Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Recherche

12 janvier 2023 4 12 /01 /janvier /2023 23:08
LE TERRITOIRE DE L'AGGLOMÉRATION DES SABLES D'OLONNE

LE TERRITOIRE DE L'AGGLOMÉRATION DES SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

LE CAS DU SCoT DES SABLES D'OLONNE "AGGLOMÉRATION"...LA CONCERTATION À LA PEINE

Suite de :

https://www.olonnes.com/2023/01/les-sables-d-olonne-le-scot-de-l-agglomeration-l-elaboration-d-un-carcan-necessaire-suite.html

Repartons de l'existant ...le territoire des Sables d'Olonne se compose des communes des Sables d'Olonne (regroupant les Sables d'Olonne, Olonne-sur-Mer et Château d'Olonne), de Vairé, de Sainte-Foy, d'Ile d'Olonne et de Saint-Mathurin. Ceci représente bien un territoire, un bassin d'emploi d'environ 56 000 habitants qui regroupe les deux anciennes communautés de communes rejointes par la commune de Saint-Mathurin.

Chacune de ces communes a son plan d'urbanisme avec des normes logiquement différentes les unes des autres en matière d'urbanisme.

Il est donc maintenant nécessaire et obligatoire pour les Sables d'Olonne Agglomération pour être en conformité avec  la législation concernant l'urbanisme d'établir un SCoT fixant les principes et les normes d'urbanisme pour son territoire. Nous reprécisons que ces normes s'appliqueront à l'urbanisme de toutes les composantes du territoire de l'Agglomération des Sables d'Olonne.

 

LES GRANDS PRINCIPES POSÉS ET LES CONTRAINTES POUR SAUVEGARDER LES ÉQUILIBRES FRAGILES : DÉMOGRAPHIE, ZONES CONSTRUCTIBLES, SERVICES PUBLICS ADAPTÉS AUX DONNÉES NOUVELLES, DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE...

Il faut retenir de cette présentation faite le 5 janvier 2023 que le SCoT est un document de planification et d'aménagement du territoire qui fixe les normes d'urbanisme pour les 20 prochaines années . 

Ainsi, il faudra trouver, par exemple, un  équilibre entre la forte demande en matière de résidences secondaires par rapport aux résidence à l'année.

Il faut aussi prendre en considération les mesures "écologiques" concernant les déplacements, les espaces verts, le patrimoine à protéger, les économies d'énergies...

Il y a des chiffres qui font peur. 

Alors que la population actuelle sur l'Agglomération est de 56 000 habitants, elle ne devrait pas dépasser les 65 000 en 2040 soit une augmentation de 9 000 habitants. Or, actuellement la seule ville des Sables d'Olonne a une augmentation moyenne de 500 habitants par an...cela fait  "statistiquement" 10 000 habitants de plus pour les 20 ans à venir...Si on ajoute à cette donnée la forte croissance des 4 autres communes retro-littorales... faudra-t-il déjà contingenter la venue de nouveaux habitants et comment faire?

Pour le  foncier constructible, il faudra densifier les constructions pour ne pas consommer trop d'espace.

Pour la période 2020/40, il faudra un minimum de 30 logements par hectare pour le secteur des Sables d'Olonne et 21 logements par hectare pour le rétro-littoral. Comment cela pourra-t-il être suivi et contrôlé ?

La consommation d'espace pour l'urbanisation sera donc ainsi limitée...la planification devient ou peut devenir ainsi coercitive pour respecter les objectifs fixés !

Avec ces deux exemples on peut bien imaginer combien les citoyens doivent se sentir concernés et réagir, proposer...

 

LA CONCERTATION EN COURS : L'ESSENTIEL EST DE PARTICIPER ?

La première présentation publique du projet a donc été faite le 5 janvier 2023, dans la salle Gargamoëlle (quartier de Château d'Olonne).

Est-ce la date qui fut mal choisie ? Est-ce la communication sur cette réunion que nous jugions importante mais qui n'a pas été suffisante ? Toujours est-il que le public concerné (tous les citoyens) n'était pas au rendez-vous..le public composé des  élus, du personnel de l'agglomération et des citoyens  n'a pas atteint les 50 personnes...même les élus de l'Agglomération ont brillé par leur absence.

L"Agglomération 56 000 habitants concernés par ce SCoT...20 à 30 présents pour cette présentation, c'est peu, très peu...la concertation élus citoyens n'est pas encore vraiment entrée dans les mœurs. 

Cette présentation a été faite par la Société Futur Ouest qui participe à l'élaboration des projets. Un document tés aisément compréhensible est maintenant consultable avec le lien c ci-dessous :

https://fr.calameo.com/read/0053312500d0f43a800c8

Chacun peut ainsi juger en quelques minutes de l'importance du SCoT pour l'avenir du Pays des Olonnes.

La concertation SCoT se poursuit donc jusqu'à mi-février et tous les citoyens peuvent s'exprimer sur le projet.

Il reste donc un mois aux citoyens pour se manifester !

Vous pouvez déposer vos observations à l’adresse suivante  : revision.scot@lsoagglo.fr

 

 

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2023 3 11 /01 /janvier /2023 19:02
SCHÉMA CONTRAIGNANT QU'IL NOUS FAUDRA INGURGITER, ADOPTER ET S'Y PLIER

SCHÉMA CONTRAIGNANT QU'IL NOUS FAUDRA INGURGITER, ADOPTER ET S'Y PLIER

 

 

 

UNE LOURDE MACHINE ADMINISTRATIVE CONTRAIGNANTE SE MET EN MARCHE

Suite de

https://www.olonnes.com/2022/12/urbanisme-participons-aux-demarches-d-evolution-de-notre-scot.html

Le chemin sera long à parcourir pour les techno-spécialistes, les élus et les citoyens "démobilisés et désarmés" qui verront les règles d'urbanisme les cognant bousculées peut-être dans un sens insoupçonné par tout un chacun.

Or, dans sa vie, tout citoyen, un jour ou l'autre sera confronté aux règles qui régissent l'urbanisme de son lieu de vie ou pour des tiers (surtout pour les professionnels BTP au sens large) donc il croisera les nouvelles normes imposées par un SCoT.

Tout permis de construire devra être conforme aux normes fixées par le SCOT...(Schéma de Cohérence  Territorial). C'était déjà la règle mais le champ d'application des règles d'urbanisme va s'étendre et se complexifier (voir la définition officielle ci-dessous, l'impact de l'écologisme...).

Le SCoT c'est un schéma de cohérence et non un schéma "coercitif" territorial. Même si l'objectif et l'intention sont apparemment bons : l'interdiction de faire n'importe quoi sur notre planète ce sont de nouvelles contraintes ! tant au niveau des institutions qu'à celui du citoyen. Pour nous protéger, il va donc  falloir souffrir.

Ainsi, pour la mise à jour ou la création d'un SCoT, il faut que la collectivité territoriale compétente fasse la synthèse de l'existant sur son "territoire" en matière d'urbanisme et y incorporer les nouvelles obligations (voir ci-dessous): c'est une opération très complexe.

Pour ce faire, la nécessaire concertation citoyenne sera donc  très lourde...et pour un citoyen prendre connaissance du dossier SCoT, PLU, permis de construire pour ce qui le concerne en matière d'urbanisme ou pour ce qui concerne ses proches sera en fin de compte "réservé" aux initiés...et il y aura des surprises bonnes et mauvaises pour toute personne qui sera ainsi concernée par une opération visée par le SCot.

Elle sera confrontée pour une opération soumise, par exemple, à dépôt de permis de construire aux règles édictées par le SCoT.

C'est dire si les citoyens qui sont tous appelés à donner leurs avis sur le SCoT ils ont intérêt à participer à cette élaboration de "leur" ScoT .

 

LA CONCERTATION JUSTIFIERA LA COERCITION,  À JUSTE TITRE ?

Le schéma qui illustre ci-dessus cette parution est simpliste mais clair : l'élaboration d'un SCoT c'est l'interdiction de faire n'importe quoi même sur son propre bien immobilier. Une forme d'atteinte au droit de propriété mais aussi un moyen de défendre notre "terre". C''est soit-disant pour le bien commun et c'est ainsi la loi qui impose la création et la généralisation des SCoT.

Ce n'est pas une novation ...le SCoT, le PLU, le permis de construire ou la simple autorisation de travaux chez soi sont déjà soumis à des règles plus ou moisons respectées ou contournées que ce soit par les institutions ou par le particuliers.

Donc, en résumé, le SCoT est un outil juridique qui fixe des règles dont les objectifs sont multiples et contraignants. Ainsi le législateur qui a imposé la généralisation des SCoT a aussi imposé l'obligation pour la collectivité responsable de faire une large consultation citoyenne.

Cela signifie en "résumé" des normes nouvelles, des objectifs seront mis en place avec la collaboration des citoyens...ceux-ci peuvent faire part de leurs observations sur le projet mais après cette phase de consultations et vote de la ou des collectivités concernées c'est le Préfet qui rend exécutoire le SCoT.

 

LA DÉFINITION OFFICIELLE DU SCoT

 

Reprenons la définition officielle du SCot :

"Les schémas de cohérence territoriale (SCoT) sont des documents de planification stratégique à long terme (environ 20 ans) créés par la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) en décembre 2000, dont le périmètre et le contenu ont été revus par l’ordonnance du 17 juin 2020 de modernisation des SCoT, afin d’être adaptés aux enjeux contemporains."

Le périmètre du SCoT doit tendre aujourd’hui vers l’échelle d’une aire urbaine, d’un grand bassin de vie ou d’un bassin d’emploi, cette inflexion vers le bassin d’emploi est ainsi affichée clairement dans le SCoT rénové, ainsi que la prise en compte du bassin de mobilité.

Le SCoT est destiné à servir de cadre de référence pour les différentes politiques sectorielles, notamment celles centrées sur les questions d’organisation de l’espace et d’urbanisme, d’habitat, de mobilités, d’aménagement commercial, d’environnement, dont celles de la biodiversité, de l’énergie et du climat...

Il permet d’établir un projet de territoire qui anticipe les conséquences du dérèglement climatique, et les transitions écologique, énergétique, démographique, numérique...

95 % de la population française est "couverte" par un SCot (existant ou en cours d'élaboration ) ...nous sommes tous bien concernés !

Cela devrait au niveau de la concertation collectivités/citoyens/professionnelles entrainer un vaste mouvement de mobilisation. Mais nous craignons fort que, dans le contexte actuel, notre vision de cette mobilisation citoyenne soit une illusion ou une occasion de perdue d'une vraie pratique démocratique locale. Nous verrons bien comment cette participation citoyenne se réalise et comment elle pésera sur la définition des régles imposées par le SCoT

 

À SUIVRE :

LE CAS DU SCoT DES SABLES D'OLONNE "AGGLOMÉRATION"...

Partager cet article
Repost0
10 janvier 2023 2 10 /01 /janvier /2023 15:58
"BÂTIR UNE FRANCE NOUVELLE" ! LE PRÉSIDENT PRISONNIER DU POUVOIR ET DE LA FRANCE INGÉRABLE

"BÂTIR UNE FRANCE NOUVELLE" ! LE PRÉSIDENT PRISONNIER DU POUVOIR ET DE LA FRANCE INGÉRABLE

 

 

 

LE CITOYEN EST DEVENU UN SPECTATEUR PASSIF, RESPONSABLE DU NAUFRAGE DE LA France

 

Nous pouvons et devons citoyennement critiquer le Chef de l’État actuel dans ses errances même si « Errare humanum est ».

Mais est-il seul responsable de la décadence actuelle de la France ?

Certes, effectivement, il a sa grande part de responsabilité, puisqu’en se présentant en 2017 avec un programme prometteur, il a accepté l’héritage de ses prédécesseurs et qu’il a tout fait ce qui était de son pouvoir pour manipuler les français afin d’accéder à cette fonction de Président de la République.

Ministre de l’Économie en 2014, il ne pouvait ignorer la tâche qui l’attendait et l’état et le mode de fonctionnement des institutions de la France.

Oui, il porte une lourde et double responsabilité : il a fait des promesses qu’il n’a pas tenues et il n’a pas géré la France pour bâtir la « France nouvelle » promise (voir illustration ci-dessus) .

Mais nous tous, le petit peuple râleur, devons aussi faire notre auto-critique...nous l’avons élu et réélu. Il fallait au peuple souverain, de qui tout pouvoir est issu se faire entendre, ne pas élire des députés fantoches, user et abuser des droits et devoirs du citoyen pour le chasser des ors du Palais Élyséen.

Mais le Président actuel  n'est pas le seul coupable car, nous tous citoyens, depuis des décennies, avons accepté et élu des Présidents qui n’ont pas porté la grandeur de la France.

Ce furent des tout petits, ivres d’honneurs, parfois même sans foi ni loi, comme François MITTERRAND, François HOLLANDE, Nicolas SARKOZY et même Jacques CHIRAC et Valéry GISCARD D’ESTAING. Ils ont usé et abusé de leur Cour de cireurs de bottes, ramasseurs de miettes de pouvoirs volés au peuple.

Certes, nos anciens Présidents avaient eu l’intelligence de comprendre que la France était ingouvernable mais ils n’ont rien fait pour la rendre gouvernable et pire, ils se sont accrochés au pouvoir et même parfois ils en ont redemandé ! Ils ont pris leur part du gâteau que la démocratie leur offrait et en revoulait.

Ainsi, peut-on aisément comprendre que la démocratie à la française fasse rire POUTINE et ses sbires et ses confrères dictateurs africains, sud-américains, asiatiques. 

Nos derniers Présidents ont pu prendre le peuple français en otage et le peuple s’est laissé berner. Il faut être conscient de cette situation et réagir.

 

LE PEUPLE FRANÇAIS SE DOIT DE SE RÉVEILLER ET SE METTRE VRAIMENT « EN MARCHE » POUR RÉCUPÉRER SON POUVOIR :  LE POUVOIR DU PEUPLE SOUVERAIN

La France déborde de grands serviteurs de l’État mais ils n’ont aucune chance d’accéder à la fonction suprême car ils ont ou étaient humbles, honnêtes, pas avides du pouvoir pour le pouvoir. Ils ne sont ou n’étaient ni manipulateurs, ni menteurs, ni..

Ils étaient et sont simplement des personnalités compétentes, exploitées et  dévouées à la chose publique.

 Ces grands serviteurs de l’État étaient honnêtes et attendaient des jours meilleurs où le peuple français dirait NON au système oligarchique mis en place et reprendrait le pouvoir, son pouvoir confisqué par cette oligarchie énarchique destructrice des richesses et vertus tant jalousées du Pays France.

Nous espérons cependant que ce réveil du peuple sera pour 2023 ! 

Le Tribunal Populaire est habilité à juger ceux qui ont confisqué le droit du peuple et le pouvoir.

Pour que l’espoir renaisse pour les français d’abord mais aussi pour tous les peuples qui attendent de la France qu’elle redevienne la France...le citoyen français avachi dans un pseudo confort acceptant qu’il y ait dans son pays des millions de « pauvres », des inégalités insupportables, des services publics dégradés...doit avoir le sursaut salutaire pour redresser et imposer une France exemplaire, créatrice et courageuse.

 

CE N’EST PAS IMPOSSIBLE EN 2023 !

 

Partager cet article
Repost0
5 janvier 2023 4 05 /01 /janvier /2023 16:03
2017 UN BEAU PROGRAMME ET SURTOUT DES PROMESSES NON TENUES ET SOUVENT INTENABLES : LE PEUPLE TROMPÉ

2017 UN BEAU PROGRAMME ET SURTOUT DES PROMESSES NON TENUES ET SOUVENT INTENABLES : LE PEUPLE TROMPÉ

 

 

 

GOUVERNER, C’EST PRÉVOIR !...  « POUR UNE France NOUVELLE »

 

« Qui aurait pu prédire la crise climatique aux effets spectaculaires encore cet été dans notre pays ? », a osé déclarer le Président de la République.

De la part du Chef de l’État qui avait fait de la lutte contre le réchauffement climatique un de ses chevaux de bataille, cette phrase en a choqué plus d’un.

Il est vrai que le besoin qu’il avait pour sa réélection de cueillir des voies de droite, de gauche et écologiques fait du Chef de l’État maintenant privé d’une majorité et aussi sans programme un opportuniste et non un guide de la Nation.

Il ne sait pas ou ne veut pas regarder devant, prévoir.

La relecture de son programme de 2017 (voir illustration ci-dessus) , ses changements de cap, l’abandon de ses promesses font d’Emmanuel MACRON un Président qui ne peut montrer le chemin de l'espoir à son peuple qui traverse crise après crise des souffrances réelles et si profondes constatées par un taux de paupérisation qui est désespérant pour un pays qui est considéré comme riche.

Cette paupérisation et ces injustices vont aller croissant en 2023 avec la crise de l’énergie, l’inflation, les crises liées à l’immigration, à l’insécurité, celle de l’hôpital, et celles des travailleurs et producteurs de richesses nationales étranglés.

Voir notre article récent « 10 millions de pauvres » :

https://admin.over-blog.com/934384/write/187035815

 

LE TRAIN DE VIE DE L’ÉTAT ET DE SON PRÉSIDENT SONT INSUPPORTABLES FACE À UN PEUPLE DÉMORALISÉ : AH, ÇA IRA, ÇA IRA !  

Le Président de la République mène un grand train de vie.

Certes, les voyages forment la jeunesse mais ils finissent par détruire les Présidents en leur cachant la réalité de la souffrance d’un peuple oublié. Ou alors c'est une fuite du Président qui ne veut pas croiser dans la rue la réalité.

Le Président MACRON ne voit pas la grande misère et la grande peur que ressent son peuple.

Comment ainsi peut-il prévoir si, déjà, il ne voit même pas la dure réalité vécue par le grand nombre de ses concitoyens ? Il court après des réalités cruelles qu’il n’a pas été capable d’anticiper malgré les appels au secours et autres mises en garde qu’il ne sait pas écouter.

Lui qui avait promis des milliards d’économies de fonctionnement de l’État, il laisse les hôpitaux crouler dans la misère, des services publics décadents ...en France, aujourd’hui, on meurt dans les couloirs des services d’urgence !

On passe d’un peuple français qui rouspétait mais qui vivait à un peuple anxieux, appauvri, déboussolé.

Si l’on additionne les peurs et les colères que le Président ne voit plus, la France se réveillera sous peu et le peuple uni par ses colères chantera comme en 1790 « ah ! ça ira, ça ira, ça ira... » et l’on sait où cela mène quand le peuple français se réveille.

La juste colère ne se maitrise pas...le peuple français est « en marche » mais plus derrière son Président.

Ce peuple génial, généreux, inventif, travailleur, fantasque, démobilisé est maintenant parti sournoisement pour assouvir ses colères pour obtenir un vrai changement pour plus de justice, plus d’égalité, plus de solidarité, plus de sécurité, plus de fraternité.   

S’il n’est pas trop tard, il appartient encore au Chef de l’État de redonner vite, très vite la parole à son peuple et de trouver l’homme ou la femme ou le groupe d’hommes et de femmes réalistes, honnêtes qui écouteront le peuple français et lui donneront l’espoir de « bâtir un France nouvelle » (objectif gravé dans le marbre de la déclaration...du Président MACRON en avril 2017 !) (voir illustration ci-dessus)

 

C’est cela l’espoir pour 2023 !

 

 

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2023 1 02 /01 /janvier /2023 16:01
 VŒUX DE VOTRE ASSOCIATION CITOYENNE CACO

 

MERCI, MONSIEUR JEAN JAURÈS, POUR CES VŒUX CITOYENS TOUJOURS D’ACTUALITÉ !

 

Après avoir écouté les vœux du Président et les nombreux commentaires qui en ont été faits nous nous pouvons rappeler deux sentences de Jean Jaurès :

 

« Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l'avenir. »

Il y a dans notre France, sur les problèmes vitaux, une inertie de la pensée, une somnolence de l'esprit qui nous exposent à toutes les surprises jusqu'au jour où se produisent ces lumineux réveils qui viennent heureusement, quoique à de trop longs intervalles, sauver notre pays.

 

Oui, maintenant, Monsieur le Président EMMANUEL MACRON , vous avez face à vous qui êtes le Président de tous les français, une France désunie, défigurée composée au moins de deux catégories de citoyens les taiseux et les coléreux :

  • Ceux qui s’enferment dans leur égoïsme et l’indifférence totale pour la chose publique et qui n’espèrent rien de leur pays et de l’Europe,
  • Ceux qui espèrent et qui sont ceux qui en ont marre de la repentance, des discours-promesses jamais tenues qui remplacent l’action courageuse.   

Que 2023 soit l’année du réveil citoyen, celle du courage d’entreprendre, celle de la liberté, de l’égalité (et non de l’égalitarisme), celle de la rigueur et du patriotisme et celle de la fraternité.

La France de 2023 n’a surtout pas envie de rougir de son passé, elle a l’envie de demeurer face au monde la France éternelle fière d’elle à juste titre, riche et courageuse de son passé et de son avenir.

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2022 4 29 /12 /décembre /2022 12:32
UNE GRÈVE OÙ IL FAIT MEILLEUR DE VIVRE QUE SUR LA PLACE DE GRÈVE DE PARIS ANCIEN PORT OÙ L'ON PENDAIT HAUT ET COURT

UNE GRÈVE OÙ IL FAIT MEILLEUR DE VIVRE QUE SUR LA PLACE DE GRÈVE DE PARIS ANCIEN PORT OÙ L'ON PENDAIT HAUT ET COURT

 

 

 

 

LE  DROIT DE GRÈVE CONTESTABLE ET INGÉRABLE

Les faits récents incitent donc à se poser la question du devenir du pseudo « droit » de grève ?

En effet, lors de la dernière grève de la SNCF lancée au moment des fêtes de Noël 2022 et après la tournure qu’a prise ce diffus conflit social au niveau d’une « entreprise nationale » il appartient aux citoyens de penser et repenser la notion de grève qui est en contradiction avec la sacrosainte notion de continuité du service public. Il faut aussi penser et repenser la notion de l’État employeur responsable d’innombrables grève préjudiciables à l'intérêt général du Pays.

Nous allons donc, chers amis lecteurs et en plus citoyens, vous entrainer une nouvelle fois dans une réflexion qui, nous l’espérons, vous aidera à fonder votre jugement en allant en delà des clichés et proclamations diverses fantaisistes répandues par les médias.

Cette réflexion que nous entreprenons ira donc bien aussi au-delà des "yakas ...son objet est infiniment plus complexe...il y a des salariés privilégiés qui peuvent faire grève souvent le vendredi ou les veilles de pont pour un Oui pour un NON  ;  il y en a qui n’ont même pas statutairement  le droit de faire grève ! Il y en a qui peuvent se permettre de faire grève tout en ayant d’une manière ou d’une autre le maintien de leur rémunération pendant leurs jours de grève donc de non-travail ! Or, le salaire est simplement la contrepartie de la fourniture de la prestation due par le salarié...il y en a qui ne font jamais grève...

Pour complexifier le problème d’un « droit » unique il n’est pas le même pour tous...il y a au moins deux catégories de bénéficiaires de ce droit : les grévistes du secteur public et ceux du secteur privé !

 

RAPPEL JURIDIQUE SIMPLIFIÉ SUR LE DROIT DE GRÈVE

Contrairement à ce qui a pu être dit et écrit ce n’est pas un droit vraiment reconnu par la Constitution.

Ce n’est pas un droit individuel fondamental. En effet,  c’est un droit individuel qui s’exerce collectivement ...magnifique définition qu’il fallait inventer !

En France, dans les textes, le droit de grève est un droit dit « à valeur constitutionnelle ». Donc de valeur contestable. Il fait partie des droits et devoirs accordés dès 1946 (alinéa 7 du préambule de la Constitution de 1946) repris par la Constitution de la Ve République mais sous cette forme :

« Le droit de grève s'exerce dans le cadre des lois qui le règlementent »...comme le droit au travail et la protection contre le chômage (Article 23 de la Déclaration des Nations Unies de 1948 )...un droit oui mais réglementé voire même interdît ou impossible pour  certaines catégories socio-professionnelles !

C’est logique, car il y a dans l’exercice du droit de grève des limites à poser pour protéger les citoyens, par exemple, des risques encourus par les malades dans les cas de coupures volontaires du courant électrique.

Grave problème : aucune loi et ni règlement ne sont venus réguler ou encadrer sérieusement l’exercice du droit de grève pour tous...d’ailleurs est-il régulable ? Quand c’est « la base » et non un ou des syndicats officiellement reconnus qui prennent l’initiative d’arrêter le travail quel sera alors le moyen pour « l’employeur » de se choisir ses interlocuteurs pour sortir de l’impasse d’un conflit social, pour sanctionner ou faire sanctionner une grève illégale ?

C’est bien la preuve que le législateur convié par la constitution à encadrer ce droit a été certainement, par réalisme et ou par calcul politique, dans l’impossibilité d’élaborer des textes reconnaissant l’exercice d’un droit mais aussi l’encadrant en précisant les modalités d’exercice de ce droit.

La grève, c’est simplement le constat d’un échec...entre l’employeur et les salariés d’une structure qui n’a pas trouvé les moyens de négocier un accord sur leur différend.

Mais ce qui est sûr c’est que, quand il y a un conflit social, il faut qu’il y ait une structure qui permette une sortie de crise satisfaisante. Mais comment, où, avec qui ?...Il y a un début de réponse que nous vous livrons ci-dessous ...

 

PUISQU’IL Y A UN DROIT...IL Y A RISQUE D’ABUS DE DROIT...DE GRÈVE

Or, l'abus de droit est le fait, pour une personne, de commettre une faute par le dépassement des limites d'exercice d'un droit qui lui est conféré, soit en le détournant de sa finalité, soit dans le but de nuire à autrui.

Maintenant les juges et les lois ont précisé et étendu sans cesse  la notion d’abus de droit ...tous les droits sont susceptibles d’abus donc peuvent donner droit à réparations voire à sanctions pénales.

Avec l’extension à l’infini des droits des individus (droit au logement, droit au chômage, droit au travail, droit de mettre fin à la vie de ses congénères, droits d’avoir des enfants...) il y a pléthore de lois, règlements et jurisprudences qui encadrent les droits ...c’est une fuite en avant ; plus il y a de droits plus il y a de règles pour limiter l’exercice des droits. C’est le progrès de notre civilisation universalisée.

D’ailleurs, pour revenir en France, les limites des droits et libertés sont ainsi définies dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 incluse dans la Constitution française  de 1958 :

Article 4

La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article 5

La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

Facile à écrire aujourd’hui mais difficile à mettre en application !

 

À SUIVRE

LE DROIT DE GRÈVE POURRA-T-IL SURVIVRE AUX ABUS DE SON USAGE ?...à méditer lors de l'élaboration de nos voeux et résolutions pour 2023 !

 

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2022 2 20 /12 /décembre /2022 22:55
LA VOTATION AUX SABLES D'OLONNE

LA VOTATION AUX SABLES D'OLONNE

 

 

L’OBJET DE CETTE VOTATION, LOIN DE TOUT FORMALISME, RENFORCE LA  DÉMOCRATIE LOCALE

Voir :

https://www.olonnes.com/2022/12/les-votations-aux-sables-d-olonne-un-exemple-de-l-expression-de-la-democratie-locale.html

Compte tenu de nos précédentes parutions nous parlerons non pas en termes juridiques (référendum, consultation, pétition) ... mais avec le langage neutre utilisé par le Maire « votation » à la française au-delà de tout formalisme et non à la suisse.

Rappelons qu’en fin novembre 2022 il fut proposé aux Sablais (résidents secondaires compris) 4 questions qui touchaient leur quotidien et leur avenir.

Les objets de ces questions touchaient des secteurs très divers et d’une importance très inégale :

  • Fermeture temporaire d’une des 3 piscines de la ville,
  • Extension de l’interdiction de fumer sur les plages sablaises,
  • Fibre : Sanctionner Orange pour ne pas avoir tenu ses délais,
  • Création d'un parc éolien en mer visible depuis la plage.

 

LES RÉSULTATS GLOBAUX DE LA VOTATION : 3737 VOTANTS

Contrairement aux autres « votes » il n’y avait pas de listes d’inscrits. Pouvaient participer non seulement les 40 000 électeurs des Sables d’Olonne mais aussi les « résidents secondaires ».

Le résultat communiqué par la Mairie des Sables d’Olonne donne 3737 votes comptabilisés après vérifications.

  • Sur la fermeture de la piscine durant 4 mois : 2893 votes favorables,
  • Sur l’interdiction de fumer sur l’ensemble des plages urbaines des Sables d’Olonne : 3282 votes favorables,
  • Sur les sanctions à infliger à Orange pour ne pas avoir tenu ses promesses de délais d’installation de la fibre : 2716 votes favorables,
  • Sur la construction d’un parc éolien en mer visible depuis la plage : 2454 votes défavorables (NON)

 

UNE VOTATION À PORTÉE LIMITÉE MAIS UN PREMIER TEST FORT DE DÉMOCRATIE LOCALE

3737 VOTANTS C’EST PEU ET C’EST BEAUCOUP

« Peu » par rapport à la population concernée (estimation : 70 000 personnes)

« Beaucoup » par rapport au type de votation, sans campagne, sans enjeux immédiats réels,

« Beaucoup » par rapport aux enjeux lointains ou pas immédiats suivant les questions,

« Beaucoup » par rapport au degré d’une pratique citoyenne qui n’est pas coutumière et surtout pas personnalisée...les citoyens ne votaient pas pour ou contre une personne,

« Beaucoup » par rapport à la participation citoyenne habituelle lors de ces « votations consultations »  

L’enjeu n’était pas ambitieux mais il comportait cependant des risques pour le maire initiateur de la procédure. C’était sa promesse électorale et il la tient malgré un contexte peu favorable à la mobilisation citoyenne et à la complexité du vote.

En effet, la « votation » ne pouvait porter sur des questions polémiques ou mêmes politiques. Elle n’engageait pas le maire et sa majorité, ne revenait pas sur des projets décidés, ni sur d’autres projets en cours ou simplement évoqués.

Elle n’était pas pour le maire qui a pris le risque de l’organiser un enjeu personnel comme le sont trop souvent les referendums où le citoyen vote non pas sur la question posée mais sur l’opinion que le citoyen se fait de son auteur. Le maire et sa majorité sont à juste titre et par prudence restés neutres. Ils n’ont pas tenté d’influencer le vote.

 

LE RÉVEIL DE L’ESPRIT CITOYEN PEUT PASSER PAR L’EXPRESSION DE LA DÉMOCRATIE LOCALE

Le désintérêt du citoyen pour la chose publique devient très inquiétant. Il ouvre la porte à l’anarchie, à la violence révolutionnaire des minorités agissantes...Les députés cherchent donc les moyens de réveiller l’esprit citoyen en tentant de « REMETTRE LES CITOYENS AU CŒUR DU DÉBAT PUBLIC »

Voir le dernier texte daté du 16 novembre 2022 : « RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION DES LOIS CONSTITUTIONNELLES, DE LA LÉGISLATION ET DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE DE LA RÉPUBLIQUE, SUR LA PROPOSITION DE LOI CONSTITUTIONNELLE visant à modifier les conditions de déclenchement du référendum d’initiative partagée »

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/16/rapports/cion_lois/l16b0495_rapport-fond#


Il faut donc favoriser les initiatives comme celle du Maire des Sables d’Olonne qui sont nécessaires et instructives.

Certes, il faut d’urgence d’adapter les procédures juridiques pour faciliter ce type de votation citoyenne...mais la France démocratique ne pourra que mieux s’en porter.

 Il est bien désolant d’entendre et lire les critiques infondées et faciles faites à ces expériences vécues aux Sables d’Olonne .

Dans le climat actuel, elles sont déplacées voire antidémocratiques par rapport à la triste réalité que nous vivons avec un citoyen démobilisé, écœuré...

Donc, si la démocratie locale se développe ainsi ce sera au bénéfice de la DÉMOCRATIE tout court si fragile au niveau national. Sachant que la démocratie reste le meilleur régime défenseur des libertés fondamentales.

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2022 1 19 /12 /décembre /2022 10:24
 LES VOTATIONS AUX SABLES D’OLONNE : UN EXEMPLE DE L’EXPRESSION DE LA DÉMOCRATIE LOCALE

 

 

PAS DE DÉMOCRATIE LOCALE SANS DÉCENTRALISATION RÉELLE

Poursuivons notre périple sur l’expression de la démocratie locale en redonnant la parole au peuple par l’exercice des votations, le droit de pétition et autres consultations comme aux Sables d’Olonne.

Voir : https://www.olonnes.com/2022/12/refonder-la-democratie-locale.html

 

La conclusion de nos 3 précédentes parutions sur ce thème est claire...depuis plus de 20 ans les gouvernants de tous bords qui se sont succédé ont promis la réforme territoriale, décentralisation, autonomie financière des collectivités locales...et il n’est rien sorti de positif et de concret...sauf des textes inappliqués et pire des textes qui sont restrictions aux libertés citoyennes locales.

 

DÉFENSE ET ILLUSTRATION DE L’AUTONOMIE LOCALE ET DE LA DÉMOCRATIE LOCALE

La décentralisation dispose de fondements constitutionnels. Le premier article de la Constitution du 4 octobre 1958 de la France qui prévoit que « l’organisation de la République est décentralisée » et cela est repris à l’article 71 de ladite Constitution.

Les principes des libertés locales, de la décentralisation sont donc bien fondés juridiquement et donc incontestables.

Mais leur mise en œuvre se heurte à la mauvaise volonté de l’oligarchie « éna rchique » au pouvoir avec la complicité d’élus en place qui sont réfractaires au transfert de pouvoirs aux collectivités territoriales sauf quand cela les arrange comme par exemple : lors de la crise sanitaire.

Les attributions du maire sont multiples : état-civil, urbanisme et logement, écoles et équipements, activités culturelles, santé et aide sociale, police …s’il ne fait « pas » il peut être jugé responsable. S’il fait, c’est sous contrôles. Où sont l’autonomie locale, la décentralisation, les libertés locales ?

Nous vivons donc avec un système bancal, lourd et anti-démocratique qui est à rebâtir puisqu’un bon maire c’est celui qui ne fait rien sauf inaugurer les chrysanthèmes et serrer des mains.   

Un maire qui veut faire vivre la démocratie locale s’il veut organiser un référendum ou une simple consultation dans sa sphère de compétence et dans sa commune est dans l’obligation d’en référer au Préfet de son département.

La France a ratifié en 2007 la Charte européenne de l’autonomie locale qui « consacre le droit du citoyen de participer aux affaires des collectivités locales qui encourage et aide à la mise en œuvre de normes et de mécanismes visant à faire participer les citoyens à la prise de décision politique à tous les niveaux dans les États membres du Conseil de l'Europe ».

La Charte permet donc bien aux citoyens et aux élus de faire entendre leur voix et de façonner les décisions politiques, en plus de la participation aux élections.

 

INSTAURER LA DÉMOCRATIE LOCALE

Nous ne pouvons donc que nous étonner de voir des élus qui se disent légalistes et démocrates s’élever contre les initiatives du Maire des Sables d’Olonne qui multiplie les votations et a l’intention de continuer.

D’abord, le maire des Sables d’Olonne a été élu avec un programme qui prévoit des consultations de ses électeurs lors de son mandat. Respectons le vote des électeurs favorables à ces consultations. Ils ont élu librement leur maire.

Deuzio : les « votations » ne peuvent qu’être positives pour le rapprochement élus-citoyens même si elles sont encore très imparfaites dans leurs formulations justement à cause de textes qui briment la capacité des citoyens à s’exprimer en posant des conditions qui font perdre toute leur crédibilité aux référendums, aux consultations des électeurs et autres procédures actuellement en vigueur qui aboutissent à bloquer l’expression citoyenne.

Tertio : les projets et textes législatifs concernant les réformes territoriales sont souvent et à juste titre accompagnés de phases expérimentales...qu’aux Sables d’Olonne les élus s’unissent majorité et oppositions pour poursuivre dans cette voie de la consultation périodique des habitants libérant la parole citoyenne...

CE NE SONT PAS LES ÉLUS QUI SONT SOUVERAINS MAIS BIEN LE PEUPLE ! Donnons-lui le pouvoir et le cadre juridique pour s’exprimer souverainement et pour vivre pleinement sa citoyenneté.

Partager cet article
Repost0