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25 juillet 2023 2 25 /07 /juillet /2023 17:43
SOUVENONS-NOUS !

SOUVENONS-NOUS !

 

 

 

 

 

LA FRANCE N’A PAS À S’AUTOFLAGELLER

 

LA FRANCE BIEN AIMÉE

Les français peuvent être fiers de leur pays, des siècles durant, ils ont tracé la route du mieux-être, la méthode n’a pas toujours été la meilleure mais la réussite a toujours été au bout.

À force de faire peur, de culpabiliser chacun de nous, nos dirigeants actuels par démagogie et souhait de récupérer des voix aux élections finissent par nous faire douter de cela.

Douter de nos croyances les plus ancrées et nous faire oublier ce que le France a su faire de positif, de grand, d’exportable tant sur le plan de l’humanisme que sur ceux des arts et les lettres, la recherche, la méthode au travail ...

La France même petite aujourd’hui demeure grande dans de nombreux pays. Ce n’est pas simplement parce qu’elle est membre permanent du Conseil de Sécurité des Nations Unies mais c’est surtout pour ce qu’elle représente. Le mot « liberté » est synonyme de France.

Le passé ne se gomme pas aisément. Il suffit de voir l’ampleur surprenante du mouvement mondial qui est venu au secours de Notre Dame de Paris après le catastrophique incendie. Le Monde aime la France mais qui veut donc en France que la France ne soit pas aimée et pourquoi ?

La France est aimée et reconnue alors pourquoi l’abaisser, l’humilier alors que le monde entier l’admire ? Quelle situation paradoxale !

 

L’ÉCOLOGISME EST ANTI-FRANÇAIS, LE DÉNIGREMENT, LE NÉGATIONNISME APPAUVRISSENT LA France. ILS BLOQUENT LA MARCHE EN AVANT DU PROGRÈS

L’écologie politique instrumentalise la science à des fins idéologiques. Tous les jours, des mesures et menaces répressives poussent vers une volonté d’imposer la décroissance. Les pouvoirs culpabilisent le citoyen et les menaces de sanctions pleuvent : c’est l’écologie punitive qui se met en place.

La lutte contre les gaspillages et contre les sources de pollution, OUI, le retour au Moyen Âge, NON.

Nous ne pouvons adhérer au projet suicidaire «  de la planification écologique touchant tous les secteurs » que vient de nous promettre le Président MACRON...une phrase peut-être dite en l’air mais qui pousse au crime de la destruction d’un passé qui a été marqué par la marche en avant du progrès.

Le bénéficiaire de ce progrès est l’homme.

Si tous les pays avaient respecté et respectaient notre terre comme ont su le faire des générations de français, la planète ne serait pas à sauver...elle ne serait pas malade.

Vraiment, en France, vit-on plus mal en 2023 qu’en 1800, qu’en 1900, qu’au Moyen Âge...?

Vouloir être le modèle en matière de défense de l’environnement quand on sait que la France c’est moins de 1% de la pollution mondiale. En ce domaine, il n'y a pas de modèle...sauf dans la tête de certains dont les intentions ne sont pas claires et qui aboutissent à la régression.

C’est de l’idéologie destructrice, c’est un coût indéterminé d’apprenti-sorcier...c’est de la bêtise !

 

LE PROGRÈS BIEN GÉRÉ NE S'ARRÊTE PAS

Certes, le progrès amène avec lui des dégâts collatéraux. Mais l’homme sait justement avec le progrès atténuer et effacer la trace de ces dégâts.

Regardons bien en face le problème des Centrales Nucléaires déclarées maintenant l’énergie la moins polluante :

« Les réacteurs à neutrons rapides peuvent augmenter l'efficacité de l'énergie nucléaire et réduire l'empreinte environnementale des déchets radioactifs. Plusieurs pays se tournent vers ces réacteurs innovants afin de garantir un avenir énergétique durable. » écrit l’International Atomic Energie Agency.

En tuant la filière française du nucléaire les écologistes ont fait perdre 20 à 30ans de progrès à la France en matière d’indépendance énergétique ...demandez aux habitants de FESSENHEIM et au personnel d’EDF, aux chercheurs du CNRS ce qu’ils pensent du coup d’arrêt de la filière nucléaire française.

 

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24 juillet 2023 1 24 /07 /juillet /2023 18:44
EN VENTE (PAS INTERDITE) DANS TOUTES LES ...

EN VENTE (PAS INTERDITE) DANS TOUTES LES ...

 

 

 

 

LES LOBBYS ET LES PESTICIDES ET AUTRES MATIÈRES DANGEREUSES

 

Hier, nous vous parlions des lobbys et des dangers qu’ils font courir à nous tous.

https://www.olonnes.com/2023/07/le-danger-qui-nous-menace-tous-les-lobbys.html

En réalité, pour transmettre une idée ou une idéologie pour vendre un produit, il y a souvent de nombreuses étapes que l’inventeur, le créateur et le promoteur n’arrivent pas à franchir...le lobbying peut faciliter les choses mais il peut aussi les rendre irréalisables même si elles sont un bienfait ou un moindre mal pour l’humanité.

Le bon public peut se faire berner aisément et être victime de cette pratique courante du lobbying directement ou indirectement, insidieusement.

 

L’HISTOIRE ÉPOUVANTABLE DU GLYPHOSATE : INTERDIRE OU PAS ?

Le Glyphosate, cet herbicide que nous avions adopté est devenu interdit puis pas tout à fait interdit, nous permet d’illustrer notre propos et de tenter de fonder un jugement sur cette problématique de la puissance et de l’éventuelle nuisance des lobbys.

Depuis des années, nous collectons les articles sur ce produit miracle qui permet aux jardiniers de se débarrasser temporairement des mauvaises herbes sans s’éreinter. Puis son épandage s’est fait depuis un tracteur guidé par GPS ou même depuis un hélicoptère ou un avion.

Les alertes pleuvaient sur la dangerosité de ce produit (nommé ROUNDUP).

 Ainsi le 17 juin 2013 nous lancions une alerte sur ce produit. Nous nous posions des questions : cancérigène ou pas ?

https://www.olonnes.com/article-traiter-notre-eau-potable-c-est-bien-mais-eviter-en-amont-la-pollution-de-cette-eau-c-est-quand-118541591.html

Fallait-il l’interdire malgré le doute et la suspicion sur sa dangerosité...les études donnaient des conclusions contradictoires...mais sa production ne cessait de croître ou même se stabilisait.

Les puissants groupes chimiques producteurs ont fait du lobbying pour son maintien qui était évident pour nombre d’agriculteurs et peut-être catastrophiques sur le plan sanitaire.

Mais qui doit décider ? Les autorités sanitaires des pays, celles de l’Europe ... ? Interdire c’est grave par rapport à la notion de liberté et de productivité et ne rien faire c’est grave quand « on » a mesuré (comment ???) les dangers potentiels peut-on rester dans l'incertitude ?

 

TOXIQUE, INTERDIT, CANCÉRIGÈNE, TUEUR D’ABEILLES, INOFFENSIF ?

Qu’en 2023 alors que l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) a émis un avis qui pourrait mener à la réautorisation du glyphosate nous sommes dans le doute.

Les lobbys ont tellement « pollué » les recherches et les décideurs que l’EFSA conclut qu’elle ne peut pas conclure et comme on ne peut pas demander aux abeilles ce qu’elles en pensent, le péril sanitaire sera examiné par les politiques !

 

UN PRODUIT SOUPÇONNÉ DANGEREUX EST COMMERCIALISÉ DEPUIS 1974

C’est extraordinaire que depuis 50 ans il a été produit et épandu des millions de tonnes de ce produit (un million de tonnes par an ces dernières années), que depuis des années les études contradictoires et les polémiques prospèrent sans que les populations puissent savoir si ROUNDUP est dangereux !

Cette situation que même Kafka ne pouvait imaginer va encore perdurer.

C’est extraordinaire qu’en 50 ans ce produit n’ait pas trouvé un substitut.

C’est extraordinaire qu’en 50 ans les lobbys de la Chimie mondiale aient réussi à faire survivre un produit réputé nuisible mais peut-être pas nuisible !

LES LOBBYS ONT ENCORE DE BEAUX JOURS DEVANT EUX !

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11 juillet 2023 2 11 /07 /juillet /2023 09:02
L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE DESTINATION 65 000 HABITANTS !

L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE DESTINATION 65 000 HABITANTS !

 

 

 

 

 

URBANISME : LA DÉMARCHE COMPLEXE DE L’ÉLABORATION D’UN PLAN D’URBANISME UNIQUE POUR TOUT LE TERRITOIRE DE L’AGGLOMÉRATION

 

Rappelons d’abord ce qu’est un PLU (Plan Local d’Urbanisme) qui remplace désormais le POS Plan d’Occupation des Sols qui fixait les règles pour l’urbanisation, la construction...

En 2023, quand il y a Communauté de Communes ou d’Agglomération le PLU devint un Plan Local d’urbanisation Intercommunal donc pour tout le territoire de la collectivité.

Lors de ce début de conseil communautaire de l’Agglomération Les Sables d’Olonne de jeudi dernier tout devait inciter les élus à la réflexion et à débattre des normes qui vont régner pendant deux ou trois décennies sur tout le territoire concerné.

Ce n’est pas la première fois que ce sujet est abordé et la concertation est loin d’être terminée. Nombre d’élus cependant n’ont pas l’air d’avoir conscience du virage qui se prend dans leur circonscription.

Donc pour les élus, pour la population locale, pour les professionnels, ce sujet mérite attention, réflexion et débat.

Ainsi, les Conseils Communautaires particulièrement pour ces options ne doivent pas ressembler à de simples chambres d’enregistrement mais doivent être des lieux de débat qui, avec l’écho qu’en donne la presse, retiendront l’attention non seulement des élus mais aussi celui de toute la population qui est concernée au premier chef.

 

LA FUSION DES PLU DANS L’AGGLOMÉRATION LES SABLES D’OLONNE : TROUVER CONSENSUELLEMENT UN DÉVELOPPEMENT ÉQUILIBRÉ ET MAÎTRISÉ N’EST PAS UNE ÉVIDENCE

C’est cependant une obligation légale incontournable : il faut fondre en un moule unique les particularismes des normes d’urbanisme des trois anciennes villes qui composent la ville nouvelle des Sables d’Olonne avec celles des communes de L’Ile d’Olonne, Vairé, Saint-Mathurin et Sainte-Foy. C’est un travail gigantesque commencé en 2020 et ce n’est pas chose aisée.

Pour cela, il est naturel avant tout pour les élus de fixer les lignes directrices du développement à 10, 20 ou 30 ans !

C’est sauvegarder les acquis du passé et y greffer une dynamique raisonnable

Il faut donc que les 5 communes décident consensuellement et unanimement des lignes de force qui s’imposeront à l’avenir.

 

HORIZON : UNE POPULATION QUI NE DOIT PAS DÉPASSER 65 000 HABITANTS

Un principe de base consensuel est posé et pour l’instant il faut imaginer les moyens à mettre en œuvre pour tenter de limiter la population à 65 000 habitants.

C’est un compromis entre une croissance raisonnable et le maintien d’une certaine qualité de vie.

Quand on constate le développement démographique de ces 20 dernières années sur ce territoire de l’Agglomération ce chiffre de 65 000 est un objectif mais si ce paramètre est souhaitable il faut concrètement admettre qu’il sera difficile à vraiment maîtriser.

Car, dans le projet en cours d’élaboration il faut inclure les contraintes légales et réglementaires par exemple en matière d’habitat, d’énergie, de mobilité, de développement non seulement démographique mais aussi économique et social : fini le chacun pour soi.

Il y a des contraintes connues aujourd’hui mais il y aura aussi de nouvelles contraintes légales à incorporer tout en conservant l’essentiel des objectifs définis.

Tout cela sans figer le développement naturel de chaque composante de l’agglomération

  •  oui au développement économique mais,
  • à condition que l’immobilier suive avec un équilibre social maintenu,
  • à condition de respecter le cadre de vie, les normes environnementales, la densification...

 

GÉRER DES DÉFIS ET DES OBJECTIFS CONTRADICTOIRES : MARIER LE PASSÉ AVEC LE PRÉSENT ET L’AVENIR !

Ainsi, il y a à gérer des objectifs contradictoires : qui nécessitent d’accélérer et de freiner en même temps !

- Une agglomération attractive et vivante à l’année ; cela signifie des équipements, des logements adaptés et accessibles financièrement, le développement culturel mais le tout sans égratigner le patrimoine actuel.

Comment satisfaire les exigences du développement du tourisme sans bétonner ni imperméabiliser plus, en sauvegardant le reste de terres agricoles, des espaces boisés...et prévoir l’impact sur la mobilité...?

- Un développement plus sobre, plus résilient, respectueux :

Préserver le cadre de vie et construire des logements et des équipements consommateurs d’espaces.

Construire une politique résidentielle ambitieuse en faveur des jeunes et des actifs,

Affirmer la dynamique économique du territoire,

Offrir des équipements et des services adaptés à une agglomération de plus de 50 000 habitants.

 

L’AGGLOMÉRATION, ÉLUS ET POPULATION DOIVENT PRENDRE CONSCIENCE DES ENJEUX EXPOSÉS LORS DE CE CONSEIL COMMUNAUTAIRE ET ADHÉRER À UN PLAN QUI SERA PAR DÉFINITION CONTRAIGNANT MAIS PORTEUR D’AVENIR.

Les élus unanimement ont pris acte de ces orientations.

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8 juillet 2023 6 08 /07 /juillet /2023 17:35
BIEN MÛRES, SANS PESTICIDES, SANS...HUM !

BIEN MÛRES, SANS PESTICIDES, SANS...HUM !

 

 

 

LE CONSEIL D'ÉTAT PRÉFÈRE MANGER DES TOMATES EN HIVER AU NOM DE LA LOI !

 

Nous pouvions penser que le bon choix avait été fait et que les vents étaient favorables au bon sens : manger des légumes et des fruits de préférence de saison.

Nous pouvions ainsi penser que manger des tomates insipides qui n’ont pas le goût de tomates, « plantées, muries, nourries, chauffées » en serre en hiver était une ineptie, voire une atteinte à la santé publique...

Des tomates en hiver...c’est contraire au bon sens, au développement durable prôné et aux économies d’énergie.

La décision du Conseil d’État prononcée le 28 juin 2023 face à un choix difficile a écouté la voix de la loi , pas celle du bon sens et du bon goût :

https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2023-06-28/452089

Il nous remet sur la voie légale mais pas les pieds sur terre !

En effet, cet arrêt fait droit aux demandes de la FNSEA d’annuler la "décision"  prise et publiée de l’Institut National de l’Origine et de la Qualité INAO ainsi libellée :

« Le chauffage des serres est possible uniquement dans le respect des cycles naturels. Dans ce cadre la commercialisation au stade de la production avec la qualité biologique pour les légumes : tomates, courgettes, poivrons, aubergines et concombres est interdite entre le 21 décembre et le 30 avril sur le territoire métropolitain »

Donc pas de chauffage donc pas de production ...en attendant des  jours meilleurs et plus propices où la nature est généreuse en soleil et donc en fruits et légumes de saison !
 

L’INAO : L'Institut national de l'origine et de la qualité (INAO) est un établissement public administratif, doté de la personnalité civile, sous tutelle du ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. C’est un peu le chien de garde de la qualité des produits agricoles.

En effet, l'INAO est chargé de la mise en œuvre de la politique française relative aux signes officiels d'identification de la qualité et de l'origine des produits agricoles et agroalimentaires : Appellation d’origine contrôlée (AOC), Appellation d'origine protégée (AOP), Indication géographique protégée (IGP), Spécialité traditionnelle garantie (STG), Label rouge (LR) et agriculture biologique (AB)...L'Institut veille.

En clair ...pour les produits cités dans l’arrêt du Conseil d’État ...le chauffage des serres pendant cette période hivernale est interdit en France du 21décembre au 30 avril puisque la commercialisation de produits BIO est interdite ...

C’est logique...pour l’INAO, les français comme les tomates et les agriculteurs doivent réduire leur consommation d’énergie particulièrement durant cette période...donc pas de commercialisation de ces produits sous l’appellation BIO pendant cette période pour inciter à l’économie d’énergie !

 

DURA LEX, SED LEX

C’était simple et logique ...sauf que l’organisme public INAO à omis que pour ainsi « légiférer et surtout interdire » dans sa sphère de compétence il lui faut y être autorisé par un texte qui lui-même va être soumis aux contrôles de légalité du Conseil d’État voir à celui du Conseil Constitutionnel.

Tout ce qui n’est pas interdit par la loi...est permis ...Ce n’est pas la loi qui le dit, c’est pire : c’est la Constitution elle-même qui applique un des  principes fondamentaux du droit français brandi pour préserver nos libertés.

Selon l'article 5 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, « (…) Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas».

Donc, si on veut être dans la logique de la Loi Climat, dans celle des nécessaires économies d’énergie et autres développements durables il va falloir un texte législatif pour donner force de loi à la « législation voire aux diktats » de l’INAO...qui a donc mis entre parenthèses le principe constitutionnel. Il n'avait pas le droit d'interdire. Donc son texte doit être retiré des normes qu'il est chargé de faire appliquer.

C'est un triomphe de plus du lobby syndical FNSEA...les producteurs continueront de produire des tomates en hiver et le consommateur aura le droit de manger des tomates sans goût en hiver en attendant l'été pour déguster des tomates goûteuses cultivées en pleine terre et gorgées de soleil !

 

Pour éviter touts ces complications et embrouilles il eut été tellement plus sage que le pouvoir soit redonné aux consommateurs raisonnables ou mieux que ceux-ci sachent prennent le pouvoir en se contentant de se délecter avec des fruits et légumes de saison bio ou pas bio.

 

 

DES MILLIERS D'HECTARES DE SERRES DANS LE SUD DE L'ESPAGNE (ALMÉRIA)

DES MILLIERS D'HECTARES DE SERRES DANS LE SUD DE L'ESPAGNE (ALMÉRIA)

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28 juin 2023 3 28 /06 /juin /2023 22:02
USINES À GAZ...ON AURA PLUS DE GAZ MAIS LES TECHNOCRATEES CONTINUENT À CRER DES USINES À GAZ RÉGLEMENTAIRES

USINES À GAZ...ON AURA PLUS DE GAZ MAIS LES TECHNOCRATEES CONTINUENT À CRER DES USINES À GAZ RÉGLEMENTAIRES

 

 

 

 

 

TROP DE RÉGLEMENTATIONS DEVRAIT TUER LA MACHINE TECHNOCRATIQUE DE CONSTRUCTIONS DE RÈGLEMENTS

STOP À L’EMBALLAGE PLASTIQUE EN QUESTION

 

De plus en plus de commerces et entreprises présentent leurs produits en évitant pour l’emballage et la présentation l’usage du plastique.

 

FRUITS ET LÉGUMES INTERDICTION : POUR LES FRUITS ET LÉGUMES AU 1er JUILLET 2023 ET EXCEPTIONS

Le nouveau décret encadrant l'interdiction de vente de fruits et légumes emballés dans du plastique a été publié le 20 juin 2023.

À partir du 1er juillet, cette interdiction entre de nouveau en vigueur, avec une exception pour 29 fruits et légumes, ainsi que pour les fruits mûrs à point

Un cafouillage rédactionnel a conduit le Conseil d’État (décision du 9 décembre 2022) à annuler le précédent décret d’octobre 2021) !

 

COMPLEXIFICATION DES TEXTES ET DE LA GESTION

Le nouveau décret n’a pas exclu les « complexifications » du texte avec ses exceptions toutes en nuances.

C’est la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire qui a lancé le mouvement.

La machine à faire des règlements sur tout et sur rien est lancée...la taille, le poids, la maturité du produit tout y passe y compris les sanctions.

 

NE POUVAIT-ON PAS INSTITUER UNE INTERDICTION À TERME DES PLASTIQUES POUR L’EMBALLAGE DE  PRODUITS FRUITS ET LÉGUMES SANS CRÉER UNE USINE À GAZ QUE LE CONSEIL D’ÉTAT A DÉJÀ ANNULÉ DANS SA VERSION 1 ?

Cela aurait été un changement salutaire si toutes les personnes concernées dans le circuit des producteurs et distributeurs et dans celui des consommateurs avaient adhéré à l’idée de la suppression des emballages plastiques.

Pour obtenir cette adhésion : les réseaux sociaux, les associations de consommateurs ...

Ce n’était pas impossible et surtout cela aurait été un bel exemple qu’il est possible de s’éviter la création d’une nouvelle usine à gaz règlementaire, encore une !

 

 

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27 juin 2023 2 27 /06 /juin /2023 21:21
DEPUIS 2018 ET MÊME AVANT, L'AMÉNAGEMENT DE CE SECTEUR EST À L'ORDRE DU JOUR

DEPUIS 2018 ET MÊME AVANT, L'AMÉNAGEMENT DE CE SECTEUR EST À L'ORDRE DU JOUR

 

 

 

 

 

COMPLEXITÉ D'UN PROJET LOCAL ET DONC DE LA CONCERTATION LOURDE MAIS NÉCESSAIRE ...SUITE

 

La Ville des Sables a organisé dans l’après-midi du 22 juin, salle Calixte Plissonneau, un premier atelier participatif sur le thème « mobilité à la Pironnière ».

Près de 50 personnes ayant répondu présent ont été réparties en 6 groupes de travail. La première séquence portait sur les enjeux du quartier. Les participants devaient reporter sur une feuille les lieux essentiels du quartier de la Pironnière puis exprimer les difficultés auxquelles les cyclistes, piétons et automobilistes font face actuellement et enfin indiquer s’ils éprouvaient des difficultés de déplacement en transports en commun.

La seconde séquence portait sur l’analyse des trois plans de circulation présentés. Les participants devaient compléter une grille : avantages / inconvénients de chacun et les noter par ordre de préférence avant qu’une expérimentation soit menée au cours de cet été.

Dans chacun de ces trois plans de circulation la section de la rue des Marchais qui débouche sur la route littorale était supprimée tant pour la piste cyclable que pour la chaussée et les sens de circulation de la rue des Sablais ainsi que de la partie haute de la rue des Marchais inversés.

La particularité du plan n°1 réside en la suppression de la piste cyclable de la Rue du Puits d’Enfer qui passerait à double sens pour les voitures.

Le plan n° 2 ferait passer la rue Nina d’Asty  à sens unique vers l’océan.

Le plan n° 3 inverserait le sens de circulation de la rue de la Pironnière à partir de la rue Jules Verne jusqu’au lac de Tanchet.

En conclusion, il en est ressorti deux axes forts de réflexion :

  • À une personne près, l’unanimité des participants s’oppose vivement à la suppression de la rue des Marchais qui générerait nuisances sonores et pollution.

C’est une voie de dégagement de la circulation indispensable vers la route littorale. Sa suppression aurait pour conséquence d’engorger la rue de la République et la place de la République où se trouvent des commerces, pharmacie, centre médical et de fréquents marchés et autres manifestations.

  • A l’unanimité, supprimer les pistes cyclables serait une grave erreur contraire à la politique de mobilité douce engagée en France et par les élus des Sables d’Olonne.

 

SUITES DU PROGRAMME...

Cette fois, la sono pour une réunion n’était pas défaillante, contrairement à ce qui s’était passé lors de la réunion publique du 15 juin salle Plissonneau et qui avait exaspéré nombre de participants,

 

Rappel : un second atelier participatif est prévu également salle Plissonneau vendredi 30 juin à 14 h sur le thème : « La pédagogie sur le site ».

 

IL FAUT POUSSER LA CONCERTATION MÊME LOURDE POUR DÉBOUCHER SUR UNE RÉALISATION QUE LA POPULATION DEVRA S'APPROPRIER

Il faut remercier les courageux et tenaces citoyens qui participent et enrichissent le débat sur un aussi important et délicat projet et merci aussi au rédacteur de ce compte-rendu.

 

N’oublions jamais que quand une collectivité investit c’est pour les générations à venir et que l’adhésion de la population et sa participation à un tel projet sont gages de son amélioration et de sa nécessaire appropriation par tous. Il faut donc maintenir entre tous les partenaires un dialogue franc et un désir fort et commun d'aboutir même s'il le faut en acceptant des compromis intelligents mais satisfaisants pour l'intérêt général.

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19 juin 2023 1 19 /06 /juin /2023 17:42
C'était le grand débat LITTORAL 2017 ! MAINTENANT BÂTISSONS ENSEMBLE INTELLIGEMMENT L'AVENIR

C'était le grand débat LITTORAL 2017 ! MAINTENANT BÂTISSONS ENSEMBLE INTELLIGEMMENT L'AVENIR

 

LES SABLES D'OLONNE : LITTORAL CASTELOLONNAIS,

LA RENATURATION DU SITE DU PUITS ENFER FAIT ENCORE DÉBAT

 

COMTE RENDU : Réunion publique renaturation du 15 juin 2023

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/06/les-sables-d-olonne-littoral-castelolonnais-ne-laissez-pas-les-autres-decider-pour-vous.html

UN PROJET QUI NE LAISSE PAS INDIFFÉRENT

DES VISITES SUR SITE PROGRAMMÉES

 

Belle audience, 120 personnes, pour cette réunion publique qui se tenait salle C. Plissonneau ce jeudi 15 juin à la suite de celle concernant le PLUi salle Audubon.

Après un rappel par les bureaux d’études Artelia et Phytolab de l’historique du site et de l’évolution de sa superficie, désormais 70 ha, la parole a été donnée à la salle.

Armel PÉCHEUL, Adjoint au Maire des Sables d'Olonne  a répondu à la question du financement de ce projet budgété à 3,7 millions d’euros en mentionnant les partenaires ainsi que le maintien des fonds du FEDER (fonds européen de développement régional).

De nombreuses questions ont porté sur les parkings et la circulation suite à la volonté du Conservatoire du littoral de supprimer la section de la rue des Marchais débouchant sur la route du littoral (promenade E. Herriot) alors que cette rue appartient à la ville des Sables d’Olonne. Devant les fortes préoccupations exprimées il a été répondu qu’une expérimentation sera menée dans le courant de l’été, sans en indiquer les modalités.

Jean-Pierre CHAPALAIN élu, délégué au développement durable et Vice Président de l'Agglomération responsable de la commission Tourisme, a indiqué  que tout serait mis en œuvre au niveau infrastructure routière pour sécuriser le passage des piétons quittant la nouvelle zone de parking lors de leur traversée de la promenade E. Herriot pour rejoindre les chemins piétonniers du littoral.

Armel PÉCHEUL a exclu une question hors sujet provenant de la salle et concernant les survols préjudiciables d’aéronefs au-dessus de la zone boisée protégée du conservatoire du littoral en précisant que ce n’était pas le thème de la réunion.

 Il a été rappelé que des visites sur site les 22 et 30 juin à 10h.30 et des ateliers participatifs sont prévus salle Plissonneau : jeudi 22 juin à 14 h. sur le thème de la mobilité à La Pironnière et vendredi 30 juin à 14 h. sur la pédagogie sur le site.

 

Le calendrier des travaux est le suivant :

2022-23 : études de conception - été 23 : expérimentation circulation

2024 : procédures administratives – dernier trimestre : enquête publique

2025 : suite  des études de conception

2026 : début des travaux – durée 2 ans ½.

Merci au sympathique auteur de ce compte-rendu                                               

 

 

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18 juin 2023 7 18 /06 /juin /2023 18:04
LES SABLES D'OLONNE : 18 millimètres d'eau ce dimanche matin 18 juin 2023...c'est bon pour le moral !

LES SABLES D'OLONNE : 18 millimètres d'eau ce dimanche matin 18 juin 2023...c'est bon pour le moral !

 

 

 

EAU, SÉCHERESSE SITUATION CONTRADICTOIRES EN VENDÉE ET EN FRANCE

 

EN VENDÉE, TAUX DE REMPLISSAGE DES BARRAGES  DÉBUT JUIN 2023 : 92%  SATISFAISANT

Deux remarques :

- Cela pourrait être 100% si le barrage d'APREMONT n'était pas en travaux

- La provenance de l'eau potable en Vendée est de 90 % issue des barrages retenues contrairement au reste de la France où ce chiffre est de l'ordre de 30% . Raison : la Vendée a bien fait d'investir pour créer ces barrages car les forages sont quasiment impossibles à réaliser à cause de la géologie très particulière du sous-sol. Cet investissement en barrages-retenue en VENDÉE est complété par l’important réseau d'interconnexions qui permet une péréquation entre les zones souffrant de sécheresse passagère et les autres plus arrosées.

Donc, en Vendée, en 2023, le catastrophisme qui annonce une sécheresse du siècle n'est plus de mise sauf pour les diffuseurs de fausses nouvelles de tous bords que déversent à tout-va les médias imprudents voire mal intentionnés.

 

L'ANNÉE 2023 EN FRANCE ET EN VENDÉE : LES CONSÉQUENCES DU RÉCHAUFFEMENT  CLIMATIQUE COMME LA SÉCHERESSE

 

L'AGRICULTURE CHIMIQUE EST MISE EN CAUSE

Le gros consommateur d'eau et la bienveillance de l'État français et les pressions de la FNSEA sont responsables de la situation actuelle et des conséquences du risque de sécheresse. Les production agricioles ne poussent et prospères pas à coup de subventions. L'eau que nous voyons l'été envoyée en l'air à n’importe quelle heure est du gaspillage d'une ressource vitale.

Revenons à une production raisonnée plus proche de la nature.

Expliquons aux consommateurs français que les produits sains issus d'une agriculture raisonnée coûtent un peu plus cher à la production ...mais leur coûteront moins chère...s'il n'y avait plus de subventions inutiles versées aux producteurs intensifs

Pour l'instant le consommateur paye aussi des impôts qui seront plus élevés pour financer les subventions donnés à certains agriculteurs...le chien qui se mord la queue mais qui ne sait pas que c'est sa queue.

La place de plus en plus importante de l'irrigation est une hérésie. Les Bassines sont des "bassins d'évaporation" dont l'eau est prélevée dans les nappes phréatiques et dans les cours d'eau. Pomper pour envoyer  l'eau en l'air en pleine canicule, c'est simplement du gaspillage d'une ressource vitale.

La situation en France est comme d'habitude contrastée. Des départements malgré les pluies récentes sont ou seront certainement encore  déficit mais d'autres copieusement arrosées seront excédentaires  d'une eau qui ira dans la mer ou dans les nuages.

Il en faut surtaout pas oublier que la pluviométrie en France  couvre trais largement tous les besoins en eau du Pays et que les écologistes de tous bords ont bloqué la création de réserves comme aux Sables d'Olonne!

 

LA CANAL DU MIDI ET LE LAXISME DU SUD DE LA FRANCE

L'ingénieur RIQUET (1609-1680) quand il a conçu le canal du Midi a pensé aux retenues d'eau pour fournir 365 jours par an de l'eau pour la circulation des marchandises et maintenant des touristes sur le canal.

Il a conçu comme cela se fit plus tard en Vendée des réserves sur des sites de la Montagne Noire et des platanes centenaires anti évaporation ! sur les rives !

Alors que les régions qui ont vécu sur des acquis, n'ont pas aménagé cours d'eau et n'ont pas investi dans des réserves réserves sont des cigales qui iront glaner des subventions auprès des fourmis.  Ces régions et départements en risque de sécheresse grave ont des dirigeants qui ont oublié" que GOUVERNER, C'EST PRÉVOIR !

 

Le département de la Vendée a monté un système qui le met à l'abri des grandes sécheresse si ses habitants  restent "sages" comme consommateurs et comme producteurs agricoles  raisonnés (STOP À L'IRRIGATION FORCENÉE !) .

LA VENDÉE TAUX DE REMPLISSAGE DES BARRAGES : 92%

LA VENDÉE TAUX DE REMPLISSAGE DES BARRAGES : 92%

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