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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 19:54
Il faut oser parler vrai, même si la censure sous toutes ses formes vous poursuit, même si des pressions odieuses s'exercent sur le liberté d'expression

Qui a dit ?

 

« Ne craignez jamais de vous faire des ennemis, si vous n’en avez pas c’est que vous n’avez rien fait »

 

Un journaliste de talent, un homme politique remarquable, un Tigre … Georges Clémenceau…et il avait collectionné les ennemis.

Nous dédions cette citation aux candidats aux municipales qui osent parler vrai ! et aussi à ceux qui ont une tendance à la langue de bois.

 

 

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7 mars 2014 5 07 /03 /mars /2014 18:12
MISE AU POINT QUI MALHEUREUSEMENT S'IMPOSE

Ce n'est pas parce qu'on est en campagne électorale qu'on peut diffuser des informations non fondées, non vérifiées.

Des paroles et des écrits malveillants ou mal intentionnés ayant été diffusés et portés à notre connaissance nous transmettons ce message de l'Association AVIGEN

 

Association de VIgilance ENvironnementale

 

Siège social : Mairie de Grosbreuil 13, Rue de la Mairie 85440 Grosbreuil

Président : Christian Masson 9, imp. Du Guesclin 85000 La Roche-sur-Yon

Tél. : 02.51.37.80.39

 

Exercice du droit de réponse à Mme Martine Guyot

"Mme Christine Coquenlorge, ancienne présidente, est toujours membre du conseil d'administration d'AVIGEN.

Elle a transmis ses fonctions à M. Christian Masson.

Le CA d'AVIGEN à l'unanimité communique :

"L'association AVIGEN, conformément à ses statuts déposés en préfecture, ne fait pas de politique.

Ses adhérents, conformément à la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, exercent librement leurs activités politiques, syndicales et religieuses.

AVIGEN est fière de les réunir dans leur diversité au nom des valeurs environnementales, humanistes et républicaines, qui sont les siennes et qu'elle invite à partager au nom du bien vivre ensemble. "

 

Qu'il est bon de réunir sous un même bannnière des gens de bonne volonté venant de tous horizons pour un objectif citoyen louable

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 11:43

Il faut parfois tordre le cou à des idées préconçues. Il en est ainsi des fonctions "bénévoles" des élus. Élections municipales et communautaires obligent, nous nous en tiendrons donc aux fonctions des élus communaux  et pour ceux-ci à ce qui est codifié.

Les élus locaux sont majoritairement bénévoles : oui pour les conseillers municipaux et communautaires...

Non, pour les maires, les conseillers adjoints au maire ou président et adjoints dans une communauté de communes ou d'agglomération...

Certains, dans cette deuxième catégorie, cumulent même leurs indemnités d'élus communaux et communautaires avec des "rémunérations" de conseiller général et de conseiller régional.

ELUS : des bénévoles ?
ELUS : des bénévoles ?

Le législateur a voulu maintenir le statut de" bénévole " aux élus de base...mais, vu l'engagemnt que cela demande, a été inventé le système du versement d'indemnités aux maires, adjoints du maire, président de communauté de communes et aux vice-présidents.

L'article L 2123-17 du Code des collectivités territoriales maintient le principe du caractère gratuit des fonctions de maire, adjoint et conseiller municipal.

Donc, une certaine hypocrisie à laquelle s'ajoute des droits à la retraite qu'acquiert l'élu.

Les conseillers municipaux de base (non vice-président de communauté de communes ou non adjoints au maire ) n'ont aucun droit.

Les tadessus montrent que les indemnités ne sont pas négligeables. Elles peuvent compenser une perte de salaire ou autre rémunération pour l'élu qui consacre temps et énergie au profit de la collectivité et qui doit abandonner tout ou partie de ses activités professionnelles. Ces indemnités permettent donc à certaines catégories socioprofessionnelles de  consacrer du temps  au service de la collectivité sans y perdre trop en matière de pouvoir d'achat.

Ce système a cependant de nombreux inconvénients :

- il donne des indemnités à des catégories professionnelles comme les fonctionnaires qui ont leur salaire maintenu...donc ces indemnités sont une prime !

- il est un complément de retraite pour ceux qui ont cessé leurs activités professionnelles, certains retraités n'en n'ont pas besoin touchant une retraite confortable...s'ils s'éclateraient bénévolement dans une mission associative, ils n'auraient aucune indemnité !

- ces indemnités sont versées aux élus sans tenir compte de leurs activités réelles au service des collectivités : on voit des maires et des adjoints briller par leur absence...ce qui ne les empêche pas de toucher chaque mois leurs indemnités. 

A la lecture de ces données et de ces chiffres certains vont estimer qu'ils comprennent pourquoi certains élus sont accrochés à leurs sièges ou ambitionnent un poste "rentable".

Un peu de réflexion sur ce sujet permet de voir que ce problème est complexe et injuste parfois : pour accéder à une fonction élective  (les citoyens doivent être égaux face à l'accés aux fonctions électives) certains ont besoin d'indemnités, d'autres n'ont pas le même besoin...comment trier?

Concluons :  les titulaires de fonctions de maires, d'adjoints, de présidents de Communauté de Communes et celles d'adjoints bénéficient d'indemnités : ces membres de l'exécutif local ne sont plus des bénévoles. 

Les autres élus sont bien des bénévoles.

Le système mérite donc plus de clarté, plus d'équité surtout quand il y a cumul d'indemnités.

L'image d'élu "dévoué et bénévole" au service de ses concitoyens est un peu ternie par ces ambiguïtés...il faudra que le législateur, avec la limitation des mandats, révise aussi cette notion d'indemnité pour les élus locaux.

 

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 16:44

 

elysee

 

50 ans, 70 ans sans guerre...la France avait rarement vécu d'aussi longue période  sans guerre ou au moins sans grave conflit et pourtant les français ont le moral dans les chaussettes.

Pourquoi ? Crise de confiance, le chômage, la perte de crédibilté des élus, une "élite dirigeante " sans projet et loin, très loin du peuple, des media qui préférent au nom de l'audimat le noir au ciel bleu...

et pourtant le ciel bleu existe encore, l'espoir aussi, les voeux de nouvel an en sont pleins, les jeunes ont toujours autant d'enthousiasme, les retraités s'activent auprés de leurs petits enfants et s'investissent dans le monde associatif...

Dans ce climat  contrasté nous recevons ces deux commentaires que nous vous tranmettons avec un plaisir non dissimulé .

    De l'espoir :

 

DEMOGRAPHIE AU PAYS DES OLONNES :

  

Les élus commentent leurs  « chiffres » comme s’il s’agissait d’une unité de mesure de la valeur ou du dynamisme des villes.

Il faut dépasser ce raisonnement de cour de récréation.

Les chiffres montrent que la communauté d’agglomération alternative à la commune unique au pays des Olonnes avancée par des candidats irresponsables aux prochaines élections municipales de 2014  n’est pas réaliste. Le seuil des 50 000 habitants légalement nécessaire, n’est pas près d’être atteint.  Cet argument est fallacieux.

Les habitants du pays d’Olonne qu’ils soient sablais, olonnais, chaumois, castelolonnais, natifs, « émigrés » appartiennent à une seule entité « leur pays » où il fait bon vivre. Et n’acceptent pas les arguments mensongers.

L’ objectif convaincant est celui de la commune unique.

 

Sur le difficultés rencontrées par de nombreuses familles en terre olonnaise et talmondaise concernant la facturation de l'eau 

   

"En France, l'eau potable relève de la compétence des communes. Au début du XXe siècle, la majorité des communes de Vendée ont choisi de se regrouper en Syndicats d'Alimentation en Eau Potable. En 1961, est créé le Syndicat Départemental d'Alimentation en Eau Potable.


Depuis plus de 50 ans, Vendée Eau, Service public de l'eau potable, organise la distribution de l'eau potable en Vendée. Devenu Vendée Eau en 2004, ce regroupement a mis en commun les moyens et harmonisé le prix de l'eau sur le département. Aujourd'hui, 277 communes sur les 282 que compte le département ont adhéré à Vendée Eau.  

Sont demeurées indépendantes du groupement « Vendée-Eau » les communes de Saint Philbert de Bouaine, Rocheservière, St Mars la Réorthe, La Roche Sur Yon et Fontenay.

Dès l'origine, les élus ont  contrôlé  la gestion de l'eau et  sont réputés rester au plus près des besoins des usagers. Ainsi, ce sont des délégués, issus des conseils municipaux des mairies adhérentes, qui ont en charge l'administration des Syndicats Intercommunaux d'Alimentation en Eau Potable et de Vendée Eau.

De ce fait, Vendée Eau est le maître d'ouvrage de l'ensemble des travaux d'entretien, de renouvellement, de renforcement et d'extension des réseaux et des ouvrages. Il fixe la programmation annuelle des investissements à réaliser, après avis et priorités établis par les collectivités adhérentes. Il procède à la passation des contrats d'études et de maîtrise d'œuvre et des marchés de travaux correspondants, et finance ces travaux. Il détermine le mode d'exploitation et désigne les délégataires, conformément aux dispositions législatives en vigueur et passe les contrats de délégation correspondants. 

Vendée Eau fixe annuellement le tarif de l'eau potable qu'il vend aux abonnés.

Alors pourquoi les élus de  la CCO issus des conseils municipaux des trois communes se dérobent-ils  à leurs responsabilités sur la gestion de l’eau  et plus précisément sur les désordres de la facturation ? Il ne s’agit pas d’un comportement politicien de droite ou de gauche mais de l’exercice de la responsabilité des élus de la République."

 

 

Que chacun exerce les responsabilités qui lui incombent et ou pour lesquelles il s'est engagé...alors confiance et optimisme reviendront...en 2014!

 

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31 décembre 2013 2 31 /12 /décembre /2013 21:08

 

marianne0002

 

 

IL FAUT RÉCONCILIER, RAPPROCHER  ELUS ET CITOYENS

Puisque notre fonction est d’être facilitateur de la citoyenneté et de la démocratie il nous faut formuler des vœux en faveur de la citoyenneté et ce sera pour 2014 d’abord  pour les élections municipales. Ces vœux ne sont que la synthèse de nos observations et de nos écrits.

Les Français sont déçus des élus politiques professionnels qui ont perdu beaucoup de leur crédibilité. Pourquoi les candidats aux municipales courent-ils après l’investiture de partis déconsidérés au niveau national ? Ne peuvent-ils être convaincants par leur seul charisme et leur programme ? S’ils ne peuvent être ainsi, ne sortent-ils pas de l’image que le citoyen se fait de son élu local ?

Les communes ont besoin d’élus totalement dévoués à l’intérêt général de la commune pour faire face aux difficultés liées à la crise, au pessimisme ambiant. La commune doit être le lieu privilégié de l’expression démocratique.

Il faut le changement et celui-ci passe par le non cumul des mandats : non cumul dans le nombre (3, 4, 5…mandats) et non cumul dans le nombre de mandats successifs (suivant la taille de la commune deux voire 3 mandats cela suffit). Ce non-cumul signifie que l’élu local doit savoir passer la main : élu ce n’est pas un métier, c’est une fonction confiée par le peuple. L’exercice de cette fonction n’a de sens que pour une durée déterminée. Le cumul mène au carriérisme et au clientélisme qui sont la négation du besoin local d’élus désintéressés privilégiant en tout l’intérêt général.

L’élu et particulièrement l’élu local doit donc :

  • Être proche de ses concitoyens, savoir écouter, les écouter,

  • Être disponible et savoir être entouré et donc être apte à aborder toutes les techniques et donc savoir être modeste et avoir recours aux conseils éclairés s’il a un doute sur sa maîtrise de dossiers : gestion du personnel, voirie, gestion des déchets, immobilier, assainissement…tout mauvais choix coûte désormais trop cher à la collectivité…donc au contribuable qui n’en peut plus de payer,

  • Être protégé des tentations d’abus du pouvoir qui leur est conféré par l’élection et donc des abus de pouvoir, des prises illégales d’intérêts,

  •  Être un démocrate : c’est donc accepter de respecter toutes les catégories sociales, toutes les opinions, accepter le droit à l’interpellation de tout citoyen, accepter qu’il peut se tromper ou être trompé,

  • Être honnête à 100 % c’est-à-dire refuser toute concession à ce qui serait un début de prise illégale d’intérêts ou de favoritisme,

  • Être le chef d’une équipe avec qui il partage le pouvoir : un maire est le chef d’une équipe pluraliste et non un chef entouré d’une cour de bénis oui oui. 

 

La fonction d’élu ne pourra se bonifier par le haut : nos grands élus nationaux refusent toute réforme profonde territoriale (oh combien nécessaire !), et  toute réforme de leur statut de privilégiés. Ils sont coupés de la base.

Il faut donc que la réforme parte de la base elle-même, de la commune et que celle-ci redevienne un modèle de l’expression de la démocratie, de la bonne gestion et du triomphe de l’intérêt général sur les intérêts particuliers. Le pouvoir rendu au peuple à travers ses élus locaux : notre vœu citoyen pour 2014 !

À tous, nos souhaits d’excellente année 2014.

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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 13:38

DSC09540.jpg Daniel DAVESNE, Président de CACO, porte drapeau : tout un  symbole

 

   

Après plusieurs années d’adhésion à CACO, dont près de trois à la présidence, je vais présenter ma démission à la prochaine Assemblée Générale pour une question de déontologie. En effet j’ai décidé d’intégrer la liste conduite par Jean-Pierre Chapalain pour les prochaines élections municipales « Agir pour le changement ».

Ces années de travail avec une équipe compétente et motivée vous ont permis d’obtenir, par notre blog et le bulletin « La Vie de Château », des compléments d’information et des révélations sur de nombreux dossiers. Nos analyses pertinentes et décryptages éclairent votre réflexion sur les actions menées dans le cadre de notre commune et de l’intercommunalité.

Je tiens à rendre particulièrement hommage à Jean-Claude Rossignol, l’un des membres fondateurs de CACO et ancien président, pour son engagement sans faille. Son intégrité et sa rigueur sont en tous points remarquables et exemplaires.

Il est temps pour moi de passer à l’action au sein de l’équipe constituée par Jean-Pierre Chapalain, dont les seules motivations sont l’intérêt public et le développement harmonieux de notre commune. Je vous invite à consulter son blog : il vous suffit de taper sur Google « Chapalain Chateau d’Olonne 2014 ».

 

Daniel DAVESNE

Prrésident de CACO, votre blog

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7 décembre 2013 6 07 /12 /décembre /2013 09:21

Jacques Attali

 

Un journaliste a eu la bonne idée de saisir des extraits d’une interview de Jacques ATTALI. Des phrases qui ont le mérite de faire réfléchir ce qui n'oblige pas à êtte d'accord sur tout.

 

LA FRANCE EST UN PAYS QUI NE SE RÉFORME JAMAIS QUI AVANCE PAR REVOLUTION : ça fait trente ans qu’on ne se réforme pas !

 

ON EST GOUVERNES PAR LES PERSONNES AGÉES MAIS LES PLUS JEUNES SONT VICTIMES.

 

« Les Français ne s’aiment pas. Il y a une perte de confiance, c’est le rôle des politiques ».

             

« Je pense que la réforme des retraites va être faite correctement. Mais ce sera l’arbre qui cache la forêt, la réforme fiscale, celle de l’école, etc. Tout le reste ne sera pas fait. Mais à un moment, les marchés vont nous dire "attention" ».

 « Hollande a été élu sur un programme minimum, il l’applique. On ne peut pas lui reprocher. Il fallait beaucoup plus ».

 

Sur le rapport Attali rendu à Nicolas Sarkozy

 

« S’il l’avait appliqué, nous aurions 20 points de PIB de dette de moins. Il a manqué de courage ».

 

« La France a des atouts immenses. Nous avons le plus grand littoral du monde, un climat unique, une démographie exceptionnelle, un système universitaire reconnu, des petites entreprises formidables. Mais il faut avoir un projet ».

 

 « On fait toujours les réformes au dernier moment, et trop petites. Par exemple, la réforme de l’enseignement professionnel. Il y a 32 milliards d’euros qui devraient aller aux chômeurs. L’argent sert à former des gens qui n’ont pas besoin de l’être, ou pour financer les syndicats et le Medef, c’est comme ça qu’ils sont financés. Alors que les chômeurs ne sont pas formés ! Mais personne ne s’intéresse à eux, car ils ne sont pas dans les syndicats ni les entreprises… »

 

: « Il y a un mois et demi fondamental avant de rendre le budget 2014 pour décider de grandes économies, de grandes réformes. On peut proposer la suppression des départements, la diminution du nombre de députés, la centralisation des dépenses sociales sur ceux qui en ont vraiment besoin, la modification de la politique du logement pour construire de grands immeubles, économies budgétaires massives. Mais comme on n’aura pas fait les progrès européens, les économies, on aura une augmentation des impôts ».

 

 « Il y a une fenêtre de tir extrêmement courte maintenant. La France est un pays qui ne se réforme jamais, qui avance par révolutions. Nous avons été réformés trois fois : 1945, 1958, 1968. Je pense qu’on aura une révolution dans ce pays, je souhaite qu’elle soit démocratique ».

 

 « En France, l’État est un problème. Il ne sait pas faire d’économies et ne sait qu’augmenter les impôts. Nous avons une paralysie de l’État, de plus en plus faible et de plus en plus envahissant. Depuis 1984, 1985, ça fait 30 ans qu’on ne fait pas de réformes. Malgré l’agitation verbale de Nicolas Sarkozy, il a fait très peu de réformes. La seule réforme qu’on fait, ce sont les retraites, car il y a de plus en plus de retraités. On est gouvernés par les personnes âgées, mais les plus jeunes sont victimes.On protège leurs retraites, le chômage continue d’augmenter ».

 

Sur la crise

 

     « Nous avons tous les moyens de sortir de cette crise, mais pas en disant que c’est terminé. Les enjeux sont gigantesques. Quand la dette publique atteint 130% du PIB en Italie, 100% l’année prochaine en France, le problème est loin d’être réglé ».

 

 « La crise n’est pas terminée, la croissance mondiale se ralentit, et nos dettes continuent d’augmenter de façon vertigineuse, nous allons atteindre 100% du PIB. A un moment, on va se rendre compte que la dette n’est pas remboursable, et il faudra soit un moratoire, soit un vrai fédéralisme dans la zone euro ».

 

 

 

 

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 11:15

 

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La commission parlementaire a-t-elle failli dans sa mission ?

 

CAHUZAC on en reparle…mais ce n’est pas de Madame CAHUZAC que nous parlerons mais d’une affaire plus grave…un compte illégal en Suisse en plus ou en moins cela ne nous fait pas bondir surtout pour un petit million d’euro ! voir : MENTIR EN POLITIQUE EST UNE CHOSE COMMUNE MAIS ETRE MALHONNETE C'EST INADMISSIBLE  

La commission d’enquête de l’Assemblée Nationale a-t-elle failli à sa mission ? A-t-elle été partiale ? Est-ce la raison pour laquelle les parlementaires de droite ont refusé de signer le rapport final ? Voir le texte intégral http://www.assemblee-nationale.fr/14/pdf/rap-enq/r1408.pdf 

 

Rappelons le devoir de "signalement" des fonctionnaires et de tous autres citoyens constituant une « autorité constituée » (article 40 du code de procédure pénale)

« Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l'article 40-1.

Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatif »

Or il se trouve que Monsieur Rémy GARNIER, inspecteur des impôts du LOT ET GARONNE, a signalé dès 2008 le cas des époux CAHUZAC qui "auraient"(présomption d'innocence obligeait) des comptes en Suisse.

Le résultat a été la suspension du dit inspecteur !

Or ,celui-ci a été choqué par les inexactitudes du rapport parlementaire « ce rapport contient de multiples allusions et affirmations diffamatoires à mon encontre ».

Il a fait part aux 40 députés membres de la commission de son indignation.

Le Président de la commission Alain CLAEYS pour minimiser l’affaire a voulu enfoncer Rémy GARNIER en incluant dans une « note de renvoi » le rappel des condamnations de l’Inspecteur des impôts pour le disqualifier.

Sauf que…Monsieur Alain CLAEYS omet de dire que l’inspecteur des impôts a saisi les tribunaux (Tribunal Administratif et Cour d’Appel de Bordeaux) qui ont annulé toutes les  sanctions qui lui furent infligées !

Et Monsieur Rémy GARNIER s’estime donc diffamé et menace d’engager une procédure en diffamation contre les membres de la commission parlementaire !

Comme l’écrit un journaliste : "il n’est pas certain que l’image de la représentation nationale déjà passablement écornée en sorte grandie"

   

Autant, nous estimions que le mensonge de Monsieur CAHUZAC n’était qu’un mensonge politique, une coutume des mauvaises mœurs politiques certes  condamnable, autant, nous devons nous élever contre l’attitude des membres de cette commission parlementaire et de son Président qui déshonorent la fonction.

 

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