Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

29 mai 2023 1 29 /05 /mai /2023 16:39
CANNABIS, CRACK, COCAÏNE... DITES NON MERCI ! IL FAUT UNIR LES FORCES POUR STOPPER L’INVASION

 

 

 

NON À LA DROGUE SOUS TOUTES SES FORMES, NON AU FLÉAU DE L’USAGE ET DU TRAFIC DES STUPÉFIANTS : POUR UNE INTERDICTION IMMÉDIATE ET ACCOMPAGNÉE

 

L’ADDICTION TUE, IL FAUT RÉAGIR

Il n’a pas fallu attendre l’affaire PALMADE pour savoir que cannabis, cocaïne...sont des poisons qui nécessitent, pour les pouvoirs publics, d’établir les règles qui doivent aboutir à une tolérance ZÉRO.

Le spectacle donné à PARIS par les hordes de drogués occupant des secteurs de quartiers de Paris reste dans toutes les mémoires.

Des habitants s’organisant en milices privées pour reconquérir le droit de circuler dans leur rue est le constat d’un État incapable de faire respecter les libertés fondamentales de ses citoyens.

La maire d’une telle capitale qui accueille des millions de touristes étrangers n’est plus digne de sa fonction.

 

LA LUTTE CONTRE LES ADDICTIONS POUR SAUVER DES VIES, RÉTABLIR L’ORDRE ET LES LIBERTÉS ET MÊME FAIRE DES ÉCONOMIES

Tout écrit, tout discours tendant à faire croire à l’innocuité de la consommation de stupéfiants constitue une incitation à la consommation qui devrait être sanctionnée.

Tous les jours, parmi les faits divers, il y a les accidents de la route présumés en lien avec l’usage de diverses stupéfiants, d’alcool...quel coût social, affectif...

En effet, la consommation de ces produits tue ceux qui les utilisent et mais pire elle fait des victimes innocentes.

Il fut un temps assez récent où les bobos d'une certains société parisienne s’exprimant dans les médias arrivaient à faire croire que, par exemple, le cannabis de temps à autre cela ne peut pas faire de mal ; des ministres se vantaient d’être ou d’avoir été consommateurs...des hauts responsables sont donc complices de délits !

Des enseignants ne se gênaient pas pour consommer et le dire.

Des élèves, des étudiants, le lundi ne sont pas remis de leurs excès du week-end et n’assistent pas aux cours...des travailleurs ne se rendent pas au travail...On oublie trop le coût social de la drogue.

Les fêtes dites TEUF sont des usines à consommation de drogues et autres trafics ! Comment se fait-il que chaque week-end ces « réunions » puissent être organisées ?...Laxisme que de crimes sont commis en ton nom !

Là aussi, émerge un État défaillant : il lui faut reprendre la main, informer, faire le ménage dans les rues, redonner confiance et  pouvoirs à ceux qui sont responsables de la Justice, de l’exécution des lois, de la Saté Publique...  «Stop aux produits addictifs » devrait être cause nationale.

 

UNE MESURE DE SANTÉ PUBLIQUE : L’INTERDICTION DE LA DÉTENTION, DE LA CONSOMMATION DE TOUS LES PRODUITS ADDICTIFS

Aujourd’hui, tous les addictologues sont d’accord pour dénoncer les méfaits de l’usage même occasionnel ou régulier de drogues.

Des consommateurs qui ont commencé jeunes sont des épaves dont le cerveau est détruit à 40 ans. Cela doit être dit. Il faut donc un soutien fort aux associations comme il en existe en matière de lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme.

Ils vont quémander des soins à la « Société » qui va payer...alors que celui qui va prodiguer des soins, le Service Public de la SANTÉ, manque parfois de l’essentiel pour fonctionner pour des causes vitales de toute la population !

 

INTERDIRE IMPOSSIBLE ? INVERSER LA TENDANCE À L'INVASION CROISSANTE DU TRAFIC, DU NOMBRE DE CONSOMMATEURS, DES DRAMES...

C’est une vérité que la prohibition générale et totale ne peut avoir, dans un premier temps, que des effets limités. Après une interdiction totale, le trafic sous-terrain résistera voire se développera. Mais il commencera à perdre de la clientèle. La "peur" changera de camp. Les pouvoirs publics seront collectivement plus mobilisés pour la cause nationale de l’éradication d’un mal sournois et ravageur.

Cependant notons bien qu'aujourd'hui l’Observatoire Français de Drogues et Produits addictifs constate une augmentation régulière de la consommations des produits classés addictifs

https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2023/cocaine-consommation-et-passages-aux-urgences-en-hausse

Mais s’il y a une interdiction et des sanctions qui devront être seront effectives, ce qui n’est absolument plus le cas aujourd’hui, il y aura un revirement complet :

  • le rétablissement d’une action répressive cohérente où toutes la puissance publique sera unie pour une juste cause aura un effet d’entrainement : la drogue et ses victimes ne seront pas une fatalité. Il faut donc un soutien fort localement aux associations comme il en existe en matière de lutte conte le tabagisme et l'alcoolisme.
  • la peur changera de camp. Elle passera du clan des citoyens terrorisés par les conséquences de l’inaction de la puissance publique  au clan des délinquants et de leurs complices de tous ordres  qui actuellement trop souvent  dictent leur loi maffieuse.

Ne soyons pas naïfs  : le laxisme face aux méfaits de la drogue qui se développe dans de nombreux quartiers des villes n’est plus admissible. La France n’est pas un pays où des espaces de non-droit sont tolérables.

La question de l’interdiction ne se pose plus : non seulement elle est nécessaire mais elle est urgente.

Il faut un plan d’actions « interdiction » avec répression effective  et des mesures d’accompagnement fortes et concrètes sur le plan social, éducatif, économique...pas simplement des promesses !

 

À SUIVRE

L’ÉDUCATION D’ABORD. QUE FAIT LE NOUVEAU MINISTRE DE L’ÉDUCATION MONSIEUR PAP N’DIAYE AUSSI MINISTRE DE LA JEUNESSE ?

Partager cet article
Repost0
28 mai 2023 7 28 /05 /mai /2023 09:47
LE PROJET DE PÔLE DE SANTÉ A PRIS SON ENVOL EN 2008

LE PROJET DE PÔLE DE SANTÉ A PRIS SON ENVOL EN 2008

 

 

 

 

 

AUX SABLES D’OLONNE : FERMETURE DE LA MATERNITÉ, FERMETURE DES URGENCES AU PÔLE DE SANTÉ

Nous n'aurions jamais cru possible chose pareille en France !

Nous ne pouvons laisser passer ce crève-cœur dans la belle cité vendéenne DES SABLES D’OLONNE.

Quel plus bel exemple de l’incurie de l’État PATRON exécrable, de gestionnaire nul et d’un chef de l’État qui selon l’article 5 de la Constitution :
« veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État. » et qui ne voit rien, n’entend rien et se moque de tout sauf peut-être de son ego et du pouvoir.

Nous avons vu, encore hier, et vécu avec ce personnel du Pôle de Santé Côte de Lumière à la tâche avec le sourire mais totalement désemparé, dans une tourmente qui secoue depuis des années cet établissement pourtant récent.

 

A-T-ON LE DROIT DE LAISSER UN ÉTAT IMPUISSANT PROSPÉRER AINSI, AVALER 56 % DU PRODUIT INTÉRIEUR BRUT ET ABANDONNER AINSI SES FONCTIONS RÉGALIENNES ?

Mais, comment les français peuvent-ils encore supporter cette élite autocratique et centralisatrice qui a phagocyté le pouvoir au sein de son oligarchie...pour en faire quoi ?...une France en toujours plus grande décadence.

Où sont les français et françaises de demain qui devront prendre la relève pour redresser leur Pays ?

 

JEUDI 25 MAI 2023 : UNE VISITE MINISTÉRIELLE COMPLÉTEMENT DÉCALÉE, INDÉCENTE

 

La ministre déléguée à la santé Agnès FIRMIN-LE BODO n’a pas trouvé mieux que de choisir ce jeudi 25 mai2013 pour rendre une visite au centre hospitalier Loire Vendée Océan de Challans à une encablure de l’Hôpital des Sables d’Olonne.

Elle a cité la collaboration entre cet hôpital et la Ville de Challans comme un modèle de collaboration ...un établissement en bonne santé...merci, pour celui des Sables d’Olonne, pour son personnel, pour ces élus...Est-ce de la provocation, de l’inconscience ?...L’économie de ce voyage aurait pu mieux servir par exemple pour alimenter les pauvres œuvres sociales du personnel des Sables d’Olonne en détresse.

 

NOUS NE DEVONS DONC PLUS ADMETTRE UN ÉTAT DIRIGÉ PAR DES IRRESPONSABLES

Cette visite de la sous-ministre Agnès FIRMIN-LE BODO qui a traîné ses bijoux dans l’Hôpital de Challans est à mettre en exemple de ce pouvoir décadent et satisfait de l’être ?

Ici, dans l’hôpital des Sables d’Olonne, nous sentons concrètement le délabrement des Institutions servies par l’INCOMPÉTENCE ET L’IRRESPONSABILITÉ de l’État et nous ressentons la nécessité d’alerter tous les citoyens de se hâter de reprendre le pouvoir.

Encore un grand merci très personnel aux agents de tous grades et fonctions qui nous soignent avec une attention que nous avons osé signaler...sur ce blog,

Voir notre parution du 20 mai 2023 ;

https://www.olonnes.com/2023/05/le-service-public-de-la-sante-sauve-par-les-qualites-de-son-personnel.html

 

PÉTITION ADOPTÉE À L’UNANIMITÉ PAR LE CONSEIL COMMUNAUTAIRE

DES SABLES D’OLONNE LORS DE LA SÉANCE DU JEUDI 25 MAI 2023

 

ADRESSÉE

à la presse,

aux pouvoirs publics : Premier Ministre, Ministre de la santé,

à l’Agence Régionale de Santé,

à l’Hôpital des Sables d’Olonne

Fermeture de la maternité des Sables d’Olonne : les femmes et les enfants dehors !

Un hôpital public, c’est le lieu de l’accueil, du soin, de la bienveillance et de la bientraitance. On y vient pour les joies et les peines de la vie, pour se rassurer face aux accidents de la vie, et l’on en ressort soignés, plus heureux que lorsque l’on y était entré.

Depuis quelques jours pourtant, ceux qui s’y présentent aux Sables d’Olonne trouvent guichets fermés, portes closes ou portes battantes au gré des ouvertures et fermetures dans deux services essentiels : après les urgences voilà qu’on ferme la maternité ! Plus de lits, et désormais plus de berceaux aux Sables d’Olonne !

Pétitions, interventions, soutien à nos soignants… Grâce à notre mobilisation, en 48 heures, la forte mobilisation a permis de recruter rapidement des anesthésistes et les services réouvrent…mais pour combien de temps ?

 Après l’éclipse partielle, à quand l’éclipse totale sur l’Hôpital Côte de lumière ?

Le motif ?

Celui qui touche l’Hôpital public dans son ensemble : une incurie de l’État qui a trop peu prévu, anticipé, accompagné.

Un mammouth bureaucratique qui complique tout et ne résout rien, jusqu’à oublier les seuls qui font battre son cœur : nos soignants.

Avec un résultat qui n’épargne plus Les Sables d’Olonne : des moyens qui manquent, des personnels usés et en sous-effectif, et aujourd’hui des patients à la porte.

Les 600 petits Sablais qui naissent chaque année aux Sables sont priés d’aller voir le jour ailleurs ; les 30 mamans qui s’apprêtent à accoucher dans les prochains jours sont invitées à prendre la route pour embrasser leur enfant plus loin.

Plus qu’ubuesque, c’est scandaleux.

Hippocrate revient vite, ils sont devenus fous !

La réalité est là, crue : l’État a mis l’Hôpital en soin palliatif ; comble du tragique, les maternités sont en train de mourir, et les urgences sont en état d’urgence absolue !

Laisser les praticiens titulaires sans perspective, sans reconnaissance et sans moyen, c’est se condamner à recourir aux praticiens occasionnels, avec des contrats intérimaires sans assurance pour le lendemain : tout cela illustre le démantèlement méthodique de notre santé publique de la part d’un État incapable d’apporter aux Français l’un des premiers services qui faisait jadis la fierté de notre pays : la santé.

Après la crise du COVID accentuée par l’absence de lits, après les déserts médicaux accentués par un manque de nouveaux médecins causés par un numerus clausus ridiculement bas, après la crise des urgences faute de praticiens suffisants, voici la crise de la maternité avec les femmes et les enfants dehors !

Ce n’est pas le modèle des Sables d’Olonne, que l’Agglomération s’emploie à animer comme un bassin de vie pour tous les âges et où il fait bon vivre, grandir et vieillir… mais encore faut-il pouvoir y naître !

Ce n’est pas le modèle sablais ni vendéen que celui d’un CHU au centre avec rien autour : serions-nous attractifs pour tous, sauf pour les médecins ?

Méritons-nous un hôpital intermittent, ouvert au rythme des marées ?

Réuni en Assemblée, le Conseil communautaire des Sables d’Olonne appelle le Gouvernement à prendre ses responsabilités.

L’accès aux soins est un droit fondamental ; l’État doit garantir la continuité du service public hospitalier et la sécurité des populations.

Voilà ce que nous attendons en priorité du Gouvernement : qu’il garantisse les missions fondamentales qui sont les siennes.

Ne laissez pas sombrer l’hôpital public : il y a urgence !

Partager cet article
Repost0
20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 15:40
LE POLE SANTÉ DES SABLES D'OLONNE : L'HÔPITAL

LE POLE SANTÉ DES SABLES D'OLONNE : L'HÔPITAL

 

 

 

 

DEPUIS LE DÉBUT DE LA CRISE SANITAIRE EN 2020, LA FRANCE A DÉCOUVERT UN SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ ASPHYXIÉ

 

Il y a eu une période où les français ont applaudi le personnel soignant, lui ont adressé leurs remerciements par de nombreux gestes de reconnaissance. Et puis la COVID 19 et la préhension de la pandémie par le pouvoir politique et par des « experts » et autres comités Théodule sont arrivés et ont conduit à des constats qui tournent parfois au cauchemar.

Il y avait bien auparavant un discours alarmiste sur les déserts médicaux...mais là, maintenant, ce stade est bien dépassé, l’accès aux soins devient contingenté et même parfois impossible.

 

HOMMAGE AU PERSONNEL DE LA SANTÉ : SOIGNANTS, ADMINISTRATIFS...

Cette vision cauchemardesque du Service Public de la Santé devrait s’effacer devant la qualité des soins, l’écoute, l’empathie...que nous avons pu vivre et constater ces derniers mois.

Aujourd’hui, il vaut mieux ne pas avoir besoin de médecins, d’infirmières, de kinésithérapeutes, de spécialistes...et pourtant...le recours de tout un chacun pour lui-même ou pour des proches aux Services de la Santé demeure incontournable.

Le Service Public Santé tant admiré vit en mode dégradé en France. Il est rongé par une suradministration des tâches confiées au personnel : pas assez de personnel et trop de tâches administratives.

Pourtant, il est difficile de trouver les mots assez forts et assez justes pour exprimer notre gratitude et notre admiration pour le personnel de la santé tant du secteur privé que du secteur public.

Quel que soit le niveau dans la pyramide de la hiérarchie, ce personnel subit des contraintes hors normes, vit sans cesse des moments de stress intenses, de doutes, d’espoirs et de désespérance.

Le personnel dépasse cette situation pour demeurer proche des patients qui lui sont confiés. À celui qui souffre, à celui qui vit dans la crainte de ce qu’il devra subir pour la sauvegarde de sa santé tout le personnel sait apporter les mots de réconfort, les petites attentions qui leur font tant de biens.

C’est pour cela que nous ne pouvons ni comprendre ni accepter l’agressivité manifestée parfois par certains dans les médias, exprimés aussi parfois dans des réactions déplacées et indignes vis-à-vis du personnel.

 

C’est pourquoi, durant ce long week-end de l'Ascension 2023 où ils sont nombreux à être de garde, nous avons tenu à lui redire notre reconnaissance.

Partager cet article
Repost0
10 mai 2023 3 10 /05 /mai /2023 19:06
DÉFENDONS NOTRE SANTÉ ET NOS ABEILLES

DÉFENDONS NOTRE SANTÉ ET NOS ABEILLES

 

 

DU « POISON » DANS L’ASSIETTE DES ABEILLES ET DES FRANÇAIS, DANS CELLE DU MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET DANS CELLE DES LOBBYS QUI ONT OBTENU UN PASSE-DROIT SANCTIONNÉ

 

Les Néonicotinoïdes sont des pesticides interdits en France depuis 2018 mais ils continuent d’empoisonner les abeilles mais pas que les abeilles !

Une décision du CONSEIL D’ÉTAT qui devrait faire date même si l’information reste vraiment très « confidentielle ».

Cette décision du 3 mai 2023 confirme une jurisprudence logique : lorsqu’un État s’est engagé dans une organisation internationale, il s’engage à respecter les règles qui découlent de son engagement et il s’impose à faire respecter ces règles à ses citoyens.

Si l’on raisonne à contrario à quoi servirait des accords internationaux ou l’adhésion d’un pays à une organisation internationale s’il n’acceptait pas les décisions auxquelles il participe en tant que « membre », cosignataire d’un traité...

 

DES DÉROGATIONS POUR CONTOURNER LA LOI DÉCLARÉES ILLÉGALES

En l’occurrence, dans cette décision dont il est question, le Conseil d’État a estimé que les « dérogations » accordées en 2021 et 2022 en France par le Ministre de l’Agriculture à l’utilisation des insecticides néonicotinoïdes pour protéger les semences de betteraves sucrières « sont illégales ». Pour cela il se fonde simplement sur les règles prises par l’Union Européenne.

Le fondement pour le Ministre de l’Agriculture de la demande de dérogation était de protéger les cultures d’infestations massives de pucerons porteurs de maladies qui faisait sombrer la productivité des exploitations agricoles et donc celle de la filière sucre. Un vieille histoire bien connue es spécialistes.

Si la décision prise par le Conseil d’État saisi par diverses associations d’agriculteurs, d’apiculteurs et de défense de l’environnement est d’une brièveté couperet elle est, par contre fondée sur une argumentation charpentée solide que vous pouvez parcourir avec ce lien :

 

https://www.conseil-etat.fr/actualites/neonicotinoides-pas-de-derogation-possible-a-l-interdiction-europeenne

 

Mais le Conseil d’État pour prendre sa décision ne s’est pas embarrassé d’arguties et autres fautes de procédures du Ministre Français de l’Agriculture, il a tranché :

 

LA COUR DE JUSTICE EUROPÉENNE "A DIT" ! DONC, DURA LEX, SED LEX !

Dans cette décision « de principe » le Conseil d’État n’a pas fait dans la dentelle : La Cour de Justice de l’Union européenne «  a dit »...donc le ministre de l’Agriculture français n’a pas ...à imposer sa propre politique ! ni celle des lobbys qui certainement sont derrière lui !

Le Conseil d’État fonde sa décision d’annuler les arrêtés ministériels en s’appuyant simplement sur la seule décision de la Cour de justice de l’Union européenne saisie par le Gouvernement belge qui a précisé, pour la première fois, que

«  lorsque la Commission européenne a expressément interdit, par un règlement d’exécution, l’utilisation de semences traitées avec un produit phytosanitaire donné, un État membre ne peut pas accorder de dérogation temporaire autorisant la mise sur le marché de ce produit en vue du traitement des semences ou l’utilisation de semences traitées à l’aide de ce produit.

 

Reste que nous sommes en mai 2023...que les semences et récoltes de betteraves sucrières ont bien eu lieu et en toute illégalité !

Il faudra bien savoir un jour qui commande en France : le Ministre de l’Agriculture ? Les Lobbys ? Le syndicat des betteraviers français ? L’Union Européenne ? La Santé des agriculteurs et des consommateurs européens ?...

À SUIVRE...

Partager cet article
Repost0
11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:21
SOLIDARITÉ

SOLIDARITÉ

 

 

L’ACTION SOCIALE LOCALE MULTI-FORME MÉRITAIT BIEN CELA !

Le monde est aujourd’hui ainsi fait que la place de la solidarité, sous toutes ses très nombreuses formes, publique, privée...devient de plus en plus nécessaire, importante et complexe dans une société dite déstructurée qui laisse de nombreuses personnes, au bord de la route.

La Ville nouvelle des Sables d’Olonne a donc décidé de créer un Pôle Social nommé « Les Sables d’Olonne Ensemble » et de construire un bâtiment d’environ 4 000 m2 situé au sein du secteur de la Vannerie où déjà a été implanté le Pôle Santé et divers organismes à caractère médical ou social.

Ce nouveau pôle social constituera un guichet unique qui a pour vocation de réunir en un seul lieu une pluralité d’acteurs relevant uniquement du domaine médico-social.

Au vu de l’espace conféré à la création de ce Pôle, la ville souhaite une diversité, une cohérence et une complémentarité des structures occupantes.

Divers acteurs non-économiques occuperont ce Pôle tels que : la CAF-CPAM, le CCAS, le Centre médico scolaire, la Maison médicale de garde, la Médecine préventive Les Sables-d'Olonne, Mission locale Vendée Atlantique, CPTS (communauté professionnelle territoriale de santé) et pour Les Sables d'Olonne Agglomération le service prévention séniors...

 

QUINZE PARTENAIRES SOCIAUX : UN REGROUPEMENT SALUTAIRE

LA VILLE DES SABLES D’OLONNE a donc monté le projet ambitieux d’un regroupement des acteurs de l’action sociale du territoire des Sables d’Olonne sur un site unique.

Certains acteurs sont officiellement connus à ce jour et qui sont répartis sur tout le territoire sablais...c’est aussi une réponse aux questions que se posent encore les sablais : " à quoi sert la fusion ?"

Citons :

  • Le CCAS importante « annexe sociale municipale »qui a en charge divers services d’aide sociale, la gestion des établissements pour personnes âgées, les aides financières, la lutte contre l(isolement,
  • Le Service Prévention Senior,
  • Le Guichet Unique de l’Habitat de l’Agglomération où tout un chacun pourra poser ses questions et trouver l’aide pour les dossiers sur toutes questions concernant l’habitat aux Sables d’Olonne : bien nécessaire pour faire face à la complexification des procédures et aides financières liées à l’habitat : habitat « abordable », rénovation, énergie...
  • Le point accueil La Caisse d’Allocation Familiale (CAF) : prestations, droits...,
  • La Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) ; accueil pour les demandes concernant paiements, les remboursements, carte vitale, complémentaire santé, changements de situations...
  • Agence Littorale de VENDÉE HABITAT bailleur social qui y installera une permanence,
  • Le Service de Médecine Préventive des agents de la Collectivité Ville et Agglomération,
  • Le Centre médico-scolaire qui pilote la problématique de la santé et des jeunes scolarisées y compris l’accompagnement des jeunes handicapés, les élèves en difficulté, violence familiale ...,
  • Le Nid des Aidants où se traite « l’aide et le soutien aux aidants »
  • L’UDAF (association qui a pour but l’aide à une politique familiale globale, la protection, l’éducation affective et sexuelle, le conseil familial...,
  • L’ADAPEI ARIA et son Service d’Accompagnement à la Vie Sociale spécialisée en soutien aux personnes handicapées pour leur insertion,
  • L’Association CONTACT : insertion par le travail, offres de prestations au public...,
  • La MISSION LOCALE VENDÉE ATLANTIQUE pour l’insertion des jeunes : emploi, formation, mobilité, loisirs...,
  • Une Maison Médicale de Garde,
  • La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé Littoral Vendéen CPTS qui en lien avec l’ARS pour favoriser l’inclusion, promouvoir les droits, lutter contre les exclusions et valoriser le potentiel de chacune des personnes que la CPTS accompagne.

 

Il s’agit donc d’un très important projet de cette mandature qui est chiffré à 8,8 millions d’euros pour créer un grand service qui sera rendu à la population qui devrait permettre ainsi d’« alléger », au niveau du citoyen, l’inconvénient d’une dispersion d’un nombre important de structures à vocation sociale au sens large.

Partager cet article
Repost0
14 mars 2023 2 14 /03 /mars /2023 22:24
UNE PARMI D'AUTRES CAMPAGNES

UNE PARMI D'AUTRES CAMPAGNES

 

 

 

 

LA DROGUE FAIT TOUJOURS MAL. NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS PAR CE FLÉAU QUI RONGE NOTRE SOCIÉTÉ

 

La lutte contre le trafic de stupéfiants est une priorité de l’action gouvernementale. Le trafic de stupéfiants est en effet un fléau qui détruit une part de notre jeunesse, constitue une économie parallèle dévastatrice et paralyse des quartiers entiers de la République.

Jean Castex, Premier ministre

 

MERCI À PIERRE PALMADE ET ARRÊTONS DE NOUS BOUCHER LES YEUX

MAINTENANT IL FAUT ATTAQUER LE MAL SOCIÉTAL DE LA CONSOMMATION DE DROGUES QUI GÉNÈRE TANT DE DRAMES

 

Nous pouvons remercier le bouffon Pierre PALMADE de la terrible démonstration dramatique qu’il vient de nous offrir.

Merci Pierre, mais avant, nous devons d’abord apporter aux victimes de l’accident dont il reconnait être responsable notre grande compassion et nos vœux de prompt rétablissement. Nous soutenons le courage qu’il faudra aux victimes pour affronter ce qui les attend.

La Maire de Paris à force de fermer les yeux comme les élus des grandes villes et maintenant ceux des villes moyennes sont devenus au sens pénal du terme des complices objectifs de la délinquance liée aux trafics. Ils sont, de par la loi, responsables de la Sécurité donc de la santé de leurs concitoyens.

 

FACE À UN FLÉAU NATIONAL UNE MOBILISATION NATIONALE

Mais il n’y a pas encore de prise de conscience collective du danger de la drogue comme nous l’avons ressentie et vécue dans la lutte contre l’alcoolisme et le tabagisme qui restent des causes nationales.

Pourtant, on voit passer quotidiennement dans tous les Tribunaux de France et de Navarre de jeunes trafiquants, de jeunes consommateurs qui glissent souvent par besoin du petit trafic au vol, parfois au meurtre volontaire ou involontaire.

De ce que nous venons de vivre, avec l'affaire PALMADE, on peut conclure que pour organiser cette lutte contre la drogue il faut admettre que dorénavant le temps de l’indulgence et du laxisme est révolu.

 

UNE AFFAIRE PÉNALE EXEMPLAIRE : LE DOSSIER PALMADE

Mais surtout maintenant il faut que, pour le dossier PALMADE, la Justice suive son cours en toute sérénité et avec dignité. Pas de justice spectacle. La Justice doit dire le droit, rien que droit mais tout le droit de manière exemplaire. Au Parlement de voir s'il faut améliorer les lois pour une vraie lutte efficace contre le fléau.

D’autre part, si Pierre PALMADE veut vraiment se réhabiliter il doit d’abord accepter d’être soigné. Car derrière toute addiction il y a un malade à soigner.

Puis, comme il est devenu un symbole, il doit lui-même dénoncer le scandale dont il est l’auteur et la victime. Il est condamné à lutter et dénoncer la libre circulation de toutes les drogues en commençant par ceux qui furent ses fournisseurs, les dénoncer en respectant le secret qui entoure toute affaire pénale.

 

CE DRAME PALMADE DOIT FAIRE COMPRENDRE QUE TOUTE PERSONNE QUI CONSOMME UNE DROGUE EST PRÉSUMÉE DANGEREUSE ET DONC MAINTENANT IL FAUT DÉCLARER LA GUERRE AU FLÉAU

Consommateurs de drogues qu’ils soient fils de petit bourgeois, d’avocat célèbre ou pas, de hauts fonctionnaires, sans logis, jeunes, vieux, étudiants en goguette ou travailleur...ils sont tous en danger et dangereux.

Il n’y a pas des drogues dures et des drogues douces...il n’y a que des drogues qui tuent, qui altèrent les facultés, qui font des lobotomisés. Par exemple, le cannabis même à petite dose conduit à l’addiction donc à la dangerosité et pire sa consommation par des adolescents altère définitivement leurs capacités. Ne parlons pas des dégâts causés par une absorption d’une drogue sur le fœtus !

Face à ce fléau, la Justice a son rôle à jouer puisqu’il y a des délits commis, Il faut que les juges appliquent la loi, rien que la loi mais la loi et il faudrait qu’ils rappellent aussi aux parents d’enfants mineurs compromis dans une affaire de drogue leurs responsabilités pénale et civile.

Les policiers de terrain BAC et autres qui sont amenés à suivre des audiences dans les tribunaux de leur ressort se plaignent trop souvent de l’indulgence pour ne pas dire du laxisme des magistrats.

Il ne faut pas mettre les Magistrats globalement en accusation. Ce qui peut paraitre du laxisme constaté et dénoncé découle tout simplement d’une part, du manque de magistrats et d’autre part, du manque de moyens de notre Justice : manque de personnels spécialisés, auxiliaires de justice, et pour les délinquants condamnés manque d’au moins 15 000 places dans les prisons où les addictions sont traitées.

La drogue est un fléau social qu’il faut soigner en priorité : investir dans la lutte contre toutes les drogues c’est investir dans la sécurité, dans la santé publique, dans l’éducation

Avec tout le mal qu’il a pu faire à cause de ses addictions dont celle de la drogue Pierre PALMADE peut (ou doit) devenir le symbole de la lutte contre toues les drogues...ce serait un grand bien.

 

À QUAND UN PLAN DE PRÉVENTION CONTRE TOUTES LES ADDICTIONS ET PARTICULIÈREMENT CONTRE TOUTES LES DROGUES ?

L’ALCOOL, LE TABAC MÊME ENCADRÉS CONTINUENT À FAIRE DES RAVAGES.

MAIS N’OUBLIONS PAS QUE LE LAXISME QUI A AINSI PRÉVALU AVANT LEUR ENCADREMENT A COUTÉ TELLEMENT D’EFFORTS. ET QUE CE N’EST PAS ENCORE GAGNÉ !

 

SOYONS RAISONNABLES ÉVITONS DONC LA LIBÉRALISATION DU CANNABIS ET DES OPIACÉES

Partager cet article
Repost0
8 mars 2023 3 08 /03 /mars /2023 13:19
LA PLUIE TOMBE...C'EST NORMAL....IL FAUT PAS EN FAIRE UNE HISTOIRE. IL Y A TANT D'AUTRES CHOSES QUI MÉRITENT RÉFLEXION

LA PLUIE TOMBE...C'EST NORMAL....IL FAUT PAS EN FAIRE UNE HISTOIRE. IL Y A TANT D'AUTRES CHOSES QUI MÉRITENT RÉFLEXION

 

 

 

 

SAVOIR OU NE PAS VOULOIR SAVOIR

Dans la vie il y a deux catégories d’individus :

- Ceux qui veulent savoir et cherchent,

- Ceux qui refusent de savoir et deviennent des moutons de Panurge.

Faites votre choix ! mais n’oublions pas que :

« La sagesse ne peut pas entrer dans un esprit méchant, et science sans conscience n'est que ruine de l'âme » (Rabelais)

Ce matin la pluie tombe en abondance et cela ne trouble pas ceux qui sont intoxiqués par les médias.

Ceux-ci préfèrent raconter n’importe quoi sur la pluie et le beau temps plutôt que de se pencher sur ce qui fâche et force à réfléchir sur les vrais sujets de société dont ils devraient parler sérieusement comme la guerre, la pauvreté, la misère des hôpitaux, la jeunesse désorientée par la perte de repères, la solidarité, la perte d’autonomie liée au vieillissement...

À l’heure où Sainte Paresse fait l’objet d’une adoration sans « borne » de ceux qui refusent de savoir sont légion et certainement plus nombreux que ceux qui veulent savoir d’où vient le grand malaise qui assaille ar exemple particulièrement la jeunesse.

 

À CEUX QUI REFUSENT DE SAVOIR

Ils doivent prendre conscience qu’ils acceptent des dogmes au lieu de douter et tenter de s’informer. Ils gobent des énormités rabâchées par des écologistes, des wokes, des extrémistes de tous bords et d’autres paresseux congénitaux.

Certes, il est plus confortable au moins pour ceux qui vivent au jour le jour et plus simple de faire partie du groupe de ceux qui refusent de savoir.

Tous les prétextes leur sont bons pour se caler dans des certitudes qui ne sont que des hypothèses et de défiler dans la rue sans avoir la moindre connaissance de tous les bienfaits et méfaits de la loi dite à tort de réforme des retraites.

 

MAIS VIVRE DE CERTITUDES SANS AVOIR CHERCHÉ À LES FONDER CONDUIT AU FASCISME, AU STALINISME, AU WOKISME, À TOUTES LES FORMES DE DICTATURES

C’est cette lâcheté qui pousse donc les peuples à accepter l’inacceptable.

 

DEUX EXEMPLES À RETENIR SUR LA DÉSINFORMATION

  • LE CLIMAT

« La science du climat est encore pleine d’incertitude et il faudra poursuivre les observations sur plusieurs décennies pour comprendre l’origine des fluctuations de la température » Académie française des sciences

« Plus nous en apprenons sur le système climatique, plus nous réalisons à quel point il est complexe » écrivait Steven KOONIN, le conseiller climat d’Obama, dans son livre : Climat, la part d’incertitude.

 

  • LES RETRAITES
Il n’y a pas de projet de loi de réforme sur les retraites mais un « Projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 » dans lequel est glissé vicieusement et contestablement à partir de l’article 2 un fourre-tout retraites dont l’article 7 traite du report de l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans..
Qui sait cela ?...Ceux qui cherchent à savoir.

 

Partager cet article
Repost0
28 février 2023 2 28 /02 /février /2023 11:02
LE SERPENT SE MORD LA QUEUE : UNE NÉGOCIATION IMPOSSIBLE MAIS NÉCESSIRE ET OBLIGATOIRE

LE SERPENT SE MORD LA QUEUE : UNE NÉGOCIATION IMPOSSIBLE MAIS NÉCESSIRE ET OBLIGATOIRE

 

 

 

 

LES SYNDICATS DE MÉDECINS LIBÉRAUX ET LA CNAM CAISSE NATIONALE D'ASSURANCE MALADIE : PAS D'ACCORD SUR LES HONORAIRES 

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2023/02/le-scandale-des-honoraires-de-nos-medecins.html

 

Ce n'est pas une négociation mais une épreuve de force !

 

Les syndicats de médecins libéraux ont rejeté les propositions de la CNAM dont celle du montant de la visite fixé à 25 euros aujourd’hui depuis 2017 et pour lequel la CNAM proposait de le revaloriser à hauteur de 26,50 euros soit une hausse de 1,50 euros (une hausse de 6 % soit moins que l’inflation de la seule année 2022 !).

Les « négociations» ont débuté en début novembre 2022 donc sur des bases non négociables puisque les syndicats des médecins proposaient de porter le montant des honoraires pour une visite à 50 euros apparemment négociable. Il a été question de 35 euros. Mais la CNAM assortissait en plus l’acceptation d’une hausse des honoraires de conditions inacceptables pour les médecins : augmenter leur clientèle, participer à l’effort de lutte contre la désertification médicale...

 

UNE MÉDECINE QUI N’EST PLUS LIBÉRALE MAIS FONCTIONNARISÉE

Ce n’est plus une médecine libérale mais une médecine dont le fonctionnement individuel du médecin et sa rémunération est dépendante de la CNAM, de son déficit, de sa dette et de l’État.

Rappelons simplement qu’un médecin libéral conventionné en février 2025 « facture » une visite à son « client, le patient » 25 euros et qu’une fois ses charges sociales et ses charges professionnelles payées (local, secrétariat, fournitures...) il lui reste entre 5 et 10 euros par visite pour vivre.

 

TUTELLE PERNICIEUSE DE L’ÉTAT

Les médecins libéraux sont victimes de la mauvaise gestion de la Sécurité Sociale qui, au lieu de se réformer, comme l’État pour d’autres sujets, a ouvert les vannes des dépenses à tout va et qui a mis la Sécurité Sociale (gestion presque paritaire) en situation financière désespérée.

Voir : https://assurance-maladie.ameli.fr/qui-sommes-nous/notre-fonctionnement/gouvernance/gouvernance-assurance-maladie

En réalité, la CNAM (assurance maladie) subit les conséquences des erreurs de cette dernière décennie où la tutelle de l’État l’oblige à accepter des contraintes de fonctionnement et  des compétences supplémentaires qui perturbent ses tentatives de redressement.

À cela, il faut ajouter d’une part, toutes les conséquences de la crise sanitaire et d’autre part, les abus de certains professionnels (il y a des brebis galeuses dans tous les métiers !) et aussi ceux de leurs clients sur-consommateur de produits « gratuits).

 

Voir : le document de la Cour des Comptes

FINANCES ET COMPTES PUBLICS DE LA SÉCURITÉ SOCIALE

Rapport sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale

https://www.ccomptes.fr/system/files/2022-10/20221004-synthese-rapport-securite-sociale-2022.pdf

Une situation financière dégradée, un redressement à engager.

 

Ce 28 février 2023 va consacrer un bras de fer entre d'une part, les médecins libéraux et d’autre part, la CNAM sous dépendance de l’État (Ministère de la Santé).

Mais bien au-delà de cette négociation qui doit aboutir, c’est la réforme du système français de santé qui doit être priorisée.

Partager cet article
Repost0