Overblog Tous les blogs Top blogs Économie, Finance & Droit Tous les blogs Économie, Finance & Droit
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU

Recherche

11 novembre 2025 2 11 /11 /novembre /2025 21:03
LA JUSTICE EMPÊTRÉE DANS LE DOSSIER SARKOZY

LA JUSTICE EMPÊTRÉE DANS LE DOSSIER SARKOZY

 

 

RELATIONS DE LA FRANCE AVEC LA LIBYE DE KADHAFI

 

Depuis au moins 1996 des Services de l’État français s’intéressent aux problèmes de la LIBYE et de son Président dictateur accusé de soutenir le terrorisme et bien sûr les relations inter étatiques franco-libyennes.

Les attentats meurtriers perpétrés contre deux avions et de nombreux autres faits en Libye puis en Afrique ont abouti à faire mettre la Libye en quarantaine.

Le Président KADHANI fit amende honorable en livrant des agents suspectés de l’attentat de LOCKERBIE et dédommageant les familles des victimes.

Puis, il se rapproche aussi des États-Unis, de l’Italie, de l'Espagne, et participe à la lutte contre l’immigration clandestine vers l’Europe, renonce à l’arme nucléaire...

Ces gestes et l’odeur du pétrole le « réhabilitent ». Il redevient « fréquentable ».

Arrivé au pouvoir suite à un coup d’État en 1969, il dirigera le pays de manière tyrannique et donc sanguinaire jusqu'à sa mort dans des conditions assez mystérieuses en 2011.

Ce climat qui entoure le personnage fait que lorsqu’en 2007, le Président KADHAFI fait une visite en France et est reçu par le Président SARKOZY, il y a eu des manifestations rappelant que les auteurs de l’attentat contre l’avion DC 10 d’UTA (1989, 170 victimes) ont été protégés par le même KADHAFI qui fait fi aussi du respect des droits de l’homme.

Cette visite était entourée de force promesses de contrats juteux pour l’économie française et autour de ces contrats âprement disputés il y avait aussi des « commissions»à hauteur de l’importance des marchés (aéronautique, nucléaire, armement...).

Ainsi la Juge Présidente du Tribunal qui jugeait Nicolas SARKOZY sur la présumée aide financière de la Libye aux frais de campagne électorale, Nathalie GAVARINO dans son mémoire prend bien soin de rappeler ce que furent à l’époque les relations franco- libyennes (page 1 et suivantes I – « Présentation de l’État Libyen jusqu’en 2011 . »

 

 

UN JUGEMENT DE NICOLAS SARKOZY EN 2025 SUR DES FAITS ANCIENS PLUS OU MOINS ENTOURÉS DU SECRET D’ÉTAT INCLUS DANS LA COMPÉTENCE D’UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE ET DATANT D’UNE QUINZAINE D’ANNÉES

Ces informations sur l’exercice de la fonction présidentielle n’ont pas ne pas avoir eu un impact fort sur le jugement et les condamnations.

Mais , il n’appartient pas au juge d’étaler en sortant de sa compétence de magistrate les liaisons dangereuses du gouvernement français de son Président de l'époque et des industriels intéressés par des contrats avec le sulfureux Président de la LIBYE qui avait pouvoir de décision sur tous ces types de marchés !

Mais de là en plus à aller jusqu’à estimer que dans ces discussions entre États il pouvait y avoir un délit de "constitution d’association de malfaiteurs" incluant le Président Français, ses ministres, des tiers négociateurs et intermédiaires, c’est bien sortir complétement u domaine pur de la JUSTICE.

Ajoutons quand même le rappel que la juge fait en reconnaissant que dans le dossier d’instruction il n’a pas pu être trouvée la moindre trace de fonds libyens dans les comptes de campagne de Nicolas SARKOZY !

C’est pourtant bien que, à cette époque, que les décideurs se sont connus, fréquentés non pour commettre un délit mais pour défendre les intérêts de la France...ce qui n’est pas à notre humble avis un « délit » en droit français qualifié tel par la présidente Nathalie GAVARINO qui fonde donc à la légère sa décision très grave sur des actes d’une « gravité exceptionnelle » qu’elle est bien incapable de prouver.

 

À SUIVRE :

UN JUGEMENT DES CONDAMNATIONS QUI ATTEIGNENT L’HONNEUR DE LA JUSTICE

 

 

 

Partager cet article
Repost0
10 novembre 2025 1 10 /11 /novembre /2025 21:34
NICOLAS SARKOZY EN PRÉSIDENT

NICOLAS SARKOZY EN PRÉSIDENT

 

 

QUEL ÉTRANGE JUGEMENT !

 

L’incarcération de Nicolas SARKOZY a fait couler beaucoup d’encre. Sa libération conditionnelle en fera couler un peu moins. Ce court séjour en prison fut aussi symbolique que malvenu...pas une erreur mais une faute de la Justice. Une humiliation pour la juge Nathalie GAVARINO qui a fait le nécessaire pour que son condamné comme d’autres inculpés passent par la case prison pour l’exemple.

La lecture que nous faisons des 382 pages du document de la Juge Nathalie GAVARINO « MOTIVATION PÉNALE – COPIE DE TRAVAIL » est étonnante voire détonante et se termine par la terrible condamnation de Nicolas SARKOZY et de ses co inculpés.

Si les chroniqueurs un peu juristes lisent avec honnêteté le document dit jugement « MOTIVATION PÉNALE » que nous tenons à leur disposition, ils seraient comme nous, atterrés de ce qui peut être dit et écrit pour aboutir à cette condamnation sans preuves, hors normes.

La Juge a proprement écarté , noir sur blanc, faute de preuves sérieuses, les nombreuses accusations figurant sur l’ordonnance de renvoi qui pesaient sur les 4 complices de l’Association de Malfaiteurs (Nicolas SARKOZY, Claude GUÉANT, Brice HORTEFEUX et l’homme d’affaires Ziad TAKIEDDINNE, maffieux, intermédiaire franco libanais, aujourd’hui décédé).

Par contre, elle a usé et abusé de l’article 450-1 du Code Pénal sur l'association de malfaiteurs qui est fondée sur un groupement d'individus formé en vue de la préparation d'un ou plusieurs crimes ou délits punis d'au moins cinq ans d'emprisonnement pour retenir ce grief sans preuves pour étayer sa décision. Affligeant !

Après, surtout, ne nous dites plus que Nicolas SARKOZY est traité comme tout citoyen qui, sur un tel dossier, n’aurait pas été condamné à de la prison ferme avec délivrance de mandat de dépôt, exécution provisoire...et sortie de prison 20 jours après son incarcération.

Tout cela, est-ce sur ordre ? Est-ce par conviction intime d’une Juge ?

L’histoire, les mémoires de la Juge, les magistrats de la Cour d’Appel de PARIS nous en diront plus.

Dans une série de parutions depuis le jour du jugement le 25 septembre nous avons fait part sur la base du « jugement » qui n’en n’était pas un au sens juridique du terme, de nos doutes sur cette Justice.

 

AFFAIRE À SUIVRE

D’abord le Président SARKOZY n’en n’a pas fini avec la Justice puisqu’il sera rejugé par la Cour d’Appel de Paris en mars 2026. Nous devrions être surpris de la tournure de cette affaire.

Lors de l’Audience de ce matin sur la libération du Président SARKOZY ce jour 10 novembre 2025 en vidéo conférence Nicolas SARKOZY s’est exprimé en re clamant son innocence :

« Je souhaite que la Cour soit convaincue d'une chose. Je n'ai jamais eu l'intention, l'idée folle, de demander à KADHAFI un quelconque financement. Jamais je n'avouerai quelque chose que je n’ai pas fait", » « "Je n'aurais pas imaginé attendre 70 ans pour connaître la prison : »

 

 

Décidément le justiciable incarcéré condamné par le Tribunal Judiciaire de PARIS nommé SARKOZY Nicolas ex Président de la République n’est pas un citoyen ordinaire et sa condamnation initiale en première instance n’a pas fini de nous interpeller sur l’indépendance de la Justice en France.

 

Partager cet article
Repost0
1 novembre 2025 6 01 /11 /novembre /2025 20:57
LE PRÉSIDENT SARKOZY

LE PRÉSIDENT SARKOZY

 

 

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2025/10/etrange-proces-de-l-embastille-sarkozy.html

 

LES MALFAITEURS ASSOCIÉS

 

Nous espérons commencer à avoir convaincu nos lecteurs que ce procès de l’ancien Président SARKOZY et de ses co-inculpés est une escroquerie, une comédie tragique pour l’Institution Justice et la France.

 

LA MISE EN SCÈNE DU TRIBUNAL DE PARIS QUI A CONDAMNÉ LES « MALFAITEURS » ASSOCIÉS SANS PREUVES

L’objectif de la Juge Nathalie GAVARINO du Parquet National Financier PNF , Juridiction d’exception, est simple : démontrer qu’au plus haut niveau de l’État français, il y a un groupe d’habitués aux pratiques maffieuses pour arracher la signature des contrats de milliards de dollars puis d’euros et des commissions énormes attribuées à des intermédiaires qui exécutent les sales besognes et peuvent...

La mise en scène scabreuse et hypothétique d’un trio SARKOZY, GUÉNANT, HORTEFEUX fondant un quatuor avec l’orfèvre en commissions et autres carambouilles Ziad TAKIEDDINE forment soi-disant une association de malfaiteurs organisant une collecte de fonds à l’étranger pour financer la campagne électorale préparée de très, très longue date avec des fonds libyens.

La mise en scène imaginée par la Juge comprend des flash-backs où l’équipe des pieds nickelés accusés aurait pu s’entrainer en toute impunité et tirer les leçons d’affaires comme celles dite de KARACHI.

Les associés malfaiteurs usent et auraient abusé de connivences pour commettre des délits voire des crimes !

Pour la Juge cela aurait pu lui permettre de prouver la préméditation, idem pour les voyages pour négocier des commissions faramineuses circulant à travers le monde par des circuites secrets et contrats mirobolants de milliards de dollars...on nage dans un mauvais film policier mais la Juge a eu son heure de gloire médiatique et la Justices son déshonneur.

Les allégations de la Juge, Présidente du Tribunal, Nathalie GAVARINO ne vont convaincre personne. Nous pouvons même démontrer qu’avec son dossier écrit de ses propres mains elle doit elle-même reconnaitre qu’elle n’a pas trouvé un centime de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy provenant de Libye.

 

ALORS ?

COMMENT CONDAMNER LES INCULPÉS APRÈS DES ANNÉES DE HARCÈLEMENTS JURIDIQUES QUI DOIVENT SE TERMINER AVEC 13 INCULPÉS DONT NICOLAS SARKOZY ?

Après ce qui est écrit c- dessus, le doute s’installe. Quel le but poursuivi dans cette affaire par la Justice ?

La démonstration qu’a tenté de faire la Juge se heurte au bon sens d’une analyse simpliste : la Juge GAVARINO inclut dans son dossier des faits très anciens (1992 2012) comme ceux des dossiers KARACHI et AIRBUS EADS, vente d’armements ...pensait-elle déjà que cela lui permette de réaliser ses rêves : .la mise en cause directe ou indirecte de personnalités au sein de l’oligarchie corrompue qui règnerait sur la France. Pour cela, il faut PROUVER.

Ainsi, pour la Juge GAVARINO la Justice fera le ménage dans la caste qui dirige la France en condamnant des personnalités qu’elle incrimine :

LÉOTARD (comme ministre des armées), BALLADUR, De VILLEPIN ,TAKIEDDINE, GAUBERT (collaborateur de SARKOZY)... pour mouiller largement l’oligarchie intouchable comme le montre le procès sur les affaires de KARACHI qui n’en finit pas de finir https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Karachi

La Juge oublie que le versement de « commissions » à des agents publics étrangers est courant dans l’industrie et le commerce de l’armement. Il a pour but de « convaincre » les dirigeants politiques de signer les contrats et était autorisé en France jusqu’à l’entrée en vigueur en 2000 de la Convention de l’OCDE contre la corruption.

Le problème est que ces flashs que fait la Juge à eux seuls ne font pas une histoire cohérente et qu’il n’y a même pas de commencement d’exécution d’un délit et que la Juge et ses collègues aux ordres malgré quasiment deux décennies d’enquêtes sont contraints de dire qu’aucun délit à l’encontre des inculpés ne peut être retenu !

Pourtant elle a gagné puisque Nicolas SARKOZY aujourd’hui est embastillé.

Nous attendons ce que décidera la Cour d’Appel quand elle statuera. Suivra-t-elle la Juge GAVARINO et ses deux collègues sur les 4 griefs qu’elle a rejetés « faute de preuves » et sur « l’association de malfaiteurs » qui est un recours ultime de technique juridique au pénal quand le juge, par exemple, ne trouve aucun moyen pour fonder une accusation et que le prévenu a déjà fait des mois de prison préventive !...ll condamne alors en utilisant le délit d’association de malfaiteurs !

Ce délit trouve aussi application surtout dans les cas de narcotrafics et grand banditisme.

En l'espèce, la Juge Présidente du Tribunal  écrit et répète qu’il s’agit de fautes d’une gravité exceptionnelle. C’est facile à écrire et la Juge fantasme sans pouvoir prouver ses dires..

Elle imagine ainsi un « pacte corruptif » sans le prouver.

Et le comble, elle imagine que SI le Président SARKOZY avait été élu ...lisez bien...

« S’il est exact qu’il n’y a pas eu d’accroissement direct et immédiat de son patrimoine, l’association de malfaiteurs avait pour but de lui procurer un avantage dans la campagne électorale et de lui permettre d’accéder à la plus haute fonction et de l’exercer pendant 5 années. Il s’agit donc de faits d’une gravité exceptionnelle, de nature à altérer la confiance des citoyens dans ceux qui les représentent et sont censés agir dans le sens de l’intérêt général, mais aussi dans les institutions même de la République.

Ces éléments rendent nécessaire le prononcé d’une peine d’emprisonnement sans sursis...

Vous pouvez juger vous-même de la faiblesse du raisonnement et une vision abstraite et partisane du rôle d’un Président de la République.

Cette motivation unique qui est censée justifier  un emprisonnement et nombre de peines accessoires ne tient pas. Ce n’est pas avec des SI que l’on peut condamner en France mais avec des faits et autres preuves irréfragables.

C’est une motivation indigne d’un magistrat : quelle faute grave est donc reprochée à Nicolas SARKOZY ?...le Jugement ne le dit pas ...sauf que la rédactrice avance le délit d’association de malfaiteurs sans citer de faits précis pour corroborer ses dires ? Ces personnalités cxondamnées qui se fréquentent depuis des décennies n’ont-elles pas le droit de se consulter et même de parler élections ?

 

Trop politisée et trop mal syndicalisée la JUSTICE française telle que nous la vivons au quotidien, va continuer donc à souffrir et aura bien du mal à redorer son image : ce qui est très grave car le peuple français ne croit plus en elle .

 

Partager cet article
Repost0
31 octobre 2025 5 31 /10 /octobre /2025 23:29
LA JUSTICE : UNE BALANCE, UN FLÉAU

LA JUSTICE : UNE BALANCE, UN FLÉAU

 

 

 

 

LA JUSTICE : CE N'EST PAS CELA

 

 

Décidément, même le Ministre de la Justice, censé être MACRONISTE, s’occupe de l’embastillement de l’ancien Président Nicolas SARKOZY.

Pour nous, nous poursuivons laborieusement notre enquête avec l’objectif de faire comprendre aux français que ce type de Justice est indigne de la France et révoltant car c’est une atteinte grave à l’honorabilité des 9000 de magistrats, greffiers et autres serviteurs du Service Public de la JUSTICE qui font un travail remarquable dans des conditions particulièrement difficiles. Ce procès c’est un modèle d’atteinte à l’indépendance nécessaire du juge.

Le procès SARKOZY est la caricature de la Justice française.

L’affaire du pseudo financement illégal de la campagne électorale de Nicolas SARKOZY qui fut élu Président en 2007 et candidat battu en 2012 par François HOLLANDE dans des circonstances qui encore une fois ont trahi le processus « normal » d’une élection présidentielle.

En effet, nous avons tiré une première conclusion sur ce dossier ....le prononcé du jugement est rendu public le 25 septembre 2025 pour un dossier constitué pour des faits remontant depuis l’an 2 000 voire même des faits remontant aux années 1990 !

La durée de l’Instruction est anormalement longue « comme si » des «  interventions » de personnes externes à la Justice attendaient le moment favorable pour mettre en difficultés Nicolas SARKOZY en faisant pression sur les magistrats.

Nous mettons en avant cet argument en nous fondant sur ce qui s’est passé aussi avec le fameux  Parquet National Financier PNF dans le dossier FILLON et les aveux de la Première Procureure Éliane HOULETTE qui a bien parlé des pressions qu'elle a subies ! Cela n'est pas de la Justice ...comme tout ce qui passe dans un pays de démocrates où des politiques créent  des juridictions d'exception pour avoir une JUSTICE AUX ORDRES comme le PNF créé sous le règne de François HOLLANDE ...même en France !

 

FAIRE TOMBER SARKOZY !

C’est la Présidente du Tribunal qui a repris le dossier et jugé Nicolas SARKOZY, la juge Nathalie GAVARINO qui, dans son mode de travail et pour le but qu’elle s’est assigné ou qui lui a été assigné par des « politiques » qui est de condamner Nicolas SARKOZY à une peine d’emprisonnement pour « des faits d’une extrême gravité » à une peine d‘une durée importante avec mandat de dépôt et à bien d’autres peines accessoires déshonorantes.

Nous nous en tiendrons au dossier et aux écrits de la Juge Nathalie GAVARINO et n'écrirons pas que les millions d'euros dont il est question dans le dossier n'ont pas été tentants pour les prévenus mais au moins pour ce qui est le prévenu SARKOZY rien n'a pu être retenu contre lui sur ce sujet des fonds Libyens.

 

MAIS QUELS FAITS RÉPRÉHENSIBLES SONT REPROCHÉS À NICOLAS SARKOZY ? DE QUOI EST-IL ACCUSÉ ?

Il faut rappeler que l’instruction a retenu 5 griefs contre Nicolas SARKOZY mais la juge avec précaution en a écarté QUATRE: faute de preuves suffisantes que nous retrouvons dans son mémoire baptisé « MOTIVATION PÉNALE » Les quatre griefs non retenus par le tribunal sont : 

  • L’enrichissement personnel des co-accusés,
  • Le financement illégal de la campagne électorale,
  • Le délit de corruption,
  • Le recel de corruption

https://www.olonnes.com/2025/10/le-president-nicolas-sarkozy-juge-et-traite-comme-tout-autre-citoyen.html

Le délit de financement illégal de la campagne électorale n’est pas retenu...il n’existe pas !

Il n’y a pas eu  d’enrichissement personnel du Président et de ses proches qui pourtant ont bien et beaucoup œuvré avec la Libye avec des dossiers étalés dans le document où il est question d’énormes marchés, d’énormes commissions...

Comme vous pouvez le deviner il ne reste donc plus rien de 20 ans d’instruction !!!!sauf... Le cinquième motif celui qui est retenu et qui est particulièrement est surprenant ; le délit d’association de malfaiteurs :

Les « associés malfaiteurs » sont Nicolas SARKOZY, Claude GUÉANT, Brice HORTEFEUX...et le citoyen franco-libanais Ziat TAKIEDDINE, entremetteur professionnel en vente d’armes, aéronautique...délateur et douteux personnage dont le témoignage a fondé l’accusation contre Nicolas SARKOZY ! un comble !

Lui, Ziat TAKIEDDINE, au moins a touché des millions d’euros en « commissions ».

C’est lui qui a inventé et impulsé cette idée de campagne électorale de Nicolas SARKOZY subventionnée par des fonds libyens.

L’accusation est donc fondée sur les dires d’un individu qui n’est pas crédible qui s’est retiré au Liban pour fuir la Justice française et est décédé en septembre 2025 avant la fin du procès nommé abusivement « procès SARKOZY » alors qu’il y a eu au moins une vingtaine d’inculpés et 6 condamnations ont été prononcées.

Le procès et les condamnations prononcées méritent encore de nombreux commentaires que nous devons distiller pour que chacun qui est un justiciable puisse se faire sa philosophie sur la Justice qui demeure faible car humaine !

 

Partager cet article
Repost0
28 octobre 2025 2 28 /10 /octobre /2025 22:40
LE PRÉSIDENT SARKOZY

LE PRÉSIDENT SARKOZY

 

LA JUGE DU PROCÈS SARKOZY ET LES RELATIONS FRANCO-LIBYENNES

 

 

 

Dans son mémoire rendu public baptisé jugement par certains mais qui n’est que la « MOTIVATION PÉNALE – COPIE DE TRAVAIL » et qui cependant s’achève par le verdict dont la Juge Nathalie GAVARINO, Présidente de la Chambre Correctionnelle du tribunal Judiciaire de Paris, repend des notes des « assistants spécialisés du pôle crimes contre l’humanité et délits de guerre et sur le rapport de la commission d’enquête sur la libération des infirmières et du médecin bulgares détenus en Libye « 

En cette période de 2005, le Président SARKOZY est en cours de mandat et la situation en Libye sur le plan international est du genre précaire puisque ÉTATS-UNIS, ONU, ROYAUME UNI, FRANCE, UNION EUROPÉENNE considèrent le Libye comme un État terroriste après les actions qui ont été menées contre un avion de la Pan Am (1988) et contre un avion d’UTA (1989, 142 morts français ).

Dans l' introduction du mémoire de la Juge nous trouvons déjà les acteurs et les principaux inculpés  et les seconds couteaux .

Particulièrement, figure un citoyen douteux franco libanais dénommé Ziad TAKIEDDINE (décédé cette année 2025 alors qu’il vivait  «retiré » au Liban).

Dans la partie consacrée au marché d’avions Air Bus (2006) et autres projets commerciaux pratiquement tout est effectivement teinté de maffieux puisqu’il faut passer par des intermédiaires mandatés qui ont leurs entrées discrètes auprès du Chef de l’État Libyen directement et qui ont aussi leurs entrées auprès des autorités françaises. Ces intermédiaires ne sont pas fiables et ne peuvent pas l’être.

 

LE PIÈGE DE CERTAINES FRÉQUENTATIONS

Comment des hommes politiques français sur le devant de la scène peuvent-ils avoir des relations suivies, comment des cadres de haut niveau d’Air Bus peuvent-ils « participer » à des démarches « à la limite » auprès des responsables de la Libye que ce soit auprès du Président KADHAFI ou de son directeur de cabinet ?

Et comment est-on passé de la phase « négociations » commerciales classiques à la présumée phase de financement de la campagne électorale de Nicolas SARKOZY ?

Pour répondre à ces questions la Juge GAVARINO nous démontre que tous les personnages dont les noms sont cités se connaissent et se fréquentent au moins depuis l’affaire des cinq infirmières et du médecin bulgares (1999). C’est ce que veut démontrer la Juge GAVARINO pour fonder que ces fréquentations ne se combinent pas nécessairement bien avec les droits et devoirs des hautes fonctions de l’État français.

Ainsi déjà le Président KADHAFI lui aussi veut « sa part » dans certains marchés avec des entreprises françaises mais aussi dans la « libération » des infirmières pour laquelle il demandait des sommes considérables. La libération obtenue (juillet 2007), cela laisse des traces appelées « zones d’ombre », des suspicions.

La libération des prisonnières condamnées à mort par KADHAFI a été saluée aussi bien par les bulgares que par les français comme un heureux dénouement.

Les « intermédiaires » et autres médiateurs (comme le QATAR) sont là ne serait-ce que pour garantir et camoufler les mouvements de fonds.

Tout cela explique même si on le regrette que parfois, la fin justifie les moyens. Il en était ainsi pour Air Bus en Libye pour éliminer Boeing du potentiel juteux marché aéronautique libyen.

Il faut aussi bien savoir que les « marchés » ne se gagnent pas sans entourloupes que couvrent non seulement les ministres concernés mais aussi les ambassades, les chefs d’entreprises, les chefs d’État ...

La concurrence dans ce domaine international est féroce et il n’y a pas de règles du jeu. Tous les coups sont permis.

Nous ne pouvons pas écarter cette donnée que la Juge n’a pas voulu prendre en considération dans sa réalité concrète et quotidienne du commerce international. Cétait plus simple dans l'objectif d'une condamnation de Nicolas SARKOZY, de se baser sur une complicité maintenue entre le futur Président, ses ministres et des acteurs moins recommandables.

 

 

POURQUOI DONC LA JUGE GAVARINO MÉLANGE-T-ELLE CES CONTACTS POUR DES CAUSES HUMAINES ET COMMERCIALES AVEC LE DOSSIER SARKOZY ?

 

C’est tout le drame du piège qui a conduit Nicolas SARKOZY à la prison.

 

À SUIVRE...

 

 

Partager cet article
Repost0
22 octobre 2025 3 22 /10 /octobre /2025 21:10
SARKOZY...EX PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

SARKOZY...EX PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

 

 

IL Y A GRAND MALAISE DANS LE FONCTIONNEMENT DE LA JUSTICE

 

Les faits qui fondent nos efforts d’explicitation du « jugement » condamnant Nicolas SARKOZY sont tous appuyés et confirmés dans le document de travail nommé « jugement » auquel vous pouvez accéder avec ce lien :

https://www.simonnetavocat.fr/sarkozy-lybie-le-jugement-penal-complet-en-pdf/

Nicolas SARKOZY est à l’origine de la sortie en 2002 du boycott international de la LIBYE.

Ce pays est jugé, à l’époque, comme terroriste par l’ONU à l‘image de son Président KADHAFI au pouvoir depuis 1969.

La Libye avait soutenu des actions terroristes de groupes palestiniens en Europe, éliminait des dissidents présents sur le sol européen, et commanditait même des attentats terroristes contre un avion de la PAN AM en 1988 et un contre un avion de l’UTA en 1989. 

Il y avait déjà un dossier, un historique,  avant l’ouverture à Paris le 13 avril 2013 d’une information judiciaire pour corruption à l’encontre de l’ex Président SARKOZY.

Confiée aux juges Serge TOURNAIRE et René GROUMAN, elle vise un éventuel soutien financier de la Libye à la Campagne présidentielle de Nicolas SARKOZY de 2007 donc pour des faits qui ne peuvent se dérouler sérieusement qu’avant le début de la campagne électorale.

Le document public nommé à tort « Jugement » apporte des précisions sur la procédure avec des faits concernant des transferts de fonds importants présumés délictueux depuis l’an 1996 !

Le 21 mars 2018, à l’issue de son interrogatoire de première comparution, Nicolas SARKOZY était mis en examen des chefs de recel de détournement de fonds publics, de corruption passive, de financement illégal de campagne électorale.

Deux ans et demi plus tard, le 12 octobre 2020, Nicolas SARKOZY faisait l’objet d’une mise en examen « supplétive » du chef d’association de malfaiteurs comme si les lourdes charges invoquées en 2018 contre Nicolas SARKOZY ne suffisaient pas ou pire n’existaient pas !

N’oublions pas que la « non-juridiction » nommée Parquet National Financier n’a été créée par une loi votée qu’en décembre 2013 à l’initiative et sous le règne (2012/2017) du Président François HOLLANDE, à l’époque proche d’Emmanuel MACRON !

 

NOUS AVONS UNE PROCÉDURE À ÉCLIPSES. QU’EST CETTE JUSTICE MANIPULÉE COMME L’A AVOUER L’EX PRÉSIDENTE DU PNF ÉLIANE HOULETTE ?

Ainsi, il ne nous a pas été possible de déterminer avec exactitude quand le Tribunal Judiciaire de Paris a effectivement commencé tant, les procédures initiées et menées par le Tribunal Judiciaire de Paris que celles reprises et poursuivies par le PNF concernant non seulement le dossier SARKOZY mais aussi celui de tous les autres inculpés :  ministres français, ex Premier ministre comme Dominique de VILLEPIN, escrocs, intermédiaires douteux... comme le fut le truand délateur franco libanais ZYAD ZAKEDDINE...

Ainsi, depuis la campagne électorale « litigieuse » de Nicolas SARKOSY2005/2006 et jusqu’à la date du jugement 2025 il se sera écoulé une vingtaine d’années comme si quelqu’un ou un groupe avait mis au congélateur le dossier pour le sortir au moment opportun à savoir quand Nicolas SARKOZY pouvait peut-être dangereux...mais pour qui ? 

Déjà on peut se poser la question : cette même affaire en 2007 a empêché Nicolas SARKOZY de remporter la victoire pour son deuxième mandat. En 2025, reposons la question à qui profite de nouveau cette nouvelle condamnation ?

Certainement pas à la France.

Ce qui est aussi curieux c’est que nous trouvons le même procédé dans le dossier qui a vu la condamnation définitive de François FILLON qui avait dû renoncer à se présenter dans des conditions rocambolesques et aussi très tristes pour la France.

Mais, pour nous qui osons vouloir défendons notre JUSTICE ce qui nous meurtrit le plus c’est que les hommes politiques arrivent à débaucher des magistrats avides d’honneurs et d’avancements pour exécuter ces sales besognes et ainsi salir toute la Justice et ses milliers de magistrats et autres serveurs de l'Institution.

 

À SUIVRE...

 

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2025 2 21 /10 /octobre /2025 20:17
LA FRINGANCE D'UN PRÉSIDENT MISE À MAL

LA FRINGANCE D'UN PRÉSIDENT MISE À MAL

 

 

 

UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EMBASTILLÉ TRAITÉ COMME TOUT CITOYEN 

 

C’est ce que le magistrat Procureur National du Parquet National Financier Jean-François BONHERT, Procureur National du Parquet National Financier, tente de nous faire croire.

Nous allons poursuivre une longue pérégrination non sur le « jugement » mais sur la sévère condamnation à laquelle l’ancien Président de la République a été condamné et qui lui vaut d’être incarcéré dans la prison de la SANTÉ à PARIS suite à la décision de Justice qui est assortie de « l’exécution provisoire ».

Donc, concernant Nicolas SARKOZY, à ce jour, il y a une décision de Justice suspendue à un appel donc qui n’est pas définitive mais avec cette procédure moins exceptionnelle que certains ont pu dire, l’ancien Président Nicolas SARKOZY bénéficiant de la présomption d’innocence, aurait pu ne pas passer par la case « prison ».

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2025/10/le-jugement-qui-condamne-le-president-et-ses-co-accuses-apres-une-procedure-interminable.html

 

 

LA JUSTICE EN FRANCE CE N’EST PAS CELLE QUI A JUGÉ FRANÇOIS FILLON ET NICOLAS SARKOZY

C’EST UNE JUSTICE D’EXCEPTION

La magistrate Nathalie GAVARINO, promue lors de l’audience du 2 septembre 2024, première vice-présidente, présidente «grands procès» a donc le privilège d'avoir condamné Nicolas SARKOZY 

Cette magistrate a été promue  Présidente d’une des Chambres Correctionnelles du Tribunal Judiciaire de Paris en septembre 2024...pour un dossier qui est jugé en 2025 ...à part cela, le Président SARKOZY est traité comme un simple citoyen avec une Présidente chargée des « grands procès » !....Nous ne donnassions pas ce niveau de juridiction !

C’est la même magistrate qui a instruit la procédure pour une affaire d’emplois fictifs visant le candidat à l’élection présidentielle de 2012 François FILLON et particulièrement l’emploi présumé fictif de Pénélope FILLON, son épouse.

À ce jour, un mois après la lecture du prononcé de la condamnation le 25 septembre dernier par la Présidente du Tribunal Judiciaire de Paris, Nathalie GAVARINO la Juge émérite  « grands procès » n’a pas rendu public le texte de « son jugement » condamnant l’ancien Chef de l’État Nicolas SARKOZY »

Il a été simplement rendu public un « document de travail » mais qui est un brouillon simplement un pavé de 380 pages nommé « MOTIVATION PÉNALE COPIE DE TRAVAIL » qui fut, en partie certainement, lu par la magistrate le 25 septembre lors de la lecture publique de la sentence condamnant Nicolas SARKOZY.

Nous voudrions nous appliquer à vous faire appréhender que ce qui s’est passé dans ce dossier SARKOZY sort de l’ordinaire et tenter de vous faire une idée de la Justice politique qui, pour nous, n’est pas la Justice que nous voulons pour notre pays.

Rappelons que cette procédure qui donc a duré plus d’une décennie est la montagne qui a accouché d’une souris. 

 

QUATRE ACCUSATIONS SUR CINQ SEULEMENT RETENUES LORS DU JUGEMENT

En effet, après avoir retenu et instruit  5 griefs contre les prévenus et par Nicolas SARKOZY particulièrement le jugement reconnait d’une manière étonnante qu’il n’y a pas de preuve pour retenir les griefs suivants qui ont fondé l’accusation des prévenus et particulièrement Nicolas SARKOZY pendant des années et que le jugement écarte brutalement et de manière surprenante :

 

        • L’enrichissement personnel des co-accusés,

 

        • Le financement illégal de la campagne électorale,

 

        • Le délit  de corruption,

 

        • et le recel  de  de corruption

 

Alors que reste-t-il donc des chefs d’inculpation  ?

 

Le délit surprenant dit d’association de malfaiteurs : Il reste donc cette seule trouvaille juridique tardivement arrivée dans la procédure qui est celle de l’article Article 450-1 du code pénal qui visait le grand banditisme et maintenant le narcotrafic et qui n’est absolument pas pensé pour être applicable au cas du financement des campagnes électorales.

Cceci exprime bien que l'Instruction a eu vraiment beaucoup de mal, après de 20 anssur le dossier , à trouver matière à faire condamner Nicolas SARKOZY !

 

À SUIVRE ...

 

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2025 4 16 /10 /octobre /2025 20:53
LE PRÉSIDENT CONDAMNÉ

LE PRÉSIDENT CONDAMNÉ

 

 

AFFAIRES SARKOZY : UNE OU DES PROCÉDURES INTERMINABLES

 

Suite de

https://www.olonnes.com/2025/10/l-independance-de-la-justice-et-des-magistrats-mise-a-mal.html

 

 

Rappelons qu’après une instruction qui aurait durée environ au moins 3 décennies si l’on en croit le texte du jugement (page 360) il ne reste pratiquement plus rien des accusations portées à l’encontre de l’ex Président de la République Nicolas SARKOZY et de ses co-accusés pourtant lourdement condamnés.

 

D’abord il faut dire que nous avons été particulièrement surpris de lire que, pour un des co-accusés Thierry GAUBERT  « la déclaration de culpabilité porte notamment sur des faits commis entre le 16 mai 1996 et le 2 novembre 2016, à Neuilly, en Suisse et aux Bahamas, en l’espèce « avoir apporté son concours à des opérations de placement, dissimulation ou conversion du produit direct ou indirect du délit de fraude fiscale notamment en plaçant des avoirs non déclarés sur le compte PICTET 188512 du trust CACTUS et en convertissant le produit de l’infraction en constituant le dit trust et en ouvrant le compte associé à son fonctionnement dans ladite banque, en procédant à des encaissements en provenance entre autres de Ziad TAKIEDDINE et de ROSSFIELD LTD, et en procédant à des retraits d’espèces et plusieurs virements depuis entre autres le compte PICTET... » Cette déclaration a été reprise par la Présidente du Tribunal dans son document « MOTIVATION PÉNALE – COPIE DE TRAVAIL »

 

Comme nombre de français depuis le 25 septembre, date du prononcé du jugement condamnant lourdement Nicolas SARKOZY et ses co-inculpés, nous nous interrogeons, non sur la décision lue le 25 septembre 2025 par la Présidente du Tribunal (lecture interminable) mais sur le fonctionnement même de cette Justice.

Ce texte de 380 pages est « proprement » illisible mais inconscient nous nous sommes attelé à sa lecture. Car nous nous sommes aperçu après un début de lecture qu'il est plein d’enseignements dont nous ferons part à nos lecteurs...mais ce sera non sur cette rédaction fourre-tout mais sur ce qu’il faut en tirer pour appréhender un certain fonctionnement de la Justice.

En effet, le texte écrit et public n’est pas le texte du « jugement » qui sera comme tout jugement rendu public...ultérieurement...nous devrons attendre des semaines, des mois ... ? L’essentiel est que nous ayons cette motivation pénale pour justifier nos écrits qui se termine par les condamnations suite au délibéré du Tribunal.

Nous avons ouvert cette tribune en faisant part de notre étonnement sur la partie « Parquet » et notamment sur le parcours de sa Présidente Nathalie GAVARINO qui, tout à coup, en septembre 2024, réapparait dans la composition du Tribunal et plus spécialement comme Présidente d’une Chambre correctionnelle du Tribunal Judiciaire de Paris qui a donc jugé Nicolas SARKOZY. Elle était déjà « connue » pour avoir condamné...François FILLON candidat favori à l’élection présidentielle de 2012 qui a dû se retirer en pleine campagne électorale où il était le favori ! Dans ce dossier là aussi les preuves pour fonder la condamnation étaient ultra légères et l’impartialité de la magistrate avait déjà mise en cause.

Et comme elle l’écrit à plusieurs reprises dans son mémoire de délibéré pour la condamnation de Nicolas SARKOZY « Non bis in idem »...en français « nul ne peut être poursuivi ou puni pénalement à raison des mêmes faits »...elle récidive avec un autre élu qui, lui, a pu devenir Président !

Nous sommes désolés de devoir vous faire ces rappels très « techniques » et aussi de rappeler que c’est le fameux PNF Parquet National Financier créé par le Président François HOLLANDE par une loi de décembre 2013. C’est une initiative purement politique. 

Ce Parquet a débuté son activité seulement en 2014 et a donc poursuivi l’instruction commencée au moins 10 ans auparavant sur le financement occulte de la campagne électorale de Nicolas SARKOZY.

On doit donc nous cacher des choses sur cette procédure interminable.

Mais ce que nous voudrions partager avec nos lecteurs ce sont les œuvres de cette « juridiction » d’exception qui est sans nul doute trop aux ordres de l’exécutif (affaire des fadettes) et qui, d’ailleurs, a fait que le Cour Européenne des Droits de l’Homme a mis en cause l’indépendance des magistrats de ce type de juridiction.

 

À SUIVRE...

LE « JUGEMENT » ET LA CONDAMNATION DE NICOLAS SARKOZY

 

Partager cet article
Repost0