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24 octobre 2022 1 24 /10 /octobre /2022 21:22
 MACRON 2 en 2022

MACRON 2 en 2022

 

 

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE UN « ARBITRE » DIT LA CONSTITUTION DE 1958

 

2022, DÉBUT D’UN NOUVEAU RÈGNE AVEC UN PRÉSIDENT POUR L’INSTANT AFFAIBLI

MACRON  1 (2017/2022) se présenta en 2017 aux élections présidentielles et les français ont choisi l’espoir du changement qu’il représentait.

Ces espoirs furent déçus à tel point qu'au deuxième tour des élections législatives en juin 2022 les électeurs ont refusé au Président réélu la majorité à l’Assemblée Nationale avec, en prime, une abstention record. Après l’élection de l’homme qui, en 2017, représentait l’Espoir, c’est donc un constat de déception qui a été acté en juin 2022.

Rappelons les chiffres ravageurs des élections des législatives 2022

48, 5 millions d’électeurs

Abstention record 53,77 % : plus de la moitié des français ne croit plus en la force de son bulletin de vote et pire aux abstentionnistes il faut ajouter 7,6 % de bulletins nuls et blancs

Résultat : 245 députés dit de la majorité sur 577 députés.

On retrouve la transcription de l’ambiance pessimiste dite de lassitude de la population pour la chose publique.

 

UNE SITUATION NÉCESSITANT UN POUVOIR FORT, STRUCTURÉ ET RASSEMBLEUR

En effet, dans cette période de début de quinquennat les difficultés se cumulent :

  • La guerre à la porte de l’Europe et toutes ses conséquences,
  • Une économie mondiale chancelante frappée par une inflation très importante, avec des secteurs en crise,
  • Une crise sociétale qui se retrouve en matière de sécurité, d’éducation, de gestion des flux migratoires,
  • Une nouvelle crise de confiance des citoyens vis-à-vis de leurs dirigeants,
  • Une situation institutionnelle nouvelle et difficile à gérer : une assemblée nationale comprenant une  "majorité " et trois oppositions qui unies sont majoritaires.

Face à cette situation, nous nous devons tenter de ne pas adopter une posture critique vis-à vis des gouvernants dont on ne peut contester la légitimité...il faut désormais faire avec ! Mais il faut veiller.

 

MACRON 2, LE PRÉSIDENT QU’IL NOUS FAUT : UN ARBITRE

Rappelons les propos du Président MACRON le mercredi qui suivait le vote du second tour des Législatives du 19 juin 2022 :

« J'entends et suis décidé à prendre en charge la volonté de changement que le pays a clairement exprimé » parce que « c'est mon rôle comme garant de nos institutions ». Prenons le Président MACRON aux mots qui l'engagent devant la Nation.

Accolons à cet engagement le rôle qu’attribue l’article 5 de la Constitution au Président de la République qui « veille au respect de la Constitution et assure PAR SON ARBITRAGE le fonctionnement des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégralité du territoire et du respect des traités. »

Pour le vote du budget 2023, le passage en force avec l’usage de l’article 49-3 est l’expression contraire à une méthode qui se voulait être fondée sur la recherche du compromis. La raideur du propos de la Première Ministre en rajoute et elle est aussi contraire à l’objectif de la recherche du compromis entre le Gouvernement et l’Assemblée Nationale.

Nous, citoyens, constatons donc aujourd’hui :  

  • Que le pouvoir reste totalement contrôlé par l’Élysée qui se mêle de tout et que le Gouvernement devient ainsi une institution marginalisée alors qu’il devrait être le lien et le liant entre le Parlement et l’exécutif et un « partenaire conseil » du Président voire un « fusible »,
  • Que nous venons de vivre lors des derniers débats à l’Assemblée Nationale et l’utilisation du 49-3 une méthode qui ne correspond à celle des compromis et transparence promise par la Président de la République en personne. Cette méthode ne peut donc pas aboutir à rétablir l’autorité du Président et à sa reconnaissance par le Parlement,
  • Que le Président continue à descendre dans l’arène au lieu d’être l’arbitre au-dessus de la mêlée. On le voit bien avec la gestion de la crise du carburant. Ce n’est pas un arbitre mais un joueur qui se met en danger lui-même et sa fonction.
  •  Que le Président, chef de l’État « garant de l’indépendance de la France » doit superviser voire diriger la politique étrangère. Il faut vis-à-vis du monde un Président français qui s’impose en se consacrant à cette tâche avec la hauteur de vue qu’impose au monde le passé d’une France reconnue et écoutée.

Il va donc falloir que le peuple français et les institutions gardiennes du bon fonctionnement de l’État réussissent à imposer au Président de la République qu’il se consacre à ses hautes fonctions présidentielles et protège son rôle d’arbitre dans toute sa plénitude et que ce soit le Gouvernement qui assume l’intendance. La France doit demeurer une démocratie parlementaire exemplaire.

 

 

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22 octobre 2022 6 22 /10 /octobre /2022 10:35
MARIANNE BAILLONNÉE

MARIANNE BAILLONNÉE

 

 

DÉSINFORMATION ET LIBERTÉ D'INFORMATION

 

Dans la période électorale que nous avons vécue en cette année 2022 la presse a gardé encore sa mauvaise "presse" et le nombre de lecteurs continue à s'éroder.

La liberté d'expression, la liberté de la presse, l’accès à l'information, la clause de conscience du journalisme

(l'article L7112-5 3° du Code du travail)...beaucoup de mots forts furent prononcés et ont caché une réalité d'une information complexe et sombre "on ne vous a pas tout dit".

 

LA SURVIE DE LA PRESSE

En France, la presse en général et la presse d'opinion en particulier ne vit que grâce aux perfusions sous forme de subventions et autres aides  : aides directes aux organes de presse, aides à la distribution, aides à la modernisation, TVA réduite, avantages fiscaux aux journalistes...L'ensemble représente environ un budget annuel estimé à 1 milliard d'euros avec une courbe ascendante impressionnante!

 

QUI DIT AIDES DIT DÉPENDANCE ET LE FRANÇAIS NE CROIT PLUS EN SA PRESSE SOUS TOUTES SES FORMES

Qui dit aides dit perte de liberté ...quand un organe de presse est dépendant de subventions c'est sa liberté qui est mise en cause et aujourd'hui la presse et les médias en général ont du aligner leur conception de la liberté d'expression en acceptant des compromis et compromissions.

Ajoutons une autre forme de dépendance : le rôle de puissance occulte des GAFA auxquels il faut ajouter au moins Microsoft.

Nous avons attendu que retombe la fièvre électorale très relative pour ces élections de 2022 pour vous livrer cet exemple de désinformation figurant ci-dessous. Exemple choisi et particulièrement choquant quand on le relit avec quelques mois de recul.

De plus, depuis quelques semaines, nous souffrons particulièrement de ce mal où les fais divers, le climat et ses aléas et les suppositions sur ce sujet ressassées comme des certitudes scientifiques nous inondent et occultent peut-être volontairement au moins en partie les vrais problèmes à expliquer aux français comme ceux de l'insécurité, l'inflation et ses vraies causes, les malaises dans l'Éducation et dans la Police (dossier réforme impossible de la Police Judiciaire), l'accueil des immigrés (volontaires ou pas), le déficit budgétaire, le malaise de la politique étrangère française, le malaise dans les Universités où s'affrontent des courants de pensées déstructurants qu'il serait bon d'expliquer, la maladie du système de santé français  ...

 

LA NON INFORMATION DÉSINFORMATION PAR Daniel BALCAEN

Le 27 mars 2022, Éric ZEMMOUR rassemblait plus de 60.000 personnes sur la place du Trocadéro.

De ce rassemblement, les médias n’ont pas retenu le discours de plus d’une heure d’un souffle et d’une hauteur rares. Ils n’ont pas non plus retenu le calme de la foule, l’absence totale de dégradation (aucune voiture brûlée, aucune vitrine brisée, aucun tag sur les murs) ni l’absence totale de violence contre les forces de l’ordre.

Ils n’ont retenu que 10 secondes pendant lesquelles une partie de la foule a scandé « Macron assassin ».

Le 13 avril, quelques dizaines d’étudiants d’extrême-gauche ont envahi la Sorbonne pour protester contre les deux candidats du second tour (le Capitalisme et le Fascisme…). Résultats : des portes défoncées et des tags sur les murs d’un bâtiment historique. Et parmi ces tags un « Buter Macron ». Un appel direct au meurtre donc. Qui n’a pas suscité de réaction de la part des médias ou de la classe politique.

Apparemment, appeler à tuer le Président de la République est beaucoup moins grave que de l’accuser de complicité d’assassinat.

Si les journalistes se demandent pourquoi leur profession est si méprisée par les Français, il y a peut-être là une piste. Notons aussi, parmi les tags, un « Niqué lé flics ».

Thomas d’Aquin, Du Bellay, Ronsard, doivent se retourner dans leurs tombes. Mais il n’est pas certain que ces « étudiants » de gauche sachent qui ils sont.

Publié sur "La Lettre patriote"

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21 octobre 2022 5 21 /10 /octobre /2022 09:18
SUR LES MURS D'UNE MAIRIE !

SUR LES MURS D'UNE MAIRIE !

 

 

 

" LA LIBERTÉ  ET LES LIBERTÉS"

 

La devise de la République est « Liberté, Égalité, Fraternité »

Trois mots forts qui sont la colonne vertébrale de nos institutions et pourtant le paradoxe est que dès qu’il est question d’une liberté c’est pour l’encadrer : l’encadrer pour la sauver ?

Ce n’est pourtant pas le hasard si c’est le mot « liberté » qui est mis en premier dans cette trilogie fleurit sur nos murs et est gravé dans la Constitution de 1958 dans son article 2. 

La déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen approuvée le 26 août 1789 a dans son article 1 installé dans notre société la notion de liberté « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune ».

 Nos constituants ont pris soin dans l’article 2 de la définir : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. » en même tenter de la définir : « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ».

 

À PARTIR DE CES PRINCIPES, LES APPAREILS LÉGISLATIFS, RÉGLEMENTAIRES, JUDICIAIRES TENTENT D’ENCADRER LA ET LES LIBERTÉS POUR SAUVER LA LIBERTÉ

De cette notion de « liberté » découle donc des droits et des devoirs. Il ne faut pas qu’au nom d’une liberté des citoyens étouffent des libertés fondamentales. Il faut un équilibre qui est complexe entre l’exercice des libertés ...qui ne peuvent qu’il soit « nui gravement à autrui » comme il est écrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.

Ainsi, le droit de grève fut inscrit dans le préambule de la Constitution de 1946 mais fut vite encadré par des lois ? Cette pratique était et elle demeure impérative.

Le droit de grève est donc, par nécessité, encadré : l’ordre public, la sécurité, le bon fonctionnement et la continuité des services publics sont des limites naturelles au droit de grève.

Ainsi sont justifiées les réquisitions ...les grévistes quelques soient leurs motivations ne peuvent mettre en danger la vie d’autrui. Ils ne peuvent que de manière "proportionnée" restreindre la liberté de circuler. Ils ne peuvent porter atteinte au bon fonctionnement des outils vitaux dont ils sont responsables ?

On le voit donc clairement l’exercice du droit de grève se heurte à l’exercice d’autres libertés et droits reconnus : se déplacer, s’exprimer, être soignés...

On pourrait ainsi indéfiniment fixer des règles qui légalement restreindraient le droit de grève. En effet, l’abus du droit de grève pourrait, si l’on y prête garde, aboutir à un encadrement du droit de grève tel qu’il serait réduit quasiment à ce que la grève ne soit plus possible !

La liberté de cesser le travail, de faire grève et de ne pas faire grève n’est donc pas un droit indépendant et  sans limite. Le doit de grève n’est pas au sens strict constitutionnel et donc il ne pourra subsister que si son utilisation reste compatible avec l’exercice pour tous des autres libertés fondamentales.

 

 

 

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19 octobre 2022 3 19 /10 /octobre /2022 14:39
L'ASSEMBLÉE NATIONALE : SIÈGE DE 577 DÉPUTÉS

L'ASSEMBLÉE NATIONALE : SIÈGE DE 577 DÉPUTÉS

 

 

 

UN GOUVERNEMENT RESPONSABLE DEVANT L’ASSEMBLÉE NATIONALE ?

19 octobre 2022 : C’est la journée du 49-3...voit texte ci-dessous

Encore un sujet où les citoyens ont du mal à s’y retrouver et où les médias ont le droit de dire n’importe quoi : 3 chiffres mystérieux 4 9 3 ?

Le 49-3 : C’est la procédure constitutionnelle qui donne le pouvoir au Premier Ministre de demander aux députés (Assemblée Nationale) l’application de la procédure de l’article 49-3 sur tout ou partie d’un texte de projet ou proposition de loi.

Le Gouvernement en utilisant le 49-3 engage ainsi sa responsabilité : ou cela passe ou cela casse. Cela c'est le texte ! La motion de censure depuis 1958 n'est passée qu'une seule fois.

C’était le 5 octobre 1962. Le Gouvernement POMPIDOU a été censuré sur son texte sur l’élection au suffrage universel direct du Président de la République qui été écarté par une motion de censure : 280 voix pour une Assemblée de 480 députés ...c’est la seule motion de censure déposée (sur 87 déposées) qui a été adoptée depuis le début de la V ème République. Le Gouvernement POMPIDOU a démissionné et le Président de Gaulle a dissout la Chambre des députés et fait faire des élections anticipées.

Pourtant, la seule réplique efficace au  passage en force du Gouvernement par application du 49-3 appartient aux députés par la procédure de la motion de censure (article 49-2).

 Aussi, nous nous permettons de mettre en ligne cet article où vous apprendrez peut-être que le Gouvernement présidé par Madame Élisabeth BORNE est « responsable » constitutionnellement devant la représentation nationale dite Assemblée Nationale (577 députés) qui peut la forcer à la démission.

Ce n’est pas le Président de la République qui est responsable mais bien LE (et non pas SON) Gouvernement même si l’origine de la procédure est initiée par le Conseil des Ministres présidée par... le Président de la République !

Le Gouvernement a recours à la procédure ou à la menace du 49-3 pour arrêter selon les dires de certains la récréation, pour d’autres  le travail  des députés qui peuvent user voire abuser de leurs pouvoirs pour faire traîner un débat à coups d’amendements et de rejets d’articles d’un projet ou d’une proposition de loi.

 

DROIT DE RÉPONSE DES DÉPUTÉS À L’USAGE DU 49-3 PAR LE GOUVERNEMENT : LA MOTION DE CENSURE

87 motions de censure ont été déposées depuis 1958 et une seule a obtenu la majorité.

Seuls les députés peuvent en votant une motion de censure « renverser le Gouvernement ». Si l'article 49-3 a été mis en œuvre, le Sénat ne se prononce pas.

Si la mise en œuvre de l'article 49-3 a été demandée par le 1er Ministre, soit  les députés restent les bras croisés c’est-à-dire ne déposent pas une motion de censure ou si celle-ci est déposée par les députés mais ne recueille pas la majorité requise de la moitié plus 1 des 577 députés soit 289 votes favorables ...le texte est adopté ! Le recours au 49-3 par le Gouvernement bloque la discussion : les débats sont clos s'il n'y a pas de motion de censure déposée ou si celle-ci ne réunit pas la majorité requise.

On ne peut donc pas dire que le Gouvernement est responsable de son action devant l'Assemblée Nationale.

Pour un projet ou proposition de loi, il peut y avoir le dépôt de plusieurs motions de censure...mais alors, dans ce cas, il est difficile de voir une motion de censure votée par la majorité requise. Dans le contexte de la configuration politique actuelle de l’Assemblée Nationale la majorité nécessaire pour des députés pour censurer le Gouvernement est très difficile voire impossible à atteindre.

Le recours à la motion de censure pour le députés est leur manière d'exprimer, rappeler leur désaccord et leur mécontentement vis-à vis du Gouvernement et du Président de la République...cela jusqu'à maintenant ne va pas plus loin.

L’histoire montre aussi que le dernier mot revient donc au Gouvernement : c’est la limite de la démocratie parlementaire et le résultat des erreurs de la IV ème République ingérable et la nécessité quoi qu'il en coûte de prendre des décisions.

 

 

 

 

ARTICLE 49 DE LA CONSTITUTION DE 1958

49 - 1 : Le Premier ministre, après délibération du conseil des ministres, engage devant l'Assemblée nationale la responsabilité du Gouvernement sur son programme ou éventuellement sur une déclaration de politique générale.

49 - 2 : L'Assemblée nationale met en cause la responsabilité du Gouvernement par le vote d'une motion de censure. Une telle motion n'est recevable que si elle est signée par un dixième au moins des membres de l'Assemblée nationale. Le vote ne peut avoir lieu que quarante-huit heures après son dépôt. Seuls sont recensés les votes favorables à la motion de censure qui ne peut être adoptée qu'à la majorité des membres composant l'Assemblée. Sauf dans le cas prévu à l'alinéa ci-dessous, un député ne peut être signataire de plus de trois motions de censure au cours d'une même session ordinaire et de plus d'une au cours d'une même session extraordinaire.

 

49 - 3 : Le Premier ministre peut, après délibération du conseil des ministres, engager la responsabilité du Gouvernement devant l'Assemblée nationale sur le vote d'un projet de loi de finances ou de financement de la sécurité sociale.

 Dans ce cas, ce projet est considéré comme adopté, sauf si une motion de censure, déposée dans les vingt-quatre heures qui suivent, est votée dans les conditions prévues à l'alinéa précédent.

Le Premier ministre peut, en outre, recourir à cette procédure pour un autre projet ou une proposition de loi par session.

 

49 - 4 : Le Premier ministre a la faculté de demander au Sénat l'approbation d'une déclaration de politique générale.

 

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15 octobre 2022 6 15 /10 /octobre /2022 22:24
UNE STATUE, UN MAIRE, DES DRAPEAUX, DU MONDE, BEAUCOUP DE MONDE, DES ANONYMES CHOQUÉS...

UNE STATUE, UN MAIRE, DES DRAPEAUX, DU MONDE, BEAUCOUP DE MONDE, DES ANONYMES CHOQUÉS...

 

DÉBOULONNER L'ARCHANGE, CHEZ LUI, DANS SON QUARTIER EST-CE POSSIBLE, EST-CE SOUHAITABLE ?

 

Ce matin, le rassemblement, à l'initiative des anciens et moins anciens parachutistes, va forcer tout un chacun à la réflexion sur la notion de valeur de l'identité d'une Nation et sur les limites de la notion de liberté.

Un individu citoyen militant ne représentant que lui-même peut-il en France encore s'attaquer à un symbole très vivace dans sa Région, dans son Pays ?

Si, au niveau de la Libre Pensée, il y avait eu un tant soit peu de réflexion, de dialogue, de fraternité, de compréhension  de la part de cette institution aucun agitateur partisan d'une liberté de pensée n'aurait osé blesser ses concitoyens au nom d'une liberté acquise depuis des décennies. Aimer et défendre la Liberté interdit le droit d'atteinte à la liberté des autres.

Certes beaucoup se félicitent aujourd'hui de l'aubaine que leur offre ce représentant de la "Libre Pensée" qui s'arroge, par décision de Justice d'exception et par une interprétation douteuse de la loi de 1905, le droit de blesser ses congénères.

Aujourd'hui, installer une statue sur le domaine public, la déboulonner en exécution d'une décision de Justice dite d'exception ( une juridiction spécialisée)  est soit un geste anodin nécessaire pour de banales causes soit il est un geste volontairement symbolique provocateur à portée politique pour tenter de faire revivre une guerre éteinte depuis plus d'un siècle.

S'il y avait eu dès l'installation de la statue restaurée un tant soit peu de réflexion et de dialogue au nom de la "Libre Pensée" la statue inoffensive aurait pu poursuivre son histoire sur sa place dans son quartier à l'ombre de son Église, à quelques encablures de son école.  

Cela nous fait penser au contraste qu'il y a entre cette méprisable affaire et l'immense mouvement national et international qui a suivi l'incendie de Notre-Dame de Paris. C'est le monde entier qui a reconnu dans ce bâtiment l'âme d'un pays et une partie d'eux-mêmes.

Si l'Archange est dans l'incapacité aujourd'hui d'intervenir lui-même auprès de celui qui veut son déboulonnage,  il faudrait demander qu'au niveau supérieur, à celui du Saint-Esprit, que celui-ci intervienne auprès du fauteur de troubles, pourfendeur donquichottesque pour qu'il abandonne avec dignité son combat d'arrière-garde sur le champ.

En effet, le Conseil d'État, saisi maintenant du dossier, avec la sagesse qui honore cette noble institution ne peut prendre une décision de déboulonnage de la statue qui signifierait que la guerre entre français qui a abouti à la loi de 1905 puisse reprendre.

 

ELLE EST QUAND MÊME BELLE ET SI BIEN À SA PLACE NOTRE STATUE

ELLE EST QUAND MÊME BELLE ET SI BIEN À SA PLACE NOTRE STATUE

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27 septembre 2022 2 27 /09 /septembre /2022 10:56
UN SOURIRE QUI NE FAIT PLUS PLAISIR CAR IL EST TUEUR

UN SOURIRE QUI NE FAIT PLUS PLAISIR CAR IL EST TUEUR

 

 

 

 

CARTON ROUGE AUX ÉCOLOGISTES EN France, LA DÉPUTÉE SANDRINE ROUSSEAU DÉMONTRE, UNE NOUVELLE FOIS, LEUR NOCIVITÉ ET LEUR INCAPACITÉ À PARTICIPER AU GOUVERNEMENT DU PAYS

 

Après 1793...2022, LA TERREUR REVIENT EN France : SANDRINE ROUSSEAU, EUROPE ÉCOLOGIE LES VERTS, DEMANDE À LA TÉLÉVISION LA TÊTE DE SON COLLÈGUE JULIEN BAYOU

Les dirigeants écologistes voulaient et devaient se montrer exemplaires. Avec ce dossier leurs dirigeants réussissent à se révéler pires que ceux qu’ils critiquent. Il faut toujours se méfier des faux prophètes.

Nous avions déjà, dans les affaires locales, entendu en réunion publique des écologistes traiter leurs contradicteurs « d’assassins » pour ne pas être de leur avis ! Cette mise à mort politique par Sandrine ROUSSEAU d’un collègue fondée sur des confidences relevant du domaine privé d’un individu est une honte. C'est d'une irresponsabilité déconcertante !

 Cette personne abuse de sa position sociale, de ses fonctions d’universitaire de rang élevé et de députée. Nous tombons dans le droit à diffamer donc dans l’abus de la liberté d’expression.

 

DES QUESTIONS SUR LE DOSSIER SANDRINE ROUSSEAU : UN PROCÈS SANS JUGE, SANS DROIT NI MOYEN DE DÉFENSE

Simples questions que nous devons nous poser avant de juger :

  • pourquoi l’épouse ou compagne de Julien BAYOU Adrien n’a-t-elle pas  porté plainte ou simplement déposé une main courante contre son ex ? Pourquoi la Justice n’est pas saisie ?
  • Sur quels faits ou documents les accusations portées par l’ex de Julien BAYOU  sont-elles fondées et comment ont-elles pu convaincre Sandrine ROUSSEAU d’aller aussi loin ?...étrange, indigne ...
  •  

La réponse de « l’accusé » est claire dans son communiqué :

 "Vous le savez peut-être, je suis accusé de faits qui ne me sont pas présentés, dont mes accusateurs-ices disent qu’ils ne sont pas pénalement répréhensibles, et dont je ne peux pour autant pas me défendre puisqu’on refuse de m’entendre."
Juger vous-mêmes de la conception du droit, de la Justice au niveau de gens qui prétendent gouverner le pays. L'accusation publique repose sur des fait baptisés improprement "violences faites aux femmes" juridiquement et pénalement non recevables : violences verbales, harcèlement qui n'en n'aurait pas été...

L’opprobre jeté sur un dirigeant de parti et néanmoins député et Président d'un groupe parlementaire est donc fondé sur du vent  ? Ce n'est pas avec une pratique de ce type que l'on rapprochera élus et citoyens. Encore un mauvais coup porté à la démocratie. Que peut bien penser de cela le citoyen militant EELV ?

 

LA VIE EN SOCIÉTÉ NÉCESSITE DES RÈGLES POUR SAUVEGARDER LES LIBERTÉS

Il faut rappeler à Sandrine ROUSSEAU que nous vivons dans une société où pour pouvoir vivre en paix et passer au-dessus des ambitions légitimes et des divisions nées des origines, des hiérarchies sociales il y a des règles. Pour assumer la cohésion entre des citoyens la loi suprême, la règle du jeu est inscrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 :

Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance. 

Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.  

Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Voilà donc une universitaire ayant assumé des hautes fonctions dans cette noble institution, députée, défenderesse de la suprématie féministe qui fait fi publiquement du respect des principes fondamentaux du droit français alors qu’elle est députée et donc conduite à légiférer.

Une personne cultivée de 50 ans comme Sandrine ROUSSEAU sait que la politique, les ambitions légitimes des citoyens ne justifient pas tous les coups tordus...et la diffamation donc le lynchage médiatique.

Nous ne prenons pas la défense de Julien BAYOU mais la défense du citoyen face à des dirigeant(e)s de parti, député(e)s qui bafouent les principes mêmes sur lesquels notre société est fondée et qu'ils sont chargés de mettre en valeur et de faire respecter.

 

UN COUP DE PLUS CONTRE LE MILITANTISME ÉCOLOGIQUE TROMPÉ PAR LES DIRIGEANTS D'ÉCOLOGIE LES VERTS

Ce que vient de commettre la dirigeante des VERTS, Sandrine ROUSSEAU,  contribue à faire perdre toute crédibilité a un parti qui n’avait pas besoin de cela. 

Voilà donc les fameux écologistes moralistes du dimanche qui se disent républicains, défenseurs des libertés, sauveteurs de la planète qui, pour assouvir on ne sait quelle rancune, quelle ambition personnelle, s'assoient sur les principes qu'ils énoncent. Faites ce que je dis mais surtout ne faites pas ce que je fais !

Ces dirigeants osent même parler d'une enquête interne au parti. Leur Justice expéditive à eux ! C'est vraiment désolant.

Sandrine ROUSSEAU et les autres responsables qui l'ont suivie ont abusé de la LIBERTÉ D’EXPRESSION. Ils foulent aux pieds la présomption d’innocence d’un ami.

Tous les français qui ont cru et suivi le parti, EELV,  « les Verts », dans le nécessaire, difficile  et  juste combat pour la survie de la planète doivent bien savoir maintenant qu’ils sont trompés par des arrivistes écologistes comme Jean-Vincent PLACÉ, Nicolas HULOT, Sandrine ROUSSEAU ...qui abusent à des fins purement personnelles du mandat ou des mandats qu’ils ont reçus et que donc le citoyen ne peut leur faire confiance.

 

Au nom d’un juste combat qu’il essaie à tort de s’approprier, le parti EELV trompe son monde et abuse ses militants et sympathisants. Il dévalorise la saine et nécessaire mobilisation en faveur d'une écologie citoyenne.

 

 

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23 septembre 2022 5 23 /09 /septembre /2022 19:12
QU’EST-CE QUE LE CNR ? CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION (2)

 

UNE ASSEMBLÉE DE CONSEILLERS CNR POUR REFONDER QUOI ET COMMENT ?

Suite de

https://www.olonnes.com/2022/09/le-conseil-national-de-la-refondation-le-nouveau-cnr-du-president-macron.html

LE CNR, c'est une mini assemblée qu’impose le Président MACRON pour obtenir une consultation et des propositions sur divers problèmes. Ce "conseil" est sans pouvoir de décision mais a pour objectif une certaine REFONDATION dont les contours ne sont pas clairement définis.

D’abord, les membres constituant ce Conseil furent choisis par le Président lui-même, puissance invitante. Ce n’est pas un choix démocratique. C'est donc un collège composé au départ par  52 personnalités dont 12 d'ailleurs déclinèrent l’invitation. Parmi celles-ci, le Président du Sénat Gérard LARCHER dont, pourtant, la rondeur consensuelle est connue.

Ainsi, le Président attire auprès de lui  des élus, des personnalités, des techniciens, des technocrates, des amis et proches et il veut les mettre autour de la table pour phosphorer sur un programme présidentiel de mandature adapté à la situation de 2022. Mais le même Président MACRON a refusé d’écrire ce programme que les citoyens attendaient lors de la campagne électorale de la Présidentielle.

Le Président avoue ainsi qu'il n'avait pas en 2021 de programme pour la mandature 2022/2027et pire il avoue que, malgré tous les conseillers officiels et les Officines de Conseil dont il s'est entouré, il n'arrivait pas à créer l'outil "programme de mandature MACRON 2 pour 2022/2027". Alors que la règle de base pour un chef d'État est GOUVERNER C'EST PRÉVOIR, son devoir est de pouvoir anticiper pour protéger son peuple. En l'espèce, le Président avoue que, pour sa nouvelle mandature, il n'a rien prévu. Il continuera à improviser...mais IMPROVISER N'EST PAS GOUVERNER ! d'où des décisions comme sous la précédente mandature "en marche avant" suivi d'"en marche arrière". Exemple : les retraites.

Or, en début 2022, Emmanuel MACRON avoue donc par la création de son CNR qu'il se refusait de PRÉVOIR pour gouverner ! qu'il n'avait pas dans son entourage les personnalités aptes, sous sa direction, de bâtir un programme de mandature.

Nous nous sommes tous d'ailleurs rendu compte de cette évidence quand, nous, les citoyens, avons découvert que le Président ne trouvait même pas de Premier Ministre !

Notre Président a-t-il dans son entourage si peu de bons et brillants conseillers pour qu'il soit dans l'obligation de s'entourer d'un nouveau Conseil ? Pire : manque-ton de brillants conseillers en France ou bien ceux-ci existent mais ne s'imaginent pas travailler avec Emmanuel MACRON !

 

"CNR" APPELLATION NON CONTRÔLÉE

D’abord, ce sigle appartient à l’histoire et pas au Président actuel.

Le vrai Conseil national de la Résistance (CNR) est l'organisme qui a dirigé et coordonné les différents mouvements de la Résistance dès 1943. C’est l’outil du Général de Gaulle et de Jean MOULIN d’abord pour montrer au monde que le France s’unit pour résister à l’envahisseur et que la France prépare un programme de gouvernement pour une France libérée.

L’objectif du Président MACRON en 2022 n’a certes pas les ambitions du vrai CNR de la Résistance qui est entouré de la gloire reconnue de ses fondateurs qui furent pour certains des héros.

Mais, pour nombre de citoyens de 2022, ce nouveau « CNR » débute donc par un abus voire une usurpation de titre gênante mais surtout pose la question : pourquoi ce truc en plus ?

 

POURQUOI UN TRUC EN PLUS ? UN ÉTAT DES LIEUX ET DES INSTITUTIONS SATISFAISANTS

La France dispose d’un système institutionnel pour légiférer qui, depuis octobre 1958, a évolué mais reste fondamentalement celui d’une démocratie parlementaire opérationnelle.

Il y a le Parlement composé du Sénat et de l’Assemblée Nationale (577 députés qui viennent d’être élus) et le Conseil Économique Sociale et Environnemental CESE dont les 175 membres sont désignés, procédure peu démocratique qui permet de recaser des amis du pouvoir et qui, en théorie, devrait représenter les forces vives de la Nation. Le CNR d'Emmanuel MACRON est donc un mini CESE.

À cela, il faut ajouter les grands gardiens de la Maison France que sont le Conseil d’État et la Cour des Comptes dont les avis sur les projets et propositions de lois sont importants et le Conseil Constitutionnel conseilleur et juge de la conformité des textes à la Constitution.

Malgré cet ensemble d’institutions sérieuses et cohérentes, le Président de la République a imposé le lancement, le jeudi 8 septembre dernier, de son CNR et annoncé qu’il y aurait une grande consultation de la population sur des sujets importants : santé, école, climat...il a donné des pistes. Nous verrons...

Nous avons expliqué largement comment ces institutions éphémères, créations de MACRON 1 comme la convention sur le Climat CCC ont débouché sur un fiasco : elle a débouché sur une loi fourre-tout nommée loi Climat, cadeau du Président à la Ministre écologiste Barbara POMPILI. Oublions aussi son très particulier sens de l'écoute lors du Grand Débat et comment il en a fait passer aux oubliettes le contenu : écouter n'est pas entendre !

Que pourront donc ajouter les 52 membres du CNR qui puissent offrir aux français les perspectives d'une mandature réformatrice, de redressement des points faibles comme la Défense, la Sécurité, la Santé, l'Éducation, la Dette...?

Mais alors pourquoi le Président MACRON veut-il avec tant d'insistance son CNR ?

 

À SUIVRE

 

LE CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION CNR POUR « REVIVIFIER LA DÉMOCRATIE » ?

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20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 20:27
LE PRÉSIDENT MACRON 2 EN QUÊTE DE PROJETS, DE SÉRÉNITÉ, DE RECONNASSANCE DANS SON AUTRE COSTUME

LE PRÉSIDENT MACRON 2 EN QUÊTE DE PROJETS, DE SÉRÉNITÉ, DE RECONNASSANCE DANS SON AUTRE COSTUME

 

 

 

À DÉFAUT DE PROGRAMME PRÉSIDENTIEL : 52 GROSSES TÊTES VONT DONC PHOSPHORER POUR PONDRE UN RAPPORT QUI POURRAIT ÊTRE ENFIN UN PROJET DE PROJET DE MANDATURE

CNR ?

CNR 2022 :  R comme REFONDATION et non pas comme RÉSISTANCE comme le CNR du Général de Gaulle avec le R de l’épopée de la libération de la France par la Résistance.

REFONDATION : acte qui consiste à fonder une deuxième fois soit faire du neuf avec du vieux ...c’est loin de l’enthousiasmant projet de 1943 d’union pour libérer la France.

 

Nous reprenons le nouveau slogan : pas de discours, des actions ! En espérant encore qu’il soit entendu par les français et par leur Président.

Nous allons tenter, avec notre petit savoir juridique, de vous expliquer comment le CNR annoncé par le Président MACRON n’est certainement ni nécessaire et ni souhaitable pour la démocratie française.

 

LE CNR, UNE BONNE IDÉE INUTILE POUR AVANCER DURANT UNE PÉRIODE PLEINE D’INCERTITUDES

C’est donc le « machin » nouveau que le Président de la République tente avec opiniâtreté de vendre au peuple français et aux institutionnels concernés par cette « assemblée » éphémère créée pour «revivifier la démocratie». Dixit.

Mais la démocratie en France est-elle menacée à ce point qu’il faille créer un nouveau CNR  C comme conseil et aussi comme « Comité Théodule » comme aurait pu le nommer le Général de Gaulle ?

Ces premiers mois de cette nouvelle mandature au niveau gouvernance de l’État, il n’y a pas institutionnellement de graves dangers précis : pas de menace de crise sociale, pas de menace de risques institutionnels. Il y a bien des menaces sur l’énergie et l’économie mais le Parlement en rodage fonctionne bien et la démocratie modèle 1958 n’est pas danger.

La démocratie est certes un système de gouvernance faible donc sans cesse menacé par les crises populaires nées de mécontentements qui sont souvent mal traités par les dirigeants ? Mais en 2022 la Révolution ne gronde pas au sein du peuple français. Il n'ira pendre devant les grilles de la Résidence Présodentielle des bourgeois aux cris de... À la Lanterne,  on les pendra !

Le projet de CNR du Président MACRON se fonde sur la nécessité réelle de réformer le pays (retraites, inégalités, fiscalité inacceptée, justice et santé malades, climat...), sur son expérience traumatisante des gilets jaunes et sur son absence de majorité au Parlement.

Il n’a plus la confiance des français, il a peur mais il veut marquer son quinquennat après sa descente aux Enfers lors de son premier quinquennat stérile en réalisation par rapport à ses promesses.

Donc, le Président cherche d’abord à se sécuriser puis il veut aussi montrer au bon peuplequ’il peut faire aboutir ses projets même si aujourd’hui ils sont dans le flou puisqu’il est le Président sans programme ! Et surtout le Président MACRON 2 veut monter avec autorité qu’il change de méthode par rapport à MACRON   1.Nous verrons.

 

À SUIVRE :

LE CNR, MODÈLE 2022 MACRON 

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