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9 mai 2023 2 09 /05 /mai /2023 11:26
JACQUES ATTALI ÉCRIVAIN , PENSEUR, CONSEIL, BANQUIER...

JACQUES ATTALI ÉCRIVAIN , PENSEUR, CONSEIL, BANQUIER...

 

 

 

LE GOUROU JACQUES ATTALI NOUS DONNE UNE LEÇON SUR LA CRISE SOCIÉTALE : UNE ANALYSE CRITIQUE CRUELLE QUI VISE JUSTE ET FAIT MAL

Il n’est pas dans nos us et coutumes d’emprunter à des auteurs le fruit de leur réflexion.

De plus, pour Jacques ATTALI nous avons une réticence naturelle à ne pas trop faire confiance à un écrivain, conseiller à tout va dont 10 ans auprès de François MITTERRAND, président de la Banque BRED, père spirituel du Président MACRON qu’il a porté hâtivement aux nues et dont il s’écarte un peu pour ne pas avoir à supporter le poids des erreurs de son poulain. En un mot,  Jacques ATTALI est le touche à tout de génie qu’on peut admirer et craindre.

Ses réflexions de futurologue ne sont pas à écarter systématiquement.

Dans son dernier éditorial, il s’attaque à notre crise aiguë d’individualisme qui explique, au moins en partie, le mal-être que nous vivons.

Pour comprendre cette évidence, ou au moins cette menace, il faut en revenir aux éléments fondamentaux de nos sociétés modernes, démocratiques ou non, où domine l'économie de marché : elles sont toutes fondées sur l'apologie de la liberté individuelle :

« chaque citoyen y est poussé à se concentrer sur sa sphère individuelle, sur son bonheur personnel, et à ne pas se préoccuper des enjeux collectifs ».

Chaque membre d'une telle société est incité à ne se préoccuper que de lui-même et à se concentrer sur la façon dont il peut gagner les moyens de satisfaire ses propres besoins et ses désirs les plus individualistes, qu'il s'agisse de consommer des biens matériels, de voyager, de s'exprimer, ou de choisir librement sa forme de bonheur, en étant autorisé à le trouver où il veut, en changeant d'avis autant qu'il veut sur ce qu'il désire, et même sur ce qu'il est.

 

LE DROIT DE CHANGER

Dans ces sociétés, qui ne se limitent pas aux démocraties formelles, et qu'on retrouve aussi dans les dictatures de marché, chacun a donc le droit d'exercer sa liberté individuelle sous toutes les formes, ou presque. Il a, en particulier, dans un très grand nombre de domaines, le droit de changer d'avis, ce qui est la forme élémentaire de la liberté.

Il peut ainsi changer de produit qu'il consomme, d'employeur, d'employé, de banque, de logement, de partenaire sentimental ; et, dans celles de ces sociétés qui se veulent des démocraties, il a aussi le droit de changer d'opinion politique et de vote. Et même de changer de lieu de résidence, et de nationalité.

 

LA SOIF DE CHANGER GÉNÈRE LA TYRANNIE DE LA LIBERTÉ

Cette tyrannie aussi des limites : elle ne respecte ni tradition, ni patrimoine, ni acquis ; elle empêche de construire quoi que ce soit de durable.

Aussi, la société la freine-t-elle en dressant devant elle deux obstacles : un obstacle juridique (le contrat) et un obstacle moral (la loyauté). Le contrat est un frein à l'exercice de la liberté puisqu'il fixe les conditions et la durée d'un accord entre deux personnes ou deux entités. La loyauté en est le pendant éthique, qui interdit, moralement, de trahir celui avec qui on vient de s'engager, par une promesse ou un serment.

Aujourd'hui, sous la pression tyrannique de la demande de liberté, ces deux obstacles commencent à s'affaiblir : la durée des contrats est de plus en plus brève, qu'il s'agisse des contrats de travail ou de logement ; et même de contrat sentimental. Et la loyauté est de plus en plus ressentie comme un obstacle à l'exercice du libre arbitre.

Aussi, au total, de plus en plus de gens se conduisent, dans les entreprises, comme des mercenaires déloyaux, prêts à changer d'emploi dès que les conditions dans une autre entreprise apparaissent meilleures. De même, ils sont prêts à rompre un lien affectif dès que les conditions d'un autre partenariat sentimental ou sexuel leur semblent plus attractives.

 

LA FIN DE LA LOYAUTÉ

Plus encore, au-delà de la loyauté à l'égard de ses partenaires les plus directs, disparaît la loyauté à l'égard de ses concitoyens, comme on le voit avec le manque de respect pour le paiement de l'impôt, ou pour la propreté des bâtiments publics ; et pire encore, s'efface la loyauté la plus importante, en même temps que la plus abstraite : la loyauté à l'égard des générations futures, dont on ne finance pas les retraites, dont on détruit l'environnement, et à qui on s'apprête à laisser des dettes abyssales.

Aucune organisation ne peut fonctionner sans un minimum de loyauté entre ses membres : Imaginer une société, une entreprise, une famille, composée de mercenaires déloyaux capables de tout quitter pour gagner un peu plus, pour obtenir un meilleur statut, ou une meilleure situation sexuelle ou sentimentale. Imaginer plus encore ce qui pourrait se passer, ce qui se passera, quand les intelligences artificielles ne seront plus loyales à leurs créateurs. Aucune famille, aucune entreprise, aucune nation, aucune civilisation ne pourra survivre. C'est même la plus grande leçon de l'histoire : pas de vie sans loyauté.

CONCLUSION

Il est urgent de revenir, par le droit et la morale, à ce principe si ancien de la chevalerie qui avait, sans aucun doute, sa raison d'être.

Pour notre conclusion que nous voudrions partager avec vous c’est que  parfois il est sage de lire ou écouter ceux qui ont le don d’exprimer l’origine du mal-être même si cela peut faire mal.

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8 mai 2023 1 08 /05 /mai /2023 11:06
L'OEUVRE ADMIRABLE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL AUX SABLES D'OLONNE

L'OEUVRE ADMIRABLE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL AUX SABLES D'OLONNE

 

 

 

 

LÉGALISTES, LA MUNICIPALITÉ DES SABLES D'OLONNE, SON CLERGÉ ET LES SABLAIS PRÉPARENT LE DÉBOULONNAGE DE LA SPLENDIDE STATUE DE L'ARCHANGE SAINT-MICHEL

 

Il faut remercier la Fédération de Vendée de la Libre Pensée pour les très importantes  retombées médiatiques locales et nationales de sa démarche liberticide pour le déboulonnage de la statue de l'Archange Saint_Michel sur le parvis de l'Église Saint-Michel,  près de la rue Saint-Michel dans le quartier Saint- Michel où  était implantée l'École Saint-Michel.

En fin de compte, si l'intolérance et l'entêtement au nom d'un principe incontesté de la Fédération de la Libre Pensée a gagné la mesquine voire très contestable bataille juridique du déboulonnage de la statue de l'Archange Saint-Michel aux Sables d'Olonne, elle a surtout ainsi perdu la guerre et l'honneur.

D'abord, parce que les médias se sont emparés du sujet en fin 2021 et que les échos d'une affaire dont nous n'aurions jamais rien su ni dit ont fait beaucoup de bien aux défenseurs de la liberté des collectivités locales qui ont quand même le droit de déposer une œuvre d'art sur le domaine communal sans que cela remette en cause la loi de 1905 sur la séparation de l'Église et de l'État !

En 2023, s’instaure en France pour certains le droit de casser, piller, incendier, blesser...et pas encore le droit pour des élus locaux de décider du lieu d'implantation d’une œuvre d'art sur le domaine public communal  !

Ensuite, parce que la votation de 2022 à la question « Souhaitez-vous que la statue Saint Michel reste devant l'église Saint Michel ? » les sablais ont donné incontestablement une réponse OUI à la question posée.

La "Libre Pensée" a donc perdu démocratiquement et incontestablement sa bataille et serait malvenue d'aller à l'encontre de la démocratique Vox Populi. Ce n'est pas une non-réponse du Conseil d'État (refus de statuer) qui peut contredire la force de l'expression de la volonté populaire.

Avant de poursuivre ses combats surannés, désuets et liberticides contre la libre expression artistique, la dite Libre Pensée devrait méditer la sentence du Cid (Pierre Corneille) : "À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire."

Il y a tant d'autres combats plus importants à mener au nom de la liberté et de la solidarité.

 

LA REVANCHE SILENCIEUSE : L'ÉGLISE SAINT MICHEL EST DEVENUE LUMINEUSE !

La très récente restauration de l'intérieur de l'Église Saint Michel est maintenant illustrée par la belle mise en lumière de son intérieur (voir photo ci-dessous) : c'est une réponse digne, discrète à la provocation de la mal nommée Libre Pensée.

Mais, l’erreur est humaine et persévérer dans l'erreur est diabolique...et c'est pour cela qu'il faut justement un Archange Saint Michel pour terrasser ce qui est diabolique.

Cette Église Saint Michel créée en 1909 était sombre, triste...elle réapparait aujourd’hui lumineuse, accueillante.

Le mauvais procès fait sur l’emplacement contesté de l’œuvre qui porte le nom de "Statue Saint Michel Archange" nous remémore la terrible phrase de la révolutionnaire Madame Manon ROLAND qui avait épousé la cause de la Révolution.

Traumatisée par l'instauration de la Terreur, elle eut le courage de s'opposer à Robespierre. La "Libre" Pensée ferait bien, comme d'autres institutions, de méditer ses dernières paroles.

Arrêtée, jugée et exécutée comme conspiratrice le 8 novembre 1793, lors de sa montée à l'échafaud sur la Place de la Liberté,  (actuelle Place de la Concorde !) Madame ROLAND se serait écriée :

"Liberté, que de crimes on commet en ton nom !"

 

 

LES SABLES D'OLONNE : MERCI, SAINT-MICHEL ARCHANGE
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29 avril 2023 6 29 /04 /avril /2023 19:05
UN SYMBOLE DU TRAVAIL

UN SYMBOLE DU TRAVAIL

 

 

 

LE DROIT AU TRAVAIL : UN DROIT RÉCENT QUI NE PEUT ÊTRE CONTESTÉ

La liberté d’expression qui demeure une liberté fondamentale en France laisse la porte ouverte à tous les abus. Là, où il y a un droit,  il y a, bien sûr, un risque d’abus de droit.

Cela a permis à des égarés d’opposer le droit au travail au droit à la paresse qui se traduit par le droit de vivre aux crochets de la société et donc d’abuser scandaleusement de la solidarité nationale.

Des esprits chagrins et franchement tordus tentent donc de vouloir nous choquer en voulant nous imposer la négation du Droit au Travail ?

Cette tentative démesurément égoïste de la conception de la vie en société ne mérite que le mépris du silence.

En effet, c’est tiré un trait facilement et impunément sur le liant social indispensable et quasiment unanimement reconnu que constitue le travail.

Sous la Seconde République, en 1848, il y eut une grande bataille sur le Droit au Travail lors de l'élaboration de la Constitution qui a mis en exergue la valeur Travail dans 3 articles et a fait du Travail un des fondements de la République  et instituer le devoir de travailler. 

Article IV. - Elle ( La République) a pour principe la Liberté, l’Égalité et la Fraternité. Elle a pour base la Famille, le Travail, la Propriété, l'Ordre public.

Article VII. - Les citoyens doivent aimer la Patrie, servir la République, la défendre au prix de leur vie, participer aux charges de l'Etat en proportion de leur fortune ; ils doivent s'assurer, par le travail, des moyens d'existence, et, par la prévoyance, des ressources pour l'avenir ; ils doivent concourir au bien-être commun en s'entraidant fraternellement les uns les autres, et à l'ordre général en observant les lois morales et les lois écrites qui régissent la société, la famille et l'individu.

Article VIII. - La République doit protéger le citoyen dans sa personne, sa famille, sa religion, sa propriété, son travail, et mettre à la portée de chacun l'instruction indispensable à tous les hommes ; elle doit, par une assistance fraternelle, assurer l'existence des citoyens nécessiteux, soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille, des secours à ceux qui sont hors d'état de travailler. - En vue de l'accomplissement de tous ces devoirs, et pour la garantie de tous ces droits, l'Assemblée nationale, fidèle aux traditions des grandes Assemblées qui ont inauguré la Révolution française, décrète, ainsi qu'il suit, la Constitution de la République.

C'est le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 qui va sceller droit et devoir pour ce "droit au travail "

§ 5. Chacun a le devoir de travailler et le droit d'obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.

Ce droit fut repris dans la Constitution de 1958.

 

LA DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME DE 1948 CONSACRE MONDIALEMENT LE DROIT AU TRAVAIL

L’Article 23 de la Déclaration a fondé ce droit avec une volonté presque utopiste :

  1. Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.
  2. Tous ont droit, sans aucune discrimination, à un salaire égal pour un travail égal.
  3. Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale.
  4. Toute personne a le droit de fonder avec d'autres des syndicats et de s'affilier à des syndicats pour la défense de ses intérêts.

 

C'est cette longue démarche que nous honorerons avec respect ce 1er Mai 2023.

Bon week-end quand même!

 

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28 avril 2023 5 28 /04 /avril /2023 14:45
GABRIEL ATTAL, MINISTRE DES COMPTES PUBLICS, LORS DE SA DÉCLARATION

GABRIEL ATTAL, MINISTRE DES COMPTES PUBLICS, LORS DE SA DÉCLARATION

 

 

 

 

ANALYSE D’UNE DÉCLARATION INDIGNE ET INDÉCENTE DU MINISTRE GABRIEL ATTAL

Nous avons retranscrit quasiment in extenso la déclaration Vidéo publiée sur « alertesinfo » en date du 25 avril 2023.

Le Ministre de l'Action et des Comptes publics depuis 2022 est soumis à une obligation de réserve qui, en l’espèce, semble avoir été occultée par Monsieur Gabriel ATTAL.

 

 

EMPÊCHER UN MINISTRE DE CIRCULER SERAIT UNE ACTION VIOLENTE

Gabriel ATTAL, ex socialiste, est Ministre de l'Action et des Comptes publics depuis 2022 et il s’exprime publiquement ainsi :

Il y a de l’inquiétude chez beaucoup de français, de colère chez beaucoup de français...je pense...

 

LES MILITANTS, LES PERMANENTS SYNDICAUX AU PILORI

Il poursuit ainsi :

Après, je fais la part des choses, avec ce que font les militants d’ultra gauche, les permanents syndicaux qui ont des actions qui, parfois font des actions, que je considère comme violente.

Empêcher un ministre ou qui que ce soit de circuler, couper l’électricité dans un quartier ...parfois avec des dommages collatéraux comme un établissement de santé, je considère que c’est des actions qui n’ont plus leur place dans le débat public et dans...y compris dans un moment de tension.

 

CE SONT LES NANTIS QUI MANIFESTENT !

Moi, je fais la part des choses, d’ailleurs ceux qui peuvent se permettre qui ont le temps en pleine semaine, en pleine après-midi d’aller accueillir des ministres pendant 4 heures de 14 à 18 heures ... à priori, ce ne sont pas des français qui travaillent qui ont des difficultés au quotidien pour boucler leurs fins de mois .

C’est pour eux qu’on veut agir et c’est pour eux qu’on veut répondre

 

À PRIORI, POUR LE MINISTRE CEUX QUI VIENNENT MANIFESTER SONT DES PARESSEUX NANTIS

Le dialogue avec ce ministre ne devra pas être facile.

Cette déclaration nous choque énormément et nous vous disons pourquoi ?

 

Le Ministre dit et répète qu’il « fait la part des choses », c’est un comble : stigmatiser, comme il le fait, les représentants syndicaux, les braves et moins braves gens qui viennent  manifester parce qu’ils en ont ras le bol...fait désordre. C’est un manque de recul pour un Ministre.

 

C’est trop facile de jeter l’anathème aux manifestants qui viennent rencontrer un Ministre qui déambule dans une rue en pleine après-midi accompagné de personnalités…ce même ministre ferait mieux de se pencher sur son travail ; le budget, la dette catastrophique...

Faites ce que je dis mais ne faites pas ce que je fais !...que faisait le Ministre et son escorte dans la rue ?

 

UN MINISTRE DOIT RESPECTER LES REPRÉSENTANTS DES SYNDICATS : LE RÔLE INCONTOURNABLE DES SYNDICATS DE SALARIÉS

Un Ministre ne doit pas  stigmatiser les représentants des syndicats de salariés comme de présumés casseurs. Décrédibiliser par la calomnie les représentants des Syndicats de salariés est une erreur, une faute grave.

En effet, le Ministre devrait se souvenir que les représentants des syndicats de salariés lors de cette crise de la pseudo réforme des retraites, ont permis de canaliser la colère irrationnelle du peuple. Colère que d’ailleurs, il reconnait et accepte dans son propos.

Ces mêmes représentants des syndicats de salariés sont aujourd’hui à la tête des défilés et demain ce seront les mêmes qui seront assis autour la table pour entamer un dialogue nécessaire mais interrompu. Leur fonction sociale est ainsi faite ; un Ministre devrait le savoir.

 Dans un délégué syndical, il y a deux hommes...celui qui est à la tête du cortège contestataire et celui qui s’assied autour de la table des négociations avec la volonté d’aboutir dans les discussions ouvertes.

Nous vous livrons cette réflexion pour enrichir votre week-end.

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25 avril 2023 2 25 /04 /avril /2023 18:23
GILETS JAUNES : LES SYNDICATS... ABSENTS !  RETRAITES...PRÉSENTS

GILETS JAUNES : LES SYNDICATS... ABSENTS ! RETRAITES...PRÉSENTS

 

 

 

 

POURQUOI NOUS AVONS TOUT INTÉRÊT À AVOIR DES CORPS INTERMÉDIAIRES EN BONNE SANTÉ

 

Il était un temps où l’utopie pouvait encore faire rêver : le chef du village rassemblait ses concitoyens sur la place principale pour une assemblée du peuple qui allait prendre les grandes décisions, élire et réélire son chef, abolir l’esclavage...C’était le principe de la démocratie directe qui a pu aussi régir les nombreuses civilisations du type tribal.

Pour le monde occidental, c’est la démocratie athénienne qui est réputée être l’ancêtre des démocraties modernes : les décisions sont prises par le peuple et l’agora devient le centre politique de la cité. Mais le mode de démocratie athénienne a vite atteint ses limites avec la croissance d’Athènes. Naissent des structures institutionnelles qui éloignèrent des membres de la cité du pouvoir de décision : entre le peuple et ses dirigeants se sont installées les structures qui mirent fin à la démocratie directe.

Ces « structures intermédiaires » se révèlent incontournables dans les vraies démocraties modernes : partis politiques, syndicats, associations, organisations professionnelles...qu’on nomme les CORPS INTERMÉDIAIRES.

Voir :

https://www.olonnes.com/2023/01/la-participation-au-pouvoir-des-corps-intermediaires-syndicats-et-partis-politiques-necessaire-et-incontournable.html

 

LA CRISE DE LA RÉFORME DES RETRAITES RÉVÈLE LE RÔLE INCONTOURNABLE DES CORPS INTERMÉDIAIRES : PARTIS ET SYNDICATS

 

GILETS JAUNES ET CORPS INTERMÉDIAIRES : DEUX MONDES SÉPARÉS

Sous le premier mandat 2017/2022 du Président MACRON, il y eut une tentative du peuple français de ses faire entendre directement : ce fut la crise des Gilets Jaunes.

Nous étions dans une situation prérévolutionnaire improvisée, spontanée :

  • Le nouveau pouvoir était concentré dans les mains du Président MACRON,
  • La campagne électorale avait révélé la soif de changement du peuple français qui ne croyait plus les partis et les hommes politiques, les syndicats représentatifs ne faisaient plus recette...

Il ne restait plus face à face que le Président face au peuple manifestant mais inorganisé.

Or, le Président MACRON a pu désamorcer la crise parce que, justement, Gilets Jaunes et Syndicats se sont ignorés…les revendications des Gilets jaunes étaient, au départ, fiscales puis elles sont devenues plus politiques...donc pas de place pour l’action Syndicale

La situation serait devenue révolutionnaire si les extrémistes avaient réussi à se structurer et à phagocyter le mouvement populaire.

 

CRISE DE LA RÉFORME DES RETRAITES : RÔLE PRIMORDIAL DES SYNDICATS

Les Syndicats ont bien appris la leçon des gilets jaunes et ils ont donc pris les commandes de la contestation dans la rue et maintenu la pression.

Le thème des retraités était bien dans leurs compétences et ils avant des troupes à mobiliser.

Le système de gestion centralisé du Président MACRON est contesté dans l’opinion. Mal élu et affaibli, il a du plomb dans l’aile dans l’opinion qui a refusé au Président en 2022 une majorité au Parlement.

Les conditions sont donc remplies pour que les syndicats « corps intermédiaires » puissent agir avec le soutien populaire.

Il fait aussi mettre à l’actif des syndicats le fait qu’ils ont été efficaces dans la mobilisation, et exemplaires dans le maintien de l’ordre lors des rassemblements

La conclusion est claire : les Syndicats en France demeurent incontournables. Ils ont un rôle à jouer, des responsabilités à assumer. C'est un réel contre-pouvoir.

Le président MACRON a beaucoup agi pour mettre de côté syndicats, ordres, partis politiques...avec ses comités consultatifs conventions citoyennes sur le climat, sur la réforme de l’État...

Les Syndicats viennent de lui rappeler que même s’ils ne sont plus très représentatifs ils sont incontournables et savent être responsables et proposant.

 

Le Président MACRON est donc aujourd'hui condamné à devoir admettre qu’il ne peut continuer à ignorer les corps intermédiaires comme les syndicats : le mépris là aussi n’est plus de mise. C'est même reconnu par la Constitution.

 

 

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23 avril 2023 7 23 /04 /avril /2023 18:27
LA COLÈRE GRONDE CONTRE L'ÉLYSÉE

LA COLÈRE GRONDE CONTRE L'ÉLYSÉE

 

 

DOUCE FRANCE !

Indéniablement, la France est d'une part, un des plus beaux pays du monde et d'autre part, c'est un pays où il fait encore bon vivre.

Les français ont en plus de leurs vieilles pierres, leur culture, leur histoire, leur réputation d'un peuple travailleur, astucieux, chercheur...Les Universités françaises ont répandu dans le monde entier leur savoir, le fruit de leurs expériences : le progrès et l'épanouissement de l'homme est ou était français. 

Il règne encore en France un  climat où les libertés peuvent prospérer. Nombre de pays nous envient ce droit protecteur des libertés collectives et individuelles même si parfois ce droit est écorché.

Pourtant, il suffit d'une loi mal ficelée et mal présentée pour faire descendre dans les rues de la douce France un million de personnes parmi les quelles une poignée de trublions violents sans vergogne et sans risques qui peuvent casser, brûler voire piller.

Mais la France montre qu'elle sait donc cependant encore se mettre en colère.

 

CE N'EST PAS LA FIXATION DE L’ÂGE LÉGAL DU DÉPART EN RETRAITE QUI AURAIT PU FAIRE SORTIR DES MILLIONS DE FRANÇAIS DANS LES RUES DES VILLES PETITES ET GRANDES 

Ne nous dites pas que c'est la "loi de financement rectificative de la Sécurité Sociale pour 2023"qui a mis le feu aux poudres.

Certes, dans cette cette loi, fut glissée abusivement l'idée fixe à géométrie variable du Président de la République : faire passer l'âge légal du départ à la retraite de 62 à 64 ans.

D'ailleurs il ne faut être juriste patenté ou fin analyste exégète des textes de loi et autres jurisprudences pour lire l'embarras des 9 sages du Conseil Constitutionnel qui fondent leur raisonnement et leur décision non sur des textes mais sur leur intime conviction politique.

Voilà donc la longue phrase de nos 9 presque sages qui sauve le texte de loi du Président MACRON :

"Le Conseil constitutionnel a jugé que la circonstance que plusieurs procédures prévues par la Constitution et par les règlements des assemblées aient été utilisées cumulativement pour accélérer l’examen de la loi déférée, n’est pas à elle seule de nature à rendre inconstitutionnel l’ensemble de la procédure législative ayant conduit à l’adoption de cette loi. En l’espèce, si l’utilisation combinée des procédures mises en œuvre a revêtu un caractère inhabituel, en réponse aux conditions du débat, elle n’a pas eu pour effet de rendre la procédure législative contraire à la Constitution."

Désolé, pour les Sages, mais un texte c'est un texte...ou une procédure est régulière et conforme ou une procédure est irrégulière? Or, le Conseil Constitutionnel reconnaît la faute et il la déclare mais en l'espèce il la déclare ... mais faute vénielle...pour éviter au Président de la République et à sa première Ministre l'affront d'un rejet total de la loi et la pagaille...que voulait peut-être le Président de la République ?

La procédure fixée par la Constitution ou elle est respectée ou elle ne l'est pas...et si elle ne l'est pas...c'est tout le texte concerné qui doit être invalidé avec retour à la case départ...comme cela doit être fait pour les parties invalidées où là, bizarrement, les mêmes causes (la procédure) ne produisent pas les mêmes effets l'invalidation du texte.

Ce n'est plus du droit, c'est de la politique indignes de "magistrats".

Mais ce n'est pas l'essentiel. Tout cela est passé au-dessus de la tête des citoyens qui ont manifesté.

Ce n'est pas la première loi dont l'initiative est présidentielle qui se fait retoquer  par le Conseil Constitiutionnel ou par le Conseil d'État dans ses avis. Mais ce n'est cependant pas glorieux que le garant de la Constitution le ¨résident de la République soit le Premier à la violer.

 

L'ESSENTIEL : LE MÉCONTENTEMENT DES FRANÇAIS

La liste est longue, longue et l'addition des mécontentements est lourde :

- Pour son premier mandat :  Il avait tout promis, il n'a rien tenu....du coup...pour se faire réélire...il n'a rien proposé ni bilan ni projet de mandature...si ce n'est "tout sauf le Front National !" Ce n'est pas ainsi qu'on mène au combat un peuple à la peine,

- Les français commencent à avoir peur de la dette...qui va payer et rembourser demain ?

- La baisse du pouvoir d'achat et les riches sont toujours plus riches ; cela est visible, sensible pour des millions de français et entré dans les têtes même si prendre aux riches n'a jamais enrichi les pauvres, l'injustice est ressentie plus fortement en période de crise,  

- la moralisation de la vie publique...plus personne n'y croit,

- toujours plus de dépenses publiques et toujours moins de services publics de qualité : santé en décadence, éducation rétrogradée, armée sans munitions, insécurité et violence s'installent... 

- l'énergie : la facture pour le particulier monte, monte et la température chez lui baisse, baisse,

- les voyages présidentiels se terminent en cumul d'échecs : Afrique du Nord, Chine, Afrique Centrale...et les voyages coûtent cher !

Aujourd'hui, la chronique du bonheur en France est très dure à écrire parce que les sources de mécontentements des français deviennent des fleuves et que le Président MACRON a fait le choix de tout décider lui-même, il en résulte qu'il cristallise sur sa personne les colères des citoyens, il ne résout pas les vrais problèmes qu'il cache au bon peuple. Cela se retourne contre lui, bien sûr.

N'oublions jamais que les déficits des régimes sociaux en France : retraite, santé...sont financés par de la dette et qu'aucun gouvernement, aucun peuple ne peut accepter de voir son pays menacé de faillite et perdre ainsi toute indépendance...dans cette hypothèse très réelle...les français ne se poseront plus la question des 62 ou 64 ans car ce sera l'heure des sacrifices imposés à la France par les pays étrangers et par la finance mondiale !

 

C'est vrai, la France est un beau pays..mais  c'est un beau pays fait de mécontents viscéralement qui ont paradoxalement réélu minoritairement un Président en qui ils n'ont déjà plus confiance.

Pourquoi le Président MACRON n'a pas dit la vérité aux français sur l'état de la France qui l'oblige à faire un geste sur les retraites? C'est une autre forme de son mépris pour le peuple qui ne pourrait pas comprendre qu'il faudra un jour que la France ne vive plus au-dessus de ses mayens !

Le terrain est désormais propice à tous les dérapages et ce n'est pas le dernier discours Présidentiel qui a pu calmer les esprits...le 1er mai, le 14 juillet... ce sera les "100 jours" ...et les 100 jours ont conduit Napoléon à Waterloo pourtant encore l'Empereur était encore adulé par son peuple !

 

Lien programme Emmanuel MACRON 2017

https://www.olonnes.com/le-programme-du-candidat-macron-avril-2017-faites-vous-meme-le-bilan.html

 

 

LE PROGRAMME MACRON 2017 : ÉDIFIANT ! Lien avec le programme : https://www.olonnes.com/le-programme-du-candidat-macron-avril-2017-faites-vous-meme-le-bilan.html

LE PROGRAMME MACRON 2017 : ÉDIFIANT ! Lien avec le programme : https://www.olonnes.com/le-programme-du-candidat-macron-avril-2017-faites-vous-meme-le-bilan.html

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19 avril 2023 3 19 /04 /avril /2023 14:36
ELLE A FIÈRE ALLURE, MAIS LA MENACE PÈSE...

ELLE A FIÈRE ALLURE, MAIS LA MENACE PÈSE...

 

 

 

AUX SABLES D’OLONNE, SUR LA PLACE DE L’ÉGLISE SAINT MICHEL, DANS LA QUARTIER SAINT MICHEL, LA STATUE DE SAINT MICHEL ARCHANGE ATTEND PATIEMMENT L’EXÉCUTION DES DÉCISIONS DE JUSTICE LA CONCERNANT

 

Le Tribunal Administratif de Nantes par jugement en date 16 décembre 2021 a décidé de faire droit à la demande de La Fédération Vendéenne de la Libre Pensée et a annulé la décision du maire des Sables d’Olonne qui refusait que la statue de l’archange Saint-Michel soit retirée du domaine public et a donc enjoint à la commune des Sables d’Olonne de retirer du domaine public communal la statue dans un délai de six mois à compter de la notification du jugement.

Cette statue est installée sur la parcelle cadastrée AL n°1258 (parvis de l’Église Saint Michel). 

La commune des Sables d’Olonne a fait appel de ce jugement.

La ville des Sables d’Olonne a interjeté appel de cette décision et saisi la Cour Administrative d’Appel de Nantes.

Celle-ci, par arrêt en date du 16 septembre 2022, a confirmé le jugement du Tribunal Administratif de Nantes et donc rejeté l’appel fait par la Ville des Sables d’Olonne.

Cette décision est devenue définitive. La statue devra être « déboulonnée » au grand dam de nombreux sablais qui se sont prononcés positivement à la votation de fin février 2022 sur la question :

« « SOUHAITEZ-VOUS QUE LA STATUE DE SAINT MICHEL RESTE DEVANT L’’ÉGLISE SAINT MICHEL ? » 

La Ville des Sables d’Olonne s’est pourvue en cassation devant le Conseil d’État qui, le 7 avril 2023, a signifié au maire de la ville des Sables d’Olonne le rejet pur et simple de sa demande de pourvoi.

 

LE POURVOI EN CASSATION DEVANT LE CONSEIL D’ÉTAT : UNE PROCÉDURE COUPERET. LE CONSEIL D’ÉTAT REFUSE DE SE PRONONCER ET IL EST POURTANT COMPÉTENT POUR SE SAISIR DE L'AFFAIRE !

En effet, le pourvoi en cassation devant le Conseil d’État "peut" faire l’objet d’une « procédure préalable d’admission » qui peut déboucher sur une décision de non-admission motivée mais qui met fin au procès sans que les parties puissent être entendues.

Le recours en cassation d'une décision de la compétence des tribunaux administratifs permet donc de contester une décision rendue en appel (ou une décision rendue en première instance qui ne peut pas faire l'objet d'appel). Le Conseil d’État, juge de la cassation, ne peut pas rejuger l'affaire puisque celle-ci est devenue définitive.

Cependant, il doit et certainement il doit seulement vérifier si la loi a été bien appliquée par la juridiction qui a déjà jugé. Mais il dispose d'un super pouvoir discrétionnaire.

D’où, la décision annoncée publiquement par le Maire Yannick MOREAU, le 7 avril 2023, (le vendredi saint !) : le Conseil d’État se défausse de sa responsabilité et refuse le pourvoi !

Donc, contrairement à ce qui a été dit et écrit dans divers commentaires il n’y a absolument pas eu de nouvelle décision du Conseil d’État, le 7 avril 2023, sauf celle de décider que le Conseil d’État refusait de se prononcer !

 

À SUIVRE :

UNE PROCÉDURE D’EXCEPTION D’UNE JURIDICTION D’EXCEPTION

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18 avril 2023 2 18 /04 /avril /2023 14:46
SANDRINE ROUSSEAU, DÉPUTÉE

SANDRINE ROUSSEAU, DÉPUTÉE

 

 

LETTRE OUVERTE À MADAME SANDRINE ROUSSEAU

 

Nous ne pouvons laisser passer cette déclaration scandaleuse et mensongère de Sandrine ROUSSEAU (Europe Écologie Les Verts).

Quand on prétend vouloir jouer un rôle politique au niveau de la France et faire la morale aux français il y a des choses que l’on doit pas faire ou dire... tu ne « mentiras pas »...sinon, non seulement l’auteur de ce type de vilénie perd toute crédibilité mais pire, elle salit le mouvement qu’elle s’est engagée à servir.

Sandrine ROUSSEAU a écrit :

« Je ne veux plus vivre dans un pays où quatre vieux mâles ont le pouvoir de retirer deux ans de vie à 67 millions de personnes. »

 

D'abord, rien ne vous oblige à rester en France, Madame la Députée !

Ensuite, vos compatriotes apprécieront le fait que vous ne voulez plus vivre en France alors que vous venez de briguer et obtenir un mandat qui vous fait l'élue du peuple français.

Vous ne respectez donc même pas le vote de ceux qui vous ont élue et le mandat qu'ils vous ont donné !

Curieuse manière de respecter vos concitoyens et particulièrement vos électeurs!

 

UN MENSONGE GROSSIER

Dire que partir à 64 ans à la retraite au lieu de 62, c’est retirer deux ans de vie à 67 millions de personnes est une injure pour les millions de salariés qui ont encore l’amour de leur métier qui « produisent » pour que Madame Sandrine ROUSSEAU puisse vivre largement de ses fonctions ...

Sandrine ROUSSEAU qui n’a jamais occupé un poste de travail productif est mal placée pour s’exprimer ainsi !...députée, vous êtes, Madame, mais ce n’est pas un métier c’est une fonction, professeur, vous êtes  ? mais où sont vos élèves ou étudiants ???

Il y a des millions de salariés qui s’épanouissent dans leur travail et beaucoup qui le quittent avec amertume.

Pire : écoutez, madame la députée, la complainte bouleversante des salariés obligés de quitter leur emploi suite à la fermeture de leur entreprise après 20, 30, 40 ans de maison : ils ou elles l’aimaient leur entreprise, leur travail, leurs collègues, et ils ou elles le disent !

Gardez donc votre « droit à la paresse » pour vous...des gens qui vous sont proches ont certainement besoin de vous.

Ensuite, Madame Sandrine ROUSSEAU devrait savoir si elle connaissait son dossier qu’aujourd’hui l’âge moyen de départ effectif à la retraite est officiellement (chiffre CNAV) à 62,8 ans (avec les départs anticipés) et de à 63,5 ans (sans les départs anticipés). Cet âge moyen ne cesse de croître.

 

Secundo : un salarié peut aujourd’hui partir à l’âge légal de 62 ans (bientôt 64). Toutefois, un départ avant (sous conditions) ou après l’âge légal peut toujours aussi s’envisager...c’est la liberté du salarié !

Tertio, nous apportons aussi les précisons suivantes importantes :

Le salarié peut toujours partir avant l’âge légal dans plusieurs situations :

- S’il a opté pour une retraite progressive : le salarié peut prendre qu’une partie de sa retraite pour pouvoir continuer à travailler partiellement et continuer à cotiser pour augmenter votre retraite définitive.

- S’il est éligible à un départ anticipé à taux plein (sans décote). Il peut, par exemple, s’agir d’un départ anticipé pour :

  • Carrière longue,
  • Situation de handicap,
  • S’il est victime d’un accident du travail ou d'une maladie professionnelle

Ajoutons à cela l’application des normes « pénibilité » qui permettent un départ anticipé et tous les cas des "régimes spéciaux "et des conventions collectives qui prévoient des départs anticipés !

Décidément, Madame Sandrine ROUSSEAU écrit n’importe quoi...pour qu’on parle d’elle. D’ailleurs, nous sommes tombés dans le panneau puisque nous répondons à votre provocation.

 

NON, MADAME ROUSSEAU, LE REPORT DE L'ÂGE LÉGAL DU DÉPART À LA RETRAITE DE 62 À 64 ANS N’EST LA SOUSTRACTION DE DEUX ANS DE VIE À 67 MILLIONS DE PERSONNES !

Le comportement de l’élue Sandrine ROUSSEAU ne répond donc pas, dans ses déclarations, au modèle d’exemplarité que le citoyen demande pour une moralisation de la vie publique et citoyenne.

Madame Sandrine ROUSSEAU pensez donc à Napoléon et méditez ce qu’il a dit « Le mensonge n'est bon à rien, puisqu'il ne trompe qu'une fois. »

 

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