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26 avril 2025 6 26 /04 /avril /2025 18:37
CHÂTEAU...CHERCHE LOCATAIRE COURAGEUX POUR REDRESSER LA FRANCE

CHÂTEAU...CHERCHE LOCATAIRE COURAGEUX POUR REDRESSER LA FRANCE

 

LE PLAN DE REDRESSEMENT 


Les avis de recherche concernant 40 voire 100 milliards d’euros pour respecter nos engagements nous énervent passablement. En effet la tradition est maintenue pour trouver leur solution nos gouvernants priorisent le toujours plus de prélèvements pour un pays qui est déjà le champion du monde en la matière !

Le Ministre des Finances Eric LOMBARD communique sur le plus d’impôts mais pas sur les économies qu’il devrait engager sur les dépenses de l’État et la dette file, culmine...

Face au Gouvernement, face à un Président de la République en vacances, cantonné à jouer les figurants et profitant de son restant de mandat pour voyager avec sa Cour aux frais de la princesse et en face le peuple français amorphe, résigné !

Voilà des élus qui pour certains dont le Premier Ministre François BAYROU ont participé activement et sans remords ni questionnement à la descente aux enfers de la France et qui, maintenant, sont face à la réalité économique, dure réalité : la Caisse est plus que vide ! 3 300 milliards d'euros qui «nous» coûteront en frais financiers pour 2025 l'équivalent du budget de l'Éducation !

Nos élus font comme si cela n’était pas grave, comme s’ils ne portaient aucune responsabilité sur la gestion passée . Ils pensent censure, réélection, réintégration, Congrès de leurs partis ...mais pensent-ils aux économies et réformes incontournables pour que la République qui les nourrit survive ?


À situation catastrophique il faut une réponse choc et exceptionnelle apte à rétablir la confiance.

2027,  année de l'élection Présidentielle (sauf si....): pour un membre du Gouvernement aujourd’hui ce n’est plus le moment de murir son programme, ses alliances, sa campagne il lui faut se concentrer sur le Plan de Redressement des Finances Publiques de la France dont nous pouvons tracer aisément les lignes sans faire la révolution...mais simplement en remettant de l’ordre dans la maison France.


DES ÉCONOMIES DIRECTES ET INDIRECTES POUR SAUVER LA FRANCE


Les économies directes imputables sur les budgets 2026 en cours de préparation et 2027 (période électorale de la Présidentielle). La Cour des Comptes a la matière et les cibles dans ses rapports : Agences d’État et autres démembrements de l’État, Services Publics d’État mal gérés, suppression du Conseil Économique Social et Environnemental. Ce sont ces petites économies parfois symboliques (diminution des frais de personnel d’État et des collectivités pour les déplacements, heures supplémentaires…) qui rétabliront la confiance.


Le Premier Ministre actuel François BAYROU ex Commissaire éphémère au Plan qui s’est entraîné depuis des mois à planifier et donc qui pourra mettre ses talents au Services des Grandes Réformes : celles qui seront dures  mais essentielles : le priorité est la réforme territoriale, réforme à long terme avec répartition des compétences, diminution du nombre de communes et fusion des communes et des communautés de communes et agglomérations, nouvelle répartition des compétences entre Départements et Régions, carte judiciaire ex réforme Rachida DATI, réforme de la fiscalité et des services des Finances Publiques au sens large... 

Sur le plan du budget social » il faut regagner en productivité : allongement du temps de travail, poursuite de la suppression des régimes spéciaux des retraites...

Ce sont des réformes qui peuvent s’inscrire dans un plan quinquennal voire décennal, d’autres pays européens l’ont fait !

Les français peuvent comprendre la nécessité d’AGIR même s’il y aura des grincements de dents mais « la  Patrie est en grand danger » et les gouvernants doivent utiliser tous les moyens pour montrer avec fermeté leur détermination y compris si nécessaire le recours à l’Article 16 de la Constitution (voir ci-dessous) et le recours à la législation par ordonnances !


UN PLAN RÉALISTE 

Ce ne sont pas des propositions fantasques d’autant plus que dès que la confiance renaitra l’État retrouvera sa crédibilité et pourra vite financer son plan en mobilisant : l’Épargne Privée et semi-publique (6 000 milliards d’euros !), le soutien négocié de L’UNION EUROPÉENNE...nous le répétons la France est riche...et l’État est beaucoup trop endetté !


Il peut aussi y avoir comme le suggérait en début 2024  Alain MINC le recours à une hausse de la TVA pour une période brève.

Maintenant il n’y a plus qu’à trouver l’équipe qui réalisera ce miracle et un peuple français qui se réveille avant la faillite de son pays.

 

 

Source : conseil constitutionnel
« ARTICLE 16 DE LA CONSTITUTION 
Parmi les pouvoirs de crise prévus par la Constitution du 4 octobre 1958, les plus connus sont les pouvoirs exceptionnels du Président de la République figurant à l'article 16. La présence de cet article dans la Constitution s'explique par la mémoire constitutionnelle et, en particulier, par le souvenir de la « crise épouvantable » de 1940 : « il n'y avait plus moyen d'obtenir, dans les circonstances où l'on était, un fonctionnement régulier des pouvoirs de la République » (Charles de GAULLE).
Lorsque le Président de la République décide de recourir à l'article 16 (I), ses pouvoirs sont particulièrement étendus (II). Toutefois, l'application de cet article ne saurait être maintenue indéfiniment : elle doit être une réponse temporaire à des situations de crise précisément identifiées (III). En outre, un double contrôle de ces pouvoirs exceptionnels peut être exercé (IV).
»

 

 

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16 mars 2025 7 16 /03 /mars /2025 17:37
LA VENDÉE A PRÉVU !

LA VENDÉE A PRÉVU !

IRE

IRE

 

 

 

L'EAU TOMBÉE DU CIEL EN 2024 et 2025 REMPLIT LES NAPPES PHRÉATIQUES ET VIDE QUAND MÊME LE PORTEFEILLE DES FRANÇAIS

 

Nous sommes tous étonnés de lire les dépêches concernant les factures d'eau depuis l'été 2024. Il n'y est parlé que de hausses...hausse des taxes, hausse du coût de l'assainissement, hausse du traitement, hausse des bénéfices des prestataires, hausse du prix  des prestations diverses ...résultat la facture d'eau ressemble à la petite bête c'est qui monte, qui monte...

 

Rappelons que l'eau est un don du ciel...elle tombe du ciel gratuitement !...elle traverse le sol et est ainsi filtrée et stockée gratuitement pour se loger au frais dans le sous-sol gratuitement...

 

La fourniture d'eau potable est une mission de service public qui incombe aux maires et pour eux c'est une obligation de résultat.

Les restrictions d'eau imposées aux particuliers en cas de "sécheresse" ne sont pas admissibles...surtout si tous les consommateurs se comportaient en citoyens  raisonnables.

 

 

Vous pouvez sur ce blog voir et revoir de nombreuses parutions  pour la recherche avec le mot clé "eau"

 

LA FRANCE FAVORISÉE MAIS POURRAIT FAIRE BIEN MIEUX AVEC L'EAU QUE LES CIEUX LUI ENVOIENT

Comme le décrit le CNRS dans ses  rapports et ouvrages sur la pluviométrie la FRANCE ne devrait pas manquer d'eau potable compte tenu de ce que le ciel lui fournit et des réserves très importantes dont elle dispose.

Les problèmes pour l'eau potable ce sont :

- des déficiences au niveau local où les investissements nécessaires ne sont pas effectués,

- l'abus des consommateurs particuliers qui utilisent l'eau traitée potable à d'autres usages que les les usages courants ménagers,

- le blocage fait par les écologistes dont l'Europe sur la création de retenues,

- les conséquences de la pollution des sols,

- l'agro-alimentaire et l'agriculture industrielle avec l'abus de l'irrigation...

À quand l'annonce d'une baisse justifiée de la facture d'eau des foyers français ?

 

 

 

FACTURE EAU : TVA SUR TVA ! TAXES...SOUS-TRAITANCE NON MAITRISÉE...

FACTURE EAU : TVA SUR TVA ! TAXES...SOUS-TRAITANCE NON MAITRISÉE...

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13 mars 2025 4 13 /03 /mars /2025 20:45
QUE DE RECHERCHE FONDAMENTALE AVANT CETTE ÈRE DU NUCLÉAIRE

QUE DE RECHERCHE FONDAMENTALE AVANT CETTE ÈRE DU NUCLÉAIRE

 

 

 

LA RECHERCHE MALTRAITÉE AUX ÉTATS UNIS MAIS AUSSI EN FRANCE


Pour donner une suite à notre parution concernant le fléau de la désinformation, nous découvrons une belle illustration du danger qui rode dans l’information signée par l’ancienne ministre de la Santé Agnès BUZYN qui vient de paraître dans l’Express. « Nous avons besoin d’une politique publique de lutte contre la désinformation. »

 


Agnès BUZYN, Professeur de Médecine, qui s’est hasardée et exposée dans la politique au moment du COVID vient d’apporter sa contribution « Dans le nouvel ordre mondial qui se dessine, la France et l’Europe sauront-elles saisir leur chance ? Non seulement de s’organiser pour leur défense, mais aussi de préparer leur avenir, en redonnant toute sa place à la science ?    Face aux coupes drastiques et à la censure de l’administration TRUMP aux États-Unis, l’opportunité pour le Vieux Continent de reprendre le leadership dans la recherche et l’innovation est bien réelle. Les scientifiques, qui se mobilisent pour leurs collègues américains mais aussi pour leur propre avenir, l’ont bien compris. Encore faut-il qu’ils se fassent entendre des politiques et, plus encore, du reste de leurs concitoyens »

 

C’est une réponse à Donald TRUMP qui veut se débarrasser de chercheurs scientifiques dont nombre de français qui se sont expatriés pour pouvoir poursuivre leurs travaux aux États-Unis.

Agnès BUZYN veut redonner toute sa place à la science. Avec le budget 2025, la recherche redevient le parent pauvre de l’État dont on ne parle pas. La recherche est pourtant l’investissement qui fera la force de demain. Les coups portés par l’Administration TRUMP à la recherche refont une place à la France et à l’Europe. On peut mesurer les conséquences de cela quand on reprend l’histoire tragique de l’avance de la France dans le nucléaire. L’antinucléaire politique soi-disant écologique a été catastrophique. La France a bradé sa capacité de recherches fondamentales et appliquées. Maintenant, la France est prise au collet pour ses besoins de renucléarisation de son énergie car elle s’est trouvée dépendante des États-Unis...qui ne lui feront pas de cadeaux.

Ce fut bien de faire la course en tête dans ce domaine de pointe à condition d’avoir les moyens de persévérer et surtout d'avoir la volonté politique de faire. Sacrifier la recherche et son monde un peu obscure se paye au prix fort les décennies suivantes.

 

Nous espérons que l'alerte lancée par Agnès BUZYN portera ses fruits .

Remercions donc Agnès BUZYN de porter ce combat et d’alerter l’opinion car comme elle vient de le dire : « La science est un rempart contre l’obscurantisme, le complotisme et la désinformation »

PS Nous renvoyons cette publication d'hier dont la diffusion a été "massacrée"
 

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24 janvier 2025 5 24 /01 /janvier /2025 22:35
LES SABLES D’OLONNE : LES GUERRES DE RELIGIONS

 

AUX SABLES D'OLONNE : POURSUIVRE L’IMPLANTATION D’ÉTABLISSEMENTS D’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR

 

C’est bon pour l’image de marque d’une ville moyenne, c’est bon pour l’équilibre démographique dont le Territoire Sablais a grandement besoin, c’est bon pour les jeunes sablais et vendéens qui voient s’ouvrir prés de chez eux des formations supérieures...

Ainsi, lors du dernier Conseil Municipal dans le cadre de sa politique associative, la Ville des Sables d’Olonne souhaite valoriser tout ce qui toucher l’eau : l’Association ICES dont l’objectif de créer une école d’ingénieurs aux Sables d’Olonne, spécialisée en Génie Hydraulique et Génie Maritime Durable, en liaison avec les laboratoires de l’ICES de la Roche-sur-Yon et les Sables d'Olonne doient"participer"

Le rapprochement avec La Roche-sur-Yon est donc d’une logique implacable

Déjà en 2015 ...il y a 10 ans une tentative de collaboration avait échoué !

https://www.olonnes.com/2015/07/un-pole-d-enseignement-superieur-au-pays-d-olonne-le-projet-prend-corps-et-devrait-faire-l-unanimite-parmi-les-elus.htm

Donc le débat au Conseil Municipal de ce lundi 20 janvier 2025 avait les relents du déjà entendu !

 

UN DÉBAT HORS DÉBAT

 

Le Conseil Municipal devait statuer sur les subventions et parmi celles-ci une subvention à l’ICES (Institut Catholique d’Enseignement Supérieur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_catholique_de_Vend%C3%A9e), association de gestion du pôle formation de La Roche-sur-Yon bien connue des vendéens ; 2000 étudiants actuellement en 2025.

Il faut bien lire l’objet de cette subvention « accompagnement dans l’étude de la création d’une formation d’ingénieurs en Génie Hydraulique et Génie Maritime Durable aux Sables d’Olonne et dans le montage du dossier d’accréditation des titres d’ingénieur qui seront présentés à la CTI (Commission des Titres d'Ingénieur ».

Il ne s’agit donc pas de créer une école ou même d’un partenariat avec l’ICES mais d'une éventuelle opportunité de coopération.

La subvention demandée (60 000 euros) n’a donc pour seul objectif que de financer l’étude de faisabilité de ce projet et surtout mettre en forme le dossier qui déboucherait sur la validation de la la formation nécessaire pour la délivrance du titre d’ingénieur.

Les collectivités des Sables d’Olonne sont déjà très engagées dans le domaine des eaux (Marais, chauffage, projet Jourdain ...) alors cette formation est vraiment une réelle opportunité de collaboration.

Ce n’est pas l’avis de l’opposant Jacques BARRETEAU qui a rêvé de voir sa ville engagée sur un projet porté par une Institution dont il ose dire qu’elle a une réputation sulfureuse...alors qu’elle n’est que vendéenne et notoirement catholique.

Nous nous croyons revenu au temps des guerres de religion (fin du XVI ième siècle), les Huguenots ne sont pas loin !

Depuis le temps, il y a eu l’abolition de l’Édit de Nantes, les guerres de Vendée, la Révolution, la laïcité...

La réponse du Maire des Sables d’Olonne président de l'Agglomération fut claire...d’abord il rappelle que ses études supérieures furent faites à l’ICES (!), puis que le débat est sur la participation à une étude de faisabilité et la formation qui pourrait être créée et agréée entre dans le cadre des projets « eau » de la collectivité.

La remise en cause de cette seule subvention n’est pas à l’ordre du jour.

Cela nous remémore ce conseil municipal de 2015 et ce n’est pas ainsi que le Pays des Olonnes avancera

https://www.olonnes.com/2015/07/un-pole-d-enseignement-superieur-au-pays-d-olonne-le-projet-prend-corps-et-devrait-faire-l-unanimite-parmi-les-elus.html

La subvention permettra à l’Association ICES de s’adjoindre les conseils et l’assistance technique d’un cabinet compétent spécialisé pour monter et formaliser le dossier diplôme...un point c’est tout !

Nous espérons cependant un jour voir des étudiants ingénieurs sortir nantis d’une diplôme acquis aux Sables d’Olonne !

 

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24 octobre 2024 4 24 /10 /octobre /2024 18:16
LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ EN DÉCLIN

 

 

LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ EN DÉCLIN

 

DÉFENDRE LA JUSTE CAUSE DES HÔPITAUX : L’HÔPITAL EST UN GRAND MALADE OUBLIÉ

 

Nous nous permettons d’attirer votre attention sur cet article d’OUEST-France (voir ci-dessous) ;  l’analyse sur l’Hôpital : un service public qui marche, du personnel qui assume une mission qui n’est pas toujours aisée et qui demande beaucoup et des budgets et une gestion parfois inadaptés. La Santé est devenue sujet prioritaire pour les français. Au palmarès des soucis des français, elle détrône le pouvoir d'achat !

Budget 2025 : il n’y aura pas assez de milliards pour tout le monde. Les années de gabegie vont peser dans la balance encore pour des années. Le poids de la dette et des mauvaises habitudes telles que la notion de « services votés » qui fait que députés et sénateurs ne s’attardent pas sur ce qui a déjà été voté lors d’un budget d’une année antérieure. Par contre, les « mesures nouvelles » attirent l’attention et les discours au Parlement. C’est ainsi que la JUSTICE, LA SANTÉ...ont été abandonnées en chemin. Il faut pour des secteurs des Services Publics des plans de rattrapage qui, en général, ne permettent pas de combler les abandons faits lors des exercices passés. On ne rattrape pas le temps perdu !

Même secouée par la crise sanitaire, la Santé n’intéresse pas les élus au premier chef...une grève à la RATP ou à la SNCF secoue l’opinion...cela dérange et intéresse donc occupe les médias et les élus.

Ainsi, l’État a abandonné son service SANTÉ et la situation ne fait qu’empirer comme s’il n’y avait pas de remède pour le malaise du service public ! Encourageons notre personnel engagé dans le Service Public de la Santé.

En octobre 2024, nous sommes, sur le plan budgétaire, à un moment crucial où il y aura à faire des choix, justifier des priorités dans les budgets et où il faudra du courage pour les élus qui devront trancher entre ce qui répond à des besoins criants : éducation, santé, pouvoir d’achat, logement, défense et sécurité, justice et d'autres  besoins qui sont censés moins rapporter des voix : qui veut des chèques ?

 

QUI DÉFENDRA L'HÔPITAL ?

Le personnel débordé et à son poste passera après l'immigration dans les discussions au Parlement ...il mérite qu'on lui envoie un message de reconnaissance et qu'il bénéfice d'un réel plan de relance. Certes, la Santé coûte cher et il faut prendre cela en considération et être solidaires quand nous payerons les impôts 2025 surtout si la Santé a enfin la part qu'elle mérite !

 

 

Article OUEST France (numérique)

https://www.ouest-france.fr/sante/a-lhopital-les-nuits-sont-toujours-blanches-en-immersion-au-centre-hospitalier-de-la-vendee-69f725bc-8483-11ef-91d9-7f562215fe95?utm_source=sendinblue_of_newsletter-dossierthematique&mgo_eu=d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e&mgo_l=Xf3jCpEbSV-TlZdOenlfIg.4.0&utm_content=DT-85-abo&mgo_h=1b&utm_campaign=of-dossier-thematique-abo-hopitaldenuit&utm_medium=email&vid=918267&mediego_euid=918267

 

 

À L’HÔPITAL, LES NUITS SONT TOUJOURS BLANCHES

 

Le centre hospitalier départemental de la Vendée accueille 600 000 patients par an. 5 000 personnes travaillent sur ses trois sites. Celui de La Roche-sur-Yon, le plus grand, est une véritable ville dans la ville.

La rédaction de Ouest-France a décidé de pousser la porte du centre hospitalier départemental de la Vendée (CHD) lorsque la lumière est éteinte. Avec 600 000 patients accueillis en 2023 sur ses trois sites (La Roche-sur-Yon, Luçon et Montaigu) ses couloirs fourmillent d’une armée de soignants, mais aussi d’un bataillon d’invisibles : techniciens de laboratoire, personnels administratifs, manipulateurs radio, standardistes, agents de sécurité… La nuit, leur travail se poursuit sans sommeil. Baignée dans la pénombre, l’activité reste intense pour les équipes qui sont divisées par deux : 2 000 le jour, 300 la nuit. À travers cette série de cinq articles inédits effectués dans l’établissement de La Roche-sur-Yon, nous vous proposons de plonger dans une ambiance très particulière et de découvrir la partie immergée de l’iceberg d’un hôpital qui ne dort jamais.

LA NUIT L’ANGOISSE À SON PAROXYSME

Quand la nuit tombe sur l’hôpital de La Roche-sur-Yon, que ses couloirs se vident, que le calme retombe après le départ de la myriade de soignants, les patients s’angoissent. Cette montée de stress est particulière. C’est l’une des spécificités que les équipes de nuit doivent gérer dans tous les services. « Le sentiment d’être isolé dans l’obscurité, coupé de l’extérieur et abandonné provoque des montées d’angoisse. L’indice d’anxiété est d’ailleurs beaucoup plus important la nuit », remarque Laurence Halna, coordinatrice territoriale des soins du CHD. La nuit provoque aussi « une augmentation de la douleur beaucoup plus difficile à gérer ». Ces constats amènent la direction à réfléchir aux compétences particulières et spécifiques que les acteurs de la nuit doivent remplir : la qualité humaine doit être égale à la qualité de soin. « Il faut écouter, échanger, rassurer, être au plus près des patients. »

Des effectifs réduits de moitié Un rythme de vie tourmenté

2 000 personnels le jour, 300 la nuit à La Roche-sur-Yon. Logique, puisqu’il y a moins d’activité dans les services, sauf pour les urgences, talon d’Achille de l’hôpital. La diminution des effectifs n’augmente donc pas la quantité de travail mais accroît l’autonomie des équipes qui fonctionnent souvent sans responsable. « C’est l’une des motivations pour travailler la nuit. Les responsabilités sont bien plus importantes », explique Anita Guillon, chargée de mission à la direction des soins en charge des cadres de nuit.

Elles ne sont pas livrées à elles-mêmes pour autant. Un cadre de nuit, véritable chef d’orchestre de l’hôpital, règle les discordes entre patients et soignants et réaccorde le fonctionnement d’un service en cas de problème. « J’assure la plénitude de tous les métiers de l’hôpital. J’interviens pour toutes sortes de difficultés : problème de matériel, manque de médicaments, aide pour les soins… », détaille Philippe Thobie, cadre de nuit. La conséquence la plus redoutée de la diminution des effectifs : l’absentéisme. En cas d’arrêt maladie, certains sont rappelés sur leur temps de repos car « l’hôpital fonctionne déjà à flux tendu et les soignants sont déjà exténués », déplore Anthony Touzeau, secrétaire FO (Force ouvrière), syndicat majoritaire du CHD. « Il manque des effectifs. Dès qu’il y a un petit caillou, c’est toute la chaîne qui déraille. »

 

 

 

 

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7 octobre 2024 1 07 /10 /octobre /2024 14:35
DANS CETTE MAIRIE COMMENT SUPPRIMER 5 % DES SALARIÉS ?

DANS CETTE MAIRIE COMMENT SUPPRIMER 5 % DES SALARIÉS ?

 

 

 

COMPRENDRE POURQUOI LA DETTE FAIT SI MAL À L’ÉCONOME FRANÇAISE ET À LA FRANCE

 

L’État, c’est-à dire nous tous, sommes endettés jusqu’au cou et parce qu’une dette il faut, un jour ou l’autre, la rembourser, parce que les traités européens pour défendre l’euro contraignent les signataires des dits traités dont en premier la France à une gestion de père de famille qui ne doit jamais dépenser plus qu’il ne gagne. Ce n’est pas l’argent facile macronien !

À force de cumuler des déficits budgétaires (c’est-à-dire d’avoir des dépenses supérieures à ses recettes (budgets déficitaires) ces 40 dernières années, la France est obligée d’emprunter donc de s’endetter et est menacée, si elle ne redresse pas ses comptes, d’être condamnée à de lourdes pénalités, à la perte de son autonomie de gestion, au déclassement...à avoir des prêteurs qui lui font payer toujours plus de frais financiers avec des taux toujours plus élevés pour renouveler les prêts ...pour 2024 ce sera entre 60 et 70 milliards d’euros (l’équivalent d’une année de budget de l’Éducation) que la France devra sortir...le même chiffre que le Premier Ministre cherche désespérément pour faire passer son budget 2025 !

Imaginons une France avec une dette ZÉRO qui aurait donc la possibilité d’investir 60 milliards d’euros quand on sait qu’EDF par exemple évalue désormais à 67,4 milliards d'euros les coûts de son programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires en France.

Les résultats de l’année budgétaire 2024 sont encore plus affligeants avec un déficit qui sera entre 6 et 7 % du PIB alors que le budget devrait être au minimum équilibré voire excédentaire comme dans certains autres pays autres européens et avoir un déficit qui ne devrait être supérieur à 3 % de son PIB.

Nous parlons "pourcentage par rapport au PIB" car c’est l’unité commune qui permet de faire les comparaisons entre pays et de fixer les normes de danger d’endettement...

Donc, comme nous l’annoncions depuis longtemps, il faudra immédiatement d’une part, faire des économies (diminuer les dépenses) et d’autre part, accroître les recettes donc les impôts.

Oui, comme les politiques ne savent pas faire des économies, ne veulent pas parler de rigueur en matière de gestion comme si trop s’endetter pour un État n’était pas une catastrophe, il faudra pour 2025 augmenter les impôts !...en catastrophe.

Nous rappelons notre parution où nos penseurs Alain MINC et Jacques ATTALI étaient d’accord sur l’épée de Damoclès :

https://www.olonnes.com/2024/03/les-impots-augmenteront.html

 

 

MICHEL BARNIER PREMIER MINISTRE, N’ÉCARTE AUCUNE PISTE POUR REDRESSER LES FINANCES PUBLIQUES

Ainsi, il y a une économie suggérée et proposée qu’il sera difficile de mettre en application surtout après la publication du dernier rapport de la Cour des Comptes sur la situation financière des collectivités territoriales et les annonces du Premier Ministre.

https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-finances-publiques-locales-2024-fascicule-1

Ainsi résumé :

 

« Dans l’ensemble, les communes et intercommunalités ont continué à connaître une bonne situation financière. En revanche, celle des régions s’est repliée et celle des départements s’est dégradée. Une situation financière moins favorable qu’attendu et l’absence de dispositif de mise en œuvre des objectifs de la loi de programmation des finances publiques 2023-2027 rendent incertaine la participation des collectivités au redressement des finances publiques. »

Comme on dit, il ne faut pas prendre la bonne gestion financière des collectivités territoriales comme une variable d’ajustement du budget de l’État et de nos finances publiques.

Si celles-ci, dans les collectivités territoriales, sont mieux gérées que celles de l’État il y a déjà une première raison : elles ne peuvent présenter des budgets en déficit !

La deuxième raison : c’est celle de leurs recettes et surtout les impôts locaux. Elles ont l’autonomie pour certaines de leurs recettes principales comme les impôts locaux dont les taux sont votés par les élus locaux. Les hausses de ces impôts sont donc sous surveillance des citoyens localement. Cette autonomie est d’ailleurs contestée régulièrement par les technocrates comme c’est un peu le cas avec la suppression de la taxe mobilière qui a rappelé aux élus locaux que cette autonomie peut toujours être remise en cause.

Troisième raison : la Constitution déclare la France pays « décentralisé ».

Article 1er : La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.

Si l’État s’en prend aux recettes propres de collectivités territoriales...les communes, les communautés de communes...vont perdre leur peu d’autonomie dans leurs gestions et donc dans leur pouvoir décisionnaire. Le principe constitutionnel de la décentralisation est bafoué.

Ne laissons pas nos communes se bureaucratiser et être phagocytées par des gouvernants irresponsables mais parfois trop avides de pouvoirs et trop loin des réalités quotidiennes vécues par les élus locaux.

Elles sont souvent encore le moteur économique de leur territoire. La démocratie locale peut s’y exprimer et s’y développer...si les citoyens veulent bien un peu se bouger et simplement exercer leur pouvoir souverain.

De plus, l’État ne se gêne pas pour transférer des compétences aux collectivités (voirie, lutte contre les inondations, sécurité publique, augmentation des salaires...) sans compenser totalement ces charges induites par des recettes complémentaires.

L’État prend des décisions et l’argent des collectivités pour se payer ses folies ! Il ne tient pas les engagements qu’il prend et a pris quand il se désengage de certaines de ses fonctions régaliennes et fait « payer » les collectivités à sa place pour souvent absorber des compétences nouvelles pour lesquelles il est notoirement incompétent ! C’est le « toujours plus d’État » qui non seulement tue l’État mais aussi menace de tuer les collectivités territoriales.

Il contraint les collectivités et il a des moyens de chantage pour ce faire !

 

À SUIVRE...L’EMPLOI DE 100 000 AGENTS TERRITORIAUX MENACÉ

 

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2 octobre 2024 3 02 /10 /octobre /2024 18:29
SOYONS OPTIMISTES ET AU TRAVAIL !

SOYONS OPTIMISTES ET AU TRAVAIL !

 

 

 

REDRESSEMENT D’UNE FRANCE AU PIED DU MUR

 

Ce redressement, la France de 2017 l’a espéré en portant, peut-être trop hâtivement, Emmanuel MACRON à sa tête et en baissant trop vite les bras durant son règne.

Les français sont de plus en plus conscients des énormes difficultés que doit affronter leur pays.

Il y a des conditions indispensables pour sortir la FRANCE de l’ornière des crises : crise morale d’un pays qui ne croit plus en ses capacités, crise financière, crise institutionnelle, crise sociale, crise économique...

 

LES FRANÇAIS SONT-ILS CAPABLES DE FAIRE UN EFFORT POUR LE RERESSEMENT DE LA FRANCE ?

Nous sommes obligés de répondre OUI ! à cette question pour de multiples raisons.

D’abord, il faut reconnaître que la FRANCE est un pays « riche » : patrimoine culturel, patrimoine immobilier, savoir-faire...Elle s’est laissée endormir.

 

MAIS LA FRANCE SAIT SE RETROUSSER LES MANCHES

Comme elle le fit après 1914/1918, en 1945, en 1958, 1968 : le coq gaulois, emblème national, fait dans ces circonstances graves alors un cocorico triomphant quand il a les deux pattes dans le purin et se redresse ! Debout, allons-y !

La FRANCE sait se mobiliser si « on » sait la mobiliser mais ainsi elle ne peut le faire qu’à certaines conditions :

  • Que ce ne soit pas au prix d’efforts de certains tandis que d’autres tirent les marrons du feu bien au chaud : c’est l’injustice insupportable lors du partage du bénéfice des efforts,
  • Le français ne supporte pas l’injustice sociale à savoir que les efforts consentis faits par certains bénéficient trop largement à d’autres moins courageux dans le sacrifice,
  • Que l’État et ceux qui le servent soient reconnaissants envers ceux qui acceptent et que les gouvernants soient exemplaires : qu’ils usent de leur pouvoir sans en abuser,
  • Et donc que la transparence promise par une loi (2013, 2017 lois faiblardes du même nom ) soit réelle et totale et que la Justice passe et passe vite : aujourd’hui des hommes et femmes sont « mis en examen » ...et 10 ans après ne sont toujours jugés !... C’est quelques cas exceptionnels qui pourrissent le moral de ceux qui prêts à se sacrifier aux exigences de l’intérêt général,
  • Les efforts doivent être aussi partagés selon les capacités de chacun : ainsi les fonctionnaires et autres assimilés doivent reconnaître les avantages acquis comme leurs statuts et partager les efforts que les autres consentent,
  • Que le carcan administratif souvent abusif libère les énergies étouffées : liberté du travail, liberté de gagner plus et de travailler plus, bénévolat, liberté d’entreprendre sans un État fausse Providence, solidarité pour qu’aucun ne reste au bord de la route...
  • Qu’un bilan objectif de la gouvernance de la France de ces 40 dernières années soit fait et puisse permettre de juger sainement les manquements qui ont mis la FRANCE à genoux,
  •  
  • Que justice soit faite pour que « liberté, égalité, fraternité » redevienne la devise concrètement vivante partagée par une FRANCE fière de son passé, unie dans l’effort pour effacer son erreur et sa lâcheté de ces 40 dernières années et reprendre le chemin du leadership d’une nécessaire Europe renouvelée.

 

NON AU DÉCLASSEMENT, OUI À L'UNION POUR LE REDRESSEMENT

 

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25 septembre 2024 3 25 /09 /septembre /2024 19:31
TRIONS

TRIONS

 

 

NOS CHERS DÉCHETS

 

LES BIODÉCHETS : UN TIERS DES DÉCHETS

 

En 2020, la France a produit 309 millions de tonnes (Mt) de déchets cela représente 4,6 tonnes de déchets par habitant,

Depuis la nuit des temps, l’élimination de ces déchets ne fut pas un souci.

Puis vint l’urbanisation à outrance et là, le stockage puis l’élimination des déchets, devint un réel problème dont la solution est passée, pour un temps, par l’enfouissement qu’il a fallu aussi décider de stopper à terme car enfouir tout et n’importe quoi, c’était polluer ! En même temps il a fallu constater qu’une masse importante de déchets pouvait être recyclée, réutilisée et donc que l’enfouissement pouvait être limité voire supprimé. Après l’ère maudite de l’incinération, celle du tri, puis vint les espoirs utopiques du zéro déchet, du recyclage, de la méthanisation, du compostage collectif et individuel...

 

LES BIODÉCHETS

 

À compter du 1er janvier 2024, conformément au droit européen et à la loi anti-gaspillage de 2020, le tri des « biodéchets » est généralisé et concerne tous les professionnels et les particuliers.

L’article L. 541-1-1 du code de l’environnement définit les biodéchets comme : "Les déchets non dangereux biodégradables de jardin ou de parc, les déchets alimentaires ou de cuisine provenant des ménages, des bureaux, des restaurants, du commerce de gros, des cantines, des traiteurs ou des magasins de vente au détail, ainsi que les déchets comparables provenant des usines de transformation de denrées alimentaires."

 

Le tri et les techniques nouvelles de traitement avaient des limites et on s’aperçut que les biodéchets représentent encore un tiers du contenu de la poubelle résiduelle des Français, c’est-à-dire un tiers des déchets qui ne sont pas triés par les ménages ; et pourtant c’était, c’est un gisement non négligeable qu’il faut maintenant détourner de l’élimination en vue d’instaurer une économie circulaire de la matière organique.

Ainsi, la loi prévoit que tous les particuliers en principe doivent disposer d’une solution pratique de tri à la source de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.

 

UN SYNDICAT DÉPARTEMENTAL EN VENDÉE POUR LE TRAITEMENT DES BIODÉCHETS : TRIVALIS

Si la collecte des ordures en porte à porte peut rester du domaine de compétence de la collectivité le traitement complexe des déchets est en général confié ou sous-traité par à des sociétés spécialisées.

Mais, d’une part le tri devint de plus en plus sélectif et les déchets valorisables et recyclables : bois, plastiques, papier, verres, vert, emballages...et la valorisation et le traitement d’une manière générale des déchets ne pouvaient rester dans le domaine de compétence des communes.

Ainsi naquit l’idée de créer un syndicat départemental en Vendée : TRIVALIS : https://trivalis.fr/tri-des-dechets/

En Vendée, la collecte des déchets des ménages est donc assurée par les communes et TRIVALIS réalise le traitement de ces déchets pour 17 collectivités (communes, communauté de communes, syndicat mixte) représentant  269 communes de Vendée.

 

MES CHERS DÉCHETS

En 2024, une véritable « industrie » du déchet gravite, s’étend et devient un poids pour les ménages qui s’en aperçoivent en étant curieux et en regardant leurs feuilles d’impôts locaux et certaines étiquettes lors d’achat comme ceux de l’électro-ménager...

Les grands groupes de la distribution se sont intéressés aux déchets et d’autres groupes se sont spécialisés dans le traitement des déchets...l’industrie du déchet !

Le consommateur et les élus se doivent de veiller à la chaîne économique qui peut plumer le consommateur citoyen électeur consommateur !

Ainsi, l’Agglomération les Sables d’Olonne a lancé son programme ambitieux et innovant sur la gestion du tri à la source des biodéchets qui se traduira en 2025 par un service optimisé pour tous les usagers de son territoire : il devrait à terme permettre une économie...quand on constate les échecs techniques de TRIVALIS ( Usines TMB) et leurs coûts nous voyons qu’il faudra des citoyens et des élus réellement vigilants pour éviter que le citoyen ne soit plumé mais devienne à travers les institutions créées un modèle écologiste prenant sa part du sauvetage de la planète.

Si le citoyen sablais y va de ses efforts pour trier et bien trier (ce qui n'est pas encore le cas), en 2024, 2025 ...il doit voir les fruits de ses efforts le récompenser. Sa Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères devrait aller à la baisse ?

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