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3 octobre 2014 5 03 /10 /octobre /2014 17:14
IMPOTS LOCAUX : la stabilité à Château d'Olonne

 

Voici le communiqué de Joël MERCIER, maire de Château d'Olonne, en VENDEE

 

"Pour notre commune, et pour toute la durée du mandat, j'ai pris un double engagement lors de la campagne électorale de ce printemps dernier :

- maintenir un programme d'investissement élevé, à hauteur de 7 000 000 € par an en moyenne ; nous pouvons y parvenir car nous bénéficions d'un avantage très conséquent : le très faible endettement de la commune, 490 € par habitant ;

- ne pas augmenter les taux de fiscalité de la commune, taux qui déjà ne bougent plus depuis 2012 (14,02 % pour la taxe d'habitation, 17,88 % pour la taxe foncière sur le bâti) "

 

Une bonne nouvelle qu'il faut saluer mais tempérer.

 

En effet, ce n'est pas pour cela que votre taxe d'Habitation et votre taxe Foncière ne vont pas augmenter.

 

Il se peut et, en général, c'est tous les ans le cas :

- 1) que les bases qui permettent le calcul de ces impôts augmentent tous les ans...(c'est l'Etat qui décide) de cette hausse. Le maire ne parle de blocage que pour les taux dont les communes ont la maîtrise, Cela fait que vos impôts locaux vont encore augmenter.

- 2) toute amélioration importante de votre habitation va se répercuter sur vos bases,

- 3) la situation de famille peut évoluer.

Donc il est probable que si un foyer voit ses impôts augmenter ce soit suite à une ou plusieurs  causes évoquées ci-dessus.

 

Enfin, Il ya a aussi comme autre cause d'augmentation (externe à la commune). : 

1) Les autres collectivités : Département, Intercommunalité,(Communauté de Communes des Olonnes pour ce qui concerne le Pays d'Olonne ),

2) et les autres taxes qui figurent sur vos avis : Taxe d'équipement, Taxe ordures ménagères  (qui augmente tous les ans pour un service qui se réduit !), taxe Télé. Ces impôts et taxes  ...ont tendance à toujours augmenter .

 

Vous comprendez mieux ainsi pourquoi vos taxes d'habitation et votre taxe foncière montent, montent...toujours...sauf dans quelques communes de France qui arrivent  effectivement non pas simplement à stabiliser les taux (comme à Château d'Olonne) mais à les baisser grâce à une gestion plus rigoureuse.

Dans ce cas les maires s'engagent à maintenir les services et prestations de leur commune au même niveau...et ils ne doivent pas s'engager  dans la construction d'une mairie nouvelle si cela n'est pas jugé prioritaire : gouverner c'est choisir.

 

 

 

 

 .

 

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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 21:05
Faux chômeurs, faux demandeurs d'emploi

POLE EMPLOI : le Ministre du Travail, Monsieur François REBSAMEN, soulève une polémique inutile sur un sujet sensible

 

Les contrôles de Pôle Emploi sur les « faux chômeurs » (chômeurs qui ne recherchent pas vraiment un emploi). doivent être renforcés.

 

Suite à cette maladresse verbale du Ministre et à son exploitation médiatique outrancière il est nécessaire de faire des mises au point :

- Toute législation sociale qui génère des droits génère des abus, des truandages : fraudes aux absences pour maladie, fraudes pour les remboursements de frais et actes médicaux, fraudes au RSA, fraudes en matière de formation professionnelle, fraudes sur les allocations Pôle Emploi ex ASSEDIC…il va y avoir les règles sur la pénibilité il y aura des fraudes…sauf que quand il y a des estimations sur ces fraudes…elles ne concernent que 1 à 5 % des enjeux,

 

- Monsieur François REBSAMEN …a-t-il eu l’avantage et surtout la douleur de connaître le statut de « demandeur d’emploi » ? Il paraît que NON. Qu'il sache que des déclarations ministérielles ne créent pas d’emplois mais qu'elles peuvent ajouter inutilement de la douleur à la douleur qu'endure celui qui se trouve brutalement privé d'emploi. Le chômage casse l'homme ou la femme qui le subit.

 

- Les responsables des syndicats et les politiciens qui crient « au scandale !» connaissent-ils eux bien le fonctionnement de l’accompagnement des demandeurs d’emploi, les moyens mis pour ce faire, le statut du personnel chargé du suivi des chômeurs qu’il soit salarié de Pôle Emploi ou de sociétés à qui cette tâche est déléguée ?

 

- Mais surtout savent-ils tous ceux qui parlent que ce sont des empilements de législation et d’imposition, de taxation, normes et toutes autres contraintes techniques, fiscales, sociales.. qui ont tué l’emploi productif et l’emploi tout court, S’il n’y a pas de création d’emplois, s’il n’y a pas de croissance économique  il n’y aura pas de baisse du chômage.

Tant que l’État et toutes ses annexes et les collectivités locales ne se réformeront pas il n’y aura pas de confiance, l’économie continuera à se dégrader…et le chômage croîtra.

 

- Paradoxe : on pourrait se poser la question : un Ministre de l’Emploi et du Travail est-ce nécessaire ? Ne faudrait-il pas deux, trois… ministres des Finances, de l’Économie et de la ré industrialisation et supprimer le ministère du travail ? Certes, supprimer le poste de ministre du Travail fera un chômeur de plus... même pas, car il retrouvera une bonne place à la mairie de DIJON et dans quelques autres institutions, son salaire sera maintenu…

 

Retirons cette hypothèse ; le sujet est trop douloureux, sérieux pour qu’on puisse en rire. Le problème n’est pas celui de la chasse aux faux chômeurs il est bien celui du rétablissement des conditions de reprise de la croissance qui, seule, peut créer de l’emploi.

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22 août 2014 5 22 /08 /août /2014 23:15
FRANCE EN FAILLITE : solutions proposées par Jacques  ATTALI

On peut reprocher nombre de choses à Jacques ATTALI.

Mais on ne peut lui reprocher un certain réalisme (aujourd’hui) et admettre qu’il ne manque pas d’idées qui mériteraient que les élus y prêtent une attention particulière pour élever le débat et agir …voire sauver la France de la Faillite !

 

 

Retenons

1) Un déficit sans réformes de croissance serait catastrophique,

2) TVA : à augmenter de 3% immédiatement,

3) sauver le bâtiment en exonérant de droit de succession tous les investissements,

4) 1er emploi : en dessous du SMIC avec compensation pour le salarié qui toucherait au moins le SMIC sur les fonds de la formation professionnelle

5) investissement dans les PME : exonérées de droits

6) réforme territoriale

 

Ajoutons une autre proposition plus "grave" : constatant le divorce qui existe entre gouvernant et gouvernés, la paralysie qui en découle pour la gestion de la FRANCE ne faut-il pas envisager d'offrir aux français le droit de s'exprimer directement ...en retournant aux urnes ?

Ce serait une façon de débattre de la crise " en FRANCE" et aux français de permettre un renouvellement de leur personnel politique en appliquant la règle du non cumul des mandats dans le temps...inéligibilité après deux mandats.

Peut-être une procédure pour une réforme profonde de la gouvernance de la FRANCE et éviter le péril d'une crise grave type révolution.

 

Interview accordée à la Dépêche (extrait)

 

"Le 15 octobre est le dernier délai pour la présentation par les États de la zone euro de leurs projets de budget 2015 ? Quels conseils donner à François Hollande ? Quelles sont à vos yeux les réformes les plus urgentes ?

 

En 2008, je les ai formulées pour la plupart dans les 316 propositions de la Commission que je n'ai fait que présider.

Nous les avons répétées dans un deuxième rapport un an plus tard. Je les ai moi-même reprises au moment où François Hollande a été élu. Je proposais alors une série de réformes. Tout cela n'a, malheureusement, pas été mis en œuvre, ni en 2009, ni en 2010, ni en 2012, mais cela reste encore valable.

Le budget 2015 ne doit pas être regardé simplement en termes de montant du déficit. Le montant du déficit toléré serait d'autant plus grand qu'il s'accompagnerait en même temps de réformes fortes.

Un déficit sans réformes de croissance serait catastrophique.

Pour moi, les mesures les plus urgentes passent déjà par une réforme du logement.

1/ Aujourd'hui, la bonne réforme serait d'exonérer les droits de succession dans les deux prochaines années pour tout investissement dans un logement neuf, personnel ou locatif. Cela aurait un effet très important pour l'investissement parce que tout le monde voudrait se porter acquéreur d'un logement.

2/ Le deuxième volet des réformes doit être la formation professionnelle. Nous gaspillons une part très importante des 32 milliards qui lui sont consacrés. Je propose que le tout premier emploi soit payé au minimum au SMIC, en faisant en sorte que 20 % du salaire des premiers emplois proviennent de l'argent de la formation professionnelle. Je pars du principe qu'un premier emploi, c'est de la formation. Il serait donc légitime que la Formation apporte sa contribution. Et cela permettrait aux entreprises de payer le salaire 20 % de moins que le SMIC.

3/ Pour ce qui est de la relance de l'investissement, je ferais la même remarque que pour le logement : tout investissement dans les deux prochaines années dans une entreprise non cotée devrait être exonérée des droits de succession.

4/ Quatrième point : la réforme administrative. Je suis pour la suppression des grands départements, pas des petits départements ruraux, tout comme je préconise toute une série d'autres simplifications administratives.

5/ Dernier point : l'Europe. Il faut nous mettre d'accord avec les autres pays européens, au moins avec les Allemands, pour relancer massivement les investissements dans le domaine des réseaux entre la France et l'Allemagne en matière d'énergie et de numérique notamment. Ce que nous avions proposé depuis des années reste toujours valable. Qu'on ne nous dise pas que nous avons tout essayé, car nous n'avons essayé que des ersatz au lieu de nous attaquer aux vraies réformes. Quand le Front national dit «on a tout tenté, il faut faire autre chose», c'est faux, puisqu'on n'a justement pas entrepris de réformes courageuses.

La France n'atteindra pas les 3 % de déficit l'an prochain et doit plaider pour un nouveau délai auprès de la Commission européenne.

François Hollande peut-il espérer encore être entendu ?

Ce sera très difficile pour elle de faire moins de 5 % en 2014, et même 4 % en 2015.

François Hollande peut espérer être entendu s'il engage auparavant de vraies réformes de structures, comme celles que je viens de souligner.

Ces mesures viendraient compenser l'existence de ce déficit en créant les conditions pour que ce même déficit soit réduit par la croissance. Tout ce qui ne sera pas décidé avant la fin septembre, ne pourra plus l'être pendant le mandat de François Hollande puisqu'après début octobre, le budget sera envoyé au Parlement. Cela nous amène à fin 2015.

Et, en 2016, personne ne peut penser qu'on entreprendra des réformes à un an des présidentielles.

Il reste donc un mois à ce pouvoir politique pour mettre ces mesures en œuvre.

Mais, il ne faut pas que les Français attendent tout du pouvoir politique. Par exemple, il ne faut pas se contenter de demander ou de chercher un emploi. Il faut créer un emploi en créant son entreprise. Et c'est à la portée de tout le monde.

 

On peut retrouver les chemins de la croissance ?

Oui, à condition, une fois de plus, qu'on n'attende pas tout d'un pouvoir politique, mais qu'on se prenne en main, les uns et les autres. "

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18 août 2014 1 18 /08 /août /2014 21:15
LA FRANCE DE 2040,  NOTES DE LECTURE : LETTRES BENINOISES de Nicolas BAVEREZ

PAMPHLET-FICTION

 

À ne pas lire quant à l’approche de la rentrée on a déjà le cafard sauf si …

 

Et pourtant sur ce pamphlet fiction sur l’état de la France qui nous projette en 2040 il y aurait tant à dire.

Par moment, on a l’impression de vivre effectivement le cauchemar d’une France qui continue sa descente aux Enfers.

Elle est aux mains de politiciens qui ne voient rien, n’entendent rien, partent en vacances comme  « monsieur tout le monde » qui en a les moyens en espérant que les choses s’arrangeront spontanément alorsque tout va mal : la dette, la sécurité, l'industrie...

Cet extrait illustre malheureusement ce sombre avenir qui nous menace peut-être.

Il permet aussi de décrypter le présent.

« Peut-on légitimement assurer la survie d’une nation où il est hautement condamnable de s’enrichir par le travail et l’épargne mais légitime de s’enrichir par le sport, le jeu et le divertissement, voire par la délinquance et le crime.

L’explication réside peut-être dans l’idolâtrie de l’égalité.

Elle tolère la réussite quand elle est le fruit du hasard devant lequel tous sont présumés égaux ; elle la maudit lorsqu’elle résulte d’une aventure entrepreunariale impliquant volonté, imagination et goût de l’effort qui ne seront jamais universellement partagés.

La seule certitude : c’est un État en faillite et une société en dépression collective. Et une jeunesse qui n’a d’autre choix que le chômage ou l’exil.

Reste une nation de retraités, de chômeurs et de fonctionnaires dont l’actif se réduit à un monceau de dettes et dont l’avenir s’écrit au passé. »

Si l’on veut être réaliste il faut avoir lu cet ouvrage. Il faut s’armer de courage pour garder l’espoir d’un sursaut national, européen avant que 2040 vu par l’auteur n’arrive. Il faut savoir dire et écrire à nos politiciens : savez-vous où vous nous menez, où vous allez ?

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30 juillet 2014 3 30 /07 /juillet /2014 15:29
EMPLOI EN VENDEE : pas d'amélioration, hélas !

EMPLOI EN VENDEE...et bassin d'emploi des Sables d'Olonne

 

Les derniers chiffres connus (1er trimestre 2014) n'apportent pas de signe d'embellie.

Avec un taux (nouvelle méthode de calcul Pôle Emploi, INSEE ) le taux de chômage de référence est de 8,4% pour la VENDEE (comparé au 1er trimestre 2013 cela fait une hausse annuelle de 6,3%).

Rappelons que le taux national est de 9.7%

Le mauvais élève du département reste toujours le bassin d'emploi des SABLES D'OLONNE avec un taux de 11.1%...le meilleur est celui des HERBIERS avec 5.6%.

.

Deux éléments positifs quand même :

- le rythme d'augmentation du nombre de chômeurs décélère

- en juin 2014, les offres d'emploi augmentent.

 

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 18:54
IMPÖTS, TAXES, PRÉLÉVEMENTS…ne cessent d’augmenter ...suite

FACE Á UNE SITUATION ÉCONOMIQUE DIFFICILE IL FAUT DONC DEMANDER CLAIREMENT AUX FRANÇAIS UN EFFORT MAIS UN EFFORT JUSTE, COMPRÉHENSIBLE, ADMISSIBLE

 

Suite de :

http://www.olonnes.com/2014/05/impots-taxes-prelevements-ne-cessent-d-augmenter.html

 

Il n’est pas proposé de plan  d’économies crédible, mobilisateur, lisible face à une situation « de faillite de l’État » comme l’a dit Monsieur Fillon en son temps (21 septembre 2007 !) et tout récemment encore le Président de la République.

Il faut à la France ce plan qui permettrait de diminuer la dette, de diminuer les charges de l’État, un plan où les sacrifices financiers seraient faits avec clarté et justice, un plan que les français comprendraient et accepteraient.

L’Allemagne, l’Irlande, le Canada… l’ont fait, la France peut le faire

Or, face à sa dette, à ses déficits l’État ne change pas son mode opératoire : il continue à dépenser plus que il ne gagne quitte à faire payer la majorité silencieuse par petites touches, en catimini.

Ainsi, l’Etat en arrive à cultiver un climat de défiance par rapport à toutes propositions gouvernementales même si elles vont dans le bon sens.

Nous avons trouvé pour vous ces trois exemples de protestations  "officielles" conséquences de pratiques douteuses, maladroites de nos dirigeants.

 

Ce n’est pas ainsi que se rétablira la CONFIANCE NÉCESSAIRE ENTRE ÉTAT , ELUS ET CITOYENS.

 

 

1) Gérard Rivière, le président de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), le régime de base des salariés du secteur privé (13,5 millions de retraités), a manifesté son agacement et ses craintes, à la suite des annonces du premier ministre concernant les petites retraites (voir: "Gel des retraites, les pensions au-dessous de 1200 euros ne seront pas concernées").

Lors d’un point presse, mardi 29 avril 2014, le président de l’Assurance retraite, très critique, a pointé la succession d’annonces parfois contradictoires effectuées par les pouvoirs publics depuis l’automne 2013.

Et de citer la décision de décaler de six mois la revalorisation des pensions de base instaurée par la réforme des retraites, suivi quelques mois plus tard, le 16 avril, de l'annonce du gel des pensions jusqu’en octobre 2015 et enfin, le 28 avril, de l’exonération de cette mesure, les retraités percevant jusqu’à 1200 euros de pension.

La retraite, a rappelé Gérard Rivière, repose sur "un pacte de confiance passé entre les assurés et les régimes de sécurité sociale.

Les Français payent des cotisations pendant toute leur carrière en contrepartie d’une pension.

Ce pacte de confiance n’est pas négociable chaque année.

Il s’agit d’un engagement intergénérationnel qui porte sur des décennies.

On ne peut pas le remettre en cause tous les quatre matins !

Rompre le pacte de confiance pour cinq euros par mois, je pense que c’est mesquin!" . Cinq euros, c’est le montant du gain que devrait obtenir un retraité percevant une pension CNAV de 900 euros dans le cas d’une indexation de 0,6% en octobre 2014.

 

 

2) CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie) 1 milliard d’euros détournés de l'aide à l'autonomie des plus âgés

Le secteur de la gérontologie s'indigne quasi unanimement, des "détournements" d'enveloppes budgétaires dédiées aux personnes âgées.

Le GR 31 qui rassemble les représentants d'associations de personnes âgées, personnes handicapées ainsi que les professionnels qui sont à leur service (fédérations d’établissements et de services médico-sociaux) au conseil de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) s'expriment désormais ouvertement.

Face au gel des crédits votés par le Parlement, à l'affectation des réserves de la CNSA à d'autres fins que les personnes âgées et handicapées, à la captation d'un impôt créé pour les personnes âgées (CASA), le GR 31 dénonce près d’un milliard d'euros détourné.

 

Ces associations et fédérations ne se contentent plus d'annonces, comme celle la semaine dernière du gouvernement Ayrault (après celles des gouvernements Fillon, Villepin...).

En effet ces annonces sont contredites par les mesures notamment financières (exemple : la non attribution des fonds de la CASA au budget CNSA dénoncé par le CNRPA notamment).

Pour le GR 31, le gouvernement et le Parlement doivent sans délai garantir le respect de l'affectation de l'ensemble des moyens destinés aux personnes âgées et en situation de handicap qui constituent aussi un levier important de la politique de l'emploi.

Les organisations appellent les citoyens à interpeller leur élus pour que le devenir des personnes handicapées et âgées trouve enfin une solution concrète et rapide. Les membres du GR 31 : Adessadomicile, AD-PA (et sa Pétition en ligne), ADMR, AFM, APAJH, APF, CNRPA, CLAPEHA, CNRPA-UCR-FO, CNPSAA, FEHAP, FFAIMC, FNADEPA, FNATH, FNAR, FHF, FNAQPA, France Alzheimer, Générations Mouvement Fédération Nationale, GIHP, Mutualité Française, SNGC, SYNERPA, Trisomie 21 France, UNA, UNAFAM, UNAPEI, UNCCAS, UNISDA, UNIOPSS.

 

 

3) Un autre exemple de moindre importance mais significatif : l'aide juridictionnelle

Les 35 € perçus par instance introduite en matière civile, commerciale, prud’homale, sociale ou rurale devant une juridiction judiciaire et pour toute instance introduite devant une juridiction administrative (art. 1635 bis Q du CGI) pour abonder l’aide juridictionnelle doivent être reversés par l’Etat sous forme d’une provision, en début d’année, ajustée ensuite en fonction de l’évolution du nombre des admissions et du montant de la dotation affectée par le Conseil national des barreaux au titre de la répartition du produit de cette taxe.

Ce droit de 35 € a eu une vie éphémère et il a été supprimé. mais entre temps ... 

Il faut savoir que même si le code général des impôts  avait prévu que la contribution pour l'aide juridique est affectée au Conseil National des Barreaux une petite partie de cette somme a subi une autre affectation ! (encore le coup de la vignette auto !).

Protestation officielle du Conseil National des Barreaux !

 

Ce n'est pas ainsi que la CONFIANCE dans ceux qui nous dirigent sera rétablie !

 

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10 mai 2014 6 10 /05 /mai /2014 17:55
A vos calculettes pour votre déclaratioin mais attention au résultat...

A vos calculettes pour votre déclaratioin mais attention au résultat...

C’EST BON Á SAVOIR MÊME SI ON NE LE VOUS DIT PAS TOUJOURS AINSI : les impôts et les taxes et autres prélèvements sur salaires, placements, opérations diverses et variées ne cessent d’augmenter

 

 

L’ÉTAT NE VEUT OU NE PEUT DIMINUER SÉRIEUSEMENT SON TRAIN DE VIE, SES DÉPENSES…IL LUI FAUT DONC DES RECETTES SUPPLÉMENTAIRES

 

Nous l’avons écrit, réécrit l’État et les dirigeants des 3 dernières décennies n’ont pas su, ne savent pas faire d’économies, ne savent  réformer ou plus exactement les élus ne sont pas capables de prendre des décisions d’économies sur le fonctionnement de l’État et des collectivités territoriales.

Tout au plus le gouvernement actuel envisage de « moins augmenter » les dépenses ce qui ne signifie absolument pas faire des économies sur ses dépenses et même pas sur les sursalaires et sur indemnités versées aux élus (geste symbolique que les français attendent) !

Mais face à la réalité économique, l’État doit prendre des décisions sérieuses voire lourdes en matière d’économie…

Donc abandonnant lâchement l'idée de faire de sérieuses économies sur son train de vie l’État doit recourir à l’augmentation de ses recettes, donc toujours plus d’impôts et taxes

Plus d’impôts,

Plus de taxes…

Ainsi nous notons :

- augmentations (taux et assiette) de la TVA,

- augmentation des impôts locaux,

- augmentation des droits de mutation,

- prélèvements supplémentaires…

- augmentations de taxes…vérifiez sur vos factures gaz, électricité, eau…

- suppression d’exonérations, modification des taux …donc augmentation de l’impôt sur le revenu pour des millions de foyers…

 

 Le gouvernement a donc besoin de ces recettes supplémentaires. Pour ne pas faire de vagues, il en arrive à taper donc sur la majorité silencieuse et particulièrement sur les retraités et les classes moyennes.

Il en arrive même à détourner des fonds publics affectés, à  changer les règles du jeu pour des contats signés.

-  Ainsi, sur les assurances-vie qui sont la « provision » faite par des français pour faire face à des difficultés et particulièrement pour faire face aux conséquences du vieillissement : la dépendance ; les clauses des contrats signés sont bousculées par des prélèvements augmentés voire nouveaux,

- détournement des fonds collectés pour la dépendance et l’accueil des personnes (voir prochain article sur le scandale de la CNSA ,caisse nationale de solidarité pour l’autonomie),

- Alors que l’article 1635 bis Q du CGI affectait le produit de la contribution pour l’aide juridique au Conseil national des barreaux, cette taxe de 35 euros (éphémère et maintenant disparue) n’est pas intégralement reversée, l’État prélevant une partie des fonds collectés au profit de tiers à la profession pour couvrir des frais de gestion ...

 

A SUIVRE...des sacrifices à faire oui mais justes

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8 mai 2014 4 08 /05 /mai /2014 20:03
EMPLOI : une embellie dans le bassin d'emploi des Sables d'Olonne

Aprés avoir culminé à 12,5% le taux de chômage dans le bassin d'emploi des Sables d'Olonne est redescendu à 11,1% au 31 mars 2014.

 

Ce taux reste le plus fort de la VENDEE dont la moyenne est de 8,3%.

Le meilleur "score" reste celui du bassin d'emploi des Herbiers avec 5,5%.

Rappelons que le dernier taux connu pour la France est de 10,2 % (DOM compris) avec une tendance à la stabilisation.

La France aurait-elle touché le fond du trou ?

On ne peut que l'espérer en attendant la vraie reprise économique  crétrice d'emplois.

 

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