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1 septembre 2020 2 01 /09 /septembre /2020 20:29
PRÉSENTATION D'UNE PREMIÈRE ESQUISSE DU PROJET : À DROITE ROUTE DE TALMONT, À GAUCHE AVENUE DU PAS DU BOIS

PRÉSENTATION D'UNE PREMIÈRE ESQUISSE DU PROJET : À DROITE ROUTE DE TALMONT, À GAUCHE AVENUE DU PAS DU BOIS

 

LE SITE DE L'ANCIENNE CLINIQUE DE CHÂTEAU D'OLONNE SERA ENFIN AFFECTÉ À UN ENSEMBLE DE PROJETS PUBLICS ET PRIVÉS

 

UN PROGRAMME TRÈS IMPORTANT

Il faut savoir que la vente du site (2,3 hectares) en l'état fait l'objet d'un compromis de vente entre son propriétaire qui fut exploitant de la clinique et un groupe immobilier nantais (groupe PRIMALYS).

 

Suite de :

http://www.olonnes.com/2020/08/participation-citoyenne-deux-grands-projets-aux-sables-d-olonne-sur-lesquels-vous-etes-tous-invites-a-donner-votre-avis.html

 

L'enquête publique a simplement pour but de changer la destination (classement) de cette parcelle au PLU pour permettre la réalisation d'un ensemble qui devrait comprendre :

- une résidence intergénérationnelle,

- un équipement hôtelier,

- des locaux affectés à l’enseignement et aux formations,

- un équipement public qui serait construit sur une partie du terrain que l'Agglomération ou la Ville des Sables d'Olonne rachéterait au promoteur PRIMALYS.

Tout cela est au conditionnel puisque les projets cités ci-dessus n'ont pas fait l'objet d'une information publique. Le public convié à participer à l'enquête sera amené logiquement à poser et se poser des questions sur les projets eux-mêmes.

L'enquête publique a donc un objet limité qui est d'adapter le zonage du PLU de l'ancienne commune de Château d'Olonne qui s'impose encore  actuellement pour permettre au groupe de projets annoncés de devenir réalisables avec un zonage plus ouvert.

Sur cette question administrative d'urbanisme on ne voit pas ce qu'il y aura à redire...par contre sur l’affectation du site, riverains, personnes sensibilisées à la difficulté de circulation et la dangerosité du carrefour, les entrées sorties de cette zone, sa fréquentation... il y aura beaucoup d'interrogations qui pourraient et devraient être posées au commissaire-enquêteur. Sera-t-il possible d'élargir le champ de l'enquête à toutes ces questions et à d'autres ?

Il s'agit aussi d'un test pour mesurer quel sera l'investissement personnel des citoyens sur les projets de la nouvelle mandature et sur l'ouverture du dialogue citoyens sablais et autres et élus?

 

Rappelons que l'enquête publique se termine le vendredi 25 septembre 2020

 

CONCERNANT L’ENQUÊTE PUBLIQUE "LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION" PRÉCISE QUE :

"Le dossier en version numérique sera également accessible gratuitement sur un poste informatique situé en mairie des Sables d’Olonne et en mairie annexe du Château d’Olonne aux horaires habituels d’ouverture. Il sera également consultable sur le site internet des Sables d’Olonne Agglomération (www.lsoagglo.fr).


Chacun pourra prendre connaissance du dossier de déclaration de projet valant mise en compatibilité du PLU du Château d’Olonne et consigner éventuellement ses observations sur le registre d’enquête, ou bien les adresser au commissaire enquêteur par écrit à la Direction générale des services techniques des Sables d’Olonne Agglomération - 2 bis Avenue Carnot - 85100 Les Sables d’Olonne, en précisant la mention « enquête publique relative à la déclaration de projet portant sur l’aménagement du site de l’ancienne clinique au Château d’Olonne », ou par mail à : enquetepublique.plu@lsoagglo.fr."

 

 

ÉTAT ACTUEL DU SITE DE LA CLINIQUE ABANDONNÉE DEPUIS 10 ANS

ÉTAT ACTUEL DU SITE DE LA CLINIQUE ABANDONNÉE DEPUIS 10 ANS

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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 18:47
FRANÇOIS BAYROU HAUT COMMISSAIRE AU PLAN ?

FRANÇOIS BAYROU HAUT COMMISSAIRE AU PLAN ?

 

TOUT MILITE CONTRE CE PROJET

 

  • La France est déjà un pays sur-administré et mal administré (voir la gestion de la crise COVID-19). N’en rajoutons pas !
  • Les tentatives de planification de l’économie faites dans de nombreux pays se sont toutes terminées par des échecs.
  • Le précédent Commissariat au Plan a eu sa raison d’être mais il a sombré. On ne recopie pas une copie qui a eu un zéro pointé.
  • Le Président MACRON et son Premier Ministre ont missionné en mai 2019 les Ministres pour acter la nécessaire diminution des Agences inutiles et couteuses : n’en rajoutons pas une nouvelle !
  • Un Commissariat au Plan est par définition un organisme interministériel ce qui, par définition aussi et par expérience, est ingérable. Il faut rattacher cette « agence » à un Ministère ou aux services du Premier Ministre. C’est alors parti pour des doublons, triplettes…du gaspillage de fonds publics et de la complexification des procédures.
  • Un Commissariat au Plan, c’est une officine faite pour distribuer des fonds publics directement ou indirectement donc une nouvelle porte ouverte aux lobbys capteurs de fonds publics…il y en a déjà assez comme cela !

Et il y a certainement tant d'autres raisons pour supplier le Président de la République de ne pas alourdir l’Administration de la France avec ce Commissariat supplémentaire.

 

 

UNE EMBROUILLE POLITIQUE MALVENUE : UNE HONTE

 

C’est une honte : cette idée est lancée avec l’arrière-pensée de donner une belle place et des honneurs à François BAYROU, ministre éphémère (35 jours) de la Justice ! d’Emmanuel MACRON, qu’il soutient encore du bout des lèvres contre un coup de pouce pour la prochaine élection présidentielle.

 

François Bayrou a été mis en examen en fin 2019 dans le dossier dit des emplois fictifs du MODEM au niveau européen. Qu’il gère ce dossier du MODEM avec son amie Marielle de SARNEZ et ses autres amis inculpés.

 

Des politiciens comme celui-ci, les français n’en veulent plus. Qu’il reste gérer et si possible bien sa mairie de Pau puisque les palois l’ont réélu. Et que le Président de la République n’ait pas à supporter le poids d’un échec supplémentaire. Il a tant de dossiers plus urgents : l’Europe, la crise Sanitaire, la dette, le budget 2021…

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13 août 2020 4 13 /08 /août /2020 17:57
CELA EXISTE ENCORE !
CELA EXISTE ENCORE !

CELA EXISTE ENCORE !

 

 

STOP À LA MALADIE DITE CALAMITOCRATIE. DEVENONS DES CITOYENS CONSOMMATEURS RESPONSABLES ET RATIONNELS.

 

 

TOUT POUR FAIRE PEUR

 

Ne nous laissons pas impressionner : les médias et les lobbys s’en donnent à cœur joie avec des fausses et incomplètes nouvelles : sécheresse, calamité agricole…la canicule, autre calamité, coronavirus encore une !

 

Cherchons et appliquons les solutions qui existent. Ne restons pas sur nos peurs car c’est cela que des gens mal-intentionnés veulent obtenir.

 

Ce 13 août, c’est à la FNSEA de monter au créneau. FNSEA, syndicat des…  « exploitants agricoles »…qui ne sont, depuis longtemps, plus des agriculteurs ! comme leur nom l’indique : exploitants agricoles. Ce « syndicat » lobby et conservateur allergique à toute remise en cause va encore monter au créneau pour réclamer des subventions encore et toujours des subventions. Nous voyons les petits exploitants qui ont tant de mal souffrir alors que céréaliers, betteraviers…s’enrichissent et tuent la terre nourricière.

 

Trop c’est trop, c’est indécent ! Redemander plus de pesticides, plus d’agriculture chimique, plus de subventions, plus de dérogation pour la surconsommation d’eau et de gasoil est scandaleux.

 

Nous répondons ici avec l’exaspération du désespoir à ce pseudo syndicat professionnel, super lobby, hyper bien géré à ce titre et qui écume les subventions tout en étant le pollueur le plus important, le plus gros consommateur d’eau et son plus gros pollueur aussi.

 

Soyons logiques et cohérents : appliquons aux responsables « syndicaux » et à leurs institutions satellites la loi du pollueur payeur, interdisons les manifestations agricoles à base de tracteurs hyper polluants au service d’une agriculture destructrice de l’environnement et nuisible à la santé publique…réagissons et ne croyons plus aux boni…menteurs.

 

 

BOYCOTT DES PRODUITS ISSUS DE L’INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE ET PRIVLÉGIONS LES VRAIS ET COURAGEUX PRODUCTEURS INDÉPENDANTS

 

Citoyens, mobilisons-nous, boycottons les produits de trusts qui ne soucient pas des dégâts qu’ils causent à la terre et aux hommes. Les équipes de propagande des industriels de l’agro-alimentaire et la FNSEA doivent savoir que le consommateur n’est pas soumis à leurs productions et que s’ils veulent continuer à exister c’est à eux à changer et pas aux consommateurs.

 

Souvenons-nous que la pandémie nous a rappelé qu’il existe une multitude de petits et moyens producteurs honnêtes que nous avons retrouvés ou découverts à nos portes quand Covid-19 voulait nous en priver ! Ils peuvent être fiers de leurs produits et nous devons en consommateurs avisés les soutenir en les privilégiant dans nos achats

 

 

LE RÔLE MALSAIN DE LA FNSEA

 

La FNSEA, dit à tort « syndicat agricole » a pour objectif depuis des années la mainmise sur les terres agricoles pour ses adhérents, le blocage de vraies réformes de l’agriculture. Ce blocage permet à l’industrie agro-alimentaire de se développer aux frais des citoyens et des contribuables et au détriment de la santé publique et de l’environnement et de l’économie nationale et de la santé publique.

                                                                                                                                     

Ce syndicat a ruiné les petits producteurs, il les accule au suicide…et tout à coup la Pandémie fait découvrir aux français qu’il existe une agriculture propre, saine, soucieuse de la préservation de l’environnement que la FNSEA fait disparaitre.

 

Manger moins, manger mieux et avec plaisir, c’est possible avec le même budget ! mais pas avec les produits de l'agriculture chimique.

 

RÉAGISSONS EN CITOYENS RESPONSABLES !

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30 juillet 2020 4 30 /07 /juillet /2020 17:44
LE TÉLÉPHONE COMME TOUTE INVENTION SI UTILE MAIS PARFOIS SI DÉSAGRÉABLE

LE TÉLÉPHONE COMME TOUTE INVENTION SI UTILE MAIS PARFOIS SI DÉSAGRÉABLE

 

 

LES ABUS DU DÉMARCHAGE TÉLÉPHONIQUE MIS EN SOURDINE : UNE LOI VOTÉE, UN ESPOIR CONTRE CETTE NUISANCE QUI DEVIENT PARFOIS INSUPPORTABLE

 

La mise en ligne gratuite de l’inscription sur la liste d’opposition au démarchage était insuffisante voire inefficace.

 

Désormais ce démarchage est encadré ainsi que l’abus des appels surtaxés.

 

Il appartient aux citoyens de rendre la loi connue et efficace et au gouvernement de mettre en place moyens humains et matériels pour que force reste à la loi. Pour cela, il appartient déjà donc au "démarché" de transmettre ses doléances à leur Direction Départementale de la Protection des Populations ou leurs Associations de consommateurs.

 

 

 

 

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU MINISTÈRE DES FINANCES

 

Lutte contre les sollicitations téléphoniques indésirables : adoption définitive par le Parlement d’une loi permettant de mieux protéger les Français de ces nuisances

 

 

L’Assemblée nationale a définitivement adopté, mercredi 15 juillet 2020, la proposition de loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux.

 

Cette proposition de loi a fait l’objet depuis plusieurs mois d’enrichissements successifs du texte sur la base d’échanges réguliers avec le Gouvernement ainsi qu’avec les professionnels et les associations de protection des consommateurs. Le ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance salue l’aboutissement de ces travaux qui vont permettre de mieux protéger nos concitoyens contre des pratiques qui représentent une réelle nuisance au quotidien.

 

La loi porte ainsi plusieurs avancées majeures :

 

-L’interdiction du démarchage téléphonique dans le domaine de la rénovation énergétique, secteur où de trop nombreuses pratiques frauduleuses s’appuient sur des campagnes agressives de démarchage téléphonique.

 

-Un encadrement des jours et horaires ainsi que la fréquence auxquels la prospection téléphonique est possible lorsqu’elle est autorisée.

 

-Une nette augmentation des sanctions applicables en cas de manquements aux réglementations encadrant le démarchage et les fraudes aux numéros surtaxés pour les rendre plus dissuasives.

 

Les sollicitations téléphoniques indésirables (démarchage téléphonique non sollicité, fraudes aux numéros surtaxés) sont un irritant majeur, parfois quotidien, pour nos concitoyens et un vecteur de fraudes et d’arnaques qui pèsent sur le pouvoir d’achat des ménages.

 

Les pouvoirs publics, et en particulier la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), sont mobilisés pour lutter contre ces nuisances.

 

Le dispositif de lutte contre le démarchage téléphonique indésirable, qui repose notamment sur la possibilité pour tout consommateur de s’inscrire gratuitement sur une liste d’opposition au démarchage, manque aujourd’hui d’efficacité car il est trop peu respecté par les professionnels. Si les services de la DGCCRF sont mobilisés depuis plusieurs années1pour faire respecter le dispositif et sanctionner les fraudeurs, les enquêtes peuvent être longues et complexes, en particulier quand ces derniers se cachent derrière des numéros usurpés ou opèrent depuis des plateformes d’appel implantées à l’étranger.

 

En s’appuyant sur le retour d’expérience de ces enquêtes et afin de lever les obstacles rencontrés sur le terrain, la loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux améliore le cadre législatif pour faciliter le travail des enquêteurs et garantir l’effectivité du dispositif : présomption de responsabilité du donneur d’ordre, clarification des exceptions ou encore consultation obligatoire de la liste d’opposition au démarchage téléphonique. Le texte prévoit par ailleurs la nullité des contrats conclus sur la base d’un démarchage téléphonique pour les consommateurs inscrits sur la liste d'opposition à celui-ci. Au-delà de la tranquillité qu’elle pourra apporter, l’inscription sur la liste d’opposition au démarchage téléphonique constituera ainsi une protection juridique supplémentaire contre les fraudes.

 

Pour finir, la loi visant à encadrer le démarchage téléphonique et à lutter contre les appels frauduleux va renforcer la lutte contre les fraudes aux numéros surtaxés en renforçant les pouvoirs de l’administration, en responsabilisant les opérateurs exploitant ces services à valeur ajoutée et en encadrant la possibilité pour les opérateurs téléphoniques de suspendre, puis de résilier en cas de réitération, l’accès aux numéros utilisés frauduleusement.

 

La lutte contre ces fraudes aux numéros surtaxés est d’autant plus indispensable qu’elle induit des dommages économiques important : la DGCCRF a récemment transmis au procureur de Marseille les conclusions d’une enquête mettant en évidence qu’une entreprise exploitant un numéro surtaxé avait généré un chiffre d’affaires de l’ordre de10 millions d’euros en trompant plusieurs milliers de consommateurs.

 

Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’industrie auprès de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, a déclaré : « Trop de nos concitoyens sont victimes d'abus en matière de démarchage téléphonique et d'usages frauduleux de numéros surtaxés, parfois plusieurs fois par jour.

 

Au-delà du trouble à leur tranquillité, ces abus peuvent conduire à des préjudices financiers graves en particulier chez les personnes vulnérables.

 

Avec cette loi, nous renforçons les sanctions à l'encontre des fraudeurs, nous améliorons l'information des consommateurs, nous interdisons le démarchage téléphonique dans le secteur de la rénovation énergétique et nous donnons aux agents surs de la DGCCRF des pouvoirs plus importants pour mieux lutter contre ce fléau. Je salue le travail des parlementaires qui permet ainsi d’améliorer le quotidien des Français.»

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27 juillet 2020 1 27 /07 /juillet /2020 22:18
PAS UN EURO D'ARGENT PUBLIC N'EST À GASPILLER

PAS UN EURO D'ARGENT PUBLIC N'EST À GASPILLER

 

NOS GRANDS ÉLUS ET TOUS CEUX QUI NOUS GOUVERNENT DOIVENT, POUR RESPECTER LES CITOYENS, VEILLER AU BON EMPLOI DES FONDS PUBLICS

 

Cela fait partie des réflexions d'été sur fond de Covid-19. Il faut parfois oser se lâcher pour asséner de dures vérités, de dures réalités.

 

L’économie ne se gère pas par décret ou par ordonnance et encore moins à coup de déclarations publiques intempestives.

 

Là, où il n’y a pas de besoin concret et pas de confiance en l’avenir, des milliards d’argent public déversés ne servent à RIEN.

 

En effet, il y aura bien des multinationales peu scrupuleuses qui feront le nécessaire pour tenter de récupérer ces milliards ,voire de les détourner, avec la complicité de fonctionnaires et politiques.

 

On peut rêver : ceux-ci qui jouent à ce jeu devront à l’avenir être sanctionnés de manière exemplaire. Le législateur doit aller jusqu'au bout de ses promesses de loi sur la transparence de la vie publique. Si technocrates et politiques sont  jugés coupables et responsables de gaspillage ils devront être condamnés. Il ne faut plus de "responsables et pas coupables".

 

La démocratie ne supportera plus l'irresponsabilité des politiques qui participent par leurs actions à la perte de crédibilité des élus. Ils sapent les fondements de la démocratie et participent ainsi à l'effondrement des valeurs de la citoyenneté et du civisme.

 

L'incitation à la haine, la diffusion de fausses nouvelles peuvent mener leurs auteurs devant les tribunaux. L'incitation au risque de  dilapidation des fonds publics devrait aussi être sanctionnable. C'est trop facile de promettre la lune avec l'argent des autres ou avec de l'argent qui n'existe pas!  L'impunité de la duperie dans ce domaine a trop duré.

 

 

DES ANNONCES IMPRUDENTES DE MINISTRES SONT DES FAUTES AUX CONSÉQUENCES GRAVES

 

Un super ministre des finances se permet de déclarer qu’il affectera 30 milliards d’euros à des projets dits de "transition écologique" dont il ne connaît sérieusement ni les tenants ni les aboutissants.

 

Mais posons les questions à l'intéressé : où avez-vous trouvé ces 30 milliards d'euros ? Pour quoi faire précisément ? Ce sont les bonnes questions que se posent les français. Où et comment un État français super endetté, dont, en plus les recettes budgétaires vont être amputées par deux mois de "confinement", peut-il trouver 30 milliards d'euros alors qu'il n'arrive pas à sortir les fonds pour réajuster les salaires des personnels soignants, qu'actionnaire de l'ex EDF il n'investit pas pour le démantèlement de ses centrales nucléaires ...dont on aura encore besoin ?

 

Cette annonce de 30 milliards d'euros disponibles incite à réveiller des fantasmes d'un État "riche à millions", il incite donc de manière irresponsable à la dépense,  à la gabegie, aux projets bidon alibis pour pomper l’argent du bon peuple et des bons chefs d’entreprise et de leurs salariés.

 

C’est l’incitation à une forme de détournement de fonds publics : c'est une tromperie à l’égard de tous les français.

 

On ne fait pas impunément joujou avec l’argent du peuple ou avec l'argent dont on ne dispose pas dans un pays où l’extrême pauvreté est en train d’exploser.

 

On peut rêver au bon sens, à la raison et poser les questions : 

 

- soutien à l'automobile mais mise en accusation de celle-ci qui pollue,

- soutien à l'aéronautique mais interdiction de se déplacer par avion,

- soutien à la SNCF mais conditions mises pour accéder aux trains...

 

"Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde..." sûre ?

 

 

 

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21 juillet 2020 2 21 /07 /juillet /2020 09:53
SOLIDARITÉ EUROPÉENNE ET LOCALE

SOLIDARITÉ : SAUVONS-NOUS LES UNS LES AUTRES !

 

"Solidarité" ce mot qui a uni et libéré le peuple polonais

 

C'est avec soulagement que nous accueillons la nouvelle d'un accord dit compromis entre les cigales et les fourmis : l'intérêt général et le réalisme l'ont emporté sur les égoïsmes.

Un échec de ces négociations eût été une page noire pour l'EUROPE et pour...un espoir pour ses 450 millions de citoyens européens des 27 pays qui la composent dans la plus grande des diversités.

 

Quelques conclusions qui sont valables pour ce dossier comme pour tant d'autres :

- un compromis vaut toujours mieux qu'une fâcherie,

- l'union de leaders qui, par nature, sont en compétition permet de dépasser les clivages et d'aboutir à une construction bénéfique pour tous,

- l'Europe n'a pas que du mauvais et doit progresser.

Rappelons-nous ce que furent l'Espagne et le Portugal et même l'Italie avant la création de l'Europe : la solidarité européenne a sorti ces trois pays de l'extrême pauvreté !

Aidons tous l'Europe à se construire en l'adoptant, en poussant à ce qu'elle s'améliore et progresse.

 

OSONS UNE COMPARAISON AVEC NOTRE PAYS DES OLONNES

Ces dernières années, dans la douleur, ont été engendrées la ville nouvelle des Sables d'Olonne (par fusion des Sables d'Olonne, Olonne sur Mer et Château d'Olonne) et l'Agglomération Les Sables d'Olonne (par fusion des Communautés de Communes des Olonnes et d'Auzance et Vertonne).

Les élus fortement poussés par la population ont su dépasser leurs divergences, leur clochers pour que l'UNION fasse la FORCE DE TOUS.

S'est ainsi instituée une solidarité des communes qui profite à tous : les petites communes périphériques bénéficient de moyens qui leur permettent de voir bénéficier des services des grandes et de finaliser leurs projets que seules elles n'auraient pas pu réaliser et les 3 "grandes" bénéficient d'un espace naturel nouveau.

C'est la SOLIDARITÉ sous forme DE COMPLÉMENTARITÉ...C'est mieux que la guerre !

 

 

 

 

 

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20 juillet 2020 1 20 /07 /juillet /2020 09:14
MUTUALISATION : GOMMER LES VIEILLES ET STÉRILES QUERELLES DE CLOCHER

MUTUALISATION : GOMMER LES VIEILLES ET STÉRILES QUERELLES DE CLOCHER

 

MUTUALISATION DES MOYENS AU SEIN DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES: UNE OBLIGATION LÉGALE LONGTEMPS MISE SOUS LE BOISSEAU AU PAYS DES OLONNES

 

S'UNIR POUR MIEUX TRAVAILLER DANS L’INTÉRÊT GÉNÉRAL

Il était un temps, pas si éloigné que cela, où pour faire un petit trou dans une route "frontalière" entre les trois  communes voisines ou même pour la pose d'un panneau de direction  au Pays des Olonnes,  il fallait réunir les responsables administratifs et fonctionnels des 3 communes, les élus des 3 communes, les responsables de la Communauté de Communes et les élus de celle-ci...Kafka y aurait perdu son latin !

Mais ce n'est pas tout...le projet ficelé il fallait faire prendre des décisions dans les 4 collectivités...et les marchés publics ...

 

LA MUTUALISATION DES MOYENS ENTRE COLLECTIVITÉS VOISINES, : LES SABLES D'OLONNE

Mutualiser, mettre en commun : c'est une question de bon sens et de bonne gestion mais cette  question se heurte sur le terrain à des difficultés de tous ordres : difficultés administratives, querelles de clochers et de personnes...

Ceci est si peu naturel qu'il a fallu une loi incitative pour tenter d'améliorer la collaboration intercommunale . En effet, depuis la loi de réforme des collectivités territoriales de 2010, les collectivités doivent produire un rapport relatif aux mutualisations entre les services d’une communauté et ceux de ses communes membres. Ce rapport comprend notamment un schéma de mutualisation à mettre en œuvre pendant le mandature.

Suite à l’expérience sablaise 2018/2019 découlant des créations de l'agglomération et de la ville nouvelle fusionnée les Sables d'Olonne le Maire a décidé de structurer la mutualisation en partant du test des services techniques de ces deux collectivités.

C'est au détour de la délibération N°64 proposée en conseil communautaire de l'Agglomération des Sables d'Olonne de ce jeudi 16 juillet que ce problème a été posé avec délicatesse par le Président Yannick MOREAU.

Celui-ci propose au Conseil de voter pour le recrutement d'un consultant en organisation des collectivités territoriales en vue de la création d'un service technique commun entre Les Sables Agglomération et la Ville des Sables d'Olonne.

Cela ne sera pas fait ex nihilo : le maire a rappelé que déjà des opérations sont montées en commun par les services techniques de la Ville et ceux de l'Agglomération. Il en est ainsi de chantiers comme ceux de la Place du Vendée Globe, Téléphone et informatique...

 

MIEUX TRAVAILLER, MIEUX GÉRER : LA MUTUALISATION EST INCONTOURNABLE

Il y a la nécessité de gain de productivité et donc une économie d'échelle dans une période où les finances publiques et particulièrement celles des collectivités territoriales sont mises à mal et risquent de souffrir encore plus avec les conséquences de la crise sanitaire.

Il y a aussi la nécessité d'élever le niveau des compétences. Tout devient de plus en plus complexe : voirie, contraintes environnementales, assainissement, contraintes administratives et normatives...donc cela génère des coûts supplémentaires que la mutualisation de moyens devrait permettre d'absorber.

Il n'est pas question de tout mutualiser brutalement au niveau des deux collectivités. Le Maire a donc choisi la mutualisation au niveau des Services techniques qui est déjà en marche et qu'il faudra maintenant "codifier" et généraliser en accompagnant les personnels concernés et les élus pour la réalisation des projets tels que le plan vélo, le plan "forêt", la mise aux normes des bâtiments des collectivités...un beau et important projet et un exercice qui ne sera pas toujours facile !

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22 juin 2020 1 22 /06 /juin /2020 10:24
DÉPENDANCE : NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS MAIS IL FAUT AGIR AVEC SÉRÉNITÉ

DÉPENDANCE : NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS MAIS IL FAUT AGIR AVEC SÉRÉNITÉ

 

 

 

LES GRANDES VICTIMES DE CORONAVIRUS : LES PERSONNES ÂGÉES DÉPENDANTES ET LEURS FAMILLES

 

Cette forme de « dépendance » est un phénomène social incontournable et depuis plus de quatre décennies les rapports préparant un projet global font naître des espoirs d’une prise en charge de cette conséquence naturelle du vieillissement de la population. Après la tentative du Président GISCARD D’ESTAING, l’abandon du projet de Nicolas SARKOZY, puis celui François HOLLANDE, Emmanuel MACRON a pris la relève en 2018 puis ce fut à nouveau le grand silence qui suivit la présentation en mars 2019 du rapport LIBAULT (175 propositions).

 

Pour reprendre le dossier, il a fallu CORONAVIRUS et 10 000 décès « comptabilisés » sur une population estimée à 1 200 000 personnes âgées dépendantes en établissement EPHAD (environ 800 000personnes) et autres institutions d’accueil des personnes dépendantes. 0,83 % de la population concernée a donc succombé, victime de Covid-19. Au niveau national, pour tout le reste de la population française (65 millions d’habitants), 20 000 décès imputés au virus soit 0,03 % de la population. La surmortalité des personnes dépendantes est donc un constat crève-cœur.

Cette épidémie a donc réveillé brutalement Président de la Républiques et gouvernement sur la nécessité de revoir complétement ( aides financières, soins, prévention, formations…) la prise en charge des personnes âgées dépendantes.

 

LES POUVOIRS PUBLICS N'ONT PAS LE DROIT  DE SE SAISIR BRUTALEMENT DE CE PROBLÈME HUMAIN EN DISANT : ON VA CRÉER UNE NOUVELLE « CAISSE » QUI PRENDRA EN CHARGE CE QU’ON APPELLE LE « CINQUIÈME RISQUE ».

 

ENCORE UN COUP DE MÉPRIS POUR NOS ANCIENS !

Aujourd’hui sont pris en charge au niveau de la sécurité sociale quatre « risques » (terme impropre !) : la maladie, les accidents du travail, la retraite et la famille). La proposition du gouvernement est la résurgence d’un vieux projet nommé le « cinquième risque » nommée « la dépendance ».

Voir notre commentaire sur le projet présenté en Conseil des Ministres (27 mai 2020) :

http://www.olonnes.com/2020/05/la-perte-d-autonomie-au-conseil-des-ministres-projet-de-loi-organique.html

 

En pleine crise sanitaire, sortir brutalement un projet de loi sur un problème social très complexe qui touche environ deux millions de familles en profitant des manipulations législatives que permet la situation actuelle de l’« État d’urgence sanitaire », cela ne peut que conduire à un échec due à une méthode de travail qui sera marquée inéluctablement par l’improvisation. Suivant une technique éprouvée et condamnable le projet est ainsi noyé parmi les projets sur la dette de la Sécurité Sociale et dont sa date butoir de mise en œuvre est prévue en 2024. Est-ce sérieux ?

Oser proposer un projet aux partenaires sociaux en cette période et aussi brutalement, c’est se moquer du monde. Certes, cela peut faire plaisir à un syndicat potentiellement demandeur…mais répétons-le, cela n’est pas sérieux ! Cela confirme malheureusement le manque total d’empathie du Président Emmanuel MACRON pour nos anciens.

Le problème de l’hébergement et des soins des personnes âgées dépendantes n’est qu’un des aspects de la dépendance et il ne doit surtout pas être résolu séparément de l’ensemble de la problématique…ce n’est pas une « caisse supplémentaire » au sein de la Sécurité sociale qui va répondre à la problématique « dépendance ».

- Déjà, après la crise sanitaire qui n’est pas achevée, nous entrerons peu ou prou dans une crise sociale et économique programmée par nos grands penseurs, experts…et engager une procédure qui débouchera sur une nouvelle « charge sociale » est impensable : oser proposer un tel projet, c’est se moquer du monde. Joindre à ce projet une date butoir d’application prévue en 2024, c’est encore se moquer du monde.

- La dépendance est un problème de société. Nous sommes tous concernés…un proche de chacun de nous sera frappé et c’est toute la famille qui devra s’organiser. Dans le contexte de la famille 2020 ce drame est source de graves difficultés : la notion de solidarité familiale devra être réexaminée et plus globalement celle des « aidants » sachant que le vœu majoritaire des français est pour la dépendance   le maintien au domicile du dépendant. Le placement dans une institution ne doit être que l’exception et la conception actuelle de cette exception est elle-même à réviser : c’est aussi le message que nous a adressé le drame des EHPAD lors de cette épidémie.

- oui, la dépendance est un risque qui guette chacun. Qui dit risque dit : prévention, assurance…le « cinquième risque » envisagé dans le projet gouvernemental est une solution de facilité qui consisterait à faire jouer la solidarité nationale qui sera manipulée par les gouvernants au gré des besoins et des politiques…en créant une nouvelle charge…qui pèsera sur l’économie et se répercutera sur le coût du travail, donc sur l’emploi ? Ce n’est envisageable ni aujourd’hui, ni demain.

D’une part, comme ce cinquième peut toucher chacun de nous, il faudra décider comment alors imposer l’assurance privée obligatoire ou une solution mixte assurance privée et assurance gérée par la Sécurité Sociale.

D’autre part, aujourd’hui il y a déjà l’APA (Allocations Personnalisées d’Autonomie) gérée par les collectivités locales…l’heure de la décentralisation a sonné. Il faudra donc bien examiner cet aspect de la gestion de ce risque au plus près. Ce n’est pas au programme du projet de loi gouvernemental.

 

LE PROJET DE LOI « GRAND ÂGE ET AUTONOMIE » N’EST DONC CONCEVABLE QUE DANS LE CADRE D’UNE LOI SPÉCIFIQUE QUI FERA L’OBJET DES SYNTHÈSES DES RAPPORTS PASSÉS ET DE SÉRIEUSES CONSULTATIONS À VENIR.

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