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6 avril 2024 6 06 /04 /avril /2024 10:54
ENCORE MERCI À TOUT LE PERSONNEL !

ENCORE MERCI À TOUT LE PERSONNEL !

 

SOINS PALLIATIFS : 1,1 MILLIARD D’EUROS.....MAIS.....SUR 10 ANS

 

Site gouvernemental : https://sante.gouv.fr/

 

 

Les soins palliatifs visent à améliorer la qualité de vie des personnes malades en prévenant et en soulageant leurs souffrances physiques, psychiques ou encore spirituelles. Ils sont susceptibles d’intervenir quel que soit le lieu de vie ou de soins à travers une prise en charge qui inclue les proches de la personne malade. Ils peuvent intervenir au cours d’une période de soins ou en phase avancée ou terminale d’une maladie grave et incurable.

 

Consultez : l’instruction interministérielle du 21 juin 2023 relative à la poursuite de la structuration des filières territoriales de soins palliatifs dans la perspective de la stratégie décennale 2024-2034

 

 

DEMAIN ON RASE GRATIS...DEMAIN...ET C’EST DANS 10 ANS POUR LE PRÉSIDENT MACRON ET SON GOUVERNEMENT !

 

C’est extraordinaire, dégradant comme annonce gouvernementale relayée par le Président MACRON en personne pour faire passer son projet du « droit d’euthanasie » qui va venir devant le Parlement.

 

« Beaucoup d’annonces, pour lesquelles on a du mal à y voir clair », commente auprès de Public Sénat la sénatrice LR de Charente-Maritime Corinne Imbert, co-auteure en 2021 d’un rapport qui tirait la sonnette d’alarme sur les difficultés d’accès aux soins palliatifs en France. ».

 

Quand on connait les difficultés financières de l’État, quand on sait que ce que le budget 2024 voté en décembre 2023 par la voie du 49/3 est déjà détricoté par de simples décrets et circulaires...la promesse gouvernementale du plan décennal pour les soins palliatifs, c’est encore un mensonge, un espoir irréalisable.

En effet, qui peut croire à cette promesse ? ...Personne, car quand on sait aussi la durée de vie d’un gouvernement, le fait que le mandat MACRON sera achevé en 2027 il est légitime de penser...qu’en 2034 le plan MACRON « fin de vie soins palliatifs » sera passé aux oubliettes depuis belle lurette.

 

HOMMAGE ET GRATITUDE À L’ADRESSE DU PERSONNEL SOIGNANT DE NOS CENTRES DE SOINS

Nous avions disparu des écrans et réseaux sociaux depuis quelques jours suite à une obligation de soins urgents qui nous ont porté à faire un test nouveau et imprévisible du Pôle SANTÉ de notre secteur.

Nous avons retrouvé pour ce nouveau séjour en maison de santé un personnel soignant et non soignant admirable dont nous devons souligner la qualité, le dévouement, le sens de l’humain qui effectue sa mission sous forte pression par manque de moyens et suite aussi à la complexification des protocoles...

C’est donc dans des conditions très difficiles qu’exerce tout le personnel médical des établissements publics, privés, salariés et libéraux qui tiennent à bout de bras le Service Public de la Santé qui lui aussi est bien malade !

Le Président de la République et son Gouvernement n'ont pas le droit de se moquer de ce personnel et des citoyens avec des déclarations mensongères et irresponsables.

Et nous tous, citoyens, devons être reconnaissants à ce personnel et savoir lui dire merci.

Nous comprenons donc que les promesses gouvernementales dépourvues de toute crédibilité dans ce domaine essentiel de la vie de chaque citoyen soient ressenties plus comme une injure que comme un espoir.

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19 mars 2024 2 19 /03 /mars /2024 10:02
VOIR LA SUITE SUR : https://www.inserm.fr/actualite/cbd-quel-impact-sur-la-sante/

VOIR LA SUITE SUR : https://www.inserm.fr/actualite/cbd-quel-impact-sur-la-sante/

EN VOULANT SE FAIRE PLAISIR ON PEUT SE FAIRE TRÈS MAL

CONSULTER VOTRE MÉDECIN !

 

CBD =DROGUE

 

LA PUB POUR LE CBD NOUS ENVAHIT

 

Nous tenons à rappeler cette mise en garde : le CBD, extrait de cannabis, même à faible dose est et demeure une drogue avec tous les impacts que cela peut avoir  sur la santé et sur le comportement des consommateurs 

 

La publicité contre la consommation d'alcool est limitée ...pas celle du CBD ?

 

Voir la suite de l'article de L'INSERM ci-dessous

VOIR LA SUITE SUR :

https://www.inserm.fr/actualite/cbd-quel-impact-sur-la-sante/

 

 

 

INSERM :

 
 
L'Inserm est un organisme de recherche scientifique public dédié à la santé humaine. Notre objectif : améliorer la santé par le progrès des connaissances .
 
 
A DIFFUSER SANS MODÉRATION
MERCI

 

 

LE CBD : C, COMME CANNABIS EST ENCORE UNE DROGUE...MÊME SI ELLE EST EN VENTE LIBRE !!!
LE CBD : C, COMME CANNABIS EST ENCORE UNE DROGUE...MÊME SI ELLE EST EN VENTE LIBRE !!!
LE CBD : C, COMME CANNABIS EST ENCORE UNE DROGUE...MÊME SI ELLE EST EN VENTE LIBRE !!!
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13 mars 2024 3 13 /03 /mars /2024 19:35
L'INVERSION DE LA COURBE NE SERA PAS POUR DEMAIN

L'INVERSION DE LA COURBE NE SERA PAS POUR DEMAIN

 

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2024/03/le-rearmement-demographique-pourquoi-comment.html

 

L'EMBELLIE NE SERA PAS POUR DEMAIN

 

Lors de sa dernière conférence de presse le Président MACRON a fait une sorte de digression sur un phénomène social qui est en effet inquiétant pour la France : la chute de la natalité.

Quand la France s’honorait de plus de 800 000 naissances par an le sujet n’était pas encore d’actualité. Mais le Président a saisi le fait de la parution des statistiques INSEE pour soulever le problème de la la chute de la natalité en France qui n’est pas sans conséquences graves pour un pays.

En 2023, seulement 678 000 bébés sont nés en France. C'est 6,6 % de moins qu'en 2022 et près de 20 % de moins qu'en 2010. La courbe ci-dessus donne bien la vue de la dégringolade des naissances en France.

 

CHUTE DE LA NATALITÉ : QUELLES CAUSES, QUELLES CONSÉQUENCES ET SIGNIFICATIONS ?

Dans l’immédiat cette chute de la natalité signifie un changement de modèle social qui se traduit globalement par une perte de confiance dans des valeurs fondamentales qui ont fait le « bonheur » en France.

Un enfant qui naissait dans une famille c’était la joie partagée pour la cellule de base qu’est ou qu‘était la « famille ».

Le désir d’enfant, comme tout autre désir de l’être humain, est indéfinissable. Il résulte d’une quête du bonheur que l’on espère toucher du doigt un jour. Le vœu d’avoir un enfant est beaucoup plus concret et maintenant avec les moyens contraceptifs il s’inscrit dans une démarche volontaire. Désirer un enfant, c’est y rêver sans savoir si cela finira par se concrétiser.

Les moyens de contraception faut qu’effectivement c’est un choix très souvent raisonné. Or le climat actuel est à la morosité...comme avoir un enfant c’est avoir confiance en l’avenir et cette confiance passe par la notion de famille, cellule de base protectrice de la société.

Mais la quête du bonheur est liée aux conditions présentes de vie : précarité, liberté, chômage, logement...la prise de risque de satisfaire l’envie d’avoir un enfant est reléguée avec l’espoir du retour à des temps plus sécurisants.

Mais la baisse de la natalité peut, pour un pays évolué, avoir des conséquences graves pour l’avenir : une population vieillissante, le manque de « cotisants » pour supporter les charges de la solidarité et particulièrement les retraites, la santé, le non remplacement de travailleurs et le nécessaire appel à l’immigration (voir l’Allemagne) ...

Cela signifie aussi qu’en France règne sournoisement la peur du lendemain, le rejet de la solidarité, de la notion de famille...

 

LA  RESPONSABILITÉ DU PRÉSIDENT MACRON DANS CETTE MARQUE DU DÉCLIN FRANÇAIS

D’une part, cette chute de la natalité a son origine avant l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel MACRON. Celui-ci n’a fait qu’aggraver fortement une situation pernicieuse pour l’avenir du Pays.

D’autre part, le Président MACRON est coupable d’avoir accentué au nom de sa volonté présidentielle la destruction de la base de la solidarité et de la sécurité que constituait la Famille. En août 202, le chef de l‘État disait après la révolte de juin 2023 «« On constate que les cadres familiaux et éducatifs ont explosé. Une immense majorité des personnes interpellées vient de familles monoparentales ou de l'Aide Sociale à l'enfance. Cela montre que le chantier de la famille est essentiel. »...paroles...paroles...

 Encore une fois, le Président fait un diagnostic exact sur la santé de la cellule de base de notre société qu’est la famille...mais les actes qui pourraient guérir le mal ne viennent pas et, en ce domaine, la situation économique du pays ne permettra pas de réconcilier le duo FAMILLE- NATALITÉ et de donner aux français l’espoir de jours meilleurs : la confiance en l’avenir alors que la guerre est aux portes de la France.

Le discours présidentiel est positif quand il parle de lutte contre l’infertilité mais ce sont aussi des paroles. Il est impossible dans la situation actuelle du budget de la santé d’avoir d'urgence un plan gouvernemental cohérent pour inverser la courbe de la natalité.

De plus, des mesures prises ou en cours d’élaboration vont à l’encontre d’une politique familiale qui soit effectivement nataliste, la PMA pour tous, l’IVG dans la constitution qui est une mesure démagogique, le droit à l’enfant...ne vont pas conforter le besoin de sécurité, de confiance en un avenir meilleur, de soutiens à la notion de « famille » et aux familles qui pourront être de vrais et solides foyers d’accueil de l’enfant attendu et espéré.

Aucune annonce de soutien aux familles dites nombreuses (logement, déductions de charges et ou revalorisations des prestations des allocations familiales...on ne voit venir aucune mesure concrète...le « chantier essentiel de la famille » déclaré  pour le Président MACRON n’est pas ouvert et même pas au bureau d’études !

 

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11 mars 2024 1 11 /03 /mars /2024 14:32

 

 

Au moment où revient dans l'actualité "la fin de vie, l'euthanasie, l'IVG..." ce petit rappel que nous vous livrons pour fonder votre appréciation, votre jugement...sur cette révoltion sociale permanente 

IL FAUT RAPPELER AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET À TOUS LES FRANÇAIS QUE LES MÉDECINS ET AUTRES SOIGNANTS SE SONT ENGAGÉS À RESPECTER LA VIE ET SONT PROTÉGÉS PAR LEURS SERMENTS

IL FAUT RAPPELER AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET À TOUS LES FRANÇAIS QUE LES MÉDECINS ET AUTRES SOIGNANTS SE SONT ENGAGÉS À RESPECTER LA VIE ET SONT PROTÉGÉS PAR LEURS SERMENTS

 

 

Au moment d’être admis(e)à exercer la médecine, le futur médecin  promet et jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité

 

Serment d’Hippocrate prononcé par le futur médecin qui est son engagement 

"Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément."

Le serment d’Hippocrate

Voici le texte revu par l’Ordre des médecins en 2012.

“Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs.

Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.

Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services  qui me seront demandés.


J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.”


 

 

La déclaration de Genève

La déclaration de Genève également intitulée Serment du médecin figure en annexe du code de déontologie médicale. Cette déclaration a été adoptée par l'assemblée générale de l'Association médicale mondiale en 1948, elle a fait l'objet de plusieurs révisions, la dernière date d'octobre 2017.

EN QUALITÉ DE MEMBRE DE LA PROFESSION MÉDICALE
JE PRENDS L’ENGAGEMENT SOLENNEL de consacrer ma vie au service de l’humanité ;
JE CONSIDÉRERAI la santé et le bien-être de mon patient comme ma priorité ;
JE RESPECTERAI l’autonomie et la dignité de mon patient ;
JE VEILLERAI au respect absolu de la vie humaine ;
JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation  sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient ;
JE RESPECTERAI les secrets qui me seront confiés, même après la mort de mon patient ;
J’EXERCERAI ma profession avec conscience et dignité, dans le respect des bonnes pratiques médicales ;
JE PERPÉTUERAI l’honneur et les nobles traditions de la profession médicale ;
JE TÉMOIGNERAI à mes professeurs, à mes collègues et à mes étudiants le respect et la reconnaissance qui leur sont dus ;
JE PARTAGERAI mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé ;
JE VEILLERAI à ma propre santé, à mon bien-être et au maintien de ma formation afin de prodiguer des soins irréprochables ;
JE N’UTILISERAI PAS mes connaissances médicales pour enfreindre les droits humains et les libertés civiques, même sous la contrainte ;
JE FAIS CES PROMESSES sur mon honneur, solennellement, librement.

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7 mars 2024 4 07 /03 /mars /2024 22:23
BERCY : SUPER MINISTÈRE DES FINANCES PUBLIQUES DOIT SE REMETTRE EN CAUSE OU DISPARAITRE

BERCY : SUPER MINISTÈRE DES FINANCES PUBLIQUES DOIT SE REMETTRE EN CAUSE OU DISPARAITRE

 

 

LE PAYS EN DANGER

 

 

 

NOS GOUVERNANTS SE COMPORTENT EN IRRESPONSABLES

Fin 2023, la Cour des Comptes a publié un rapport alarmant qui met en cause la gestion et le mode de gestion même des Finances Publiques.

Le titre du rapport est particulièrement significatif et au vu de ses propositions et suggestions il, faut constater que l'État maîtrise trés mal ses finances publiques

« LA PRÉPARATION ET LE SUIVI DU BUDGET DE L’ÉTAT : REDONNER UNE PLACE CENTRALE À LA MAÎTRISE DES DÉPENSES »

Cela veut dire que l'État doit apprendre à savoir maitriser ses dépenses. Aujourd’hui et depuis 50 ans l’État et BERCY occultent leur devoir de bonne gestion.

En effet, l’État ne gère pas son budget, les dépenses filent et se cumulent et d’année en année le poids de la dette avec des taux d’intérêt qui montent devient insupportable. Rien que les frais financiers de la dette (intérêts) vont dépasser les 60 milliards d’euros en 2024 soit quasiment l’équivalent du plus gros budget de l’État, celui de l’Éducation.

Faire payer aux générations futures le poids de ses erreurs et de son laxisme est un jeu d’irresponsables qu’il faut blâmer.

 

LE LAXISME DEPUIS 50 ANS : LA France S’EST HABITUÉE AUX DÉFICITS BUDGÉTAIRES ET L'ÉTAT CONTINUE À VIVRE AU-DESSUS DE SES MOYENS

Depuis 1975, le déficit budgétaire est devenu la règle, une très mauvaise habitude. Nous allons fêter les 50 ans de budgets en déficit !

Il faut que les citoyens prennent bien conscience des grands dangers qui menacent la France suite au cumul des déficits budgétaires. Il faut arrêter de croire à l’argent facile, à l’argent miracle. Il faut faire taire les démagogues de l’argent magique et faire comprendre aux citoyens que la faillite qui guette le pays leur fera plus de mal que les petits et provisoires sacrifices qui pourront leur être demandés.

Il faudra que l’État donne l’exemple en sabrant des dépenses inutiles parfois scandaleuses et en dépensant moins et mieux.

Il fait en finir avec des gouvernants irresponsables.

Le Président MACRON a suivi, en les aggravant les mauvaises manières budgétaires de ses prédécesseurs qui, à la suite du Président Jacques CHIRAC (1995/2007) ont cumulé les déficits qui aujourd’hui font de la France un pays super-endetté.

En plus du danger économique qui pèse sur la France qui surcharge son budget en dépenses de fonctionnement et en déficit de ses comptes sociaux cette mauvaise gestion de l’État a entamé la crédibilité de la France. On voit bien le résultat quand la France essuie le mépris des États vertueux, cela au niveau européen et même au niveau mondial.

Cette mauvaise gestion qui favorise les charges improductives prive l’économie de capacité d’investissement alors qu’elle en a tant besoin en matière de recherche, transports, santé, infrastructures...

L’État dépense trop et dépense donc mal ; voir l’état de notre défense nationale, de nos hôpitaux ...

 

L’ÈRE DE L’ARGENT FACILE EST RÉVOLUE : LE NIVEAU DE LA DETTE CONDAMNE LA FRANCE À L’AUSTÉRITÉ

La ligne de conduite économique des chefs de l’État qui se sont succédé depuis Jacques CHIRAC est irresponsable et suicidaire.

Voilà le résultat en 3 chiffres

DETTE 2024 : 3 100 milliards d’euros

PIB 2023 : 3 900 milliards d’euros  

DÉFICIT DU BUDGET 2023 : 175 milliards d’euros

 

Soyons optimistes et courageux :

  • La seule chose encourageante c’est qu’enfin nos gouvernants sont conscients de l’état dégradé des finances publiques.
  • Mais il n’est pas sûr que les gouvernés et gouvernants acceptent de voir la réalité et prennent les bonnes et courageuses décisions avant que ne se produise la catastrophe économique et sociale qui guette le pays.

Il faudra passer des paroles de BERCY aux actes de tous nos gouvernants et maintenant trouver et réaliser les milliards d’économies nécessaires.

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 21:28
SOUVENIR D'UNE CLINIQUE

SOUVENIR D'UNE CLINIQUE

 

SAUVER LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ AVEC UN AUTRE REGARD SUR SA GESTION

Suite de

https://www.olonnes.com/2024/03/des-causes-de-la-penurie-de-medecins-et-des-perspectives-peu-rassurantes.html

Dans notre précédente parution nous avons fait, sans trop de prétention, un état des lieux sur la pénurie en matière de médecins et globalement de personnel soignant au sens large. Mais ceci n’est qu’un aspect de la défaillance constatée du Service Public de la Santé.

Ce qui est plus grave et mis en avant dans le malaise, c’est l’échec complet de la gestion où l’administratif qui l’a emporté sur l’humain.

 

AVANT DE LANCER DES RÉFORMES IL FAUT D’ABORD REPENSER LE SYSTÈME EN POSITIONNANT L’HUMAIN AVANT LES CHIFFRES

La gestion comptable et statistiques et la rentabilité de l’Hôpital, du patient, des soignants...l’a emporté sur la notion de Service Public dans un secteur où l’humain doit l’emporter sur les chiffres.

COVID 19 nous a montré les failles du système en place. Le Service Public de la Santé est malade et cependant le personnel a été capable d’assumer avec talent l’essentiel.

Le médecin n’est pas une machine qui produit et travaille des pièces standards et le patient n’est pas un client comptabilisable.

Aujourd’hui, ce qui est aberrant c’est d’avoir surchargé en administratif le service de la Santé ; un médecin généraliste passe 20 % de son temps en administratif, en tâches qui l’empêchent de recevoir sa clientèle.

 

IMPOSER DE SUPPRIMER DES LITS DANS LES ÉTABLISSEMENTS DE SOIN CE N’EST PEUT-ÊTRE PAS FAIRE NÉCESSAIREMENT DES ÉCONOMIES

Supprimer des lits dans les hôpitaux, ce n’est pas supprimer des malades quoi que !...ceux-ci ne sont pas des pièces faites à la chaîne, qu'on peut envoyer au rebut s'il y a un petit défaut, chaque patient est différent, chaque soignant a son savoir et sa sensibilité...

Cela, ceux qui ont mis en place l’appareil administratif dans le service Public (on retrouve cela aussi dans la Justice) ne l’ont pas compris dans leurs projets et dans leurs rapports avec le monde des soignants et donc des malades.

Supprimer bêtement et comptablement de la rééducation à un patient opéré peut être contreproductif financièrement et aberrant.

Ce n’est pas parce qu’un médecin fait moins ou plus d’actes que son collègue qu’il est meilleur que son collègue.

Nous pourrions multiplier les exemples de ce type.

 

NOUS POUVONS CEPENDANT AMÉLIORER IMMÉDIATEMENT CERTAINES CHOSES

Poursuivre la réforme des études entamée avec la création par la loi du 7 juillet 2009 complétée par la loi  du 24 juillet 2019 relative à l’organisation et à la transformation du système de santé et qui supprime la PACES (Première Année Commune aux Études de Santé) et mais en  fixe les modalités pour accéder aux études des professions de santé. Ce devait être l’abolition du « numerus clausus »...il ressort de nos recherches que, d’après les professionnels, l’objectif soit loin d’avoir été atteint ...15 ans après le vote de la première loi. La machine est vraiment très longue à se mettre en route.

Répondre clairement à la question de la gratuité des Études, son articulation avec la « rémunération » des services demandés ou exigés aux futurs praticiens avec un statut d’étudiant évolutif tout au long de cet « apprentissage »

Revoir le statut du médecin exerçant en profession libérale

Revoir la juste rémunération des médecins et de tous les soignants

Simplifier les tâches administratives et particulièrement celles qui incombent aux soignants

Articuler plus et mieux la complémentarité de l’offre de soins entre le privé et le public...COVID 19 a bien montré que c’était jouable

Faciliter le départ à retraite et la succession...

...

 

Aura-t-on enfin un jour un Ministre de la Santé qui sache faire bouger les choses et qui sache d’abord écouter et parler à toutes les catégories de personnel du Service Public de la Santé qui sont au service de la population et de sa Santé Publique ?

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4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 19:16
DES CAUSES DE LA PÉNURIE DE MÉDECINS ET DES PERSPECTIVES PEU RASSURANTES

 

 

 

UNE LISTE DE CAUSES QUI PEUVENT EXPLIQUER MAIS PAS JUSTIFIER LA PÉNURIE DE MÉDECINS ET LES AUTRES MALAISES DU SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ

 

Suite de : https://www.olonnes.com/2024/03/notre-sante-est-malade-et-sa-guerison-ne-pourra-etre-rapide.html

La santé est un bien précieux mais qui, certes, coûte très cher à la collectivité. L’investissement se justifier au nom de la solidarité nationale...c'est un choix national !

 

UNE LISTE DE CAUSES QUI PEUVENT EXPLIQUER LA PÉNURIE DE MÉDECINS ET LES AUTRES MALAISES DU SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ

La santé est un service public « nationalisé » phagocyté par un État qui, depuis ces 4 dernières décennies, a toujours soif de compétences nouvelles qu’il aura toujours du mal à bien assumer.

Les politiques publiques face aux charges sociales croissantes du pays et aux déficits chroniques des institutions « sociales » n’ont aucune cohérence. C’est la logique et une faiblesse du système démocratique à la française.

En effet, les ministres de la Santé se succèdent mais aucun n’osera prendre vraiment les mesures nécessaires et parfois fort impopulaires (voir la réforme des retraites).

C’est normal : ces mesures prendront entre 10 et 20 ans avant de produire les effets escomptés ...comme un politicien ne peut attendre 10 ans pour retirer les bénéfices électoraux de ce que sa politique audacieuse pourra produire, une vraie réforme n’est pas encore née !

C’est ainsi que les ministres de la Santé font partie des ministres inaugurateurs des chrysanthèmes plutôt que des ministres vraiment réformateurs.

 

POURQUOI LA FRANCE MANQUE CRUELLEMENT DE MÉDECINS ?

La problématique est complexe. De plus, elle s’aggrave avec le temps, l’évolution démographique entraîne u le départ de très  nombreux médecins ( En 2024, 16.000 médecins non remplacés partent en retraite ! ).

La liste des causes détectées du manque de médecins que nous osons établir est longue mais elle n’est certainement et malheureusement pas exhaustive :

  • des études dures, longues et coûteuses qui découragent les vocations  même si la réforme du numerus clausus est actée mais ne produira ses pleins effets que dans un minimum de 10 ans
  • une concurrence des autres pays européens, qui offrent souvent des conditions de travail plus avantageuses
  • une situation démographique (rallongement de l’espérance de vie en France) qui génère une augmentation significative des besoins de soins
  • des conditions de travail qui se dégradent qui font que les futurs médecins rejettent la pratique libérale avec des consultations plus longues et des charges administratives sans cesse plus lourdes qui augmentent sans compensations la pression et de la charge de travail du médecin
  • les rémunérations nettes des médecins en France sont devenues relativement bassses par rapport à d'autres professions similaires. Le blocage des honoraires des médecins par l’État est ressenti à juste titre comme du mépris comme le sont les injonctions outrancières et irresponsables des « contrôleurs » des médecins
  • les difficultés d’installation surtout dans le secteur rural et dans certains milieux urbains « à risques »
  • les conditions départs en retraite des « anciens » qui se poursuivent à un rythme logique, prévisible et effréné avec l'aléa de trouver ou pas un remplaçant pour leur succéder
  • les conditions sociales, familiales...d’exercice de la profession dans un monde qui bouge avec une évolution sociétale importante qui exclut le médecin et lui demande souvent des sacrifices parfois hors normes : vie familiale, droits aux congés...
  • une structure professionnelle « ordinale » particulièrement corporatiste et sclérosante. Nous nous souvenons de ces médecins qui fustigeaient les « mandarins » qui faisaient au nom de la profession la pluie et le beau temps mais pas les réformes nécessaires.

 

À SUIVRE...

QUELQUES RÉMÈDES POTENTIELS À LA PÉNURIE DE MÉDECINS

 

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3 mars 2024 7 03 /03 /mars /2024 20:56
L'HÔPITAL DES SABLES D'OLONNE

L'HÔPITAL DES SABLES D'OLONNE

 

 

 

SANTÉ : NOUS VOUDRIONS TOUS AVOIR UN RETOUR À UN SERVICE PUBLIC DE QUALITÉ

 

UN GRAND MERCI À TOUS LES SOIGNANTS ET COLLABORATEURS DU SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ

Avant de commencer ces parutions sur le Service Public de la Santé nous nous devons d’adresser à tout le personnel soignant, aux administratifs et autres auxiliaires qui participent à ce Service Public un grand merci.

Ils sont tous admirables de dévouement, de professionnalisme et d’empathie au service de leurs patients. Nous ne dirons jamais assez toute la reconnaissance que, nous, les patients, leur devons.

 

LE SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ EST LE PREMIER QUI A BESOIN DE SOINS

Quand on voit des maternités fermées, des services d’urgence fermés, des services qui vous donnent des rendez-vous à 6 mois voire plus, des médicaments aux abonnés absents, des déserts médicaux...on peut dire que quand on pénètre dans ces établissements parfois démunis de l’essentiel on ne peut que constater que notre service de la Santé qui fit l’admiration des pays étrangers est bien malade.

Malgré la diversité des tâches qu’ils assument il y a au niveau du personnel (voir les chiffres ci-dessous) une notion d’appartenance qui maintient le moral des troupes même si certains flanchent !

Médecins de tous grades, direction, infirmières, aides-soignants, kinésithérapeutes et autres paramédicaux, agents hospitaliers, agents techniques...ils participent tous à ce Service Public dont ils subissent la dégradation alors que les techniques et les progrès auraient dû leur apporter beaucoup de satisfactions et d’espoirs...à eux et surtout à leurs patients. 

Covid 19 a fait découvrir l’ampleur d’un malaise profond mais inconnu ou discret que nous tenterons d’expliciter et nous essayerons de mettre de l'espoir sur ce tableau plutôt sombre.

 

QUELQUES CHIFFRES IMPORTANTS

1,4 million de salariés hospitaliers publics et privés réunis

339 médecins pour 100 000 habitants en 2021

226 000 médecins en activité en France dont 102 000 sont des généralistes (45 %) et 124 000 sont des spécialistes hors médecine générale (55 %)

 

504 000 infirmiers (inscrits à l’ordre)

Études : 3 années

 

La Médecine : un long et dur parcours...pour nos jeunes et futurs médecins

Inscrits en première année de médecine : 34 800 en 2020/ 2021

Admis en deuxième année : 8 400 en 2020/2021

Études de 10 à 12 ans

  • Pour un médecin généraliste : 10 ans d'études après le bac
  • Pour un médecin spécialiste : 12 ans d’études.

À SUIVRE...

UNE LISTE DE CAUSES QUI PEUVENT EXPLIQUER LA PÉNURIE DE MÉDECINS ET LES AUTRES MALAISES DU SERVICE PUBLIC DE LA SANTÉ ET DES PERSPECTIVES PEU RASSURANTES

 

 

 

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