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19 février 2016 5 19 /02 /février /2016 09:02
BANQUES : certains banquiers qui ont pignon sur rue sont-ils des escrocs, des incompétents ou les deux ??BANQUES : certains banquiers qui ont pignon sur rue sont-ils des escrocs, des incompétents ou les deux ??

LA BANQUE POPULAIRE EN CAUSE

 

Les clients particuliers engraissent les banques (300 milliards de dépôts non rémunérés) mais font payer des frais de gestion pour la tenue du compte.

Quels égards pour ces millions de clients captifs, dociles, généreux donateurs ?

 

Les banques font-elles payer les clients pour rattraper :

- les pertes du Crédit Lyonnais,

- les pertes de Monsieur Jérôme KERVIEL pour la Société Générale,

- les placements hasardeux, spéculatifs comme ceux qui ont été faits en Grèce (exemple BNP 4,6 milliards d'euros sur les 13 perdus par les banques françaises)

- les 10 voire 20 milliards d'€ de la banque DEXIA, filiale de la Caisse des Dépôts (de nos dépôts)...

 

 

En France, les banquiers commettent de lourdes erreurs et ce sont les clients qui payent !...dans d'autres pays, les sanctions pour les banquiers indélicats sont dissuasives...En France, les banquiers déchus (Crédit Lyonnais) se pavanent et donnent des leçons.

 

 

Voilà notre deuxième exemple de dysfonctionnements de la Banque Populaire.

PLUS DE 3 SEMAINES POUR EXÉCUTER UN ORDRE ET PAS DE RAPPELS DE LA PART DE L'AGENCE DE LA BANQUE POPULAIRE !

 

 

Vous, clients, un jour de découvert et vous avez des frais bancaires qui sont automatiquement prélevés sur votre compte tombent !

 

Par contre, quand la banque, comme dans ce cas concret, est prise en défaut…vous n’avez aucun droit ni à excuses ni à gestes commerciaux de dédommagement pour votre préjudice subi.

Les banquiers se disent mal aimés mais n'agissent-ils de façon à l’être ?

 

Ce client a un besoin urgent de fonds pour aider un proche qu'il faut dépanner d'urgence.

Il tappe dans sa tirelire sur un compte assurance vie FRUCTIVIE FRUCTI PLACEMENT

L'ordre de rachat partiel des fonds déposés sur un compte assurance vie du groupe Banque Populaire est signé à la succursale des Sables d'Olonne le vendredi 29 janvier 2016 au matin.

 

Malgré de nombreux rappels téléphoniques ce vendredi 19 février l'ordre n'est toujours pas exécuté alors qu'il faut normalement 8 jours...les 8 jours sont devenus 15 jours maintenant 3 semaines.

La succursale ne répond pas au client...l'appel tombe sur un répondeur d'un agent qui ne rappelle pas alors que les bureaux sont ouverts.

 

Que faire ?...Attendre et pour patienter envoyer cet article pour qu'à travers FACEBOOK et autres réseaux sociaux les clients des banques françaises et particulièrement ceux de la Banque dite Populaire sachent qu'on se moque d'eux.

 

A SUIVRE...

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30 janvier 2016 6 30 /01 /janvier /2016 14:56
Un amphi rempli, attentif; participatif

Un amphi rempli, attentif; participatif

L'AVENIR DE LA PÊCHE : UNE FILIÈRE SOUMISE À DURE ÉPREUVE MAIS QUI DOIT AVOIR UN AVENIR

 

L'organisation de cette journée est une initiative qui mérite qu'on s'y arrête et il est particulièrement intéressant de voir cet amphi rempli ce samedi matin 30 janvier 2016.

Le focus initial s'est porté sur la pêche; son monde, son vécu : des phrases simples, des mots chocs, des démystifications et sous-jacente une réflexion profonde et des passions : les pêcheurs malmenés mais toujours passionnés par leur métier.

Un grand plaisir d'entendre ce langage direct, percutant de ce marin pêcher Yann CHAGNOLLEAU "en 1980, il y avait de la pêche, maintenant il y a de la réglementation on est bridé de partout..." avoir investi argent, force et se demander maintenant avant d'embarquer " ...Qu'est-ce qu'on va avoir le droit de pêcher demain...c'est compliqué !"

Le patron pêcheur, entrepreneur dépend chaque jour pour son travail d'une décision qui lui est imposée "administrative"...et pourtant demain il devra assurer la paye de ses salariés, le remboursement de ses emprunts, la vie de sa famille...

"Cette évolution chamboule tout" dit-il et pourtant, les patrons, l'équipage, les salariés de la filière à terre : ils y croient tous et c'est cela le thème de la journée, la contradiction entre les conditions durs, très dures faites à la profession et à ses hommes et leur passion de leur métier.

Floence PINEAU, Présidente de l'association des femmes et familles de marins

Floence PINEAU, Présidente de l'association des femmes et familles de marins

UN TÉMOIGNAGE ACCUEILLI AVEC BEAUCOUP DE SYMPATHIE

Le témoignage apporté par Florence PINEAU est particulièrement positif et pertinent. Il balaie tous les aspects de la vie du marin-pêcheur et de sa famille et gomme certains clichés désuets. La femme de marin est devenue la "collaboratrice" du marin. Ce n'est plus celle qui vit enfermée chez elle, se consacrant à son rôle de mère en attendant le retour de son mari..

Il est certain qu'avec les absences de celui-ci, elle a un rôle plus important dans la vie du foyer. Là aussi Florence PINEAU tue des mythes. Les femmes de marin aujourd'hui ont elles-mêmes une situation professionnelle.

Le pêcheur, chef de famille, pour Florence PINEAU "même absent, il a son rôle quotidien dans le prises de décisions...le père est continuellement présent même s'il y a absence physique. Les enfants ne souffrent pas de l'absence de leur père."

Florence PINEAU veut faire passer ce message car on a rarement dans les media une image fidèle de cette situation.

Elle égratigne; comme le feront les autres intervenants de cette journée; l'Europe mais elle écorne aussi les clichés déformants concernant le monde de la pêche :

"En 1980 j'ai connu l'opulence. Aujourd'hui c'est plus compliqué pour bien gagner sa vie et pour faire vivre sa famille mais il faut vivre avec le présent . La pêche artisanale a toute sa place, il faut suivre le changement."

Il faut donner une image positive de ce métier

- 1 marin en mer fait vivre 3 ou 4 salariés,

- c'est un beau métier,

- le marin pêcheur n'est pas un destructeur, il travaille bien dans la qualité...ce thème auusi reviendra sans cesse;

Il y a même eu dans le propos de Florence PINEAU le moment de tendresse qui positive la vie de famille : les joies du retour du marin sont aussi une réalité qui embellit la vie du couple.

Merci Florence PINEAU, votre passage dans cet amphi laissera  dans les esprits un vent d'optimsme, d'espoir...il est beau le métier de marin pêcheur.

 

 

Les i,tervenants et l'animateur Jean-Marie THUILLIER (debout) à sa droite Yann CHAGNOLLEAU

Les i,tervenants et l'animateur Jean-Marie THUILLIER (debout) à sa droite Yann CHAGNOLLEAU

LA MER, NOTRE MÈRE NOURRICIÈRE, PRÉSERVONS LA PÊCHE ET LES PÊCHEURS

 

Les professionnels sont venus apporter non seulement un témoignage mais aussi leur foi dans l'avenir et leurs critiques.

Bien sûr, on n'a pas entendu que du bien de la gestion européenne, lointaine et peu participative.

Il est par conte  très intéressant d'entendre ces professionnels  défendre la cohabitation pêche artisanale et pêche industrielle, .d'avenir et de la  culture du poisson d'élevage. Cela nous évoque le malaise de l'agriculture française : produire en masse avec des professionnels qui n'en sont pas et aboutir à des produits dont la qualité est mise en cause et la quantité  dérégularise les marchés qui vont de crise en crise.

Autre information importante : les quotas sont faits pour protéger les espèces mais leur répartition est loin d'être juste avec des contrôles et des régles qui ne sont pas les mêmes pour tous et pas toujours justifiées.

Ces quotas sont basés sur une supposée connaissance de la richesse, des stocks...or depuis des décennies personne ne sait estimer sérieusement ces stocks ! dit José JOUNEAU.

D'où une désinformation qui fait dire "Quand on parle de pêche on parle de surpêche". C'est une désinformation médiatique. Le pêcheur professionnel ne va pas détruire ce qui le fait vivre.

Une bonne nouvelle : on a appris qu''on peut et doit manger du SURIMI.
 

Il faut féliciter les acteurs de cette journée si instructive pour les profanes que nous sommes et qui remet les pendules à l'heure.

Il faut remercier les organisateurs de cette journée rassemblés autour du CCFD et des professionnels.

 

 

 

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22 janvier 2016 5 22 /01 /janvier /2016 11:35
FORMATIONS POUR FAIRE BAISSER LE CHÔMAGE ?

500 000 DEMANDEURS D'EMPLOI EN FORMATION

Cette annonce ne peut être totalement négative. Il y a des demandeurs d'emploi en attente de stage de "reconversion" ou de retour à l'emploi.

Cependant passer de l'effet d'annonce de 500 000 formations à sa réalisation et à sa réussite c'est-à-dire que les 500 000 demandeurs d'emploi soient embauchés à l'issue de leur stage entraînant effectivement une baisse du chômage en France ?

 

POURQUOI FORMER ? COMMENT FORMER ?

D'abord s'il est nécessaire de former 500 000 personnes il faut se demander :

- Est-ce la déficience en personnel formé et particulièrement les jeunes sortis du système scolaire sans qualification (100 000 par an) qui crée du chômage ?  Ils sont peut-être au chômage car ils ne sont pas formés mais ils sont au chômage parce qu'il n'y a pas d'emplois créés, pas d'embauches possibles. Compte tenu de la situation économique des entreprises : pas de marchés, pas de clients, pas d'emplois créés.

- Pour les postes à pourvoir : N'est-ce pas l'appareil éducatif qui n'est pas adapté ? A quand la fin des idéologies qui bloquent les formations en alternance? Qui a bloqué les contrats d'apprentissage ces dernières années en prenant des mesures contraignantes inadmissibles pour l'accès à certaines professions qui embauchent ?

 

LE COÛT RÉEL DE FORMATIONS DÉBOUCHANT SUR UN EMPLOI

Il faut des formations adaptées aux besoins donc aux emplois. Les catégories de  demandeurs d'emploi qui restent au bord de la route sont les non qualifiés et  les "seniors" qui ont besoin d'une reconversion. Pour ces catégories de demandeurs d'emploi il faut offrir des formations dites "qualifiantes"

En effet, faire faire 500 000 stages parking à des demandeurs d'emploi c'est à la portée de Pôle Emploi...

Mais gérer 500 000 stages et stagiaires qui auront un emploi à l'issue de leur formation, c'est autre chose.

Une formation qualifiante d'un demandeur d'emploi (soit 150 à 300 heures de formation  théorique minimum avec contrôle continu sur une durée de 6 mois à un an ) avec un encadrement permettant des formations accélérées et souvent individualisées (avec des stagiaires âgés de 18 à 55 ans ) avec le maintien d'un salaire minimum (ou indemnité de stage) et des stages en entreprises aura un prix de revient minimal de 10 000 euros par stagiaire.

Il faut ajouter à cela le bilan à l'entrée, la recherche d'entreprises d'accueil, le suivi du stagiaire en entreprise, les frais de déplacement et d'hébergement... 

 

500 000 stagiaires cela fait ...5 milliards d'euros...ce n'est pas le chiffre avancé.

Ce n'est pas la formation qui commande, c'est le marché de l'emploi qui commande et le marché de l'emploi dépend de la santé économique du pays.

 

Il faudra une opération vérité sur ce souhait du Président de la République.

 

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19 janvier 2016 2 19 /01 /janvier /2016 22:43
Makheureusement : encore de beaux jours pour Pôle Emploi !

Makheureusement : encore de beaux jours pour Pôle Emploi !

CHÔMAGE

RAPPELS : c'est le fléau social de ces dernières années qui génère la pauvreté, la précarité, le désespoir, l'angoisse permanente, la violence  pour les jeunes et les moins jeunes ..

Le chômage est comme une marée noire qui recouvre l'herbe verte, là où elle a poussé.”

de Françoise Giroud, Extrait de "Chienne d’année"

 

 

CHIFFRES : L'AMPLEUR DES DÉGÂTS : 5,7 MILLIONS DE DEMANDEURS D'EMPLOIS

En France, y compris l’outre-mer, le nombre de demandeurs d’emploi est de 3 833 400 pour la catégorie A (+ 2,3 % sur un an) et de 5 743 600 pour les catégories A, B et C (+ 4,9 %).

 

INSEE : dernier communiqué officiel

 

En moyenne, sur le troisième trimestre 2015, le taux de chômage au sens du BIT est de 10,6 % de la population active en France.

En France métropolitaine, le nombre de chômeurs a augmenté de 75 000, à 2,9 millions de personnes ; le taux de chômage augmente ainsi de 0,2 point par rapport au trimestre précédent, et s'établit à 10,2 %.

La hausse concerne l'ensemble des tranches d'âge, mais plus particulièrement les jeunes. Sur un an, le taux de chômage augmente de 0,2 point.

 

 

 

NE PAS TRAITER LES MAUX FRANÇAIS QUI BLOQUENT L'ÉCONOMIE FRANÇAISE C'EST REFUSER DE TRAITER LES VRAIES CAUSES DU CHÔMAGE DONC, C'EST PRENDRE DES MESURES VOUÉES À L’ÉCHEC.

 

Le chômage découle de la situation économique du Pays avec une croissance trop faible, des blocages très forts et un pouvoir politique incapable de rendre les décisions qui s'imposent.

Il n'y aura pas d'amélioration de la situation de l'emploi dans l'immédiat. Il ne faut pas sortir de l'ENA ou de Polytechnique pour comprendre cela.

Ne pas traiter les maux dont souffre l'économie française, c'est ne pas traiter la cause du chômage...donc les remèdes annoncés, encore hier, ne sont que des traitements des statistiques du chômage aux frais des contribuables, des salariés et des employeurs et non le traitement du chômage à part une mesure sur les dix annoncées !

S'il n'y a pas de création de postes, le chômage ne diminuera pas ! c'est simple et incontournable.

Pire, ces mesures garanties inefficaces pour faire baisser le taux de chômage sont des dépenses improductives et créent de la dette et aucune richesse.

De plus, on ne pourra jamais faire comprendre à nos élus actuels qui n'ont pas connu le chômage (185 députés sont fonctionnaires !), en majorité fonctionnaires ou assimilés ou politiciens professionnels :

1) la détresse des chômeurs et la détresse des jeunes d'une manière générale,

2) la nécessité de libérer l'économie, de stopper les folies technocratiques comme encore en ce début 2016 la "pénibilité", de légiférer et normer à tout va...

 

UNE SITUATION DÉSESPERÉE, DÉSESPÉRANTE MAIS RÉVERSIBLE

Le gouvernement actuel est incapable de prendre les décisions qui s'imposent :

- en 2016, c'est trop tard, nos dirigeants sont trop préoccupés par les élections et la France va être paralysée ; le gouvernement sans le soutien de la gauche de la gauche ne pourra plus effectuer les réformes nécessaires,

- plus question de réduire le train de vie de l'État.... le nombre de fonctionnaires va croître,

- le gouvernement ne peut faire la réforme territoriale nécessaire,

- la crédibilité de l' tat et du gouvernement ne permettent plus à la veille des élections de faire appel à un sursaut des français, de leur demander des sacrifices comme cela fut fait en Espagne, en Italie, Allemagne, Grèce, Danemark, Japon, Canada, Nouvelle-Zélande, Suède, Ètats-unis, Finlande, Pays Bas ...voie le rapport du Sénat.

http://www.senat.fr/rap/r00-348/r00-3481.html

Ces pays ont réussi. En France, la politique du début de quinquennat a tué ce qui restait de vivace dans l'économie française particulièrement, en augmentant les prélévements et en faisant un matraquage fiscal ravageur et irresponsable.

Les mesurettes correctives sont insuffisantes pour rétablir la confiance...il faudra attendre 2018 et le renouvellement du personnel politique pour espérer un renversement de situation.

Donc, en 2017 et début 2018, sauvons les meubles mais n'attendons pas de miracle...la France poursuivra sa dégringolade en part de marchés. Le chômage diminue chez nos voisins pas chez nous ! La France fera de la politique politicienne mais pas d'économies.

Les chômeurs pointeront à Pôle Emploi désespérés prêts à se jeter dans les bras des extrémistes, les politiques pondront des textes inapplicables, liberticides, anti économiques... et feront des promesses qu'ils ne tiendront pas ou qu'ils ne peuvent tenir !

 

DETTE DE L'UNEDIC organisme financeur du chômage :  on atteint les 35 milliards d'euros!...Comment payer bientôt les indemnités des chômeurs ? C'est cela la réalité économique de la FRANCE ...combien coûtent les intérêts de cette dette?

 

L'UNEDIC :"Au coeur de l’Assurance chômage, l’Unédic prescrit les règles d’indemnisation du chômage décidées par les partenaires sociaux, contrôle leur mise en oeuvre, produit les études et les prévisions nécessaires pour alimenter la réflexion commune et continuer de faire évoluer le système d’Assurance chômage. L’Unédic en assure également le financement dans les meilleures conditions possibles. Elle agit en toute transparence et selon les règles de l’accord sur le paritarisme de gestion."

 

 

 

 

 

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 15:20
Une réforme qui va coûter cher si cela continue...

Une réforme qui va coûter cher si cela continue...

AUGMENTATION EXPONENTIELLE DES INDEMNITÉ DES ÉLUS RÉGIONAUX : UN CAS +75%.

 

Suite à des augmentations de ces indemnités hors normes (exemple pour un conseiller régional de Limousin + 75 %) nous avons noté des réactions qui nous paraissent pour le moins manquer de pertinence.

Mais nous avons aussi noté que impôts locaux et taxes votées...au profit des régions vont subir des hausses...pour payer les indemnités, boucher des trous ??...où sont passées les économies annoncées lors du vote de la création des nouvelles régions fusionnées ?

 

1) l'augmentation des indemnités des élus : "c'est un calcul mathématique" :! Le fait de passer d'une région de 750 000 habitants à une région de 5.8 millions d'habitants permet d'augmenter les indemnités. Donc, on les augmente !

Mais il s'agit d'une possibilité et non d'un simple calcul mathématique. Rien n'obligeait à faire une telle augmentation qui est une faute politique grave."Elus Régionaux, enrichissez-vous grâce à vos mandats " n'est pas admissible !

2) le conseiller J.P. PAGES élu du Limousin interviewé par TF1 dit que cette augmentation est justifiée par des frais de déplacements supplémentaires. Nous rappelons à cet élu que ses frais de déplacement lui sont remboursés en plus de son indemnité.

"En plus de leur indemnité de fonction et du droit au remboursement des frais de mission dans le cadre des mandats spéciaux, les élus départementaux et régionaux peuvent recevoir une indemnité de déplacement et le remboursement des frais de séjour qu’ils ont engagés pour prendre part aux réunions de leur assemblée délibérante et aux séances des commissions ou organismes dont ils font partie ès qualités" (Art. L.4135-19 / R.4135-21 / R.4135-22 du Code Général des collectivités Territoriales)

Cet élu qui trompe les français mériterait une sanction sévère et devrait démentir son propos s'il voulait paraître honnête vis-à-vis de ses électeurs

Encore un élu qui déshonore la fonction !

3) Élus "C'est un métier " voilà ce qui est dit pour "excuser " cette augmentation scandaleuse. Non ce n'est pas un métier, c'est une fonction que les électeurs confient à un concitoyen pour les représenter.

4) la réforme regroupant des Régions avait pour but de faire des économies : c'est mal parti !

- de simplifier les partages de compétences entre les collectivités...si on lit les premières circulaires d'application ; ce n'est pas gagné !...nous en reparlerons

- de faire des économies. Avec une telle mesure ce n'est pas gagné...mais si cette augmentation est symbolique par rapport aux budgets des régions. Il y a des symboles qui font du mal.

 

Par contre, ce qui est en train de gagner, ce sont les annonces d'augmentation d'impôts et taxes qui vont tomber  au profit des Régions : déjà sont annoncées des augmentations sur les carburants (part région), sur la carte grise, sur le permis, sur la taxe d'acheminement...le premier budget des nouvelles régions nous en dira plus.

 

 

Mais...TROP , C'EST TROP : élus ne vous moquez pas trop de vos électeurs...vous risquez de le payer très cher lors des élections de 2017, voire pire et avant,  si les français se réveillent...vous préparez le lit du triomphe des extrémistes car les français en ont ras le bol de l'indécence des élus qui mentent. Il appartient aux élus honnêtes de réagir s'ils ne veulent pas être balayés.

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7 janvier 2016 4 07 /01 /janvier /2016 10:39
Si c'est cela la réforme !

Si c'est cela la réforme !

UNE INFORMATION QUE NOUS LAISSONS BRUTE :

...AUX CITOYENS, DANS LA PEINE, DE JUGER

+43 %

et + 75 %

pour les indemnités des élus, cadeau de nouvel an, que le contribuable va payer...et qui se cumule avec d'autres indemnités.

 

 

Conseil régional ALPC : les indemnités des conseillers régionaux du Poitou-Charentes et du Limousin en hausse (forte! NDLR)

 

Extrait de FRANCE 3 POITOU-CHARENTES

 

Les 183 nouveaux conseillers régionaux d'Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes se réunissent aujourd'hui pour la première fois à Bordeaux pour élire le président de région.

 

 

Cette augmentation découle de l'application de la loi qui prévoit le montant des indemnités des élus en fonction de l'importance de la population régionale.

Avec la fusion de l'Aquitaine, du Limousin et du Poitou-Charentes, la nouvelle région se situe à l'échelon supérieur du barême, celui des régions de plus de 3 millions d'habitants ce qui n'était pas le cas auparavant pour le Poitou-Charentes et le Limousin.

Les indemnités des nouveaux conseillers régionaux vont s'élever à 2 661 euros par mois.

Elles étaient auparavant de 1 900 euros en Poitou-Charentes ( moins de 2 millions d'habitants) et de 1 500 euros en Limousin (moins d'un million d'habitants), celles des élus aquitains ne vont pas bouger.

Alain Rousset, président de la région Aquitaine Limousin Poitou Charentes, a indiqué qu'il choisissait d'appliquer le montant maximum du barême prévu par la loi.

 

UN CONSEIL RÉGIONAL PLUS SAGE...quoique !

Le conseil régional de la région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine en revanche a décidé de s'aligner sur le niveau minimum des rémunérations prévu par la loi.

Moins de vice-présidences et un seul président Mais au final même si les indemnités des conseillers régionaux sont supérieures à ce qu'elles étaient pour deux des anciennes régions, le budget total de la rémunération des nouveaux élus ne sera pas en hausse.

Elle sera même en baisse par rapport à l'ensemble des trois précédentes assemblées car le nombre de vice-présidents (3 725 euros mensuels) passe de 40 à 15 et celui des présidents (5 512 euros) de 3 à 1.

Les indemnités des élus régionaux ALPC

Conseillers régionaux (183) : 2 661 euros brut mensuels

 Vice-Présidents (15) : 3 725 euros bruts mensuels

 Président (1) : 5 512 euros bruts mensuels .

 

Le député de l'AISNE, apparenté PS, René DOSIÈRE, s'est déjà élevé publiquement contre ces salaires-indemnités parfois indécents par rapport au travail fourni par nombre de conseillers régionaux ! Un élu est là pour servir ses concitoyens et non pour se servir !

Ce n'est pas avec ce type de mesure que l'on pourra fonder la réforme des régions sur un souci économique : au contraire !

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 17:03
Attali : des idées simples parfois et de bonnes recettes...mis ce n'est pas lui qui fait la cuisine !

Attali : des idées simples parfois et de bonnes recettes...mis ce n'est pas lui qui fait la cuisine !

Suite de

http://www.olonnes.com/2016/01/chomage-le-remede-presidentiel-a-administrer-d-urgence.html

 

LE DIRE C'EST BIEN, MAIS MAINTENANT IL FAUT LE FAIRE ! QUITTE Á L'IMPOSER ! QUITTE Á DEVOIR SE DÉMETTRE !

 

La réflexion et la proposition incontournable de Jacques ATTALI pour commencer à guérir le pays de la lèpre nommée chômage  :

 

PLUS QUE 30 JOURS !

 

"Il ne reste au Président de la République que 30 jours, 45 au plus, pour tenir les engagements qu’il a pris, en matière d’emploi, lors de ses vœux au pays, le 31 décembre dernier.

Ces vœux sont particulièrement stratégiques : s’il reste la lanterne rouge économique et sociale de l’Union Européenne, notre pays ne peut espérer retrouver sa confiance en lui-même ; et les jeunes Français, désespérés, issus des beaux ou des moins beaux quartiers, continueront de partir, à Londres ou en Syrie.

Pour les réaliser, le Président doit lancer rapidement, massivement et concrètement, les trois réformes annoncées, si souvent, ici, réclamées :

1. Aucun jeune de moins de 18 ans, qui le désire, ne doit rester sans apprentissage, et aucune entreprise de plus de 50 employés sans apprenti.

2. Faire payer 25% du premier salaire annuel des jeunes sans formation par les fonds de la formation permanente, puisque cet emploi constitue en partie une formation.

3. Dégager les moyens nécessaires à une formation professionnelle efficace de 500 000 chômeurs par an, en commençant par les chômeurs de longue durée.

Ces trois réformes couvrent toutes les dimensions du chômage:

les très jeunes en recherche de formation ;

les jeunes sans formation à la recherche de leur premier emploi ;

les chômeurs de longue durée, de tous âges."

 

SOULEVER DES MONTAGNES

 

"Seulement voilà, pour y parvenir, il va falloir soulever des montagnes.

En clair: briser tous les lobbies qui s’y opposent depuis toujours.

1. Pour l’apprentissage, il faut que les entreprises de plus de 50 salariés puissent être considérées, après validation par l’inspection du travail, comme des lieux d’apprentissage à plein temps, et on doit faire passer les centres d’apprentissage sous la tutelle du ministère de l’Economie, comme c’est déjà le cas, avec le plus grand succès, avec le ministère de l’Agriculture, pour les formations aux métiers de la ruralité. A cela, la plupart des acteurs de l’Education nationale se sont toujours opposés, refusant de voir qu’ils ont au contraire tout intérêt à se concentrer sur le cœur de leurs métiers, avec des enseignants beaucoup mieux rémunéré travaillant un peu plus.

2. Pour réduire le coût du travail non qualifié pour les entreprises, et en particulier celui des jeunes à la recherche de leur premier emploi, sans payer personne moins que le Smic, il faut que l’Etat reprenne le contrôle des fonds de la formation permanente, aujourd’hui abandonnés aux syndicats patronaux et salariés, et aux régions.

3. Enfin, pour former utilement 500 000 chômeurs de longue durée en un an, comme promis par le Président, il faut être capable de leur apprendre des métiers utiles, ayant des débouchés, et de les inciter à la création d’entreprise, dont sont parfaitement capables un grand nombre de ceux qui se pensent au bout de tout.

Pour y parvenir, il faut en particulier abroger la loi Sapin de 2013 sur la formation permanente, qui ne consacre que 3% des 34 milliards d’euros disponibles à la formation des chômeurs.

Au total, pour concrétiser ce qu’il a annoncé le Président devra agir très vite et massivement, sans plus écouter les forces conservatrices, dont beaucoup siègent dans son propre gouvernement.

S’il ne le fait pas, le chômage français continuera d’augmenter, ce qui serait particulièrement désastreux au moment où les CDD se généralisent et où la précarité devient la règle.

S’il souhaite aussi remanier son gouvernement avant la prochaine présidentielle, il doit le faire au plus vite, en janvier, afin que les nouveaux ministres, si possible très compétents, soient en charge dès le début de ces réformes immenses.

Il lui faudra ensuite agir très vite, sur l’ensemble de ces sujets, par ordonnance pour l’essentiel.

S’il le fait, personne ne lui en voudra de ne pas avoir encore obtenus en mai 2017 tous les résultats de son action.

Et les électeurs pourraient même lui en être reconnaissants, comme le seront les livres d’Histoire… S’il ne le fait pas, et s’il recule à la moindre bronca des réactionnaires de tout acabit, dont beaucoup appartiennent à son propre camp, il aura laissé passer une chance historique de sauver le pays de bien de ces maux.

Et le reste ne serait que bavardage."

 

LÁ COMME AILLEURS (COMME EN MATIERE DE SÉCURITÉ OU DE VRAIE REFORME TERRITIORIALE)  SI LE GOUVERNEMENT NE PEUT PRENDRE LES MESURES QUI S'IMPOSENT....C'EST QUE LE PAYS EST INGOUVERNABLE ET INGOUVERNÉ...ALORS QUE LE PRESIDENT SE RETOURNE VERS LE PEUPLE...

 

FACE AU DANGER DE PARALYSIE, DE FAILLITE DU PAYS : AUX URNES CITOYENS ! POURQUOI PAS ?

 

 

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6 janvier 2016 3 06 /01 /janvier /2016 09:58
Mobiliser le personnel de Pôle Emploi : une priorité.

Mobiliser le personnel de Pôle Emploi : une priorité.

MALADIE DE LA FRANCE : ON NE GUÉRIRA PAS EN 2016 SI LE CHÔMAGE NE DECROÎT PAS DE MANIÈRE SIGNIFICATIVE

 

MISSION IMPOSSIBLE ?

 

RAISONNONS :

1) pas de baisse du chômage si la confiance des français ne revient pas,

2) mais pas de confiance si l'économie ne redémarre pas,

3) pas de confiance revenue si les gouvernants continuent à mentir : baisse des impôts et taxes en 2016... la réalité au 1er janvier 2016, c'est déjà une  augmentation des taxes sur le gasoil. Or, un français dépense 590 euros de carburant par an. Faites le calcul : pour une famille avec 2 enfants au 1er janvier cela 82 € de taxe en plus !...et vous voulez faire confiance ?

4) pas de confiance si l'Etat ne donne pas l'exemple en réduisant son train de vie et si, par exemplarité, les élus ne réduisent pas aussi leur train de vie et particulièrement leur cumul d'indemnités,

4) pas de baisse du chômage s'il n'y a pas d'emplois créés...évidence... mais pour créer de l'emploi il faut une économie avec une croissance réelle (1.5%). Les prévisions 2016 sont plus pessimistes.

Tuer la croissance par le matraquage fiscal et l'augmentation des prélèvements sociaux et des complications administratives insupportables c'est facile.

Redresser la barre c'est très, très difficile et si, en plus, on surcharge la barque avec, par exemple, des mesures telle que la pénibilité (les décrets viennent de paraître : une immense usine à gaz et à perte de temps !) il ne faudra pas compter sur le redémarrage économique en 2016 dans ces conditions,

5) promesse : 500 000 chômeurs en formation...s'ils sont rayés des statistiques Pôle Emploi, c'est de la propagande, de la poudre aux yeux...cela sera inutile et les français ne seront pas dupes de ce trucage des statistiques chômage. Cela fera plus de mal que de bien au moral des français.

D'ailleurs, faisons le calcul pour une formation qualifiante de 300 à 500 heures c'est ,au moins, un coût, salaire compris de 10 000 euros . soit au minimum une charge de 5 milliards d'euros ...pris sur quel budget ?

.

FORMER 500 000 chômeurs comment ?

Quels seront les formateurs, les trouvera-t-on ?...alors que les formateurs décroissent en nombre suite au traitement qui vient de leur être réservé en 2015.

Quelles formations correspondant à un emploi au bout ?...puisque la France ne crée pas d'emplois.

Des formations stages parking ?...on a déjà connu et on sait qu'il ne faut pas recommencer.

Des formations inutiles, incontrôlées...on a déjà connu

Cette mesure isolée est inutile, inefficace et c'est une promesse qui n'est pas  sérieuse, pas crédible. C'est une promesse de lendemain de fête...Á qiuoi sert de former des chômeurs s'il n'y a pas d'emplois créés ?  Á quoi sert de former quand on a cassé l'apprentissage...quelle incohérence !

Si on ne libère pas l'entreprise, l'économie il n'y aura pas de création d'emplois et le gouvernement n'a pas les moyens politiques de renverser la vapeur.

IL Y A BEAUCOUP DE SOLUTIONS QUI AURONT UN COÛT :

- pour la confiance :nous ne sommes pas sûrs que les mesures au 1er janvier 2016 (Hausse du Smic, prime d'activité, complémentaire santé obligatoire) soit positives pour l'emploi. Il faut un moratoire sur les mesures nouvelles comme la pénibilité et toutes normes nouvelles...qu'inspecteurs, contrôleurs des impôts, du travail deviennent non des sectionneurs mais des conseils en entreprises comme dans nombre de pays ...

- mobilisation de l'appareil de formation avec le payement des intervenants à un juste prix,

- recours éventuel aux retraités comme formateurs dans les secteurs de pointe surtout...on le fait en matière de santé pourquoi pas en matière de formation avec les enseignants ?

- zéro charges pour les entreprises qui accueillent et forment,

- suivi des demandeurs d'emploi en faisant confiance à PÔLE EMPLOI et à son personnel : mais qui dit confiance dit contrôle; il faut que tout le personnel de PÔLE EMPLOI joue le jeu, se mobilise,

- sanctions pour les chômeurs qui refusent les contraintes " des formations...

A SUIVRE... NOUS VOUS DONNERONS LE POINT DE VUE INTÉRESSANT, POSITIF DE JACQUES ATTALI

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