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6 avril 2013 6 06 /04 /avril /2013 19:46

lOrduresOF DSC05682

 

 

Au Pays Olonnais la collecte des ordures ménagères est de la compétence de la Comnunauté de Communes des Olonnes CCO.

 

Il est donc normal que lors du vote du  budget ce problème puisse être abordé puisque la CCO bénéficie pour le financement de la Collecte de la TEOM,Taxe d'Enlèvement Des Ordures Ménagères.

 

Aussi la question a été posée par l'opposotion qu s'interrogeait comme de nombreux citoyens si le fait de ne plus collecter  deux fois par semaine les ordures ménagères allait faire baisser la dite taxe.

 

La réposne avoit été donnée précédemment et figurait dans les documensts budgétaires : l'économie réalisée servira à payer les surcoûts prévisibles de traitrement des déchets que facture le Syndicat Départemental TRIVALIS aux communautés de communes adhérentes donc aux contribuales que nous sommes.

 

d'où l'interpellation suivante :

 

Le vote du budget est un moment privilégié pour réfléchir et échanger sur les financements mais, aussi sur les activités financées elles-mêmes.

Pour cette TEOM, nous voudrions vous rappeler nos interpellations concernant la modification du rythme de la collecte.

Lors du dernier Conseil nous avons cru entendre qu’il y avait eu peu de réclamations et que celles-ci étaient enregistrées. J’ai eu divers échanges avec la Président de la commission à qui  je rapportais la teneur des doléances qui me furent adressées. Après l’annonce de la mesure c’est une centaine d’appels par jour qui furent adressés à la CCO. Ce n’est pas rien.

Ceux-ci se poursuivent et nous pouvons vous assurer qu’il y a des cas justifiés à prendre à considération : une seule collecte hebdomadaire c’est impossible voire malsain dans certaines situations qui ne sont pas des cas isolés dans ce Pays.

Nous savons que le sujet est suivi avec attention et nous voudrions qu’après étude des résultats de cette phase initiale des mesures d’adaptation soient prises pour satisfaire des besoins réels. Qu’une communication soit faite sur ces mesures.

Quant à l’impact financier de la  collecte hors saison ramené à un seul passage il est dit et écrit qu’il ne sera pas répercuté sur la taxe pour « prévoir l’augmentation des coûts du traitement des déchets par  TRIVALIS » Nous ne pouvons admettre cela.

Depuis 2008, dans cette enceinte, nous avons attiré à diverses reprises votre attention sur la gestion de TRIVALIS. Il était prévu 5 usines TMB dans le Plan Départemental pour un montant de 59 millions d’euro. Le Conseil Général aujourd’hui semble figer la situation aux deux usines construites pour lesquelles ; en 2012 les crédits d’engagement, vous entendez cela étaient déjà de 69 millions.

59 millions pour 5 usines en prévision et déjà 69 pour seulement deux usines dont le fonctionnement donne à désirer !! Reconnaissez que nous n’avions pas tort d’attirer votre attention sur cette gestion et sur le process inadapté.

Nous n’accepterons pas d’augmentations des prestations TRIVALIS tant que l’audit demandé des deux usines ne sera pas fait. Il ne faut plus accepter de financer TRIVALIS les yeux fermés ; les élus doivent se remobiliser. Les Communautés de Communes de VENDEE ne sont pas les vaches à lait de TRIVALIS et ont le droit de savoir : il est peut-être regrettable de vous dire cela ainsi ! Mais il me semble que seul ce langage peut forcer à la réflexion avant les bonnes décisions.

La réponse de Monsieur Louis GUEDON ...vous mettez en cause publiquement TRIVALIS donc je transmets au Conseil Général votre intervention.

Simple : circulez il n'y a encore une fois rien à voir. Mais c'est bien la CCO qui a décidé de ne pas répercuter les économies  de la réduction de la fréquence du ramassage sur la Taxe.

Autre réponse de Président de la commission concernée : suite à cette mesure il y a eu effectivement des appels nombreux, des doléances mais surtout des demandes de renseignements  mais maintenant c'est calmé : les gens changent d'habitude; il y aura des possibilités de containers plus grands. donc tout va bien.

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 00:28

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LE BUDGET

NOTE D’AMBIANCE

Assommés par un ordre du jour de 36 points, par la présentation du Plan Local de l’Habitat en début de séance  voir Communauté de Communes des Olonnes : conseil communautaire du vendredi 29 mars 2013 …., mal à l’aise dans une salle trop étroite, les élus n’ont pas montré un intérêt particulier à la longue et monotone litanie qu’a du déverser sur son auditoire le Président de la Commission  des Finances, le maire adjoint de Château d’Olonne, Joël MERCIER.

À quand une présentation dynamique des budgets  avec rétroprojection ?...à la prochaine mandature

Un débat ? Non : pas une question n'a été posée. Il n'y a eu qu'une intervention voir : SCHEMA DE MUTUALISATION DES MOYENS ENTRE COLLECTIVITES TERRITORIALES

LE BUDGET 2013 DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DES OLONNES

Données brutes

FRAIS DE FONTIONNEMENT: 36 040 760

INVESTISSEMENT :15 503 191

Donc un budget principal de : 51 543 951

S’y ajoutent les Budgets annexes (assainissement, activités industrielles et commerciales et pépinière d’entreprises)

Budget consolidé pour l’ensemble (budget principal plus budgets annexes) : 62 582 393 €

 

LE DEBAT

Il n’y a plus eu de débat : mais comme à son habitude « l’opposant proposant» Jean-Claude ROSSIGNOL a essayé d’animer le Conseil en avançant trois idées :

Des budgets dont le montant total dépasse 62 millions d’euros méritent un temps de réflexion, un débat,

La communauté de communes a perdu son âme et est devenue une 4 ème commune dont le budget est consommé aux deux tiers par des frais de fonctionnement au lieu de privilégier l’investissement,

Pourquoi ne pas lancer immédiatement le schéma de mutualisation des moyens prévu par la loi de 2010 : mutualisation des moyens entre les 3 communes (Château d’Olonne, Olonne-sur-Mer, Les Sables d’Olonne) et leur communauté de communes la CCO ?

Vous avez l’accueil fait à ces propos : SCHEMA DE MUTUALISATION DES MOYENS ENTRE COLLECTIVITES TERRITORIALES

Il faudrait peut-être réfléchir à la raison profonde qui fait que les élus (sauf les 4 de l’opposition sur 38 délégués) montrent leur profond désintérêt aux délibérations qui leur sont proposées. Pourquoi aucune interrogation sur ces budgets, aucune demande d’explication sur le PLAN LOCAL DE L’HABITAT…?

désintérêt des élus délégués à la Communauté de communes par rapport à leur mandat dans cette institution (mais sont-ils plus participatifs lors des débats en Conseil Municipal ?),

peur de déplaire aux Présidents en posant une question qui peut fâcher voire agacer ?,

idée fausse : que tout a été vue en commission, pourquoi encore une approbation en Assemblée plénière ?...si on poursuit dans cette voie il faudrait poser les questions : pourquoi un Parlement, pourquoi un Sénat ?...tous les projets ont été vus par des fonctionnaires...

Cela n’empêche que la passivité des élus fait qu’au Pays des Olonnes des budgets pour un montant de 62 millions d’euros sont adoptés ainsi au milieu de l’indifférence des élus. Est-ce grave ?...à chacun de répondre y compris aux contribuables citoyens qui vont payer leurs trés chers impôts locaux.

Pour nous, le résultat est clair : l’expression de la démocratie n’existe plus dans ce Conseil Communautaire.

 

La Mothe Achard  Assemblée des Com

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 00:01

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MUTUALISER LEURS MOYENS POUR LES COLLECTIVITES LOCALES, C’EST ORGANISER  ET ECONOMISER, NE PAS MUTUALISER, C’EST GASPILLER

Dans ce qui va suivre il y a deux aspects :

      -          <!--[endif]-->la gouvernance d’une Communauté de Communes devenue autocratique,

la gestion des fonds publics où le refus de recherche d’économies est condamnable.

Lors du « débat » sur le budget primitif 2013 de la Communauté de Communes des Olonnes, ce vendredi 29 mars 2013, le responsable de l’opposition Jean-Claude ROSSIGNOL a présenté une suggestion : lancer le schéma de mutualisation des moyens entre la Communauté de Communes et les 3 communes adhérentes.

 

Cette mutualisation est d’autant plus aisée que les 3 communes sont en continuité géographique et de taille à peu près identique. Elles constituent une agglomération homogène  avec 3 composantes territoriales complémentaires.

L’opposant, auteur de la proposition, ayant, comme il le fait systématiquement, argumenté sa proposition en la basant sur les textes en vigueur et des exemples s’est vu encore une fois renvoyé vertement à ses chères études.

 

Cette proposition a été balayée par le Président Louis GUEDON en avançant l’argument que pour mutualiser il faudrait d’abord délibérer sur une modification statutaire des compétences de la Communauté de Communes (procédure un peu lourde).

Cet argument est faux.

Par ce lien, vous verrez l’approche des MAIRES de FRANCE et l’Assemblée des Communautés de France sur la mutualisation :

http://www.amf.asso.fr/document/fichier.asp?FTP=AMF_11467_COMPTE_RENDU.pdf&ID_DOC=11467&DOT_N_ID=7

Citons aussi un exemple concret pris sur le site d’une Communauté de Communes : "Les schémas de mutualisation des services ne seront obligatoires qu’en 2015, cependant rien n’empêche de les créer plus tôt. C’est ce qu’a fait la communauté de communes de Pouancé-Combrée en impliquant agents et élus dans l’élaboration du schéma. Une démarche qui s’est appuyée sur le projet de territoire communautaire"

Mais le même Président de la Communauté de Communes des Olonnes CCO pour qui la courtoisie et l’écoute ne sont plus les qualités majeures a ajouté à l’adresse de Jean-Claude ROSSIGNOL «selon votre habitude, vous reprenez des textes que tout le monde connaît !»

Tout le monde certainement pas car il y en a au moins un qui n'en connaît pas la teneur et  c’est grave, c’est le Président lui-même.

Voilà le texte en question

Article L5211-4-3 Créé par LOI n°2010-1563 du 16 décembre 2010 - art. 66

« Afin de permettre une mise en commun de moyens, un établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre peut se doter de biens qu'il partage avec ses communes membres selon des modalités prévues par un règlement de mise à disposition, y compris pour l'exercice par les communes de compétences qui n'ont pas été transférées antérieurement à l'établissement public de coopération intercommunale. »

 

  La Mothe Achard

  Assemblée des Com

 

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 21:54
 
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Communauté de Communes des Olonnes
 
 
NOTES D’AMBIANCE...circulez il n'y a rien à voir 
Pour ce Conseil Communautaire, programme chargé, trop chargé pour aborder sérieusement les délibérations proposées.
L’adoption du PLH (voir ci-dessous) est un acte fondateur d’une politique locale du logement…elle est donc particulièrement importante.
C’est l’adoption du « PLH » qui a eu droit à la priorité dans l’ordre du jour. En un peu plus d’une demie heure, la présentation par le cabinet missionné fut expédiée… on peut se demander ce que l’élu de base qui n’a pas participé à l’élaboration du PLH a pu retenir et donc décidé…il doit même, s’il a un peu de « conscience professionnelle », se demander ce qu’il a voté. Pauvre démocratie locale !
Si vous voulez en savoir plus sur le PLH …vous pouvez aller ce document de 220 pages…
vous y trouverez comment aurait dû se décider  les enjeux importants qui existent dans un PLH « normal » qui fixe au moins pour 6 ans les règles du jeu en matière de logement.
 
PLH-page--1-synthese-copie-1.jpg
DEFINITION DU PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT  PLH
Le programme local de l'habitat (PLH) est, en France, le principal dispositif en matière de politique du logement au niveau local. Il est le document essentiel d'observation, de définition et de programmation des investissements et des actions en matière de politique du logement à l'échelle d'un territoire. Il est depuis des lois  de 2006 dite loi pour Engagement National pour le Logement ENL modifiée en 2009 obligatoire pour les Communauté de Communes comme la nôtre.
Des subventions peuvent être accordées par l'État (dans la limite des dotations de la loi de finances), des agences ou d'autres collectivités (Conseil régional) pour les études de PLH, et
les données des observatoires de l'habitat peuvent être intégrées par l'EPCI.
D'autres subventions peuvent être accordées pour le suivi et l'évaluation du PLH, dans le cadre notamment de conventions entre l'État et les EPCI (comme les communautés de communes) qui se sont dotées de la compétence en matière de politique du logement ;
LA DELIBERATION : l’opposition ose (souvent) poser des questions
En effet, seule l’opposition a montré son intérêt sur le sujet et s’est adressé au Président pour faire des remarques de fond et des propostions.
« Le contenu de ce plan  a l’avantage de faire des constats chiffrés intéressants. Le document principal (220 pages quand même !) est une mine d’or de renseignements pour préparer une politique basée sur des données solides .
Pour ce PLH, à la lecture des documents, on comprend mieux que son accouchement ait été douloureux en analysant sa dernière partie qui est essentielle et maigre : LE PLAN D’ACTIONS.
En effet, les statuts de la Communauté de Communes prévoient l’« étude et l’élaboration d’un projet de programme PLH, sachant que la mise en œuvre restera de la compétence des communes  ».
Ceci limite les ambitions et la gestion du PLH.
S’il y a bien des objectifs fixés …il n’y a que des « actions pressenties »…
Il n’y a aucun engagement financier de la Communauté de Communes (hormis les faibles moyens humains pour le suivi et l’observatoire) et 10.268 € pour la participation au Fond Social pour le Logement.
Il n’y a pas de rôle moteur confié à la CCO pour mettre en œuvre la politique du logement au Pays des Olonnes, les actions citées et les orientations évoquées.
Il y aurait pu y avoir la création, par exemple d’une règle concernant le respect de la mixité sociale (obligatoire), la création et la gestion d’un guichet unique des aides au logement. N’est pas non plus  évoqué le fait que la  CCO pourrait concentrer en ses mains la gestion « des aides à la pierre » et qu’elle pourrait être le guichet unique « aides au logement » ou organiser la création de celui-ci.
Ce premier PLH est pauvre par rapport à d’autres PLH que nous avons visités. Le PLH mériterait un autre débat et des décisions avec attributions de compétences et budgets .
1)      N’aurait-il pas été préférable de modifier les statuts restrictifs de la compétence de la CCO en la matière avant d’élaborer ce PLH qui risque fort de devenir un catalogue de vœux pieux et coûteux?
 
2)      Ne pourrait-on programmer une nouvelle phase qui serait l’approfondissement du PLH pour le rendre plus opérationnel et qui pourrait préciser une vraie répartition des compétences accompagnée de financement ? »
 
Pas de réponse…donc pas de débat !...pauvre démocratie locale !
Devant ce silence (un peu ?) méprisant, l’opposition ne pouvait que montrer sa désapprobation en votant CONTRE…mais le regard de certains élus en disait long sur leur interrogation sur la méthode et le fond de ce qui aurait dû être un débat riche…il n’y a que l’opposition qui a proposé, ouvert des pistes pour un vrai PLH au Pays des Olonnes
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 17:45

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Nous avons mis en cause régulièrement le fonctionnement de l’intercommunalité et pour nous ,au Pays des Olonnes en VENDEE, celui la Communauté de Communes des Olonnes CCO . Notre analyse se trouve confortée par cet ouvrage plus « scientifique » qui éclaire avec un certain recul  nos réactions présentées souvent sur le vif de l'actaulité locale. 

Une démocratie à huis clos

Dans La politique confisquée, Fabien Desage et David Guéranger présentent un « paysage désenchanté » de l’intercommunalité : les maires auraient accaparé les nouvelles institutions communautaires et une démocratie à huis clos aurait remplacé la démocratie représentative.

Qu’il s’agisse de la définition des périmètres, de la répartition des ressources, des transferts de compétences, les auteurs démontrent que la mise en place de l’intercommunalité peut se conjuguer avec un « renforcement de l’institution communale et de ses objectifs propres, au détriment de la nouvelle instance » communautaire (p. 95). Les maires pourront, par exemple, voir d’un bon œil la mise en place d’un établissement intercommunal : elle leur permettra de transférer la charge de certains équipements coûteux (comme des stations d’épuration) et de se libérer, à l’échelle communale, de nouvelles marges de manœuvre budgétaires.

Deuxièmement, les inégalités politiques de la démocratie locale en sortent renforcées : les nouvelles fonctions intercommunales accélèrent la professionnalisation d’une minorité d’élus, cumulant responsabilités et indemnités, et fragilisent les conseillers municipaux face au maire « promu représentant quasi exclusif de la commune auprès de l’EPCI » (p. 196).

Des pouvoirs concentrés au main des maires

La seconde partie de l’ouvrage s’intéresse plus spécifiquement aux mécanismes de la « démocratie locale ». Elle rend compte avec minutie du « régime politique consensuel et municipaliste » (p. 165) qui préside au gouvernement des intercommunalités. De ce point de vue, elle approfondit une suite de travaux plutôt convergents sur la dimension élitaire du fonctionnement intercommunal. Loin des logiques de majorité caractéristiques des assemblées représentatives, l’intercommunalité repose sur la recherche permanente de consensus entre ses principaux protagonistes – les maires – au-delà de leurs divergences partisanes. Loin de marquer l’avènement d’une nouvelle échelle – l’agglomération – dans la conception des politiques publiques, elle repose sur des négociations entre des intérêts communaux

Des coûts élevés pour une politique des petits paquets (cadeaux ?)

    Le coût de l’intercommunalité s’avère particulièrement élevé puisque ce type de régime se prête mal à des économies d’échelle et à des politiques redistributrices. Il favorise, au contraire, des saupoudrages et des compensations, comme l’illustre le cas des budgets intercommunaux en matière de voirie, dilués, selon les auteurs, dans des « enveloppes » municipales (p. 155).

 

"Il ressort, donc, une lecture particulièrement désenchantée des intercommunalités à la fois confisquées par les maires et prisonnières de logiques institutionnelles."

 

A méditer pour l'avenir (élections des délégués communuataires lors des municipales de mars 2014 : quelle structure envisager de coopération au  niveau du canton ? des 3 communes : Château d'olonne, Olonne sur mer , Les Sables d'Olonne ? Que vont nous présenter nos candidats pour l'avenir de la CCO ?

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 18:13

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  Le vendredi 29 mars 2013

à 18 heures

se tiendra le prochain Conseil Communautaire

au nouveau siège de la Communauté de Communes des Olonnes CCO

3, Avenue Carnot aux Sables d'Olonne

 

RAPPELONS QUE LA PRESENCE "CITOYENNE" NE PEUT QU'ETRE UN PLUS POUR LA DEMOCRATIE et qu'il n'est pas inintéressant pour le citoyen de voir comment peut fonctionner une collectivité territoriale pourvue de larges compétences.  

 

Menu de printemps copieux avec pas moins de 38 questions à l’ordre du jour dont principalement les BUDGETS 2013

FINANCES ET PERSONNEL

  

-      Diverses mesures concernant le personnel avec le recrutement d’un chargé de missions transports et déplacement en lien avec le lancement du nouveau TUSCO dit OLEANE

-          Chemin de ceinture : poursuite des travaux

BUDGET PRINCIPAL et BUDGETS ANNEXES : reprise et affectation des résultats de 2012

TAUX DE LA  TAXE  D’ENLÉVEMENT DES ORDURES MENAGERES  2013

FISCALITE DIRECTE TAUX 2013

DEMANDES DE SUBVENTIONS 2013

BUDGETS PRIMITIF PRINCIPAL ET ANNEXES 2013

 

 AMENAGEMENT DE L’ESPACE ET ENVIRONNEMENT

-          Vannerie : demande d’implantation sur le secteur d’autres équipements relevant du domaine Santé et d’intérêt public

ACTION SOCIALE

-          Renouvellement de conventions CCO avec CAF et Direction Départementale de la Cohésion sociale de Vendée

DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET FORMATION

-          Convention avec la Chambre des Métiers

BUREAU

- Convention Vendée Eau

- PLH : arrêt du projet

- Chemin de ceinture : phase 3

 

- Société des courses des sables d’Olonne : demande de subvention d’Equipement

-  Avenant N° 2 Convention de mise à disposition hébergement Lycée Tabarly avec la CCO : logement des saisonniers et groupes

- Contrats et Conventions : délégation au Président

 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 21:03

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LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DES OLONNES CCO A-T-ELLE BRADÉ UN TERRAIN ?

Un journal local, un tantinet polémique, « le sans culottes 85 » revient sur une délibération de la Communauté de Communes CCO . Cette délibération qui date du 28 septembre 2012 concerne la vente d’un terrain dont la CCO était propriétaire.

Vous avez ci-dessous le texte de la délibération.

délib terrains 2012 09 26

  

Le service du Domaine a estimé le terrain à 160 euro le m².

La Communauté de communes le cède pour la moitié soit 80 euro le m².

Pourquoi la CCO a-t-elle accepté cette vente de terrain bradé à la moitié de sa valeur estimée par le service de l’État du Domaine ?

L’explication figurant en début de délibération semble satisfaisante et a dû emporter l’adhésion des élus…sauf que cette explication est mise en doute quand le Président Louis GUEDON lui-même dit qu’il « s’interroge sur le prix de vente »…et on a du mal à comprendre la portée de la phrase suivante « Cette question ayant été présentée par Madame BILLION au cours de la précédente réunion de Bureau il (on suppose le Président)lui semble regrettable que l’avis des Domaines n’ait pas été respecté alors même que cet avis a été suivi pour des transactions sur Olonne-sur-Mer». Madame BILLON défend le projet de l’acheteur du terrain et donc la vente à une valeur équivalente à la moitié de l’estimation du service du Domaine.

La conclusion de la délibération est claire :« Le Conseil Communautaire décide à l’unanimité de céder les terrains à l’aménageur sur la base d’un prix net vendeur de 80 € le m² » soit 125.000 euro pour une estimation de 250.000 euro.

N’ayant pas participé à cette discussion mais ayant été sollicité pour investiguer sur cette transaction nous ne pouvons que nous interroger sur cette vente étonnante.

Nous le faisons d’autant plus qu’une citation dans ledit article du « Sans culottes 85 » nous y entraîne. Dans ce journal Louis GUEDON se laisse aller à une confidence étonnante« les conseillers des autres communes étaient d’accord pour cette vente, j’ai été mis en minorité sur ce dossiers et je me suis incliné, c’est la démocratie » Laisser brader un terrain appartenant à une collectivité est-ce l’expression de la démocratie ?

ventge de terrain bis sans culottes 2013 03

 

Si l’on ajoute à cela que les conditions de négociation de cette vente ont été aussi mises en cause. Certaines « fuites »sont évoquées dans cet article (voir ci-dessus). Nous comprenons mieux que certains élus se soient posé des questions sur cette transaction.

 

Comment lever les doutes qui pèsent désormais  sur cette transaction ? Seule la Communauté de Communes peut répondre à cette question.

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6 mars 2013 3 06 /03 /mars /2013 23:26

 

  OF municipales

 

    Suite de : 2014 ELECTIONS MUNICIPALES mais aussi élections des "délégués" aux Communautés de Communes

 

 

Nous avons vu les inconvénients du fonctionnement peu démocratique des Communautés de Communes et Conseils municipaux. Les projets de réforme font la navette Sénat-Chambre des Députés . Ils prévoient  :

L'achèvement de l'intercommunalité d'ici 2014. Elle couvrira toutes les communes de France et donnera aux EPCI une légitimité accrue.

Le projet de loi confirme l'élection  au suffrage universel direct des délégués commuantaires en  même temps que les conseillers municipaux (mars 2014) .

Le projet de loi  introduit dans le code électoral les modalités de l’élection au suffrage universel, dans le cadre de l’élection municipale, des conseillers siégeant au sein des organes délibérants des EPCI à fiscalité propre (article 8 de la loi n°2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales).

Les candidats au mandat de délégué communautaire et de conseiller municipal « figureront sur une seule et même liste. Les premiers de la liste ont vocation à siéger au conseil municipal de leur commune et au conseil communautaire, tandis que les suivants de liste ne siègent qu’au conseil municipal de leur commune », explique l’exposé des motifs.

Les nouvelles dispositions s’appliquent aux délégués des conseils des communautés de communes, des communautés d’agglomération, des communautés urbaines et des métropoles. Elles « confèrent une véritable légitimité démocratique aux intercommunalités, en prévoyant que, lorsque les électeurs choisiront les conseillers municipaux, ce sont les premiers des listes élues qui auront vocation à siéger également au sein des intercommunalités », indique le ministère de l’Intérieur, qui souligne aussi le « respect de l’identité communale ». 

 

Cela devrait signifier :

Une plus juste représentation des minorités,

Une plus juste répartition des responsabilités (Présidence et Vice Président devraient être élus au sein d’un Conseil Communautaire qui sera pluraliste et composé d’élus au suffrage universel) et non plus cooptés. Cette représentativité des communes aux postes clés dans leur Communauté de Communes risque de ne pas toujours être aisée. Cela peut être la disparition des Présidents à vie ou d'un système de Présidence tournante peu démocratique aussi. 

Autres novations importantes :

La fusion des intercommunalités entre elles serait également facilitée, grâce à un système de majorité qualifiée permettant de passer outre à l'opposition de l'une d'entre elles.

Il a été également annoncé des "propositions" confirmant la mise en commun des services des communes et des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI).

Nous attendons avec impatience le vote définitif des textes complémentaires à la réforme précédente (loi du 16 décembre 2010…en partie « détricotée »).

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