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8 septembre 2023 5 08 /09 /septembre /2023 19:54
UN CENTRE D'ACCUEIL À NANTES

UN CENTRE D'ACCUEIL À NANTES

 

 

 

L’ACCUEIL DES MIGRANTS EN FRANCE

 

Nous voulons affirmer haut et fort qu’il y a des solutions humainement acceptables pour réguler l’immigration en France qui sera toujours une terre d’accueil : un besoin et une réalité.

Personne n’a osé le dire depuis plus de 50 ans : le laxisme de nos dirigeants et la pression de la pensée gauchiste dominante et autres extrémistes que regrette aujourd’hui, par exemple, quelqu’un comme l’ancien Premier Ministre Lionel JOSPIN, nous a conduits aux émeutes de juin 2023.

Le constat, en 2023, est qu’il totalement inadmissible de laisser des quartiers se vider de leurs habitants pour laisser la place à une autre « civilisation » qui n’est pas Française dans ces banlieues comme celles des 92, 93, 94…dans les banlieues de grandes villes comme Marseille, Lille, Lyon, Toulouse…maintenant dans les villes moyennes.

La France insouciante et asphyxiée par des idéologies a manqué le rendez-vous qu’elle aurait dû avoir avec la gestion de l’immigration.

 

Il EXISTE DES SOLUTIONS ÉPROUVÉES AUX PROBLÈMES DE L’ACCUEIL DES MIGRANTS

LES MAUVAIS CHASSENT LES BONS

Nous avons une triste pensée pour tous ces enfants et petits-enfants, fils, filles, petits-enfants de harkis intégrés, tunisiens, algériens, marocains, mauritaniens, libanais, afghans, iraniens, turcs…qui vivaient paisiblement réfugiés en France, leur nouvelle patrie, intégrés ou en formation.

Les trublions islamistes et autres extrémistes leur font le pire tort. Ces intrus se sont arrogés le droit de briser le rêve de l’immigré qui a fui l’enfer pour refaire une vie nouvelle avec les siens en France. Et pourtant la France a laissé la situation se dégrader.

Accepter que la racaille tue ce rêve du migrant désirant simplement travailler voire s’intégrer en France est criminel.

La racaille maintenant a assez vécu et prospéré sur le terreau de ceux migrants qui ont l’espoir et veulent s’en sortir, vivre : les mauvais minoritaires ne doivent pas chasser les bons.

Or, la France laxiste a laissé la racaille pourrir la vie des migrants qui ont cru et croient encore en un monde meilleur en venant en France.

Cette racaille quelle que soit son âge, sa condition, sa religion, sa couleur de peau n’a pas de droit de demeurer en France puisqu’elle tue l’espoir de ses propres congénères que la France doit protéger.

 

SOLUTIONS : ISOLONS LA RACAILLE..ENFIN LA LOI SUR L’IMMIGRATION ?

Rouvrons les camps d’accueil, de transit pour immédiatement séparer le bon grain de l’ivraie.

Faisons fi éventuellement de règles juridiques irresponsables que développent des défenseurs de droits larmoyants et déjantés qui aboutissent à priver de droits leurs propres congénères dans le seul but d’imposer leurs lois qui ne sont pas celles de la France.

Nombreux sont ces migrants qui soutenus par des structures associatives aspirent à vivre en paix, à refaire leur vie, à refonder avec leurs proches une famille à l’image encore récente de ces vietnamiens, cambodgiens, laotiens accueillis par les français.

Tous voulaient la paix puisqu’ils ont quitté l’enfer !

Il est donc insupportable de laisser agir au nom de la liberté ces idéologues ennemis de la liberté qu’ils volent à leurs congénères...et aux français.

L’expérience de ces 50 dernières années nous prouve que la France sait accueillir tous ceux qui souhaitent en choisissant la France s’instruire, se former pour une durée limitée ou même s’y installer définitivement.

Par contre, tous ceux qui provoquent les troubles aujourd’hui sont des criminels qui polluent cette France, terre d’accueil.

Il faut donc ne pas hésiter à les éliminer pour laisser l’espoir à leurs congénères bien intentionnés.

Avec les pays qui le veulent il est aussi toujours possible et souvent préférable de faciliter le maintien de candidats à l’immigration dans leurs pays d’origine en leur fournissant les moyens adaptés. La France a trop et surtout très mal donné aux Pays qui maintenant lui crachent dessus.

Les migrations bien gérées sont un enrichissement pour les pays d’accueil.

Le test de la volonté politique de vouloir bien gérer les flux migratoires se présente avec le projet de loi (référendum ?) qui traîne depuis début 2023.

Un mouvement fort au sein de la population française se dessine : le Président de la République doit répondre à cette demande...l’heure n’est plus aux discours mais aux actes.

 

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3 septembre 2023 7 03 /09 /septembre /2023 18:30
2017...en 2023 LES FRA?ÇAIS N'Y CROIENT PLUS

2017...en 2023 LES FRA?ÇAIS N'Y CROIENT PLUS

 

 

 

 

 

 

APPEL AU BON SENS POUR UNE FRANCE NOUVELLE

 

Chaque jour apporte son lot de drames de la décivilisation et le pouvoir politique répond à cette situation par des pantalonnades : des réunions festives d'élus où les EGOs s’étalent sans pudeur, s’invectivent…Droite,  Gauche, Extrémistes, Nupes, Ecolos… Cela n'est pas à la hauteur de l'inquiétude des français, cela n’a plus de sens.

Ce n’est pas avec des partis et autres groupuscules déconsidérés que la Confiance et l’Autorité seront rétablies.

Ce n’est pas avec du vieux que l’on pourra reconstruire du neuf auquel les citoyens croiront.

Les idéologues qui ont conduit les français au bord du gouffre sont disqualifiés. Irrémédiablement. Ils veulent et réussissent encore à  survivre dans une indifférence résignée alors qu’ils n’ont plus aucune crédibilité.

Les Présidentielles de 2027 ? Mais  les citoyens « s’en foutent » !  ils veulent des Services Publics qui retrouvent le chemin de leur mission : offrir le service de qualité pour lequel ils ont été missionnés :

Une Éducation qui éduque, qui recivilise,

Une Justice protectrice des libertés,

La Sécurité : c’est le droit de sortir de chez soi à toute heure sans avoir peur, 

La Sécurité c'est aussi un service de santé et une protection sociale qui retrouvent et puissent exercer leurs fonctions gratifiées  et gratifiantes pour tous les français,

La Sécurité, ce sont aussi des forces de maintien de l'ordre admirées et respectées tant à l'intérieur qu'à l'extérieur,

Des énergies au service de tous.

...

 

LES MOYENS POUR ATTEINDRE CES OBJECTIFS

Ce ne sont pas des mesurettes, des réformettes, de beaux discours qui redonneront à la France son élan pour le renouveau promis en 2017 par Emmanuel MACRON :" bâtir une France nouvelle" ," retrouver notre esprit de conquête".

Cette France Nouvelle n'est jamais née. Ce fut une duperie.

Nous le répétons : la France est un pays qui a une richesse insoupçonnée mais qui, en 2023, est confisquée par un État aussi tentaculaire que dépensier et par des serviteurs aujourd’hui souvent trop indignes des fonctions qui leur sont confiées. 

Soyons logiques : Pourquoi le citoyen payerait-il encore toujours plus des impôts et des centaines de taxes s’il sait que les sommes ainsi collectées seront particulièrement mal dépensées par un État budgétivore, impersonnel et  donc irresponsable ?

Les citoyens rouvriront leurs bas de laine pour bâtir cette France nouvelle à condition  qu'ils puissent avoir à leur tête des chefs avec qui ils signeront le contrat de confiance.

Ce contrat devra comprendre au minimum l'engagement de la réforme de l'État, d'un plan de vraie décentralisation qui est déjà  inscrite dans la Constitution, d'un objectif chiffré de réduction des dépenses publiques.

Recherchons les hommes nouveaux capables de rétablir avec ce contrat la confiance, l’ordre, la justice...et la France mobilisée avec eux se redressera.

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30 août 2023 3 30 /08 /août /2023 19:06
EDF,  UNE PERLE FRANÇAISE VICTIME DE L'ALLEMAGNE ET DES ÉCOLOS

EDF, UNE PERLE FRANÇAISE VICTIME DE L'ALLEMAGNE ET DES ÉCOLOS

 

 

 

 

L'ANCIEN PATRON D'EDF HENRI PROGLIO NOUS LIVRE SA TERRIBLE ET CONSTERNANTE ANALYSE ET SON VÉCU DE LA MISE À MORT D'EDF

 

 

 

 

Extrait du Site  "La lettre patriote" du 28 08 2023

L'Objectif Français avec EDF entreprise nationale:

HYDROLOGIQUE + NUCLÉAIRE = INDÉPENDANCE ÉNERGÉTIQUE DE LA FRANCE ET PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT

 

HENRI PROGLIO  (https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Proglio)

est intervenu au séminaire de la fondation Res Publica, pour évoquer la destruction planifiée d’EDF. Voici les meilleurs extraits de son intervention. Lisez, c’est dramatique.

"La destruction d’EDF, drame absolu, a été structurée, voulue et obtenue."

 

 

« La destruction d’EDF, drame absolu, a été structurée, voulue et obtenue.

(…)

La France a voulu son indépendance énergétique, l’a construite et l’a accompagnée à la fois industriellement et politiquement pendant soixante-dix ans.

En 1946 la France, dans un état difficile, pour ne pas dire plus, était dotée d’un vrai gouvernement – cela arrive de temps en temps par les hasards de l’Histoire – à l’époque gaulliste et communiste. Constat fut fait que ce pays qui avait tellement de défis à remporter se devait de mettre parmi les priorités le sujet de l’énergie. La France n’avait pas beaucoup de ressources propres, pratiquement pas de gaz, pas de pétrole, beaucoup moins de charbon que ses voisins. Elle était donc presque complètement dépendante de ses importations, chose qui n’avait pas échappé à la pertinence des politiques de l’époque. Si nous voulons construire un avenir pour ce pays, lui donner un atout, il faut résoudre ce problème, s’étaient-ils dit.

Ils s’étaient lancé trois défis : le défi de l’indépendance du pays en matière d’électricité, le défi de la compétitivité du territoire et le défi – communiste – de la construction d’un service public de l’électricité fondé sur des principes simples : l’accès de tous à ce service public, quels que soient la classe sociale et le lieu de résidence, au même prix et avec la même qualité de service.

(…)

Un peu plus de cinquante ans plus tard, au début du XXIème siècle, la France était exportatrice d’électricité, l’électricité française était deux fois moins chère que l’électricité allemande (et environ deux fois moins chère que la moyenne européenne) et le contrat de service public français faisait figure de réussite exemplaire dans le monde entier.

Enfin nous avions remporté un défi auquel nous n’étions pas confrontés au début de la période, celui des émissions de gaz à effet de serre. Si la France est vertueuse dans ce domaine, c’est parce qu’elle produit de l’électricité pratiquement sans émissions. Cela grâce au pari pris à l’époque qui reposait sur le choix technologique de l’hydraulique et du nucléaire. La France avait osé se lancer dans cette voie, avec les difficultés considérables que cela représentait, notamment des investissements colossaux réalisés sur une longue durée car ces installations (barrages, réseaux) s’amortissent sur près d’un siècle. Et nous constatons aujourd’hui que les centrales elles-mêmes peuvent dépasser les trente ans d’origine et les quarante ans actuels.

Ces choix avaient été compliqués.

En matière d’hydraulique il avait fallu faire des investissements lourds, à l’époque sans trop de difficultés, mais aussi surmonter les embûches liées à la nécessité d’engloutir des villages entiers. Tout avait été transféré, y compris les cimetières, mais il subsistait évidemment des réticences et la nostalgie des personnes qui voyaient disparaître leurs souvenirs de jeunesse. Toutefois les « écolos » étaient moins puissants à l’époque qu’aujourd’hui.

(…)

Il faut rendre hommage à tous les grands ingénieurs de cette tradition industrielle d’avoir réussi ce défi et aux politiques de l’avoir accompagné sans faillir, au-delà de toutes les turbulences du monde politique et de toutes les fluctuations des élections. On rappellera quand même que François Mitterrand qui, lors de sa campagne électorale de 1981, s’était engagé à arrêter le nucléaire, a construit sur ses deux mandats plus de centrales qu’il ne s’en est construit avant et même après. L’équipement a été continu, rendons-lui cet hommage.

Ces choix ont été réalisés. Donc au début du XXIème siècle la France a un atout considérable. Mais le monde qui nous entoure bouge. C’est à cette époque que l’on commence à parler de « tournant énergétique », que l’Allemagne se met à zigzaguer et aspire à une Energiewende. Les Allemands avaient en effet de quoi se préoccuper car leur électricité était essentiellement à base de charbon et surtout de lignite, qui est bien pire que le charbon (et auquel ils retournent actuellement d’ailleurs). En matière d’émissions de gaz à effet de serre, il n’y a pas mieux ! L’Allemagne a donc engagé des sommes gigantesques dans le renouvelable. À ce jour l’Allemagne a investi 600 milliards d’euros dans le renouvelable sur les 1000 milliards d’euros investis par l’ensemble des pays européens. 600 milliards d’euros qui ne servent à rien, qui ont fait exploser les deux grands électriciens : E.ON dans le Nord et RWE dans la région de la Ruhr. Au bord du dépôt de bilan, ces deux électriciens ont été sauvés par la République fédérale.

(…)

Les Allemands ne pouvaient pas supporter l’idée de garder à leur porte un pays, un concurrent, qui disposait d’un atout compétitif tel qu’EDF. Depuis vingt-cinq ou trente ans, l’obsession allemande est de détruire EDF. Ils y ont réussi.

Je n’en veux pas aux Allemands, ils ont défendu les intérêts allemands. J’en veux plus aux Français de ne pas avoir défendu la France.

Voilà le constat : nous étions à l’optimum et nous avons aujourd’hui plus qu’abîmé, détruit l’un des atouts majeurs que gardait notre pays dans le domaine de l’industrie et celui du service public.

(…)

quand j’ai pris les rênes d’EDF en 2009 tout le monde considérait, à juste titre, qu’EDF était le chef de file du nucléaire français.

Cela malgré les aboiements à la porte de ce qu’était devenue Areva.  

Areva a résulté du rapprochement entre les deux bouts de la chaîne, l’industrie et le retraitement. Et par ambition, folie ou vanité, elle est venue concurrencer EDF dans la maîtrise du système. Tout a à peu près tenu jusqu’à quelques événements qui ont progressivement acté la destruction du système, commencée au moment du gouvernement Jospin avec l’arrêt du Superphénix et l’hystérie de Mme Voynet. En effet les « roses » avaient besoin pour gouverner de l’appui d’un groupuscule qui n’avait comme vecteur de réflexion que l’anti-nucléaire. Et peu à peu on a multiplié les systèmes qui ont progressivement cassé la logique. Je cite simplement la contribution au service public de l’électricité (CSPE), mise en place dès 2003, une taxe énergétique ajoutée directement sur les factures d’électricité des consommateurs d’électricité français. Je me suis battu pour me faire rembourser la CSPE par le gouvernement français. Destinée en principe à la modernisation de l’outil, la CSPE sert en réalité à subventionner les énergies renouvelables : aujourd’hui, 80 % à 90 % de la CSPE part à destination des subventions pour le renouvelable. Le montant, environ 2 milliards par an collectés par EDF sur les factures des abonnés au titre de la CSPE, était ensuite reversé par EDF à l’État qui le distribuait aux heureux bénéficiaires. Et l’État oubliait de rembourser EDF. Je me souviens avoir eu à ce titre plusieurs fonds de roulement augmentés de 2 milliards par an. Quand cela a atteint 6 milliards j’ai décidé d’arrêter de payer l’État. Ce fut un combat acharné qui détournait évidemment des sujets essentiels. 

En 2010, sous la pression de Bruxelles, inspirée par qui on sait, la loi NOME (Nouvelle organisation du marché de l’électricité) a été votée alors que la droite était au gouvernement. La doctrine européenne repose sur un dieu, un veau d’or : la concurrence, le bonheur des peuples par la concurrence. « La liberté par le travail », proclamait-on en des temps tragiques, aujourd’hui, c’est le bonheur par la concurrence … tant il est évident que le monopole fait le malheur des populations ! 

(…)

J’ai assisté à ce spectacle, je me suis débattu, j’ai fait part de mon indignation au gouvernement. « La concurrence ! La concurrence ! » fut la seule réponse que j’obtins. De concurrence il n’y en a pas, il n’y a que nous qui produisons. Les autres vendent notre production à nos clients. « La concurrence va faire baisser les prix ! ». Non, cela ne va pas faire baisser les prix. 

Nous avons donc vendu à nos concurrents. On voulait m’imposer 36 euros le mégawatt/heure. Au bout d’un combat homérique j’ai arraché 42 euros, sous les hurlements des concurrents qui n’existaient pas. Le prix de revient (coût complet, y compris les provisions pour démantèlement, renouvellement, etc.) tourne aujourd’hui avec le parc nucléaire existant autour de 60 ou 65 euros. Pourquoi les 36 euros ? C’était le coût sec, le coût direct de production sans aucune prise en compte des provisions pour démantèlement, renouvellement, etc.

(…)

Quand vous assistez à tout ça il y a des moments où vous vous posez des questions en tant que patriote et en tant que citoyen mais vous vous battez quand même. C’est une drogue. S’ajoutaient à cela les attaques de l’ex-Areva. Ils avaient fait faillite entre-temps après avoir pourri le système. Mais pour éviter d’annoncer la faillite on avait fait acheter par EDF un outil industriel qu’elle ne sait pas gérer parce que ce n’est pas son métier. Ainsi va le monde.

Ça c’est pour le nucléaire. 

Le summum n’était pas encore atteint.

En 2012, parmi les candidats à la candidature socialistes figure mon ami Strauss Kahn, finalement empêché pour des raisons non professionnelles. Un certain François est alors choisi comme candidat PS et envoie l’incomparable Michel Sapin pour négocier l’accord PS-EÉLV. Ce grand homme (n’oubliez jamais son nom !) et Jean-Vincent Placé, le conseiller politique de la secrétaire nationale, se réunissent nuitamment, comme c’est la coutume. à 2 heures du matin Placé appelle en catastrophe Cécile Duflot : « Nous voulions demander l’arrêt de deux réacteurs nucléaires, les socialistes nous en proposent 24 ! » Il n’en revenait pas. Et, au petit matin blême sort le programme commun où figure l’arrêt de 24 réacteurs nucléaires. Quand vous êtes patron d’EDF vous n’avez pas le droit d’intervenir dans une campagne politique mais vous avez derrière vous 200 000 personnes qui attendent au moins une réaction de votre part à défaut de pouvoir intervenir, j’accepte une interview du quotidien Le Parisien. C’était la seule information du jour. « Ce n’est pas possible, on ne peut pas tuer le nucléaire, un atout formidable de la France, un million d’emplois : 250 000 emplois directs, 230 000 chez les sous-traitants et 500 000 chez les « électro-intensifs », ces entreprises qui ont choisi la France parce que nous avons l’électricité la plus compétitive ! ». Hurlements du candidat qui déclare dans une interview au Point : « Si je suis élu, les deux premiers dont je couperai la tête seront Squarcini et Proglio » (Squarcini est passé à la trappe, je suis resté). Réalisant quand même qu’il était allé trop loin, il appelle un de ses amis : « 24 c’est peut-être un peu beaucoup. Nous allons rectifier le tir. Quelle est la plus vieille centrale ? ». Fessenheim, lui répond son interlocuteur après avoir consulté internet. « Eh bien nous allons fermer Fessenheim ! ». Mais celui qui vient de consulter internet ne sait pas que l’on vient d’investir 1,5 milliard pour rénover Fessenheim, la centrale considérée comme la plus sûre et la plus moderne par l’ASN.

Là on arrive à un point de sidération.

Sans véritable débat, il est décidé, au doigt mouillé, comme l’ai dit à l’Assemblée nationale – que la part du nucléaire doit baisser à 50 %. Nous étions alors à 73 % ou 75 % … 50 % c’était un chiffre rond. La part du nucléaire fixée à 50 % vient de là. Évidemment la question de la provenance des autres 50 % n’a effleuré personne.

Dès ce moment-là le nucléaire a été condamné. 

(…)

Mais il fallait un peu plus étrangler la bête.

Il est décidé qu’EDF n’a plus le droit de gérer les réseaux qui lui appartiennent. RTE, le transporteur mais aussi un système d’optimisation, devient indépendant. Or qui dit indépendant dit déboussolé. Ce n’est pas une autorité, c’est une mission qui fait partie intégrante d’un système. RTE étant devenue indépendante EDF doit reconstituer sa capacité d’optimisation du système électrique hors RTE.

Comme la gangrène, cela s’est étendu aux réseaux de distribution. EDF n’a plus le droit de gérer les réseaux de distribution donc n’a plus accès aux clients. On a fait d’EDF un fournisseur indépendant d’énergie comme on en trouve dans les pays libéraux.

Ma fascination pour l’application scientifique de cette destruction massive n’a pas cessé. On a fracassé ce qui était le système de référence.

Mais on se réjouit : Nous allons construire des éoliennes en mer, c’est formidable ! De plus en plus loin des côtes pour qu’on ne les voie pas. Aujourd’hui c’est 12 kilomètres, bientôt ce sera 32 et dans quelques temps, quand les pêcheurs auront protesté, ce sera 50 kilomètres. Il faudra donc qu’elles soient flottantes car on ne pourra plus les ancrer. Cela devient totalement ruineux, sans parler des risques de tempêtes. Les éoliennes terrestres coûtent moins cher mais on a compris que les gens n’en veulent plus. Ils les saboteront s’il le faut, comme les portiques sur les autoroutes … je n’ai pas trop de craintes pour les éoliennes terrestres, le peuple s’en chargera. 

 

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10 août 2023 4 10 /08 /août /2023 18:23
MANTES LA JOLIE : LA MAISON DE QUARTIER DU VAL FOURRÉ INCENDIÉE, NUIT DU 28 AU 29 JUIN 2023

MANTES LA JOLIE : LA MAISON DE QUARTIER DU VAL FOURRÉ INCENDIÉE, NUIT DU 28 AU 29 JUIN 2023

 

 

 

ÉMEUTES JUIN JUILLET 2023

 

Vous pouvez voir (ci-dessous) le cœur de ville MONTARGIS, paisible ville moyenne du LOIRET, incendié où 300 jeunes émeutiers ont imposé leur loi (nuit du 29 au 30 juin 2023) face aux maigres forces de l’ordre (50 policiers et gendarmes qui ont dû abandonner le terrain aux émeutiers !).

 

Le Président de la République et son épouse étaient ce soir-là à l’Accor ARENA de BERCY au concert d’adieu d’Elton JOHN ! Nous espérons que le couple présidentiel n'a pas été gêné par les fumées des incendies et les odeurs de gaz lacrymogènes en provenance de la banlieue OUEST de PARIS où les émeutiers faisaient eux aussi la fête avec les moyens dont ils disposaient : FRANCE, réveille-toi ! la maison brûle !

 

 

D’AUTRES DONNÉES CHIFFRÉES À NE PAS OUBLIER

 

900 policiers blessés

35 pompiers blessés

3 625 personnes ont été placées en garde à vue, dont 1 124 mineurs, 990 ont été présentées à un juge, dont 480 jugées en comparution immédiate, 380 ont été incarcérées

12 000 véhicules incendiés

1 000 commerces détruits dont 400 bureaux de tabac (devinez pourquoi ?)

23 000 feux de voie publique

2 500 immeubles privés et publics endommagés ou détruits :  première estimation publique 600 millions de dégâts...on devrait dépasser ce chiffre. Le dommage total s'élèverait, en première estimation, à plus d’un milliard d’euros .

 

À SUIVRE :

L’ÉCHEC DE LA MISSION DE L’ÉTAT DANS SA COMPÉTENCE ÉDUCATIVE ET SÉCURITAIRE : RÉAGIR

COMMERCES ET BANQUE EN FEU À NANTERRE

COMMERCES ET BANQUE EN FEU À NANTERRE

MONTARGIS APRÈS LE PASSGE DES ÉMEUTIERS

MONTARGIS APRÈS LE PASSGE DES ÉMEUTIERS

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31 juillet 2023 1 31 /07 /juillet /2023 20:34
OÙ EST PASSÉ LE PRÉSIDENT DE LA FRANCE ? DES BAINS DE FOULE AU DÉSERT DE L'ELYSÉE, CHÂTEAU HANTÉ ?

OÙ EST PASSÉ LE PRÉSIDENT DE LA FRANCE ? DES BAINS DE FOULE AU DÉSERT DE L'ELYSÉE, CHÂTEAU HANTÉ ?

 

 

 

 

LA SOLITUDE DU POUVOIR ET LE POUVOIR SOLITAIRE INUTILE

 

Quelle époque étrange vivons-nous aussi sur le plan institutionnel !

Avec l’instauration du quinquennat en 2000, La France pouvait  espérer un nouvel équilibre des pouvoirs au sein de l’Exécutif. C’était au moins l’hypothèse qui fondait la Réforme Valéry Giscard D’Estaing/ Jacques CHIRAC.

Le quinquennat consiste en un mandat présidentiel d’une durée réduite à 5 ans. Il a été introduit dans la Constitution par la loi constitutionnelle du 2 octobre 2000 pour éviter le renouvellement de la cohabitation !

C’était une belle erreur car le pouvoir ne cesse de se "présidencialiser" malgré un Parlement hostile et une France qui ne fait plus confiance en son Président.

Ainsi la solitude actuelle du Président se concrétise aussi au niveau de l’exécutif ; d’un côté le Président et son équipe pour plus exactement ce qu’il en reste, de l’autre, le Gouvernement et son chef la Première Ministre. À eux deux, ils ne forment pas ce que la Constitution a voulu.

Ce mariage non consommé est incongru. Nombreux sont les constitutionnalistes qui s’interrogent d’ailleurs sur la nécessité d’avoir un gouvernement et un Premier Ministre tant les prérogatives que s’est octroyées Emmanuel MACRON réduisent à néant celles du Premier Ministre et de son gouvernement.

Sur le plan institutionnel, le Président MACRON est devenu un homme de pouvoir isolé : pas de parti pour le soutenir, plus d’allié dans le monde. Il est bien seul.

 

LA SOLITUDE PRÉSIDENTIELLE DÉPASSE LE PLAN INSTITUTIONNEL

La France et la Presse découvrent en ce début de quinquennat non pas seulement la solitude du pouvoir au sommet de la hiérarchie des Institutions mais la grande solitude dans toute sa splendeur.

Le Président s’isole dans le petit luxe de sa résidence de la Lanterne à l'ombre du Château du Roy Louis le Quatorzième.

Cette solitude s’est parfaitement illustrée pour ce 14 juillet 2023 sans foule sur les Champs Élysée, sans discours présidentiel...la France n’a pas fêté sa fête nationale ! Pour respecter la solitude présidentielle ?

Cette solitude fut évidente quand il s’est agi de donner son aval pour un remaniement ministériel : pas de volontaires pour la place de Premier Ministre et pas de proches sûrs pour constituer un gouvernement renouvelé et performant.

Après les émeutes de fin juin, début juillet, le Président, après les avoir méprisés, a voulu se réconcilier avec les élus de base... Son invitation du 4 juillet fut un fiasco. Le Président ne trouve même plus les moyens et les mots pour panser les plaies.

Le Président s’isole de plus en plus. Et tout un peuple le voit, le sent, le sait.

Bientôt, lui qui adore ferrailler, ne trouvera plus d’adversaires avec qui se battre.

Il ne suffit d’avoir fait passer sa réformette sur les retraites avec un entêtement de l’homme qui ne veut pas céder pour réussir à redevenir le jeune Chef de l’État sur qui reposaient les espoirs de la France.

Depuis les Gilets Jaunes, la série des échecs comme la catastrophique gestion de la crise sanitaire, celle des retraites, celle des banlieues, de la dette, de l'hôpital ... a fait découvrir un homme inadapté à la fonction de Président qui ne croit et n’écoute que lui. Un homme seul avec son pouvoir inutile.

Le ressort de la machine à gagner est cassé et le refuge qu’est la solitude signe la nécessité de l’envoyer à la casse le plus vite possible pour éviter de nouveaux accidents.

Ainsi, nous comprenons mieux le titre de la UNE de l’hebdomadaire « le Point » :  «  Y a-t-il encore un président ?»

 

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26 juillet 2023 3 26 /07 /juillet /2023 19:59
LA CONSTITUTION ELLE S'IMPOSE POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

LA CONSTITUTION ELLE S'IMPOSE POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

 

 

IL FAUDRA SANCTIONNER LES FAITS D’AUTORITARISME DU CHEF DE L’ÉTAT

 

L'autorité étatique est l'autorité qui émane de l'État. Ce dernier dispose d'une personnalité juridique et d'une autorité légale, s'appuyant sur le droit.

En l’occurrence, le droit c’est celui qui est édicté par la Constitution et ce d’autant plus que celle-ci a été approuvée par un vote du peuple français .

L’autoritarisme

L'autoritarisme consiste en une prééminence, une hypertrophie de l'autorité, érigée en valeur suprême. Un régime politique autoritaire est un régime politique qui par divers moyens (propagande, encadrement de la population, répression) cherche la soumission et l'obéissance de la société.

Nous le répétons : l‘autorité cela se mérite sinon c’est de l’autoritarisme. Car l’autorité publique est au service du bien commun et ses déviances conduisent à tous les abus de pouvoirs.

 

CERTAINES MANIFESTATIONS DE L’AUTORITÉ SONT DES EXPRESSIONS NON DE L’AUTORITÉ DE L’ÉTAT MAIS CELLES DE L’AUTORITARISME DU CHEF DE L’ÉTAT

Ce que nous avons vécu concernant le pseudo remaniement ministériel sont bien l’expression indubitable de l’autoritarisme

Nous l’avons dit et répété notre Constitution a créé un exécutif bicéphale : Le Président de la République et le Premier ministre avec son gouvernement

La compétence du Gouvernement est ainsi définie sans ambigüité par la Constitution.

 

ARTICLE 20.

Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation.

Il dispose de l'administration et de la force armée.

Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50.

ARTICLE 21.

Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. Il est responsable de la défense nationale. Il assure l'exécution des lois. Sous réserve des dispositions de l'article 13, il exerce le pouvoir réglementaire et nomme aux emplois civils et militaires.

C’est le gouvernement qui conduit la politique de la nation et c’est le Premier ministre qui dirige l’action du Gouvernement. C’est le Premier Ministre qui propose les Ministres au Président de la République qui les nomme.

En annonçant le programme de gouvernement le Président de la République fait œuvre d’autoritarisme

En décidant le remaniement ministériel que nous venons de vivre le Président de la République fait preuve d’autoritarisme

« Le recours fréquent à des remaniements ministériels par le président Macron jette une lumière crue sur la dérive présidentialiste du pouvoir et la dévaluation des responsabilités ministérielles. »

En parlant de « son » gouvernement le Chef de l’État fait preuve d’autoritarisme et dévoie la lettre et l’esprit de la Constitution.

Le résultat est la dévalorisation de la fonction ministérielle et la consécration d’une volonté hégémonique du Chef de l’État. Affaiblir le pouvoir du Gouvernent et du Premier Ministre au profit du Chef de l’État c’est dévoyer la Constitution.

 

Si le Chef de l’État s’adressant au peuple et aux ministres fait une leçon sur l’EXEMPLARITÉ il se doit lui-même d’être exemplaire...ce qui n’est pas le cas dans ce que nous venons de vivre.

 

En dépouillant le Gouvernement de ses prérogatives, le Chef de l’État fait preuve d’autoritarisme.

 

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23 juillet 2023 7 23 /07 /juillet /2023 18:23
DERRIÈRE CE DRAPEAU À BRUXELLES COMBIEN D'AGENTS DES LOBBYS GRENOUILLENT ?

DERRIÈRE CE DRAPEAU À BRUXELLES COMBIEN D'AGENTS DES LOBBYS GRENOUILLENT ?

 

 

 

 

 

UN LOBBY, CE N’EST PAS UNE LUBIE MAIS UN RÉALITÉ QUI EST CAPABLE DE FAIRE BEAUCOUP DE DÉGÂTS

 

Nous allons illustrer ce danger par 3 exemples qui nous touchent tous...mais si vous saviez leur puissance et leur multitude par exemple,  en matière économique, droits de l’homme, sécurité, agriculture... à Bruxelles !

 

LGTB

C’est l’art des minorités d’en imposer à la majorité trop tolérante et trop silencieuse.

Le mouvement lesbien, gay, bisexuel, transgenre est le modèle type de structure qui prétend représenter des minorités souvent victimes de discriminations voire pires mais qui exploite toutes occasions pour que les minorités imposent leurs lois à la majorité. Pensons à la destruction de la notion de famille, à celle d’autorité...

 

FNSEA : FÉDÉRATION NATIONALE DES SYNDICATS D’EXPLOITANTS AGRICOLES

Si l’on veut expliciter ce qu’est réellement ce pseudo Syndicat, nous donnerons l’exemple des exploits de son ancien Président Xavier BEULIN, décédé brutalement en 2017. Il fut au cœur du groupe d’Avril (Crédit Agricole, Natixis, Unigrains et une nuée d’organismes professionnels agricoles) et Président de la FNSEA

Xavier Beulin est l’indestructible, le faiseur de ministres, lié au grand patronat. Il a défendu la politique de l’industrialisation de l’agriculture française. Il a lancé cette révolution qui a tué des dizaines de milliers d’exploitations agricoles et en même temps l’environnement. Il connaissait les projets de loi mieux que les ministres de l’Agriculture et avant même que ceux-ci en aient pris connaissance !

 

ÉCOLOGISTES

C’est le mouvement à qui nous devons le projet de fin du nucléaire qui a massacré l’industrie française et la recherche en trompant ceux qui les ont crus. C’est un mouvement soutenu par des lobbys américains et allemands à qui nous devons aujourd’hui la perte de notre indépendance en matière d’énergie,  la situation de pénurie en eau potable, des pertes énormes en matière de recherche et de chercheur...

Ce mouvement va continuer son œuvre destructrice de la France en noircissant le tableau climatique et en tentant d’imposer des solutions irréalistes de remplacement qui ruinent l’économie et le tout dans la plus pure impunité et mauvaise foi. Preuve de son incompétence : Il a toujours montré son incapacité à s’organiser. Preuves des dégâts : nous les vivons tous les jours !

 

Il faudra bien un jour réagir et s'attaquer à ce fléau nommé LOBBY ! Cela se nomme moraliser la vie économique, sociale, politique ...

 

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22 juillet 2023 6 22 /07 /juillet /2023 15:45
LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

LE PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

 

 

 

 

 

LE TOUR D’HORIZON DU PRÉSIDENT D'EMMANUEL MACRON

 

L’exercice de communication du Président MACRON devant les Ministres ce vendredi 21 juillet était très difficile voire suicidaire. Il a refusé de faire campagne en 2022, il a refusé de faire le bilan de son premier quinquennat et il essaie apostériori maintenant de combler ce vide car il subit les conséquences du fait que la France ne sait pas où elle va. Nous reprenons l’analyse de ces 25 minutes d’intervention déroutante : aveux,  directives et auto-satisfaction...

 

ALLUSION AU DOSSIER DE L’EX-MINISTRE MARLÈNE SCHIAPPA ? EXEMPLARITÉ FONDS MARIANNE

De l’intervention du Président MACRON en préliminaire du Conseil des Ministres de ce 21 juillet 2023 nous retenons, entre autres termes abordés, le mot fort sur le plan éthique, le terme « EXEMPLARITÉ » qui, dans la bouche du Président MACRON, ne manque pas de sel.

Certes, morale et politique ne font pas très bon ménage et revenant sur ce thème le Président a pris soin de dire à l’adresse de ses ministres que ce sont les incartades des membres du Gouvernement qui sont une cause du fait que « les gens ont perdu la confiance » en leurs élus.

Nous ne nous étendrons pas sur le dossier du confident du Président son Secrétaire Général de l’ÉLYSÉE Alexis KOHLER inculpé depuis 2022 par le Parquet National Financier PNF au motif de prise illégale d’intérêts. Nous ne reviendrons pas non plus sur le dossier BENALLA !

Le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président.

 

Les ministres nouveaux et les autres plus anciens ont dû être étonnés de cette leçon de morale donnée par le Président qui a protégé Marlène SCHIAPPA y compris après l’enquête du Sénat qui a au moins eu l’intérêt de faire apparaitre presque toute a vérité.

On peut imaginer tout le mal que Marlène SCHIAPPA a pu faire quand nous, vous, tout le monde avons découvert qu’elle avait réussi à « escroquer » 2,5 millions d’euros d’argent public pris sur un reliquat de budget de l’année précédente (2020) .

Madame Marlène SCHIAPPA n’a pas détourné des fonds publics à son profit personnel  mais elle a distribué cette somme de manière totalement obscure et douteuse : deux enquêtes sont encore en cours une pénale devant le PNF et l’autre par l’Inspection Générale de l’Administration.

Nous notons que le PNF fait plus de diligences pour instruire ses affaires quand il s’agit d’ennemis politiques du Président. Rappelons que le PNF est un bout de juridiction d'exception où les magistrats qui officient ont un statut privilégié.

Il faut quand même ajouter que la distribution cette manne n’était pas innocente elle était faite pour aider des initiatives en général du monde associatif à proposer des projets d’actions de lutte contre la discrimination, le racisme ; le communautarisme...suite au meurtre atroce de l’enseignant Samuel PATY

Il est reproché à Madame Marlène SCHIAPPA d’avoir utilisé ses fonds pour financer un formidable outil de communication à son profit.

 

On comprend ainsi la gêne du Président à parler à ses ministres et à la France de son exigence d’Exemplarité  : efficacité, continuité, probité...

 

LE DÉLABREMENT DES FINANCES PUBLIQUES ?

Nous avons aussi retenu de ce propos présidentiel cette phrase que le Président a d’ailleurs eu du mal à prononcer et qui peut cacher une très mauvaise surprise « Nous aurons, dès la rentrée, à préparer en quelque sorte le pays pour un cadre exigeant et l’ordre en matière de finances publiques ».

Le "en quelque sorte" a eu du mal à sortir de la bouche présidentielle.

Les finances publiques françaises sont donc en désordre. Nous en prenons acte et posons la question : qu’avez-vous fait, Monsieur le Président, pour redresser cette situation que vous jugez maintenant critique « quoiqu’il en coûte ! »

Le Président MACRON semble souffrir d’amnésie et oublier son long passage au Ministère des Finances dont la période2014/2016 ? Qu’a-t-il fait pour sauvegarder les finances publiques ? Puis plus récemment comme Président il a fait flamber la dette publique et les déficits publics.

Décidément nous ne comprenons rien à la politique vue par le Président MACRON et le fameux« faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais ».

Le Président était bien au courant en aout 2022 des difficultés financières de la France quand il déclarait la fin de l’abondance :

« Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance, celles des liquidités sans coût, (…) la fin d’abondance de produits, de technologies qui nous semblaient perpétuellement disponibles, (…) la rupture des chaînes de valeur, (….) la fin de l’abondance de terre ou de matière et celle de l’eau »

 

Rappel REPLAY pour ceux et celles qui voudraient entendre ce monologue présidentiel de 25 minutes sur le quinquennat N°1 du Président et l’annonce un peu clandestine qu’il fixe un CAP cette fois après plus d’un an en fonction pour ce nouveau quinquennat.

 

https://www.youtube.com/watch?v=FaxoLme-1lM

 

 

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