CES HOMMES ET INSTITUTIONS POLITIQUES QUI SONT SORTIS DE LEUR OBLIGATION DE RÉSERVE
Ce jeune franco-algérien de 17 ans Nahel MERZOUK vous le connaissez tous ...c’est lui qui par un beau matin du 27 juin 2023 à Nanterre au volant d’un véhicule de location très puissant a été tué lors d’un contrôle de la police après avoir commis plusieurs infractions.
Ce policier, ancien militaire, vous le connaissez tous ...même ni son nom ni son visage ne vous disent rien et pourtant vous êtes prêts à le soutenir car les policiers et gendarmes risquent tous les jours leur vie pour protégeant votre vie. C’est lui qui le brigadier-chef Florian M., accusé du meurtre du jeune NAHEL en juin 2023, qui est accusé maintenant d’avoir assassiné NAHEL au petit matin.
Le Président MACRON, le Ministre Gérald DARMANIN, la Première Ministre Elizabeth BORNE...prennent le 27 juin 2023 jour du drame et les jours suivants la parole faisant abstraction de la présomption d’innocence.
Elizabeth BORNE : « une intervention qui n'est manifestement pas conforme aux règles d’engagement de nos forces de l'ordre »
Gérald DARMANIN déclare que la vidéo filmée par un témoin de la scène est « extrêmement choquante » et « apparemment pas conforme à ce que nous souhaitons dans la police ». Le ministre se transforme en juge sans connaitre le dossier !
Emmanuel MACRON juge « inexplicable » et « inexcusable » la mort de NAHEL MERZOUK.
L’inexcusable est un mot violent du Président et c'est une faute grave de sa part !
L’Assemblée Nationale observe une minute de silence « en mémoire de NAHEL, en soutien à ses parents, et à ses proches ».
Les services police et justice ont été immédiatement saisis, il restait donc à nos politique MACRON et DARMANIN ... un droit et devoir de ne pas intervenir ainsi. Ce ne sont pas des juges !
Ces malencontreuses interventions n’ont en plus vraiment pas contribué à empêcher les nuits d’émeutes qui ont suivi !
LES ÉNORMES RESPONSABILITÉS SOCIÉTALES
Ce qui pour nous est gravissime c’est que notre Société dans cette affaire a déjà fait deux victimes personnes physiques : le jeune NAHEL élevé par sa mère et abandonné « avant sa naissance » par son père.
NAHEL, conducteur sans permis, sans assurance ayant déjà été poursuivi pour des délits routiers et arrêté déjà deux fois pour refus d’obtempérer ; la dernière foi, le 24 juin avec garde à vue 3 jours avant le drame !
Le conducteur du véhicule ce matin commet plusieurs infractions au code de la route, dont le franchissement d'un passage piétons, mettant ainsi en danger un piéton et un cycliste
Il a été noté aussi à son encontre les poursuites pour usage et détention de stupéfiants.
Il n’a et ne sera jamais condamné.
Tout cela nous permet de faire porter une grande part de la charge de cette affaire à notre société et à sa tolérance, à son laxisme que la Justice devra justifier ...jamais NAHEL n’aurait dû être là où il était à l’heure où il a été tué au volant d’un véhicule alors qu’il n’a pas son permis et ne peut même pas disposer des moyens légaux de financer le prix de la location de la puissante voiture qu’il conduisait et lui permettait de rouler sur une voie réservée aux bus !
Que faisait donc NAHEL ainsi avec ses deux amis mineurs ce matin ? Se dirigeaient-ils vraiment ans vers leur établissement scolaire ?
La JUSTICE a dû éclaircir ces points pour oser prendre le risque d’accuser de meurtre le policier qui lui est et restera avec les siens un serviteur de l'État et de notre sécurité cassé pour la vie. Il faudra bien suivre son procès pour savoir si la France sait reconnaitre ceux qui la servent et porter le juste jugement.
Se jouera dans ce procès l'avenir de notre police et le poids de ceux qui doivent oser la défendre.
Il faut préciser que le motard policier aujourd'hui libre après des mois en préventive puis libéré et en poste dans le Sud de la France et son collègue étaient bien de 27 juin 2023 en mission de policier. Ce n’est pas contesté.
Nous attendrons donc maintenant la décision de la Cour d’appel le 3 décembre prochain sur le renvoi du policier devant la Cour d’Assises de Versailles. Les juges seront-ils à la hauteur des enjeux de ce drame ?
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