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24 janvier 2024 3 24 /01 /janvier /2024 21:13
BELLES FEUILLES MAIS...

BELLES FEUILLES MAIS...

 

 

 

 

 

 

LA DROGUE FAIT MAL À NOUS TOUS

Suite de

https://www.olonnes.com/2024/01/la-drogue-prospere-en-france.html

 

 

Avant de traiter les conséquences des méfaits liés aux drogues en France, rappelons les chiffres qui illustrent ce fléau social et économique

 

DES CHIFFRES QUI PARLENT ET QUI TUENT

La France est troisième au classement des consommateurs de drogues.

3 milliards d’euros : chiffre d’affaires généré par les trafics de drogue

5 millions de consommateurs habituels de cannabis et 1 million pour d’autres drogues.

150 tonnes dont 130 pour le cannabis : saisie annuelle par les douanes et les forces de l’ordre

36 400 : nombre d’affaires traitées sur le plan pénal : liées au trafic de drogues.

4 000 : Lieux de deal 

 

Ainsi débute la présentation d'un rapport de l’Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONU) :

« Quelque 200 millions de personnes, soit 5% de la population mondiale âgée de 15 à 64 ans ont consommé de la drogue au moins une fois au cours des 12 derniers mois. C'est 15 millions de plus que l'année précédente, mais encore bien moins que le nombre de personnes consommant des substances psychoactives licites (30%, environ, de la population adulte consomme du tabac et 50% de l'alcool). Le nombre d'usagers du cannabis est désormais proche de 160 millions, soit 4% de la population mondiale âgée de 15 à 64 ans...

Le marché de détail de la drogue dans le monde est estimé à quelque 320 milliards de dollars...

C'est dire que l'ennemi que nous combattons n'est pas simplement redoutable, c'est un monstre

 

LA DROGUE PERTURBATRICE DU CERVEAU : SÉCURITÉ, SANTÉ PUBLIQUE...

Ces dernières décennies nous avons été bassinés avec des fausses nouvelles sur les risques volontairement minimisés qu’encourent les consommateurs de drogue et qu’ils font, d’une manière générale, encourir à la société.

On ne sait quels peuvent être les objectifs poursuivis par des intellos irresponsables, artistes... qui deviennent des propagandistes.de la consommation de produits interdits :

  • Bobos, généralement parisiens, pour faire parler d’eux et en mal de reconnaissance y compris par des personnalités ministres et anciens ministres,
  • autres bobos irresponsables qui agissent au nom des libertés.

Pourtant, l’expérience dans divers pays montre que, si la libéralisation et la dépénalisation de la consommation des drogues conduit à quelques avancées en matière de santé publique (morts par overdoses, hygiène...), ces pratiques ne bloquent pas leur diffusion et surtout l’augmentation de la consommation de drogues.

Pire, celle-ci devient encore plus dangereuse car le fait d’occulter les risques, de les minimiser impacte les jeunes y compris pré-adolescents qui sont tentés, démarchés...pour tomber dans le piège de l’addiction.

N’oublions pas que les drogues aggravent les conséquences accidentogènes particulièrement en matière de sécurité routière.

Disons simplement et incontestablement que le fonctionnement du système nerveux est perturbé par la consommation de certaines substances telles qu’alcool, drogue et certains médicaments et que ces substances provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la commande du mouvement car elles modifient la transmission des messages nerveux. Nous comprenons ainsi le législateur qui a limité le droit de conduite un véhicule sous l’emprise de la drogue.

Voir :

https://www.drogues.gouv.fr/que-nous-dit-la-science-des-addictions

Rappelons que l’addiction ou dépendance s’exprime par le fait que l’absence de substance ou de stimulation crée une sensation forte de manque et un besoin de consommer et ce, à n’importe quel prix : l’addiction mène parfois au crime !

C’est le mécanisme inéluctable de la consommation de stupéfiants et autres substances qui poussent l’individu à devenir esclave de ce qui, au départ, fut un plaisir et qui devient très vite un asservissement...voir le dossier de la déchéance de Pierre PALMADE qui doit nous faire réfléchir et agir.

 

LA DROGUE DANS TOUTES SES CONSÉQUENCES QU’IL NOUS FAUT ÉVOQUER

En fin 202,3 et certainement en lien avec les émeutes de juin 2023, les médias sont revenus sur ce thème du fléau que représente la consommation de drogues..

L'application de la loi, la lutte contre les trafics, la prise en charge sanitaire, la promotion de la recherche, les  plans de lutte contre les drogues, les centres de soins et d'accompagnement : tous ces investissements aggravent la facture qui se fait de plus en plus importante pour l'État et l'Assurance maladie au fil des ans.

Selon l’Observatoire français des drogues : 1,5 milliard d'euros ont été dépensés en 2010 par les deux institutions réunies, contre 1,47 milliard d'euros en 2009. Des sommes qui ne ne comprennent pas les coûts des traitements des maladies liées à la consommation de drogues !

À cela, il faut ajouter les impacts économiques très négatifs des 4000 points de deal en France :

  • les coûts sociaux comme ceux que la Ville de Paris et celle de Marseille,par exemple, doivent subir pour la gestion de zones de non droits où la vie des citoyens est totalement perturbée,
  • les dégradations qui en découlent,
  • les pertes subies par les citoyens sur leurs biens dévalués...

Les services psychiatriques des établissements de soins en France sont particulièrement affectés par l’invasion des drogués et le personnel déstabilisé par les conséquences des malades d’addictions. Ils viennent en surnombre grossir le nombre de malades mentaux déjà suivis non sans mal par un personnel admirable mais déjà insuffisant.

Autre impact non évalué mais très grave et très important : les violences conjugales et intra-familiales liées aux addictions qui sont sources d’éclatement des familles, d’abandons, de traumatismes graves de jeunes enfants...

C’est donc toute une chaine de méfaits et de malheurs qui découlent de la consommation de la drogue que nous devons tous endiguer, soigner et éradiquer.

 

À SUIVRE...

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20 octobre 2021 3 20 /10 /octobre /2021 13:11
OUI, PARTAGEONS ! AVEC COURTOISIE

OUI, PARTAGEONS ! AVEC COURTOISIE

 

CIVISME : LE COMPORTEMENT DES USAGERS DE LA ROUTE DANGEREUX, INCOMPRÉHENSIBLE ET INSUPPORTABLE

 

 

UNE EXPÉRIENCE « DÉROUTANTE »

Reprenons quelques définitions et citations (Larousse et autres) qui définissent LE CIVISME !

Le civisme, c’est le dévouement envers la collectivité, l'État et à la participation régulière à ses activités, notamment par l'exercice du droit de vote. C’est l’ensemble des qualités propres au bon citoyen : zèle, dévouement pour le bien commun de la nation

Son contraire L’INCIVISME : c’est le manque de civisme, de politesse, de respect ; toutes les attitudes provocatrices qui consistent à se comporter sans-gêne, comme si on était seul.

Nous venons de circuler pendant un mois dans nos belles régions de France et particulièrement d’OUEST en EST, en ville, en campagne, sur les petites routes et sur les grandes routes et autoroutes.

 

LE CONSTAT EST AFFLIGEANT : LES RÈGLES DU CHACUN POUR SOI ET LA LOI DU PLUS FORT ET DU PLUS BÊTE SONT EN CROISSANCE

Du jamais vu et subi : nous venons d’être témoins et victimes d’innombrables comportements viles, irresponsables et parfois mortifères :

  • Dépassements trés dangereux sans souci des lignes blanches continues donc sans aucune visibilité,
  • Non-respect des priorités à droite et STOP,
  • Non-respect des limitations de vitesses en ville mais aussi sur les voies rapides et dans les zones de travaux,
  • Les clignotants doivent être en option pour nombre de véhicules,
  • Stationnements sur emplacements des handicapés...

Une petite mention particulière pour les deux roues très vulnérables :  cyclistes, patinetteurs et cyclomotoristes roulent à contresens, à gauche, sur les trottoirs et ne respectent ni les priorités, ni les signalisations y compris les feux rouges et autres STOP, circulent sans éclairage la nuit...

Une autre mention particulière sera aussi faite aux piétons, qui, eux aussi, ne respectent pas les règles rudimentaires de sécurité : comme l’utilisation des passages pour piétons.

 

STOP À L’INCIVISME : APPRENDRE LA COURTOISIE ET SANCTIONNER LES FAUTES

Les remèdes à cette indiscipline collective et accidentogène sont pourtant simples :

  • La courtoisie : dans de nombreux pays européens et nord-américains il y a une règle morale, inscrite dans les gènes de leurs habitants mais non écrite : priorité à la courtoisie...quel plaisir de séjourner dans ces havres de paix, de sécurité et d’amabilité.
  • La peur du gendarme : lors de ce périple en France nous avons constaté que les agents dont la mission est de veiller à la sécurité de tous et donc au respect des règles édictées sont peu présentes voire totalement absentes. La peur du gendarme est pourtant le début de la sagesse. Mais nos braves gardiens de la paix civile (gendarmes, policiers...) manque de moyens et croulent sous le poids d'autres missions  plus ou moins nécessaires et doivent aussi encaisser des critiques malvenues.
  • Une campagne incessante d’éducation routière en commençant dès le plus jeune âge finira par enrayer l’inflation de mauvaise conduite, d’actes répréhensibles,
  • Une surveillance permanente des équipements de sécurité et leur adaptation : panneaux

Il faudra d'urgence rendre à la libre circulation de tous un aspect relaxant, paisible...civique et courtois.

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19 janvier 2021 2 19 /01 /janvier /2021 10:18
LA MAIRIE DES SABLES D'OLONNE

LA MAIRIE DES SABLES D'OLONNE

LES SALLES MUNICIPALES ENCORE FERMÉES 

LA VILLE DES SABLES D'OLONNE COMMUNIQUE :

 

A la suite de l'intervention, le jeudi 7 janvier dernier, de M. Jean CASTEX, Premier Ministre, nous vous informons que les salles multi-activités demeurent fermées aux associations et aux particuliers pour leurs activités habituelles.

Par ailleurs, les animations en extérieur de plus de six personnes restent proscrites. 

Le service vie associative, et sport et nautisme (pour les équipements sportifs) sont à votre écoute pour toutes vos questions et demandes complémentaires au 02.51.23.16.00 ou par courriel à vie.associative@lessablesdolonne.fr

Sachant pouvoir compter sur vous et restant à votre disposition, je vous prie d'agréer, Mesdames, Messieurs, les Présidents et Responsables associatifs, l'expression de mes respectueuses salutations.

 

 

 

 

 

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21 novembre 2020 6 21 /11 /novembre /2020 22:45
MIEUX PROTÉGER NOS FORCES DE L'ORDRE

MIEUX PROTÉGER NOS FORCES DE L'ORDRE

 

LA PROTECTION DES FORCES DE POLICE PASSE AVANT TOUT PAR DES MOYENS RENFORCÉS ET PAR L'APPLICATION RIGOUREUSE DES TEXTES EXISTANTS

 

Nous attirons votre attention sur une loi dite loi "Sécurité Globale" en cours de discussion au Parlement.

Cette loi à notre grand étonnement vient modifier la fameuse loi sur la liberté de la presse de 1881 …de quoi effectivement émouvoir les journalistes et les citoyens épris et défenseurs du respect des libertés telles que définies dans les textes fondamentaux de la République.

Cette proposition de loi est donc une initiative des parlementaires « En marche » et apparentés et d’un groupe d’une vingtaine du groupe "Agir ensemble".

Pour consulter le texte de la proposition de loi :

http://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3452_proposition-loi#

Cette proposition est divisée en 8 chapitres dont

- un chapitre concernant la sécurité privée,

- un chapitre consacré à la police municipale,

- un chapitre consacre à la vidéoprotection et captation d’images,

- un chapitre consacré aux forces de la sécurité intérieure dans lequel figure l’article 24,

- un chapitre sur la sécurité dans les transports et sécurité routière,

-trois chapitres sur diverses mesures.

Ce qui fait débat c’est cet Article 24 (voir ci-dessous) de cette proposition de loi qui n’en compte pas moins de 32 articles !

Article 24 de la proposition de loi :

1 - Le paragraphe 3 du chapitre IV de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse est complété par un article 35 quinquies ainsi rédigé :

« Art. 35 quinquies. – Est puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support, dans le but qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale lorsqu’il agit dans le cadre d’une opération de police. »

I L’article 35 quinquies de la loi du 28 juillet 1881 sur la liberté de la presse ne font pas obstacle à la communication, aux autorités administratives et judiciaires compétentes, dans le cadre des procédures qu’elles diligentent, d’images et éléments d’identification d’un fonctionnaire de la police nationale ou d’un militaire de la gendarmerie nationale.

 

ENCORE UNE LOI FOURRE-TOUT

Comme nous pouvons le voir ci-dessus, la première remarque que nous pouvons faire concerne l’importance du texte de loi, encore un fourre-tout dont les députés et les sénateurs ne pourront pas tous faire une analyse complète. Par exemple, alors que l’opinion se focalise sur l’article 24, observons que le seul chapitre qui concerne la police municipale mérite à lui seul un débat sachant l’extension des compétences de cette police municipale qui va jusqu’à celle de police judiciaire !

Nous avons une police nationale et les personnels de la gendarmerie, personnels formés aux procédures judiciaires. S’il en manque pourquoi ne pas prendre sur le contingent des 10 000 policiers dont le recrutement est prévu au lieu de confier des tâches de même compétence à une autre police de proximité, non formée aux procédures judiciaires.

Deuzio, que vient faire , par exemple, dans cette loi le chapitre sur la Sécurité Routière concernant les « vérifications destinées à établir l’état alcoolique » ?

On pourrait continuer ainsi sur d’autres articles de la proposition de loi.

Décidement, nous avons bien du mal à comprendre comment peuvent travailler sérieusement nos parlementaires.

Concluons que le texte essentiel est noyé au sein des 32 articles de la loi dite « police globale ».

 

L’ARTICLE 24 DE LA LOI EST-IL NÉCESSAIRE, EST-IL LIBERTICIDE OU SIMPLEMENT PROTECTEUR DES FORCES DE L’ORDRE

Reprenons des principes fondamentaux.

Il appartient donc aux forces de l’ordre dont c’est la mission d’accepter d’encadrer des manifestations sachant que le droit de manifester est reconnu et encadré ? Ce n’est pas le droit de faire n’importe quoi et les débordements doivent et peuvent être sanctionnés.

La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres : la liberté d’informer elle-même est encadrée contre les débordements : diffamation, injures…

« Tout ce qui n'est pas interdit est permis. Selon l'article 5 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, « (…) Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas. ».

Le droit de manifester est aussi garanti symboliquement par son inscription dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. L’article 10 souligne : «Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.»

Qu’est-ce ce qui peut juridiquement empêcher un journaliste de photographier des manifestants et des policiers ?

Rien n’empêche non plus les policiers de filmer les manifestants si ce n’est le risque pour ceux-ci comme pour les journalistes qu’il soit porté atteinte à leur vie privée. Celui qui est photographié pourra porter plainte à ce titre !

Le droit à l'image permet de faire au citoyen de faire respecter son droit à la vie privée. Ainsi, il est nécessaire d'avoir un accord écrit pour qu’un tiers puisse utiliser votre image. Des exceptions existent, par exemple la photo d'un événement d'actualité. Mais chacun peut demander le retrait d'une image au responsable de sa diffusion.

Ce texte de l’article 24 de la loi « sécurité globale » sous sa forme de proposition initiale présentée aux députés et comme cela a été dit à l’Assemblée Nationale est une forme d’entrave au droit de manifester et d’informer.

Mais en prenant une photo, le journaliste devient-il désormais présumé coupable de vouloir nuire aux forces de l’ordre ?

Sera-ce à lui de prouver qu’il n’a pas l’intention de nuire aux policiers figurant sur ses clichés ?

Cette loi votée par l’Assemblée Nationale part d’abord de l’intention louable de protéger les forces de l’ordre. Mais, encore une fois, il s’agit d’une loi qu’on peut qualifier de circonstancielle et liberticide qui :

  •  d’une part, elle omet qu’il existe un arsenal de textes et une importante jurisprudence très protecteurs des forces de l’ordre et qu’il est du devoir essentiel des magistrats de faire application des textes et ainsi de protéger les forces de l’ordre,
  • d’autre part, il crée un délit avec une présomption de culpabilité qui concrètement sera à la charge de celui dont le but est d’informer, c’est une entrave à la liberté,
  • de plus, la déontologie qui s’applique à la presse et aux journalistes bien sûr, protège efficacement les policiers,
  • enfin, et surtout il existe des moyens techniques d’investigation qui doivent protéger les forces de l’ordre de l’usage abusif qui pourrait être fait des images prises par des manifestants et des journalistes ou par tout individu qui aurait des intentions de nuire.

Ces moyens peuvent ou doivent être renforcés et être éventuellement préventifs comme cela se fait pour les personnes « fichées » …les individus qui, par exemple, à travers les réseaux sociaux cherchent à nuire doivent être plus surveillés et éventuellement mis hors d’état de nuire comme tout individu suspect.

Il ne suffit pas de crier au loup quand des individus abusent des réseaux sociaux pour nuire à des tiers qu’ils soient personnes privées ou membres des forces de l’ordre. Il faut une réponse pénale et civile qui existe déjà.

Tout cet arsenal existe donc. Son efficacité peut et doit être améliorée

Cela rend déjà cet article 24 de la loi inutile.

En effet, pourquoi faire encore une loi qui mélange tout, qui fait polémique et qui va alourdir l’arsenal législatif et réglementaire existant sans donner des moyens humains et techniques de combattre le mal à la racine et de protéger les forces de police.

On peut bien comprendre le souci dans la période actuelle d'améliorer la protection des membres des forces de l'ordre, mais la voie choisie par cette proposition de loi est-elle vraiment la bonne ? 

À chacun de s'informer et de juger.

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16 octobre 2020 5 16 /10 /octobre /2020 21:20
C'EST LA SUITE DES PRÉCÉDENTES GRANDES VACANCES : CORONAVIRUS RÉSISTE

C'EST LA SUITE DES PRÉCÉDENTES GRANDES VACANCES : CORONAVIRUS RÉSISTE

 

 

UNE BONNE MESURE DE PRÉCAUTION DONT NOUS ATTENDONS TOUS DES EFFETS POSITIFS

 

Le port du masque sur l'étendue de toute la ville est obligatoire dans les lieux publics pour les personnes de 11 ans et plus (voir exemptions article 2 de l'arrêté ci-dessous).

Le Préfet de la Vendée qui n'a pas voulu faire des jaloux et vue l'évolution des chiffres de l'épidémie en VENDÉE (voir ci-dessous) vient d'étendre la mesure à une trentaine de communes.

Voir les arrêtés préfectoraux concernant les autres communes

http://www.vendee.gouv.fr/covid-19-rassemblements-et-manifestations-a3466.html

 

"LE PRÉFET DE LA VENDÉE EN APPELLE À LA RESPONSABILITÉ DE TOUS

La pression épidémique du département de la Vendée s’accentue. Le taux d’incidence a franchi le seuil de 50/100 000 et s’élève au 12 octobre à 62,5/100 000 habitants (contre 44,1 à la fin du mois de septembre). Le taux de positivité est de 5,9%.

Le nombre d’hospitalisations est en augmentation (13 hospitalisations la semaine dernière contre 6 les semaines précédentes) ainsi que le nombre d’admissions en réanimation (5).

 Compte tenu de la progression rapide du taux d’incidence au-dessus du seuil d’alerte et de l’augmentation progressive de nouvelles hospitalisations, Santé Publique France vient de classer le département de la Vendée en situation de vulnérabilité élevée.

 Le préfet de la Vendée appelle plus que jamais à respecter, collectivement et individuellement, les gestes barrières, la distanciation sociale et le port du masque.

 Face à l’évolution de la situation sanitaire, l’obligation de port du masque pourrait être étendue à d’autres communes et des mesures pourraient être prises sur l’activité des établissements recevant du public, les événements festifs, culturels ou sportifs, les marchés ou l’activité des bars et des restaurants (en termes d’horaires ou de capacité d’accueil).

 Le préfet de la Vendée en appelle à la responsabilité de tous. Chaque jour, chaque heure compte pour sauver des vies et pour appuyer les efforts des personnels soignants en première ligne contre la Covid-19."

SABLAIS RÉSIDENTS OU VISITEURS : À VOS MASQUES, DÈS CE SAMEDI JUSQU'AU 12 NOVEMBRE
SABLAIS RÉSIDENTS OU VISITEURS : À VOS MASQUES, DÈS CE SAMEDI JUSQU'AU 12 NOVEMBRE
SABLAIS RÉSIDENTS OU VISITEURS : À VOS MASQUES, DÈS CE SAMEDI JUSQU'AU 12 NOVEMBRE
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13 juin 2020 6 13 /06 /juin /2020 10:22
IL NE FAUDRAIT PAS QUE SUITE AUX ERREMENTS DU "MINISTRE DE LA POLICE" CELLE-CI DÉCIDE DE SE CROISER LES BRAS¶

IL NE FAUDRAIT PAS QUE SUITE AUX ERREMENTS DU "MINISTRE DE LA POLICE" CELLE-CI DÉCIDE DE SE CROISER LES BRAS¶

NE CASSONS PAS NOTRE POLICE ET NOS POLICIERS

Le maintien de la sécurité publique, la protection des personnes et des biens, le maintien de l'ordre, la sécurité routière, la protection des personnalités, police secours...

Les missions confiées par l'État à la police ne cessent de croître non seulement en nombre mais en plus en dangerosité pour les policiers.

Ainsi, rappelons que le jour où sera écrite "objectivement" l'histoire des gilets jaunes, les pages sur le "maintien" de l'ordre voire du désordre à cette époque sera édifiante : qui et comment a-t-on envoyé des policiers souvent mal formés au casse-pipe ?

 

 

VOUS DITES "VIOLENCES POLICIÈRES" ? UN MALAISE JUSTIFIÉ AU SEIN DE L'INSTITUTION ?

Nous nous souvenons des applaudissements qui jaillissaient spontanément de la foule à l'adresse des forces de l'ordre dans la période des attentats.

Aujourd'hui, la police et ceux qui la servent sont mis à mal suite à ce qu'il est appelé maladroitement des présumées bavures.

Quand un patron, employeur, a un salarié qui est accusé de mal exécuter les missions qui lui sont confiées, le juge saisi du conflit va chercher le pourquoi du comment...l'employeur a-t-il pris soin de bien préciser et expliciter clairement les missions déléguées à son salarié ? Celui-ci a-t-il suivi  les formations nécessaires à l'exercice de ses fonctions ?...

Alors, pourquoi tant de justes précautions pour des affaires souvent banales et sans trop de conséquences et si peu de précautions dans une institution de 150 000 fonctionnaires comme celle de la Police ? Si quelques policiers dans leur comportement font des écarts de conduite, pourquoi tous les policiers sont-ils soupçonnés, présumés coupables ?

Les garde-fous existent. Ils permettent d'éviter au policier de fauter face à ceux qui ne cessent de les provoquer. C'est souvent, pour les policiers, l'épreuve de la provocation qu'ils doivent  subir et que nous retrouvons sur des vidéos.

Il y a une hiérarchie, donc un encadrement de tous les niveaux, il y a un statut , il y a lors de l'engagement  du policier un niveau requis et une formation...

Le policier a quotidiennement à faire face à la violence. Il sait parfaitement qu'il y a en France des sites très nombreux où la violence fait la loi suite à l'impuissance du pouvoir politique. Il connait les risques qu'il encourt dans ces zones mais aussi maintenant en dehors de celles-ci, dans sa vie quotidienne, hors de ces zones de non-droit que les politiques ont laissé proliférer...la violence n'est certainement pas chose courante chez les policiers qui savent bien par expérience quotidienne où elle est, comment elle se dévoile...

Nos policiers ont donc aujourd'hui des griefs certains à adresser à leur Ministre.

 

COMME TOUTE INSTITUTION, LA POLICE NE VAUT QUE PAR LES HOMMES QUI LA SERVENT

Association citoyenne, nous nous devons de défendre une institution publique créée pour protéger les citoyens.

Aujourd'hui il ne faut pas avoir peur de nous poser des questions sur le fonctionnement de nos institutions :

Comment avec de bons juges peut-on avoir une justice malade ?

Comment avec des enseignants remarquables peut avoir un système éducatif qui ne cesse de se dégrader ?

Comment avec de de bons et dévoués policiers peut-on avoir une dégradation aussi inquiétante de l'institution et de la sécurité publique ?

Comment, avec des policiers et gendarmes en nombre, encadrés peut-on faire pour que d'éventuelles et graves dérives puissent éventuellement survenir et entacher la réputation d'un ensemble de fonctionnaires dont le dévouement à leurs missions est souvent sans limites ?

La réponse à ces questions est simple et nous ne voulons pas qu'elle soit simpliste mais qu'elle soit inattaquable.

Quand on voit des titres de journaux de ce type :« Sentiment de trahison, écœurement et lassitude dans les rangs de la police…Annonces de Castaner: des policiers déposent leurs menottes dans plusieurs villes françaises… » on se dit : il y a malaise et danger.

 

QUAND UNE INSTITUTION À SA TÊTE  DES DÉFAILLANCES ET INSUFFISANCES NOTOIRES C'EST LE CORPS ENTIER QUI SOUFFRE.

LES POLICIERS SONT LES MAL AIMÉS DE LEUR MINISTRE. LES GRIEFS PRÉSUPPOSÉS ET SES SILENCES QU'IL LEUR ADRESSENT CRÉENT UNE SITUATION DANGEREUSE POUR NOUS TOUS

 

À la tête de ce grand corps, il y a le Ministre de l'Intérieur, aujourd'hui et depuis 2018, c'est Christophe CASTANER.

Chacun sait que le poste de Ministre de l'Intérieur, est particulièrement délicat. Le maintien de l'ordre en France est une tâche périlleuse et elle est loin d'être la seule tâche des policiers. Il y a des moyens très importants à mettre en œuvre comme les moyens en personnel mais aussi les moyens matériels...nous vous renvoyons au livre de l'ancien Président de la République Nicolas SARKOZY. Il y a pourtant eu dans notre récente histoire d'excellents ministres de l'intérieur comme Michel PONIATOWSKI, Piere JOXE, Charles PASQUA qui ont su défendre leurs troupes mais aussi souvent de moins bons et même pires.

Or, quand une institution est dirigée par un mauvais, les résultats deviennent très vite catastrophiques et éclaboussent inéluctablement gouvernement et Président de la République.

Quand, dans l'épisode des Gilets Jaunes (fin 2018), la rue était mise à feu et à sang par quelques gilets jaunes et par une armée de casseurs et que le Ministre de l'Intérieur Christophe CASTANER, en bringue, brillait pas son absence, dans les commissariats de police les temps de discussion à la cafétérias ont été déterminants pour leur Ministre mis en cause. Les troupes s'épuisaient sur le terrain et attendaient en vain le soutien de leur Ministre.  À cela, s'ajoutent les maladresses de l'homme comme celles de l'affaire BENALLA, l'affaire du disparu de Nantes, celle de son intervention intempestive dans des procédures pendantes devant la Justice et récemment la confusion en matière de droit où le Ministère oublie qu'il y a séparation des pouvoirs et présomption d'innocence...encore une fois, c'est l'homme, le Ministre qui est mis en cause par les siens.

Il y a aussi la maladresse du Ministre de la Justice qui relâche plus de 5000 détenus suite aux mesures de confinement soit-disant difficiles à gérer dans les prisons.. Quand des policiers croisent dans leurs patrouilles un de ces libérés qui est entrain de récidiver, plusieurs cas ont été signalés...les policiers alors se demandent à quoi ils servent et cela est très grave. Même les magistrats se sont élevés contre ces élargissements intempestifs et désordonnés de détenus.

Nous pourrions aussi parler des équipements défectueux et insuffisants des personnels policiers , de l'état de leurs locaux, des conditions de travail...

Ce sont donc pléthore de griefs que les policiers peuvent adresser à leur Ministre.

Voilà comment un Corps arrive à ne plus faire confiance à son chef. Le soutien régulier que lui apporte le chef de l'État finit par nuire à celui-ci et le Corps des policiers est en train d'imploser.

D'ailleurs, Le Ministre  CASTANER est doublé par un Secrétaire d'État, Laurent NUÑEZ,...ceci est bien une preuve du manque de crédibilité du Ministre. Cela ne trompe personne. Or, le dit  Laurent NUÑEZ qui connait bien "la maison", ce jour du 12 j,  a pris discrétement ses distances par rapport à son Ministre : un signe qui ne trompe pas !

Attention,  c'est ce climat de crise au niveau de la police qui est un signal qui a précédé en France de sérieuses périodes de crises profondes.

 

DES POLICIERS DÉMORALISÉS SONT DES POLICIERS DÉMOBILISÉS ET DES CITOYENS MOINS BIEN PROTÉGÉS

Aujourd’hui  et hier, nous avons entendu les représentants syndicaux monter au créneau. Ils sont nombreux et en concurrence mais ce qu'ils dénoncent unanimement est durement important et ils sont les interprètes d'une base et d'un encadrement qui sont prêts à déposer les armes !

La population ne partage plus la position du gouvernement et particulièrement celle du Ministre "de la police".

La population critique parfois sa police mais elle l'aime comme elle a su le crier il y a pas si longtemps.

La population a besoin d'une police proche et efficace et pas d'une police démobilisée et cassée.

La population a un besoin viscéral de ce bouclier que seule la police lui offre, sinon le citoyen passera à l'auto-défense et se fera justice.

Il est temps de réagir pour le Président de la République qui est mal entouré par des Ministres dont la compétence est régulièrement mise en cause. Il les a pourtant choisis. La France ne peut cumuler une crise sanitaire, une crise sociale, une crise économique et une crise politique. Mais, aujourd'hui, il  faut donc que le chef de l'État envisage sans état d'âme un autre mode de gouvernance avec d'autres Ministres...à quand un Gouvernement restreint de salut public avec un chef d'État qui puisse prendre du recul ?

 

 

 

 

 

 

 

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6 mai 2020 3 06 /05 /mai /2020 19:58
INDISPENSABLE !

INDISPENSABLE !

RAPPEL DE LA MAIRIE ET DE L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE : MASQUES, NOUVELLE DISTRIBUTION LE SAMEDI 9 MAI

 

Il faudra pour tous passer par cette mesure pour vraiment stopper l'épidémie : portez vos masques et respecter la distanciation...le mot n'est pas beau et c'est comme celui du "déconfinement"...mais les petits mots mal sonnants, c'est quand même mieux que les grands maux !

Bel effort et réussite de la municipalité sablaise en lien avec celle de La Roche sur Yon qui ont  réussi à pourvoir les sablais de l'indispensable masque anti-propagation du virus.

Voir informations ci-dessous

 

 

SABLAIS : À VOS MASQUES ! PROTÉGEZ-VOUS ET PROTÉGEZ LES AUTRES
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27 février 2020 4 27 /02 /février /2020 18:51
L'INCIVISME : JUSQU'OÙ PEUT-IL ALLER ? HISTOIRE D'UN JOUR

 

CES DEUX PILOTES DE DEUX ROUES CYNIQUES, INCONSCIENTS, DANGEREUX...

 

Ils (un monsieur d'un certain âge et un jeune) venaient de nous dépasser et s'arrêtèrent sur la partie piétonne de la chaussée à droite sur la photo.

Nous nous arrêtâmes et leur dirent, avec grande courtoisie, deux choses :

1) vous venez de circuler sur une partie de la voie réservée aux cyclistes,

2) devant vous, vous aviez justement  la police.

 

La réponse du plus âgé eût le mérite d'être claire " je m'en fous !"...

C'est vrai qu'après tout, nous, en plus, on n'est pas de la  police !

Nous n'avions qu'à passer notre chemin et poursuivre notre route...sauf que quelques mètres plus loin nous (simple cycliste) eûmes à nous arrêter à nouveau pour permettre à un apprenti collègue cycliste (5 ans environ) que son papy accompagnait à pied et guidait en lui disant qu'il fallait rester sur la droite et regarder devant lui...le tout jeune garçon obtempéra et nous reprîmes notre route après avoir adressé un petit bravo au papy et un autre à l'apprenti.

 

Notre réflexion en notre for intérieur fut "Mais de quoi me mêlai-je ?", "jusqu'où peut aller l'incivisme ?"....

Mais voilà que nos deux lascars sur leurs engins nous redoublent...et c'est alors que nous primes les photos.

 

À chacun de juger...mais en regardant la photo, on voit aussi que les deux motards n'ont pas de casque ! Cet homme d'âge mûr qui le guidait sait-il qu'il apprend au jeune à avoir un comportement à risques que nous laissons à chacun le soin de juger : jusqu'où l'incivisme peut-il conduire ?

 

C'était ce jour, jeudi 27 février 2019, à 16 heures 15, aux Sables d'Olonne sur le Remblai, avec une circulation automobile dense  sous un magnifique soleil : nous, nous étions atterré et triste.

LE REMBLAI AUX SABLES D'OLONNE

LE REMBLAI AUX SABLES D'OLONNE

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