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17 octobre 2025 5 17 /10 /octobre /2025 20:44
QU’EST-CE QUI VA MAL EN FRANCE EN 2025  ET POLLUE TOUT ?

UNE FRANCE RICHE QUI EST PAUVRE ! POURQUOI ?

 

Nous repartons encore de l’axiome  « Proposition considérée comme évidente, admise sans démonstration » la France a été, est et demeure un Pays riche mais elle a été depuis ces dernières décennies  très mal gérée par des gouvernants d’un État tentaculaire gouverné par des irresponsables.

Un pays riche incapable d’assumer une gestion saine de ses engagements vis-à-vis des français et de ses engagements internationaux : quelle contradiction !

Pourquoi cette situation et comment y remédier ?

 

LA PROTECTION SOCIALE : LE MODÈLE QUE FUT LA SÉCURITÉ SOCIALE EST DEVENU UN CONTRE MODÈLE

Nous fêtons les 80 ans des ordonnances (4 et 19 octobre 1945) prises sous le régime du Gouvernement Provisoire du Général de GAULLE.

Nous avons ainsi institué en 1945 un modèle qui garantit le risque santé et les prestations familiales en 1945 mais après son heure de réussite et de gloire il a été utilisé pollué.

Petit à petit le système a été dévoyé et l’imprévoyance a guidé sa gestion surtout en matière "sociale"

Les données réelles concernant les recettes et les prévisions ont été occultées.

D’une part, la barque était chargée avec des dépenses croissantes et des recettes qui ne suivaient pas (cotisations des employeurs et salariés) le rythme de l’économie nationale vacillante.

Les comptes sont donc déficitaires et la Caisse constate ces déficits tous les ans et l’État étant garant des emprunts que doit faire l’Institution pour ne pas être en cessation de payement subventionne...on aboutit à faire prendre en charge ces déficits des comptes sociaux par l'État !

Ces déficits sociaux s’ajoutent aux déficits des finances publiques et incrémente la fameuse dette qui s’approche des 3 500 milliards d’euros dont une bonne part provient donc de la Sécurité Sociale et cela devient insupportable d’où les alertes de la Cour des Comptes qui dans un rapport terrible de juin 2025 :

  • fait le constat.
  • propose une réforme avec plus d’une cinquantaine de mesures !

 

QUI VA ASSUMER LA RÉFORME URGENTE ET ABSOLUMENT NÉCESSAIRE POUR SAUVER ?

Cette mauvaise pratique a fermé les yeux depuis des décennies et a été une faute inexcusable qui est imputable à tous les gouvernants depuis François Mitterrand jusqu’à Emmanuel MACRON.

Nous ne pouvons imaginer les guichets de l’Assurance Maladie fermés, les déremboursements continuer à se cumuler, les services hospitaliers fermés, les indemnités journalières impayées...

Quel gouvernant va oser dire aux français la vérité ?

Personne n’a l’envergure et le courage politique pour dire la vérité et surtout assumer le choix des mesures à prendre. 

Les leçons du COVID et de cette crise sanitaire et sociale n’ont pas été tirées...Pourtant, il est apparu clairement que, l’expérience de quelques semaines avec une perception limitée des cotisations, fut aussi un signal d’alerte probant et révélateur de la fragilité de notre protection sociale.

Si la Cour des Comptes stigmatise les comptes sociaux dans son rapport de Juin 2025 c’est bien qu’il y a le feu dans la maison : 

« Une trajectoire des comptes sociaux hors de contrôle ! » Ce titre du Rapport en dit long sur la dégradation de ces comptes

https://www.ccomptes.fr/fr/documents/75386

Il n’y a donc plus de doute à avoir sur la gravité de la situation et l’ampleur du danger.

 

LE PÉRIL DE LA DÉGRADATION DES COMPTES SOCIAUX QUI POLLUENT LES COMPTES DU BUDGET DE L’ÉTAT

Nous posions la question sur ce qui va mal en France ?

Ce qui va mal ce sont les comptes sociaux de la France qui polluent d’une manière de plus en plus grave comme nous l’indiquons ci-dessus les Finances Publiques de l’État.

Le budget de l’État pourra subir des coupes sombres et revenir aux normes Européennes conformément à ses engagements mais cela ne servira à rien si les « comptes sociaux » continuent à se dégrader et qu’ainsi les économies sur les dépenses de l’État seront mangées par les comptes sociaux et l’État continuera à créer de nouvelles taxes et impôts pour rien. Le mécontentement français et l'économie du pays s'amplifieront.

Réparons nos comptes sociaux et attaquons-nous au budget de l’État victime de gouvernants imprévoyants et la France ira mieux.

 

 

 

 

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28 août 2025 4 28 /08 /août /2025 18:25
LE BONHEUR

LE BONHEUR

 

 

 

LES VACANCES ET APRÈS ?

 

Des millions de français en avaient tant marre d’être noyés dans la fange immonde d’une civilisation déboussolée et par des informations plus ou moins fausses ou plus fausses que vraies qu’ils ont décidé une coupure, comme ils disent.

S’ils ressentent ce besoin de souffler, c’est un signe de l’évidence d’insatisfactions rongeuses du moral des troupes.

Bien sûr, ils ont oublié qu’ils seraient poursuivis partout par leurs portables dont ils sont inséparables, ne serait-ce que pour suivre les conseils distillés comme un poison ou une drogue pour éviter ou tenter d’éviter les embouteillages sur la route qu’ils étaient si contents d’avoir prise pour fuir l’enfer qu’ils ont vécu pendant toute l’année passée.

Ils ont même oublié qu’ils devraient rentrer au bercail pour retrouver leurs ennuis, leur vie monotone, le bruit incessant de l’agitation brownienne du monde mal nommé « moderne » comme si moderne était synonyme de heureux.

Cette « coupure estivale» n’est donc pas une thérapie efficace au pessimisme ambiant.

Et pourtant ils pensent déjà à la prochaine escapade qu’ils pourront vivre.

Ils sont donc vraiment malades de leur condition de vie, de travail et chaque fois qu’ils partent ils reviennent chagrins, à regret, dans ce monde qu’ils n’aiment pas celui du boulot, dodo et pour les plus mal lotis « métros ».

Nous les surprenons même entrain de ressortir un nouveau poncif tel que : qu’il fut agréable ce temps de silence monacal qu’en 2020, COVID 1,9 leur avait imposé, ce ciel dépollué, le bruit des voisins audible, les consignes prévues et répétées du décret instaurant et prolongeant le « confinement »...

 

MAIS OÙ EST LE PARADIS SUR TERRE ? IL EST SIMPLEMENT SUR TERRE POUR ÊTRE PARTAGÉ

Mais alors où est donc le paradis, le bonheur éternel ?

Jean-Paul SARTRE philosophe déroutant qui a osé écrire « L’Enfer, c’est les autres » a fait tant de mal aux autres. Il a été doué d’une force inimaginable, destructrice pour tromper l’homme sain, pour lui ôter ce qu’il a de meilleur. Il n’a même pas trouvé les mots français pour détruire le bonheur de l’homme. Il a fallu qu’il invente des mots comme la « relation intersubjective »...d'ailleurs, ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément...pas besoin d'inventer des maximes ténébreuses ! le vocabulaire français est déjà si riche !

La mode qui suivit la deuxième guerre mondiale a porté cet esprit malsain aux nues en faisant croire que l’essence des rapports entre les hommes est le conflit, et non la « coopération ».

Non, Monsieur SARTRE et vous autres existentialistes, vous êtes des malades contagieux et dangereux : l’homme n’est pas ce que vous écrivez. Vous trompez les plus faibles au lieu de leur offrir une part de bonheur.

L’homme est né bon et il peut le demeurer toute sa vie durant et être heureux en partageant sans cesse son secret du bonheur avec les autres.

L’homme a le privilège grandissant issu de sa liberté de semer le bonheur autour de lui en se mettant au service de ses congénères pour cultiver ensemble l’art de bien vivre, l’art d’aimer, l’art de répandre la joie de vivre, l’art de partager le bonheur :  même les petits bonheurs peuvent et doivent se partager. C’est le sourire donné à ceux qui souffrent. La souffrance attend toujours le sourire, la parole qui lui fera du bien. Le bonheur, c’est bien les autres !

En réalité, l’homme ne vit que par et pour les autres.

L’homme qui est heureux est celui qui donne et a les moyens et la volonté de distribuer du bonheur même et surtout aux plus malheureux dont le bonheur est étouffé.

Donc, vous qui rentrez de ces vacances estivales, le moral dans les chaussettes, pensez, en cette fin 2025, à profiter enfin ! de votre capital BONHEUR qui dort peut-être, pensez à le distribuer largement, pensez à votre bonheur acquis souvent plus en donnant qu’en recevant. Le bonheur collectif n’est pas côté en Bourse c’est pourtant la source de tant de richesses...qu’on se le dise ! et c’est à la portée de tous.

 

 

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26 août 2025 2 26 /08 /août /2025 20:08
DUR À VOIR !

DUR À VOIR !

 

 

BLOQUER LE BLOCAGE , INTERDIRE LE BLOCAGE

 

Un mot d’ordre : le blocage qui pose quand même beaucoup de problèmes dans un Pays en grande difficultés financière ; s’il faut bloquer un pays pour le faire avancer...qu’on nous dise comment faire ?

Des extrémistes de gauche et de droite sont d’accord sur un point et encore ! : Faire de cette rentrée 2025 une France « bloquée ». Bloquée...mais comment donc faire ?

Au pays des libertés individuelles la liberté est inscrite dans le marbre des droits de l’homme. Ces droits sont, rappelons-le faits pour éclairer les vendeurs d’illusions des risques qu’ils font courir à leur terre d’accueil et à leurs concitoyens. Sont-ils peut-être mal informés des mœurs françaises fondées sur « la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression » (Déclaration des droits de l’homme et du citoyen).

Mais si nous prenons dans l’exercice des droits du citoyen le droit de l’exercice de ses libertés et sachant que l’exercice de la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme (en France) n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits.

Et donc si un blocage du Pays nuit à de nombreux «AUTRUI»...il faudra que ce qui reste de gouvernement, le 8 septembre, interdise au nom de la liberté avec un grand L le droit au blocage...car, ceux qui ont envie de soigner leurs patients, ceux qui ont envie d’aller voir des proches, de se rendre sur leur lieu de travail ou tout simplement envie ou besoin de se déplacer ...ont des droits que le blocage leur interdira d’exercer.

C’est une grave atteinte aux libertés individuelles que le Pouvoir doit impérativement empêcher. Le Pouvoir est le gardien et protecteur de l’exercice des libertés individuelles et si le Pouvoir est incapable de défendre l’exercice des droits du citoyens, il est condamnable.

En cas de défaillance du Pouvoir, le 10 septembre 2025, les citoyens au nom de leur droit de résistance à l’oppression pourront voire devront « prendre les armes » pour rétablir les droits du citoyen. Cela irait donc très loin !

 

LE BLOCAGE DU PAYS : UNE ATTEINTE TRÈS GRAVE AUX LIBERTÉS FONDAMENTALES

Conscients de la gravité de la situation provoquée par l’action de minorités agissantes le Pouvoir doit prendre les mesures de sauvegarde qui s’imposent et d'abord condamner une menace et une méthode inadmissibles.

Il n’y a pas de limites pour la défense des libertés...les vrais défenseurs des libertés auront tous les droits contre les ennemis de la LIBERTÉ. D’ailleurs, les dirigeants des pays totalitaires n’usent-ils pas, n’abusent-ils pas de la répression en désignant comme « criminels » leurs opposants réfractaires nommés « ennemis du peuple » !

Le 10 septembre 2025, si le mot d’ordre de blocage est maintenu et respecté...les irresponsables acteurs du blocage que seront les Mélenchonistes déclarés ennemis de nos libertés citoyennes pourront être « pendus à la lanterne » et devront donc « répondre de leurs abus des libertés ».

L’Article 11 des droits de l’homme prévoit que :

« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. »

Il appartiendra au Pouvoir, à l’État d’anticiper cette menace en prenant les mesures dissuasives et répressives adaptées à cet abus qu’est le blocage du Pays.

D’ailleurs, y aura-t-il vraiment un blocage ? Aujourd’hui c’est une menace « verbale » de partisans que les syndicats de salariés observent avec une grande prudence car les promoteurs de ce mouvement populiste et confus, après cette mise en garde, et surtout avec le réveil citoyen attendu, risquent aussi eux d’être dépassés par les leurs ?

Usons et abusons des voies démocratiques !

 

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2 août 2025 6 02 /08 /août /2025 20:31
L'ASSEMBLÉE NATIONALE SYMBOLE DE LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE

L'ASSEMBLÉE NATIONALE SYMBOLE DE LA DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE

 

 

L’ÉLU DÉCEVANT, L’ÉLECTEUR DÉÇU...AINSI VA LA DÉMOCRATIE MAIS EST-CE ...

 

Ce temps des repos est aussi pour certains celui de la méditation dans un monde qui est très loin de l’idéal que chacun peut naïvement imaginer que l’on retrouve chez certains politicologues, philosophes et autres penseurs.

LA France EST ENCORE UNE DÉMOCRATIE : c’est dans la définition le peuple souverain qui gouverne par le peuple et pour le peuple. C’est du moins la théorie !

La démocratie est un régime politique qui repose sur cinq piliers principaux s : la souveraineté du peuple, le respect des libertés fondamentales, la séparation des pouvoirs, l’égalité devant la loi, la tenue d'élections libres régulières, le pluralisme politique.

Qu'apporte de plus que la démocratie dite «représentative» ? La réponse est dans la Constitution de 1958 : La France est une démocratie représentative « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum »

Oui, la France vit une crise institutionnelle : le peuple souverain n’est plus écouté et ses gouvernants conduisent le pays ingouvernable à la faillite financière et sociale dans un monde en folie, la guerre qui ne dit même pas son nom russo-ukrainienne étant aux portes de ses frontières.

Les citoyens ne peuvent rester passifs face à cette situation.

 

UNE ASSOCIATION CITOYENNE POUR QUE VIVE LE LIEN ÉLU ÉLECTEURS

Les périodes électorales sont des moments exceptionnels favorables aux échanges, aux critiques, aux promesses, aux réflexions personnelles sur l’exercice du pouvoir et sur la fonction de citoyen soumis à un pouvoir qu’il a accepté plus ou moins et qu’il se complait à critiquer ...

Au-dessus de chaque citoyen, dans une vie en société, plane un pouvoir qui, depuis des temps immémoriaux fait peur aux philosophes : comment maintenir l’homme libre (conquête révolutionnaire) s’il y a un pouvoir qui s’installe et édicte des normes pour que la nation, le Pays, la République puissent permettre de vivre une cohabitation entre tous ses membres.

Il y a donc sur un territoire même en démocratie deux acteurs qui ont un lien de dépendance : sommairement, ce sont les élus qui commandent et les citoyens qui subissent.

Les élus en place, représentants du peuple, font en sorte qu’avec le temps le lien élu/citoyen se délite : les élus s’éloignent de leurs électeurs, trahissent parfois leurs promesses et le citoyen électeur qui a voté et donné un mandat à un de ses concitoyens pour gérer sa collectivité voire le pays et même l’Europe et qui croyait en votant mettre sa confiance en un homme ou une femme pour gérer à sa place une part de la chose publique « res publica » se trouve souvent déçu.

Les membres fondateurs de notre Association CACO sont partis de ce triste et préoccupant constat de terrain : elle se veut ouverte à tous les citoyens donc apolitique et résulte de la réflexion sur des dysfonctionnements de la démocratie. Les élus s’éloignent du peuple dont ils détiennent une forme de soumission et les électeurs oublient qu’ils ont donné un mandat à un congénère et qu’ils doivent vérifier la bonne exécution de ce mandat.

En France, le débat élu / électeur s’ouvre ou se ré-ouvre tant au niveau local qu’au niveau national à l’approche d’élections et ce lien s’est dissout dans le temps : l’élu a perdu le contact avec ses électeurs et le citoyen électeur pense plus à ses droits qu’à ses devoirs.

 

CETTE RUPTURE DU LIEN CITOYENS ÉLECTEURS ET ÉLUS EST ÉVITABLE

L’OBJET DE L’ASSOCIATION CITOYENNE CACO, éditrice du présent Blog, a justement statutairement le but de faciliter le maintien du  lien élus/citoyens.

https://admin.over-blog.com/934384/write/109365157

Article 2 in fine :

 

LA DÉMOCRATIE À LA FRANÇAISE EN DANGER

Ceci est particulièrement nécessaire dans une période qui est en rupture de ban entre ses gouvernants et le peuple comme l’atteste la crise institutionnelle que traverse depuis des mois la France avec un Chef d’État et un gouvernement où le pouvoir est lui aussi en rupture de ban avec ses citoyens.

Notre information essaie sans trop de prétention de rappeler aux élus leurs devoirs et aux citoyens leurs pouvoirs de mobilisation et leurs devoirs de participer à la vie du pays en crise.

 

 

À SUIVRE...

LA DÉMOCRATIE EN DANGER

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12 juillet 2025 6 12 /07 /juillet /2025 20:09
POUR UNE VRAIE POLITIQUE NATALISTE

 

 

UNE POLITIQUE NATALISTE : POUR NE PAS DEVENIR COMME LE JAPON, L’ALLEMAGNE...

 

UNE POLITIQUE PUBLIQUE NATALISTE NE SE DÉCRÈTE DANS UN DISCOURS

 

Ce qui est sûr ce sont les chiffres qui ne mentent pas et que les démographes nous donnent régulièrement

 

1990 : 762 000 naissances

 

2010 : 802 000 naissances

 

2023 : 640 000 naissances

 

Le"réarmement démographique" glissé dans un discours par Emmanuel MACRON (16 janvier 2024) et l’exemple présidentiel lui-même ne peuvent qu’être des mesures et des signes qui ne permettront pas d’inverser la courbe de la dénatalité en France. Elles n’auront que des  effets négatifs.

Comme dans beaucoup de problèmes il faut d’abord chercher les causes et tâcher d’en tirer les conclusions concrètes pour trouver les solutions.

 

LES CAUSES DE LA DÉNATALITÉ

La première qui vient à l’esprit est la politique anti_familiale entreprise par François HOLLANDE en 2010 suivie par celles de ses successeurs y compris celle de notre Président actuel.

En prenant des mesures allant à l’encontre d’une politique nataliste qu'il s'agisse des prestations familiales, de la politique fiscale ou de la politique du logement, tout est allé dans un sens négatif. Ceci a eu deux conséquences : les Français n'ont plus confiance dans la politique publique familiale.

Exemple type : les français n’ont plus confiance dans la politique familiale et pour cause ! : des discours et des promesses non tenues n’animent pas un sentiment positif pour une femme d’avoir un enfant malgré ses souhaits personnels.

Autre cause forte de dénatalité c’est purement et simplement le pessimisme ambiant qui a envahi la France conforté par des bruits de guerre, de crises financières et sociales...

 

POUR UNE POLITIQUE NATALISTE

Ce qui reste positif et interroge beaucoup c’est d’abord que des enquêtes montrent que le désir d'enfants des Françaises n'est pas comblé. Il est de près de 2,3 enfants, alors que l'indice de fécondité réel est tombé sous les 1,7 l'an dernier.

Il faut maintenant remettre en route un politique de réussite du service public de la petite enfance pour permettre à la mère de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Toutes les mesures qui sont des bras de levier pour rétablir la confiance entre État et les familles : mesures pour le logement, mesures fiscales, universalité des allocations familiales, supprimer le plafonnement du quotient familial, revoir les conditions de retour à l’emploi ...décentraliser les mesures d’aides !

Il y a aussi des mesures connexes comme :

  • les mesures favorables pour faciliter la vie des parents durant la petite enfance,
  • la lutte contre l’infertilité,
  • reconnaître le rôle des aidants aux familles et particulièrement des grands parents...que le gouvernement actuel est au contraire prêt à pénaliser fiscalement !

 

LES DÉSASTRES DE LA DÉNATALITÉ AU JAPON

 

C’est au JAPON que nous pouvons les constater

Le résultat dans ce pays est que

  •  le nombre de travailleurs de plus de 65 ans atteint 9 millions pour faire face à un manque de main d’œuvre,
  • 8,8 jours de vacances par an
  • Une population qui est passée en 2010 de 128 millions à 124 millions d’habitants aujourd’hui
  • Une production en baisse ...

 

Voilà où mène la dénatalité !

Ce n’est pas demain mais aujourd’hui qu’il faut prendre les bonnes mesures avec une politique nataliste en laquelle les français et les françaises auront confiance...des couples attendent et à l’avenir le problème des retraites sera solutionnable voire résolu , celui de l’immigration aussi...

 

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21 juin 2025 6 21 /06 /juin /2025 18:12
LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ SOLIDARITÉ

LIBERTÉ ÉGALITÉ FRATERNITÉ SOLIDARITÉ

 

 

LES GRANDS PARENTS, PAPY ET MAMY, ET AUTRES PROCHES AU SECOURS DE LA RÉPUBLIQUE DÉFAILLANTE

 

Autour de nous sur notre plage vendéenne nous entendons  tant d’appels et échanges « Papy ! «  « ! Mamy ! » : la joie partagée.

C’est après mûre réflexion que nous osons émettre haut et fort notre cri de colère et d’amour. Il sera peut-être fort car il a été pensé pour créer, nous l’espérons, une onde de choc. Nous ne pouvons plus continuer à vivre ensemble mais séparés.

Il ne s’agit pas de culpabiliser mais au contraire de tenter de mobiliser pour le retour à une autre vie commune.

 

JEUNES EN PÉRIL, ANCIENS DÉVOUÉS ET TRISTES

Nous espérons avec cette parution faire part des oubliés de la République et : 

  • Des jeunes déstructurés visibles ou invisibles ou simplement et, c’est la même chose, privés du cocon familial en quête d’un sourire, d’un soutien, suppliant sans qu’ils puissent être écoutés qu’on s’occupe d’eux mieux que leurs écrans et que la drogue dans laquelle ils se noient si aisément .
  • Honte aussi aux élus et autres égoïstes qui ne pensent qu’à leurs réélections et à la démagogie pour arriver à leurs fins indignes.
  • Réveiller la notion de famille et de solidarité familiale et extra-familiale qui survit silencieuse et pourtant encore si active et présente auprès des générations à venir.

 

LA RECONNAISSANCE, LA FRANCE DES ISOLÉS TRISTE ET MALHEUREUSE ET LA SOLIDARITÉ SOURCE INCROYABLE DE LIEN SOCIAL

Les parents de 2025 ont le droit de souffler un peu, travailleurs désabusés mais exploités et spoliés par l’État Providence de malheurs et de gaspillages qui a perdu toute crédibilité. Il faut rendre à la parentalité la place essentielle qui lui est due.

Chacun a le droit et peut-être même devoir d’être Père ou Mère et d’avoir une vie aménagée à cet effet. Supprimer ces deux mots père et mère est un crime par les malheurs que cela engendre. Il faut que notre législateur assume cette responsabilité en donnant laissant aux adultes bénévoles les moyens d'action et la reconnaissance.

La réalité sociale et sociologique de la France de 2025 est celle-là :

  • des enfants et adolescents perdus en quête d’amour, de parrainage ...
  •  des couples défaits, des « parents » monoparentaux,
  • des grands parents généreux et souvent désorientés,
  • des femmes isolées se battant tous les jours non pour vivre mais pour survivre,
  • la pauvreté qui s’étend inexorablement et gagne du terrain d’année en année,
  •  des dizaines de milliers de personnes âgées, résignées : l’EHPAD et autres institutions du même type n’est pas une solution humaine, c’est une solution inhumaine technocratique et dispendieuse,
  • Des prisons qui débordent (plus de 80 000 incarcérés) dans des prisons taudis encadrés par du personnel sans les moyens matériels en sous-effectif et mal formé.

Et en face de cette réalité miséreuse il y a des grands élus millionnaires en euros qui sont coupés des réalités de la misère dans le pays. Certains en vivent même !

En 2025, l’incroyable d’inhumanité se développe et ainsi nous pouvons travailler et être à la rue ! C’est cela la réalité que la caste au pouvoir ignore ou fait semblant d’ignorer.

Les libertés acquises avec 1968 ne sont pas des libertés satisfaisantes au contraire elles se révèlent destructrices du bonheur, de la joie de vivre et de la solidarité.

Nous aspirons tous à vivre dans un autre monde où le mot solidarité s’imposera.

À SUIVRE :

LE BÉNÉVOLAT, PUISSANCE INEXPLOITÉE ET RÉPARATRICE DES DÉGÂTS D’UNE SOCIÉTÉ AVEUGLE ET INJUSTE

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9 juin 2025 1 09 /06 /juin /2025 18:14
TRAVAIL SANCTION OU PAS DE TRAVAIL

 

 

 

 

PAS OU PLUS DE TRAVAIL EST BIEN UNE SANCTION

 

Suite de :

 https://www.olonnes.com/2025/06/du-droit-au-travail-au-droit-a-la-paresse.html

 

Souvenir d’étudiant : notre professeur de droit pénal avait étonné son amphi lorsqu’il avait déclaré du haut de sa chaire que la prison était, bien sûr, une sanction privative de liberté puisque le juge interdisait au condamné de travailler ! L’empêchement de travailler imposée au détenu est donc bien une sanction complémentaire.

Certes, les travaux forcés créés à Cayenne (GUYANE) et dans certaines colonies ont été interdits conformément avec la Convention de l’Organisation Internationale du Travail OIT entrée en vigueur le 17 janvier 1959. La peine des travaux forcés est abolie juridiquement en France par l'Ordonnance du 4 juin 1960.

La théorie du travail en prison a depuis fortement évolué en vertu du principe que le travail en détention permet à la personne détenue d’exercer une activité professionnelle rémunérée pendant son incarcération et favorise la réinsertion.

L’objectif nouveau du Ministère de la Justice est que 50% au moins des personnes détenues puissent exercer une activité professionnelle rémunérée.

 

Que dire du citoyen en chômage, privé d'emploi? Contrairement aux jugements hâtifs et malsains, le chômage est aussi considéré par celui qui le vit comme une dégradation, un manque : le chômeur « involontaire » est marginalisé dans la société actuelle. Être privé d’emploi est donc bien, en général, mal vécu. Regardons bien ceux qui vivent la fermeture de leur « entreprise », ils se battent...pour continuer à travailler.

Le travail est une valeur qui colle à la peau de celui qui parfois le subit mais souvent l’aime : regardez comment les mineurs vivaient leur dur métier...et l’aimait !

Le droit « au » travail proclamé en 1848 est donc bien une valeur vissée au corps humain. Il faudrait peut-être en parler sérieusement le 1er Mai, jour de la fête du travail qui se fête en ne travaillant pas pour la plupart d’entre nous !

 

 

DU BAGNE À LA RÉINSERTION !

NOUS VOUS LIVRONS CI-DESSOUS UNE PARUTION DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE DU 03 FÉVRIER  2025

https://www.justice.gouv.fr/grands-dossiers/travail-detention

 

TRAVAILLER EN DÉTENTION POUR MIEUX SE RÉINSÉRER

 

À leur entrée en détention, les personnes détenues sont souvent éloignées de l’emploi et peu qualifiées. Exercer une activité professionnelle rémunérée représente donc un enjeu d’autant plus important. Cela permet notamment à la personne détenue de préparer sa réinsertion. Elle apprend, se qualifie, se conforme à une discipline : autant d’éléments qui lui permettent de mieux préparer sa sortie de détention. La demande de travail est très forte dans les établissements pénitentiaires.

Une fois recrutée, la personne détenue signe un contrat d’emploi pénitentiaire avec le donneur d’ordre (chef de l’établissement pénitentiaire ou entreprise). Instauré le 1er mai 2022, ce contrat lui permet de travailler dans des conditions similaires à celles qu’elle connaîtra une fois libérée : procédure de recrutement, contrat de travail, période d’essai, ouverture de droits sociaux, formation professionnelle…

Ce nouveau cadre juridique contribue à mieux préparer les personnes détenues à devenir des citoyens autonomes et responsables.

Le travail pénitentiaire s’effectue toujours sur la base du volontariat. Il ne peut être imposé à la personne détenue.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 juin 2025 7 08 /06 /juin /2025 20:39
DU DROIT AU TRAVAIL AU DROIT À LA PARESSE

 

 

 

LE VRAI « DROIT AU TRAVAIL »

 

1848 fut une année de bouillonnement intellectuel d’une rare intensité avec des personnalités politiques et philosophes comme Pierre-Joseph Proudhon (« la propriété c’est le vol » père de la pensée anarchique), Louis BLANC, Charles FOURIER...

Nous pouvons regretter que l’Éducation dite Nationale ait fait fi d’une autre façon d’aborder l’Histoire réelle de la France ou Histoire de France avec du concret et de l’humain comme cette Révolution de 3 jours en 1848 !

Dans la presse très pluraliste et très importante de cette année révolutionnaire 1848 le débat d’idées a fait rage.

C’est dans la déclaration du gouvernement provisoire de février 1848 qu’est inscrit le droit au travail :

« Le gouvernement provisoire de la République française s'engage à garantir l'existence de l'ouvrier par le travail. Il s'engage à garantir du travail à tous les citoyens. »

Là, il n’est question que du droit au travail qui posait tant de questions auxquelles il n’y avait que très peu de réponses au moment de l’ère préindustrielle, 1750/1850 : ainsi tout est parti du travail des enfants...en 1848 !

L’industrialisation cherchait sa voie comme a osé la réaliser Claude Nicolas LEDOUX avec la Saline Royale d’Arc-et-Senans.(1773-1778)

https://www.monuments-nationaux.fr/editions-du-patrimoine/les-ouvrages/la-saline-royale-de-claude-nicolas-ledoux-arc-et-senans

 

 

LE FAUX DROIT DU TRAVAIL

C'est un faux droit : la formule est certainement exagérée mais fondée puisque depuis ces dernières décennies les gouvernements successifs promettent de simplifier le droit du travail, obstacle au plein emploi et que le résultat est l’inverse aux promesses :  le Code du travail ne cesse de prendre de l’embonpoint.

Le Code du Travail version 2025 déborde d’articles qui n’ont pas leur place dans un « code » qui doit définir les grandes règles et non noyer le sujet dans une compilation de détails qui font oublier l’essentiel : la bonne exécution de bonne foi du contrat de travail par l'employeur et le salarié.

 

 

LE DROIT À LA PARESSE DE SANDRINE ROUSSEAU

 

Ce serait donc par le travail que l’homme, la femme et l’enfant existent au dix neuvième siècle !

Ce n’est l’avis de notre politicienne écologiste éco-féministe et provocatrice Sandrine ROUSSEAU qui a avancé sa proposition d’opposition au travail, à la productivité avec son « droit à la paresse » ou le mal vivre récompensé par un droit au repos. 

Le 30 janvier 2024, Gabriel ATTAL, a taclé la députée lors de son discours de politique générale à l’Assemblée en assurant que : « Personne ne demande un droit à la paresse dans notre pays. »

 

 

CONCLUSION PROVISOIRE, en 2025, LE TRAVAIL C’EST LA SANTÉ, comme le chantait Henri SALVADOR

 

Le travail c'est la santé. Rien faire c'est la conserver. Les prisonniers du boulot...

Nous repenserons bientôt à la valorisation du travail, sa revalorisation... fin des week-ends répétitifs de mai juin ...travail et encore vacances...la France doit-elle travailler plus ? Et pouruoi et comment ?...de vraies questions .

 

 

 

 

 

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