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14 septembre 2025 7 14 /09 /septembre /2025 20:48
CELA EN FRANCE, CE N'EST PLUS POSSIBLE NI TOLÉRABLE

CELA EN FRANCE, CE N'EST PLUS POSSIBLE NI TOLÉRABLE

 

 

LA RENTRÉE 2025 INUTILE...MAIS POURQUOI DONC ?

Les conditions de la rentrée ce sont l’indice du bonheur d'un peuple.

Oui, c’est bien la rentrée mais quoi de neuf digne d’une rentrée positive ?

Un Premier Ministre presque tout neuf sauf qu’il prend du Galon passant du rang des Armées à celui de Chef des futurs Ministres de « son » gouvernement.

Maintenant, les français ont au moins appris qu’un « gouvernement » c’est une institution qui ne sert à rien dont on pourrait se passer ! Ceci est important.

Cela n’intéresse d’ailleurs pourtant pas grand monde et la Française des Jeux ne sort pas des paris sur les futurs ministres. Donc pas d’intérêt des citoyens pour ce type de « sujet ».

Des mouvements sociaux sont annoncés : ce n’est pas une nouveauté, en septembre, c’est une coutume ! montrer que le français est mécontent ! Pourquoi ? Cela est une autre histoire.

Mais cela aussi n’intéresse plus grand monde sauf pour les casseurs ! Et en plus, il risque d’y avoir démobilisation pour cause de mauvais temps.

La guerre en Ukraine et ses victimes inconnues...C’est la vision de l’horreur : la vie d’un enfant, d’un homme ou d’une femme, civile ou militaire ne compte toujours pas pour le Président Russe ! Nous n’y pensons peut-être pas assez...mais cette guerre qui ne dit pas son nom est bien présente en fond d’écran dans les esprits. Si on voulait l’oublier, Poutine se chargerait de nous rappeler cette actualité et nous faire savoir qu’il peut encore menacer, par exemple, la Pologne ?

Une économie mondiale chahutée par le Président TRUMP. Il en a trop fait, trop dit. Peut-être à tort, nous n’y croyons plus en attendant la prochaine facétie présidentielle qui pourrait faire rire ou pleurer s’il ne s’agissait pas d’un danger réel avec un dirigeant diaboliquement surprenant mais d’un danger dont le bon peuple ignore la portée. C’est simplement la suite des précédentes sorties présidentielles du Pays le plus riche, le plus dangereux, le plus surprenant. Mais cela reste dans une nébuleuse qui ne trouble pas les préoccupations de cette rentrée. C’est loin !

Chaque jour qui passe : la dette de la France monte, monte. Cela n’intéresse plus personne même si la « note » de cotation de la France est dégradée. Mais qui s’en préoccupe, nous n’avons plus de Ministre des Finances et un des coupables de cette situation le Président MACRON, le Mozart de la Finance, n’a pas l’air de s’en soucier...Il ruine la France de bon cœur ! D’ailleurs de quoi se soucie-t-il ? Alors si le Chef de l’État a l’air de quelqu’un sans souci, sans problème de fin de mois ...Pourquoi en serait-il autrement pour le citoyen de base avec les questions bassement matérielles qui encombrent cette rentrée, le retour au travail, le bronzage qui va s’effacer...

Mais alors l’homme citoyen français recroquevillé sur lui-même constate à peine qu’il a pu profiter un peu de ses vacances mais ce repos ne sert à rien puisqu’il va retrouver les mêmes ennuis, les mêmes tracas...

 

LA RENTRÉE N’A PLUS DE SIGNIFICATION ? POURTANT LA FRANCE A UN BEL AVENIR

Nous pouvons nous poser la question. Nous pouvons surtout nous interroger pourquoi, nous français, sombrons irrémédiablement dans un pessimisme inexplicable de nantis satisfaits mais mécontents qui ne cessent de dire et d’entendre dire que tout va mal et que demain ce sera pire.

Avec ou sans vacances les français sont pessimistes alors c’est ailleurs qu’il faut trouver le remède pour sortir du pessimisme qui ruine aussi le Pays.

Pour en sortir, c’est simple, il faut cheminer pour faire comprendre au peuple français qu’il est heureux et privilégié car la France et les français ont un avenir dévant eux : ce sera l’âge d’or !

Aucun autre Pays au monde ne peut en 2025 se vanter d’avoir de tels atouts.

En effet, la définition du pessimiste est d’une simplicité biblique : c’est celui qui est porté à être mécontent du présent et inquiet pour l'avenir.

 

D’abord, la France répétons-le est un Pays riche au-delà de ce que les français peuvent croire ou imaginer : à certaines conditions, les français doivent donc découvrir leur chance de pouvoir découvrir ce qui fait concrètement cette richesse...

 

À SUIVRE...

DEMAIN, LA FRANCE RICHE, TRAVAILLEUSE ET OPTIMISTE

 

 

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28 août 2025 4 28 /08 /août /2025 18:25
LE BONHEUR

LE BONHEUR

 

 

 

LES VACANCES ET APRÈS ?

 

Des millions de français en avaient tant marre d’être noyés dans la fange immonde d’une civilisation déboussolée et par des informations plus ou moins fausses ou plus fausses que vraies qu’ils ont décidé une coupure, comme ils disent.

S’ils ressentent ce besoin de souffler, c’est un signe de l’évidence d’insatisfactions rongeuses du moral des troupes.

Bien sûr, ils ont oublié qu’ils seraient poursuivis partout par leurs portables dont ils sont inséparables, ne serait-ce que pour suivre les conseils distillés comme un poison ou une drogue pour éviter ou tenter d’éviter les embouteillages sur la route qu’ils étaient si contents d’avoir prise pour fuir l’enfer qu’ils ont vécu pendant toute l’année passée.

Ils ont même oublié qu’ils devraient rentrer au bercail pour retrouver leurs ennuis, leur vie monotone, le bruit incessant de l’agitation brownienne du monde mal nommé « moderne » comme si moderne était synonyme de heureux.

Cette « coupure estivale» n’est donc pas une thérapie efficace au pessimisme ambiant.

Et pourtant ils pensent déjà à la prochaine escapade qu’ils pourront vivre.

Ils sont donc vraiment malades de leur condition de vie, de travail et chaque fois qu’ils partent ils reviennent chagrins, à regret, dans ce monde qu’ils n’aiment pas celui du boulot, dodo et pour les plus mal lotis « métros ».

Nous les surprenons même entrain de ressortir un nouveau poncif tel que : qu’il fut agréable ce temps de silence monacal qu’en 2020, COVID 1,9 leur avait imposé, ce ciel dépollué, le bruit des voisins audible, les consignes prévues et répétées du décret instaurant et prolongeant le « confinement »...

 

MAIS OÙ EST LE PARADIS SUR TERRE ? IL EST SIMPLEMENT SUR TERRE POUR ÊTRE PARTAGÉ

Mais alors où est donc le paradis, le bonheur éternel ?

Jean-Paul SARTRE philosophe déroutant qui a osé écrire « L’Enfer, c’est les autres » a fait tant de mal aux autres. Il a été doué d’une force inimaginable, destructrice pour tromper l’homme sain, pour lui ôter ce qu’il a de meilleur. Il n’a même pas trouvé les mots français pour détruire le bonheur de l’homme. Il a fallu qu’il invente des mots comme la « relation intersubjective »...d'ailleurs, ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément...pas besoin d'inventer des maximes ténébreuses ! le vocabulaire français est déjà si riche !

La mode qui suivit la deuxième guerre mondiale a porté cet esprit malsain aux nues en faisant croire que l’essence des rapports entre les hommes est le conflit, et non la « coopération ».

Non, Monsieur SARTRE et vous autres existentialistes, vous êtes des malades contagieux et dangereux : l’homme n’est pas ce que vous écrivez. Vous trompez les plus faibles au lieu de leur offrir une part de bonheur.

L’homme est né bon et il peut le demeurer toute sa vie durant et être heureux en partageant sans cesse son secret du bonheur avec les autres.

L’homme a le privilège grandissant issu de sa liberté de semer le bonheur autour de lui en se mettant au service de ses congénères pour cultiver ensemble l’art de bien vivre, l’art d’aimer, l’art de répandre la joie de vivre, l’art de partager le bonheur :  même les petits bonheurs peuvent et doivent se partager. C’est le sourire donné à ceux qui souffrent. La souffrance attend toujours le sourire, la parole qui lui fera du bien. Le bonheur, c’est bien les autres !

En réalité, l’homme ne vit que par et pour les autres.

L’homme qui est heureux est celui qui donne et a les moyens et la volonté de distribuer du bonheur même et surtout aux plus malheureux dont le bonheur est étouffé.

Donc, vous qui rentrez de ces vacances estivales, le moral dans les chaussettes, pensez, en cette fin 2025, à profiter enfin ! de votre capital BONHEUR qui dort peut-être, pensez à le distribuer largement, pensez à votre bonheur acquis souvent plus en donnant qu’en recevant. Le bonheur collectif n’est pas côté en Bourse c’est pourtant la source de tant de richesses...qu’on se le dise ! et c’est à la portée de tous.

 

 

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28 juillet 2025 1 28 /07 /juillet /2025 20:51
CRÉATION DES DÉLITS D’HOMICIDE ROUTIER ET BLESSURES ROUTIÈRES

 

 

LUTTE CONTRE LA VIOLENCE ROUTIÈRE S’INTENSIFIE  : PEINES AGGRAVÉES ET DIVERSIFIÉES

 

Le Parlement est en congés mais les élus avant de faire leurs valises ont voté beaucoup, beaucoup de textes en dernière lecture. Et certaines sont très importantes comme on peut le voir déjà dans le titre de la LOI n° 2025-622 du 9 juillet 2025 créant l'homicide routier et visant à lutter contre la violence routière .

En effet, il en est ainsi du texte la loi du 9 juillet 2025 qui « adapte » les dispositions pénales en matière d’accidents de la route. Elle crée le délit spécifique d’« HOMICIDE ROUTIER » qui, en l’espèce, ne sera plus, en cas d’accident, considéré systématiquement, selon les circonstances, comme un « homicide involontaire ».

Il est bien dommage pour la Sécurité Routière que la période des vacances fait que la parution de cette loi ne puisse faire l’objet d’une campagne d’information plus importante.

 

LE DÉLIT D’HOMICIDE ROUTIER

Il est désormais sorti de la liste des « homicides involontaires » surtout en cas de preuve pour le « délinquant » de circonstances aggravantes comme la consommation d’alcool, de stupéfiants, excès de vitesses, usage du téléphone...

Les sanctions sont renforcées jusqu’à 10 ans de prison et 150 000 euros d’amende justement en cas de circonstances aggravantes.

Cette loi met fin à une récrimination des victimes où le terme « involontaire » ne paraissait souvent vraiment plus approprié.

 

LE DÉLIT DE BLESSURES ROUTIÈRES

La loi instaure aussi un délit de blessures routières avec des peines graduées selon les durées de l’incapacité totale de travail (ITT)

 

LES PEINES COMPLÉMENTAIRES : SUSPENSION ADMINISTRATIVE DE PERMIS DE CONDUIRE ...

Pour la suspension administrative du permis de conduire : elle devient obligatoire en cas de conduite sous alcool ou après usage de stupéfiants.

Une liste complète des peines complémentaires comme l’interdiction d’exercer certaines fonctions, la confiscation du véhicule...est détaillée dans cette loi dont l’importance ne peut échapper à tous les citoyens.

Nous le répétons les conséquences de la conduite de tout véhicule sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants doivent faire l’objet de campagnes d’éducation et d’information...la consommation de stupéfiants quelle que soit la quantité est une circonstance aggravante car elle n’est jamais insignifiante pour les facultés du conducteur et pour sa santé et celle des autres.

 

Texte complet de la loi

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000051871463

 

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12 juillet 2025 6 12 /07 /juillet /2025 20:09
POUR UNE VRAIE POLITIQUE NATALISTE

 

 

UNE POLITIQUE NATALISTE : POUR NE PAS DEVENIR COMME LE JAPON, L’ALLEMAGNE...

 

UNE POLITIQUE PUBLIQUE NATALISTE NE SE DÉCRÈTE DANS UN DISCOURS

 

Ce qui est sûr ce sont les chiffres qui ne mentent pas et que les démographes nous donnent régulièrement

 

1990 : 762 000 naissances

 

2010 : 802 000 naissances

 

2023 : 640 000 naissances

 

Le"réarmement démographique" glissé dans un discours par Emmanuel MACRON (16 janvier 2024) et l’exemple présidentiel lui-même ne peuvent qu’être des mesures et des signes qui ne permettront pas d’inverser la courbe de la dénatalité en France. Elles n’auront que des  effets négatifs.

Comme dans beaucoup de problèmes il faut d’abord chercher les causes et tâcher d’en tirer les conclusions concrètes pour trouver les solutions.

 

LES CAUSES DE LA DÉNATALITÉ

La première qui vient à l’esprit est la politique anti_familiale entreprise par François HOLLANDE en 2010 suivie par celles de ses successeurs y compris celle de notre Président actuel.

En prenant des mesures allant à l’encontre d’une politique nataliste qu'il s'agisse des prestations familiales, de la politique fiscale ou de la politique du logement, tout est allé dans un sens négatif. Ceci a eu deux conséquences : les Français n'ont plus confiance dans la politique publique familiale.

Exemple type : les français n’ont plus confiance dans la politique familiale et pour cause ! : des discours et des promesses non tenues n’animent pas un sentiment positif pour une femme d’avoir un enfant malgré ses souhaits personnels.

Autre cause forte de dénatalité c’est purement et simplement le pessimisme ambiant qui a envahi la France conforté par des bruits de guerre, de crises financières et sociales...

 

POUR UNE POLITIQUE NATALISTE

Ce qui reste positif et interroge beaucoup c’est d’abord que des enquêtes montrent que le désir d'enfants des Françaises n'est pas comblé. Il est de près de 2,3 enfants, alors que l'indice de fécondité réel est tombé sous les 1,7 l'an dernier.

Il faut maintenant remettre en route un politique de réussite du service public de la petite enfance pour permettre à la mère de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Toutes les mesures qui sont des bras de levier pour rétablir la confiance entre État et les familles : mesures pour le logement, mesures fiscales, universalité des allocations familiales, supprimer le plafonnement du quotient familial, revoir les conditions de retour à l’emploi ...décentraliser les mesures d’aides !

Il y a aussi des mesures connexes comme :

  • les mesures favorables pour faciliter la vie des parents durant la petite enfance,
  • la lutte contre l’infertilité,
  • reconnaître le rôle des aidants aux familles et particulièrement des grands parents...que le gouvernement actuel est au contraire prêt à pénaliser fiscalement !

 

LES DÉSASTRES DE LA DÉNATALITÉ AU JAPON

 

C’est au JAPON que nous pouvons les constater

Le résultat dans ce pays est que

  •  le nombre de travailleurs de plus de 65 ans atteint 9 millions pour faire face à un manque de main d’œuvre,
  • 8,8 jours de vacances par an
  • Une population qui est passée en 2010 de 128 millions à 124 millions d’habitants aujourd’hui
  • Une production en baisse ...

 

Voilà où mène la dénatalité !

Ce n’est pas demain mais aujourd’hui qu’il faut prendre les bonnes mesures avec une politique nataliste en laquelle les français et les françaises auront confiance...des couples attendent et à l’avenir le problème des retraites sera solutionnable voire résolu , celui de l’immigration aussi...

 

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7 juillet 2025 1 07 /07 /juillet /2025 20:43
BERCY, UN MODÈLE DE SERVICE PUBLIC DÉNATURÉ

BERCY, UN MODÈLE DE SERVICE PUBLIC DÉNATURÉ

 

 

 

DÉCOUVREZ LA CASTE QUI ÉTOUFFE LA FRANCE : LAXISME ET IRRESPONSABILITÉ DANS TOUS LES DOMAINES

 

Tant que ce sont les mêmes parfois d’autres qui sont pires qui arrivent sont à la tête de l’État, la France ne pourra se redresser ! Emmanuel MACRON déjà Ministre des Finances avant son élection de 2017, François BAYROU, Gérard DARMANIN...que ce sont encore les mêmes groupes qui cooptent leurs amis...il y a toujours une caste jacobine, ex énarchie de plus en plus importante, une oligarchie qui confisque le pouvoir à son profit ou se laisse manipuler.

Les jeunes qui représentent la force montante soit rejoignent la caste qui y trouve son compte soit réalistes ils fuient cette oligarchie sans foi ni loi et délaissent les fonctions gravitant dans et autour du Pouvoir et tracent parfois difficilement leur route payant ainsi au prix fort les places que la méritocratie aurait dû leur offrir.

L’exemple est patent au Parlement où il y a des personnalités qui émergent en émettant des opinions divergentes mais qui n’acceptent pas les diktats de la Caste se taisent.

Et la fonction publique envahissante prospère mais demeure inefficace ou pire fait du vent pour faire croire que les choses changent...oui elles changent mais en pire...voyons un Ministère des Finances dominateur qui « perd » des milliards de recettes et ne les retrouve pas : terminer des exercices budgétaires sans que le censeur (la Cour des Comptes) puisse en valider certains comptes de 2023 et 2024.

Dans ce monde-là comme dans d’autres, le laxisme et son corollaire l’irresponsabilité sont bien installés en toute impunité.

Citons aussi le Ministère de l’Intérieur, le Ministère de l’Éducation, celui de la Justice et même les Finances de BERCY où l’État réussit cet exploit qu’avec des serviteurs consciencieux, professionnels, dévoués il y a des résultats catastrophiques :

  • pour l’Éducation, niveaux scolaires qui baissent irrémédiablement, signe patent du déclassement durable de la France,
  • pour la Justice, sa lenteur et son laxisme font que le peuple ne lui fait plus confiance,
  • pour les Finances Publiques ces dernières années tant sur le plan des citoyens que sur celui de la considération sur le plan international ...

Nous pourrions continuer sur le même ton pour la Santé, pour la Défense, pour la Sécurité intérieure (sécurité publique) où 91 % des français estiment qu’en 2024 que l’insécurité est en croissance. Les statistiques officielles récentes pour 2024 leur donnent raison.

L’État n’assume plus son rôle protecteur du citoyen. Or la sécurité publique fait partie de ses fonctions régaliennes. C’est un bel exemple incontestable de la décrédibilisation de l’État et surtout de ses gouvernants.

 

L’ÉTAT, CE N’EST PLUS NOUS, LE PEUPLE SOUVERAIN ! LA FRANCE SOUS TUTELLE ?

Les constats des dysfonctionnements de l’État ne sont plus à faire. C’est un acquis chez la majorité des français qui demeurent anesthésiés, ne croyant pas à une possible renaissance.

Il faut conforter le diagnostic pour soigner le malade.

D’abord constatons que le système en place a démontré en 2024/2025 son incapacité à se réformer. Les institutions sont bloquées comme nous le voyons avec l’Assemblé Nationale ingérable, un gouvernement éclaté débordant d’EGO, un président hors sol plombé par ses erreurs dont la dissolution de l’Assemblée Nationale. Il n’y a ainsi aucune volonté politique de réformer pour redresser.

D’une part, les gouvernants précédents ont pillé la France désormais trop endettée pour faire face aux coûts d’une réforme. Ils ont même vendu les perles de la Couronne État.

Ces gouvernants se sont engagés dans une politique de priorités laxistes données au maintien d’acquis sociaux qu’il a garantis à la légère et qu’il ne peut financer : retraites, Sécurité Sociale, en particulier.

D’autre part, ils sont coupables mais incapables de mobiliser les français pour le fameux redressement qui ne se fera dans ces conditions que dans la douleur et dans un élan de confiance dans des hommes neufs hors du système que nous décrivons ci-dessus. Mais la Caste oligarchique se sert et se moque du redressement car elle veut rester au pouvoir. Le Président Macron voudrait même perdurer !

Or, ce redressement passe par une purge des frais de fonctionnement de l’État. C’était la « Réforme de l’État » promise par le Président Macron et qui n’a pas vu l’ombre d’un début d’exécution. À la place ce fut un État mal géré par ces irresponsables. Ils n’ont pas le courage d’imposer cette purge qui pourrait aller à l’encontre de leurs petits intérêts personnels et à ceux qui sont dans l’ombre des lobbys.

Face à tout cela, nous devons constater que le peuple ne réagit pas, qu’il n’est plus consulté et qu’il est abandonné ainsi à la Caste dont nous dénonçons les méfaits depuis des décennies pour survivre.

Nous ne redresserons pas la France avec ceux qui l’ont pillée et l’ont gérée si mal. Alors, comment et quand le peuple souverain se réveillera-t-il ? Avant de commencer à découvrir que notre France est riche et qu'il dégaine ses forces pour se réapproprier la gouvernance du Pays ? Avant qu'elle ne tombe sous la coupe de l'Europe, des fiananciers ?

 

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8 juin 2025 7 08 /06 /juin /2025 20:39
DU DROIT AU TRAVAIL AU DROIT À LA PARESSE

 

 

 

LE VRAI « DROIT AU TRAVAIL »

 

1848 fut une année de bouillonnement intellectuel d’une rare intensité avec des personnalités politiques et philosophes comme Pierre-Joseph Proudhon (« la propriété c’est le vol » père de la pensée anarchique), Louis BLANC, Charles FOURIER...

Nous pouvons regretter que l’Éducation dite Nationale ait fait fi d’une autre façon d’aborder l’Histoire réelle de la France ou Histoire de France avec du concret et de l’humain comme cette Révolution de 3 jours en 1848 !

Dans la presse très pluraliste et très importante de cette année révolutionnaire 1848 le débat d’idées a fait rage.

C’est dans la déclaration du gouvernement provisoire de février 1848 qu’est inscrit le droit au travail :

« Le gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail. Il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens. »

Là, il n’est question que du droit au travail qui posait tant de questions auxquelles il n’y avait que très peu de réponses au moment de l’ère préindustrielle, 1750/1850 : ainsi tout est parti du travail des enfants...en 1848 !

L’industrialisation cherchait sa voie comme a osé la réaliser Claude Nicolas LEDOUX avec la Saline Royale d’Arc-et-Senans.(1773-1778)

https://www.monuments-nationaux.fr/editions-du-patrimoine/les-ouvrages/la-saline-royale-de-claude-nicolas-ledoux-arc-et-senans

 

 

LE FAUX DROIT DU TRAVAIL

C'est un faux droit : la formule est certainement exagérée mais fondée puisque depuis ces dernières décennies les gouvernements successifs promettent de simplifier le droit du travail, obstacle au plein emploi et que le résultat est l’inverse aux promesses :  le Code du travail ne cesse de prendre de l’embonpoint.

Le Code du Travail version 2025 déborde d’articles qui n’ont pas leur place dans un « code » qui doit définir les grandes règles et non noyer le sujet dans une compilation de détails qui font oublier l’essentiel : la bonne exécution de bonne foi du contrat de travail par l'employeur et le salarié.

 

 

LE DROIT À LA PARESSE DE SANDRINE ROUSSEAU

 

Ce serait donc par le travail que l’homme, la femme et l’enfant existent au dix neuvième siècle !

Ce n’est l’avis de notre politicienne écologiste éco-féministe et provocatrice Sandrine ROUSSEAU qui a avancé sa proposition d’opposition au travail, à la productivité avec son « droit à la paresse » ou le mal vivre récompensé par un droit au repos. 

Le 30 janvier 2024, Gabriel ATTAL, a taclé la députée lors de son discours de politique générale à l’Assemblée en assurant que : « Personne ne demande un droit à la paresse dans notre pays. »

 

 

CONCLUSION PROVISOIRE, en 2025, LE TRAVAIL C’EST LA SANTÉ, comme le chantait Henri SALVADOR

 

Le travail c'est la santé. Rien faire c'est la conserver. Les prisonniers du boulot...

Nous repenserons bientôt à la valorisation du travail, sa revalorisation... fin des week-ends répétitifs de mai juin ...travail et encore vacances...la France doit-elle travailler plus ? Et pouruoi et comment ?...de vraies questions .

 

 

 

 

 

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29 mai 2025 4 29 /05 /mai /2025 21:06
UN CONSTAT ACCABLANT

UN CONSTAT ACCABLANT

 

 

LE "MODÈLE SOCIAL FRANÇAIS" EN GRAND PÉRIL : LES DÉFICITS CUMULÉS PRÉSENTS ET PRÉVISIONNELS LE MENACE TRÈS SÉRIEUSEMENT

 

 

 

 

Il ne faut plus se boucher les oreilles, fermer les yeux la France est pour ses finances Publiques face à un énorme problème qu’elle est incapable de résoudre avec les gouvernants actuels!

L’État français ne peut plus supporter les déficits de la Sécurité Sociale nous dit la cour des Comptes /

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/75386

Même le Mozart de la Finance Emmanuel MACRON n’y peut plus rien. D’ailleurs, en partant en voyage il évite de penser à son Pays !

En effet, la gestion des finances publiques de La France est mise en demeure de se redresser et on est en droit de se demander maintenant comment faire ? Personne ne veut prendre de décisions qui seront impopulaires §

Il y a une sorte de démission de l’appareil d’État qui a tellement enflé qu’il devient incurable.

Pour le budget de l’État c’est éclatant car en suivant les efforts, petites phrases, promesses intenables concernant la recherche officielle de 40 milliards d'euros d’économie débouche sur un constat d’échec

Chaque ministère répond impossible de faire des économies.

Tout cela pour dire que c’est le bon peuple qui va casquer ! Donc, préparons-nous aux mauvaises nouvelles.

Jusqu’à maintenant aucun gouvernement ne semblait s’inquiéter. Il est vrai que le caractère éphémère des gouvernements successifs rendait ses membres irresponsables ...leur devise est : c’est le suivant qui règlera le problème !

Maintenant la peur s’installe vraiment : la crédibilité et la solvabilité de la France sont mises en cause.

 

LE BUDGET DE LA SÉCURITÉ SOCIALE EN DÉFICIT CHRONIQUE AVEC DES PRÉVISIONS CATASTROPHIQUES JUSQU'EN  2030

Quant au budget dit de la Sécurité sociale, la Cour des Comptes vient d’émettre l’avis de tempête : « Une trajectoire des comptes sociaux hors de contrôle »

Sous ce vocable très technocrate et un peu diplomatique la Cour des Comptes annonce tableaux à l’appui, que tout ce qui touche le secteur social sous tutelle de la « sécurité sociale » est menacé de cessation de payement.

Donc la France se trouve, avec ses deux budgets, ÉTAT et Sécurité Sociale, à cumuler les déficits et pour se financer à emprunter à tour de bras...auparavant c’était plus facile ...désormais l’État français qui inspirait encore une certaine confiance trouvait des banques pour lui prêter ; mais en 2025 avec ses 3300 milliards de dette et ses engagements emprunter sera de plus en plus difficile et surtout de plus en plus cher.

Comme le budget Sécurité Sociale n’ouvre pas la possibilité d’emprunter...c’est l’État qui finançait ! ...et si l’État qui est désormais bridé dans sa capacité et possibilité d’emprunter ne pourra plus continuer à assumer les besoins de trésorerie de la Sécurité Sociale et c’est « le modèle français » qui se trouve en cessation de payement. Nous n'osons pas imaginer les très graves conséquences sur la vie quotidienne des français.

 

Nous avons la triste réalité en face de nous il faudra pour assumer nos engagements : Réformer, se serrer la ceinture...casser sa tire-lire prévue pour aider les générations à venir, augmenter une retraite ou pension insuffisante, le chômage déjà trop haut reprendra et comment financer les indemnités......

Il faudra « subir » comme le firent la Grèce, le Portugal, l’Argentine...

 

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27 mai 2025 2 27 /05 /mai /2025 20:47
RELISONS LE SERMENT D'HIPPOCRATE

LA FIN DE VIE EN QUESTIONS

 

Avant d'entamer la mise en ligne des parutions sur l’euthanasie et sur la fin de vie je livre à la méditation de nos amis lecteurs le Serment dit "Serment d'Hippocrate" engagement de tout médecin quand il s'apprête à débuter sa carrière.

 

Depuis des années et particulièrement depuis la loi LEONETTI (avril 2005 voir ci-dessous ) du temps du Président Jacques CHIRAC avec Jean-Pierre RAFFARIN comme Premier Ministre, le Corps Médical et nous tous sommes confrontés à la problématique de la fin de vie et à celle qui en découle  : le suicide assisté y compris.

EN 2025, le Parlement est saisi de deux propositions de loi sur la fin de vie

dont une sur les soins palliatifs.

 

C'est une question très personnelle, très intime et ce sont les parlementaires qui vont y répondre à la place de tous les français.

Le circuit parlementaire n'est pas achevé mais nous sommes tous bien sûr concernés et nous allons tenter de vous donner objectivement le maximum d'informations pour que vous puissiez vous forger une opinion personnelle bien murie...si vous le jugez utile, vous pourrez ainsi intervenir auprès de vos élus (sénateurs et députés) pour leur transmettre votre opinion.

 

 

 

 

SERMENT D'HIPPOCRATE

 

Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets
et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.


Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir
la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux,
individuels et sociaux.


Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans
aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions.

J’interviendrai
pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans
leur intégrité ou leur dignité. 

Même sous la contrainte, je ne ferai pas
usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.


J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons
et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir
hérité des circonstances pour forcer les consciences.


Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera.
Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche
de la gloire.


Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront
confiés. 

Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets
des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.


Je ferai tout pour soulager les souffrances. 

Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. 

Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.


Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement
de ma mission. 

Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences


Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux
les services qui me seront demandés.


J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles
dans l’adversité.


Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime
si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e)
si j’y manque.

 


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  • Jacques CHIRAC Jean-Pierre RAFFARIN
  • Jean LEONETTI
  • : LOI n° 2005-370 du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie /
  • ·  Article 1

  • Après le premier alinéa de l'article L. 1110-5 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
    «
    Ces actes ne doivent pas être poursuivis par une obstination déraisonnable. Lorsqu'ils apparaissent inutiles, disproportionnés ou n'ayant d'autre effet que le seul maintien artificiel de la vie, ils peuvent être suspendus ou ne pas être entrepris. Dans ce cas, le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10. »
  • Versions
  • ·  Article 2

  • Le dernier alinéa de l'article L. 1110-5 du code de la santé publique est complété par deux phrases ainsi rédigées :
    «
    Si le médecin constate qu'il ne peut soulager la souffrance d'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, qu'en lui appliquant un traitement qui peut avoir pour effet secondaire d'abréger sa vie, il doit en informer le malade, sans préjudice des dispositions du quatrième alinéa de l'article L. 1111-2, la personne de confiance visée à l'article L. 1111-6, la famille ou, à défaut, un des proches. La procédure suivie est inscrite dans le dossier médical. »
  •  
  • ·  Article 3

  • Dans la deuxième phrase du deuxième alinéa de l'article L. 1111-4 du code de la santé publique, les mots : « un traitement » sont remplacés par les mots : « tout traitement ».
  • ·  Article 4

  • Le deuxième alinéa de l'article L. 1111-4 du code de la santé publique est complété par quatre phrases ainsi rédigées :
    « Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical.
    « Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10. »
  •  
  • ·  Article 5

  • Après le quatrième alinéa de l'article L. 1111-4 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
    « Lorsque la personne est hors d'état d'exprimer sa volonté, la limitation ou l'arrêt de traitement susceptible de mettre sa vie en danger ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale définie par le code de déontologie médicale et sans que la personne de confiance prévue à l'article L. 1111-6 ou la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne, aient été consultés. La décision motivée de limitation ou d'arrêt de traitement est inscrite dans le dossier médical. »
  • ·  Article 6

  • Après l'article L. 1111-9 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1111-10 ainsi rédigé :
    « Art. L. 1111-10. -
    Lorsqu'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, décide de limiter ou d'arrêter tout traitement, le médecin respecte sa volonté après l'avoir informée des conséquences de son choix. La décision du malade est inscrite dans son dossier médical.
    « Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10.
    »
  • ·  Article 7

  • Après l'article L. 1111-9 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1111-11 ainsi rédigé :
    « Art. L. 1111-11. -
    Toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d'état d'exprimer sa volonté. Ces directives anticipées indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie concernant les conditions de la limitation ou l'arrêt de traitement. Elles sont révocables à tout moment.
    « A condition qu'elles aient été établies moins de trois ans avant l'état d'inconscience de la personne, le médecin en tient compte pour toute décision d'investigation, d'intervention ou de traitement la concernant.
    « Un décret en Conseil d'État définit les conditions de validité, de confidentialité et de conservation des directives anticipées. »
  •  
  • ·  Article 8

  • Après l'article L. 1111-9 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1111-12 ainsi rédigé :
    « Art. L. 1111-12. - Lorsqu'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause et hors d'état d'exprimer sa volonté, a désigné une personne de confiance en application de l'article L. 1111-6, l'avis de cette dernière, sauf urgence ou impossibilité, prévaut sur tout autre avis non médical, à l'exclusion des directives anticipées, dans les décisions d'investigation, d'intervention ou de traitement prises par le médecin. »
  • ·  Article 9

  • Après l'article L. 1111-9 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 1111-13 ainsi rédigé :
    « Art. L. 1111-13. -
    Lorsqu'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, est hors d'état d'exprimer sa volonté, le médecin peut décider de limiter ou d'arrêter un traitement inutile, disproportionné ou n'ayant d'autre objet que la seule prolongation artificielle de la vie de cette personne, après avoir respecté la procédure collégiale définie par le code de déontologie médicale et consulté la personne de confiance visée à l'article L. 1111-6, la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne. Sa décision, motivée, est inscrite dans le dossier médical.
    « Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l'article L. 1110-10. »
  •  
  • ·  Article 10

  • I. - Après l'article L. 1111-9 du code de la santé publique, il est inséré une division ainsi rédigée : « Section 2. - Expression de la volonté des malades en fin de vie ».
    II. - Avant l'article L. 1111-1 du même code, il est inséré une division ainsi rédigée : « Section 1. - Principes généraux ».
    III. - Dans la première phrase de l'article L. 1111-9, les mots : « du présent chapitre » sont remplacés par les mots : « de la présente section ».
  •  
  • ·  Article 11

  • Après le premier alinéa de l'article L. 6114-2 du code de la santé publique, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
    « Ils identifient les services au sein desquels sont dispensés des soins palliatifs et définissent, pour chacun d'entre eux, le nombre de référents en soins palliatifs qu'il convient de former ainsi que le nombre de lits qui doivent être identifiés comme des lits de soins palliatifs. »
  •  
  • ·  Article 12

  • Après l'article L. 6143-2-1 du code de la santé publique, il est inséré un article L. 6143-2-2 ainsi rédigé :
    « Art. L. 6143-2-2. - Le projet médical comprend un volet "activité palliative des services. Celui-ci identifie les services de l'établissement au sein desquels sont dispensés des soins palliatifs. Il précise les mesures qui doivent être prises en application des dispositions du contrat pluriannuel mentionné aux articles L. 6114-1 et L. 6114-2.
    « Les modalités d'application du présent article sont définies par décret. »
  • ·  Article 13

  • I. - Après la première phrase de l'article L. 311-8 du code de l'action sociale et des familles, il est inséré une phrase ainsi rédigée :
    « Le cas échéant, ce projet identifie les services de l'établissement ou du service social ou médico-social au sein desquels sont dispensés des soins palliatifs et précise les mesures qui doivent être prises en application des dispositions des conventions pluriannuelles visées à l'article L. 313-12. »
    II. - Les modalités d'application du présent article sont définies par décret.
  • ·  Article 14

  • Le I de l'article L. 313-12 du code de l'action sociale et des familles est complété par une phrase ainsi rédigée :
    « La convention pluriannuelle identifie, le cas échéant, les services au sein desquels sont dispensés des soins palliatifs et définit, pour chacun d'entre eux, le nombre de référents en soins palliatifs qu'il convient de former ainsi que le nombre de lits qui doivent être identifiés comme des lits de soins palliatifs. »
  • Versions
  • ·  Article 15
  •  
  • En application du 7° de l'article 51 de la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances, une annexe générale jointe au projet de loi de finances de l'année présente tous les deux ans la politique suivie en matière de soins palliatifs et d'accompagnement à domicile, dans les établissements de santé et dans les établissements médico-sociaux.
    La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat.

À SUIVRE...

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