LA GUERRE, CE FLÉAU

Nous investissons beaucoup de temps à tenter de déchiffrer l’actualité ...déjà, dans le passé et en remontant depuis la nuit des temps la folie humaine génère les guerres et tous les malheurs qu’on peut leur imputer.

En ce vingt et unième siècle cette macabre tradition perdure et les moyens modernes de destructions et de transmissions des informations ne peuvent qu’amplifier les dommages ravageurs de ce fléau que l’homme semble ne pas pouvoir ou vouloir réduire.

C’est une marche en avant vers les inévitables conflits qui pouvaient intervenir dans les temps anciens avec des moyens rudimentaires devenus en 2025 des outils terrifiants de destruction massive.

LA GUERRE SPÉCIALE EN UKRAINE 

Aujourd’hui en Europe, on est face à une guerre qui ne peut pas dire pas son nom.

L’UKRAINE EST UN GRAND PAYS, LA RUSSIE N’EST PLUS UN GRAND PAYS 

C'est peut-être une cause de la guerre mais si c'est cela alors c'est incompréhensible !

La guerre qui dure pourrait être idéologique compte tenu du parcours de son chef russe POUTINE.

Elle est en partie guerre civile entre « russophones ». Simplifions : une partie, la Russie, est un État impérialiste envahisseur d’un État indépendant. L’autre partie, l’Ukraine est un État souverain. En effet, la Russie a reconnu la souveraineté de l’Ukraine dans les accords de MINSK signés par la Russie !

Elle est aussi en partie économique : l’Ukraine est riche de son agriculture et des richesses de son sous-sol que le Président POUTINE voudrait bien « reconquérir».

LA PAIX NE RÉSOUDRA PAS LES CAUSES DU CONFLIT PAS CLAIRES 

Le bilan de ce qu’on pourrait appeler un « conflit » sera tragique et il est effectivement grand temps que cela cesse. 

Mais s’il y a la paix entre ces deux pays cela ne pourra signifier que le « conflit » sera réglé. En effet les causes du conflit ne sont pas claires. D’abord parce que le belligérant ukrainien n’a pas de motif sérieux avancé d’en vouloir à la Russie. Elle ne fait que se défendre au mieux de ses moyens.

Il est donc difficile de bâtir un plan de paix quand les deux belligérants ne peuvent donner clairement les causes et revendications qui les ont entraînées dans leur conflit. Pourtant, c’est aisé pour l’Ukraine « envahie » mais pour la Russie nous ne trouvons pas de justifications admissibles et compréhensibles de leur vindicte contre leur voisin.

Nous devons donc reconnaitre que les analyses que nous pouvons faire avec prudence ne peuvent être éclairantes sauf que pour aboutir à une paix durable, il faudra beaucoup de patience et de diplomatie aux       « médiateur » pour aboutir à une paix durable : quelle guerre fratricide et incompréhensible. Qu’importe :  pas de vainqueurs, pas de vaincus mais la paix ! Vite, la paix !