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29 octobre 2025 3 29 /10 /octobre /2025 21:51
RÉHABILITER LE RÔLE, REVOIR LES MISSIONS DES FORCES DE L’ORDRE POUR LEUR PROTECTION ET CELLE DES CITOYENS

 

 

 

 

LÉGITIME DÉFENSE...POUR UN POLICIER OU UN GENDARME

On en parle peu mais il existe un « Code de la Sécurité intérieure » qui encadre bien ce que peut être la « légitime défense » pour les forces du maintien de l’ordre. Voir ci-dessous ...

 

DES POLICIERS EN PRISON PRÉVENTIVE

En voilà deux exemples :

Depuis juin 2024, un policier de 26 ans est en prison (préventive) depuis plus d’un an. Il avait répondu à un appel de sa grand-mère importunée par un squatter installé dans son garage.

Le policier s’est précipité chez sa grand-mère, a appelé du renfort et a été agressé par l’individu.

Il a fait usager de son révolver et a tué son agresseur

C’est la version que nous avons des faits. 

 

Ces faits nous rappellent le drame de Nahel, mineur et du policier qu’il a blessé mortellement en banlieue parisienne, au petit matin. Nahel était au volant d’une voiture puissante de location et avait été repéré et suivi par une patrouille de la police qui l’avait vu roulant à vive allure dans un couloir de bus. Il a perdu le contrôle de son véhicule qui a terminé sa course immobilisée face à la circulation.

Rejoint sur les lieux de l’accident par les policiers, le jeune conducteur a tenté de redémarrer au début du contrôle qu’effectuaient les policiers. Le premier policier qui commençait par lui demander ses papiers avait son arme à la main. Le jeune conducteur redémarre et un coup de feu part et blesse mortellement Nahel.

Ce qui s’est passé par la suite fait l’objet d’une enquête avec expertises.

Le policier est mis en prison où il restera du 27 juin 2013, jour des faits, au 15 novembre 2013 où il est libéré sous conditions. Il est mis en examen pour meurtre et passera aux assises en 2026. Le Parquet n’a pas retenu pas la légitime défense !

 

Les policiers, dans ces cas, incarcérés ce n’est pas une solution ou plutôt c’est une très mauvaise solution.

Il existe à l’étranger des pratiques à mettre en œuvre lors des interpellations qui sont plus protectrices des forces de l’ordre. Il y a aussi un problème de formation des policiers.

Pour l’instant, avec la loi, avec le laxisme reproché aux magistrats tout est fait pour que nos policiers, comme les enseignants et leurs familles ne sont pas assez protégés ni motivés. Les forces du maintien de l'ordre sont sacrifiées.

 

 

 

Article L435-1 Code de la Sécurité Intérieure

Dans l'exercice de leurs fonctions et revêtus de leur uniforme ou des insignes extérieurs et apparents de leur qualité, les agents de la police nationale et les militaires de la gendarmerie nationale peuvent, outre les cas mentionnés à l'article L. 211-9, faire usage de leurs armes en cas d'absolue nécessité et de manière strictement proportionnée :

 

1° Lorsque des atteintes à la vie ou à l'intégrité physique sont portées contre eux ou contre autrui ou lorsque des personnes armées menacent leur vie ou leur intégrité physique ou celles d'autrui ;

2° Lorsque, après deux sommations faites à haute voix, ils ne peuvent défendre autrement les lieux qu'ils occupent ou les personnes qui leur sont confiées ;

3° Lorsque, immédiatement après deux sommations adressées à haute voix, ils ne peuvent contraindre à s'arrêter, autrement que par l'usage des armes, des personnes qui cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et qui sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui ;

4° Lorsqu'ils ne peuvent immobiliser, autrement que par l'usage des armes, des véhicules, embarcations ou autres moyens de transport, dont les conducteurs n'obtempèrent pas à l'ordre d'arrêt et dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui ;

5° Dans le but exclusif d'empêcher la réitération, dans un temps rapproché, d'un ou de plusieurs meurtres ou tentatives de meurtre venant d'être commis, lorsqu'ils ont des raisons réelles et objectives d'estimer que cette réitération est probable au regard des informations dont ils disposent au moment où ils font usage de leurs armes.

 

 

 

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18 septembre 2025 4 18 /09 /septembre /2025 20:48
UNE RENTRÉE SOCIALE ESCAMOTÉE

UNE RENTRÉE SOCIALE ESCAMOTÉE

 

L’EXERCICE DU DROIT DE GRÈVE ET DE MANIFESTER

 

Ce 18 septembre 2025, la rentrée s’honore avec la rituelle journée de grève et de manifestations .

Nous rappelons que la grève est un droit reconnu : La grève est une cessation collective et concertée du travail en vue d'appuyer des revendications professionnelles.

Les autorités ont annoncé que plus de 500 000 personnes ont manifesté en France ce jeudi, la CGT en a dénombré "plus d'un million".

Il y a eu encore des débordements et des blessés du côté des forces de l’ordre. Donc de l’habituel et de l’inadmissible que nous ne pouvons que déplorer. Le droit de manifester n’est pas le droit de casser, ni droit de porter atteinte aux membres des forces de l’ordre mobilisées pour permettre l'expression collective du droit de manifester une fois de plus ou une fois de trop.

Pour exprimer des revendications professionnelles collectives, les salariés du secteur privé bénéficient d'un droit de grève.! Celle-ci est donc licite et sous conditions.

Dans le secteur public où le principe est la continuité du Service Public l’arrêt de travail sous forme juridique de grève est aussi sous conditions.

À ce droit de grève il faut joindre le droit de manifester (droit de réunion) aussi licite et aussi sous conditions.

Dans une journée comme celle de ce 18 septembre deux libertés s’expriment : celle de cesser le travail pour un salarié et la liberté de réunion et d’expression.

En France, les conditions mises à l’exercice de ces droits doivent avoir pour objectifs justement d’éviter les abus comme pour l’exercice de tout droit.

 

LE 18 SEPTEMBRE 2025 BILAN D'UNE JOURNÉE DE RENTRÉE SOCIALE ET UN PEU POLITIQUE

D’abord cette journée fait « double emploi » avec la journée du blocus du 10 septembre. De la concurrence ? Des actions complémentaires ?

Célébrer par une grève nationale et des manifestations à visée politiques la rentrée dans un pays en crise institutionnelles et financière sans gouvernement ne nous parait pas pour le moins très judicieux.

C’est une tradition mais dans des circonstances cette tradition est mal venue et n’est pas adaptée à la situation du pays. Certains plus critiques diront à juste titre que ce n’est pas un bon mode de d’expression des doléances actuelles des français et qu’il y a des nantis qui ont le privilège de s’octroyer une journée sans travailler oubliant que cette journée ne sera pas payée au travailleur gréviste. Un sacrifice inutile ?

En résumé, cette journée est décevante car elle ne mène à rien et nous ne pouvons lui trouver un fondement vraiment sérieux.

Même les élus de la Chambre des députés et du Sénat ont « fait grève » ou étaient sur le front des manifestations Donc, c’était bien une grève politique car non fondée sur des motifs purement professionnels.

Les syndicats ont manqué d’imagination pour donner à cette journée une portée de défense sérieuse des travailleurs et du syndicalisme qui seront les victimes comme tous les citoyens d’une situation nationale particulièrement alarmante.

C’est un dérapage juridique entaché de débordements inadmissibles mais comme d’habitude maintenant prévisibles. Cela est effectivement inadmissible.

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12 septembre 2025 5 12 /09 /septembre /2025 20:47
CE N'EST PAS UN PROGRAMME !

CE N'EST PAS UN PROGRAMME !

 

 

 

 

LE DROIT DE MANIFESTER

 

Sous certaines conditions visant surtout la sécurité publique, manifester est en France un droit reconnu.

L’article 10 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (DDHC) de 1789 stipule que :

« Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la Loi. »

Et puisque la déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen est incluse dans le Préambule de la Constitution, ses articles ont ainsi la même valeur juridique que ceux de la Constitution.

 

NOMBRE DE MANIFESTANTS (CHIFFRES DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR) LORS DES DERNIÈRES GRANDES MANIFESTATIONS

Pour éviter une bataille inutile de chiffres et avoir des éléments comparables nous prenons comme référence le chiffre officiel donné pour chaque cas par le Ministère de l’Intérieur

Blocus du 10 septembre 2025 : 175 000 manifestants

Retraites le 19 janvier 2023 : 1 120 000 manifestants

Gilets Jaunes : le 17 novembre 2018 : 187 000 manifestants

 

Le blocus du 10 septembre2025 est par ses moyens mis en œuvre assez comparable au « mouvement » des Gilets Jaunes qui est parti d’un ras le bol des augmentations des taxes sur les carburants et avait été « spontané », hors structures des syndicats ou autre institution.

De plus, les Gilets Jaunes se sont inscrits dans la durée et aussi comme le Blocus, ils ont été parfois débordés par la violence. Mais ils ont débouché sur le Grand Débat qui aurait pu être plus constructif.

Mais alors sur quoi peut déboucher une opération comme ce blocus : sur RIEN puisque le «mouvement» n’avait pas affiché d’objectif.

En effet, l’action Blocus n’avait pas d’objectif constructif et clair. Bloquer un Pays ne peut être un objectif en soi sauf dans les situations extrêmes.

Ceci peut expliquer que le Blocus soit considéré comme un échec et particulièrement un échec dû à la tentative de récupération de Jean-Luc MÉLENCHON et de sa France Insoumise.

À l’inverse, les grandes manifestations « contre la réforme des retraites » qui sont fondées avec des bases solides : un objectif « contre une réforme », avec présence et soutien des syndicats de salariés et un climat politique défavorable au pouvoir.

Mais « ce pouvoir de la rue » ne peut et ne doit pas se substituer au pouvoir légitime institutionnel démocratique.

Le sénateur communiste Ian BROSSAT dans sa déclaration « Bloquons Tout », avance clairement ses reproches et son idéologie contre le blocus : « On a besoin d’un immense mouvement social si on veut que ça change !»

C’est aussi une forme d’appel à la violence, au Grand Jour !

Blocus et démocratie ne peuvent faire bon ménage.

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7 septembre 2025 7 07 /09 /septembre /2025 21:06
LES TRIBUNAUX DÉBORDÉS

LES TRIBUNAUX DÉBORDÉS

SUITE DE

https://www.olonnes.com/2025/09/la-deparentalisation-la-faute-grave-de-la-societe-moderne-qui-sacrifie-sa-jeunesse.html

 

LA « DÉPARENTALISATION » LA FAUTE GRAVE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE « MODERNE » QUI SACRIFIE SA JEUNESSE ET LAISSE L’INSÉCURITÉ GÉNÉRALE S’INSTALLER.

 

Avant de tenter d’examiner pour cette rentrée le malaise des enseignants et celui de la jeunesse, nous voudrions rappeler que l’abandon de l’autorité parentale est une forme de paresse parentale qui a des conséquences sociales.

Les parents se sont ou ont été déchargés des notions d’éducation, de respect de l’autorité.

Mais alors : c’est la fin de l’autorité parentale !

 

LA FIN DE L’AUTORITÉ PARENTALE ?

Consultés par des parents aux prises à des problèmes d’exercice de l’autorité parentale, de décisions juridiques contraires aux intérêts et même à la santé des enfants concernés, nous avons tenté d’entrer dans le maquis des textes dont la lecture attentive devrait éclairer le profane qui pourtant est toujours un ou des justiciables qui sont dans des situations familiales, en général insupportables tant sur le plan personnel que sur le plan familial.

Conclusion : si ni les profanes, ni les parents concernés, ni les juges dans des juridictions spécialisés (affaires familiales et juges pour enfants) et surchargées vraiment ne peuvent juger sereinement ne peuvent plus s’appuyer sur un droit protecteur solide.

 

UN CODE CIVIL ILLISIBLE : DANGER POUR LA PROTECTION LÉGITIME DE L’ENFANCE

L’appel d’un juge pour enfants est dramatique : « La protection de l’enfance devrait devenir une priorité nationale »...cela signifie que la protection de l’enfance n’existe plus en France !

Nous recommandons à nos lecteurs de tenter de lire le Code Civil  : Titre IX : De l'autorité parentale (Articles 371 à 387-6)

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070721/LEGISCTA000006117839/

On se dit que lire quelques articles du Code Civil c’est digérable, cela doit être possible.

Non, en réalité, c’est incompréhensible même pour un juriste un peu averti.

 

REVOIR LE CODE CIVIL

Alors nous sommes tournés vers le professionnel du droit 'le juge aux affaires familiales '...voir ci-après dessous

 

Paragraphe 3 : De l'intervention du juge aux affaires familiales (Articles 373-2-6 à 373-2-13)

Modifié par LOI n°2024-120 du 19 février 2024 - art. 3

Le juge du tribunal judiciaire délégué aux affaires familiales règle les questions qui lui sont soumises dans le cadre du présent chapitre en veillant spécialement à la sauvegarde des intérêts des enfants mineurs.

Le juge peut prendre les mesures permettant de garantir la continuité et l'effectivité du maintien des liens de l'enfant avec chacun de ses parents.

CE N'EST PLUS L'AUTORITÉ PARENTALE ; C'EST CELLE DU JUGE

Pour obtenir la fixation ou la modification des mesures établies par le juge portant sur les conditions d'exercice de l'autorité parentale, du droit de visite et d'hébergement, de la pension alimentaire ou de la résidence habituelle de vos enfants ....il y a un imprimé CERFA ! et ...

avec renvoi à une liste impressionnante de « fiches »

htps://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R15764

Le Code Napoléon est mort avec les lois sur le mariage pour tous et en 2022 plus de 65 % des enfants sont nés hors mariage donc hors cellule familiale.

L’instauration du mariage pour tous par la loi de 2013 n’a pas fondamentalement inversé cette tendance, elle participe à une redéfinition du mariage comme n’incluant pas forcément un homme et une femme. Les familles monoparentales, de même sexe ou recomposées se développent. Ainsi qui responsabiliser ? Il faut de toute façon s’il y a des enfants il leur faut un statut protecteur clair et juste : ce n’est plus la cas !

Si on prend au mot le Code Civil version 2025 et les conditions d’exercice de l’autorité parentale comme il n’y a plus de famille sur le plan juridique le juge navigue à vue. Il improvise sur un sujet et des centaines de dossiers d’une extrême complexité !

La loi de 1970 a supprimé le statut de "chef de famille" du code civil et substitue à la notion de puissance paternelle celle d’autorité parentale commune au père et à la mère. Dans le cas de parents non mariés ou séparés, la loi attribue exclusivement l’autorité parentale à la mère !

Les parents se sont ou ont été déchargés des notions d’éducation, de respect de l’autorité au nom d’une certaine liberté aux contours indéfinis.

D’où des situations critiquables où l’intérêt réel de l’enfant, du parent ou des parents responsables voire des grands parents n’est pas nécessairement pris en compte

 

UNE SOLUTION ET UNE SEULE : REDÉFINIR LA FAMILLE « MODERNE » CELLULE DE BASE DE LA SOCIÉTÉ ET RÉAFFIRMATION DE LA FORME ET DES MODALITÉS DE L’AUTORITÉ PARENTALE RESPONSABLE. 

 

 

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28 juillet 2025 1 28 /07 /juillet /2025 20:51
CRÉATION DES DÉLITS D’HOMICIDE ROUTIER ET BLESSURES ROUTIÈRES

 

 

LUTTE CONTRE LA VIOLENCE ROUTIÈRE S’INTENSIFIE  : PEINES AGGRAVÉES ET DIVERSIFIÉES

 

Le Parlement est en congés mais les élus avant de faire leurs valises ont voté beaucoup, beaucoup de textes en dernière lecture. Et certaines sont très importantes comme on peut le voir déjà dans le titre de la LOI n° 2025-622 du 9 juillet 2025 créant l'homicide routier et visant à lutter contre la violence routière .

En effet, il en est ainsi du texte la loi du 9 juillet 2025 qui « adapte » les dispositions pénales en matière d’accidents de la route. Elle crée le délit spécifique d’« HOMICIDE ROUTIER » qui, en l’espèce, ne sera plus, en cas d’accident, considéré systématiquement, selon les circonstances, comme un « homicide involontaire ».

Il est bien dommage pour la Sécurité Routière que la période des vacances fait que la parution de cette loi ne puisse faire l’objet d’une campagne d’information plus importante.

 

LE DÉLIT D’HOMICIDE ROUTIER

Il est désormais sorti de la liste des « homicides involontaires » surtout en cas de preuve pour le « délinquant » de circonstances aggravantes comme la consommation d’alcool, de stupéfiants, excès de vitesses, usage du téléphone...

Les sanctions sont renforcées jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 euros d’amende justement en cas de circonstances aggravantes.

Cette loi met fin à une récrimination des victimes où le terme « involontaire » ne paraissait souvent vraiment plus approprié.

 

LE DÉLIT DE BLESSURES ROUTIÈRES

La loi instaure aussi un délit de blessures routières avec des peines graduées selon les durées de l’incapacité totale de travail (ITT)

 

LES PEINES COMPLÉMENTAIRES : SUSPENSION ADMINISTRATIVE DE PERMIS DE CONDUIRE ...

Pour la suspension administrative du permis de conduire : elle devient obligatoire en cas de conduite sous alcool ou après usage de stupéfiants.

Une liste complète des peines complémentaires comme l’interdiction d’exercer certaines fonctions, la confiscation du véhicule...est détaillée dans cette loi dont l’importance ne peut échapper à tous les citoyens.

Nous le répétons les conséquences de la conduite de tout véhicule sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants doivent faire l’objet de campagnes d’éducation et d’information...la consommation de stupéfiants quelle que soit la quantité est une circonstance aggravante car elle n’est jamais insignifiante pour les facultés du conducteur et pour sa santé et celle des autres.

 

Texte complet de la loi

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000051871463

 

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25 juin 2025 3 25 /06 /juin /2025 20:55
EMPLACEMENT DU PROJET DU NOUVEAU COMMISSARIAT DE POLICE

EMPLACEMENT DU PROJET DU NOUVEAU COMMISSARIAT DE POLICE

 

 

PRIORITÉ À LA SÉCURITÉ PUBLIQUE : UN NOUVEAU COMMISSARIAT AUX SABLES D'OLONNE

 

Ce dernier Conseil Municipal de ce lundi 23 juin, avant les vacances et l’ouverture de la saison, a eu aussi un parfum de fin de mandat et de parenthèse.

En effet, il permet de repasser en revue les derniers grands projets de cette mandature avec en premier la création d’un nouveau Commissariat de Police.

Le Maire Yannick MOREAU n’a pas caché que l’opportunité d’avoir Bruno RETAILLEAU comme Ministre de l’Intérieur a permis de conclure ce dossier rapidement et de manière très satisfaisante pour la Ville et l’Agglomération.

Ce secteur névralgique du Commissariat actuel des Sables d’Olonne bouge avec des dossiers comme celui du Musée, de la Médiathèque, l’affectation de l’ancien immeuble du Gaz, des opérations immobilières ...Est rouverte la perspective de ce qui avait été proposé hâtivement à la population et rejeté le 23 novembre 2023 par celle-ci. Il revient non pas au galop mais sous forme d’un puzzle dont les pièces sont ajoutées les unes après les autres ...le Grand Cours Louis GUÉDON va voir son jour arriver au moment qui n’était peut-être pas celui qui était initialement voulu ! Mais maintenant c’est signé !

Dans la présentation du projet le Maire Yannick MOREAU a abordé le problème qui secoue les français ; celui de la Sécurité Publique.

« La sécurité publique, une priorité sablaise qui fait la preuve de son efficacité .La sécurité publique constitue aussi la grande priorité de la Ville des Sables d’Olonne »

Les mesures sécuritaires s’additionnent. Ce qui n’était qu’un service public délaissé s’érige et s’impose en priorité pour les français. L’insécurité qui s’installait dans les zones suburbaines dits des zones de non droit a gagné tout le Pays.

 

LE PROJET DE TRANSFERT DU COMMISSARIAT DES SABLES D’OLONNE

Le projet de transfert présenté n’est pas une promesse mais la réalité concrète d’autant plus que l’État protecteur se désengage comme les sablais l’ont constaté avec les renforts de policiers nationaux lors de la saison fondaient comme neige au soleil et encore ils devaient être âprement négociés avec l’État

L’expérience d’une force de police locale de 60 policiers municipaux et l’installation de 300 caméras de vidéo-surveillance est concluante avec un hôtel de police municipale. Les Sablais retrouvent des saisons plus tranquilles.

Cela n’a pas échappé à l’opposant Anthony BOURGET qui n’est pas contre le transfert du commissariat mais qui franchit le pas en accusant le maire de vouloir saisir toutes les occasions pour faire passer son ancien projet enterré de coulée verte. Il conteste le lieu choisi pour le transfert : sur le site du commissariat de la police municipale (voir ci-dessus la position prévue sur le site ancien de l’Agglomération .

Le maire Yannick MOREAU n’a pas eu de mal à démontrer que son projet de commissariat transféré était une réponse qui allait dans le sens de l’intérêt général.

La complémentarité de la police nationale et de la police municipale pourra ainsi en effet jouer à fond. La proximité arrangera bien les choses.

Les conventions avec l’État sont techniquement et financièrement favorables et adaptées à la situation administrative nouvelle de l’ensemble Ville nouvelle des Sables d’Olonne et Agglomération. 

Le délai prévisionnel du transfert est fixé à 4 ans. L’Agglomération cédera à la ville le terrain qui est sa propriété.

Le montant prévisionnel des travaux d’aménagement de l’immeuble est de 4,5 millions d’euros HT. 

Le Conseil Municipal valide ce projet.

À SUIVRE...

 
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12 juin 2025 4 12 /06 /juin /2025 21:00
À QUAND LE PROCHAIN LOCATAIRE QUI INSTAURERA LE REDRESSEMENT ATTENDU ?

À QUAND LE PROCHAIN LOCATAIRE QUI INSTAURERA LE REDRESSEMENT ATTENDU ?

 

 

CE MARDI 10 juin 2025, UN PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON EST À NICE POUR LA CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR L’OCÉAN

 

 CE MARDI MATIN, LA FRANCE SE LÈVE SOUS DE CHOC DE L’ASSASSINAT ATROCE DE MÉLANIE G. ,SURVEILLANTE DU COLLÈGE Françoise DOLTO de NOGENT (HAUTE MARNE)

 

 

FRANÇAIS, RÉVEILLEZ-VOUS !

 

Les drames de meurtres d’enseignants où souvent des jeunes sont incriminés se multiplient.

Nous n’avons pas le droit de les oublier, nous n’avons que le droit de constater que des mesures préventives sont annoncées sans qu’il y ait la moindre réalisation concrète. Il n'y a plus d'autorité de l'État ! 

Cette semaine, nous avons lu et entendu des chroniqueurs sortant de leur neutralité bienveillante qui se sont déchainés contre Emmanuel MACRON « capitaine sans rames ».

S le coup de l’émotion peut expliquer et justifier des écarts de langage mais le décalage qu’il y a entre les deux situations est trop large pour qu’on puisse l’oublier.

 

Toujours est-il que, ce mardi matin après sa visite à MONACO, le Chef de l’État, est à Nice et s’occupe des Océans dont les français ce matin-là n’ont rien à faire. Ils ont la tête à NOGENT. Le soir, le Président MACRON apparait à la télévision à 20h20 sur France 2 mais les français ont la tête à NOGENT. Ils pensent au petit orphelin de 4 ans que laisse derrière elle sa maman Mélanie.

Maintenant, il nous est reproposé des mesures comme les portiques à l’entrée des établissements, l’interdiction de la vente des couteaux aux jeunes de moins de 15 ans, la détection des jeunes en difficultés mentales, ...les réseaux sociaux sont mis en cause...mais rien sur l’autorité parentale, l’aide aux familles...et la drogue et les espaces de non-droit que la France a laissé prospérer ?

Ce sont des moyens que nous qualifieront de dérisoires car ce qui est attendu et sera efficace c’est le rétablissement et le respect de l’Autorité au sens large : des juges qui jugent, des sanctions qui sont exécutées, la responsabilité parentale...

Le titre de la Convention Macronienne : URGENCE OCÉAN : un sommet pour tout changer...non ce qu’il faut changer en France, c’est le rétablissement « des » Valeurs comme le respect de l’autorité, même si cela déplait à nos politiques, il faut restaurer l’Autorité sous toutes ses formes et en toutes circonstances.

 

Mais comment sera-ce possible ? Quand des juges sont capables d’inscrire des injures sur les murs de leurs locaux, sur le mur des CONS ...désolé, ce ne sont plus des juges dignes d’être maintenus dans leurs fonctions !

Si les dirigeants en place sont incapables d'engager cette révolution sociétale ils doivent tous être renvoyés dans leurs foyers et remplacés très rapidement. La France compte tant d'hommes et de femmes de valeurs pour justement imposer les justes valeurs et donc prendre le problème par le haut !

 

 

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8 juin 2025 7 08 /06 /juin /2025 20:39
DU DROIT AU TRAVAIL AU DROIT À LA PARESSE

 

 

 

LE VRAI « DROIT AU TRAVAIL »

 

1848 fut une année de bouillonnement intellectuel d’une rare intensité avec des personnalités politiques et philosophes comme Pierre-Joseph Proudhon (« la propriété c’est le vol » père de la pensée anarchique), Louis BLANC, Charles FOURIER...

Nous pouvons regretter que l’Éducation dite Nationale ait fait fi d’une autre façon d’aborder l’Histoire réelle de la France ou Histoire de France avec du concret et de l’humain comme cette Révolution de 3 jours en 1848 !

Dans la presse très pluraliste et très importante de cette année révolutionnaire 1848 le débat d’idées a fait rage.

C’est dans la déclaration du gouvernement provisoire de février 1848 qu’est inscrit le droit au travail :

« Le gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail. Il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens. »

Là, il n’est question que du droit au travail qui posait tant de questions auxquelles il n’y avait que très peu de réponses au moment de l’ère préindustrielle, 1750/1850 : ainsi tout est parti du travail des enfants...en 1848 !

L’industrialisation cherchait sa voie comme a osé la réaliser Claude Nicolas LEDOUX avec la Saline Royale d’Arc-et-Senans.(1773-1778)

https://www.monuments-nationaux.fr/editions-du-patrimoine/les-ouvrages/la-saline-royale-de-claude-nicolas-ledoux-arc-et-senans

 

 

LE FAUX DROIT DU TRAVAIL

C'est un faux droit : la formule est certainement exagérée mais fondée puisque depuis ces dernières décennies les gouvernements successifs promettent de simplifier le droit du travail, obstacle au plein emploi et que le résultat est l’inverse aux promesses :  le Code du travail ne cesse de prendre de l’embonpoint.

Le Code du Travail version 2025 déborde d’articles qui n’ont pas leur place dans un « code » qui doit définir les grandes règles et non noyer le sujet dans une compilation de détails qui font oublier l’essentiel : la bonne exécution de bonne foi du contrat de travail par l'employeur et le salarié.

 

 

LE DROIT À LA PARESSE DE SANDRINE ROUSSEAU

 

Ce serait donc par le travail que l’homme, la femme et l’enfant existent au dix neuvième siècle !

Ce n’est l’avis de notre politicienne écologiste éco-féministe et provocatrice Sandrine ROUSSEAU qui a avancé sa proposition d’opposition au travail, à la productivité avec son « droit à la paresse » ou le mal vivre récompensé par un droit au repos. 

Le 30 janvier 2024, Gabriel ATTAL, a taclé la députée lors de son discours de politique générale à l’Assemblée en assurant que : « Personne ne demande un droit à la paresse dans notre pays. »

 

 

CONCLUSION PROVISOIRE, en 2025, LE TRAVAIL C’EST LA SANTÉ, comme le chantait Henri SALVADOR

 

Le travail c'est la santé. Rien faire c'est la conserver. Les prisonniers du boulot...

Nous repenserons bientôt à la valorisation du travail, sa revalorisation... fin des week-ends répétitifs de mai juin ...travail et encore vacances...la France doit-elle travailler plus ? Et pouruoi et comment ?...de vraies questions .

 

 

 

 

 

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