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5 août 2023 6 05 /08 /août /2023 16:44
UNE NOTION DÉPASSÉE DU TRAVAIL

UNE NOTION DÉPASSÉE DU TRAVAIL

 

 

 

POURQUOI TRAVAILLER ? COMMENT TRAVAILLER ? OÙ TRAVAILLER ?

Nous devons vivre avec parfois deux mondes sans passerelle.

D’un côté, il y a l’entreprise, le bureau, le boulot...de l’autre il y a la vie, l’économie, la famille ou ce qu’il en reste, le sport, la culture, les relations humaines et sociales...

Le travail tend à devenir de plus en plus un monde à part et le dernier sondage sur le sujet affiche que 29% des Français ne perçoivent ni le sens ni l’utilité de leur emploi : un travailleur sur 3 donc n’inclut pas la notion de travail dans sa vie. C’est pour lui à la limite un accessoire nécessaire « pour manger » mais un accessoire rejeté.

Dans cette réflexion il y a, bien sûr, l’effet durable COVID. La réflexion surtout pendant le confinement qui a poussé et peut-être contraint le travailleur à la réflexion, à l’analyse de sa vie, de son cursus...nombreux ont osé découvrir et accepter l’idée qu’il y a autre chose que le travail dans la vie.

 

LE TRAVAIL DÉVALORISÉ : DEPUIS 1848 UN BASCULEMENT MALSAIN

Métro, boulot, dodo...1968 : c’était l’épanouissement de la formule 1968 : un bouillonnement d’idées aussi bonnes que permissives et pernicieuses.

À l'opposé il y a la fête du travail, le travail c'est la santé !...

Le droit au travail une idée ancienne, une revendication des révolutionnaires de février 1848 qui ont fait du « droit au travail » l’un de leurs principaux mots d’ordre.

Depuis les idées des philosophes et des politiciens ont transformé ce droit idéaliste en devoir contraignant ; le travail est fréquemment présenté comme un asservissement. C’est devenu grâce au Marxisme un moyen permettant l’exploitation du pauvre par le riche, par le capital...

Ainsi, au 1er trimestre 2023, on compte 496 600 démissions de CDI en France métropolitaine (secteur privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit +3,7 % sur un trimestre. Il y a 550 100 démissions (+3,2 %) en tenant compte des ruptures anticipées autorisées d'un CDD.

Mais en France, la vague de démissions de 2022 et 2023 injustifiées ou plus exactement non explicables a poussé Emmanuel MACRON a s’exprimer sur son souhait de revaloriser la valeur TRAVAIL. Qu'il passe de l'intention à l'action !

 

LES RESPONSABLES DES RESSOURCES HUMAINES DEPUIS LONGTEMPS POUSSENT DONNER UN SENS AU TRAVAIL

En France, des centaines de milliers de postes ne sont pas pourvus.

Des affiches fleurissent « ON EMBAUCHE EN CDI » alors que le taux de chômage reste au-dessus des 7% faisant de la France un mauvais élève de l’Europe !

Le salarié est encore très souvent fier de partager avec ses collègues la fierté d’appartenir à une équipe au sein d’une Société dont il partage les objectifs.

Donc, que de contradictions aujourd’hui par rapport au sens du travail qu’il faut développer.

La quête de sens au travail consiste à déterminer les raisons pour lesquelles un individu exerce son métier.

Dans une entreprise, les meilleurs managers sont ceux qui arrivent, non seulement à diriger une équipe, mais aussi à donner du sens à chaque activité qu’ils font.

 Les salariés sont généralement des gens recrutés par une entreprise pour exécuter une activité. Ces activités peuvent être faites de manière automatique, c’est-à-dire : venir au bureau, exécuter ses tâches et rentrer chez soi.

Cette forme de routine favorise très souvent un cadre de travail stressant pour leurs équipes et, dans une certaine mesure, une productivité constante.

Il faut désormais redonner collectivement du sens au travail Il ne faut pas laisser les oiseaux de mauvaise augure répandre leur chants destructeurs. Suivez par exemple ce lien et les suivants que nous vous présenterons :

https://fr.indeed.com/conseils-carrieres/developpement-personnel/donner-sens-travail

 

A SUIVRE : DU SENS AU TRAVAIL

 

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3 août 2023 4 03 /08 /août /2023 19:58
L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

L'UNEDIC SORT LA TÊTE DE l'EAU ...ET L'ÉTAT VEUT L'EMPÊCHER DE POURSUIVRE SON DÉSENDETTEMENT

 

 

 

 

SAUVER LE DIALOGUE SOCIAL ET L’INDEMNISATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI

 

Comme cadeau pour ces vacances, les partenaires sociaux ont reçu ce mardi le document de cadrage du gouvernement sur la nouvelle refonte des règles de l'assurance-chômage. C’est l’inventaire des principales exigences de l'exécutif pour la survie de l’assurance chômage !

C’est l’été et comme cadeau empoisonné aux partenaires sociaux, avant leur départ en vacances, nos gouvernants, sur le dossier chômage, tentent un coup de force inquiétant pour le respect du dialogue employeurs salariés/État.

En effet, ce mardi 1er août 2023, les partenaires sociaux ont reçu le « document de cadrage du gouvernement relatif à la négociation de la convention d'assurance chômage » sur la refonte des règles de l’assurance-chômage.

Les partenaires sociaux ont jusqu’au 15 novembre 2023 au plus tard pour s’entendre et avaliser les propositions qui sont plutôt des prétentions abusives gouvernementales.

Concrètement on peut craindre que les partenaires sociaux soient condamnés à ratifier les diktats gouvernementaux ; une négociation employeurs salariés très difficile d'autant plus que l'État en quête de sous voudrait que la cotisation employeur soit augmentée : L'État voudrait le beurre et l'argent du beurre.

 

LA STRUCTURE ASSURANCE CHÔMAGE : L’UNEDIC

L’assurance chômage est gérée par l’UNEDIC qui confie la collecte des contributions et le versement des allocations respectivement à l’URSSAF et la gestion du chômage à Pôle Emploi qui va devenir France Emploi et veille à ce que les règles soient respectées.

L'UNEDIC illustre le type de gestion paritaire : les partenaires sociaux définissent les règles d’indemnisation et fixent les niveaux de ressources et les taux de cotisation requis des employeurs.

Cela signifie que ce sont les partenaires sociaux qui gèrent le régime du chômage dont les recettes sont les cotisations employeurs.

En 2019, les partenaires sociaux n’ayant pu aboutir à un accord ont du passer la main à l’État qui a modifié le système à travers une série de décrets publiés au cours des quatre dernières années.

Donc, en 2023, sur le dossier chômage les représentants des travailleurs et des chefs d’entreprise ont l'opportunité de reprendre leur rôle abandonné mais l’État émet ses conditions qui, aux dires des premières réactions des syndicats, ne sont pas acceptables. La réaction du côté employeurs est plus modérée et ouverte à la négociation mais pas à n’importe quel prix.

 

DE GRAVES ET INTOLÉRABLES MENACES GOUVERNEMENTALES : UN HOLD UP

La faiblesse de l’UNEDIC dans la négociation, c’est sa dette de plus de 60 milliards d’euros garantie par l’État et que l’organisme commençait à apurer avec les cotisations des années à venir où le régime sera excédentaire.

Patatras ! L’État dont les caisses sont vides veut s’emparer d’au moins de 11 milliards d’euros de cotisations à venir. Ce sont sont pourtant les cotisations qui appartiennent aux employeurs et aux salariés.

C’est une tentative d’hold up qui nous rappelle tristement celui qui a été envisagé par Emmanuel MACRON sur les réserves légales des Caisses de Retraite.

L’embellie sur l’Emploi a excité les appétits financiers du Chef de l’État et du Gouvernement dont la gestion des finances publiques a été catastrophique selon l’aveu même du chef de l’État qui doit maintenant rendre compte au monde de la finance, à l’Europe d’une gestion qui a fait passer la dette du Pays au-dessus de 3 000 milliards d’euros : au lieu de faire des économies, l’État trouve plus facile de piocher incognito sur les droits à l’indemnisation du chômage.

INACCEPTABLE !

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1 août 2023 2 01 /08 /août /2023 21:07
DÉPENDANCE : N'OUBLIONS PAS LE DOSSIER

DÉPENDANCE : N'OUBLIONS PAS LE DOSSIER

 

 

 

 

LA DÉPENDANCE LIÉE AU VIEILLISSEMENT : UN DÉFI SOCIAL ET NATIONAL QUI N’INTÉRESSE PAS SÉRIEUSEMENT LES POLITIQUES

 

 

JUILLET 2023 : LE N-IÈME PROJET SUR LA DÉPENDANCE

Depuis plus de 20 ans ...avant les grandes promesses de Nicolas Sarkozy, nos politiciens s’engageaient à traiter le problème social de la dépendance liée au vieillissement.

Depuis plus de 20 ans, le nombre de familles touchées par ce phénomène sociétal connu, irréversible sur le plan démographique, croit régulièrement. ! en 2023, 1,5 million de famille concernées par ce qui est souvent un drame.

1,5 million de familles plus ou moins prévoyantes se trouvent face à des problèmes souvent insurmontables pour prendre en charge un de leur membre victime des conséquences physiques et matérielles liées au vieillissement.

En 2040, ce seront 2 millions de personnes qui seront dépendantes...3 français sur 4 sont inquiets de ce risque.

 

2007/2010 : les espoirs avec le projet SARKOZY

2011 : enterrement du projet SARKOZY du « cinquième risque » géré par la Sécurité Sociale

2018 : reprise du projet SARKOZY par Emmanuel MACRON

2021 : le « cinquième risque » est officialisé : ordonnance du 1er décembre 2021

2023 : les textes s’empilent sans l’élaboration de principes directeurs...du bricolage à coup de milliards d'euros

En 2023, le scandale des EHPAD est venu secouer le panier de crabes des moyens humains et financiers lié à la Dépendance.

Puis, maintenant, il repasse doucement aux oubliettes selon le principe macronien : on ouvre un dossier, on fait un tapage médiatique, on en parle, puis on l’enterre puisque le Président Macron et « son » Gouvernement sont passés à autre chose.

 

RÉSOUDRE LE PROBLÈME DANS SA GLOBALITÉ

Le vieillissement et ses conséquences est un problème humain avant tout. Ce n’est pas qu’un problème de gros sous. C'est le droit à une fin de vie décente qui est en cause avec notre devoir de solidarité.

  • Il y a d’abord un problème humain (vieillir sereinement) et de santé publique (limiter l’enfermement, la solitude).
  • Puis, il y a un problème de statut du personnel soignant pour rendre attractive et valorisante une fonction essentielle du dispositif, une fonction qui demande dévouement exceptionnel et solidarité intergénérationnelle...donc encadrement et formations.
  • Un problème de stratégie basique : ne faut-il pas privilégier le maintien à domicile et adapter le statut des aidants y compris celui de la famille ?
  • Un problème financier : comme le fait remarquer la députée Christine PIRÈS BEAUNE dans son rapport sur le « reste à charge des résidents » des Ehpad. Elle y prône une refonte totale des aides actuelles. Mais il ne faut pas créer un nouveau monstre administratif comme cela se fait avec le « cinquième risque ». Il faut aussi avant tout une prise de position politique avec l’élaboration des mesures favorables au développement de l’assurance volontaire « dépendance ».

Le chantier de la « Dépendance liée au vieillissement » ouvert il y a bientôt 30 ans ne sera achevé que s’il est traité dans la Globalité de toutes ses composantes.

 

LE GOUVERNEMENT N’A PAS LE DROIT DE FAIRE N’IMPORTE QUOI

Lancer une veille de vacances l’idée d’une aide universelle basée sur les revenus est simplement avouer la méconnaissance du problème sa dimension sociale et sociétale ...c’est faire preuve d’incompétence...nous veillerons.

Nous n’abandonnerons pas un million et demi de familles à la technocratie...l’échec des Agences Régionales de Santé ARS devrait faire réfléchir sur la complexité et le côté humain de ce dossier.

Se lancer dans le financement d’un problème sans en avoir étudié, négocié toutes les composantes est un aveu du manque de considération pour nos anciens et leurs familles .

 

Ce n’est pas parce que les personnes frappées par la dépendance et leurs familles ne vont pas descendre dans la rue pour piller, casser, voler ...que le problème de leur vécu souvent dramatique et insupportable doit être traité par-dessus la jambe.

 

 

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11 juillet 2023 2 11 /07 /juillet /2023 09:02
L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE DESTINATION 65 000 HABITANTS !

L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE DESTINATION 65 000 HABITANTS !

 

 

 

 

 

URBANISME : LA DÉMARCHE COMPLEXE DE L’ÉLABORATION D’UN PLAN D’URBANISME UNIQUE POUR TOUT LE TERRITOIRE DE L’AGGLOMÉRATION

 

Rappelons d’abord ce qu’est un PLU (Plan Local d’Urbanisme) qui remplace désormais le POS Plan d’Occupation des Sols qui fixait les règles pour l’urbanisation, la construction...

En 2023, quand il y a Communauté de Communes ou d’Agglomération le PLU devint un Plan Local d’urbanisation Intercommunal donc pour tout le territoire de la collectivité.

Lors de ce début de conseil communautaire de l’Agglomération Les Sables d’Olonne de jeudi dernier tout devait inciter les élus à la réflexion et à débattre des normes qui vont régner pendant deux ou trois décennies sur tout le territoire concerné.

Ce n’est pas la première fois que ce sujet est abordé et la concertation est loin d’être terminée. Nombre d’élus cependant n’ont pas l’air d’avoir conscience du virage qui se prend dans leur circonscription.

Donc pour les élus, pour la population locale, pour les professionnels, ce sujet mérite attention, réflexion et débat.

Ainsi, les Conseils Communautaires particulièrement pour ces options ne doivent pas ressembler à de simples chambres d’enregistrement mais doivent être des lieux de débat qui, avec l’écho qu’en donne la presse, retiendront l’attention non seulement des élus mais aussi celui de toute la population qui est concernée au premier chef.

 

LA FUSION DES PLU DANS L’AGGLOMÉRATION LES SABLES D’OLONNE : TROUVER CONSENSUELLEMENT UN DÉVELOPPEMENT ÉQUILIBRÉ ET MAÎTRISÉ N’EST PAS UNE ÉVIDENCE

C’est cependant une obligation légale incontournable : il faut fondre en un moule unique les particularismes des normes d’urbanisme des trois anciennes villes qui composent la ville nouvelle des Sables d’Olonne avec celles des communes de L’Ile d’Olonne, Vairé, Saint-Mathurin et Sainte-Foy. C’est un travail gigantesque commencé en 2020 et ce n’est pas chose aisée.

Pour cela, il est naturel avant tout pour les élus de fixer les lignes directrices du développement à 10, 20 ou 30 ans !

C’est sauvegarder les acquis du passé et y greffer une dynamique raisonnable

Il faut donc que les 5 communes décident consensuellement et unanimement des lignes de force qui s’imposeront à l’avenir.

 

HORIZON : UNE POPULATION QUI NE DOIT PAS DÉPASSER 65 000 HABITANTS

Un principe de base consensuel est posé et pour l’instant il faut imaginer les moyens à mettre en œuvre pour tenter de limiter la population à 65 000 habitants.

C’est un compromis entre une croissance raisonnable et le maintien d’une certaine qualité de vie.

Quand on constate le développement démographique de ces 20 dernières années sur ce territoire de l’Agglomération ce chiffre de 65 000 est un objectif mais si ce paramètre est souhaitable il faut concrètement admettre qu’il sera difficile à vraiment maîtriser.

Car, dans le projet en cours d’élaboration il faut inclure les contraintes légales et réglementaires par exemple en matière d’habitat, d’énergie, de mobilité, de développement non seulement démographique mais aussi économique et social : fini le chacun pour soi.

Il y a des contraintes connues aujourd’hui mais il y aura aussi de nouvelles contraintes légales à incorporer tout en conservant l’essentiel des objectifs définis.

Tout cela sans figer le développement naturel de chaque composante de l’agglomération

  •  oui au développement économique mais,
  • à condition que l’immobilier suive avec un équilibre social maintenu,
  • à condition de respecter le cadre de vie, les normes environnementales, la densification...

 

GÉRER DES DÉFIS ET DES OBJECTIFS CONTRADICTOIRES : MARIER LE PASSÉ AVEC LE PRÉSENT ET L’AVENIR !

Ainsi, il y a à gérer des objectifs contradictoires : qui nécessitent d’accélérer et de freiner en même temps !

- Une agglomération attractive et vivante à l’année ; cela signifie des équipements, des logements adaptés et accessibles financièrement, le développement culturel mais le tout sans égratigner le patrimoine actuel.

Comment satisfaire les exigences du développement du tourisme sans bétonner ni imperméabiliser plus, en sauvegardant le reste de terres agricoles, des espaces boisés...et prévoir l’impact sur la mobilité...?

- Un développement plus sobre, plus résilient, respectueux :

Préserver le cadre de vie et construire des logements et des équipements consommateurs d’espaces.

Construire une politique résidentielle ambitieuse en faveur des jeunes et des actifs,

Affirmer la dynamique économique du territoire,

Offrir des équipements et des services adaptés à une agglomération de plus de 50 000 habitants.

 

L’AGGLOMÉRATION, ÉLUS ET POPULATION DOIVENT PRENDRE CONSCIENCE DES ENJEUX EXPOSÉS LORS DE CE CONSEIL COMMUNAUTAIRE ET ADHÉRER À UN PLAN QUI SERA PAR DÉFINITION CONTRAIGNANT MAIS PORTEUR D’AVENIR.

Les élus unanimement ont pris acte de ces orientations.

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14 mai 2023 7 14 /05 /mai /2023 21:09
ENCORE UN CADEAU DE SIMPLIFICATION DU MINISTÈRE DES FINANCES (BERCY) !

ENCORE UN CADEAU DE SIMPLIFICATION DU MINISTÈRE DES FINANCES (BERCY) !

 

 

DÉCLARATION DES BIENS IMMOBILIERS À FAIRE AU PLUS TARD LE 30 JUIN 2023

LE SAVIEZ-VOUS ?

 

ENCORE UNE OBLIGATION QUI NE SERA PAS TOUJOURS POUR DES CONTRIBUABLES UNE « SIMPLIFICATION » !

D’abord, c’est une obligation supplémentaire, une nouvelle démarche « imposée » sous la contrainte puisque si la démarche n’est pas réalisée le 30 juin 2023 la sanction sera une amende de 150 euros par immeuble à déclarer !

Deuxièmement, pour les citoyens dotés d’internet, pratiquant habituel ce sera en principe une simple une formalité...mais pour les quidams qui n’ont jamais pu ou voulu mettre les doigts sur le clavier ...ce sera une contrainte agaçante, dévalorisante, blessante, pénible...

"L’excuse" donnée par le Gouvernement est que cette obligation a été décidée par la loi de finances de 2020 qui portait les mesures concernant la suppression de la taxe d’habitation et que, pour de bonnes raison, les services fiscaux ont besoin de cette information... qu'ils doivent déjà avoir !

De plus, précisons que si la taxe d’habitation est supprimée...elle ne l’est pas totalement pour les propriétaires de résidences secondaires et pour les propriétaires de locaux vacants !

 

APPEL À LA SOLIDARITÉ !

Puisque c’est une obligation, essayons de lui donner une connotation solidaire...nous avons tous autour de nous une ou des personnes isolées, en difficultés mais concernées par cette obligation qui se trouveront démunies face à cette nouvelle obligation.

Pour nous, c’est une occasion d’aller au-devant de ces personnes : démarche individuelle ou démarche collective en lien les associations caritatives locales, les collectivités territoriales...

Nous avons vu avec la Covid 19 et le confinement que des gestes spontanés ou organisés  de solidarité ont vu le jour...pourquoi ne pas relancer le mouvement ?

Attention il faut faire vite...nous sommes déjà à mi mai !

 

LA DÉMARCHE

Cette obligation découle donc de la loi de finances 2020...c’est une conséquence de la suppression progressive de la taxe d’habitation

Si, au 1er janvier 2023, vous êtes propriétaire de votre résidence principale vous êtes soumis à une nouvelle obligation déclarative de vos biens immobiliers à usage d’habitation. Tous les propriétaires, qu'ils soient particuliers ou entreprises, ont jusqu'au 30 juin inclus pour effectuer cette déclaration.

Alors que la taxe d’habitation a été supprimée pour les résidences principales à partir de 2023, la Direction générale des Finances Publiques demande à tous les propriétaires d’une résidence principale, secondaire ou d’un logement loué, d’effectuer une déclaration supplémentaire à l’administration fiscale.

L'objectif est de déterminer précisément les propriétaires encore redevables de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires ou de la taxe sur les logements vacants.

.

EN QUOI CONSISTE CETTE DÉCLARATION ?

Cette obligation déclarative concerne tous les propriétaires, particuliers et entreprises, de biens immobiliers à usage d’habitation, et notamment :

  • les propriétaires indivis ;
  • les usufruitiers ;
  • les sociétés civiles immobilières (SCI).

Pour chacun de leurs logements, les propriétaires doivent indiquer à quel titre ils les occupent. S’ils n’occupent pas eux-mêmes le bien, ils sont tenus de renseigner l'identité des occupants et la période d’occupation (situation au 1er janvier 2023).

 

LA DÉCLARATION : LA DÉMARCHE SUR ORDINATEUR

La déclaration est ouverte et accessible depuis le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » du site impots.gouv.fr.

Vous devez au préalable vous connecter à « Votre espace particulier », muni de votre numéro fiscal et de votre mot de passe.

Rappelons que la date limite pour effectuer votre déclaration est le 30 juin 2023 inclus.

 

DONNÉES PRÉ-AFFICHÉES

Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d’occupation connues des services des impôts seront pré-affichées. Ce sera très souvent le cas pour de nombreux contribuables et aussi une occasion de la mise à jour d’informations personnelles des services fiscaux qui ne sont peut-être pas à jour !

Par la suite, seul un changement de situation nécessitera une déclaration.

À savoir : Si vous n'étiez pas encore propriétaire du bien au 1er janvier 2023, c'est alors à l’ancien propriétaire de réaliser la déclaration d’occupation avant le 30 juin 2023.

Tout usager propriétaire, qu’il soit un particulier ou un professionnel (personne morale), peut désormais, à partir de son espace sécurisé sur impots.gouv.fr, disposer d’une vision de l’ensemble de ses biens bâtis ainsi que de leurs caractéristiques (surface, nombre de pièces, nature du local, numéro de lot…), sur tout le territoire.

 

EN CAS DE DIFFICULTÉS...

Retrouvez sur le site www.impots.gouv.fr une  foire aux questions pour réaliser votre déclaration en ligne.

À noter : En cas de difficulté dans l'utilisation du service, vous pouvez contacter l'assistance usagers du service des impôts (de 8h30 à 19h00 du lundi au vendredi) :

  • par téléphone au 08 09 401 401 (service gratuit + prix d'un appel local) ;
  • via votre messagerie sécurisée (depuis votre espace sécurisé).

 

RAPPEL DE LA SANCTION POUR NON DÉCLARATION OU DÉCLARATIONS ERRONÉES

En cas de non-déclaration, d’erreur, d’omission ou de déclaration incomplète, une amende d’un montant forfaitaire de 150 € par bien pourra être appliquée. La déclaration d'occupation et de loyer est une nouvelle obligation prévue par    l’article 1418 du Code Général des Impôts (CGI). Elle est entrée en vigueur en 2023.

 

BON COURAGE À TOUS ET À TOUTES !

Information communiquée sur la base d'un document "service-publique.fr"

https://www.service-public.fr/

 

 

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28 avril 2023 5 28 /04 /avril /2023 14:45
GABRIEL ATTAL, MINISTRE DES COMPTES PUBLICS, LORS DE SA DÉCLARATION

GABRIEL ATTAL, MINISTRE DES COMPTES PUBLICS, LORS DE SA DÉCLARATION

 

 

 

 

ANALYSE D’UNE DÉCLARATION INDIGNE ET INDÉCENTE DU MINISTRE GABRIEL ATTAL

Nous avons retranscrit quasiment in extenso la déclaration Vidéo publiée sur « alertesinfo » en date du 25 avril 2023.

Le Ministre de l'Action et des Comptes publics depuis 2022 est soumis à une obligation de réserve qui, en l’espèce, semble avoir été occultée par Monsieur Gabriel ATTAL.

 

 

EMPÊCHER UN MINISTRE DE CIRCULER SERAIT UNE ACTION VIOLENTE

Gabriel ATTAL, ex socialiste, est Ministre de l'Action et des Comptes publics depuis 2022 et il s’exprime publiquement ainsi :

Il y a de l’inquiétude chez beaucoup de français, de colère chez beaucoup de français...je pense...

 

LES MILITANTS, LES PERMANENTS SYNDICAUX AU PILORI

Il poursuit ainsi :

Après, je fais la part des choses, avec ce que font les militants d’ultra gauche, les permanents syndicaux qui ont des actions qui, parfois font des actions, que je considère comme violente.

Empêcher un ministre ou qui que ce soit de circuler, couper l’électricité dans un quartier ...parfois avec des dommages collatéraux comme un établissement de santé, je considère que c’est des actions qui n’ont plus leur place dans le débat public et dans...y compris dans un moment de tension.

 

CE SONT LES NANTIS QUI MANIFESTENT !

Moi, je fais la part des choses, d’ailleurs ceux qui peuvent se permettre qui ont le temps en pleine semaine, en pleine après-midi d’aller accueillir des ministres pendant 4 heures de 14 à 18 heures ... à priori, ce ne sont pas des français qui travaillent qui ont des difficultés au quotidien pour boucler leurs fins de mois .

C’est pour eux qu’on veut agir et c’est pour eux qu’on veut répondre

 

À PRIORI, POUR LE MINISTRE CEUX QUI VIENNENT MANIFESTER SONT DES PARESSEUX NANTIS

Le dialogue avec ce ministre ne devra pas être facile.

Cette déclaration nous choque énormément et nous vous disons pourquoi ?

 

Le Ministre dit et répète qu’il « fait la part des choses », c’est un comble : stigmatiser, comme il le fait, les représentants syndicaux, les braves et moins braves gens qui viennent  manifester parce qu’ils en ont ras le bol...fait désordre. C’est un manque de recul pour un Ministre.

 

C’est trop facile de jeter l’anathème aux manifestants qui viennent rencontrer un Ministre qui déambule dans une rue en pleine après-midi accompagné de personnalités…ce même ministre ferait mieux de se pencher sur son travail ; le budget, la dette catastrophique...

Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais !...que faisait le Ministre et son escorte dans la rue ?

 

UN MINISTRE DOIT RESPECTER LES REPRÉSENTANTS DES SYNDICATS : LE RÔLE INCONTOURNABLE DES SYNDICATS DE SALARIÉS

Un Ministre ne doit pas  stigmatiser les représentants des syndicats de salariés comme de présumés casseurs. Décrédibiliser par la calomnie les représentants des Syndicats de salariés est une erreur, une faute grave.

En effet, le Ministre devrait se souvenir que les représentants des syndicats de salariés lors de cette crise de la pseudo réforme des retraites, ont permis de canaliser la colère irrationnelle du peuple. Colère que d’ailleurs, il reconnait et accepte dans son propos.

Ces mêmes représentants des syndicats de salariés sont aujourd’hui à la tête des défilés et demain ce seront les mêmes qui seront assis autour la table pour entamer un dialogue nécessaire mais interrompu. Leur fonction sociale est ainsi faite ; un Ministre devrait le savoir.

 Dans un délégué syndical, il y a deux hommes...celui qui est à la tête du cortège contestataire et celui qui s’assied autour de la table des négociations avec la volonté d’aboutir dans les discussions ouvertes.

Nous vous livrons cette réflexion pour enrichir votre week-end.

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11 avril 2023 2 11 /04 /avril /2023 18:21
SOLIDARITÉ

SOLIDARITÉ

 

 

L’ACTION SOCIALE LOCALE MULTI-FORME MÉRITAIT BIEN CELA !

Le monde est aujourd’hui ainsi fait que la place de la solidarité, sous toutes ses très nombreuses formes, publique, privée...devient de plus en plus nécessaire, importante et complexe dans une société dite déstructurée qui laisse de nombreuses personnes, au bord de la route.

La Ville nouvelle des Sables d’Olonne a donc décidé de créer un Pôle Social nommé « Les Sables d’Olonne Ensemble » et de construire un bâtiment d’environ 4 000 m2 situé au sein du secteur de la Vannerie où déjà a été implanté le Pôle Santé et divers organismes à caractère médical ou social.

Ce nouveau pôle social constituera un guichet unique qui a pour vocation de réunir en un seul lieu une pluralité d’acteurs relevant uniquement du domaine médico-social.

Au vu de l’espace conféré à la création de ce Pôle, la ville souhaite une diversité, une cohérence et une complémentarité des structures occupantes.

Divers acteurs non-économiques occuperont ce Pôle tels que : la CAF-CPAM, le CCAS, le Centre médico scolaire, la Maison médicale de garde, la Médecine préventive Les Sables-d'Olonne, Mission locale Vendée Atlantique, CPTS (communauté professionnelle territoriale de santé) et pour Les Sables d'Olonne Agglomération le service prévention séniors...

 

QUINZE PARTENAIRES SOCIAUX : UN REGROUPEMENT SALUTAIRE

LA VILLE DES SABLES D’OLONNE a donc monté le projet ambitieux d’un regroupement des acteurs de l’action sociale du territoire des Sables d’Olonne sur un site unique.

Certains acteurs sont officiellement connus à ce jour et qui sont répartis sur tout le territoire sablais...c’est aussi une réponse aux questions que se posent encore les sablais : " à quoi sert la fusion ?"

Citons :

  • Le CCAS importante « annexe sociale municipale »qui a en charge divers services d’aide sociale, la gestion des établissements pour personnes âgées, les aides financières, la lutte contre l(isolement,
  • Le Service Prévention Senior,
  • Le Guichet Unique de l’Habitat de l’Agglomération où tout un chacun pourra poser ses questions et trouver l’aide pour les dossiers sur toutes questions concernant l’habitat aux Sables d’Olonne : bien nécessaire pour faire face à la complexification des procédures et aides financières liées à l’habitat : habitat « abordable », rénovation, énergie...
  • Le point accueil La Caisse d’Allocation Familiale (CAF) : prestations, droits...,
  • La Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) ; accueil pour les demandes concernant paiements, les remboursements, carte vitale, complémentaire santé, changements de situations...
  • Agence Littorale de VENDÉE HABITAT bailleur social qui y installera une permanence,
  • Le Service de Médecine Préventive des agents de la Collectivité Ville et Agglomération,
  • Le Centre médico-scolaire qui pilote la problématique de la santé et des jeunes scolarisées y compris l’accompagnement des jeunes handicapés, les élèves en difficulté, violence familiale ...,
  • Le Nid des Aidants où se traite « l’aide et le soutien aux aidants »
  • L’UDAF (association qui a pour but l’aide à une politique familiale globale, la protection, l’éducation affective et sexuelle, le conseil familial...,
  • L’ADAPEI ARIA et son Service d’Accompagnement à la Vie Sociale spécialisée en soutien aux personnes handicapées pour leur insertion,
  • L’Association CONTACT : insertion par le travail, offres de prestations au public...,
  • La MISSION LOCALE VENDÉE ATLANTIQUE pour l’insertion des jeunes : emploi, formation, mobilité, loisirs...,
  • Une Maison Médicale de Garde,
  • La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé Littoral Vendéen CPTS qui en lien avec l’ARS pour favoriser l’inclusion, promouvoir les droits, lutter contre les exclusions et valoriser le potentiel de chacune des personnes que la CPTS accompagne.

 

Il s’agit donc d’un très important projet de cette mandature qui est chiffré à 8,8 millions d’euros pour créer un grand service qui sera rendu à la population qui devrait permettre ainsi d’« alléger », au niveau du citoyen, l’inconvénient d’une dispersion d’un nombre important de structures à vocation sociale au sens large.

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22 mars 2023 3 22 /03 /mars /2023 18:10
LE PRÉSIDENT FACE AU DÉFI DU LENDEMAIN DE CRISE : UNE FRANCE NOUVELLE ATTENDUE DEPUIS 2017

LE PRÉSIDENT FACE AU DÉFI DU LENDEMAIN DE CRISE : UNE FRANCE NOUVELLE ATTENDUE DEPUIS 2017

 

 

 

 

LA FRANCE MALHEUREUSE, APPAUVRIE...N’EXAGÉRONS PAS, MAIS QUAND MÊME !

 

S’il y a au moins une chose à retenir de cette crise tous azimuts que nous vivions et qui s’est cristallisée sur la réformette des retraites, c’est le très fort mécontentement des français.

Tout cela est relatif. Mais le Président MACRON réussit l’exploit de leur faire oublier la chance qu’ils ont encore de vivre en France.

Les Français se sont laisser submerger par toutes les foucades, par toutes les marques de mépris que leur adresse leur président, par toutes les injustices qu’il institue, par toutes les négligences qu’il commet et qui leur pourrit la vie : santé, éducation, sécurité, justice, opacité de la transparence promise...

Certes, tout cela n’est pas grand-chose par rapport à tous les malheurs qui frappent de nombreux pays sur tous les continents et qui dépassent de loin les petits et réels sentiments de peur, de gâchis, d’injustices ressentis par les citoyens français qu’ils mettent sur le dos d’un Président qu’ils n’aiment plus.

Quand on est avec ostentation le Président des riches, les millions de pauvres ne peuvent que ressentir de l’amertume et des aigreurs à l’encontre de celui qui avait promis une France nouvelle.

Chaque catégorie sociale a été déstabilisée par la politique ou l’absence de politique du Président MACRON qui a eu le grand tort de monopoliser le pouvoir encore plus que ses prédécesseurs. Le cumul des pouvoirs par un homme en démocratie entraîne sa mise en cause personnelle dans tous les échecs.

On ne se moque pas impunément de son peuple.

 

LES DEUX QUINQUENNATS MACRON

Quand les français ont voté pour le jeune et fringant candidat Emmanuel MACRON en 2017 ils ont voté pour un programme « RETROUVER NOTRE ESPRIT DE CONQUÊTE POUR BÂTIR UNE France NOUVELLE... »...document (ci-dessus).

Le premier quinquennat a allié la crise sanitaire mal gérée et un immobilisme de l’État qui a été ressenti comme une duperie : rien ne bougeait et le pays s’enfonçait dans le « déclassement » .

Les citoyens ont commencé à ressentir le MÉPRIS présidentiel pour son peuple. Le changement annoncé fut un désenchantement si bien et si mal exprimé par les Gilets Jaunes. Le Pouvoir croyait qu’il pouvait se passer du Parlement, des Syndicats, du peuple, des élus...

Le premier quinquennat fut donc le quinquennat de la déception.

Désormais ce fut la totale défiance du peuple qui s'installait à l'encontre de tout le pouvoir en place.

Ce fut maintenant le deuxième quinquennat débutant où est constaté que rien ne change pour ne pas dire que le « nouveau » pouvoir est encore plus méprisant que le précédent et que les citoyens s’unissent contre un homme leur Président.

L'exercice de son pouvoir continue à gâcher les atouts du pays France : C’est une France humiliée où, en réaction, le citoyen se recroqueville sur lui-même puisqu’on ne lui donne pas l’espoir et les moyens de rebondir alors que la guerre est à ses portes, que les services publics s’effondrent (Santé, Sécurité, Éducation, Finances...)

Une déception au niveau individuel et collectif se digère sauf s’il n’y a rien du beau et du bon qui se profile à l’horizon

 

UNE LEÇON À MÉDITER

Les actifs et activistes qui ont eu pour des raisons très diverses voire opposées le courage de descendre dans la rue sans trop savoir pourquoi sont l’expression d’un malaise français multiformes.

Le Pouvoir enfermé dans sa Tour d’Ivoire nommé ÉLYSÉE-MATIGNON, cœur de Paris et de la France , ne veut pas tenir compte de cette situation.

Aussi, nous nous permettons de vous indiquer ci-dessous le lien des extraits d’un article limpide frappant paru des Échos de ce mardi 21 mars.

« Comment lutter contre l’appauvrissement français sous-titré ainsi :

En laissant notre territoire se désindustrialiser, nous avons fait le choix d'une économie de services où les salaires sont bas, les compétences limitées et la productivité faible. Un cocktail qui explique l'appauvrissement des ménages français

https://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/comment-lutter-contre-lappauvrissement-francais-1917532#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=idees2_edito&utm_content=20230321&xtor=EPR-6060-[20230321]

Nous allons assister au retour des promesses avec le « dossier » Travail qui était tellement présent dans la grogne qui s’est répandue dans la rue. Le Président MACRON a parachevé comme Ministre des finances puis Président la grande braderie des fleurons de l’Industrie française et là-dessus...on ne vous a pas tout dit !

Alors, comment le même Président avec une économie très affaiblie pourra-t-il dans un contexte politique démagogique qui promeut le "non-effort" redonner aux français goût au travail avec une feuille de paye plombée par les charges sociales du modèle social français inébranlable?

 

 

 

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