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11 juin 2023 7 11 /06 /juin /2023 10:55
CET HÔPITAL A ÉTÉ INAUGURÉ EN NOVEMBRE 2011 !

CET HÔPITAL A ÉTÉ INAUGURÉ EN NOVEMBRE 2011 !

 

 

SAUVER LE SERVICE PUBLIC SANTÉ : SIGNEZ...MERCI

 

Simple constat l'État et ses dirigeants n'assument plus leur obligation de garantir la continuité du Service Public. Nous sommes vraiment tombés très bas et il est temps de réagir.

En signant cette pétition vous participez à la défense du Service Public

Lien :

https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-fermeture-de-notre-maternit%C3%A9-des-sables-d-olonne/psf/share?share=1&source_location=combo_psf

 

Le hasard de l’actualité nous ramène à reparler Service Public Santé avec l’exemple qui, bien sûr, nous touche particulièrement puisqu’il s’agit de l’hôpital des Sables d’Olonne ou plus exactement du « pôle santé Cote de Lumière » qui vient de subir dans son fonctionnement deux incidents graves :

 

  • Fermeture des Urgences le week-end : cela a fut déjà été le cas : que ce serait-il passé si cette fermeture était intervenue un week-end de grande affluence ?
  • Fermeture temporaire de la maternité : là aussi les patient(e)s concernées ont été prié(e)s d’aller voir ailleurs !

Le Président de la Communauté d’Agglomération a déjà fait appel aux élus pour une pétition adressée à la Première Ministre, au Ministre de la Santé, à l’ARS...

Voir notre parution :

https://www.olonnes.com/2023/05/gouverner-c-est-prevoir.la-degringolade-du-service-public-sante.html

Les fondements de cette menace et déjà de la fermeture récente de Services de base sont « simplement » le manque de personnel conjugué avec un problème de crédits. Il s’agit donc bien d’un problème de gestion du Service Public dont la légendaire continuité est abandonnée à causes des arcanes inextricables d’un pouvoir qui sombre dans l’impuissance totale.

Ceci devrait faire réfléchir tous les citoyens sur leur rôle : ils ont certes des devoirs mais il ont aussi des pouvoirs et des droits.

 

https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-fermeture-de-notre-maternit%C3%A9-des-sables-d-olonne/psf/share?source_location=combo_psf&psf_variant=combo&cbd_s=eyJleHBlcmltZW50TmFtZSI6InBzZl9jb21iby0zNjE3NTQzMCIsInZhcmlhbnQiOnsidmFyaWFudE5hbWUiOiJhNSIsImRhdGEiOnsiYW1vdW50Ijo3NzYsImFtb3VudF9pZCI6ImE1In0sInB1bGxzIjo0MzA1LCJyZXdhcmRzIjo1OTc0fSwidmFyaWFudE5hbWUiOiJhNSIsImNvbWJvQmFuZGl0QW1vdW50Ijo3LCJhbW91bnRJZCI6ImE1In0%3D&share_intent=1

 

 

 

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10 juin 2023 6 10 /06 /juin /2023 21:23
LES HÔPITAUX MALADES DE LA BUREAUCRATISATION : QUI DÉCIDE ? COMMENT ? IL Y A DES PATIENTS ET DES SOIGNANTS QUI ATTENDENT ET SOUFFRENT

LES HÔPITAUX MALADES DE LA BUREAUCRATISATION : QUI DÉCIDE ? COMMENT ? IL Y A DES PATIENTS ET DES SOIGNANTS QUI ATTENDENT ET SOUFFRENT

 

 

 

UN DÉSASTRE : LA BUREAUCRATISATION ET LA MÉDECINE, LA RECHERCHE, L’ÉNERGIE, LES TRANSPORTS, L’ÉCOLOGIE, LE MINISTÈRE DES FINANCES, L’ÉCOLOGIE...

 

BUREAUCRATIE

Un Pays a besoin au moins pour satisfaire aux exigences des fonctions régaliennes que l’État puisse disposer de serviteurs pour lui-même, pour les des Collectivités territoriales et le secteur public hospitalier, avec le risque d’une bureaucratie envahissante. La bureaucratie qui découle de ce besoin fondamental est un mal nécessaire mais dangereux, voire triés dangereux, pervers....

« Bureaucratie » désigne de manière péjorative une influence ou un pouvoir excessif de l'Administration dans les affaires publiques ou dans la politique. Les serviteurs de l’État dits fonctionnaires sont considérés par les français comme des improductifs et l’image de marque de cette catégorie de salariés qui représente 5,7 millions de personnes n’est pas très positive.

Le secteur privé représente 21 millions de salariés.

Pourtant, selon la dernière enquête Harris 63% des Français ont une bonne image générale des fonctionnaires mais seulement 10% déclarent en avoir « une très bonne image » Encore un paradoxe français mais il a au moins un fondement que nous tentons d'expliquer.

Aujourd’hui, la bureaucratie et sa croissance voire son invasion malsaine est remise en cause suite aux réactions post crises sanitaires et crise des retraites et aux recherches de responsabilités dans ces fiascos. La bureaucratie est montrée du doigt par l'opinion mais pas mise en cause.

N'oublions pas que la France avait une médecine exemplaire, enviée. Elle a désormais une médecine à la dérive. Sa bureaucratisation a donc détruit un fleuron du savoir-faire, savoir vivre français.

Pourtant, dès 2003, un rapport d’information de l’Assemblée nationale sur l’organisation interne de l’hôpital, dit rapport « Couanau » mettait en évidence les risques de bureaucratisation de l’hôpital et leurs conséquences sur la gestion non seulement des établissements hospitaliers mais aussi sur tout le système Santé français.

 

BUREAUCRATISATION EN FRANCE

On passe de la bureaucratie nécessaire à la bureaucratie envahissante et stérile qui gagne tous les secteurs.

Les régimes communistes se sont effondrés sous le poids de la bureaucratisation qu’avait déjà décrit, il y a bien longtemps avec humour, comme un fléau, l’écrivain Georges COURTELINE (1858-1929) :

« Savez-vous ce qui arriverait au Sahara si on y installait le communisme ? Pendant cinquante ans rien. Au bout de cinquante ans, pénurie de sable. »

Cela n’a pas servi de leçon à nos dirigeants et même à l’opinion publique qui ne manque pas chaque fois qu’un problème se pose de demander à l’État de faire toujours plus, de générer lois, règlement...et de la bureaucratie.

Ainsi l’État sort couramment de ses fonctions régaliennes pour faire tout y compris ce qu’il ne sait pas faire...alors, il improvise, il demande des rapports, crée des commissions, des Agences, fait intervenir des Cabinets conseils...

La machine infernale se met en route et à toutes occasions avec ses résultats : lenteur, lourdeur, complexification des procédures...Si le problème trouve une solution...ce qui est mis en place va demeurer et chercher à survivre par tous moyens en générant des besoins, enquêtes, contrôles...

Les décisions bureaucratiques sont alors difficilement compréhensibles, peu conformes au bon sens ou à la démocratie...les procédures exceptionnelles parfois inutiles sont pérennisées.

Par contre ce qui est actif et positif comme la médecine de ville est tellement harcelé par la bureaucratisation que ses effectifs fondent comme neige au soleil ceux qui ont inventé le médecin référent et tout ce qui a suivi n’ont pas pensé qu’ils allaient créer des déserts médicaux. La bureaucratie au nom de statistiques très contestables continue à vouloir tuer le médecin de famille et décourage les vocations chez les jeunes et pire des médecins en place découragés plient bagage. Bravo à ARS et compagnie et aux têtes dites pensantes du Ministère de la Santé.

 

LES FAISEURS DE BUREAUCRATIE RESPONSABLES IRRESPONSABLES

La bureaucratie envahissante ce n’est pas de la génération spontanée. C’est devenu un système !

Nos dirigeants, issus de l’énarchie et ou du clan oligarchique qui gouverne, comme ils n’ont pas le savoir mais veulent gober toutes les occasions de crises, dysfonctionnements... pour exister et appliquer leur remède miracle cité ci-dessus : un problème doit être résolu par ce qui va générer de la bureaucratie : commission, conseillers, bureaux d’études, Agences...sont mis en place pour résoudre le problème.

D’une part, ainsi le haut fonctionnaire ou chargé de mission, conseiller responsable du dossier veut garder la main mise sur son trésor.

Mais, d'autre part, comme il n’est pas capable de trouver et gérer la solution au problème posé et que surtout il ne veut pas prendre trop de responsabilités, il va créer des usines à gaz avec comités, commissions...qui vont générer de la bureaucratie à tout va !...que de temps, d’énergie et d’argent perdus.

Vous trouvez cela dit gentiment et écrit dans tous les rapports de commissions d’enquête Sénat et Chambre des Députés, analyse de la Cour des Comptes et du Conseil d’État, rapport du Conseil Économique Social et Environnemental...

Reprenons COURTELINE face à la déresponsabilisation des décideurs au plus haut niveau grâce au système de bureaucratisation décrit et même épluché par les grands commis de l'État :

« C'est étrange que certains commettent des délits quand il y a tellement de façons parfaitement légales d'être malhonnête. »

C’est cette procédure et cette maffia qui la gère qu’il faut d’urgence donc remettre en cause mais ce sera chose difficile dans la conjoncture actuelle avec le Président de la République qui lui-même a opté pour ce système.

 

 

 

 

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30 mai 2023 2 30 /05 /mai /2023 11:09
QUE FAIT DONC LE MINISTRE DE LA JEUNESSE POUR LA LUTTE ET LA PRÉVENTION CONTRE LES ADDICTIONS DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES ?

QUE FAIT DONC LE MINISTRE DE LA JEUNESSE POUR LA LUTTE ET LA PRÉVENTION CONTRE LES ADDICTIONS DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES ?

 

 

 

 

 

 

L'ÉCOLE, PORTE OUVERTE À LA DROGUE ?

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/05/cannabis-crack-cocaine.dites-non-merci-il-faut-unir-les-forces-pour-stopper-l-invasion.html

Le Ministre actuel de l’Éducation et de la Jeunesse se répand sur les bienfaits de l’Éducation sexuelle et se morfond sur les lacunes qu’il constate. Mais que fait-il vraiment pour lutter contre le mal qui ronge les jeunes dont il a la charge ? Que fait-il pour empêcher la drogue de rentrer dans les établissements scolaires ?

Les prises de position du Ministre de la Jeunesse sont singulièrement rares voire quasi inexistantes !

Nous sommes donc  justement effarés par la directive HALLUCINANTE (c’est le bon mot pour les drogues !!!) ... » publiée par la MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives )

La première orientation de ce programme gouvernemental est « de doter chacun de la liberté de choisir »

https://www.drogues.gouv.fr/le-gouvernement-publie-la-strategie-interministerielle-de-mobilisation-contre-les-conduites

 

COMMENT UN MINISTRE RESPONSABLE DE LA JEUNESSE PEUT-IL LAISSER PASSER TELLE "ORIENTATION" QUI OUVRE GRAND LA PORTE À LA DROGUE ?

Ouvrir la liberté de choisir la drogue ..

Comment veut-on avec un tel programme motiver policiers, gendarmes, magistrats éducateurs spécialisés, enseignants...et parents à agir dans un État qui n’a plus les moyens d’incarcérer et de suivre et encadrer de jeunes délinquants récidivistes dealers, violents.

On croît rêver : un texte gouvernemental prône la liberté de choisir la consommation d’un produit interdit !

En démocratie, la liberté est la règle mais nous ne cessons de répéter qu’abuser d’une liberté condamne la liberté

Oui, la liberté d’expression est encadrée : ainsi la liberté d’expression est limitée car la liberté de diffamer est condamnée. C’est un délit. Personne ne conteste cela.

La libre circulation de la drogue, la liberté de vendre de la drogue, d’en consommer jusqu’à en mourir n’est pas compatible avec la notion d’abuser de la liberté pour détruire soi-même, autrui...

Nous nous souvenons des manifestations monstres des madrilènes dans les années 1995 contre la libre circulation de la drogue à MADRID !...Voilà où mène le laxisme : à  la saine la révolte populaire qui descend dans la rue.

 

LA France NE PEUT ÊTRE FLATTÉE PAR LE FAIT QU’ELLE EST LE PREMIER CONSOMMATEUR DE CANNABIS

EXTRAIT DU TEXTE CITÉ CI-DESSUS...DONNER À CHACUN LA LIBERTÉ DE CHOISIR

Le Gouvernement adopte ce jeudi 9 mars (2023) sa Stratégie interministérielle de mobilisation contre les conduites addictives 2023-2027, qui donne le cadre stratégique de l’action des années à venir. Elle sera complétée de plans et programmes opérationnels, nationaux et locaux, établis en concertation avec les professionnels, les élus et partenaires locaux.

Donner à chacun la liberté de choisir

La première orientation de la stratégie interministérielle de mobilisation contre les conduites addictives 2023-2027 est de doter chacun de la liberté de choisir. Cette liberté exige d’abord de disposer des compétences psycho-sociales permettant d’éviter des comportements à risque. Concrètement, cela signifie que la prévention et l’éducation sont une priorité en matière de lutte contre les drogues et les conduites addictives.


Les pouvoirs publics doivent s’assurer que les citoyens disposent d’informations sur les risques qui soient basées sur les connaissances scientifiques, à distance des positions idéologiques et des intérêts financiers. Les risques liés à l’usage du cannabis ou à celui de la cocaïne, comme à ceux causés par une consommation excessive d’alcool, restent notamment encore trop méconnus.

Accélérer la protection, notamment des mineurs, dans les milieux de vie

C’est d’abord au sein des familles que les pratiques d’initiation à l’alcool et aux jeux d’argent et de hasard doivent reculer, en sensibilisant l’entourage familial aux risques auxquels les enfants sont ainsi exposés. Un meilleur respect de l’interdiction de vente aux mineurs de l’alcool, de tabac et de jeu d’argent et de hasard contribuera aussi à cette mise à distance des produits.


En milieu professionnel, l’objectif est de s’assurer que les environnements de travail soient protecteurs et qu’ils ne génèrent pas de pratiques addictives.

 

De belles paroles et celles-ci ne sont d’ailleurs pas particulièrement belles et ne suffisent plus, pire lles sont contre productive à la nécessité d'organiser le barrage à la drogue en France.

Il faut la volonté de passer aux actes, aux actions visibles dans les quartiers pollués par la gangrène des stupéfiants

Aujourd’hui, personne ne peut croire que de belles paroles pourront endiguer l’invasion de la drogue en France...premier consommateur de cannabis !

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29 mai 2023 1 29 /05 /mai /2023 16:39
CANNABIS, CRACK, COCAÏNE... DITES NON MERCI ! IL FAUT UNIR LES FORCES POUR STOPPER L’INVASION

 

 

 

NON À LA DROGUE SOUS TOUTES SES FORMES, NON AU FLÉAU DE L’USAGE ET DU TRAFIC DES STUPÉFIANTS : POUR UNE INTERDICTION IMMÉDIATE ET ACCOMPAGNÉE

 

L’ADDICTION TUE, IL FAUT RÉAGIR

Il n’a pas fallu attendre l’affaire PALMADE pour savoir que cannabis, cocaïne...sont des poisons qui nécessitent, pour les pouvoirs publics, d’établir les règles qui doivent aboutir à une tolérance ZÉRO.

Le spectacle donné à PARIS par les hordes de drogués occupant des secteurs de quartiers de Paris reste dans toutes les mémoires.

Des habitants s’organisant en milices privées pour reconquérir le droit de circuler dans leur rue est le constat d’un État incapable de faire respecter les libertés fondamentales de ses citoyens.

La maire d’une telle capitale qui accueille des millions de touristes étrangers n’est plus digne de sa fonction.

 

LA LUTTE CONTRE LES ADDICTIONS POUR SAUVER DES VIES, RÉTABLIR L’ORDRE ET LES LIBERTÉS ET MÊME FAIRE DES ÉCONOMIES

Tout écrit, tout discours tendant à faire croire à l’innocuité de la consommation de stupéfiants constitue une incitation à la consommation qui devrait être sanctionnée.

Tous les jours, parmi les faits divers, il y a les accidents de la route présumés en lien avec l’usage de diverses stupéfiants, d’alcool...quel coût social, affectif...

En effet, la consommation de ces produits tue ceux qui les utilisent et mais pire elle fait des victimes innocentes.

Il fut un temps assez récent où les bobos d'une certains société parisienne s’exprimant dans les médias arrivaient à faire croire que, par exemple, le cannabis de temps à autre cela ne peut pas faire de mal ; des ministres se vantaient d’être ou d’avoir été consommateurs...des hauts responsables sont donc complices de délits !

Des enseignants ne se gênaient pas pour consommer et le dire.

Des élèves, des étudiants, le lundi ne sont pas remis de leurs excès du week-end et n’assistent pas aux cours...des travailleurs ne se rendent pas au travail...On oublie trop le coût social de la drogue.

Les fêtes dites TEUF sont des usines à consommation de drogues et autres trafics ! Comment se fait-il que chaque week-end ces « réunions » puissent être organisées ?...Laxisme que de crimes sont commis en ton nom !

Là aussi, émerge un État défaillant : il lui faut reprendre la main, informer, faire le ménage dans les rues, redonner confiance et  pouvoirs à ceux qui sont responsables de la Justice, de l’exécution des lois, de la Saté Publique...  «Stop aux produits addictifs » devrait être cause nationale.

 

UNE MESURE DE SANTÉ PUBLIQUE : L’INTERDICTION DE LA DÉTENTION, DE LA CONSOMMATION DE TOUS LES PRODUITS ADDICTIFS

Aujourd’hui, tous les addictologues sont d’accord pour dénoncer les méfaits de l’usage même occasionnel ou régulier de drogues.

Des consommateurs qui ont commencé jeunes sont des épaves dont le cerveau est détruit à 40 ans. Cela doit être dit. Il faut donc un soutien fort aux associations comme il en existe en matière de lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme.

Ils vont quémander des soins à la « Société » qui va payer...alors que celui qui va prodiguer des soins, le Service Public de la SANTÉ, manque parfois de l’essentiel pour fonctionner pour des causes vitales de toute la population !

 

INTERDIRE IMPOSSIBLE ? INVERSER LA TENDANCE À L'INVASION CROISSANTE DU TRAFIC, DU NOMBRE DE CONSOMMATEURS, DES DRAMES...

C’est une vérité que la prohibition générale et totale ne peut avoir, dans un premier temps, que des effets limités. Après une interdiction totale, le trafic sous-terrain résistera voire se développera. Mais il commencera à perdre de la clientèle. La "peur" changera de camp. Les pouvoirs publics seront collectivement plus mobilisés pour la cause nationale de l’éradication d’un mal sournois et ravageur.

Cependant notons bien qu'aujourd'hui l’Observatoire Français de Drogues et Produits addictifs constate une augmentation régulière de la consommations des produits classés addictifs

https://www.santepubliquefrance.fr/les-actualites/2023/cocaine-consommation-et-passages-aux-urgences-en-hausse

Mais s’il y a une interdiction et des sanctions qui devront être seront effectives, ce qui n’est absolument plus le cas aujourd’hui, il y aura un revirement complet :

  • le rétablissement d’une action répressive cohérente où toutes la puissance publique sera unie pour une juste cause aura un effet d’entrainement : la drogue et ses victimes ne seront pas une fatalité. Il faut donc un soutien fort localement aux associations comme il en existe en matière de lutte conte le tabagisme et l'alcoolisme.
  • la peur changera de camp. Elle passera du clan des citoyens terrorisés par les conséquences de l’inaction de la puissance publique  au clan des délinquants et de leurs complices de tous ordres  qui actuellement trop souvent  dictent leur loi maffieuse.

Ne soyons pas naïfs  : le laxisme face aux méfaits de la drogue qui se développe dans de nombreux quartiers des villes n’est plus admissible. La France n’est pas un pays où des espaces de non-droit sont tolérables.

La question de l’interdiction ne se pose plus : non seulement elle est nécessaire mais elle est urgente.

Il faut un plan d’actions « interdiction » avec répression effective  et des mesures d’accompagnement fortes et concrètes sur le plan social, éducatif, économique...pas simplement des promesses !

 

À SUIVRE

L’ÉDUCATION D’ABORD. QUE FAIT LE NOUVEAU MINISTRE DE L’ÉDUCATION MONSIEUR PAP N’DIAYE AUSSI MINISTRE DE LA JEUNESSE ?

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28 mai 2023 7 28 /05 /mai /2023 09:47
LE PROJET DE PÔLE DE SANTÉ A PRIS SON ENVOL EN 2008

LE PROJET DE PÔLE DE SANTÉ A PRIS SON ENVOL EN 2008

 

 

 

 

 

AUX SABLES D’OLONNE : FERMETURE DE LA MATERNITÉ, FERMETURE DES URGENCES AU PÔLE DE SANTÉ

Nous n'aurions jamais cru possible chose pareille en France !

Nous ne pouvons laisser passer ce crève-cœur dans la belle cité vendéenne DES SABLES D’OLONNE.

Quel plus bel exemple de l’incurie de l’État PATRON exécrable, de gestionnaire nul et d’un chef de l’État qui selon l’article 5 de la Constitution :
« veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État. » et qui ne voit rien, n’entend rien et se moque de tout sauf peut-être de son ego et du pouvoir.

Nous avons vu, encore hier, et vécu avec ce personnel du Pôle de Santé Côte de Lumière à la tâche avec le sourire mais totalement désemparé, dans une tourmente qui secoue depuis des années cet établissement pourtant récent.

 

A-T-ON LE DROIT DE LAISSER UN ÉTAT IMPUISSANT PROSPÉRER AINSI, AVALER 56 % DU PRODUIT INTÉRIEUR BRUT ET ABANDONNER AINSI SES FONCTIONS RÉGALIENNES ?

Mais, comment les français peuvent-ils encore supporter cette élite autocratique et centralisatrice qui a phagocyté le pouvoir au sein de son oligarchie...pour en faire quoi ?...une France en toujours plus grande décadence.

Où sont les français et françaises de demain qui devront prendre la relève pour redresser leur Pays ?

 

JEUDI 25 MAI 2023 : UNE VISITE MINISTÉRIELLE COMPLÉTEMENT DÉCALÉE, INDÉCENTE

 

La ministre déléguée à la santé Agnès FIRMIN-LE BODO n’a pas trouvé mieux que de choisir ce jeudi 25 mai2013 pour rendre une visite au centre hospitalier Loire Vendée Océan de Challans à une encablure de l’Hôpital des Sables d’Olonne.

Elle a cité la collaboration entre cet hôpital et la Ville de Challans comme un modèle de collaboration ...un établissement en bonne santé...merci, pour celui des Sables d’Olonne, pour son personnel, pour ces élus...Est-ce de la provocation, de l’inconscience ?...L’économie de ce voyage aurait pu mieux servir par exemple pour alimenter les pauvres œuvres sociales du personnel des Sables d’Olonne en détresse.

 

NOUS NE DEVONS DONC PLUS ADMETTRE UN ÉTAT DIRIGÉ PAR DES IRRESPONSABLES

Cette visite de la sous-ministre Agnès FIRMIN-LE BODO qui a traîné ses bijoux dans l’Hôpital de Challans est à mettre en exemple de ce pouvoir décadent et satisfait de l’être ?

Ici, dans l’hôpital des Sables d’Olonne, nous sentons concrètement le délabrement des Institutions servies par l’INCOMPÉTENCE ET L’IRRESPONSABILITÉ de l’État et nous ressentons la nécessité d’alerter tous les citoyens de se hâter de reprendre le pouvoir.

Encore un grand merci très personnel aux agents de tous grades et fonctions qui nous soignent avec une attention que nous avons osé signaler...sur ce blog,

Voir notre parution du 20 mai 2023 ;

https://www.olonnes.com/2023/05/le-service-public-de-la-sante-sauve-par-les-qualites-de-son-personnel.html

 

PÉTITION ADOPTÉE À L’UNANIMITÉ PAR LE CONSEIL COMMUNAUTAIRE

DES SABLES D’OLONNE LORS DE LA SÉANCE DU JEUDI 25 MAI 2023

 

ADRESSÉE

à la presse,

aux pouvoirs publics : Premier Ministre, Ministre de la santé,

à l’Agence Régionale de Santé,

à l’Hôpital des Sables d’Olonne

Fermeture de la maternité des Sables d’Olonne : les femmes et les enfants dehors !

Un hôpital public, c’est le lieu de l’accueil, du soin, de la bienveillance et de la bientraitance. On y vient pour les joies et les peines de la vie, pour se rassurer face aux accidents de la vie, et l’on en ressort soignés, plus heureux que lorsque l’on y était entré.

Depuis quelques jours pourtant, ceux qui s’y présentent aux Sables d’Olonne trouvent guichets fermés, portes closes ou portes battantes au gré des ouvertures et fermetures dans deux services essentiels : après les urgences voilà qu’on ferme la maternité ! Plus de lits, et désormais plus de berceaux aux Sables d’Olonne !

Pétitions, interventions, soutien à nos soignants… Grâce à notre mobilisation, en 48 heures, la forte mobilisation a permis de recruter rapidement des anesthésistes et les services réouvrent…mais pour combien de temps ?

 Après l’éclipse partielle, à quand l’éclipse totale sur l’Hôpital Côte de lumière ?

Le motif ?

Celui qui touche l’Hôpital public dans son ensemble : une incurie de l’État qui a trop peu prévu, anticipé, accompagné.

Un mammouth bureaucratique qui complique tout et ne résout rien, jusqu’à oublier les seuls qui font battre son cœur : nos soignants.

Avec un résultat qui n’épargne plus Les Sables d’Olonne : des moyens qui manquent, des personnels usés et en sous-effectif, et aujourd’hui des patients à la porte.

Les 600 petits Sablais qui naissent chaque année aux Sables sont priés d’aller voir le jour ailleurs ; les 30 mamans qui s’apprêtent à accoucher dans les prochains jours sont invitées à prendre la route pour embrasser leur enfant plus loin.

Plus qu’ubuesque, c’est scandaleux.

Hippocrate revient vite, ils sont devenus fous !

La réalité est là, crue : l’État a mis l’Hôpital en soin palliatif ; comble du tragique, les maternités sont en train de mourir, et les urgences sont en état d’urgence absolue !

Laisser les praticiens titulaires sans perspective, sans reconnaissance et sans moyen, c’est se condamner à recourir aux praticiens occasionnels, avec des contrats intérimaires sans assurance pour le lendemain : tout cela illustre le démantèlement méthodique de notre santé publique de la part d’un État incapable d’apporter aux Français l’un des premiers services qui faisait jadis la fierté de notre pays : la santé.

Après la crise du COVID accentuée par l’absence de lits, après les déserts médicaux accentués par un manque de nouveaux médecins causés par un numerus clausus ridiculement bas, après la crise des urgences faute de praticiens suffisants, voici la crise de la maternité avec les femmes et les enfants dehors !

Ce n’est pas le modèle des Sables d’Olonne, que l’Agglomération s’emploie à animer comme un bassin de vie pour tous les âges et où il fait bon vivre, grandir et vieillir… mais encore faut-il pouvoir y naître !

Ce n’est pas le modèle sablais ni vendéen que celui d’un CHU au centre avec rien autour : serions-nous attractifs pour tous, sauf pour les médecins ?

Méritons-nous un hôpital intermittent, ouvert au rythme des marées ?

Réuni en Assemblée, le Conseil communautaire des Sables d’Olonne appelle le Gouvernement à prendre ses responsabilités.

L’accès aux soins est un droit fondamental ; l’État doit garantir la continuité du service public hospitalier et la sécurité des populations.

Voilà ce que nous attendons en priorité du Gouvernement : qu’il garantisse les missions fondamentales qui sont les siennes.

Ne laissez pas sombrer l’hôpital public : il y a urgence !

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20 mai 2023 6 20 /05 /mai /2023 15:40
LE POLE SANTÉ DES SABLES D'OLONNE : L'HÔPITAL

LE POLE SANTÉ DES SABLES D'OLONNE : L'HÔPITAL

 

 

 

 

DEPUIS LE DÉBUT DE LA CRISE SANITAIRE EN 2020, LA FRANCE A DÉCOUVERT UN SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ ASPHYXIÉ

 

Il y a eu une période où les français ont applaudi le personnel soignant, lui ont adressé leurs remerciements par de nombreux gestes de reconnaissance. Et puis la COVID 19 et la préhension de la pandémie par le pouvoir politique et par des « experts » et autres comités Théodule sont arrivés et ont conduit à des constats qui tournent parfois au cauchemar.

Il y avait bien auparavant un discours alarmiste sur les déserts médicaux...mais là, maintenant, ce stade est bien dépassé, l’accès aux soins devient contingenté et même parfois impossible.

 

HOMMAGE AU PERSONNEL DE LA SANTÉ : SOIGNANTS, ADMINISTRATIFS...

Cette vision cauchemardesque du Service Public de la Santé devrait s’effacer devant la qualité des soins, l’écoute, l’empathie...que nous avons pu vivre et constater ces derniers mois.

Aujourd’hui, il vaut mieux ne pas avoir besoin de médecins, d’infirmières, de kinésithérapeutes, de spécialistes...et pourtant...le recours de tout un chacun pour lui-même ou pour des proches aux Services de la Santé demeure incontournable.

Le Service Public Santé tant admiré vit en mode dégradé en France. Il est rongé par une suradministration des tâches confiées au personnel : pas assez de personnel et trop de tâches administratives.

Pourtant, il est difficile de trouver les mots assez forts et assez justes pour exprimer notre gratitude et notre admiration pour le personnel de la santé tant du secteur privé que du secteur public.

Quel que soit le niveau dans la pyramide de la hiérarchie, ce personnel subit des contraintes hors normes, vit sans cesse des moments de stress intenses, de doutes, d’espoirs et de désespérance.

Le personnel dépasse cette situation pour demeurer proche des patients qui lui sont confiés. À celui qui souffre, à celui qui vit dans la crainte de ce qu’il devra subir pour la sauvegarde de sa santé tout le personnel sait apporter les mots de réconfort, les petites attentions qui leur font tant de biens.

C’est pour cela que nous ne pouvons ni comprendre ni accepter l’agressivité manifestée parfois par certains dans les médias, exprimés aussi parfois dans des réactions déplacées et indignes vis-à-vis du personnel.

 

C’est pourquoi, durant ce long week-end de l'Ascension 2023 où ils sont nombreux à être de garde, nous avons tenu à lui redire notre reconnaissance.

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10 mai 2023 3 10 /05 /mai /2023 19:06
DÉFENDONS NOTRE SANTÉ ET NOS ABEILLES

DÉFENDONS NOTRE SANTÉ ET NOS ABEILLES

 

 

DU « POISON » DANS L’ASSIETTE DES ABEILLES ET DES FRANÇAIS, DANS CELLE DU MINISTRE DE L’AGRICULTURE ET DANS CELLE DES LOBBYS QUI ONT OBTENU UN PASSE-DROIT SANCTIONNÉ

 

Les Néonicotinoïdes sont des pesticides interdits en France depuis 2018 mais ils continuent d’empoisonner les abeilles mais pas que les abeilles !

Une décision du CONSEIL D’ÉTAT qui devrait faire date même si l’information reste vraiment très « confidentielle ».

Cette décision du 3 mai 2023 confirme une jurisprudence logique : lorsqu’un État s’est engagé dans une organisation internationale, il s’engage à respecter les règles qui découlent de son engagement et il s’impose à faire respecter ces règles à ses citoyens.

Si l’on raisonne à contrario à quoi servirait des accords internationaux ou l’adhésion d’un pays à une organisation internationale s’il n’acceptait pas les décisions auxquelles il participe en tant que « membre », cosignataire d’un traité...

 

DES DÉROGATIONS POUR CONTOURNER LA LOI DÉCLARÉES ILLÉGALES

En l’occurrence, dans cette décision dont il est question, le Conseil d’État a estimé que les « dérogations » accordées en 2021 et 2022 en France par le Ministre de l’Agriculture à l’utilisation des insecticides néonicotinoïdes pour protéger les semences de betteraves sucrières « sont illégales ». Pour cela il se fonde simplement sur les règles prises par l’Union Européenne.

Le fondement pour le Ministre de l’Agriculture de la demande de dérogation était de protéger les cultures d’infestations massives de pucerons porteurs de maladies qui faisait sombrer la productivité des exploitations agricoles et donc celle de la filière sucre. Un vieille histoire bien connue es spécialistes.

Si la décision prise par le Conseil d’État saisi par diverses associations d’agriculteurs, d’apiculteurs et de défense de l’environnement est d’une brièveté couperet elle est, par contre fondée sur une argumentation charpentée solide que vous pouvez parcourir avec ce lien :

 

https://www.conseil-etat.fr/actualites/neonicotinoides-pas-de-derogation-possible-a-l-interdiction-europeenne

 

Mais le Conseil d’État pour prendre sa décision ne s’est pas embarrassé d’arguties et autres fautes de procédures du Ministre Français de l’Agriculture, il a tranché :

 

LA COUR DE JUSTICE EUROPÉENNE "A DIT" ! DONC, DURA LEX, SED LEX !

Dans cette décision « de principe » le Conseil d’État n’a pas fait dans la dentelle : La Cour de Justice de l’Union européenne «  a dit »...donc le ministre de l’Agriculture français n’a pas ...à imposer sa propre politique ! ni celle des lobbys qui certainement sont derrière lui !

Le Conseil d’État fonde sa décision d’annuler les arrêtés ministériels en s’appuyant simplement sur la seule décision de la Cour de justice de l’Union européenne saisie par le Gouvernement belge qui a précisé, pour la première fois, que

«  lorsque la Commission européenne a expressément interdit, par un règlement d’exécution, l’utilisation de semences traitées avec un produit phytosanitaire donné, un État membre ne peut pas accorder de dérogation temporaire autorisant la mise sur le marché de ce produit en vue du traitement des semences ou l’utilisation de semences traitées à l’aide de ce produit.

 

Reste que nous sommes en mai 2023...que les semences et récoltes de betteraves sucrières ont bien eu lieu et en toute illégalité !

Il faudra bien savoir un jour qui commande en France : le Ministre de l’Agriculture ? Les Lobbys ? Le syndicat des betteraviers français ? L’Union Européenne ? La Santé des agriculteurs et des consommateurs européens ?...

À SUIVRE...

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11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:21
SOLIDARITÉ

SOLIDARITÉ

 

 

L’ACTION SOCIALE LOCALE MULTI-FORME MÉRITAIT BIEN CELA !

Le monde est aujourd’hui ainsi fait que la place de la solidarité, sous toutes ses très nombreuses formes, publique, privée...devient de plus en plus nécessaire, importante et complexe dans une société dite déstructurée qui laisse de nombreuses personnes, au bord de la route.

La Ville nouvelle des Sables d’Olonne a donc décidé de créer un Pôle Social nommé « Les Sables d’Olonne Ensemble » et de construire un bâtiment d’environ 4 000 m2 situé au sein du secteur de la Vannerie où déjà a été implanté le Pôle Santé et divers organismes à caractère médical ou social.

Ce nouveau pôle social constituera un guichet unique qui a pour vocation de réunir en un seul lieu une pluralité d’acteurs relevant uniquement du domaine médico-social.

Au vu de l’espace conféré à la création de ce Pôle, la ville souhaite une diversité, une cohérence et une complémentarité des structures occupantes.

Divers acteurs non-économiques occuperont ce Pôle tels que : la CAF-CPAM, le CCAS, le Centre médico scolaire, la Maison médicale de garde, la Médecine préventive Les Sables-d'Olonne, Mission locale Vendée Atlantique, CPTS (communauté professionnelle territoriale de santé) et pour Les Sables d'Olonne Agglomération le service prévention séniors...

 

QUINZE PARTENAIRES SOCIAUX : UN REGROUPEMENT SALUTAIRE

LA VILLE DES SABLES D’OLONNE a donc monté le projet ambitieux d’un regroupement des acteurs de l’action sociale du territoire des Sables d’Olonne sur un site unique.

Certains acteurs sont officiellement connus à ce jour et qui sont répartis sur tout le territoire sablais...c’est aussi une réponse aux questions que se posent encore les sablais : " à quoi sert la fusion ?"

Citons :

  • Le CCAS importante « annexe sociale municipale »qui a en charge divers services d’aide sociale, la gestion des établissements pour personnes âgées, les aides financières, la lutte contre l(isolement,
  • Le Service Prévention Senior,
  • Le Guichet Unique de l’Habitat de l’Agglomération où tout un chacun pourra poser ses questions et trouver l’aide pour les dossiers sur toutes questions concernant l’habitat aux Sables d’Olonne : bien nécessaire pour faire face à la complexification des procédures et aides financières liées à l’habitat : habitat « abordable », rénovation, énergie...
  • Le point accueil La Caisse d’Allocation Familiale (CAF) : prestations, droits...,
  • La Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) ; accueil pour les demandes concernant paiements, les remboursements, carte vitale, complémentaire santé, changements de situations...
  • Agence Littorale de VENDÉE HABITAT bailleur social qui y installera une permanence,
  • Le Service de Médecine Préventive des agents de la Collectivité Ville et Agglomération,
  • Le Centre médico-scolaire qui pilote la problématique de la santé et des jeunes scolarisées y compris l’accompagnement des jeunes handicapés, les élèves en difficulté, violence familiale ...,
  • Le Nid des Aidants où se traite « l’aide et le soutien aux aidants »
  • L’UDAF (association qui a pour but l’aide à une politique familiale globale, la protection, l’éducation affective et sexuelle, le conseil familial...,
  • L’ADAPEI ARIA et son Service d’Accompagnement à la Vie Sociale spécialisée en soutien aux personnes handicapées pour leur insertion,
  • L’Association CONTACT : insertion par le travail, offres de prestations au public...,
  • La MISSION LOCALE VENDÉE ATLANTIQUE pour l’insertion des jeunes : emploi, formation, mobilité, loisirs...,
  • Une Maison Médicale de Garde,
  • La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé Littoral Vendéen CPTS qui en lien avec l’ARS pour favoriser l’inclusion, promouvoir les droits, lutter contre les exclusions et valoriser le potentiel de chacune des personnes que la CPTS accompagne.

 

Il s’agit donc d’un très important projet de cette mandature qui est chiffré à 8,8 millions d’euros pour créer un grand service qui sera rendu à la population qui devrait permettre ainsi d’« alléger », au niveau du citoyen, l’inconvénient d’une dispersion d’un nombre important de structures à vocation sociale au sens large.

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