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13 janvier 2025 1 13 /01 /janvier /2025 19:44
ÉLYSÉE : ON RECHERCHE LE LOCATAIRE

ÉLYSÉE : ON RECHERCHE LE LOCATAIRE

Y A-T-IL ENCORE UN PILOTE DANS L’AVION ET UN COMMANDANT DANS LE PAQUEBOT FRANCE ?

 

Les pays créanciers de la France et les français peuvent être inquiets...et ils ont de quoi...Nous voudrions par cet « appel » que les Français aient bien conscience de la situation.

 

Rappelons :

  • Que seulement 6 conseils des Ministres ont eu lieu depuis le 6 novembre 2024. De plus, certains conseils ont été purement formels comme l’attestent les comptes-rendus et la tradition du Conseil des Ministres tous les mercredis qui est (provisoirement ?) abandonnée...La France n’est plus gouvernée : le commandant du navire a déserté.
  • Que la dette flambe et les besoins de financement de l'État sont estimés à 306,7 milliards d'euros en 2025.
  • Que la France n’a toujours pas de budget et le déficit du budget 2024 est déjà estimé à 163,2 milliards d'euros, soit une augmentation de 16,3 milliards d'euros par rapport aux prévisions de la loi de finances initiale pour 2024 donc déficit dépassant les 6 % du PIB.
  • Que la FRANCE s’installe dans une crise institutionnelle qui met à mal sa crédibilité sur le plan international.
  • Que le Chef de l’État est soit aux abonnés absents soit en voyage tourisme et affaires tous frais payés.

 

LA FRANCE INGOUVERNABLE EST INGOUVERNÉE

Comme l’a dit la porte-parole du Gouvernement « la situation de la France demande et nécessite, je le redis, du courage !»

 

Or, nous constatons qu’au lieu de courage, de réalisme, de mobilisation le dernier Premier Ministre nommé négocie sans fin la non censure, qu’il y a une quarantaine de ministres et secrétaires d’État qui sont au chômage technique à moins qu’ils soient en RTT, en congé parental...

Le temps passe, les Services Publics poursuivent leurs descentes aux enfers : l’Hôpital est malade, les grands projets concernant l’énergie nucléaire, la modernisation des Armées, la réforme de l’Éducation et la recherche attendent un budget...

On se pose des questions : 7 millions de fonctionnaire sont-ils l’arme au pied ? Les députés et sénateurs sont-ils rémunérés ?...

Ce n’est pas cela une posture de « courage » d'un peuple. À quand le réveil, la fin du cauchemar, le sursaut ?

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15 décembre 2024 7 15 /12 /décembre /2024 22:10
CES TIMBRES ONT ATERRI DANS MA BOÎTE AUX LETTRES : LE PROGRÉS

CES TIMBRES ONT ATERRI DANS MA BOÎTE AUX LETTRES : LE PROGRÉS

 

 

PTT ? VOUS AVEZ CONNU ?

 

Où est donc passé notre SERVICE PUBLIC PTT 

PTT fut le sigle sigle de l'ancienne Administration des Postes, Télégraphes et Téléphones

Puis :

  • des Postes et Télécommunications et de la Télédiffusion
  • Ce sigle désigne aujourd'hui le ministère et les services chargés des opérations postales (La Poste) et des télécommunications (France Télécom).

Le téléphone s’est envolé.de la cage PTT....vive ORANGE où tout un chacun du statut peu reluisant d’usager est devenu un client.

 

LA POSTE NE VEUT PAS MOURIR : IL VAUT MIEUX SE RECONVERTIR QUE VIVRE LE DRAME

En réalité, la Poste a vu arriver l’ordinateur, la mort lente et programmée du courrier et LA POSTE a réagi tous azimuts avec certainement plus ou moins de réussites ... service financier chèques postaux lui a fait pousser des ailes et des idées de devenir non sans mal une banque assurance.

Dans les villages un peu isolés et dans les quartiers LA POSTE s'est embellie et résiste en acceptant de rendre d’autres services y compris des « aides » à domicile et autres services.

Les bureaux sont sortis de leurs carcasses vieillottes pour bien accueillir les clients.

Le personnel a vu s’ouvrir des plans de formation adaptés, où même l’IA a une grande place : votre « facteur » a peut-être plongé dans l'IA

Donc, chez LA POSTE...la reconversion donc le changement semble être accepté.

UN BEL EXEMPLE : comique et nous ne sommes pas un 1er AVRIL : à La Poste cette petite révolution qui s’installe dans des bureaux !

Nous apprenons que plusieurs bureaux en France ont installé des cabines d’essayage pour permettre aux clients de renvoyer directement leurs colis si le contenu ne leur convient pas.

 

Maintenant, il serait bon de pouvoir examiner comment le sauvetage de la Poste jusqu’à ce jour peut être réalisé, comment le personnel d’une « entreprise » d’État en situation de monopole a pu accepter ce qui, ailleurs, aurait été inacceptable...la recette SVP !

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16 novembre 2024 6 16 /11 /novembre /2024 22:24
PEUT-ON PASSER À CÔTÉ DE LA PAUVRETÉ SANS PENSER À COMMENT PARTICIPER À LA VAINCRE UN PEU, BEAUCOUP. ?

PEUT-ON PASSER À CÔTÉ DE LA PAUVRETÉ SANS PENSER À COMMENT PARTICIPER À LA VAINCRE UN PEU, BEAUCOUP. ?

 

 

SECOURS CATHOLIQUE, UN RAPPORT ANNUEL QUI DOIT NOUS INTERPELLER

 

L’hiver approche et c’est le moment rituel où les ONG préparent l’hiver et leur capacité d’accueil et de solidarité pour ceux qu’on nomme les « pauvres », les sans-abris...

Le Secours Catholique présente non pas son bilan annuel mais l’étude des problématiques de la pauvreté en France en 2024 ;

https://www.secours-catholique.org/sites/default/files/03-Documents/RS24.pdf

Une mine d’informations sur un phénomène qui ne peut nous laisser indifférent.

Au moment où l’État devrait faire approuver son budgets 2025 et où l’on entend sans cesse parler de milliards d’euros, réfléchissons à notre capacité à faire reculer la pauvreté qui vit dans l'humilité et se cache.

Réfléchissons 550 euros par mois est le seuil de "l’extrême pauvreté" !

La France compte 5,1 millions de pauvres si l’on fixe le seuil à 50 % du niveau de vie médian (1014 euros par mois) et 9,1 millions si l’on utilise le seuil de 60 %, selon les données provisoires 2022 (dernière année disponible) de l’Insee.

Dans le premier cas, le taux de pauvreté est de 8,1 % et, dans le second, de 14,4 %. Quel que soit le seuil utilisé, la pauvreté augmente en France depuis le milieu des années 2000.

 

La richesse est certainement un pain pétri fait pour être partagé...pour faire reculer la pauvreté.

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12 mars 2024 2 12 /03 /mars /2024 19:18
LE RÉARMEMENT DÉMOGRAPHIQUE : POURQUOI ? COMMENT ?

 

 

 

LE RÉARMEMENT DÉMOGRAPHIQUE : QU’EST-CE ?

 

La politique est certainement le lieu privilégié pour cultiver l’art de retourner sa veste et de dire le lendemain le contraire de ce qu’on a dit la veille. Le président MACRON nous a présenté un concept qu'il a affublé de ce doux nom de"réarmement démographique" en décodé l'art et la manière de demander aux hommes et femmes en âge de procréer de donner au pays des enfants, toujours plus d'enfants. Et cela sans leur dire tous les bienfaits que cela pourra apporter à la collectivité, toutes les joies de la paternité et de la maternité...et tous les moyens financiers et matériels que pourra apporter l'État Providence qui se penchera sur tous ces berceaux nouveaux qui se multiplieront dans toutes maternités de France et de Navarre.

Quand, dans sa dernière conférence de presse à mise en scène pharaonique, le Président MACRON a parlé de "réarmement démographique", nous espérions et attendons maintenant toujours en vain des propositions concrètes pour "combattre"les conséquences néfastes pour la France d'une "dénatalité " constatée.

De toutes façons les mesures à prendre pour relancer une politique nataliste ne peuvent porter leurs fruits que plusieurs années après la concrétisation de la démarche. Il doit y avoir d'abord dans la population un retournement dans les mentalités. Ceci n'est pas évident et ne s'impose pas par décret ! Le réarmement démographique cela ne se décrète pas...il se vit.

 

LA France A EU UNE POLITIQUE NATALISTE AU BON MOMENT

En effet, il y a au moins deux paramètres incontournables qui peuvent influer pour promouvoir et développer une politique effectivement et positivement nataliste.

D’abord, il faut créer un climat favorable pour que les futurs parents acceptent et désirent accueillir un enfant en leur foyer. Il faut que les français aient CONFIANCE EN L’AVENIR. Ce paramètre a été occulté depuis des décennies. La France sortie de la guerre et des guerres dites coloniales a cultivé l’individualisme, ouvert des espaces dits de libertés, consacré l’interdit d’interdire, créé la famille dite monoparentale ou recomposée où l’enfant n’est pas toujours le bienvenu. La courbe des naissances s’est infléchie petit à petit même si l’immigration incontrôlée a, en partie, compensé la chute du taux de fécondité des français d’origine.

Le facteur « confiance en l’avenir » a déjà dans l’histoire de notre pays été bien mis en évidence au siècle dernier : avant-guerre, dans les années 1935 1940, les bruits de bottes ont eu pour effet qu’il y a eu un nombre de naissances inférieur à celui des décès. La France a vu sa population décroître.

À l'inverse, le deuxième facteur est mis en évidence lors de la période post-guerre avec le rôle des gouvernants qui ont pratiqué une politique favorable aux familles nombreuses.

À partir de la fin de la guerre 1939/1945 l’État a inauguré une nouvelle politique nataliste. Il a favorisé les naissances avec des compensations aux « charges de famille », en créant une solidarité par réduction des inégalités de revenus entre personnes chargées de famille et celles sans enfants, par la lutte contre les inégalités et la pauvreté des familles, mais aussi plus récemment en accompagnant par des mesures incitatives la conciliation entre la vie familiale et la vie professionnelle ou la prise en charge du jeune adulte...il a été mis en place toute une batteries d’outils pour faciliter la création de familles dites nombreuses ( 3 enfants et plus) : les accueils en crèche, en nourrice, haltes-garderies, les allégements fiscaux, les aides au logement...

La France se reconstruisait. La guerre s’était éloignée Le climat était à un certain optimisme. Du recensement de 1946 à celui de 1968, la population française passa de 40,5 à 49,8 millions d’habitants environ, soit un accroissement de plus de 9 millions : en moins d’un quart de siècle, l’augmentation fut ainsi largement supérieure à celle enregistrée au cours des cent années antérieures…

 

LE CIEL S’OBSCURCIT : LA NATALITÉ UNE COURBE QUI S’INFLÉCHIT

Le nombre de naissances s’est maintenu de 1946 à 1974 au-dessus de 800 000 par an il est resté dans la zone des 700 000 depuis 1976 mais il est en baisse régulière depuis 2010 et en 2023 il passe à 678 000... On comprend l’alerte macronienne que nous tâcherons de justifier.

Prenant acte de la baisse de la natalité, l’Union nationale des associations familiales (UNAF) a appelé le gouvernement à relancer « la politique familiale », en améliorant notamment « l’indemnisation du congé parental » et en créant un « service public de la petite enfance ». « La baisse continue de la fécondité met en péril notre système de solidarité par répartition », a-t-elle également souligné, à l’heure où un projet de réforme des retraites suscite de fortes oppositions.

Va-t-on vers une crise nouvelle où le manque de jeunes se présentant sur le marché de l’emploi en nombre insuffisant remettra en cause non seulement la productivité mais aussi les régimes de retraites à la française ?

 

À SUIVRE...

SI PEU DE NAISSANCES

 

 

 

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4 août 2023 5 04 /08 /août /2023 18:06
ÉMEUTES : L’ÉDUCATION EN QUESTION

 

 

 

ÉDUCATION POUR UNE JEUNESSE À LA DÉRIVE

Les juges seront les premiers à vous le dire.

Depuis des années, les juges spécialisés, les juges pour enfants et les institutions compétentes ont en face d’eux des enfants en détresse : maltraités, père absent, violent, mère débordée, famille inexistante, déscolarisés, ...

Ces enfants, même s’ils ont appris à ne pas le dire, sont des enfants désespérés et comme l’écrit un neuropsychiatre ! ils ne sont pas « tutorisés »...« la famille ne les intègre pas et la société non plus. »

Maintenant, nous pouvons juger du résultat et citer ce qu’a dit Boris Cyrulnik :

« La solution n’est pas dans la répression de ces enfants décivilisés, elle est dans léducation et dans la culture précoce...il faut augmenter les métiers de la petite enfance et améliorer la formation afin de civiliser les petits »

 

LE MOT EST LÂCHÉ...« ÉDUCATION »

Le problème des jeunes, ces dernières années, a été aggravé par divers facteurs rendant très complexe le traitement du mal dont souffre une certaine jeunesse des banlieues :

  • l’abandon de quartiers entiers qu’on appelle "zones de non droit" avec une population de jeunes qu’il faut reprendre en main même très jeunes dans des quartiers à apaiser. Par contre, sur ce terreau, dans ces zones la capacité de reproduction de ce qui devient une vermine est étonnante,
  • l’incapacité de la Justice, des services sociaux et autres aides à l’enfance de traiter cette population en l’encadrant,
  • l’afflux d’immigrés plus ou moins jeunes qui vient grossir cette jeunesse à la dérive,
  • la diversité des cas et le fait que les jeunes sont contaminés de plus en plus tôt,
  • la drogue et tout ce qui l’entoure...

 

Il est évident que la multiplicité des cas d’enfants perdus, la variété des types de situations rendent nécessaires une pédagogie adaptée et des méthodes de prévention des risques nouvelles.

Tout cela aura un coût très élevé même s’il est possible pour les collectivités de recourir au bénévolat pour certains encadrements.

Les magistrats qui ont en charge ces jeunes déviants devront aussi pour nombre d’entre eux faire leur auto-critique.

Par exemple, pour les stages de « responsabilité parentale » (mesure judiciaire déjà existante) il faut renforcer les moyens humains. Même chose pour l’« accompagnement à la parentalité » s'il existe des dysfonctionnements dans la famille ...Ces possibilités de poursuites judiciaires existent mais bizarrement elles sont peu utilisées...parce qu’il n’y a pas de personnel qualifié pour assumer cette fonction et le suivi "parrainage" des jeunes  ?

 

EN 2018, EMMANUEL MACRON, RELANCE UNE POLITIQUE DE LA VILLE ET FAIT APPEL À L’ANCIEN MINISTRE JEAN LOUIS BORLOO : UN RAPPORT AU PLACARD  !

L’ancien Ministre a acquis une certaine expertise et a moins instauré une politique de la Ville. Puis vint l’ère MACRON à qui Jean-Louis a remis sa copie au Président le 26 avril 2018.

https://www.ville-et-banlieue.org/wp-content/uploads/2018/05/Re%CC%81sume%CC%81-des-19-programmes-PlanBanlieue-JL.BORLOO.pdf

Son rapport était comme vous pouvez le lire avec le lien ci-dessus un vrai "plan de bataille" pour une relance de la politique de la ville qui comprenait 19 programmes thématiques, chiffrés à 48 milliards d'euros, pour rétablir l'égalité républicaine dans les quartiers.

Bien sûr, selon l’habitude le rapport a été mis pieusement dans une armoire !

Maintenant, à nouveau le pire serait de ne rien faire !

Nous pouvons, pendant cette méditation estivale, juger de la carence du Pouvoir : des discours, des rapports OUI, de l’ACTION ?

 

 

 

 

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3 août 2023 4 03 /08 /août /2023 19:58
L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

 

 

 

 

SAUVER LE DIALOGUE SOCIAL ET L’INDEMNISATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI

 

Comme cadeau pour ces vacances, les partenaires sociaux ont reçu ce mardi le document de cadrage du gouvernement sur la nouvelle refonte des règles de l'assurance-chômage. C’est l’inventaire des principales exigences de l'exécutif pour la survie de l’assurance chômage !

C’est l’été et comme cadeau empoisonné aux partenaires sociaux, avant leur départ en vacances, nos gouvernants, sur le dossier chômage, tentent un coup de force inquiétant pour le respect du dialogue employeurs salariés/État.

En effet, ce mardi 1er août 2023, les partenaires sociaux ont reçu le « document de cadrage du gouvernement relatif à la négociation de la convention d'assurance chômage » sur la refonte des règles de l’assurance-chômage.

Les partenaires sociaux ont jusqu’au 15 novembre 2023 au plus tard pour s’entendre et avaliser les propositions qui sont plutôt des prétentions abusives gouvernementales.

Concrètement on peut craindre que les partenaires sociaux soient condamnés à ratifier les diktats gouvernementaux ; une négociation employeurs salariés très difficile d'autant plus que l'État en quête de sous voudrait que la cotisation employeur soit augmentée : L'État voudrait le beurre et l'argent du beurre.

 

LA STRUCTURE ASSURANCE CHÔMAGE : L’UNEDIC

L’assurance chômage est gérée par l’UNEDIC qui confie la collecte des contributions et le versement des allocations respectivement à l’URSSAF et la gestion du chômage à Pôle Emploi qui va devenir France Emploi et veille à ce que les règles soient respectées.

L'UNEDIC illustre le type de gestion paritaire : les partenaires sociaux définissent les règles d’indemnisation et fixent les niveaux de ressources et les taux de cotisation requis des employeurs.

Cela signifie que ce sont les partenaires sociaux qui gèrent le régime du chômage dont les recettes sont les cotisations employeurs.

En 2019, les partenaires sociaux n’ayant pu aboutir à un accord ont du passer la main à l’État qui a modifié le système à travers une série de décrets publiés au cours des quatre dernières années.

Donc, en 2023, sur le dossier chômage les représentants des travailleurs et des chefs d’entreprise ont l'opportunité de reprendre leur rôle abandonné mais l’État émet ses conditions qui, aux dires des premières réactions des syndicats, ne sont pas acceptables. La réaction du côté employeurs est plus modérée et ouverte à la négociation mais pas à n’importe quel prix.

 

DE GRAVES ET INTOLÉRABLES MENACES GOUVERNEMENTALES : UN HOLD UP

La faiblesse de l’UNEDIC dans la négociation, c’est sa dette de plus de 60 milliards d’euros garantie par l’État et que l’organisme commençait à apurer avec les cotisations des années à venir où le régime sera excédentaire.

Patatras ! L’État dont les caisses sont vides veut s’emparer d’au moins de 11 milliards d’euros de cotisations à venir. Ce sont sont pourtant les cotisations qui appartiennent aux employeurs et aux salariés.

C’est une tentative d’hold up qui nous rappelle tristement celui qui a été envisagé par Emmanuel MACRON sur les réserves légales des Caisses de Retraite.

L’embellie sur l’Emploi a excité les appétits financiers du Chef de l’État et du Gouvernement dont la gestion des finances publiques a été catastrophique selon l’aveu même du chef de l’État qui doit maintenant rendre compte au monde de la finance, à l’Europe d’une gestion qui a fait passer la dette du Pays au-dessus de 3 000 milliards d’euros : au lieu de faire des économies, l’État trouve plus facile de piocher incognito sur les droits à l’indemnisation du chômage.

INACCEPTABLE !

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22 juin 2023 4 22 /06 /juin /2023 21:58
LE TRAVAIL, CE N'EST PLUS CELA

LE TRAVAIL, CE N'EST PLUS CELA

 

 

 

 

RÉHABILITONS LE TRAVAIL EN LUI DONNANT UN SENS...REHABILITER N'EST PAS CONDAMNER

 

Lors de la déprime assez générale qui a suivi la crise des retraites, a jailli l’idée qu’on devait rechercher la cause du rejet de la réformette des retraites dans le désintérêt qu’une fraction de jeunes avant de réellement travailler et de certains travailleurs ressentait à l’égard du travail.

Nous avons même entendu et lu que pour s’opposer au droit et au devoir de travailler on devait imaginer le droit à la paresse.

Nous vous recommandons l’intervention-discours démagogique, idéologique, irresponsable et  et à l’Assemblée Nationale de Sandrine ROUSSEAU applaudie par des membres de la NUPES :

« Au nom de quoi force-t-on les gens à travailler plus ? » « Oui au droit à la paresse, oui au droit à la retraite à 60 ans »

https://www.dailymotion.com/video/x8i1n0l

À la Tribune de l’Assemblée Nationale ces fariboles n’ont pas leur place. Ce n’est pas le « travail » qui est en cause...c’est son pourquoi, son comment ?

Le travail est et restera un droit et un devoir.

Madame Sandrine ROUSSEAU fait une injure à ceux qui travaillent avec fierté et honnêteté pour des gens comme elle et pour la société à laquelle nous appartenons tous. Madame Sandrine ROUSSEAU devrait leur dire merci. Dans son discours elle croit défendre les travailleurs, travailleuses alors qu'elle pousse à détruire la notion même de travail !

Pour Emmanuel MACRON à la manœuvre, cette remise en cause du Travail, c’était apporter sur un plateau une idée géniale : celle de redonner du sens au travail. Ce devait être le sujet important qui accompagnerait la fin de crise des retraites.

Les têtes pensantes de l’entourage du Président ont donc dû depuis ce début 2023 phosphorer...travailler dur pour trouver les moyens de donner du sens au travail.

Ils ont commencé à pondre des textes encore des textes, toujours des textes.Encore une loi dont le projet a été présenté par le Gouvernement...comme si changer le nom et voire la mission de Pôle Emploi, gérer ceux qui ne travaillent pas ou plus  allait redonner le goût et un sens au travail... comme si la paresse pouvait remplacer le travail ! Comme si une loi pouvait redonner un sens à une notion de travail qui est comportementale comme l'atteste le document évoqué ci-dessous.

Il n'appartient pas au législateur de monter une usine à gaz dont le travailleur n'aura que faire.

 

LE GOUVERNEMENT, LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, MADAME SANDRINE ROUSSEAU CONFONDENT LES MOYENS ET LA FIN

Ce qu’il faut après « l’expérience COVID » c’est REDONNER DU SENS AU TRAVAIL.

C’est déjà pour beaucoup une réalité mais il ne faut pas avoir peur d'une évolution voire une révolution qui est déjà en marche.

Celle-ci  part d’une réalité qui ne semble plus contestée après COVID

« : 29% des Français ne perçoivent ni le sens ni l’utilité de leur emploi »

Le rapport, porté par Jean-Dominique Senard et Nicole Notat, pointe la perte de sens et le désengagement des salariés qui marquent tous les milieux professionnels.

https://uploads-ssl.webflow.com/648c11eced3e283e40130f1b/6493f75de6967eb6adf8a78c_Du%20sens%20a%CC%80%20l%27ouvrage.pdf

À lire ou au moins à parcourir

Mais au-delà du ce constat important  le rapport  va beaucoup plus loin dans son « manifeste » il ouvre les portes du comment faire "Le but était de développer une méthode pour redonner du sens au travail dans les entreprises"

Un million de salariés serait déjà concernés...sans qu'il soit besoin de légiférer!

 

 

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11 février 2023 6 11 /02 /février /2023 12:44
LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

 

 

 

 

LE TRAVAIL EST UN BESOIN ET MÊME UN DROIT

 

Il peut même être un bonheur.

La crise sanitaire a révélé des interrogations sur la valeur travail et a fait éclore des prises de position irresponsables qu’il ne faut pas laisser passer.

Il y a des principes intangibles tel que le travail crée de la richesse, il crée la liberté.  L’homme était soumis à la nature, à ses caprices, c’est bien le travail de l’homme qui a libéré l’homme.

Il faut rappeler le PRÉAMBULE DE LA CONSTITUTION DE incorporé dans notre Constitution de 1958

Art.5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé,
dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Art.8. Tout travailleur participe, par l’intermédiaire de ses délégués, à la détermination
collective des conditions de travail ainsi qu’à la gestion des entreprises.

Art.11. (La loi) Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la
protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en
raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans
l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables
d’existence

 

RÉFLEXIONS SUR LE RAPPORT DE L’HOMME AVEC LE TRAVAIL APRÈS LA CRISE SANITAIRE

Opposer travail et liberté, c’est l’expression de la démagogie de bas étage dont il faut laisser la paternité aux irresponsables.

 Mais de là à dire que le travail rend l’individu libre il n’y a qu’un pas qu’il faut faire avec beaucoup de prudence. Quand un individu était envoyé aux « travaux forcées » ce n’était pas lui procurer de la liberté !

Oui, le travail rend libre à deux conditions : que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

L’opposé du travail est l’oisiveté, mère de tous les vices...vendre l’oisiveté comme mode de vie comme but est une escroquerie.

 Il faut être professeur d’économie comme Sandrine ROUSSEAU, Europe Écologie Les Verts pour oser dire que « le travail est une valeur de droite » et revendiquer le « droit à la paresse , c’est peut-être une revendication que la liberté d’expression permet de clamer, mais c’est surtout l’expression d’une irresponsabilité monstrueuse. Le travail est une valeur commune, un droit et peut-être un devoir.

Cela va plus loin car vraiment il faut faire de la politique de Comptoir du Café du Commerce pour oser penser et dire aussi que les jeunes particulièrement sont atteints d’une épidémie de flemme.

Il y a des malades, des fainéants par nature mais, par exemple, n’oublions pas que toutes les études sur les chômeurs prouvent que parmi les maux sociétaux un des pires est le chômage, la privation d’emploi et donc de travail.

D’ailleurs quand un individu a fauté on l’enferme en prison. Donc, on le prive de sa liberté et de travail...mais pour le réhabiliter il lui est ouvert possibilité de travailler en prison.

Pour rendre le travail plus attractif, il faut pouvoir améliorer la place du travail dans la vie, les conditions de travail mais avec prudence. La France n’est pas une île et laisser partir le travail à l’extérieur se révèle la pire des bêtises : c’est priver la France d’emplois, la priver de biens essentiels comme les médicaments.

OUI, le travail rend libre, à condition que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

 Les études sur la privation d’emploi sont claires :

« LE TRAVAIL EST DONC UNE POSSIBILITÉ D’ACCOMPLISSEMENT DE SOI.
EN ÊTRE PRIVÉ BRUTALEMENT, C’EST RUINER LE CHEMIN DE CET ACCOMPLISSEMENT »  Christophe Dejours, médecin psychiatre et psychanalyste, fondateur de la psychodynamique du travail

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