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11 février 2023 6 11 /02 /février /2023 12:44
LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

LE TRAVAIL EST UN DROIT, UN BONHEUR ?

 

 

 

 

LE TRAVAIL EST UN BESOIN ET MÊME UN DROIT

 

Il peut même être un bonheur.

La crise sanitaire a révélé des interrogations sur la valeur travail et a fait éclore des prises de position irresponsables qu’il ne faut pas laisser passer.

Il y a des principes intangibles tel que le travail crée de la richesse, il crée la liberté.  L’homme était soumis à la nature, à ses caprices, c’est bien le travail de l’homme qui a libéré l’homme.

Il faut rappeler le PRÉAMBULE DE LA CONSTITUTION DE incorporé dans notre Constitution de 1958

Art.5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé,
dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Art.8. Tout travailleur participe, par l’intermédiaire de ses délégués, à la détermination
collective des conditions de travail ainsi qu’à la gestion des entreprises.

Art.11. (La loi) Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la
protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. Tout être humain qui, en
raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans
l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables
d’existence

 

RÉFLEXIONS SUR LE RAPPORT DE L’HOMME AVEC LE TRAVAIL APRÈS LA CRISE SANITAIRE

Opposer travail et liberté, c’est l’expression de la démagogie de bas étage dont il faut laisser la paternité aux irresponsables.

 Mais de là à dire que le travail rend l’individu libre il n’y a qu’un pas qu’il faut faire avec beaucoup de prudence. Quand un individu était envoyé aux « travaux forcées » ce n’était pas lui procurer de la liberté !

Oui, le travail rend libre à deux conditions : que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

L’opposé du travail est l’oisiveté, mère de tous les vices...vendre l’oisiveté comme mode de vie comme but est une escroquerie.

 Il faut être professeur d’économie comme Sandrine ROUSSEAU, Europe Écologie Les Verts pour oser dire que « le travail est une valeur de droite » et revendiquer le « droit à la paresse , c’est peut-être une revendication que la liberté d’expression permet de clamer, mais c’est surtout l’expression d’une irresponsabilité monstrueuse. Le travail est une valeur commune, un droit et peut-être un devoir.

Cela va plus loin car vraiment il faut faire de la politique de Comptoir du Café du Commerce pour oser penser et dire aussi que les jeunes particulièrement sont atteints d’une épidémie de flemme.

Il y a des malades, des fainéants par nature mais, par exemple, n’oublions pas que toutes les études sur les chômeurs prouvent que parmi les maux sociétaux un des pires est le chômage, la privation d’emploi et donc de travail.

D’ailleurs quand un individu a fauté on l’enferme en prison. Donc, on le prive de sa liberté et de travail...mais pour le réhabiliter il lui est ouvert possibilité de travailler en prison.

Pour rendre le travail plus attractif, il faut pouvoir améliorer la place du travail dans la vie, les conditions de travail mais avec prudence. La France n’est pas une île et laisser partir le travail à l’extérieur se révèle la pire des bêtises : c’est priver la France d’emplois, la priver de biens essentiels comme les médicaments.

OUI, le travail rend libre, à condition que le travailleur ait l'intelligence de son travail et que les conditions de réalisation de son travail soient bonnes.

 Les études sur la privation d’emploi sont claires :

« LE TRAVAIL EST DONC UNE POSSIBILITÉ D’ACCOMPLISSEMENT DE SOI.
EN ÊTRE PRIVÉ BRUTALEMENT, C’EST RUINER LE CHEMIN DE CET ACCOMPLISSEMENT »  Christophe Dejours, médecin psychiatre et psychanalyste, fondateur de la psychodynamique du travail

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21 janvier 2023 6 21 /01 /janvier /2023 14:47

 

 

PROMESSES DE RÉFORMES DU CANDIDAT EMMANUEL MACRON : 

2017, 2022

 

 

IL Y A PLUS IMPORTANT QUE LA RÉFORMETTE SUR LES RETRAITES

 

VERSION MACRON CANDIDAT 2017

 

 

 

IL Y A PLUS IMPORTANT QUE LA RÉFORMETTE SUR LES RETRAITES

 

 

 VERSION MACRON CANDIDAT 2022

 

 

 

 

 

 

RETRAITES : UNE RÉFORME DONT LA JUSTIFICATION N’EST PLUS ÉVIDENTE. ELLE N’EST NI URGENTE NI, MÊME, PEUT-ÊTRE PAS VRAIMENT NÉCESSAIRE

 

 

SUR LA FORME : LA MÉTHODE NE PEUT QU’INCITER AU REJET

 

La réforme des retraites parait aujourd’hui plus un caprice présidentiel qu’un besoin réel et urgent du Pays. Cela est ressenti par nous tous.

Au nom de l’exemplarité, on ne peut demander au bon peuple de faire des efforts et sacrifices et ostensiblement ne pas en faire soi-même. Le « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ne passe plus.

Il y a des symboles qui comptent et qui font très mal dans l’opinion : des voyages pléthoriques inutiles, le fort de Brégançon, le recours jamais vu précédemment aux cabinets-conseil à coup de millions d’euros, un entourage pas toujours "transparent", un gouvernement promis resserré qui compte plus de 40 ministres ...alors que le Président MACRON avait promis la réforme de l’État et des économies au niveau de l'État.

 

SUR LE FOND : EST-CE LE RÔLE DU CHEF DE L’ÉTAT DE TENTER DE RÉGLER LES PROBLÈMES SOCIAUX ? CERTAINEMENT PAS.

 

LA PATRIE N’EST PAS EN DANGER SAUF SI LA GROGNE ENGENDRÉE PAR UNE GESTION HASARDEUSE DU PETIT PROBLÈME DES RETRAITES TRANSFORME LE PAYS EN CHAMP DE BATAILLE ET QUE LE BON FONCTIONNEMENT DES INSTITUTIONS EST MIS EN GRAVE DANGER.

Dans la Constitution de 1958, le rôle du Président de la République (Articles 5 à 19) est ainsi clairement défini : il « veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État ».

Mais quand l’arbitre sort de son rôle et veut  modifier les règles du jeu, c’est l’arbitre qui est exclu du terrain.

La Patrie n’est pas en danger parce qu’il y a à plus ou moins long terme un déséquilibre du régime général des retraites et des inégalités très relatives entre les citoyens.

Par contre, elle est effectivement en danger à cause de sa dette, à cause de la Sécurité intérieure ébranlée et d’une Justice défaillantes et parce qu’il y a la guerre à sa porte.

Le Président Macron sort de son rôle constitutionnel d’arbitre et affaiblit inutilement la fonction présidentielle. Il y a plus et mieux à faire pour rétablir la France sur des points essentiels et prioritaires qui concernent les fonctions régaliennes de l’État : la Sécurité intérieure et extérieure, la Justice et d’une manière générale le bon fonctionnement des Pouvoirs Publics.

Quand l’Arbitre sort de son rôle pour  modifier les règles du jeu, c’est l’arbitre qui est exclu du terrain.

Aucun texte n’autorise et n’oblige le chef de l’État à déterminer la politique en matière sociale et à se substituer aux partenaires sociaux qui gèrent déjà le chômage, la Sécurité Sociale, la formation professionnelle, les Prud’hommes...

Depuis 2017, celui qui est devenu Président de la République agite des projets de réforme à géométrie variable. Le projet présidentiel concernant les retraites de 2017 n’a plus rien à voir avec le projet 2023 ! Alors qui croire en matière de réforme des retraites MACRON 1 ? MACRON 2 ? Voir illustration ci-dessus.

Les analystes sont d’accord au moins sur un point : la réforme Macron est beaucoup plus souple que la réforme Sarkozy de 2010. Alors l’enjeu est bien moindre. Alors pourquoi un tel tapage ?

Puisque le Chef de l’État est l’Arbitre et il doit respecter les attributions des corps intermédiaires :  les retraites sont du domaine des partenaires sociaux que le Chef de l’État n’aime pas beaucoup. Mais les corps intermédiaires comme les élus, les syndicats ont des fonctions indispensables dans la démocratie.

 

SUPPLIQUE :

Monsieur le Président MACRON, laissez donc les représentants légitimes des syndicats de salariés et des employeurs, les représentants des forces vives du Pays décider, s’il y a lieu à réforme du régime général des retraites et comment celle-ci doit  opérée ?

 

MONSIEUR LE PRÉSIDENT, ÉCOUTEZ LA VOIX DE LA SAGESSE ET LA « VOX POPULI »

Les régimes de retraites complémentaires fonctionnent bien car le dialogue social y fonctionne bien.

Ils savent s’adapter, se réformer alors pourquoi tout ce chahut inutile, pourquoi jouer avec le feu en voulant imposer votre réforme des seules retraites du régime général.

Ce projet de réforme :  la majorité des français n'en veut pas. 

 

 

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2 janvier 2023 1 02 /01 /janvier /2023 16:01
 VŒUX DE VOTRE ASSOCIATION CITOYENNE CACO

 

MERCI, MONSIEUR JEAN JAURÈS, POUR CES VŒUX CITOYENS TOUJOURS D’ACTUALITÉ !

 

Après avoir écouté les vœux du Président et les nombreux commentaires qui en ont été faits nous nous pouvons rappeler deux sentences de Jean Jaurès :

 

« Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir. »

Il y a dans notre France, sur les problèmes vitaux, une inertie de la pensée, une somnolence de l'esprit qui nous exposent à toutes les surprises jusqu'au jour où se produisent ces lumineux réveils qui viennent heureusement, quoique à de trop longs intervalles, sauver notre pays.

 

Oui, maintenant, Monsieur le Président EMMANUEL MACRON , vous avez face à vous qui êtes le Président de tous les français, une France désunie, défigurée composée au moins de deux catégories de citoyens les taiseux et les coléreux :

  • Ceux qui s’enferment dans leur égoïsme et l’indifférence totale pour la chose publique et qui n’espèrent rien de leur pays et de l’Europe,
  • Ceux qui espèrent et qui sont ceux qui en ont marre de la repentance, des discours-promesses jamais tenues qui remplacent l’action courageuse.   

Que 2023 soit l’année du réveil citoyen, celle du courage d’entreprendre, celle de la liberté, de l’égalité (et non de l’égalitarisme), celle de la rigueur et du patriotisme et celle de la fraternité.

La France de 2023 n’a surtout pas envie de rougir de son passé, elle a l’envie de demeurer face au monde la France éternelle fière d’elle à juste titre, riche et courageuse de son passé et de son avenir.

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7 novembre 2022 1 07 /11 /novembre /2022 19:25
NOUS NE POUVONS LAISSER BAILLONNER LA LIBERTÉDE D'EXPRESSION DE QUICONQUE

NOUS NE POUVONS LAISSER BAILLONNER LA LIBERTÉDE D'EXPRESSION DE QUICONQUE

 

 

UNE INTOLÉRABLE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION

 

Pour protéger la neutralité de notre Association, nous ne faisons pas suivre de pétition.

Nous faisons donc, par la présente publication , une exception à la règle car, en l’espèce, nous avons jugé que cette condamnation qui frappe et censure un sénateur citoyen médecin est une atteinte intolérable à la liberté d’expression.

Pour lever toute ambiguïté sur notre motivation de porter à votre connaissance cette pétition nous précisons que chacun garde la liberté totale de signer ou de ne pas signer. Nous informons mais ne voulons pas influencer.

Lien avec la pétition,

sélectionner le lien ci-dessous

clic droit

et "ouvrir le lien"

https://www.mesopinions.com/petition/politique/soutenons-senateur-alain-houpert-face-suspension/191571

 

 

 

TEXTE INTÉGRAL DE LA PÉTITION

 

Auteur : Association BonSens.org

Soutenons le sénateur Alain Houpert, privé d'exercice de la médecine temporairement avec sursis en étant "Coupable de courage".  Alain Houpert aurait d'ores et déjà décidé de faire appel. 

Soutenons la parole continente et sage de cet homme courageux, qui, dans l'exercice de son mandat de Sénateur, a apporté une critique étayée de la politique sanitaire menée par le gouvernement devant les élus de la Nation. Au-delà de la lourdeur sans pareille de cette décision, c'est la voix d'un représentant de la Nation que l'on essaie de contrôler ou de faire taire. 

La situation

Suite à trois plaintes déposées contre lui pour ses critiques de la politique sanitaire du gouvernement, la CDOM (chambre disciplinaire de l'ordre des médecins) de Bourgogne-Franche-Comté a sanctionné vendredi 4 novembre Alain Houpert, sénateur de Côte-d'Or (LR) et radiologue, d’une interdiction temporaire d'exercer la médecine. 

La première plainte a été déposée par le syndicat de l’Union française pour une médecine libre (présidé par le sulfureux médecin généraliste Jérôme Marty), la seconde par le Conseil départemental de Côte-d’Or de l’Ordre des médecins et quatre médecins, la troisième par le Conseil national de l’Ordre des médecins.

Dans chaque cas, la chambre disciplinaire a donné raison aux plaignants, lors d’une audience qui s’est déroulée le 10 octobre 2022. Le jugement vient d’être rendu public.

Celle-ci a justifié sa décision en dénonçant l'"attitude quasi irresponsable" du radiologue, dont les prises de positions médiatiques n’ont pu "que rajouter à la confusion médiatique de l'époque" et "décrédibiliser fortement les actions entreprises par les autorités sanitaires dans le cadre de la lutte contre une pandémie planétaire", estime la chambre disciplinaire.

Motifs des plaintes

Alain Houpert, Sénateur, dispose donc à ce titre d'un mandat de représentation du peuple, le conseil départemental de Côte-d'Or de l'ordre des médecins et le syndicat de l'Union française pour une médecine libre (UFML) lui reprochent de "diffuser par voie de presse et par publication sur les réseaux sociaux des informations erronées et non éprouvées scientifiquement. Alors que ce dernier dispose de la spécialité de médecin radiologue, il revendique un droit à la prescription d'un protocole de traitement dit précoce pour la Covid, qui ne repose sur aucune donnée acquise de la science médicale et n'émet aucune réserve sur cette initiative prétendument non éprouvée. Le Dr Houpert se livre par ailleurs à une critique systématique des tests dits PCR (Polymerase Chain reaction) qui ne permettraient pas d'estimer effectivement le nombre de « cas positifs » et sur le résultat desquels seraient néanmoins prises des « mesures liberticides » par le gouvernement français ; - dans le même temps, le Dr Houpert mène une campagne stigmatisant l'inutilité et l'inefficacité des vaccins mis à la disposition du public, et protégeant de la propagation du Covid."

- Quant au Conseil national de l’Ordre des médecins, celui-ci attaque “l’intervention du Dr Houpert dans la vidéo intitulée Hold-up [au cours de laquelle il] remet en cause la gestion de la crise sanitaire par les pouvoirs publics et incite les professionnels de santé à ne pas suivre les recommandations relatives à la prise en charge des patients.“

 

De nombreux soutiens affluent

 

Au sein du monde politique, le président du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale, Olivier Marleix, a apporté sur Twitter son "soutien amical" à Alain Houpert :

https://twitter.com/oliviermarleix/status/1588838117976449024?s=20&t=HcmzXfe31WkAuyvY8r8uOw

"Où est encore la liberté de pensée dans notre pays ?", s'est indigné pour sa part Gilles Platret, vice-président des Républicains : 

De son côté, la sénatrice LR Laurence Muller-Bronn a dénoncé une "société où le doute n'est plus permis" : "Il n’est absolument plus possible d’avoir une pensée raisonnée, de poser des arguments et des contre-arguments, de les étayer, de peser sa réflexion pour en définir une intime conviction. Non, il faut forcément suivre une ligne, une doxa, un évangile politique", a-t-elle fustigé. 

Même posture pour la sénatrice LR Sylviane Noël : "Drôle de démocratie qu'est devenue la France où il n'est plus possible d'exprimer autre chose que la doxa officielle...", a-t-elle déploré. "Tous les médecins parlementaires ont exprimé leurs positions concernant le Covid et il est le seul sanctionné. Pourquoi ?", s'est interrogé la sénatrice LR Sylvie Goy-Chavent, après avoir exprimé sa "solidarité totale". "Notre collègue et ami A. Houpert est probablement coupable d’avoir raison trop tôt et d’avoir eu le courage de le dire !", lui a répondu la sénatrice LR Christine Bonfanti-Dossat.

Des marques de solidarité répercutées par Florian Philippot, président des patriotes, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, Gilbert Collard, eurodéputé Reconquête !, anciennement membre du Rassemblement national, ou encore Stéphane Ravier, sénateur Reconquête, également ancien cadre du RN.

Nous appelons donc les Français à se mobiliser en signant cette pétition en soutien au Sénateur Houpert et nous les invitons par ailleurs à la faire circuler auprès du plus grand nombre.

 
Pétition basée sur l'article publié dans FranceSoir.fr

 

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21 octobre 2022 5 21 /10 /octobre /2022 09:18
SUR LES MURS D'UNE MAIRIE !

SUR LES MURS D'UNE MAIRIE !

 

 

 

" LA LIBERTÉ  ET LES LIBERTÉS"

 

La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité »

Trois mots forts qui sont la colonne vertébrale de nos institutions et pourtant le paradoxe est que dès qu’il est question d’une liberté c’est pour l’encadrer : l’encadrer pour la sauver ?

Ce n’est pourtant pas le hasard si c’est le mot « liberté » qui est mis en premier dans cette trilogie fleurit sur nos murs et est gravé dans la Constitution de 1958 dans son article 2. 

La déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen approuvée le 26 août 1789 a dans son article 1 installé dans notre société la notion de liberté « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune ».

 Nos constituants ont pris soin dans l’article 2 de la définir : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. » en même tenter de la définir : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».

 

À PARTIR DE CES PRINCIPES, LES APPAREILS LÉGISLATIFS, RÉGLEMENTAIRES, JUDICIAIRES TENTENT D’ENCADRER LA ET LES LIBERTÉS POUR SAUVER LA LIBERTÉ

De cette notion de « liberté » découle donc des droits et des devoirs. Il ne faut pas qu’au nom d’une liberté des citoyens étouffent des libertés fondamentales. Il faut un équilibre qui est complexe entre l’exercice des libertés ...qui ne peuvent qu’il soit « nui gravement à autrui » comme il est écrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Ainsi, le droit de grève fut inscrit dans le préambule de la Constitution de 1946 mais fut vite encadré par des lois ? Cette pratique était et elle demeure impérative.

Le droit de grève est donc, par nécessité, encadré : l’ordre public, la sécurité, le bon fonctionnement et la continuité des services publics sont des limites naturelles au droit de grève.

Ainsi sont justifiées les réquisitions ...les grévistes quelques soient leurs motivations ne peuvent mettre en danger la vie d’autrui. Ils ne peuvent que de manière "proportionnée" restreindre la liberté de circuler. Ils ne peuvent porter atteinte au bon fonctionnement des outils vitaux dont ils sont responsables ?

On le voit donc clairement l’exercice du droit de grève se heurte à l’exercice d’autres libertés et droits reconnus : se déplacer, s’exprimer, être soignés...

On pourrait ainsi indéfiniment fixer des règles qui légalement restreindraient le droit de grève. En effet, l’abus du droit de grève pourrait, si l’on y prête garde, aboutir à un encadrement du droit de grève tel qu’il serait réduit quasiment à ce que la grève ne soit plus possible !

La liberté de cesser le travail, de faire grève et de ne pas faire grève n’est donc pas un droit indépendant et  sans limite. Le doit de grève n’est pas au sens strict constitutionnel et donc il ne pourra subsister que si son utilisation reste compatible avec l’exercice pour tous des autres libertés fondamentales.

 

 

 

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15 octobre 2022 6 15 /10 /octobre /2022 22:24
UNE STATUE, UN MAIRE, DES DRAPEAUX, DU MONDE, BEAUCOUP DE MONDE, DES ANONYMES CHOQUÉS...

UNE STATUE, UN MAIRE, DES DRAPEAUX, DU MONDE, BEAUCOUP DE MONDE, DES ANONYMES CHOQUÉS...

 

DÉBOULONNER L'ARCHANGE, CHEZ LUI, DANS SON QUARTIER EST-CE POSSIBLE, EST-CE SOUHAITABLE ?

 

Ce matin, le rassemblement, à l'initiative des anciens et moins anciens parachutistes, va forcer tout un chacun à la réflexion sur la notion de valeur de l'identité d'une Nation et sur les limites de la notion de liberté.

Un individu citoyen militant ne représentant que lui-même peut-il en France encore s'attaquer à un symbole très vivace dans sa Région, dans son Pays ?

Si, au niveau de la Libre Pensée, il y avait eu un tant soit peu de réflexion, de dialogue, de fraternité, de compréhension  de la part de cette institution aucun agitateur partisan d'une liberté de pensée n'aurait osé blesser ses concitoyens au nom d'une liberté acquise depuis des décennies. Aimer et défendre la Liberté interdit le droit d'atteinte à la liberté des autres.

Certes beaucoup se félicitent aujourd'hui de l'aubaine que leur offre ce représentant de la "Libre Pensée" qui s'arroge, par décision de Justice d'exception et par une interprétation douteuse de la loi de 1905, le droit de blesser ses congénères.

Aujourd'hui, installer une statue sur le domaine public, la déboulonner en exécution d'une décision de Justice dite d'exception ( une juridiction spécialisée)  est soit un geste anodin nécessaire pour de banales causes soit il est un geste volontairement symbolique provocateur à portée politique pour tenter de faire revivre une guerre éteinte depuis plus d'un siècle.

S'il y avait eu dès l'installation de la statue restaurée un tant soit peu de réflexion et de dialogue au nom de la "Libre Pensée" la statue inoffensive aurait pu poursuivre son histoire sur sa place dans son quartier à l'ombre de son Église, à quelques encablures de son école.  

Cela nous fait penser au contraste qu'il y a entre cette méprisable affaire et l'immense mouvement national et international qui a suivi l'incendie de Notre-Dame de Paris. C'est le monde entier qui a reconnu dans ce bâtiment l'âme d'un pays et une partie d'eux-mêmes.

Si l'Archange est dans l'incapacité aujourd'hui d'intervenir lui-même auprès de celui qui veut son déboulonnage,  il faudrait demander qu'au niveau supérieur, à celui du Saint-Esprit, que celui-ci intervienne auprès du fauteur de troubles, pourfendeur donquichottesque pour qu'il abandonne avec dignité son combat d'arrière-garde sur le champ.

En effet, le Conseil d'État, saisi maintenant du dossier, avec la sagesse qui honore cette noble institution ne peut prendre une décision de déboulonnage de la statue qui signifierait que la guerre entre français qui a abouti à la loi de 1905 puisse reprendre.

 

ELLE EST QUAND MÊME BELLE ET SI BIEN À SA PLACE NOTRE STATUE

ELLE EST QUAND MÊME BELLE ET SI BIEN À SA PLACE NOTRE STATUE

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9 octobre 2022 7 09 /10 /octobre /2022 20:00
NOUVELLES DES SABLES D’OLONNE : STATUE SAINT MICHEL ET PROCHAINE CONSULTATION POPULAIRE DES SABLAIS

 

 

 

 

STATUE SAINT- MICHEL

 

Lors du dernier Conseil Municipal des Sables d’Olonne, comme d’habitude, il a été question d’achats ou de rétrocessions de terrains.

Cela a donné l’idée malicieuse à Jacques BARRETEAU (élu d’opposition) de rappeler au maire Yannick MOREAU sa proposition faite en janvier 2022 : « vendre le parvis de l’église à une association cultuelle, culturelle ou autre. »

Ainsi, la statue ne serait plus sur le domaine public et la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État ne pourrait plus s’appliquer.

Pour le Maire, qui, bien sûr, a fait étudier cette hypothèse, c’est malheureusement « une fausse bonne idée ».

Pour l’instant, l’arrêt de la Cour d’Appel de Nantes de septembre 2022 confirmant la décision du Tribunal Administratif de Nantes du "déboulonnage" de la statue fait l’objet d’un recours en cassation devant le Conseil d’État. Pour le maire Yannick MOREAU, défenseur du patrimoine de la ville, il lui appartient de « convaincre » le juge que la place de la statue emblème de l’école Saint Michel est bien sur la place devant l’Église Saint Michel dans le quartier Saint Michel près de la résidence Saint Michel ! « Elle est là et vraiment bien là 

Rappelons que c’est une initiative d’un responsable Monsieur Jean REGOURD, de la Fédération de Vendée de la « Libre Pensée » que cette procédure a été lancée. Le Conseil Municipal des Sables d’Olonne opposition comprise n’apprécie, comme la majorité des sablais cette initiative d’un autre âge. « La Libre Pensée » au moins son dirigeant, en manque de reconnaissance, fait vraiment une application très particulière de l’adjectif « libre » étant lui-même prisonnier d’une idéologie d’un autre temps et tentant à l’imposer à une population favorable au maintien de la statue à sa place actuelle. Nous ne voyons pas en quoi cette œuvre d’art sur une place publique peut heurter la liberté de culte et celle de conscience et avons du mal à comprendre les décisions de Justice quand on lit l’article 1 de la loi  de 1905 encore en vigueur:

« La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public. »

Quelle perte de liberté de conscience aux Sables d’Olonne cette statue inoffensive peut-elle engendrer à sa place actuelle ?

Quel trouble à l’ordre public peut-elle engendrer ?

Une minorité (la libre pensée) infime peut-elle dicter sa loi à la majorité de citoyens sablais ?

Espérons que les sages du Conseil d’État sauront, comme ils le font si souvent, redonner à la loi de 1905 sa juste place et interprétation.

Ce qui est sûr c’est que cette liberté de la pensée invoquée fait gaspiller à la collectivité une énergie qui pourrait être consacrée à des choses plus graves.

Pour prendre connaissance de la décision du 16 septembre 2022 de le Cour Administrative d’appel de Nantes :  

http://nantes.cour-administrative-appel.fr/Actualites-de-la-Cour/Communiques/Statue-de-l-archange-Saint-Michel-aux-Sables-d-Olonne-Vendee

 

 

 

 

 

 

LA LISTE YANNICK MOREAU (2020)

LA LISTE YANNICK MOREAU (2020)

CONSULTATION DES SABLAIS : PROMESSE DE YANNICK MOREAU, CONSULTER LES SABLAIS SUR LES PROJETS MUNICIPAUX

 

Sur sa profession de foi, lors de la dernière élection municipale de 2020, Yannick MOREAU, candidat, avait écrit :

« Les consultations populaires sont utiles et efficaces.

 Entre deux élections municipales les habitants seront consultés en 2022 et 2024 sur les grands projets de la ville.

Cet engagement conduira les Sablais d’Olonne, du Château, de la Chaume et des Sables d’Olonne à se prononcer tous les deux ans sur les affaires municipales

Anthony BOURGET, responsable de l’opposition (liste Aimer les Sables), lors du dernier conseil municipal, a rappelé au maire sa promesse.

Ce point n’était pas à l’ordre du jour du Conseil Municipal mais le maire Yannick MOREAU a cependant répondu à l’élu et a annoncé qu’en novembre une consultation aurait bien lieu « sur plusieurs projets ».

Pour une saine et vivante démocratie locale et pour éviter le fossé qui se creuse, entre deux élections, souvent entre élus et citoyens, cette nouvelle ne peut que nous réjouir.

Maintenant, attendons le texte sur quel la population aura à se prononcer et attendons aussi de voir si cette expérience de démocratie directe déjà faite sur le projet Littoral et sur la fusion (à Château d’Olonne) sera mobilisatrice.

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27 septembre 2022 2 27 /09 /septembre /2022 10:56
UN SOURIRE QUI NE FAIT PLUS PLAISIR CAR IL EST TUEUR

UN SOURIRE QUI NE FAIT PLUS PLAISIR CAR IL EST TUEUR

 

 

 

 

CARTON ROUGE AUX ÉCOLOGISTES EN France, LA DÉPUTÉE SANDRINE ROUSSEAU DÉMONTRE, UNE NOUVELLE FOIS, LEUR NOCIVITÉ ET LEUR INCAPACITÉ À PARTICIPER AU GOUVERNEMENT DU PAYS

 

Après 1793...2022, LA TERREUR REVIENT EN France : SANDRINE ROUSSEAU, EUROPE ÉCOLOGIE LES VERTS, DEMANDE À LA TÉLÉVISION LA TÊTE DE SON COLLÈGUE JULIEN BAYOU

Les dirigeants écologistes voulaient et devaient se montrer exemplaires. Avec ce dossier leurs dirigeants réussissent à se révéler pires que ceux qu’ils critiquent. Il faut toujours se méfier des faux prophètes.

Nous avions déjà, dans les affaires locales, entendu en réunion publique des écologistes traiter leurs contradicteurs « d’assassins » pour ne pas être de leur avis ! Cette mise à mort politique par Sandrine ROUSSEAU d’un collègue fondée sur des confidences relevant du domaine privé d’un individu est une honte. C'est d'une irresponsabilité déconcertante !

 Cette personne abuse de sa position sociale, de ses fonctions d’universitaire de rang élevé et de députée. Nous tombons dans le droit à diffamer donc dans l’abus de la liberté d’expression.

 

DES QUESTIONS SUR LE DOSSIER SANDRINE ROUSSEAU : UN PROCÈS SANS JUGE, SANS DROIT NI MOYEN DE DÉFENSE

Simples questions que nous devons nous poser avant de juger :

  • pourquoi l’épouse ou compagne de Julien BAYOU Adrien n’a-t-elle pas  porté plainte ou simplement déposé une main courante contre son ex ? Pourquoi la Justice n’est pas saisie ?
  • Sur quels faits ou documents les accusations portées par l’ex de Julien BAYOU  sont-elles fondées et comment ont-elles pu convaincre Sandrine ROUSSEAU d’aller aussi loin ?...étrange, indigne ...
  •  

La réponse de « l’accusé » est claire dans son communiqué :

 "Vous le savez peut-être, je suis accusé de faits qui ne me sont pas présentés, dont mes accusateurs-ices disent qu’ils ne sont pas pénalement répréhensibles, et dont je ne peux pour autant pas me défendre puisqu’on refuse de m’entendre."
Juger vous-mêmes de la conception du droit, de la Justice au niveau de gens qui prétendent gouverner le pays. L'accusation publique repose sur des fait baptisés improprement "violences faites aux femmes" juridiquement et pénalement non recevables : violences verbales, harcèlement qui n'en n'aurait pas été...

L’opprobre jeté sur un dirigeant de parti et néanmoins député et Président d'un groupe parlementaire est donc fondé sur du vent  ? Ce n'est pas avec une pratique de ce type que l'on rapprochera élus et citoyens. Encore un mauvais coup porté à la démocratie. Que peut bien penser de cela le citoyen militant EELV ?

 

LA VIE EN SOCIÉTÉ NÉCESSITE DES RÈGLES POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

Il faut rappeler à Sandrine ROUSSEAU que nous vivons dans une société où pour pouvoir vivre en paix et passer au-dessus des ambitions légitimes et des divisions nées des origines, des hiérarchies sociales il y a des règles. Pour assumer la cohésion entre des citoyens la loi suprême, la règle du jeu est inscrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 :

Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance. 

Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.  

Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Voilà donc une universitaire ayant assumé des hautes fonctions dans cette noble institution, députée, défenderesse de la suprématie féministe qui fait fi publiquement du respect des principes fondamentaux du droit français alors qu’elle est députée et donc conduite à légiférer.

Une personne cultivée de 50 ans comme Sandrine ROUSSEAU sait que la politique, les ambitions légitimes des citoyens ne justifient pas tous les coups tordus...et la diffamation donc le lynchage médiatique.

Nous ne prenons pas la défense de Julien BAYOU mais la défense du citoyen face à des dirigeant(e)s de parti, député(e)s qui bafouent les principes mêmes sur lesquels notre société est fondée et qu'ils sont chargés de mettre en valeur et de faire respecter.

 

UN COUP DE PLUS CONTRE LE MILITANTISME ÉCOLOGIQUE TROMPÉ PAR LES DIRIGEANTS D'ÉCOLOGIE LES VERTS

Ce que vient de commettre la dirigeante des VERTS, Sandrine ROUSSEAU,  contribue à faire perdre toute crédibilité a un parti qui n’avait pas besoin de cela. 

Voilà donc les fameux écologistes moralistes du dimanche qui se disent républicains, défenseurs des libertés, sauveteurs de la planète qui, pour assouvir on ne sait quelle rancune, quelle ambition personnelle, s'assoient sur les principes qu'ils énoncent. Faites ce que je dis mais surtout ne faites pas ce que je fais !

Ces dirigeants osent même parler d'une enquête interne au parti. Leur Justice expéditive à eux ! C'est vraiment désolant.

Sandrine ROUSSEAU et les autres responsables qui l'ont suivie ont abusé de la LIBERTÉ D’EXPRESSION. Ils foulent aux pieds la présomption d’innocence d’un ami.

Tous les français qui ont cru et suivi le parti, EELV,  « les Verts », dans le nécessaire, difficile  et  juste combat pour la survie de la planète doivent bien savoir maintenant qu’ils sont trompés par des arrivistes écologistes comme Jean-Vincent PLACÉ, Nicolas HULOT, Sandrine ROUSSEAU ...qui abusent à des fins purement personnelles du mandat ou des mandats qu’ils ont reçus et que donc le citoyen ne peut leur faire confiance.

 

Au nom d’un juste combat qu’il essaie à tort de s’approprier, le parti EELV trompe son monde et abuse ses militants et sympathisants. Il dévalorise la saine et nécessaire mobilisation en faveur d'une écologie citoyenne.

 

 

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