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26 mars 2023 7 26 /03 /mars /2023 15:00
MIEUX VAUT UNE PETITE BASSINE BIEN ACQUISE CHEZ SOI QU'UNE MÉGA-BASSINE MAL GÉRÉE CHEZ LES AUTRES

MIEUX VAUT UNE PETITE BASSINE BIEN ACQUISE CHEZ SOI QU'UNE MÉGA-BASSINE MAL GÉRÉE CHEZ LES AUTRES

 

 

 

 

 

IMBÉCILE BÉCASSINE TREMPE TON ... DANS LES MEGA-BASSINES TU ME DIRAS...

 

RISQUE D’ATTEINTE ET DE REMISE EN CAUSE DE LA LIBERTÉ DE MANIFESTER

 

Nous espérions qu’en Deux-Sèvres, la journée de l’eau, le 22 mars 2023, fêtée abusivement ce week-end des 25 et 26 mars, ne sera pas une nouvelle fois des journées de la casse et du sang  !

Là aussi, nous voyons les méfaits de l’abus et du détournement des libertés fondamentales comme celle de manifester pour défendre une opinion. Cette liberté est un privilège de nos démocraties. Mais elle est fragile. Il appartient à l’État de la garantir et de la protéger.

Nous savons tous qu’il est tentant pour un Pouvoir de laisser une manifestation dégénérer pour tuer une cause qui peut être juste et défendable par les voies légales...

Un jour, il faudra tirer sereinement les conclusions des débordements de violence lors de l’épisode des Gilets Jaunes ! Y a-t-il eu des provocations ? Y a-t-il eu des dysfonctionnements dans la politique du maintien de l’ordre ?...

Comme il faudra bien analyser les dysfonctionnements de l’État dans la gestion du projet " Aéroport de Notre Dame des Landes".

Si manifester légalement devient la liberté de casser, d’instaurer la violence au lieu du dialogue, c’est le principe de la liberté qui peut ainsi être remis en cause.

Les professionnels organisateurs de la violence commettent une double faute :

  • Une menace sur une liberté fondamentale,
  • Une contre-performance pour la défense d’une cause qui pourrait être juste.

Le printemps revient et le droit de manifester aisément ses opinions et de manifester tout court réapparait mais le dialogue reste toujours un art difficile.

Ainsi la guerre pour ou contre les méga-bassines dans l’ouest de la France a repris pour fêter la journée de l’eau.

 

EAU : REVENIR AUX FONDAMENTAUX

- L’EAU EST UN BIEN COMMUN À PRÉSERVER

- LA CULTURE AGRO-CHIMIQUE N’EST PAS UNE BONNE CHOSE POUR LA SANTÉ, POUR LA NATURE, POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE. Elle n’est pas maîtrisée surtout ses effets nocifs laissent des traces indélébiles pour des décennies.

- LES LOBBYS N’ONT PAS LEUR PLACE DANS LA PARTICIPATION AUX RECHERCHES DE LA VÉRITÉ SUR LA PRÉSERVATION DU MILIEU NATUREL PUISQU’ILS AGISSENT POUR DÉFENDRE DES INTÉRÊTS PERSONNELS ET NON L’INTÉRÊT GÉNÉRAL

 

POURQUOI LES MÉGA-BASSINES NE SONT PAS LA SOLUTION ?

D’abord parce que l’eau est un bien commun indispensable que la nature nous donne et que son usage à titre privatif sans contrepartie donnée à la collectivité ne peut donc être admis. Ce système méga-bassines  génère abusivement des privilèges parfois insupportables.

Ensuite, parce que l’agriculture polluante doit abandonner ses pratiques néfastes,

Parce que la France doit retrouver son modèle agricole de production de qualité et que, si cela a un coût, il faudra un effort national et européen pour revenir à des pratiques agricoles acceptables et contrôlées sérieusement et en toute impartialité,

Mais pour cela, il faut une meilleure connaissance scientifique et objective des problèmes pour juger par exemple de l’intérêt des bassines. Les «experts » ne sont même pas d’accord sur un élément essentiel concernant l’irrigation : le pourcentage d’eau stockée dans une bassine qui s’évapore et donc, cette eau stockée n’est même pas utilisée pour l’irrigation !!! Sur ce point, suivant les études et annonces des données oscillent entre 5% et 50 % ! Sur le suivi de l’évolution de la nappe phréatique, idem... on est dans le vague depuis des années avec des études contradictoires . Ce n’est pas sérieux...mais à propos : à qui profite le crime ?

Sur le plan des contrôles, pour la première fois, nous voyons écrit qu’il faut « découpler » Chambre d’Agriculture (aux mains de la FNSEA) et les contrôles du respect des règles légales. Le contrôleur ne peut être dépendant du contrôlé...car, en toute impunité, il y a des « truands » qui disposent depuis des années de forages interdits pour maintenant remplir leurs bassines, il y en a d’autres qui puisent l’eau des rivières alors qu’il y a interdiction, il y en a qui irriguent en toute impunité à des heures interdites...  et à côté de ceux-là il y a d’autres exploitants, d’autres professions qui souffrent des mesures restrictives mais respectent les interdictions,

 

LA FRANCE NE MANQUE PAS D’EAU MAIS IL LUI MANQUE UN BON MODE DE GESTION DE CETTE RICHESSE

Il faut savoir que la France ne manque pas d’eau : la partie « utilisée » est infime par rapport à la ressource. Cela est une donnée sûre (Études CNRS). Il faudrait cependant une mise à jour sérieuse de ces études.

Il y a donc bien un problème de l’eau au niveau de l’agriculture, comme il y a un problème de l’utilisation des pesticides. Tout cela est maîtrisable si la puissance publique exerce, en toute impartialité, son devoir qui est de faire appliquer la loi : les lobbys camouflés au sein de la FNSEA et les autres encore plus camouflés doivent être chassés : l’eau est un bien commun il ne peut bénéficier à certains privilégiés...sinon la colère de certains trouvera sa justification !

Nous verrons bien comment le Tribunal des Sables d’Olonne va sanctionner les fraudeurs qui ont été « verbalisés » ! Le débat est ouvert.

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19 mars 2023 7 19 /03 /mars /2023 11:20
DE L'EAU : LA FRANCE EN POSSÈDE LARGEMENT MAIS IL FAUT SE DONNER LES MOYENS POUR EN PRÉLEVER ET GÉRER LA RESSOURCE

DE L'EAU : LA FRANCE EN POSSÈDE LARGEMENT MAIS IL FAUT SE DONNER LES MOYENS POUR EN PRÉLEVER ET GÉRER LA RESSOURCE

 

 

 

 

LA COUR DES COMPTES MET LES PIEDS DANS L’EAU

 

L’EAU ; IL NE FAUT PLUS ATTENDRE, IL FAUT AGIR ET, SUR CE SUJET, C'EST L'ÉTAT ET LES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES QUI DOIVENT EXERCER LEURS COMPÉTENCES

Suite de :

https://www.olonnes.com/2023/03/l-eau-un-bien-commun-vital-un-combat-ou-il-y-a-des-tricheurs.html

 

Depuis des années nous avons beaucoup entendu parler des scandales autour de l’eau : marchés publics, arnaques...mais rien ne bougeait.

Le monde s’agite enfin un petit peu autour de l’eau et même la Cour des Comptes y va de son plongeon.

En effet, dans son rapport annuel 2022 qui vient de paraitre, La Cour des Comptes vient d’en rajouter un grand verre dans le débat qui s’ouvre ou s’entrouvre sur la gestion de l’eau en France.

C’est pourtant carrément une alerte que lance la Cour des Comptes.

Voir le document dans son intégralité :

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/63651

 

L’EAU : UN ENJEU NATIONAL

Enfin, l’eau est reconnue comme un enjeu national et cela va donc bien au-delà de la pleurnicherie des médias sur un risque très hypothétique de sécheresse.

D’abord et enfin, le risque de pénurie d'eau en France est abordé par la Haute Juridiction.

Ce rapport, même s’il ne restera qu’un rapport, a au moins le mérite d’exister et d'être sérieux et crédible et il a aussi l’avantage de décrire des points rarement analysés en indiquant là où le bât blesse : 

« Une organisation inadaptée aux enjeux de la gestion quantitative de l’eau »

« La gestion quantitative de l’eau, prise sous l’angle de la rareté de la ressource, est devenue une préoccupation majeure. »

Oui, c’est une préoccupation mais, en face, il faudrait des réactions adaptées des pouvoirs publics.

Des organismes locaux multiples ont des bouts de compétences et selon nos observations sur place et sur pièces ces comités et autres machins dont l’énorme AGENCE DE L’EAU, les SAGE, la Police de l’Eau ,les SDAGE, des dizaines de syndicats mixtes ou pas ...sont dotés d’une super-capacité de ne pouvoir rien faire de positif sauf celui de se congratuler sur les vicissitudes locales de pénurie d'eau, de la disparition de zones humides, des coûts de traitement exorbitants des eaux usées, des réseaux défectueux, des cours d’eau pollués...

 

DES INTÉRÊTS DIVERGENTS ET LA PRESSION DES LOBBYS

Il est vrai que les enjeux sont de taille et que certains  intérêts locaux et nationaux inavoués des uns et des autres rendent la tâche des élus qui veulent avancer quasiment inutiles.

Citons le rapport de la Cour des Comptes :

"D’ores et déjà, sur une partie croissante du territoire, la consommation liée aux différents usages excède, sur des périodes de  l’année de plus en plus longues, la capacité des milieux à fournir de l’eau, et les mesures de restriction prises par l’autorité administrative se multiplient. L’insuffisance de la ressource et l’intensification des usages de l’eau, dont la consommation augmente dans de nombreux territoires depuis 2017, exacerbent les conflits d’usage."

Que ces choses-là sont bien dites...mais maintenant il faut passer à l'action.

 

Monsieur Emmanuel MACRON, Président de la République, ne pensez-vous pas que ce sujet « vital » de l’eau est plus important pour l’avenir du pays, de ses habitants, de son économie que votre réformette des retraites qui fait tant de bruit ?

Ce projet de réformette fait perdre trop d'énergie dont les citoyens ont besoin pour résoudre le problème des risques de pénuries d'eau, de la qualité de celle-ci, de sa distribution...Là, il y a bien un coup de pied à donner dans la fourmilière des lobbys qui s'agitent impunément.

 

 

 

L’EAU EN FRANCE : ATTENTION, ON VA COULER !
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18 mars 2023 6 18 /03 /mars /2023 17:58
L'EAU COULE ENCORE MAIS IL LUI FAUDRA UNE POLITIQUE

L'EAU COULE ENCORE MAIS IL LUI FAUDRA UNE POLITIQUE

 

 

 

 

 

LA France NE MANQUE PAS D’EAU MAIS L’ÉVOLUTION DES TECHNIQUES PEUT METTRE EN DANGER CE BIEN VITAL NOMMÉ « EAU »

Sur ce sujet comme sur celui gravissime des pollutions liées à l’utilisation massive des pesticides et du traitement des déchets ménagers depuis des années nous vous informons sur les combats menés contre l’inertie des responsables et contre l’irresponsabilité de certains consommateurs.

Contrairement à ce qui est trop souvent écrit la France est un pays qui ne manque pas d’eau mais c’est simplement la collecte et l’utilisation qui en est faite qui sont en cause.

Des saisons sèches, des années de sécheresse...il y en a eu et il y en aura encore.

Comme la viticulture, aujourd’hui encore, il y a de bonnes années et de moins bonnes

Alors que nos aïeux agriculteurs savaient s’adapter car ils n’avaient ni l’intention ni les moyens techniques de dompter la nature ni ceux pour la forcer.

Ils devaient se contenter, par exemple, de la polyculture, de l’utilisation des engrais naturels, de la mise en jachère...ils respectaient les sols.

Mais l’homme a voulu s’affranchir des caprices du temps (on dirait maintenant météo) et de ceux de la nature.

Pour produire toujours plus, il est prêt à tout essayer sans avoir de certitudes sur les conséquences de l’emploi des techniques nouvelles.

L’eau, elle, subissait les effets des techniques nouvelles mises en œuvre par des apprentis-sorciers et continuait inlassablement son cycle peut-être mis à mal par les interventions humaines hasardeuses...

Ainsi aux pollutions naturelles sont venues s’ajouter les pollutions nouvelles et autres phénomènes nouveaux dont l’homme ne maîtrise pas toutes les données.

La peur de manquer d’eau potable s’installe donc et comme l’État et les collectivités locales se doivent d’assumer l’approvisionnement de tous les habitants en eau potable...obligation de résulta...donc réglementation!

Donc face au risque de manquer...les préfets rationnent, restreignent l’utilisation de l’eau notamment pour les prélèvements pour les besoins de l’agriculture.

 

ON DÉCOUVRE QUE C’EST L’AGRICULTURE QUI EST LA PLUS GROSSE CONSOMMATRICE D’EAU

Le CNRS à la fin du siècle dernier a étudié ce phénomène a mis en évidence le fait maintenant incontesté que le plus gros consommateur d’eau avec le développement de de la technique de l’irrigation est l’agriculture.

L’agriculture moderne est aussi le plus gros pollueur de l’eau prélevée.

 

LE TRIBUNAL JUDICIAIRE DES SABLES D’OLONNE SAISI D’UNE AFFAIRE D’INFRACTION AUX RÈGLES CONCERNANT LES prélèvements D’EAU POUR L’IRRIGATION

Cette affaire illustre bien la problématique de l’eau.

C’est un bien qui est la propriété de tous utilisé plus par certains que d’autres. Utilisé abusivement ?

C’est un produit qui existe en quantité suffisante en France sauf si le monde agricole se met à en consommer trop.

L’eau devient alors une « source » de conflits arbitrés par la puissance publique.

Nous devrons attendre mi-avril pour avoir connaissance du jugement du Tribunal Judiciaire des Sables d’Olonne.

Après l’affaire des « bassines » c’est tout le problème de la préservation de l’accès de tous à un bien commun qui est posé.

C’est aussi tout le problème de l’agriculture moderne productiviste qui est aussi posé...on sait qu’elle est génératrice de pollution et qu’elle est aussi une richesse de la France et de son autonomie relative en matière d’alimentation.

Comme on sait aussi la part grandissante des lobbys « agro-chimiques» dans les décisions concernant par exemple l’utilisation de fertilisants et autres pesticides.

L'eau va redevenir un enjeu et il faudra bien cette fois que  soient cadrés les droits et devoirs des consommateurs en toute transparence...ce ne sera pas chose aisée tant les intérets des uns et des autres peuvent être divergents.

 

A SUIVRE ...

 

LA COUR DES COMPTES PLONGE DANS LA GESTION CATASTROPHIQUE DE L'EAU

 

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15 mars 2023 3 15 /03 /mars /2023 15:31
ELLE COULE, ELLE COULE L'EAU DU COURS D'EAU DU TANCHET QUI IRA SE JETER DANS L'OCÉAN

ELLE COULE, ELLE COULE L'EAU DU COURS D'EAU DU TANCHET QUI IRA SE JETER DANS L'OCÉAN

 

 

 

 

LES MÉDIAS : ON NE PEUT PAS ET ON NE DOIT PAS LEUR FAIRE CONFIANCE

suite de :

https://www.olonnes.com/2023/03/il-pleut-sur-la-france.c-est-la-faute-du-changement-climatique.html

 

LA PRESSE ÉCRITE, LES JOURNAUX TÉLÉVISÉS ...VOUS ONT "INONDÉS" D'INFORMATIONS SUR LA SÉCHERESSE...CE QUI LEUR PERMETTAIT DE PARLER DU CHANGEMENT CLIMATIQUE DONT ON CONNAIT FORT PEU DE CHOSES ET DE NE PAS PARLER DES CHOSES QUI GÊNENT QUE LES INFORMATEURS SONT PRIÉS DE TAIRE

 

Ainsi quasiment tous les médias sont condamnés à vous "bourrer le mou" et particulièrement ceux qui traitent l'information "à chaud". Les informateurs journalistes et autres  échotiers  parlent de sujets dont ils n'ont pas  le temps de vérifier les sources.

Ce sont trop souvent seulement les communiqués des Agences de Presse et sur ces communiqués ils brodent le nombre de minutes ou de lignes que leur rédaction leur a accordé.

"Bourrer le mou" est ainsi défini "Mentir pour tromper, tenter de duper ou d'escroquer quelqu'un ...",  le mou, en vieux françois, signifie "cerveau" !

Nous sommes donc tous plus ou moins des victimes de l'imprudence voire de la médiocrité des médias.

Certaines informations peuvent être même volontairement déformées pour des buts inavoués et ou inavouables. L'exemple type est actuellement l'orientation de l'information pour sortir de l'objectivité sur la loi dite déjà à tort "réforme des retraites"...déjà le titre est un demi mais gros mensonge comme nous avons pu l'expliquer ...après avoir lu et relu le projet de loi et même suivi un peu les débats à l'Assemblée Nationale et aussi au Sénat.

Au Sénat, nous pouvons dire par contre, que nous avons entendu des exposés tant sur le fon d que sur les procédures de très, très haut niveau...dont nous n'avons pu lire une seule ligne dans la presse que nous épluchons pourtant tous les jours

C'est un peu comme si consigne était donnée à des journalistes de mentir y compris par omission.

Mentez, mentez...il en restera toujours quelque chose !

Pourtant la France ne manque pas de bons voire d'excellents journalistes et chroniqueurs.

Aujourd'hui, ainsi nous devons subir un assaut des pessimismes qui noircissent toutes les informations : il faut du drame, du sang, de l'ignominie...tout ce qui est bien, beau sera donc sacrifié et occulté. À qui profite le crime ?

C'est pour cela qu'il est intéressant de tout faire pour sauvegarder ce qu'on appelle les réseaux sociaux qui drainent le meilleur comme le pire....enlevons le pire pour que demeure le meilleur  c'est un certain contre-pouvoir qu'il faut protéger.

 

SOUVENEZ-VOUS LA SÉCHERESSE UNE FAUSSE NOUVELLE AU MOINS POUR LA VENDÉE...LA PREUVE VOIR CI-DESSOUS LE NIVEAU DE REMPLISSAGE DES BARRAGES-RETENUES D'EAU

Les courbes comparatives des dix dernières années années ne peuvent mentir...au 12 mars 2023 le taux de remplissage des retenus est de 85,8 % ...au plus haut depuis 10 ans comme ce fut le cas pour la troisième fois de cette décennie!

Mais, ce n'est pas pour cela qu'il faut gaspiller ce bien précieux qu'est l'eau ! Gardons les bonnes habitudes.

Il y a certainement des régions où la pluviométrie de ces derniers mois est défavorable mais cela ne permet pas de tirer d'exemples de zones où la pluviométrie a été déficitaire cet hiver pour dire que toute la France est menacée de sécheresse terrible pour cet été. C'est pourtant ce qu'on a essayé de nous faire croire. Annoncer cela, c'est simplement mentir comme nous l'avons entendu sur TF1 au cours d'un Journal tout récent de 13 heures.

Peut-être que cette fausse nouvelle "intéresse" ceux qui attendent des subventions, ceux qui font du catastrophisme leur fond de commerce comme les écologistes politiques...mais c'est une fausse nouvelle !

Alors, gardons ou prenons l'habitude d'être circonspect sur toutes les informations, gardons notre droit d'analyse et de scepticisme, recoupons les sources d'information et surtout apprenons aux jeunes générations à garder prudemment du recul face au flot d’informations qui nous submerge...les informations c'est comme pour les déchets :  on en produit trop donc TRIONS !

 

EN ROUGE SURLIGNÉ LA COURBE 2023...ALORS LA SÉCHERESSE EN 2023 ?

EN ROUGE SURLIGNÉ LA COURBE 2023...ALORS LA SÉCHERESSE EN 2023 ?

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2 mars 2023 4 02 /03 /mars /2023 21:25
PLUVIOMÉTRIE NORMALE, NIVEAU DES BARRAGES NORMAL...C'EST À CAUSE DE LA SÉCHERESSE...EN ROUGE 2022/2023

PLUVIOMÉTRIE NORMALE, NIVEAU DES BARRAGES NORMAL...C'EST À CAUSE DE LA SÉCHERESSE...EN ROUGE 2022/2023

 

 

 

 

LES MÉDIAS RESPONSABLES DE GROS MENSONGES ET ILS

PRATIQUENT AUSSI BEAUCOUP LE MENSONGE PAR OMISSION

 

Sécheresse sur la  France ? Voilà un bel exemple de fausse nouvelle, forme moderne du mensonge.

Mais, dans les médias, il y en a tant d’autres contre lesquels il faut aussi s’élever.

Nous devons tous réagir : il faut faire comprendre aux médias qu’il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.

Rappelons-leur ces deux dictons :

« Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Et cette situation a toujours à terme de graves conséquences au niveau d’un pays ».

« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »

Pour notre analyse nous avons choisi un sujet banal et récurrent : la couleur du temps, le changement climatique, l’écologisme...

Disons, par exemple, d’abord, que ce n’est pas parce qu’il fait chaud dans le Métro à Paris qu’il y a des signes de réchauffement de la terre sur toute la France. Il en est de même,  ce n’est pas parce que la pluviométrie a été faible dans le Sud de la France qu’il faut parler de la sécheresse en 2023 sur toute la France.Et pourtant c'est comme cela que l'information se forme et se déforme !

Partons des exemples de données que nous maîtrisons (Vendée) et sur la base des chiffres « météo » des années passées (une année météo va de septembre de l’année N à août de l’année N+1) et examinons la situation en ce début mars 2023.

Nous constatons que :

  • Contrairement à ce qui est annoncé la pluviométrie 2022,2023 est parfaitement dans la moyenne des 10 dernières années et ceci se reflète dans le taux de remplissage des barrages de ces 10 dernières années, (voir document ci-dessus),
  • La température : soit disant, nous avons entendu les journalistes dire et répéter que nous bénéficions d’un hiver particulièrement doux : désolé mais pour les chiffes des deux premiers mois d’hiver si, janvier est dans la moyenne, février, est largement en dessous des moyennes !
  •  

ALORS, QUE CROIRE ? QUI CROIRE ?

LE PIRE : LE TRI SÉLECTIF DE L’INFORMATION

D’abord comme le dit parfaitement l’expression « on ne vous dit pas tout »...

Quand on suit d’un peu près l’actualité, on est confronté à un énorme flot d’informations mais on s’aperçoit très vite que les « comités de rédaction » et autres censeurs sont en fait très souvent des usines de tri sélectif.

La presse écrite et la presse télévisuelle sont soumises à des pouvoirs et des idéologies qui sont des pressions permanentes qui tuent la vérité et la sincérité de l’information ce qu’on nomme l’objectivité.

Les journalistes savent qu’ils doivent parler le moins possible de la perte de pouvoir d’achat, des mois d’attente pour avoir un rendez-vous urgent chez un médecin généraliste ou spécialiste, de menaces d’attentats déjouées, de l’inflation, de la pauvreté, de la dette, de la vérité sur le projet de réforme des retraites ... mais qu’il vaut mieux traiter d’un fait divers qui a l’avantage d’être oublié le lendemain.

Combien l’affaire PALMADE a-t-elle pu occulter d’informations à diffuser beaucoup plus importantes ?

 

LE MOINS PIRE : LES FAUSSES NOUVELLES

Moins pire ? C’est une réalité très relative car la fausse nouvelle est lancée, en général, plus pour nuire que pour influencer l’opinion.

Une fois que le mal a été fait la fausse nouvelle est oubliée du public. Reste que les victimes de celle-ci sont elles aussi oubliées dans leur détresse.

 

UNE INFORMATION ASEPTISÉE, DES JOURNALISTES À LA DÉRIVE ET UNE INFORMATION DÉCRÉDIBILISÉE

C’est donc une conclusion alarmante que nous faisons : la liberté d’expression n’est plus une réalité. Elle n’est plus possible.

Tout cela est due, pour une part, à l’audimat qui condamne le journaliste à relater des faits qu’il n’a pu vérifier. Il vit avec la peur d’être doublé par un collègue, par les réseaux sociaux, par une présentation de la presse à scandale, d’arriver trop tard comme si l’information non vécue pouvait être servie sans vérification.

D’autre part, la presse écrite et la presse télévisuelle sont soumises à des pouvoirs et des idéologies qui sont des pressions permanentes qui tuent la vérité et la sincérité de l’information ce qu’on nomme l’objectivité. Une utopie à laquelle il faut faire confiance pour continuer à suivre l’information transmise par les médias.

Privés d’objectivité, nombre de lecteurs, auditeurs...ont donc déserté leurs marchands de journaux...sauf ceux qui s’acharnent à vouloir vous informer et sont obligés d’ingérer toutes les informations qu’ils peuvent pour fonder leurs dires par des recoupements sérieux et continuer à être encore crédibles et lus.

 

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17 janvier 2023 2 17 /01 /janvier /2023 18:46
C'EST VRAI, EN AOÛT 2022, POUR LA PREMIÈRE FOIS, MON LIT ASSÉCHÉ FAISAIT PITIÉ...UNE ALERTE DONT IL FAUDRA TENIR COMPTE

C'EST VRAI, EN AOÛT 2022, POUR LA PREMIÈRE FOIS, MON LIT ASSÉCHÉ FAISAIT PITIÉ...UNE ALERTE DONT IL FAUDRA TENIR COMPTE

 

LA VENDÉE ARROSÉE...UN BON PRÉSAGE POUR FAIRE LE PLEIN DES RÉSERVES, BARRAGES VENDÉENS ET TIRER UN TRAIT SUR LES MÉFAITS DE L'ÉCOLOGISME

 

Tous les jours, nous constatons...au pluviomètre : 10, 15,17...millimètres d'eau et les cours d'eau vendéens sont tous en crue.

Le taux de remplissage des barrages de Vendée va dépasser le taux excellent de 68% .

 

 

LE COMPLOTISME ÉCOLOGIQUE FAIT QUE LES COURS D'EAU VENDÉENS DÉVERSENT CES JOURS-CI DES CENTAINES DE MILLIERS DE M3 D'EAU DANS L'OCÉAN...SANS RETENUES

 

EELV, les Verts, les écologistes et leurs alliés,  Vendée Nature Environnement,  France Nature ENVIRONNEMENT avec la complicité des préfets et particulièrement le célèbre Préfet BROT et la législation européenne ont réussi à faire capoter le projet de barrage sur l'Auzance (8 millions de m3) et envoyer aux ordures 10 ans d'études !

Aujourd'hui, en VENDÉE, comme ailleurs, on peut parler du désastre occasionné par l'idéologie écologiste et par ceux qui, pour glaner des voix, par ambition ou par bêtises se sont acoquinés avec les écologistes depuis des décennies. L'erreur est humaine mais il faut savoir la reconnaitre. Tromper son monde, tromper les militants honnêtes et dévoués est une faute qu'il faut sanctionner.

La protection de l'environnement, le sauvetage de la planète appartient à tous les citoyens et ne doit plus être l'apanage de politiciens aussi ambitieux qu' éphémères.

 

IL APPARTIENT À TOUS LES CITOYENS DE PRENDRE EN CHARGE L'AVENIR DE LA PLANÈTE...PLUS DE PAROLES POLITICARDES MAIS DES ACTES RAISONNÉS, DES GESTES SIMPLES DE TOUS LES JOURS 

 

Les citoyens ne peuvent plus se laisser berner. Ce sont eux qui font les bons gestes pour sauver la planète...ce ne sont pas les politiques qui se déplacent en avion pour rien.

Les bons gestes citoyens doivent remplacer les discours et autres simagrées de ceux qui profitent des libertés de la démocratie pour répandre l'illusion, faire peur et casser le pays, dégrader des œuvres d'art comme le firent les terroristes talibans et autre ayatollahs de l'écologisme.

 

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15 janvier 2023 7 15 /01 /janvier /2023 21:48
L'EAU DU ROBINET : UN BIEN PRÉCIEUX

L'EAU DU ROBINET : UN BIEN PRÉCIEUX

 

 

MÉFAITS DE L’ÉCOLOGISME ET UNE GESTION TRÈS CRITIQUABLE DE LA RESSOURCE EAU

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/01/la-facture-d-eau-s-alourdit-la-faute-a-l-energie-a-l-inflation.certainement-pas.html

 

La France a le privilège de ne pas manquer d’eau comme l’atteste la pluviométrie au niveau national (800 millmètres par an) mais elle a beaucoup de mal à exploiter cette chance mal répartie dans le temps et dans l'espace mais surtout trop abandonnée aux lobbys et aux politiques.

L’écologisme a non seulement cassé la fière nucléaire française qui avait 15 ans d’avance sur les autres pays du monde lancés sur cette filière (USA, CHINE, RUSSIE et dans une moindre mesure GRANDE BRETAGNE) mais il a aussi participé à la casse de notre production d’eau potable nécessaire pour vivre et survivre.

Nous devons ainsi à des "politiques" écologistes des casses dans le domaine de l’eau comme le fit Madame Dominique VOYNET qui a enterré le projet grandiose en cours de réalisation de la Compagnie Nationale du Rhône CNR (société nationale).

Ce projet fluvial devait permettre de relier le Nord de l’Europe et ses grands ports au Sud de la France avec Marseille, alliant production d’énergie hydroélectrique, la relance de la navigation fluviale et des améliorations au niveau agricole.

Nous devons aussi à l’écologisme l’arrêt de la construction exploitation de nouvelles centrales hydro-électriques. Voir, par exemple, l’abandon scandaleux du projet de barrage sur l’Auzance et là encore on vit le lobby Vert bien implanté au niveau européen détruire la capacité française de diversifier ses « sources » d’eau potable.

On voit même maintenant, parmi les casseurs, le « syndicat » FNSEA qui vient au secours des « bassines », ces réservoirs qui peuvent atteindre une superficie de 100 hectares et plus pour permettre à des privilégiés d’utiliser, à leur seul profit, l’eau, bien commun, pour une irrigation forcenée, néfaste pour des productions agro-alimentaires pas nécessairement utiles.

SI VOUS PAYEZ CHER ET BIENTÔT BEAUCOUP PLUS CHER VOTRE EAU, C’EST SIMPLEMENT AUSSI PARCE QUE CE « BIEN COMMUN » QUE DAME NATURE OFFRE À L’HOMME EST MALTRAITÉ PAR CELUI-CI.  NOUS SOMMES DONC AUSSI TOUS UN PEU OU BEAUCOUP RESPONSABLES !

 

À SUIVRE...

UN MODE DE GESTION TRÈS CONTROVERSÉ : LA DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC

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14 janvier 2023 6 14 /01 /janvier /2023 17:43
LA FACTURE D’EAU S’ALOURDIT : LA FAUTE À L’ÉNERGIE, À L’INFLATION ...? CERTAINEMENT PAS

 

 

EN France, L’EAU ET SA FACTURE NE COULENT PAS, ELLES S’ENVOLENT

Ce vendredi 13 janvier 2023 fut jour de malchance pour de nombreux français qui voient tomber des décisions municipales qui annoncent la hausse du prix des m3 d’eau sur leur commune et donc sur leur facture d’eau. 

 

Exemples de ce 12 janvier 2023 pris dans Ouest-France :

« En 2023, les prix de l’eau vont augmenter dans de nombreuses communes. Les collectivités ont décidé de cette hausse applicable au 1er janvier.

Ainsi, à Rennes (Ille-et-Vilaine) et alentour, la collectivité Eau du bassin rennais a annoncé une hausse du prix de l’eau pour ses 240 000 abonnés. Cette hausse devrait s’établir à 1,50 € en moyenne par mois. Et c’est loin d’être le seul endroit de France frappé par cette augmentation.

À Nantes (Loire-Atlantique), les élus du conseil métropolitain ont eux aussi décidé de revoir les prix de l’eau : la partie abonnement va diminuer et la partie consommation va, elle, augmenter. Une manière d’avantager les foyers qui consomment peu, indiquent nos confrères de 20 Minutes . »

https://www.ouest-france.fr/economie/consommation/inflation-pourquoi-votre-facture-d-eau-va-augmenter-066bdde0-91c7-11ed-8422-8c5ee4e04114

 

JETEZ UN ŒIL SUR VOTRE FACTURE D’EAU : PEU D’EAU À PAYER MAIS BEAUCOUP D’AUTRES CHOSES À PAYER

Vous ne payez pas simplement l’eau que la nature vous offre gracieusement...mais bien d’autres choses dont les taxes (dont TVA sur ce bien de première nécessité). (voir photo ci-dessus).

L’eau est un bien commun gratuit qui coûte pourtant trop cher à celui qui l’utilise. Nous le démontrerons.

Quand on parle du coût de l’eau potable cela signifie que le particulier « abonné » paye tout ce qui concerne son eau potable depuis sa collecte (source ou souterraine) jusqu’à son retour dans la nature après usage (« assainissement »)

Vous payez le traitement, les infrastructures de transports, le traitement des eaux pour la rendre buvable, les taxes, l’assainissement, les coûts du recours à des prestataires (VEOLIA, SAUR, LYONNAISE...), le coût du personnel municipal affecté au service assainissement...

En principe, « l’abonnement » est affecté ou justifié par les investissements effectués par les collectivités et parfois par des délégataires pour que l’eau collectée depuis sa source soit d’une part acheminée, auprès du consommateur et d’autre part, redevienne consommable par celui-ci après avoir été utilisée et souvent polluée.

 

LA POLLUTION ENNEMIE DE L’EAU POTABLE ! POLLUEUR PAYEUR ?

Que ce soit l’eau d’origine souterraine ou celle de ruissellement (eau de pluie) stockée dans les retenues (barrages), l’eau doit être maintenant être traitée. Qui va boire encore l'eau qui coule sur la place du village ?

Ces traitements sont de plus en plus complexes et donc lourds financièrement puisque la pollution du milieu naturel ne cesse de croître depuis des siècles et que les usines de traitement, les traitements et les produits utilisés sont facturés aux consommateurs.

Ce qui est plus grave c’est que le progrès industriel, médical, agricole... accroît sans cesse et de manière exponentielle la pollution de l’eau consommable et donc le coût du traitement de l’eau pour la rendre potable et qu’en plus le nombre de consommateurs ne cesse de croître.

Il faut ajouter à cette vision des choses le fait que la fameuse industrie agro-alimentaire chimique d’un part nourrit mal son homme mais pire d'autre part, elle pollue notre planète et son eau pour des dizaines voire des centaines d’années.

Pour freiner ctete fuite en avant, Il faudra que nos gouvernants arrivent à appliquer le principe du pollueur payeur et que l’État tienne ses promesses en interdisant des pratiques nocives pour la santé publique.

Il y a donc là aussi la nécessité d’une éducation des citoyens depuis le plus jeune âge : l’eau est un bien commun inépuisable à condition de bien l’utiliser et de respecter la nature.

 

À SUIVRE ...

MÉFAITS DE L’ÉCOLOGISME ET UNE GESTION TRÈS CRITIQUABLE

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