NON À LA DROGUE SOUS TOUTES SES FORMES, NON AU FLÉAU DE L’USAGE ET DU TRAFIC DES STUPÉFIANTS : POUR UNE INTERDICTION IMMÉDIATE ET ACCOMPAGNÉE
L’ADDICTION TUE, IL FAUT RÉAGIR
Il n’a pas fallu attendre l’affaire PALMADE pour savoir que cannabis, cocaïne...sont des poisons qui nécessitent, pour les pouvoirs publics, d’établir les règles qui doivent aboutir à une tolérance ZÉRO.
Le spectacle donné à PARIS par les hordes de drogués occupant des secteurs de quartiers de Paris reste dans toutes les mémoires.
Des habitants s’organisant en milices privées pour reconquérir le droit de circuler dans leur rue est le constat d’un État incapable de faire respecter les libertés fondamentales de ses citoyens.
La maire d’une telle capitale qui accueille des millions de touristes étrangers n’est plus digne de sa fonction.
LA LUTTE CONTRE LES ADDICTIONS POUR SAUVER DES VIES, RÉTABLIR L’ORDRE ET LES LIBERTÉS ET MÊME FAIRE DES ÉCONOMIES
Tout écrit, tout discours tendant à faire croire à l’innocuité de la consommation de stupéfiants constitue une incitation à la consommation qui devrait être sanctionnée.
Tous les jours, parmi les faits divers, il y a les accidents de la route présumés en lien avec l’usage de diverses stupéfiants, d’alcool...quel coût social, affectif...
En effet, la consommation de ces produits tue ceux qui les utilisent et mais pire elle fait des victimes innocentes.
Il fut un temps assez récent où les bobos d'une certains société parisienne s’exprimant dans les médias arrivaient à faire croire que, par exemple, le cannabis de temps à autre cela ne peut pas faire de mal ; des ministres se vantaient d’être ou d’avoir été consommateurs...des hauts responsables sont donc complices de délits !
Des enseignants ne se gênaient pas pour consommer et le dire.
Des élèves, des étudiants, le lundi ne sont pas remis de leurs excès du week-end et n’assistent pas aux cours...des travailleurs ne se rendent pas au travail...On oublie trop le coût social de la drogue.
Les fêtes dites TEUF sont des usines à consommation de drogues et autres trafics ! Comment se fait-il que chaque week-end ces « réunions » puissent être organisées ?...Laxisme que de crimes sont commis en ton nom !
Là aussi, émerge un État défaillant : il lui faut reprendre la main, informer, faire le ménage dans les rues, redonner confiance et pouvoirs à ceux qui sont responsables de la Justice, de l’exécution des lois, de la Saté Publique... «Stop aux produits addictifs » devrait être cause nationale.
UNE MESURE DE SANTÉ PUBLIQUE : L’INTERDICTION DE LA DÉTENTION, DE LA CONSOMMATION DE TOUS LES PRODUITS ADDICTIFS
Aujourd’hui, tous les addictologues sont d’accord pour dénoncer les méfaits de l’usage même occasionnel ou régulier de drogues.
Des consommateurs qui ont commencé jeunes sont des épaves dont le cerveau est détruit à 40 ans. Cela doit être dit. Il faut donc un soutien fort aux associations comme il en existe en matière de lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme.
Ils vont quémander des soins à la « Société » qui va payer...alors que celui qui va prodiguer des soins, le Service Public de la SANTÉ, manque parfois de l’essentiel pour fonctionner pour des causes vitales de toute la population !
INTERDIRE IMPOSSIBLE ? INVERSER LA TENDANCE À L'INVASION CROISSANTE DU TRAFIC, DU NOMBRE DE CONSOMMATEURS, DES DRAMES...
C’est une vérité que la prohibition générale et totale ne peut avoir, dans un premier temps, que des effets limités. Après une interdiction totale, le trafic sous-terrain résistera voire se développera. Mais il commencera à perdre de la clientèle. La "peur" changera de camp. Les pouvoirs publics seront collectivement plus mobilisés pour la cause nationale de l’éradication d’un mal sournois et ravageur.
Cependant notons bien qu'aujourd'hui l’Observatoire Français de Drogues et Produits addictifs constate une augmentation régulière de la consommations des produits classés addictifs
Mais s’il y a une interdiction et des sanctions qui devront être seront effectives, ce qui n’est absolument plus le cas aujourd’hui, il y aura un revirement complet :
- le rétablissement d’une action répressive cohérente où toutes la puissance publique sera unie pour une juste cause aura un effet d’entrainement : la drogue et ses victimes ne seront pas une fatalité. Il faut donc un soutien fort localement aux associations comme il en existe en matière de lutte conte le tabagisme et l'alcoolisme.
- la peur changera de camp. Elle passera du clan des citoyens terrorisés par les conséquences de l’inaction de la puissance publique au clan des délinquants et de leurs complices de tous ordres qui actuellement trop souvent dictent leur loi maffieuse.
Ne soyons pas naïfs : le laxisme face aux méfaits de la drogue qui se développe dans de nombreux quartiers des villes n’est plus admissible. La France n’est pas un pays où des espaces de non-droit sont tolérables.
La question de l’interdiction ne se pose plus : non seulement elle est nécessaire mais elle est urgente.
Il faut un plan d’actions « interdiction » avec répression effective et des mesures d’accompagnement fortes et concrètes sur le plan social, éducatif, économique...pas simplement des promesses !
À SUIVRE
L’ÉDUCATION D’ABORD. QUE FAIT LE NOUVEAU MINISTRE DE L’ÉDUCATION MONSIEUR PAP N’DIAYE AUSSI MINISTRE DE LA JEUNESSE ?