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24 octobre 2024 4 24 /10 /octobre /2024 18:16
LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ EN DÉCLIN

 

 

LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ EN DÉCLIN

 

DÉFENDRE LA JUSTE CAUSE DES HÔPITAUX : L’HÔPITAL EST UN GRAND MALADE OUBLIÉ

 

Nous nous permettons d’attirer votre attention sur cet article d’OUEST-France (voir ci-dessous) ;  l’analyse sur l’Hôpital : un service public qui marche, du personnel qui assume une mission qui n’est pas toujours aisée et qui demande beaucoup et des budgets et une gestion parfois inadaptés. La Santé est devenue sujet prioritaire pour les français. Au palmarès des soucis des français, elle détrône le pouvoir d'achat !

Budget 2025 : il n’y aura pas assez de milliards pour tout le monde. Les années de gabegie vont peser dans la balance encore pour des années. Le poids de la dette et des mauvaises habitudes telles que la notion de « services votés » qui fait que députés et sénateurs ne s’attardent pas sur ce qui a déjà été voté lors d’un budget d’une année antérieure. Par contre, les « mesures nouvelles » attirent l’attention et les discours au Parlement. C’est ainsi que la JUSTICE, LA SANTÉ...ont été abandonnées en chemin. Il faut pour des secteurs des Services Publics des plans de rattrapage qui, en général, ne permettent pas de combler les abandons faits lors des exercices passés. On ne rattrape pas le temps perdu !

Même secouée par la crise sanitaire, la Santé n’intéresse pas les élus au premier chef...une grève à la RATP ou à la SNCF secoue l’opinion...cela dérange et intéresse donc occupe les médias et les élus.

Ainsi, l’État a abandonné son service SANTÉ et la situation ne fait qu’empirer comme s’il n’y avait pas de remède pour le malaise du service public ! Encourageons notre personnel engagé dans le Service Public de la Santé.

En octobre 2024, nous sommes, sur le plan budgétaire, à un moment crucial où il y aura à faire des choix, justifier des priorités dans les budgets et où il faudra du courage pour les élus qui devront trancher entre ce qui répond à des besoins criants : éducation, santé, pouvoir d’achat, logement, défense et sécurité, justice et d'autres  besoins qui sont censés moins rapporter des voix : qui veut des chèques ?

 

QUI DÉFENDRA L'HÔPITAL ?

Le personnel débordé et à son poste passera après l'immigration dans les discussions au Parlement ...il mérite qu'on lui envoie un message de reconnaissance et qu'il bénéfice d'un réel plan de relance. Certes, la Santé coûte cher et il faut prendre cela en considération et être solidaires quand nous payerons les impôts 2025 surtout si la Santé a enfin la part qu'elle mérite !

 

 

Article OUEST France (numérique)

https://www.ouest-france.fr/sante/a-lhopital-les-nuits-sont-toujours-blanches-en-immersion-au-centre-hospitalier-de-la-vendee-69f725bc-8483-11ef-91d9-7f562215fe95?utm_source=sendinblue_of_newsletter-dossierthematique&mgo_eu=d41d8cd98f00b204e9800998ecf8427e&mgo_l=Xf3jCpEbSV-TlZdOenlfIg.4.0&utm_content=DT-85-abo&mgo_h=1b&utm_campaign=of-dossier-thematique-abo-hopitaldenuit&utm_medium=email&vid=918267&mediego_euid=918267

 

 

À L’HÔPITAL, LES NUITS SONT TOUJOURS BLANCHES

 

Le centre hospitalier départemental de la Vendée accueille 600 000 patients par an. 5 000 personnes travaillent sur ses trois sites. Celui de La Roche-sur-Yon, le plus grand, est une véritable ville dans la ville.

La rédaction de Ouest-France a décidé de pousser la porte du centre hospitalier départemental de la Vendée (CHD) lorsque la lumière est éteinte. Avec 600 000 patients accueillis en 2023 sur ses trois sites (La Roche-sur-Yon, Luçon et Montaigu) ses couloirs fourmillent d’une armée de soignants, mais aussi d’un bataillon d’invisibles : techniciens de laboratoire, personnels administratifs, manipulateurs radio, standardistes, agents de sécurité… La nuit, leur travail se poursuit sans sommeil. Baignée dans la pénombre, l’activité reste intense pour les équipes qui sont divisées par deux : 2 000 le jour, 300 la nuit. À travers cette série de cinq articles inédits effectués dans l’établissement de La Roche-sur-Yon, nous vous proposons de plonger dans une ambiance très particulière et de découvrir la partie immergée de l’iceberg d’un hôpital qui ne dort jamais.

LA NUIT L’ANGOISSE À SON PAROXYSME

Quand la nuit tombe sur l’hôpital de La Roche-sur-Yon, que ses couloirs se vident, que le calme retombe après le départ de la myriade de soignants, les patients s’angoissent. Cette montée de stress est particulière. C’est l’une des spécificités que les équipes de nuit doivent gérer dans tous les services. « Le sentiment d’être isolé dans l’obscurité, coupé de l’extérieur et abandonné provoque des montées d’angoisse. L’indice d’anxiété est d’ailleurs beaucoup plus important la nuit », remarque Laurence Halna, coordinatrice territoriale des soins du CHD. La nuit provoque aussi « une augmentation de la douleur beaucoup plus difficile à gérer ». Ces constats amènent la direction à réfléchir aux compétences particulières et spécifiques que les acteurs de la nuit doivent remplir : la qualité humaine doit être égale à la qualité de soin. « Il faut écouter, échanger, rassurer, être au plus près des patients. »

Des effectifs réduits de moitié Un rythme de vie tourmenté

2 000 personnels le jour, 300 la nuit à La Roche-sur-Yon. Logique, puisqu’il y a moins d’activité dans les services, sauf pour les urgences, talon d’Achille de l’hôpital. La diminution des effectifs n’augmente donc pas la quantité de travail mais accroît l’autonomie des équipes qui fonctionnent souvent sans responsable. « C’est l’une des motivations pour travailler la nuit. Les responsabilités sont bien plus importantes », explique Anita Guillon, chargée de mission à la direction des soins en charge des cadres de nuit.

Elles ne sont pas livrées à elles-mêmes pour autant. Un cadre de nuit, véritable chef d’orchestre de l’hôpital, règle les discordes entre patients et soignants et réaccorde le fonctionnement d’un service en cas de problème. « J’assure la plénitude de tous les métiers de l’hôpital. J’interviens pour toutes sortes de difficultés : problème de matériel, manque de médicaments, aide pour les soins… », détaille Philippe Thobie, cadre de nuit. La conséquence la plus redoutée de la diminution des effectifs : l’absentéisme. En cas d’arrêt maladie, certains sont rappelés sur leur temps de repos car « l’hôpital fonctionne déjà à flux tendu et les soignants sont déjà exténués », déplore Anthony Touzeau, secrétaire FO (Force ouvrière), syndicat majoritaire du CHD. « Il manque des effectifs. Dès qu’il y a un petit caillou, c’est toute la chaîne qui déraille. »

 

 

 

 

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7 octobre 2024 1 07 /10 /octobre /2024 14:35
DANS CETTE MAIRIE COMMENT SUPPRIMER 5 % DES SALARIÉS ?

DANS CETTE MAIRIE COMMENT SUPPRIMER 5 % DES SALARIÉS ?

 

 

 

COMPRENDRE POURQUOI LA DETTE FAIT SI MAL À L’ÉCONOME FRANÇAISE ET À LA FRANCE

 

L’État, c’est-à dire nous tous, sommes endettés jusqu’au cou et parce qu’une dette il faut, un jour ou l’autre, la rembourser, parce que les traités européens pour défendre l’euro contraignent les signataires des dits traités dont en premier la France à une gestion de père de famille qui ne doit jamais dépenser plus qu’il ne gagne. Ce n’est pas l’argent facile macronien !

À force de cumuler des déficits budgétaires (c’est-à-dire d’avoir des dépenses supérieures à ses recettes (budgets déficitaires) ces 40 dernières années, la France est obligée d’emprunter donc de s’endetter et est menacée, si elle ne redresse pas ses comptes, d’être condamnée à de lourdes pénalités, à la perte de son autonomie de gestion, au déclassement...à avoir des prêteurs qui lui font payer toujours plus de frais financiers avec des taux toujours plus élevés pour renouveler les prêts ...pour 2024 ce sera entre 60 et 70 milliards d’euros (l’équivalent d’une année de budget de l’Éducation) que la France devra sortir...le même chiffre que le Premier Ministre cherche désespérément pour faire passer son budget 2025 !

Imaginons une France avec une dette ZÉRO qui aurait donc la possibilité d’investir 60 milliards d’euros quand on sait qu’EDF par exemple évalue désormais à 67,4 milliards d'euros les coûts de son programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires en France.

Les résultats de l’année budgétaire 2024 sont encore plus affligeants avec un déficit qui sera entre 6 et 7 % du PIB alors que le budget devrait être au minimum équilibré voire excédentaire comme dans certains autres pays autres européens et avoir un déficit qui ne devrait être supérieur à 3 % de son PIB.

Nous parlons "pourcentage par rapport au PIB" car c’est l’unité commune qui permet de faire les comparaisons entre pays et de fixer les normes de danger d’endettement...

Donc, comme nous l’annoncions depuis longtemps, il faudra immédiatement d’une part, faire des économies (diminuer les dépenses) et d’autre part, accroître les recettes donc les impôts.

Oui, comme les politiques ne savent pas faire des économies, ne veulent pas parler de rigueur en matière de gestion comme si trop s’endetter pour un État n’était pas une catastrophe, il faudra pour 2025 augmenter les impôts !...en catastrophe.

Nous rappelons notre parution où nos penseurs Alain MINC et Jacques ATTALI étaient d’accord sur l’épée de Damoclès :

https://www.olonnes.com/2024/03/les-impots-augmenteront.html

 

 

MICHEL BARNIER PREMIER MINISTRE, N’ÉCARTE AUCUNE PISTE POUR REDRESSER LES FINANCES PUBLIQUES

Ainsi, il y a une économie suggérée et proposée qu’il sera difficile de mettre en application surtout après la publication du dernier rapport de la Cour des Comptes sur la situation financière des collectivités territoriales et les annonces du Premier Ministre.

https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-finances-publiques-locales-2024-fascicule-1

Ainsi résumé :

 

« Dans l’ensemble, les communes et intercommunalités ont continué à connaître une bonne situation financière. En revanche, celle des régions s’est repliée et celle des départements s’est dégradée. Une situation financière moins favorable qu’attendu et l’absence de dispositif de mise en œuvre des objectifs de la loi de programmation des finances publiques 2023-2027 rendent incertaine la participation des collectivités au redressement des finances publiques. »

Comme on dit, il ne faut pas prendre la bonne gestion financière des collectivités territoriales comme une variable d’ajustement du budget de l’État et de nos finances publiques.

Si celles-ci, dans les collectivités territoriales, sont mieux gérées que celles de l’État il y a déjà une première raison : elles ne peuvent présenter des budgets en déficit !

La deuxième raison : c’est celle de leurs recettes et surtout les impôts locaux. Elles ont l’autonomie pour certaines de leurs recettes principales comme les impôts locaux dont les taux sont votés par les élus locaux. Les hausses de ces impôts sont donc sous surveillance des citoyens localement. Cette autonomie est d’ailleurs contestée régulièrement par les technocrates comme c’est un peu le cas avec la suppression de la taxe mobilière qui a rappelé aux élus locaux que cette autonomie peut toujours être remise en cause.

Troisième raison : la Constitution déclare la France pays « décentralisé ».

Article 1er : La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.

Si l’État s’en prend aux recettes propres de collectivités territoriales...les communes, les communautés de communes...vont perdre leur peu d’autonomie dans leurs gestions et donc dans leur pouvoir décisionnaire. Le principe constitutionnel de la décentralisation est bafoué.

Ne laissons pas nos communes se bureaucratiser et être phagocytées par des gouvernants irresponsables mais parfois trop avides de pouvoirs et trop loin des réalités quotidiennes vécues par les élus locaux.

Elles sont souvent encore le moteur économique de leur territoire. La démocratie locale peut s’y exprimer et s’y développer...si les citoyens veulent bien un peu se bouger et simplement exercer leur pouvoir souverain.

De plus, l’État ne se gêne pas pour transférer des compétences aux collectivités (voirie, lutte contre les inondations, sécurité publique, augmentation des salaires...) sans compenser totalement ces charges induites par des recettes complémentaires.

L’État prend des décisions et l’argent des collectivités pour se payer ses folies ! Il ne tient pas les engagements qu’il prend et a pris quand il se désengage de certaines de ses fonctions régaliennes et fait « payer » les collectivités à sa place pour souvent absorber des compétences nouvelles pour lesquelles il est notoirement incompétent ! C’est le « toujours plus d’État » qui non seulement tue l’État mais aussi menace de tuer les collectivités territoriales.

Il contraint les collectivités et il a des moyens de chantage pour ce faire !

 

À SUIVRE...L’EMPLOI DE 100 000 AGENTS TERRITORIAUX MENACÉ

 

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2 octobre 2024 3 02 /10 /octobre /2024 18:29
SOYONS OPTIMISTES ET AU TRAVAIL !

SOYONS OPTIMISTES ET AU TRAVAIL !

 

 

 

REDRESSEMENT D’UNE FRANCE AU PIED DU MUR

 

Ce redressement, la France de 2017 l’a espéré en portant, peut-être trop hâtivement, Emmanuel MACRON à sa tête et en baissant trop vite les bras durant son règne.

Les français sont de plus en plus conscients des énormes difficultés que doit affronter leur pays.

Il y a des conditions indispensables pour sortir la FRANCE de l’ornière des crises : crise morale d’un pays qui ne croit plus en ses capacités, crise financière, crise institutionnelle, crise sociale, crise économique...

 

LES FRANÇAIS SONT-ILS CAPABLES DE FAIRE UN EFFORT POUR LE RERESSEMENT DE LA FRANCE ?

Nous sommes obligés de répondre OUI ! à cette question pour de multiples raisons.

D’abord, il faut reconnaître que la FRANCE est un pays « riche » : patrimoine culturel, patrimoine immobilier, savoir-faire...Elle s’est laissée endormir.

 

MAIS LA FRANCE SAIT SE RETROUSSER LES MANCHES

Comme elle le fit après 1914/1918, en 1945, en 1958, 1968 : le coq gaulois, emblème national, fait dans ces circonstances graves alors un cocorico triomphant quand il a les deux pattes dans le purin et se redresse ! Debout, allons-y !

La FRANCE sait se mobiliser si « on » sait la mobiliser mais ainsi elle ne peut le faire qu’à certaines conditions :

  • Que ce ne soit pas au prix d’efforts de certains tandis que d’autres tirent les marrons du feu bien au chaud : c’est l’injustice insupportable lors du partage du bénéfice des efforts,
  • Le français ne supporte pas l’injustice sociale à savoir que les efforts consentis faits par certains bénéficient trop largement à d’autres moins courageux dans le sacrifice,
  • Que l’État et ceux qui le servent soient reconnaissants envers ceux qui acceptent et que les gouvernants soient exemplaires : qu’ils usent de leur pouvoir sans en abuser,
  • Et donc que la transparence promise par une loi (2013, 2017 lois faiblardes du même nom ) soit réelle et totale et que la Justice passe et passe vite : aujourd’hui des hommes et femmes sont « mis en examen » ...et 10 ans après ne sont toujours jugés !... C’est quelques cas exceptionnels qui pourrissent le moral de ceux qui prêts à se sacrifier aux exigences de l’intérêt général,
  • Les efforts doivent être aussi partagés selon les capacités de chacun : ainsi les fonctionnaires et autres assimilés doivent reconnaître les avantages acquis comme leurs statuts et partager les efforts que les autres consentent,
  • Que le carcan administratif souvent abusif libère les énergies étouffées : liberté du travail, liberté de gagner plus et de travailler plus, bénévolat, liberté d’entreprendre sans un État fausse Providence, solidarité pour qu’aucun ne reste au bord de la route...
  • Qu’un bilan objectif de la gouvernance de la France de ces 40 dernières années soit fait et puisse permettre de juger sainement les manquements qui ont mis la FRANCE à genoux,
  •  
  • Que justice soit faite pour que « liberté, égalité, fraternité » redevienne la devise concrètement vivante partagée par une FRANCE fière de son passé, unie dans l’effort pour effacer son erreur et sa lâcheté de ces 40 dernières années et reprendre le chemin du leadership d’une nécessaire Europe renouvelée.

 

NON AU DÉCLASSEMENT, OUI À L'UNION POUR LE REDRESSEMENT

 

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25 septembre 2024 3 25 /09 /septembre /2024 19:31
TRIONS

TRIONS

 

 

NOS CHERS DÉCHETS

 

LES BIODÉCHETS : UN TIERS DES DÉCHETS

 

En 2020, la France a produit 309 millions de tonnes (Mt) de déchets cela représente 4,6 tonnes de déchets par habitant,

Depuis la nuit des temps, l’élimination de ces déchets ne fut pas un souci.

Puis vint l’urbanisation à outrance et là, le stockage puis l’élimination des déchets, devint un réel problème dont la solution est passée, pour un temps, par l’enfouissement qu’il a fallu aussi décider de stopper à terme car enfouir tout et n’importe quoi, c’était polluer ! En même temps il a fallu constater qu’une masse importante de déchets pouvait être recyclée, réutilisée et donc que l’enfouissement pouvait être limité voire supprimé. Après l’ère maudite de l’incinération, celle du tri, puis vint les espoirs utopiques du zéro déchet, du recyclage, de la méthanisation, du compostage collectif et individuel...

 

LES BIODÉCHETS

 

À compter du 1er janvier 2024, conformément au droit européen et à la loi anti-gaspillage de 2020, le tri des « biodéchets » est généralisé et concerne tous les professionnels et les particuliers.

L’article L. 541-1-1 du code de l’environnement définit les biodéchets comme : "Les déchets non dangereux biodégradables de jardin ou de parc, les déchets alimentaires ou de cuisine provenant des ménages, des bureaux, des restaurants, du commerce de gros, des cantines, des traiteurs ou des magasins de vente au détail, ainsi que les déchets comparables provenant des usines de transformation de denrées alimentaires."

 

Le tri et les techniques nouvelles de traitement avaient des limites et on s’aperçut que les biodéchets représentent encore un tiers du contenu de la poubelle résiduelle des Français, c’est-à-dire un tiers des déchets qui ne sont pas triés par les ménages ; et pourtant c’était, c’est un gisement non négligeable qu’il faut maintenant détourner de l’élimination en vue d’instaurer une économie circulaire de la matière organique.

Ainsi, la loi prévoit que tous les particuliers en principe doivent disposer d’une solution pratique de tri à la source de leurs biodéchets dès le 1er janvier 2024.

 

UN SYNDICAT DÉPARTEMENTAL EN VENDÉE POUR LE TRAITEMENT DES BIODÉCHETS : TRIVALIS

Si la collecte des ordures en porte à porte peut rester du domaine de compétence de la collectivité le traitement complexe des déchets est en général confié ou sous-traité par à des sociétés spécialisées.

Mais, d’une part le tri devint de plus en plus sélectif et les déchets valorisables et recyclables : bois, plastiques, papier, verres, vert, emballages...et la valorisation et le traitement d’une manière générale des déchets ne pouvaient rester dans le domaine de compétence des communes.

Ainsi naquit l’idée de créer un syndicat départemental en Vendée : TRIVALIS : https://trivalis.fr/tri-des-dechets/

En Vendée, la collecte des déchets des ménages est donc assurée par les communes et TRIVALIS réalise le traitement de ces déchets pour 17 collectivités (communes, communauté de communes, syndicat mixte) représentant  269 communes de Vendée.

 

MES CHERS DÉCHETS

En 2024, une véritable « industrie » du déchet gravite, s’étend et devient un poids pour les ménages qui s’en aperçoivent en étant curieux et en regardant leurs feuilles d’impôts locaux et certaines étiquettes lors d’achat comme ceux de l’électro-ménager...

Les grands groupes de la distribution se sont intéressés aux déchets et d’autres groupes se sont spécialisés dans le traitement des déchets...l’industrie du déchet !

Le consommateur et les élus se doivent de veiller à la chaîne économique qui peut plumer le consommateur citoyen électeur consommateur !

Ainsi, l’Agglomération les Sables d’Olonne a lancé son programme ambitieux et innovant sur la gestion du tri à la source des biodéchets qui se traduira en 2025 par un service optimisé pour tous les usagers de son territoire : il devrait à terme permettre une économie...quand on constate les échecs techniques de TRIVALIS ( Usines TMB) et leurs coûts nous voyons qu’il faudra des citoyens et des élus réellement vigilants pour éviter que le citoyen ne soit plumé mais devienne à travers les institutions créées un modèle écologiste prenant sa part du sauvetage de la planète.

Si le citoyen sablais y va de ses efforts pour trier et bien trier (ce qui n'est pas encore le cas), en 2024, 2025 ...il doit voir les fruits de ses efforts le récompenser. Sa Taxe d'Enlèvement des Ordures Ménagères devrait aller à la baisse ?

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14 juillet 2024 7 14 /07 /juillet /2024 21:00
IMPRESSIONNANT

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LES POMPIERS À L'HONNEUR

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LA LÉGION : LE SUCCÈS ASSURÉ...LA TRADITION A DU BON

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TROIS COULEURS À RESPECTER

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14 JUILLET 1790/14 JUILLET 2024...ENTRETENIR LA MÉMOIRE D'UN PEUPLE UNI SOUS LE SIGNE DES JO
AUX SABLES D'OLONNE : LE MAIRE YANNICK MOREAU APPLAUDI POUR UN DISCOURS CONSENSUEL

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13 juillet 2024 6 13 /07 /juillet /2024 15:53
2024  ET  1790 ah ça ira...Il SUFFIT DE VOULOIR

2024 ET 1790 ah ça ira...Il SUFFIT DE VOULOIR

 

 

 

 

LE DEVOIR DE MÉMOIRE POUR UNE NATION UNIE ET SOLIDAIRE

 

Le 14 JUILLET 1789, EN RÉSUMÉ...

Ah ça ira ! ça ira !...chant populaire et révolutionnaire de 1790 !

Le 14 juillet 1789, la prise de la Bastille marque la première journée révolutionnaire d'insurrection populaire et est devenue symboliquement et faussement la fête de la fin de l'Ancien Régime.

La prise de la Bastille est une insurrection qui découle du mécontentement populaire qui se manifesta en signe de manifestation contre les « droits d’entrée » perçus aux entrées de Paris qui a entrainé une flambée (l’inflation ???) du prix du pain.

Se tenait simultanément, à Paris, une Assemblée dite les États Généraux où les députés des 3 ordres (clergé, tiers État et noblesse) s’affrontaient depuis plus d’un mois. Les états généraux de 1789 (du 1789 au ) sont les 36es et derniers États Généraux du Royaume de France convoqués par le Roi Louis XVI en août 1788.

Dans Paris, la colère populaire enfle. Il y eut l’attaque des octrois où se percevaient les « taxes » où les « fonctionnaires du fisc » furent malmenés.

Le bon peuple s’organise pour manifester son mécontentement. Le Roi veille au maintien de l’ordre et fait entrer des troupes dans Paris et aux alentours. Mais les ordres du Roi se heurtent à l’Assemblée qui demande le renvoi des quelques troupes qui y stationnaient.

Le 14 juillet, le bon peuple en colère auquel se mêlèrent quelques brigands a dégénéré. Il fallait se procurer des armes et s’organiser. Il se disait qu’il y en avait aux Invalides qui furent pillés et dans la prison royale quasiment vide qui était la Bastille qui fut ainsi prise d’assaut...le sang a coulé ce jour-là : une centaine de morts !

Rappelons quand même qu’en octobre 2018, ce furent les Gilets Jaunes qui manifestèrent spontanément et pacifiquement contre la hausse des « droits » sur les carburants !

 

Le 14 JUILLET 1790 : L’IMMENSE RASSEMBLEMENT DU PEUPLE FRANÇAIS UNI

La réalité c’est que le 14 juillet nous célébrons un événement symboliquement plus important et plus marquant pour l’avenir du pays qui est l’anniversaire de la fête de la Fédération le 14 juillet 1790.

Ce jour là, pour commémorer le 14 juillet 1789 et consacrer les accords obtenus au sein de l’Assemblée a eu lieu un rassemblement national au Champ-de-Mars de Paris, le 14 juillet 1790 où au moins 100 000 personnes se réunirent dans un climat d'union nationale, en présence du Roi et des députés, de La Fayette, commandant de la Garde nationale qui prêta serment le premier, au nom des gardes nationales fédérées !

 

LE SYMBOLE DU 14 JUILLET 1790 EN 2024

Pour les français il faut que ce soit un symbole qu’il ne faut pas oublier en 2024.

Il faut au contraire célébrer ce 14 juillet 1790 en imposant la volonté du peuple à tous les élus.

Pour l’Unité du Pays, sa cohésion et son avenir il faut savoir gommer les divisions, les fractures et taire les autres propos belliqueux qui réapparaissent en France. Même les ambitieux doivent oublier leurs égos et s'unir an nom de l’intérêt général.

À l’occasion du défilé, des feux d’artifice, et autres réunions, tous les éducateurs en 2024 se doivent de rappeler à tous ce symbole historique de l’Union et de la Solidarité Nationale du 14 juillet 1790 !

 

 

 

 

 

Extrait du discours du Roi Louis XVI, le 5 mai 1789, à l’ouverture

de la Première Audience des États Généraux qui fixe un cap :

 

« Ce grand et salutaire ouvrage, qui assurera le bonheur du royaume au-dedans et sa considération au-dehors, vous occupera essentiellement.

Les esprits sont dans l’agitation, mais une assemblée de représentants de la nation n’écoutera sans doute que les conseils de la sagesse et de la prudence. »

1789 ...et maintenant en 2024...Pourquoi pas ???...le Roi évoqua même la dette de l’État, son Royaume !

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9 avril 2024 2 09 /04 /avril /2024 20:46
L'HOMME EST UN LOUP POUR L'HOMME ! LA VIOLENCE EST DANS LA NATURE HUMAINE COMME ELLE L' EST DANS LA MEUTE DES LOUPS

L'HOMME EST UN LOUP POUR L'HOMME ! LA VIOLENCE EST DANS LA NATURE HUMAINE COMME ELLE L' EST DANS LA MEUTE DES LOUPS

 

 

L'ULTRA-VIOLENCE ? LA FAUTE À QUI ?

 

Les mots nouveaux comme "ensauvagement", "décivilisation", "ultra-violence"... sont des maux réellement nouveaux qui font très mal à cette majorité des citoyens français qui subissent ainsi l'effondrement de leur moral sans savoir motiver et combattre leur malaise.

Thomas à Crépol et Romans sur Isère, Samara à Montpellier, le Proviseur du lycée Maurice RAVEL à Paris,   Shemseddine à Viry-Châtillon...

Sont-ce des situations nouvelles après les meurtres d’enseignants et les menaces proférées régulièrement sur les réseaux sociaux contre d'autres enseignants ou est-ce un ressenti de nous tous influencés par les médias qui rapportent ces faits à grand renfort de commentaires chocs ?

Il est incontestable qu'une certaine violence s'est installée particulièrement au sein de l'Éducation  et que le personnel enseignant se trouve  désormais confronté à une tâche éducative qui en dépasse plus d'un.

Lutter contre les conséquences du laxisme et de l'individualisme forcenés de ces dernières décennies qui ont envahi notre monde et particulièrement les démocraties occidentales est un impératif qui s'impose à nos  dirigeants eux-aussi dépassés voire complices.

L'ultra-violence est dans la nature profonde de l'homme : l'homme est un loup pour l'homme. La vie en société n'est possible que si les membres de toutes ses composantes sociétales sont capables de respecter et faire respecter les règles que le groupe pour survivre peut et doit  non seulement élaborer mais aussi faire respecter sans état d'âme. La lâcheté et la faiblesse face à la violence actuelle ne sont plus de mise.

 

AUJOURD'HUI, IL NE FAUT PAS CHERCHER DES RESPONSABLES... IL N'Y A QUE LES IRRESPONSABLES QUE NOUS SOMMES TOUS...C'EST... UN NAUFRAGE COLLECTIF QUE NOUS DEVONS ET POUVONS ÉVITER

Ajoutons-y à toute cette série de causes évoquée ci-dessus , celles que de très nombreux autres paramètres comme la drogue, l'abus de la liberté d'expression sur les réseaux sociaux, la lâcheté individuelle, la multiplication des zones de non-droit, la dilution de la responsabilité parentale liée au massacre de la notion de famille, cellule de base de notre société...nous avons lâchement et égoïstement laissé filer la défense des valeurs qui fondaient notre société ...donc, c'est la faute à nous tous et à personne. Il n'y a pas de responsables mais il y a, nous tous qui sommes des irresponsables qui avons abandonné nos devoirs.

Tout cela et tant d'autres causes font que le résultat est là...la violence qui était installée dans les villes suburbaines s'est répandue dans tout le pays. Elle est généralisée et traduite par la notion d'insécurité généralisée en grande partie fondée sur une nébuleuse de causes que le terme barbare de "décivilisation" peut définir.

Les politiques décrédibilisés, hors sol, ne nous sauveront pas en rétablissant la paix, la fraternité, la solidarité et l'ordre ...ils ne parlent que de droits et pas des devoirs citoyens.

Ce ne sont pas de beaux discours, des lois nouvelles, des opérations policières, coups de poing, qui rétabliront la sérénité et la douceur de vivre en France mais un travail plus complexe de mobilisation collective, de responsabilisation des parents, grands parents, éducateurs, des institutions... 

Il faut redonner au peuple le courage d'éduquer, de sanctionner, de récompenser pour recréer les conditions du vivre-ensemble et écraser le vice de forme qu'est la violence sous toutes ses formes...c'est un enjeu gagnable.

 

 

 

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10 mars 2024 7 10 /03 /mars /2024 21:57
LA PRIMEVÈRE AU BORD DU TALUS ANNONCE LE PRINTEMPS

LA PRIMEVÈRE AU BORD DU TALUS ANNONCE LE PRINTEMPS

 

 

 

CULTIVONS L'OPTIMISME

Devra-t-on inventer des histoires, propager de fausses nouvelles pour apporter des rayons de soleil sur l’actualité ?

Pas la peine de tricher : l’optimisme vient tout seul, naturellement comme un acquis de la civilisation, comme le printemps.

 

FÊTONS LE PRINTEMPS, LE CARÊME, LE RAMADAN

À 10 jours de l’arrivée du printemps, nous nous devons donc de tout faire et même, sans nous forcer, pour habiller l’actualité d’espoirs ...qui font vivre.

Dans nos haies, cela sent le printemps et l’aubépine en fleurs commence à teinter les haies de blanc. L’aubépine qui peut nous apporter tant de bienfaits au point de vue santé pousse et se développe sans que l’homme n’ait à intervenir. Un bel exemple qui nous incite à l’optimisme.

Mieux que cela, nous constatons que l’aubépine bénéficie de plan de reconstruction de nos haies et regagne du terrain même au bord des autoroutes ! N’est-ce pas une bonne nouvelle ?

 

MARS 2024 : RAMADAN ET CARÊME COHABITENT : UN DÉBUT DE SAGESSE POUR PARLER DE PAIX

Et si le calendrier 2024 avait raison pour les fêtes religieuses comme pour d’autres faits plus ravageurs ? Les deux religions « dominantes » en France devraient donc d’une seule voix prêcher pour la paix...l’homme ne peut donner, propager la mort au nom d’un Dieu commun.

Mars fut le Dieu de la guerre mais désormais cela pourrait être celui de la paix, un temps de réflexion pour la paix où les prêches de 2024 devraient résonner du son des silences des canons qui devraient rappeler aux va-t’en guerre que la guerre et la terreur n’ont jamais gagné. La guerre ne mène nulle part.…la paix seule mène au bonheur. D’ailleurs au cœur de Paris il n’y a pas de rue de la guerre mais une magnifique rue de la Paix.

Ce mois de mars devrait rappeler aux hommes la sagesse, la solidarité, le partage et envahir le sommeil de dirigeants belliqueux de cauchemars du sang versé dont ils sont responsables...au printemps, l’aubépine a certes des épines mais nous apprécions de la voir fleurir et de nous apporter ses bienfaits, calmante et apaisante aubépine.

Pour notre part, nous prêchons l’optimisme donc la paix et si le penseur Jean-Jacques ROUSSEAU avait raison quand il écrivait : « l'homme naît bon, la société le corrompt ».?

Par cette assertion, le penseur part du principe que l'homme naît bon avec des qualités morales supérieures et que celles-ci se dégradent au contact des lois, institutions et coutumes de la société dite civilisée.

 

Réhabilitons le principe que l’homme nait bon et faisons en sorte que la vie en société consacre sa capacité, sa bonté qui le pousse à rendre les autres heureux et qu’ainsi l’homme se bonifie.

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