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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 17:46

 

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Il faut protéger le sport contre toutes déviances : tricherie, dopage...

Nous avons apprécié  dans le Journal des Sables du 17 janvier 2013  le courrier des lecteurs qui soulevait à travers le problème du vrai et faux amateurisme celui de l’éthique en matière de sports.

Le débat sur la drogue et le cyclisme n’est pas clos. Il est cependant très regrettable que pour justifier une situation condamnable certains  responsables avancent l’argument que tous les coureurs se dopent ou se dopaient donc ce n’est pas grave.

Dans ce courrier des lecteurs il s’agit d’autres faits : nombre de clubs sportifs trichent pour entretenir une équipe fanion et les dirigeants payent des dessous de table, des faux frais de déplacements…

Certes, on ne peut avoir un monde parfait.

Maos nombre de dirigeants disent que c’est une pratique courante donc normale. Cette position doit être combattue avec force. Le sport doit être exemplaire car nous confions nos jeunes aux dirigeants (le plus souvent dévoués et bénévoles) et on n'a pas le droit de tromper les jeunes. Le sport est une école de la vie. Il doit être protégé de toutes déviances comme l’usage des dopants, des rémunérations occultes…

De plus, nombre de clubs bénéficient de subventions de la part des collectives locales, de l’État. Ces subventions (argent public, le vôtre, le nôtre) servent dans le cas des déviances citées ci-dessus à financer une tricherie ! Est-ce normal ?

Mais regardons l'envers de la médaille. Est-il aussi normal qu’un club ayant à sa tête des dirigeants honnêtes soit pénalisé parce qu’il ne peut ou ne veut payer entraîneurs et joueurs au « black » ?

Il appartient aux collectivités qui subventionnent des clubs, aux Fédérations, éventuellement aux magistrats saisis de fraudes de préserver la pureté du sport ; aucun laxisme ne peut plus être toléré.

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 18:38

 

DSC02539 panneaux électoraux

PRE CAMPAGNE ELECTORALE POUR LES MUNICIPALES : UN DEBAT SUR LES IDEES ET LES PROGRAMMES ET PAS UN COMBAT CONTRE DES PERSONNES

La pré-campagne électorale pour les élections municipales de mars 2014 est ouverte.

Une association citoyenne comme la nôtre se doit de rappeler certains principes, qu’il faut que tous les candidats potentiels respectent. : règles du jeu de la démocratie.

Il y va du devenir de la santé de la démocratie locale en laquelle nombre de  français croient encore. En effet, les derniers sondages attestent que les français font encore confiance en leurs élus locaux  alors que la défiance est affichée majoritairement  vis-à-vis des élus régionaux et nationaux.

- Être élu est un honneur qui engendre plus des devoirs que de droits ; un citoyen élu doit respecter le mandat que lui donne le peuple.

- Il n’y a pas de jour où l’on ne voit des élus de la majorité dans les conseils municipaux faire dissidence après avoir suivi leur maire et l’équipe majoritaire depuis 2008. Le réveil d’ambitions à la veille du démarrage de la campagne électorale fait que certains élus  n’hésitent pas à trahir. Ce n’est pas une belle expression de la démocratie. Où est la notion de service des élus au profit de l’intérêt général ? Ceci est très mal ressenti par les électeurs.

- Dans cette période préélectorale commence déjà comme il est dit ci-dessus la saison des trahisons et cela peut aller plus loin et plus mal : des rumeurs sont répandues pour salir les futurs  candidats. Les attaques personnelles telles que la presse a pu rapporter lors des élections législatives sont une honte pour ceux qui les diffusent. La démocratie autorise le débat d’idées mais pas les attaques contre les individus candidats potentiels. Ceux qui osent transgresser cette règle sont indignes.

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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 12:03

 

 

MANIF. POUR TOUS

Nous nous sommes retrouvés à 5h00 hier matin dimanche cours Dupont. Deux cars nous attendaient dans lesquels nous avons pris place. Beaucoup d'entre nous n’étaient pas habitués à participer à une manifestation et beaucoup de questions furent posées au départ aux organisateurs qui ont fait le maximum pour que tout soit réussi.

Au fil du trajet des cars et des cars sont venus formés une immense chenille se dirigeant vers la capitale. À la sortie de l'autoroute tous ces cars furent, identifiés, numérotés, puis pris en charge par la police nationale. Celle-ci nous escorta jusqu'à notre lieu de destination affecté par région.

Nous sommes descendus du car à13h00 sur les Champs Elysées, noir de monde. Il y avait à notre surprise tout un mélange de population, des gens plus ou moins âgés, mais aussi des jeunes, des étudiants, des adolescents et des plus jeunes 5 à 10 ans, venus avec leurs parents. Une multitude de pancartes, banderoles, affiches, oriflammes s'élevait au-dessus des têtes.

Le ciel couvert, nous a permis de résister au froid, car nous sommes restés des heures durant sans bouger beaucoup de place .Nous avons tous eu froid aux mains aux pieds puis faim, car pour certains c'était leur première manifestations de leur vie et beaucoup ne pensait pas qu'il y aurait eu autant de monde.

Le service d'ordre millimétré, entièrement composé de jeunes de 15 à 25 ans, nous a permis d'arriver au pont d'Alma au bout de 5h30 heures de défilé de piétinement. Sur le front des immeubles, des banderoles des affiches étaient accrochées. Les occupants nous saluaient et nous encourageaient. Nous étions frigorifiés. La neige s'est mise à tomber.

Sur le pont de l'Alma nous fument comptés. Comment, combien ?.Des chiffres  circulent mais je peux vous assurer que nous étions beaucoup, beaucoup, et encore beaucoup.

Nous sommes retournés aux Sables d'Olonhne, au cours Dupont, à 2h30 ce matin. Tous fatigués mais convaincus du devoir accompli. Nous ne souhaitons qu'une chose que ce projet de loi soit retiré.

Un participant à la manifestation pour tous.

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 10:29

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2013 : année du civisme ?

Il y en a assez de voir et subir les actes de vandalisme et d’incivisme…tags, lampadaires arrachés, signalétique pliée, matériel municipal détérioré, massifs saccagés voire pillés, sonettes arrachées, voitures …cette petite "délinquance" pèse de plus en plus lourd sur la population et participe à un sentiment d’insécurité doublé d’un sentiment d’impuissance.

A qui s’adresser pour signaler ces méfaits, pour en obtenir réparation ? La police a autre chose à faire, les municipalités n’ont pas de moyens suffisants surtout en dehors des heures d’ouverture des services de la Mairie…elles réparent.

Ne pourrait-on pas faire de 2013 l’année du CIVISME ?

Nous suggérons une première  étape : une campagne de sensibilisation des parents responsables de leurs enfants,

Deuxième étape : lieux ouverts aux jeunes avec encadrement…est-il normal de voir de petits groupes de très jeunes mineurs déambuler en milieu de nuit ? S’ils s’ennuient…c’est qu’il y a quelque chose à faire vis-à-vis de ces jeunes et vis-à-vis des parents…Il y a aussi à imaginer des actions vis à vis d’un petit nombre de « marginaux » qui ont tendance parfois à « troubler l’ordre public ».

Il faudra réagir pour ne pas  laisser se ternir la réputation d'une agglomération calme. et sécurisée

 

 

 

 

 

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 22:42

 

 

CIVISME-ET-INCIVISME-0127.jpg 

       

Il n’est pas question pour nous de prendre position pour ou contre un projet de loi.

Mais il y a eu un événement au Pays des Olonnes ce mercredi 19 décembre 2012 qui ne peut passer inaperçu pour la démocratie et la vie locale. Un vrai débat avec échanges passionnés parfois. Organisé au Havre d’Olonne, par l’Entente parlementaire pour la famille » à laquelle Yannick MOREAU adhère avec la participation active de Monsieur Philippe BAS, sénateur de la Manche, ancien ministre de la famille.et de représentants des POUR et des CONTRE.

On peut dire qu’il y a eu divers points de convergence :

-      chasser l'homophobie,

-      le PACS n’a pas résolu les problèmes posés par les couples homosexuels et le PACS n’est pas un mariage mais un contrat qui peut être rompu par accord sans recours au juge,

-      le projet de loi va bien au-delà du mariage de personnes de mêmes sexes,

-      la notion de famille telle qu’on la connaît en France est en pleine mutation.

Mais pour nombre de participants il y a eu la découverte ou la confirmation des complexités du problème de société que ce projet de loi entraîne…c’est un bouleversement sociétal. Ceci mérite plus qu’une loi qui devrait être votée dans la précipitation en février prochain

En fait, même si la représentante du Parti Socialiste présente à la tribune ne le reconnaît pas ce n’est pas le problème du mariage qui est au cœur du débat mais celui de la famille et de l’enfant car le projet de loi, avec les nouvelles propositions d’une majorité de députés socialistes, comporte approbation de mesures graves liées à la procréation ::

-      adoption d’enfants par les couples homosexuels,

-      procréation médicalement assistée

-      gestation par autrui : mères porteuses

-      disparition de la notion de père et de mère…

On n’est plus dans un domaine législatif classique où les élus ont, de facto, mandat pour légiférer  mais dans celui de l’Éthique et d’un fondement même de la société française qu’est la FAMILLE ET LA PROCREATION. La question est posée : après une large information et des débats contradictoires, n’appartient-il au peuple le droit de « s’exprimer » sur un choix fondamental de société?

 

     

 

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 20:10

 

Histoire-de-la-Cour_text_intro_small.jpg

Le fait est que certains élus ont perdu le sens des réalités que les citoyens vivent durement au jour le jour.

Voyages, frais de restauration et réceptions hors normes, publications à leur gloire…Les Chambres Régionales des Comptes débordent de remarques à l'encontre d'élus territoriaux qui agissent de manière irresponsable avec les deniers de la collectivité.

Là aussi, ne mélangeons pas les genres : ces "exceptions" graves ne doivent pas cacher la réalité des milliers d'élus qui ont comme priorité celle de servir l'intérêt commun et une gestion de Père de famille pour ce qui concerne les deniers publics que les électeurs leur ont confié.

Raison de plus pour protéger ceux-là soyons rigoureux à l'encontre de ceux qui abusent de leurs mandats à des fins personnelles ou à des fins de réélection à n'importe quel prix !

Nous nous élevons régulièrement donc contre certaines dépenses de nos élus locaux ...un dossier d'exemples pourra illustrer notre propos. Il  est accessible par ce lien

FOLIES DE NOS ELUS LOCAUX

 

 

qui illustre trop bien notre propos.

 

 

 

 

 

 

 

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 15:56

 

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Prise illégale d’intérêts

Le rapport JOSPIN dans sa partie finale prend bien soin d’indiquer que « Pour garder la confiance des citoyens ceux qui sont chargés de les représenter ou de les servir dans des fonctions d’autorité doivent être exemplaires. »

Le Service Central de la Prévention de la Corruption pour les années 2007 à 2009  relève une quarantaine de condamnations par an d’élus ou de fonctionnaires. Sur 500.000 élus en France. c’est un pourcentage infime.

Cela doit permettre de relativiser le « tous élus, tous pourris » même si le rapport du Service Central de la Prévention de la Corruption prend soin  dans son dernier rapport de préciser  « Par ailleurs, la tolérance dont bénéficient les acteurs publics suspectés ou condamnés pour manquements à la probité s’illustre dans le Renouvellement de la confiance que leur accordent les citoyens lors des scrutins électoraux. »

Effectivement, en VENDEE, deux condamnations ont été récemment prononcées l’une contre le Maire de LA FAUTE et l’autre contre le Maire d’APREMONT. Il y a d’autres exemples d’élus sanctionnés…mais n’oublions pas comme indiqué ci-dessus que la France compte 500 000 élus et que les brebis galeuses ne doivent pas occulter le bénévolat et l'honnêteté de ces centaines de milliers d’élus au service de leurs concitoyens.

N’apportons donc pas de l’eau au moulin du « tous élus tous pourris » qui, à terme,  condamne la démocratie, remercions les élus dévoués mais faisons en sorte que les brebis galeuses soient dénoncées et sévèrement condamnées afin que celles qui seraient tentées ne trébuchent pas.

Et, par définition, tout élu à un certain niveau de responsabilités est « victime » de pressions, de sollicitations qu’il doit rejeter. Il sera d’autant plus sollicité qu’il aura bâti sa carrière politique dans le temps, qu’il lui faut une clientèle, des redevables même si généralement le coup de pouce qu'il donne est désintéressé …donc une raison de plus de lutter contre le cumul des mandats. En place depuis trop longtemps un élu subit de la part de sa "clientèle" trop de sollicitations. On comprend bien poourquoi dans certaines professions les titulaires de postes à resoonsabilité font l'objet de mutations régulières (banques, magistrature...)

 

 

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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 09:46

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À VAIRE en VENDEE : Les 5 conseillers d’opposition ont abandonné : ils ont démissionné !

Nous ne possédons pas assez d’informations directes pour nous octroyer le droit de porter le moindre jugement de valeur sur cette situation que nous constatons.

Elle conforte simplement la nature profonde des maux dont souffre l'expression de la démocrtie locale que nous dénonçons :

-          Les pouvoirs du Maire sont sans contre-pouvoir,

-          La minorité qui peut représenter 49 % des électeurs n’a pas de droits réels reconnus : elle peut être écoutée si le maire est libéral, elle n’a même pas droit à la parole si le Maire en a décidé ainsi,

-          Elle n’a pas de moyens pour travailler sérieusement les dossiers .

Cela ne s’invente pas : vous le retrouvez parfaitement décrit dans le rapport du Député Jean-Pierre GIRAN au Président de la République (février 2012, voir ci-dessous).

voir DEMOCRATIE LOCALE : est-ce possible ?

DEMOCRATIE LOCALE : le profond malaise  

Reprenons les propos de l'opposition démissionnaire rapportés par le Journal des Sables du 13 décembre  2013 concernant le Conseil Municipal de VAIRE :

« Nous constatons un manque d’écoute. Il est normal que tout le monde ne soit pas d’accord mais nous demandons au moins qu’un échange ait lieu. Et qu’il n’y ait pas d’attaques personnelles. »

« Nous considérons que la voix de la population que nous représentons n’est pas entendue et nous ne souhaitons pas être associés plus longtemps aux décisions prises dans ces conditions. »

 

Ceci est à rapprocher  de la fin de l’article du même journal  se rapportant à la Communauté de Communes des Olonnes CCO. La délibération du 30 novembre 2012 sur les transports en commun engage la CCO pour un montant de 13.5 millions d’euros. Cela méritait débat et interrogations. Le journaliste du Journal des Sables , conscience professionnelle oblige, après avoir décrit le « nouveau réseau de transport public » ajoute :

«A noter qu’à l’issue de la présentation du choix de cette Délégation de Service Public du réseau de transport urbain, Jean-Claude ROSSIGNOL a souhaité prendre la parole pour obtenir quelques éclaircissements sue le dossier. Le Président  (LOUIS GUEDON NdlR) lui ayant refusé , l’élu castelolonnais a quitté la salle, accompagné de Clément CHARRIER . »…ajoutons que le journaliste présent, par courtoisie, ne rapporte pas les propos injurieux, blessants proférés par le Président Louis GUEDON à l’encontre de Jean-Claude ROSSIGNOL.(et ce n'est pas la première fois !)

La démocratie locale a bien des progrès à faire !

 

 

 

Parmi les propositions du Rapport GIRAN publié par la Documentation Française (nous pouvons vous adresser le texte intégral sur votre demande)

    Voici un extrait de la table des matières dont les titres sont évocateurs :

 

B. Moyens matériels ...................................................................................................                     16

1) Améliorer les conditions de travail de l’opposition ................................................................... 16

2) Mettre Internet au service de la démocratie locale .................................................................... 17

II. RESPECTER LA REPRESENTATIVITE DES ELUS .............................................. ............18

A. Assurer la présence de l’opposition dans toutes les instances municipales et

para-municipales....................................................................................................                          19

B. Préserver la conformité de la composition du conseil municipal et des

attributions des élus au choix des électeurs ......................................................                         ... 20

 

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