entre la Justice et les français.

L’échec cuisant de l’ex Ministre Garde des sceaux Eric DUPOND-MORETTI dans son projet de réconciliation des français avec leur Justice.

Il a eu le grand tort de tenter de régler ses comptes avec les magistrats ce qui n’était certainement pas le meilleur moyen de gérer son Ministère après toutes les affaires personnelles qu’il trainait dans sa sacoche.

Un magistrat, un homme public ne peut accepter cette haute fonction pour régler ses propres problèmes. Il a réussi à épaissir le nuage autour de ses anciens dossiers et nous vous donnons ce commentaire de 2023 » :

 «Le garde des Sceaux a matériellement commis le délit de prise illégale d’intérêts, mais en l’absence d’élément intentionnel, l’infraction n’est pas constituée, a décidé la Cour de justice de la République. Côté majorité, certains considèrent que cette décision marque la reprise en main du politique sur le « pouvoir des juges ».

Malheureuse affaire qui laisse planer un doute sur les rapport d’une justice indépendante et les pouvoir judiciaire et le pouvoir  exécutif (politique). Mauvais service rendu à la corporation des magistrats .

Personne n’a vraiment compris comment fonctionnait le couple MACRON DUPOND-MORETTI et cela est nocif dans le jugement des français sur leur Justice.

Au lieu de réconcilier, l'ex avocat DUPOND-MORETTI a réussi à accentuer la fracture.

Ces affaires n’intéressaient pas le citoyen justiciable : affaires d’écoutes, prise illégale d'intérêts...

Le français veut une Justice en laquelle il peut avoir confiance, rapide, disant le droit, que le droit et rien que le droit.

 

DES MAGISTRATS DÉCONSIDÉRÉS

Le magistrat est à sa place quand il dit le droit, justifie ses décisions, reconnait ses erreurs.

La justice est faite par des hommes et des femmes qui peuvent errer (errare humanum est, perseverare diabolicum ) ...le vieux et toujours d’actualité procès d’OUTREAU (procès de 2004)  et les extravagances des juges dans cette affaire exemplaire qui illustre encore tout le contraire de la Justice impartiale et indépendante.

Sur cette affaire qui illustre dramatiquement les déviances de la justice nous « incriminons» tous les juges depuis le juge Fabrice BURGAUD et tous les juges de la Cour d’Appel qui ont été complices de ce fiasco de la Justice et dont celle-ci n’a toujours pas tiré toutes les leçons. Rappelons que ce fiasco n'a pas empêché au Juge Fabrice BURGAUD de faire une belle carrière au sein de la Haute Juridiction Cour de Cassation !

Le magistrat n’est plus à sa place quand il se déshonore à tenter de prouver l’improbable et qu’il doute, quand il a constaté qu’il n’a pas la preuve irréfutable, irréfragable des griefs qu’il avance, quand il ne peut fonder indubitablement sa décision.

Mieux vaut un coupable en liberté qu'un innocent en prison.

La Justice oublie ou occulte de plus en plus ses fondamentaux

Cette position critique et dramatique que nous vivons par rapport à la Justice vient de franchir un nouveau cap dans l’échelle de la défiance du justiciable face à la justice de son pays.

En effet, nous nous enfonçons dans le sentiment généralisé d’une Justice indigne incompréhensible avec le procès spectacle SARKOZY et une accusation qui se révèle infondée de pseudo financement libyen de la campagne électorale de 2007 : 20 ans d’instruction et les magistrats qui se sont succédé n’ont pas trouvé la preuve d’un centime libyen dans les kilos du dossier. C’est un encore fiasco médiatisé.

il y a eu 18 ans d’instruction : des millions d’euros dépensés pour tenter en vain de trouver une base juridique à la condamnation de r Nicolas SARKOZY.

C’est pour des raisons d’État que nous voulons pas ignorer que la justice montre qu’elle sait attendre tandis que le justiciable qui vit la peur au ventre que son dossier soit traité sur des bases, des faits qu’il conteste à juste titre.

 

À SUIVRE ...

 

JUSTICE :  LES CAUSES DE SON MAL-ÊTRE

 

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11 novembre 2025 2 11 /11 /novembre /2025 21:03
LA JUSTICE EMPÊTRÉE DANS LE DOSSIER SARKOZY

LA JUSTICE EMPÊTRÉE DANS LE DOSSIER SARKOZY

 

 

RELATIONS DE LA FRANCE AVEC LA LIBYE DE KADHAFI

 

Depuis au moins 1996 des Services de l’État français s’intéressent aux problèmes de la LIBYE et de son Président dictateur accusé de soutenir le terrorisme et bien sûr les relations inter étatiques franco-libyennes.

Les attentats meurtriers perpétrés contre deux avions et de nombreux autres faits en Libye puis en Afrique ont abouti à faire mettre la Libye en quarantaine.

Le Président KADHANI fit amende honorable en livrant des agents suspectés de l’attentat de LOCKERBIE et dédommageant les familles des victimes.

Puis, il se rapproche aussi des États-Unis, de l’Italie, de l'Espagne, et participe à la lutte contre l’immigration clandestine vers l’Europe, renonce à l’arme nucléaire...

Ces gestes et l’odeur du pétrole le « réhabilitent ». Il redevient « fréquentable ».

Arrivé au pouvoir suite à un coup d’État en 1969, il dirigera le pays de manière tyrannique et donc sanguinaire jusqu'à sa mort dans des conditions assez mystérieuses en 2011.

Ce climat qui entoure le personnage fait que lorsqu’en 2007, le Président KADHAFI fait une visite en France et est reçu par le Président SARKOZY, il y a eu des manifestations rappelant que les auteurs de l’attentat contre l’avion DC 10 d’UTA (1989, 170 victimes) ont été protégés par le même KADHAFI qui fait fi aussi du respect des droits de l’homme.

Cette visite était entourée de force promesses de contrats juteux pour l’économie française et autour de ces contrats âprement disputés il y avait aussi des « commissions»à hauteur de l’importance des marchés (aéronautique, nucléaire, armement...).

Ainsi la Juge Présidente du Tribunal qui jugeait Nicolas SARKOZY sur la présumée aide financière de la Libye aux frais de campagne électorale, Nathalie GAVARINO dans son mémoire prend bien soin de rappeler ce que furent à l’époque les relations franco- libyennes (page 1 et suivantes I – « Présentation de l’État Libyen jusqu’en 2011 . »

 

 

UN JUGEMENT DE NICOLAS SARKOZY EN 2025 SUR DES FAITS ANCIENS PLUS OU MOINS ENTOURÉS DU SECRET D’ÉTAT INCLUS DANS LA COMPÉTENCE D’UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET DATANT D’UNE QUINZAINE D’ANNÉES

Ces informations sur l’exercice de la fonction présidentielle n’ont pas ne pas avoir eu un impact fort sur le jugement et les condamnations.

Mais , il n’appartient pas au juge d’étaler en sortant de sa compétence de magistrate les liaisons dangereuses du gouvernement français de son Président de l'époque et des industriels intéressés par des contrats avec le sulfureux Président de la LIBYE qui avait pouvoir de décision sur tous ces types de marchés !

Mais de là en plus à aller jusqu’à estimer que dans ces discussions entre États il pouvait y avoir un délit de "constitution d’association de malfaiteurs" incluant le Président Français, ses ministres, des tiers négociateurs et intermédiaires, c’est bien sortir complétement u domaine pur de la JUSTICE.

Ajoutons quand même le rappel que la juge fait en reconnaissant que dans le dossier d’instruction il n’a pas pu être trouvée la moindre trace de fonds libyens dans les comptes de campagne de Nicolas SARKOZY !

C’est pourtant bien que, à cette époque, que les décideurs se sont connus, fréquentés non pour commettre un délit mais pour défendre les intérêts de la France...ce qui n’est pas à notre humble avis un « délit » en droit français qualifié tel par la présidente Nathalie GAVARINO qui fonde donc à la légère sa décision très grave sur des actes d’une « gravité exceptionnelle » qu’elle est bien incapable de prouver.

 

À SUIVRE :

UN JUGEMENT DES CONDAMNATIONS QUI ATTEIGNENT L’HONNEUR DE LA JUSTICE

 

 

 

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10 novembre 2025 1 10 /11 /novembre /2025 21:34
NICOLAS SARKOZY EN PRÉSIDENT

NICOLAS SARKOZY EN PRÉSIDENT

 

 

QUEL ÉTRANGE JUGEMENT !

 

L’incarcération de Nicolas SARKOZY a fait couler beaucoup d’encre. Sa libération conditionnelle en fera couler un peu moins. Ce court séjour en prison fut aussi symbolique que malvenu...pas une erreur mais une faute de la Justice. Une humiliation pour la juge Nathalie GAVARINO qui a fait le nécessaire pour que son condamné comme d’autres inculpés passent par la case prison pour l’exemple.

La lecture que nous faisons des 382 pages du document de la Juge Nathalie GAVARINO « MOTIVATION PÉNALE – COPIE DE TRAVAIL » est étonnante voire détonante et se termine par la terrible condamnation de Nicolas SARKOZY et de ses co inculpés.

Si les chroniqueurs un peu juristes lisent avec honnêteté le document dit jugement « MOTIVATION PÉNALE » que nous tenons à leur disposition, ils seraient comme nous, atterrés de ce qui peut être dit et écrit pour aboutir à cette condamnation sans preuves, hors normes.

La Juge a proprement écarté , noir sur blanc, faute de preuves sérieuses, les nombreuses accusations figurant sur l’ordonnance de renvoi qui pesaient sur les 4 complices de l’Association de Malfaiteurs (Nicolas SARKOZY, Claude GUÉANT, Brice HORTEFEUX et l’homme d’affaires Ziad TAKIEDDINNE, maffieux, intermédiaire franco libanais, aujourd’hui décédé).

Par contre, elle a usé et abusé de l’article 450-1 du Code Pénal sur l'association de malfaiteurs qui est fondée sur un groupement d'individus formé en vue de la préparation d'un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement pour retenir ce grief sans preuves pour étayer sa décision. Affligeant !

Après, surtout, ne nous dites plus que Nicolas SARKOZY est traité comme tout citoyen qui, sur un tel dossier, n’aurait pas été condamné à de la prison ferme avec délivrance de mandat de dépôt, exécution provisoire...et sortie de prison 20 jours après son incarcération.

Tout cela, est-ce sur ordre ? Est-ce par conviction intime d’une Juge ?

L’histoire, les mémoires de la Juge, les magistrats de la Cour d’Appel de PARIS nous en diront plus.

Dans une série de parutions depuis le jour du jugement le 25 septembre nous avons fait part sur la base du « jugement » qui n’en n’était pas un au sens juridique du terme, de nos doutes sur cette Justice.

 

AFFAIRE À SUIVRE

D’abord le Président SARKOZY n’en n’a pas fini avec la Justice puisqu’il sera rejugé par la Cour d’Appel de Paris en mars 2026. Nous devrions être surpris de la tournure de cette affaire.

Lors de l’Audience de ce matin sur la libération du Président SARKOZY ce jour 10 novembre 2025 en vidéo conférence Nicolas SARKOZY s’est exprimé en re clamant son innocence :

« Je souhaite que la Cour soit convaincue d'une chose. Je n'ai jamais eu l'intention, l'idée folle, de demander à KADHAFI un quelconque financement. Jamais je n'avouerai quelque chose que je n’ai pas fait", » « "Je n'aurais pas imaginé attendre 70 ans pour connaître la prison : »

 

 

Décidément le justiciable incarcéré condamné par le Tribunal Judiciaire de PARIS nommé SARKOZY Nicolas ex Président de la République n’est pas un citoyen ordinaire et sa condamnation initiale en première instance n’a pas fini de nous interpeller sur l’indépendance de la Justice en France.

 

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1 novembre 2025 6 01 /11 /novembre /2025 20:57
LE PRÉSIDENT SARKOZY

LE PRÉSIDENT SARKOZY

 

 

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2025/10/etrange-proces-de-l-embastille-sarkozy.html

 

LES MALFAITEURS ASSOCIÉS

 

Nous espérons commencer à avoir convaincu nos lecteurs que ce procès de l’ancien Président SARKOZY et de ses co-inculpés est une escroquerie, une comédie tragique pour l’Institution Justice et la France.

 

LA MISE EN SCÈNE DU TRIBUNAL DE PARIS QUI A CONDAMNÉ LES « MALFAITEURS » ASSOCIÉS SANS PREUVES

L’objectif de la Juge Nathalie GAVARINO du Parquet National Financier PNF , Juridiction d’exception, est simple : démontrer qu’au plus haut niveau de l’État français, il y a un groupe d’habitués aux pratiques maffieuses pour arracher la signature des contrats de milliards de dollars puis d’euros et des commissions énormes attribuées à des intermédiaires qui exécutent les sales besognes et peuvent...

La mise en scène scabreuse et hypothétique d’un trio SARKOZY, GUÉNANT, HORTEFEUX fondant un quatuor avec l’orfèvre en commissions et autres carambouilles Ziad TAKIEDDINE forment soi-disant une association de malfaiteurs organisant une collecte de fonds à l’étranger pour financer la campagne électorale préparée de très, très longue date avec des fonds libyens.

La mise en scène imaginée par la Juge comprend des flash-backs où l’équipe des pieds nickelés accusés aurait pu s’entrainer en toute impunité et tirer les leçons d’affaires comme celles dite de KARACHI.

Les associés malfaiteurs usent et auraient abusé de connivences pour commettre des délits voire des crimes !

Pour la Juge cela aurait pu lui permettre de prouver la préméditation, idem pour les voyages pour négocier des commissions faramineuses circulant à travers le monde par des circuites secrets et contrats mirobolants de milliards de dollars...on nage dans un mauvais film policier mais la Juge a eu son heure de gloire médiatique et la Justices son déshonneur.

Les allégations de la Juge, Présidente du Tribunal, Nathalie GAVARINO ne vont convaincre personne. Nous pouvons même démontrer qu’avec son dossier écrit de ses propres mains elle doit elle-même reconnaitre qu’elle n’a pas trouvé un centime de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy provenant de Libye.

 

ALORS ?

COMMENT CONDAMNER LES INCULPÉS APRÈS DES ANNÉES DE HARCÈLEMENTS JURIDIQUES QUI DOIVENT SE TERMINER AVEC 13 INCULPÉS DONT NICOLAS SARKOZY ?

Après ce qui est écrit c- dessus, le doute s’installe. Quel le but poursuivi dans cette affaire par la Justice ?

La démonstration qu’a tenté de faire la Juge se heurte au bon sens d’une analyse simpliste : la Juge GAVARINO inclut dans son dossier des faits très anciens (1992 2012) comme ceux des dossiers KARACHI et AIRBUS EADS, vente d’armements ...pensait-elle déjà que cela lui permette de réaliser ses rêves : .la mise en cause directe ou indirecte de personnalités au sein de l’oligarchie corrompue qui règnerait sur la France. Pour cela, il faut PROUVER.

Ainsi, pour la Juge GAVARINO la Justice fera le ménage dans la caste qui dirige la France en condamnant des personnalités qu’elle incrimine :

LÉOTARD (comme ministre des armées), BALLADUR, De VILLEPIN ,TAKIEDDINE, GAUBERT (collaborateur de SARKOZY)... pour mouiller largement l’oligarchie intouchable comme le montre le procès sur les affaires de KARACHI qui n’en finit pas de finir https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Karachi

La Juge oublie que le versement de « commissions » à des agents publics étrangers est courant dans l’industrie et le commerce de l’armement. Il a pour but de « convaincre » les dirigeants politiques de signer les contrats et était autorisé en France jusqu’à l’entrée en vigueur en 2000 de la Convention de l’OCDE contre la corruption.

Le problème est que ces flashs que fait la Juge à eux seuls ne font pas une histoire cohérente et qu’il n’y a même pas de commencement d’exécution d’un délit et que la Juge et ses collègues aux ordres malgré quasiment deux décennies d’enquêtes sont contraints de dire qu’aucun délit à l’encontre des inculpés ne peut être retenu !

Pourtant elle a gagné puisque Nicolas SARKOZY aujourd’hui est embastillé.

Nous attendons ce que décidera la Cour d’Appel quand elle statuera. Suivra-t-elle la Juge GAVARINO et ses deux collègues sur les 4 griefs qu’elle a rejetés « faute de preuves » et sur « l’association de malfaiteurs » qui est un recours ultime de technique juridique au pénal quand le juge, par exemple, ne trouve aucun moyen pour fonder une accusation et que le prévenu a déjà fait des mois de prison préventive !...ll condamne alors en utilisant le délit d’association de malfaiteurs !

Ce délit trouve aussi application surtout dans les cas de narcotrafics et grand banditisme.

En l'espèce, la Juge Présidente du Tribunal  écrit et répète qu’il s’agit de fautes d’une gravité exceptionnelle. C’est facile à écrire et la Juge fantasme sans pouvoir prouver ses dires..

Elle imagine ainsi un « pacte corruptif » sans le prouver.

Et le comble, elle imagine que SI le Président SARKOZY avait été élu ...lisez bien...

« S’il est exact qu’il n’y a pas eu d’accroissement direct et immédiat de son patrimoine, l’association de malfaiteurs avait pour but de lui procurer un avantage dans la campagne électorale et de lui permettre d’accéder à la plus haute fonction et de l’exercer pendant 5 années. Il s’agit donc de faits d’une gravité exceptionnelle, de nature à altérer la confiance des citoyens dans ceux qui les représentent et sont censés agir dans le sens de l’intérêt général, mais aussi dans les institutions même de la République.

Ces éléments rendent nécessaire le prononcé d’une peine d’emprisonnement sans sursis...

Vous pouvez juger vous-même de la faiblesse du raisonnement et une vision abstraite et partisane du rôle d’un Président de la République.

Cette motivation unique qui est censée justifier  un emprisonnement et nombre de peines accessoires ne tient pas. Ce n’est pas avec des SI que l’on peut condamner en France mais avec des faits et autres preuves irréfragables.

C’est une motivation indigne d’un magistrat : quelle faute grave est donc reprochée à Nicolas SARKOZY ?...le Jugement ne le dit pas ...sauf que la rédactrice avance le délit d’association de malfaiteurs sans citer de faits précis pour corroborer ses dires ? Ces personnalités cxondamnées qui se fréquentent depuis des décennies n’ont-elles pas le droit de se consulter et même de parler élections ?

 

Trop politisée et trop mal syndicalisée la JUSTICE française telle que nous la vivons au quotidien, va continuer donc à souffrir et aura bien du mal à redorer son image : ce qui est très grave car le peuple français ne croit plus en elle .

 

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31 octobre 2025 5 31 /10 /octobre /2025 23:29
LA JUSTICE : UNE BALANCE, UN FLÉAU

LA JUSTICE : UNE BALANCE, UN FLÉAU

 

 

 

 

LA JUSTICE : CE N'EST PAS CELA

 

 

Décidément, même le Ministre de la Justice, censé être MACRONISTE, s’occupe de l’embastillement de l’ancien Président Nicolas SARKOZY.

Pour nous, nous poursuivons laborieusement notre enquête avec l’objectif de faire comprendre aux français que ce type de Justice est indigne de la France et révoltant car c’est une atteinte grave à l’honorabilité des 9000 de magistrats, greffiers et autres serviteurs du Service Public de la JUSTICE qui font un travail remarquable dans des conditions particulièrement difficiles. Ce procès c’est un modèle d’atteinte à l’indépendance nécessaire du juge.

Le procès SARKOZY est la caricature de la Justice française.

L’affaire du pseudo financement illégal de la campagne électorale de Nicolas SARKOZY qui fut élu Président en 2007 et candidat battu en 2012 par François HOLLANDE dans des circonstances qui encore une fois ont trahi le processus « normal » d’une élection présidentielle.

En effet, nous avons tiré une première conclusion sur ce dossier ....le prononcé du jugement est rendu public le 25 septembre 2025 pour un dossier constitué pour des faits remontant depuis l’an 2 000 voire même des faits remontant aux années 1990 !

La durée de l’Instruction est anormalement longue « comme si » des «  interventions » de personnes externes à la Justice attendaient le moment favorable pour mettre en difficultés Nicolas SARKOZY en faisant pression sur les magistrats.

Nous mettons en avant cet argument en nous fondant sur ce qui s’est passé aussi avec le fameux  Parquet National Financier PNF dans le dossier FILLON et les aveux de la Première Procureure Éliane HOULETTE qui a bien parlé des pressions qu'elle a subies ! Cela n'est pas de la Justice ...comme tout ce qui passe dans un pays de démocrates où des politiques créent  des juridictions d'exception pour avoir une JUSTICE AUX ORDRES comme le PNF créé sous le règne de François HOLLANDE ...même en France !

 

FAIRE TOMBER SARKOZY !

C’est la Présidente du Tribunal qui a repris le dossier et jugé Nicolas SARKOZY, la juge Nathalie GAVARINO qui, dans son mode de travail et pour le but qu’elle s’est assigné ou qui lui a été assigné par des « politiques » qui est de condamner Nicolas SARKOZY à une peine d’emprisonnement pour « des faits d’une extrême gravité » à une peine d‘une durée importante avec mandat de dépôt et à bien d’autres peines accessoires déshonorantes.

Nous nous en tiendrons au dossier et aux écrits de la Juge Nathalie GAVARINO et n'écrirons pas que les millions d'euros dont il est question dans le dossier n'ont pas été tentants pour les prévenus mais au moins pour ce qui est le prévenu SARKOZY rien n'a pu être retenu contre lui sur ce sujet des fonds Libyens.

 

MAIS QUELS FAITS RÉPRÉHENSIBLES SONT REPROCHÉS À NICOLAS SARKOZY ? DE QUOI EST-IL ACCUSÉ ?

Il faut rappeler que l’instruction a retenu 5 griefs contre Nicolas SARKOZY mais la juge avec précaution en a écarté QUATRE: faute de preuves suffisantes que nous retrouvons dans son mémoire baptisé « MOTIVATION PÉNALE » Les quatre griefs non retenus par le tribunal sont : 

  • L’enrichissement personnel des co-accusés,
  • Le financement illégal de la campagne électorale,
  • Le délit de corruption,
  • Le recel de corruption

https://www.olonnes.com/2025/10/le-president-nicolas-sarkozy-juge-et-traite-comme-tout-autre-citoyen.html

Le délit de financement illégal de la campagne électorale n’est pas retenu...il n’existe pas !

Il n’y a pas eu  d’enrichissement personnel du Président et de ses proches qui pourtant ont bien et beaucoup œuvré avec la Libye avec des dossiers étalés dans le document où il est question d’énormes marchés, d’énormes commissions...

Comme vous pouvez le deviner il ne reste donc plus rien de 20 ans d’instruction !!!!sauf... Le cinquième motif celui qui est retenu et qui est particulièrement est surprenant ; le délit d’association de malfaiteurs :

Les « associés malfaiteurs » sont Nicolas SARKOZY, Claude GUÉANT, Brice HORTEFEUX...et le citoyen franco-libanais Ziat TAKIEDDINE, entremetteur professionnel en vente d’armes, aéronautique...délateur et douteux personnage dont le témoignage a fondé l’accusation contre Nicolas SARKOZY ! un comble !

Lui, Ziat TAKIEDDINE, au moins a touché des millions d’euros en « commissions ».

C’est lui qui a inventé et impulsé cette idée de campagne électorale de Nicolas SARKOZY subventionnée par des fonds libyens.

L’accusation est donc fondée sur les dires d’un individu qui n’est pas crédible qui s’est retiré au Liban pour fuir la Justice française et est décédé en septembre 2025 avant la fin du procès nommé abusivement « procès SARKOZY » alors qu’il y a eu au moins une vingtaine d’inculpés et 6 condamnations ont été prononcées.

Le procès et les condamnations prononcées méritent encore de nombreux commentaires que nous devons distiller pour que chacun qui est un justiciable puisse se faire sa philosophie sur la Justice qui demeure faible car humaine !

 

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29 octobre 2025 3 29 /10 /octobre /2025 21:51
RÉHABILITER LE RÔLE, REVOIR LES MISSIONS DES FORCES DE L’ORDRE POUR LEUR PROTECTION ET CELLE DES CITOYENS

 

 

 

 

LÉGITIME DÉFENSE...POUR UN POLICIER OU UN GENDARME

On en parle peu mais il existe un « Code de la Sécurité intérieure » qui encadre bien ce que peut être la « légitime défense » pour les forces du maintien de l’ordre. Voir ci-dessous ...

 

DES POLICIERS EN PRISON PRÉVENTIVE

En voilà deux exemples :

Depuis juin 2024, un policier de 26 ans est en prison (préventive) depuis plus d’un an. Il avait répondu à un appel de sa grand-mère importunée par un squatter installé dans son garage.

Le policier s’est précipité chez sa grand-mère, a appelé du renfort et a été agressé par l’individu.

Il a fait usager de son révolver et a tué son agresseur

C’est la version que nous avons des faits. 

 

Ces faits nous rappellent le drame de Nahel, mineur et du policier qu’il a blessé mortellement en banlieue parisienne, au petit matin. Nahel était au volant d’une voiture puissante de location et avait été repéré et suivi par une patrouille de la police qui l’avait vu roulant à vive allure dans un couloir de bus. Il a perdu le contrôle de son véhicule qui a terminé sa course immobilisée face à la circulation.

Rejoint sur les lieux de l’accident par les policiers, le jeune conducteur a tenté de redémarrer au début du contrôle qu’effectuaient les policiers. Le premier policier qui commençait par lui demander ses papiers avait son arme à la main. Le jeune conducteur redémarre et un coup de feu part et blesse mortellement Nahel.

Ce qui s’est passé par la suite fait l’objet d’une enquête avec expertises.

Le policier est mis en prison où il restera du 27 juin 2013, jour des faits, au 15 novembre 2013 où il est libéré sous conditions. Il est mis en examen pour meurtre et passera aux assises en 2026. Le Parquet n’a pas retenu pas la légitime défense !

 

Les policiers, dans ces cas, incarcérés ce n’est pas une solution ou plutôt c’est une très mauvaise solution.

Il existe à l’étranger des pratiques à mettre en œuvre lors des interpellations qui sont plus protectrices des forces de l’ordre. Il y a aussi un problème de formation des policiers.

Pour l’instant, avec la loi, avec le laxisme reproché aux magistrats tout est fait pour que nos policiers, comme les enseignants et leurs familles ne sont pas assez protégés ni motivés. Les forces du maintien de l'ordre sont sacrifiées.

 

 

 

Article L435-1 Code de la Sécurité Intérieure

Dans l'exercice de leurs fonctions et revêtus de leur uniforme ou des insignes extérieurs et apparents de leur qualité, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnés à l'article L. 211-9, faire usage de leurs armes en cas d'absolue nécessité et de manière strictement proportionnée :

 

1° Lorsque des atteintes à la vie ou à l'intégrité physique sont portées contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d'autrui ;

2° Lorsque, après deux sommations faites à haute voix, ils ne peuvent défendre autrement les lieux qu'ils occupent ou les personnes qui leur sont confiées ;

3° Lorsque, immédiatement après deux sommations adressées à haute voix, ils ne peuvent contraindre à s'arrêter, autrement que par l'usage des armes, des personnes qui cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et qui sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui ;

4° Lorsqu'ils ne peuvent immobiliser, autrement que par l'usage des armes, des véhicules, embarcations ou autres moyens de transport, dont les conducteurs n'obtempèrent pas à l'ordre d'arrêt et dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui ;

5° Dans le but exclusif d'empêcher la réitération, dans un temps rapproché, d'un ou de plusieurs meurtres ou tentatives de meurtre venant d'être commis, lorsqu'ils ont des raisons réelles et objectives d'estimer que cette réitération est probable au regard des informations dont ils disposent au moment où ils font usage de leurs armes.

 

 

 

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