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8 mai 2023 1 08 /05 /mai /2023 11:06
L'OEUVRE ADMIRABLE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL AUX SABLES D'OLONNE

L'OEUVRE ADMIRABLE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL AUX SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

LÉGALISTES, LA MUNICIPALITÉ DES SABLES D'OLONNE, SON CLERGÉ ET LES SABLAIS PRÉPARENT LE DÉBOULONNAGE DE LA SPLENDIDE STATUE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL

 

Il faut remercier la Fédération de Vendée de la Libre Pensée pour les très importantes  retombées médiatiques locales et nationales de sa démarche liberticide pour le déboulonnage de la statue de l'Archange Saint_Michel sur le parvis de l'Église Saint-Michel,  près de la rue Saint-Michel dans le quartier Saint- Michel où  était implantée l'École Saint-Michel.

En fin de compte, si l'intolérance et l'entêtement au nom d'un principe incontesté de la Fédération de la Libre Pensée a gagné la mesquine voire très contestable bataille juridique du déboulonnage de la statue de l'Archange Saint-Michel aux Sables d'Olonne, elle a surtout ainsi perdu la guerre et l'honneur.

D'abord, parce que les médias se sont emparés du sujet en fin 2021 et que les échos d'une affaire dont nous n'aurions jamais rien su ni dit ont fait beaucoup de bien aux défenseurs de la liberté des collectivités locales qui ont quand même le droit de déposer une œuvre d'art sur le domaine communal sans que cela remette en cause la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État !

En 2023, s’instaure en France pour certains le droit de casser, piller, incendier, blesser...et pas encore le droit pour des élus locaux de décider du lieu d'implantation d’une œuvre d'art sur le domaine public communal  !

Ensuite, parce que la votation de 2022 à la question « Souhaitez-vous que la statue Saint Michel reste devant l'église Saint Michel ? » les sablais ont donné incontestablement une réponse OUI à la question posée.

La "Libre Pensée" a donc perdu démocratiquement et incontestablement sa bataille et serait malvenue d'aller à l'encontre de la démocratique Vox Populi. Ce n'est pas une non-réponse du Conseil d'État (refus de statuer) qui peut contredire la force de l'expression de la volonté populaire.

Avant de poursuivre ses combats surannés, désuets et liberticides contre la libre expression artistique, la dite Libre Pensée devrait méditer la sentence du Cid (Pierre Corneille) : "À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire."

Il y a tant d'autres combats plus importants à mener au nom de la liberté et de la solidarité.

 

LA REVANCHE SILENCIEUSE : L'ÉGLISE SAINT MICHEL EST DEVENUE LUMINEUSE !

La très récente restauration de l'intérieur de l'Église Saint Michel est maintenant illustrée par la belle mise en lumière de son intérieur (voir photo ci-dessous) : c'est une réponse digne, discrète à la provocation de la mal nommée Libre Pensée.

Mais, l’erreur est humaine et persévérer dans l'erreur est diabolique...et c'est pour cela qu'il faut justement un Archange Saint Michel pour terrasser ce qui est diabolique.

Cette Église Saint Michel créée en 1909 était sombre, triste...elle réapparait aujourd’hui lumineuse, accueillante.

Le mauvais procès fait sur l’emplacement contesté de l’œuvre qui porte le nom de "Statue Saint Michel Archange" nous remémore la terrible phrase de la révolutionnaire Madame Manon ROLAND qui avait épousé la cause de la Révolution.

Traumatisée par l'instauration de la Terreur, elle eut le courage de s'opposer à Robespierre. La "Libre" Pensée ferait bien, comme d'autres institutions, de méditer ses dernières paroles.

Arrêtée, jugée et exécutée comme conspiratrice le 8 novembre 1793, lors de sa montée à l'échafaud sur la Place de la Liberté,  (actuelle Place de la Concorde !) Madame ROLAND se serait écriée :

"Liberté, que de crimes on commet en ton nom !"

 

 

LES SABLES D'OLONNE : MERCI, SAINT-MICHEL ARCHANGE
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7 mai 2023 7 07 /05 /mai /2023 18:31
8 MAI 1945 - 8 MAI 2023 : COMMÉMORATIONS

DEVOIRS DE MÉMOIRE : COMMÉMORATIONS DU 8 MAI 1945

 

Il serait bon pour nous tous, ébranlés dans nos convictions et perdus dans un monde où les valeurs ne sont plus des certitudes, de faire de ce 8 Mai un devoir : perpétuer la vie de l’histoire de France auprès des jeunes. Nous devons à nos pères, à nos grands-parents notre liberté et la notion du sacrifice pour un bien commun « LA PATRIE », LA NATION FRANÇAISE.

 

Ce 8 mai 2023, nous commémorons deux évènements de 1945: d’une part, la victoire des Alliés sur l'Allemagne nazie et d’autre part, la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe marquée par l'annonce de la capitulation de l'Allemagne.

Cette guerre qui a mobilisé 100 millions de combattants aura duré 6 ans et 1 jour (1er septembre 1939 au 2 septembre 1945).

Elle ne se terminera officiellement que le 2 septembre 1945 sur les théâtres d'opération dans le Pacifique avec la reddition sans condition du Japon.

Des mesures exceptionnelles ont été prises par le Gouvernement pour que ce 8 mai 2023 ne soit pas vampiriser par des tentatives de manifestations et reste digne d’un hommage de la France à ses sacrifiés. Que pour ce 8 Mai 2023, la raison l'emporte sur les idéologies aveugles et meurtrières.

 

N’oublions pas nos héros maintenant souvent retombés dans l’anonymat pour sauver une juste conception de la Liberté. On la leur doit. 2023, la guerre s'installe en EUROPE, n'oublions pas non plus : la paix, la liberté, la dignité humaine, la solidarité ont un prix, celui du sang versé. C'est pour cela qu'il faut se souvenir.

 

 

COMMÉMORATIONS AU PAYS DES OLONNES

 

 

9h30 à Château d’Olonne Place du Cimetière, monument aux morts

9h45 Place de la Liberté au Centre-Ville des Sables d’Olonne

11 h Stèle de la Jarrie prés de la Mairie Annexe d’Olonne sur Mer

 

MESSAGE

de Monsieur Sébastien LECORNU, ministre des Armées

et de Madame Patricia MIRALLES, secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants et à la Mémoire

 

à l’occasion du 8 mai 2023

 

8 mai 1945, il y a 78 ans : l’Allemagne nazie capitule devant les Alliés réunis à Berlin. C’est la Victoire.

Ce jour-là, les forces de la liberté triomphent non seulement contre une armée, mais aussi contre une idéologie qui écrasait l’Europe et la liberté de ses peuples. Après six années de guerre, l’écho de l’Armistice se répand partout sur le continent, apportant aux peuples la joie de la Libération, et la fierté d’avoir vaincu.

Après six années de terreur, la lumière se lève enfin sur tout un pays, révélant à la fois l’opprobre de ceux qui ont collaboré, et le courage de ceux qui ont résisté pour permettre la Victoire.

Il y a 80 ans, l’année 1943 fut une année terrible. La répression s’accroît, l’extermination des Juifs d’Europe et des opposants au régime nazi bat son plein. Pourtant, le cours de la guerre change. A l’Est, les armées nazies ont perdu la bataille de Stalingrad. Au sud, les Alliés ont débarqué en Afrique du Nord. Ils le feront bientôt en Italie. La Corse est libérée en septembre. Nos outre-mer se distinguent dans les trois océans et notamment dans les Antilles et en Guyane par la Dissidence opposée à Vichy. La deuxième division blindée du général Leclerc est créée, elle débarquera quelque mois plus tard en Normandie, avant de libérer Paris, puis Strasbourg. Il n’y a plus une parcelle de notre territoire où l’on ne compte de résistants à l’occupant.

Chacun peut ressentir que le destin des armes a basculé. Même si la lutte sera encore longue : « L’épreuve présente n’est pas terminée, mais voici qu’au loin se dessine la fin du pire drame de notre histoire », indique le général de Gaulle aux Français libres et aux Français occupés dans son message du 14 juillet 1943.

La Résistance s’unit partout en France, et, sûre de l’issue finale du combat, s’engage dans l’élaboration de ce qui réunira les Français après la guerre. Les ombres qui pèsent sur le destin de la Nation s’éclaircissent assez pour qu’un dessein pour la France d’après-guerre puisse commencer à être tracé.

Avec la fin du conflit apparaissent de nouveaux défis pour reconstruire l’Europe, pour renouer avec la démocratie et pour soutenir nos soldats qui poursuivent le combat dans une guerre qui n’est pas encore achevée en Asie. Il faudra enfin tirer les conséquences des échecs militaires de 1940 pour renforcer les armées de la France face aux menaces qui la visent. Hier comme aujourd’hui, c’est un combat que nous ne devons pas perdre de vue.

Avec la Victoire, vient aussi le retour des prisonniers, des déportés et la longue attente de ceux qui ne reviendront pas, ayant sacrifié leur vie pour notre liberté. Enfin, il y a tous ceux que plus personne n’attend, car ils ont été déportés par familles entières dans des convois vers l’Est, qu’un holocauste achevait.

Écoutons les survivants et les vétérans qui nous transmettent la mémoire de leurs compagnons, pour que leur témoignage ne disparaisse pas avec eux et qu’il inspire ceux qui s’imaginent leur liberté pour définitivement acquise.

Souvenons-nous enfin du sang versé : il fut le prix de notre liberté. Mourir pour que d’autres puissent vivre libres : c’était le prix exorbitant dont plus de 10 millions de soldats alliés se sont acquittés. Un prix qui, hier comme aujourd’hui, augmente à chaque renoncement, à chaque fois que nous oublions notre passé.

Au bout, le 8 mai 1945 offrit la plus grande gloire du monde aux femmes et aux hommes qui n’avaient pas cédé. La Victoire leur offrit la liberté.

Vive la République.

Vive la France.

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6 mai 2023 6 06 /05 /mai /2023 16:50
LA FUTURE STATION MULTI ÉNERGIES DONT L'HYDROGÈNE À l'ENTRÉE DE VILLE DES SABLES R'OLONNE

LA FUTURE STATION MULTI ÉNERGIES DONT L'HYDROGÈNE À l'ENTRÉE DE VILLE DES SABLES R'OLONNE

 

 

 

 

AUX SABLES D'OLONNE, ENCORE UN PROJET DÉVELOPPEMENT DURABLE QUI VOIT LE JOUR EN BORD D'OCÉAN

 

Il faut miser sur l'avenir et espérer que la batterie des outils développement durable programmée  par la Mairie et l'Agglomération Les Sables d'Olonne puisse ainsi contribuer à l'amélioration de la qualité de vie de Cité balnéaire vendéenne.

Située en bordure de  la quatre voies LES SABLES D'OLONNE/LA ROCHE SUR YON en entrée-sortie de ville, site de la Vannerie,  face au Pôle SANTÉ la station multi-énergies sort bien de terre.

Elle proposera un panel exceptionnel de carburants avec des pompes GNV (Gaz Naturel pour Véhicules), des bornes électriques de recharge rapide et des pompes à hydrogène.

Cet hydrogène vert sera produit par le complexe installé à BOUIN, en Vendée.

L’hydrogène vert devrait permettre de participer à diminuer les méfaits dénoncés, certainement à juste titre, concernant le gaz à effet de serre.

C'est un choix d’avenir, sans monoxyde de carbone, oxydes d’azote, plomb ou dioxyde de soufre…

Les sablais verront bientôt des transports urbains qui utiliseront comme carburant cet hydrogène.

 

LE DÉVELOPPEMENT DURABLE AUX SABLES D'OLONNE

Sur la pile des dossiers ouverts, depuis la fusion des communes au Pays des Olonnes, il faut souhaiter bon vent à celui-ci comme il faut aussi espérer voir se développer les liaisons douces et aussi le projet de renaturation et mise en valeur de la côte littorale castelolonnaise (Puits d'Enfer) sans fermeture du Parking éponyme...le plan forêt...les problèmes de logement, stationnement,...

Partie dans cette voie, la municipalité, dans la logique de ses promesses et de sa philosophie, devra résoudre le très ancien et très épineux problème de son aérodrome qui a besoin d'un sacré coup de jeunesse mais aussi d'un grand coup de frein aux toutes les tentatives d'extension du trafic (voire de la piste) qui rendrait la vie impossible à tout le secteur environnant.

D'ailleurs, on imagine mal que l'Agglomération, d'une part, tente avec une forte conviction l'expérience du développement durable et d'autre part, puisse commettre l'erreur difficilement compréhensible d'imposer avec le dossier Aérodrome un investissement lourd qui n'apparait, à ce jour, ni sérieusement justifié ni prioritaire.

L'Agglomération ainsi va même à l'encontre de la politique affirmée "Parce que, pour l'Agglo, la protection de l'environnement est une priorité  ..."

La collecte des signatures de  la pétition qui s'élève contre la volonté inexpliquée de quelques élus de faire le forcing sur le dossier Aérodrome ne pourra certainement pas aller contre la volonté des habitants des Sables d'Olonne.

Celle-ci se révèle fortement contre tout ce qui sera une extension de l'aérodrome et même contre certains aspects du pré projet actuel concernant le réaménagement du littoral castelolonnais.

Puissent la Sagesse et une sérieuse concertation encore une fois triompher !

 

 

 

 

SITE DE LA STATION MULTI ÉNERGIES

SITE DE LA STATION MULTI ÉNERGIES

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1 mai 2023 1 01 /05 /mai /2023 16:06
LE MULTIPARTISME EN ESPAGNE, SONDAGES AVANT LES ÉLECTIONS DE FIN 2023 : UNE DÉMOCRATIE "DÉCENTRALISÉE" ET UNE MONARCHIE PARLEMENTAIRE

LE MULTIPARTISME EN ESPAGNE, SONDAGES AVANT LES ÉLECTIONS DE FIN 2023 : UNE DÉMOCRATIE "DÉCENTRALISÉE" ET UNE MONARCHIE PARLEMENTAIRE

 

 

 

LE RÉGIME DE DÉMOCRATIE PARLEMENTAIRE, CELA SE MÉRITE

Après le long règne du franquisme qui a suivi la terrible guerre civile (1936/1939) en Espagne, et qui s’est achevé en 1977, la transition du régime du Général Franco à la « monarchie démocratique » fut une réussite de passage en douceur : évolution sans les dégâts d’une révolution.

Nul ne conteste aujourd’hui que le régime installé en Espagne est de type démocratique assez décentralisé avec des provinces plus ou moins autonomes et un pouvoir central peu contesté (sauf par ces crises d’autonomisme comme celles qui agitent encore la Catalogne).

Mais en matière de régime démocratique, rien n’est jamais gagné : la démocratie et le régime de libertés qui en découle, cela se mérite. C’est aux citoyens de veiller à le défendre.

 

LE MULTIPARTISME N’EST PAS SANS DANGER POUR UNE DÉMOCRATIE

L’Espagne est donc une monarchie parlementaire pluripartiste où le roi est le chef de l'État et le chef de l’exécutif est le président du gouvernement qui est, en principe, chef du parti de la majorité ou de la coalition majoritaire issu des élections des députés.

L'Espagne dispose d'un Parlement comprenant une chambre basse, le Congrès des députés (370), et d'une chambre haute, le Sénat. Les députés comme les sénateurs sont élus pour quatre ans.

Le risque de ce type de démocratie est d’être ingouvernable quand il ne se dégage pas des élections une majorité forte et que c’est une coalition branlante qui gouverne.

Le pouvoir central d’État doit se doter de moyens pour remplir ses « missions régaliennes » : sécurité, justice, diplomatie, finances...

Mais l’État doit assumer cette fonction tout en sauvegardant l’autonomie des provinces mais il doit aussi assumer une certaine péréquation entre les provinces : les provinces riches abondent la cagnotte des provinces plus pauvres. C'est assez difficile à faire admettre ....par les provinces "riches" qui sont tentées par l'indépendantisme. 

Le document ci-dessus donne une idée du multipartisme symbole de la démocratie mais aussi risque de rendre un pays ingérable faute de majorité.

Jusqu’ici l’alternance droite gauche a pu se réaliser sans trop de casse mais elle ne fonctionne qu’avec des compromis pour obtenir au Parlement un majorité pour gouverner. Il y a dans la période actuelle deux partis « majoritaires » le parti socialiste PSOE héritier des républicains et le parti populaire PP plutôt de droite.

Demeure le symbole de l’unité de la Nation qui est représentée par le Roi !

 

LA SITUATION ACTUELLE EN ESPAGNE

La majorité au Parlement espagnol est donc de 175 députés.

L’alliance possible Parti Populaire avec le parti VOX, selon les sondages d’avril 2013, serait donc une coalition possible qui obtiendrait une toute petite la majorité. Le Parti socialiste PSOE actuellement au pouvoir est donné perdant.

Les prochaines élections des députés auront lieu au plus tard en fin décembre 2023

A noter l’existence d’au moins 6 « petits » partis.

Après la période franquiste, les espagnols ont donc dû découvrir et faire l’apprentissage de la démocratie. Nous espérons que cette fin d’année électorale 2023 permettra donc de conforter la démocratie en Espagne et les français devraient aussi décoder le mode de décentralisation de cet État avec des provinces dites « autonomes ».

 

 

UN PETIT BRIN DE MUGUET POUR VOUS...

UN PETIT BRIN DE MUGUET POUR VOUS...

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29 avril 2023 6 29 /04 /avril /2023 19:05
UN SYMBOLE DU TRAVAIL

UN SYMBOLE DU TRAVAIL

 

 

 

LE DROIT AU TRAVAIL : UN DROIT RÉCENT QUI NE PEUT ÊTRE CONTESTÉ

La liberté d’expression qui demeure une liberté fondamentale en France laisse la porte ouverte à tous les abus. Là, où il y a un droit,  il y a, bien sûr, un risque d’abus de droit.

Cela a permis à des égarés d’opposer le droit au travail au droit à la paresse qui se traduit par le droit de vivre aux crochets de la société et donc d’abuser scandaleusement de la solidarité nationale.

Des esprits chagrins et franchement tordus tentent donc de vouloir nous choquer en voulant nous imposer la négation du Droit au Travail ?

Cette tentative démesurément égoïste de la conception de la vie en société ne mérite que le mépris du silence.

En effet, c’est tiré un trait facilement et impunément sur le liant social indispensable et quasiment unanimement reconnu que constitue le travail.

Sous la Seconde République, en 1848, il y eut une grande bataille sur le Droit au Travail lors de l'élaboration de la Constitution qui a mis en exergue la valeur Travail dans 3 articles et a fait du Travail un des fondements de la République  et instituer le devoir de travailler. 

Article IV. - Elle ( La République) a pour principe la Liberté, l’Égalité et la Fraternité. Elle a pour base la Famille, le Travail, la Propriété, l'Ordre public.

Article VII. - Les citoyens doivent aimer la Patrie, servir la République, la défendre au prix de leur vie, participer aux charges de l'Etat en proportion de leur fortune ; ils doivent s'assurer, par le travail, des moyens d'existence, et, par la prévoyance, des ressources pour l'avenir ; ils doivent concourir au bien-être commun en s'entraidant fraternellement les uns les autres, et à l'ordre général en observant les lois morales et les lois écrites qui régissent la société, la famille et l'individu.

Article VIII. - La République doit protéger le citoyen dans sa personne, sa famille, sa religion, sa propriété, son travail, et mettre à la portée de chacun l'instruction indispensable à tous les hommes ; elle doit, par une assistance fraternelle, assurer l'existence des citoyens nécessiteux, soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille, des secours à ceux qui sont hors d'état de travailler. - En vue de l'accomplissement de tous ces devoirs, et pour la garantie de tous ces droits, l'Assemblée nationale, fidèle aux traditions des grandes Assemblées qui ont inauguré la Révolution française, décrète, ainsi qu'il suit, la Constitution de la République.

C'est le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 qui va sceller droit et devoir pour ce "droit au travail "

§ 5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Ce droit fut repris dans la Constitution de 1958.

 

LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME DE 1948 CONSACRE MONDIALEMENT LE DROIT AU TRAVAIL

L’Article 23 de la Déclaration a fondé ce droit avec une volonté presque utopiste :

  1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
  2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
  3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
  4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

 

C'est cette longue démarche que nous honorerons avec respect ce 1er Mai 2023.

Bon week-end quand même!

 

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27 avril 2023 4 27 /04 /avril /2023 21:22
LA COUR DE L'ÉLYSÉE...LE LOCATAIRE DOIT ÊTRE ENCORE REPARTI EN VOYAGE

LA COUR DE L'ÉLYSÉE...LE LOCATAIRE DOIT ÊTRE ENCORE REPARTI EN VOYAGE

 

ÉTRANGE CONSEIL DES MINISTRES DU MERCREDI 26 AVRIL 2023 : LA FEUILLE DE ROUTE DE LA PREMIÈRE MINISTRE

 

Nous attendions avec impatience ce compte-rendu mis en ligne seulement ce jour, pour bien saisir ce qu'il faut entendre et attendre de la feuille de route de la Première Ministre Élisabeth BORNE.

Le communiqué est pour le moins laconique :

 

La Première ministre a présenté une communication fixant les priorités du Gouvernement et l'agenda parlementaire pour les mois à venir afin d'accélérer l'action de l'État sur les chantiers prioritaires définis par le Président de la République autour de quatre piliers :

  • le travail, le plein emploi et la réindustrialisation ;
  • la transition écologique ;
  • la construction d'une société de progrès, au travers notamment du renforcement des services publics ;
  • la justice et l'ordre républicain.

La Première ministre a redit aux membres du Gouvernement qu'il leur appartenait de mobiliser leur administration, à l'échelle nationale comme dans les territoires, afin de mettre en œuvre cette feuille de route. Elle a rappelé sa conviction que cette dynamique devrait se construire dans le dialogue avec les partenaires sociaux mais aussi avec tous les élus. Seul un engagement collectif, adapté à chacun des territoires, en expérimentant des réponses nouvelles, permettra d'offrir aux Français les résultats concrets qu'ils attendent.

Après cette annonce suit le long texte suivant qui porte sur deux thèmes : Programme de stabilité et Programme National de Réforme PNR :

 

La Première ministre a présenté publiquement ces priorités et l’agenda parlementaire des prochains mois à l’issue du conseil des ministres.

Le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et le ministre délégué auprès du ministre de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, chargé des Comptes publics, ont présenté une communication présentant le programme de stabilité et le programme national de réforme.

Ces documents seront transmis à la Commission européenne à l’issue d’un délai de quinze jours.

 

1. Le programme de stabilité

Le programme de stabilité permet de fixer les principales ancres de finances publiques et de politique économique à horizon 2027. Il présente le cadre macroéconomique et financier au sein duquel s’inscrivent les objectifs du Gouvernement : protéger les Français face à la hausse des prix de l’énergie, tout en menant des réformes d’ampleur pour soutenir la croissance, atteindre le plein emploi, accélérer la transition écologique et numérique, garantir la souveraineté économique de la France et assurer l’ordre républicain. Il s’inscrit dans le cadre des orientations fixées par le Président de la République en faveur du pouvoir d’achat des Français et de la compétitivité des entreprises, avec des mesures déjà mises en œuvre : par exemple la suppression de la redevance audiovisuelle, qui a été actée dans la loi de finances rectificative pour 2022, ou encore la baisse des impôts de production actée dans la loi de finances initiale pour 2023.

Concernant les prévisions macroéconomiques, après la forte hausse de +2,6 % en 2022, l’activité en France résisterait avec une croissance de +1,0 % en 2023 malgré l’effet des conséquences de l’invasion russe en Ukraine et de la situation énergétique. L’inflation atteindrait +4,9 % en moyenne annuelle, après +5,2 % en 2022, avec une première partie de l’année marquée par une inflation des produits alimentaires et manufacturés élevée du fait de la diffusion des hausses passées des prix de l’énergie et des matières premières et un repli progressif au cours du second semestre.

Dès 2024, la croissance rebondirait repassant au-dessus de son rythme tendanciel (+1,6 %) et l’inflation poursuivrait son recul progressif pour s’établir à +2,6 %. Sur la période 2025-2027, l’activité poursuivrait son rattrapage et continuerait à évoluer au-dessus de son rythme potentiel sur la période, à +1,7 % en 2025 et 2026 puis +1,8 % en 2027. Sur l’ensemble de l’horizon de prévision, l’activité serait notamment soutenue par la progression de l’emploi en lien avec les réformes du Gouvernement et l’atteinte du plein emploi.

Concernant les finances publiques, le déficit public 2022 s’est établi à -4,7 % en nette amélioration par rapport à 2021 (-6,5 % du PIB) et 2020 (-9,0 % du PIB), deux années marquées par une mobilisation exceptionnelle des finances publiques pour répondre à la crise sanitaire et à ses répercussions économiques. Cette amélioration s’explique principalement par la quasi-extinction des mesures de soutien d’urgence et par la poursuite du rebond de l’activité.

En 2023, le déficit s’établirait à -4,9 % de PIB du fait de l’action du Gouvernement pour protéger les ménages et les entreprises les plus affectés par la hausse des prix de l’énergie, avec notamment le renforcement des dispositifs pour les entreprises avec l’amortisseur électricité et les aides guichet. Le coût net de l’ensemble de ces mesures de soutien s’établirait à 31 Md€ en 2023.

La trajectoire de finances publiques traduit l’objectif de retour à des comptes publics normalisés et de désendettement, une fois la crise sanitaire passée : le déficit public reviendrait sous le seuil de 3 % du PIB à l’horizon 2027, à 2,7% du PIB, et ce grâce à un redressement du solde structurel de 1,3 point entre 2023 et 2027, à une forte maîtrise de la croissance en volume de la dépense publique (dont celle de l’Etat) et à la dynamique attendue de l’activité. Sur la période 2023-2027, le Gouvernement s'est fixé pour objectif un désendettement progressif mais accéléré par rapport au précédent programme de stabilité, avec une réduction de la dette chaque année passant de 111,6 % fin 2022 à 108,3 % en 2027.

Ainsi, les mesures en faveur du pouvoir d’achat des Français et de la compétitivité des entreprises seront mises en œuvre, tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques et le désendettement de la France par la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique dans toutes ses sphères. La maîtrise des dépenses publiques repose d’une part sur des réformes structurelles, comme la réforme des retraites inscrite dans la loi de finances rectificative de la sécurité sociale pour 2023 et la réforme de l’assurance chômage. Elle repose, d’autre part, sur un dispositif annuel de revue de dépenses placé sous l’autorité de la Première ministre portant sur l’ensemble des secteurs des administrations publiques. Les résultats de ces revues de dépenses alimenteront chaque année, et ce dès juin 2023, le projet de loi de finances initiale et le projet de loi de financement de la sécurité sociale. L’effort de maîtrise des dépenses sera réparti entre les administrations publiques centrales, les collectivités territoriales et la sécurité sociale.

Ce programme de stabilité sera transmis au Parlement, puis à la Commission européenne, avec le programme national de réforme.

 

2. Le programme national de réforme (PNR) pour 2023 poursuit la stratégie de transformation de l’économie française.

Elaboré dans le cadre du semestre européen, le PNR présente la stratégie de politique économique du Gouvernement, en réponse aux grands défis de l’économie française. Il expose également l’état de la mise en œuvre du Plan national de relance et de résilience (PNRR), volet français du plan de relance européen.

Le PNR 2023 s’articule autour de quatre défis :

Le premier défi est la réponse à l’urgence écologique. Celle-ci invite à poursuivre les efforts lancés lors du précédent quinquennat en faveur de modes de production et de consommation plus respectueux de l’environnement, et à amplifier leurs premiers effets, l’objectif de réduction d’émissions de gaz à effet de serre de la France pour 2030 ayant été porté à - 55 % net par rapport à 1990, en pleine cohérence avec les engagements pris au niveau européen. La stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC), feuille de route actualisée de la France pour atteindre la neutralité carbone en 2050 et assurer l’adaptation de notre société aux impacts du changement climatique, ou encore la loi n° 2023-175 du 10 mars 2023 relative à l'accélération de la production d'énergies renouvelables permettront notamment de décarboner rapidement et durablement notre économie.

Le deuxième défi est l’atteinte du plein emploi, la résorption des tensions de recrutement et la préparation des compétences de demain. Ces objectifs passent par un meilleur accompagnement des demandeurs d’emploi, une meilleure incitation au retour à l’emploi par la réforme de l’assurance-chômage, un développement des compétences par de la formation initiale et continue et une augmentation du travail des séniors à travers la mise en oeuvre de la réforme des retraites.

Le troisième défi est d’assurer la souveraineté énergétique, économique et numérique de la France. Les réformes destinées à y répondre visent à accélérer notre transition vers les énergies décarbonées, renouvelables et nucléaires, tout en réduisant notre consommation, par exemple à travers le plan de sobriété énergétique. Elles permettront également de conforter la compétitivité de nos entreprises et de renforcer leur capacité d’innovation grâce aux investissements de France 2030 ou encore au projet de loi Industrie verte.

Le quatrième défi est la lutte contre les inégalités, sous toutes leurs formes. Elle se poursuit grâce à des investissements et des réformes ambitieuses, notamment dans l’éducation, la petite enfance et la santé, pour bâtir la République de l’égalité des chances.

 

Nous  vous livrons ce texte sans commentaire, simplement en mettant en valeur (en rouge) les  " Quatre  Défis", points de repère dont nous verrons bien ce qu'il en sera dans 100 jours !

 

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25 avril 2023 2 25 /04 /avril /2023 18:23
GILETS JAUNES : LES SYNDICATS... ABSENTS !  RETRAITES...PRÉSENTS

GILETS JAUNES : LES SYNDICATS... ABSENTS ! RETRAITES...PRÉSENTS

 

 

 

 

POURQUOI NOUS AVONS TOUT INTÉRÊT À AVOIR DES CORPS INTERMÉDIAIRES EN BONNE SANTÉ

 

Il était un temps où l’utopie pouvait encore faire rêver : le chef du village rassemblait ses concitoyens sur la place principale pour une assemblée du peuple qui allait prendre les grandes décisions, élire et réélire son chef, abolir l’esclavage...C’était le principe de la démocratie directe qui a pu aussi régir les nombreuses civilisations du type tribal.

Pour le monde occidental, c’est la démocratie athénienne qui est réputée être l’ancêtre des démocraties modernes : les décisions sont prises par le peuple et l’agora devient le centre politique de la cité. Mais le mode de démocratie athénienne a vite atteint ses limites avec la croissance d’Athènes. Naissent des structures institutionnelles qui éloignèrent des membres de la cité du pouvoir de décision : entre le peuple et ses dirigeants se sont installées les structures qui mirent fin à la démocratie directe.

Ces « structures intermédiaires » se révèlent incontournables dans les vraies démocraties modernes : partis politiques, syndicats, associations, organisations professionnelles...qu’on nomme les CORPS INTERMÉDIAIRES.

Voir :

https://www.olonnes.com/2023/01/la-participation-au-pouvoir-des-corps-intermediaires-syndicats-et-partis-politiques-necessaire-et-incontournable.html

 

LA CRISE DE LA RÉFORME DES RETRAITES RÉVÈLE LE RÔLE INCONTOURNABLE DES CORPS INTERMÉDIAIRES : PARTIS ET SYNDICATS

 

GILETS JAUNES ET CORPS INTERMÉDIAIRES : DEUX MONDES SÉPARÉS

Sous le premier mandat 2017/2022 du Président MACRON, il y eut une tentative du peuple français de ses faire entendre directement : ce fut la crise des Gilets Jaunes.

Nous étions dans une situation prérévolutionnaire improvisée, spontanée :

  • Le nouveau pouvoir était concentré dans les mains du Président MACRON,
  • La campagne électorale avait révélé la soif de changement du peuple français qui ne croyait plus les partis et les hommes politiques, les syndicats représentatifs ne faisaient plus recette...

Il ne restait plus face à face que le Président face au peuple manifestant mais inorganisé.

Or, le Président MACRON a pu désamorcer la crise parce que, justement, Gilets Jaunes et Syndicats se sont ignorés…les revendications des Gilets jaunes étaient, au départ, fiscales puis elles sont devenues plus politiques...donc pas de place pour l’action Syndicale

La situation serait devenue révolutionnaire si les extrémistes avaient réussi à se structurer et à phagocyter le mouvement populaire.

 

CRISE DE LA RÉFORME DES RETRAITES : RÔLE PRIMORDIAL DES SYNDICATS

Les Syndicats ont bien appris la leçon des gilets jaunes et ils ont donc pris les commandes de la contestation dans la rue et maintenu la pression.

Le thème des retraités était bien dans leurs compétences et ils avant des troupes à mobiliser.

Le système de gestion centralisé du Président MACRON est contesté dans l’opinion. Mal élu et affaibli, il a du plomb dans l’aile dans l’opinion qui a refusé au Président en 2022 une majorité au Parlement.

Les conditions sont donc remplies pour que les syndicats « corps intermédiaires » puissent agir avec le soutien populaire.

Il fait aussi mettre à l’actif des syndicats le fait qu’ils ont été efficaces dans la mobilisation, et exemplaires dans le maintien de l’ordre lors des rassemblements

La conclusion est claire : les Syndicats en France demeurent incontournables. Ils ont un rôle à jouer, des responsabilités à assumer. C'est un réel contre-pouvoir.

Le président MACRON a beaucoup agi pour mettre de côté syndicats, ordres, partis politiques...avec ses comités consultatifs conventions citoyennes sur le climat, sur la réforme de l’État...

Les Syndicats viennent de lui rappeler que même s’ils ne sont plus très représentatifs ils sont incontournables et savent être responsables et proposant.

 

Le Président MACRON est donc aujourd'hui condamné à devoir admettre qu’il ne peut continuer à ignorer les corps intermédiaires comme les syndicats : le mépris là aussi n’est plus de mise. C'est même reconnu par la Constitution.

 

 

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24 avril 2023 1 24 /04 /avril /2023 18:56
C'EST VOUS QUI L'AVEZ ÉCRIT

C'EST VOUS QUI L'AVEZ ÉCRIT

 

 

 

EN 2023, IL N’Y A PLUS DE POLITIQUE ÉTRANGÈRE EN FRANCE DONC PLUS DE FRANCE

 

Nous allons sortir un tout petit peu de notre « objet social » qu’est la citoyenneté pour faire une petite visite à la géopolitique version 2023 avec une Chine belliqueuse, une Russie dangereuse, un extrême Orient et Moyen Orient, une Afrique du Nord et Centrale déstabilisée : un monde qui ne rassure pas.

Y a-t-il une politique étrangère de la France ? On est en droit de se poser la question.

Vous ne le savez peut-être pas mais le Gouvernement français a une Ministre de l’Europe et des Affaires Étrangères Catherine COLONNA qui  n’a pas moins de 3 sous-ministre et secrétaires d’État à son service  : Olivier BECHT, ministre délégué chargé du commerce extérieur, de l’attractivité et des Français de l’étranger, Laurence BOONE, secrétaire d’État chargée de l’Europe, Chrysoula ZACHAROPOULOU, secrétaire d’État, chargée du développement, de la francophonie et des partenariats internationaux.

C’est ce qu’on appelle le Gouvernement resserré de Madame BORNE qui est composé de 41 membres. C’est le format XXL !

Une équipe Oui certainement...mais pour quelle politique ? ...le Président voyage mais la ligne politique internationale de la France demeure une inconnue totale pour les français : où en est du débat de politique étrangère où le Ministre et le Président de la République expliquent où ils vont et où ils mènent la France : Europe, OTAN, Afrique, Climat, Chine, Ukraine, l’Énergie ...

Nous sommes non pas étonnés mais stupéfaits du vide sidéral qui entoure la définition de la politique internationale française...le dossier est totalement vide, les chroniqueurs sont au chômage.

Effarant....on savait la diplomatie discrète mais pas à ce point là !

 

LA FRANCE NE SERA AUDIBLE ET CRÉDIBLE QUE SI ELLE EST FORTE ET CONFIANTE, FIÈRE ET RESPECTÉE

Nous avons une France affaiblie par des querelles secondaires, par une économie à la peine, par une dette trop lourde, par l'argent facile...

La voix de la France ne peut se faire entendre dans le concert international parce que la France appauvrie inhibée n’est plus crédible.

Le Président MACRON a échoué dans son vœu de 2017 «Retrouver notre esprit de conquête pour bâtir une France nouvelle » mais ce n’est pas lui qui est décrédibilisé, ce sont tous les français.

La France n’a plus de porte-parole...et cela éclate quand on analyse les fins de non-recevoir qui font mal...en Chine, en Ukraine, au niveau de l’Europe où le leadership franco...a sombré. L’Europe est orpheline de son leader.

 

MONSIEUR LE PRÉSIDENT, VOUS AVEZ MANŒUVRÉ POUR VOUS FAIRE RÉÉLIRE, MAINTENANT C’EST UNE AUTRE PAGE D’HISTOIRE QU’IL FAUT VITE OUVRIR

Maintenant ...un conseil désintéressé : il vous faut d’urgence revenir en France et travailler à rassembler les français, à les mobiliser pour construire ou reconstruire, la France du numérique, la France agricole, la France des énergies nouvelles, la réindustrialisation, l'Europe, la Sécurité intérieure et extérieure  ...effacez-vous pour laisser s’exprimer les talents de ceux qui savent faire et sauront faire.

Les JO peuvent être l’étincelle qui permettra en plus de remobiliser le peuple français.

La France est riche, mobilisons ces richesses au service de tous donc de la France !

À quand le contrat de confiance peuple français-Président de la République avec un gouvernement de Salut Public resserré ?

À quand l'annonce de la transition qui conduira au renouveau de la France ?

 

 

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