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21 octobre 2025 2 21 /10 /octobre /2025 20:17
LA FRINGANCE D'UN PRÉSIDENT MISE À MAL

LA FRINGANCE D'UN PRÉSIDENT MISE À MAL

 

 

 

UN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EMBASTILLÉ TRAITÉ COMME TOUT CITOYEN 

 

C’est ce que le magistrat Procureur National du Parquet National Financier Jean-François BONHERT, Procureur National du Parquet National Financier, tente de nous faire croire.

Nous allons poursuivre une longue pérégrination non sur le « jugement » mais sur la sévère condamnation à laquelle l’ancien Président de la République a été condamné et qui lui vaut d’être incarcéré dans la prison de la SANTÉ à PARIS suite à la décision de Justice qui est assortie de « l’exécution provisoire ».

Donc, concernant Nicolas SARKOZY, à ce jour, il y a une décision de Justice suspendue à un appel donc qui n’est pas définitive mais avec cette procédure moins exceptionnelle que certains ont pu dire, l’ancien Président Nicolas SARKOZY bénéficiant de la présomption d’innocence, aurait pu ne pas passer par la case « prison ».

Suite de : 

https://www.olonnes.com/2025/10/le-jugement-qui-condamne-le-president-et-ses-co-accuses-apres-une-procedure-interminable.html

 

 

LA JUSTICE EN FRANCE CE N’EST PAS CELLE QUI A JUGÉ FRANÇOIS FILLON ET NICOLAS SARKOZY

C’EST UNE JUSTICE D’EXCEPTION

La magistrate Nathalie GAVARINO, promue lors de l’audience du 2 septembre 2024, première vice-présidente, présidente «grands procès» a donc le privilège d'avoir condamné Nicolas SARKOZY 

Cette magistrate a été promue  Présidente d’une des Chambres Correctionnelles du Tribunal Judiciaire de Paris en septembre 2024...pour un dossier qui est jugé en 2025 ...à part cela, le Président SARKOZY est traité comme un simple citoyen avec une Présidente chargée des « grands procès » !....Nous ne donnassions pas ce niveau de juridiction !

C’est la même magistrate qui a instruit la procédure pour une affaire d’emplois fictifs visant le candidat à l’élection présidentielle de 2012 François FILLON et particulièrement l’emploi présumé fictif de Pénélope FILLON, son épouse.

À ce jour, un mois après la lecture du prononcé de la condamnation le 25 septembre dernier par la Présidente du Tribunal Judiciaire de Paris, Nathalie GAVARINO la Juge émérite  « grands procès » n’a pas rendu public le texte de « son jugement » condamnant l’ancien Chef de l’État Nicolas SARKOZY »

Il a été simplement rendu public un « document de travail » mais qui est un brouillon simplement un pavé de 380 pages nommé « MOTIVATION PÉNALE COPIE DE TRAVAIL » qui fut, en partie certainement, lu par la magistrate le 25 septembre lors de la lecture publique de la sentence condamnant Nicolas SARKOZY.

Nous voudrions nous appliquer à vous faire appréhender que ce qui s’est passé dans ce dossier SARKOZY sort de l’ordinaire et tenter de vous faire une idée de la Justice politique qui, pour nous, n’est pas la Justice que nous voulons pour notre pays.

Rappelons que cette procédure qui donc a duré plus d’une décennie est la montagne qui a accouché d’une souris. 

 

QUATRE ACCUSATIONS SUR CINQ SEULEMENT RETENUES LORS DU JUGEMENT

En effet, après avoir retenu et instruit  5 griefs contre les prévenus et par Nicolas SARKOZY particulièrement le jugement reconnait d’une manière étonnante qu’il n’y a pas de preuve pour retenir les griefs suivants qui ont fondé l’accusation des prévenus et particulièrement Nicolas SARKOZY pendant des années et que le jugement écarte brutalement et de manière surprenante :

 

        • L’enrichissement personnel des co-accusés,

 

        • Le financement illégal de la campagne électorale,

 

        • Le délit  de corruption,

 

        • et le recel  de  de corruption

 

Alors que reste-t-il donc des chefs d’inculpation  ?

 

Le délit surprenant dit d’association de malfaiteurs : Il reste donc cette seule trouvaille juridique tardivement arrivée dans la procédure qui est celle de l’article Article 450-1 du code pénal qui visait le grand banditisme et maintenant le narcotrafic et qui n’est absolument pas pensé pour être applicable au cas du financement des campagnes électorales.

Cceci exprime bien que l'Instruction a eu vraiment beaucoup de mal, après de 20 anssur le dossier , à trouver matière à faire condamner Nicolas SARKOZY !

 

À SUIVRE ...

 

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