ABATTRE L’OCCIDENT DEVIENT UNE NÉCESSITÉ POUR LA SURVIE DES FANATISMES ET AUTRES ISLAMISMES
L’Occident tel que nous le vivons en EUROPE et en moindre mesure en AMÉRIQUE est encore le modèle porteur des valeurs de progrès, des libertés individuelles donc des formes de démocratie où le pouvoir et la souveraineté appartiennent au peuple et s’exercent par et pour le peuple même si cela est parfois galvaudé, dévoyé.
La survivance de ce modèle occidental est insupportable pour de nombreux états car il défend le pluralisme, le droit de penser autrement, la tolérance, le droit pour l’individu de choisir son mode de vie du moment à condition qu’il n’attente pas aux libertés de l’autre.
La notion de laïcité n’a pas droit de cité dans les pays dominés par l’islamisme et autres formes de gouvernements dictatoriaux.
Les régimes autocratiques ne peuvent supporter l’existence de cette expression des libertés occidentales qui font que leurs peuples sont tentés de fuir le joug qui leur est imposé.
Le paradoxe de l’émigration est ainsi pourtant de voir des populations musulmanes en masse fuir les paradis des pays musulmans purs et durs comme l’Afghanistan, l’Algérie, le Pakistan, les pays du Centre Afrique ...pour tenter de rejoindre les pays de civilisation occidentale hantée par tous les maux que génère les libertés de conception occidentale.
Donc, la civilisation occidentale et son pluralisme doivent disparaitre car ils sont contagieux. Ils sont le diable. On le voit bien en Iran, en Syrie, en Iran, en Turquie où la répression des ayatollahs et autres mollahs est sans pitié, sans merci...la police des mœurs peut tuer, caillasser pour un voile enlevé.
LE MODÈLE DE L'ÉTAT D’ISRAËL À SAUVEGARDER
Le malheur est que certains États encore baignés d’occidentalisme sont entourés de régimes qui ne supportent pas le monde occidental ?
Ces états doivent donc disparaître car ils prêchent le mal : les libertés individuelles et ils progressent.
La survie de l’État d’Israël est celle d’une enclave occidentale entourée d’États arabes souvent théocratiques purs et durs.
L’Occident supporte le pluralisme et donc la tolérance et pour lui c’est le mode de vie qui seul permet l’organisation de l’expression de tous les talents donc le progrès et l'humanisme.
L' existence même de L'devient donc une provocation qui est palpable voire éclatant tous les jours. Elle a permis au peuple israélien de transformer des déserts en oasis de prospérité : la mosquée d’AL AQSA au cœur de Jérusalem resplendit si proche du Mur des Lamentations et de quartiers juifs très orthodoxes ...nous dirions même intégristes !
Cette vision est insupportable aux ayatollahs qui vont exploiter toutes les faiblesses et abus que la liberté peut laisser prospérer comme celle de penser et d’agir librement.
Les israéliens ont aussi chez eux leurs intégristes qui ont le droit d’afficher leurs pratiques et convictions : en ISRAËL, on peut être sioniste pur et dur et israélien du moment que le sioniste n’impose pas son mode de vie, ses choix à la collectivité.
Cela ne veut pas dire que l’Occident n’a pas de défauts.
La démocratie occidentale génère des inégalités parfois abusives et même de l’exploitation honteuse de l’homme par l’homme mais cela ne l’empêche pas de progresser alors que les régimes théocratiques croupissent trop souvent dans la misère. Elle peut et doit même par les voies démocratiques corriger ses défauts.
Certes, il ne faut donc surtout pas croire que l’Occident est en déclin globalement.
Il est simplement en délicatesse face à un islamisme conquérant à marche forcée qui ne s’embarrasse pas de préjugés moraux ou d’ordre humanitaire. Il écrase, tue, massacre avec barbarie et sans état d’âme au nom d'une religion où la place du pratiquant s'efface devant le dogme aveugle et souvent insensé. Il serait temps que cette conception obscurantiste soit battue en brèche par un Occident qui n'a pas à rougir de son bilan de plus de 20 siècles de progrès.
L'Occident doit être fier de son bilan, jouer la solidarité des états démocratiques, dénoncer l'inhumanité de pratiques barbares moyenâgeuses qu'il doit combattre et donc soutenir la création de l'État d'Israël en 1948.