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10 février 2021 3 10 /02 /février /2021 12:41
UNE BATAILLE PERDUE D’AVANCE ?

 

LE CONFLIT ENTRE UN PAYS VIEUX ET QUI A ABANDONNÉ SES VALEURS FONDÉES SUR DES SIÈCLES DE CIVILISATION FACE À UNE AUTRE CIVILISATION FONDÉE SUR UNE RELIGION EXIGEANTE, INTOLÉRANTE, CONQUÉRANTE ET LIBERTICIDE

 

D’un côté, la France vieux pays à l’extrême liberté, prisonnier de son histoire « liberté, égalité, fraternité » et incapable d’imposer l'application à tous de ses lois tant elle est affaiblie par une défense sans bornes des droits de l’homme qui accorde des droits mais n’impose pas les devoirs qui en découlent.

Des dirigeants déconnectés appartenant à une oligarchie qui use et abuse d’un pouvoir à d’autres fins que le vrai combat et qui est volontairement aveugle et incohérent face aux réalités vécues par le peuple et a abandonné son devoir régalien d'assumer la sécurité des citoyens et un bon fonctionnement de la justice qui est perdue, incapable d’exercer sereinement son pouvoir.

France, tu as a perdu tout le sens et la force de cohésion de ton peuple avec l’abandon des valeurs morales qui ont été fondées par des siècles d’histoire.

Face à la France historique, des jeunes et des moins jeunes manipulables et manipulés par des ayatollahs qui imposent sans scrupules une doctrine conquérante faite d’exigences et de  devoirs et qui, profitant d’un terrain où les libertés sont sans limites, tente d'imposer sa loi qui n'est pas française.

 

ET LA DROGUE !

Rajoutons à ce tableau aussi l’importance de la drogue et de tous les trafics qui l’accompagnent. C’est un ingrédient pourrissant toute société qui implante son industrie avec la complaisance d’un pouvoir lui abandonnant lâchement une partie du pays.

Toutes les villes de France ont des zones de non-droits acceptées par le pouvoir et parfois ce sont des villes entières comme Villeurbanne, Tourcoing, Roubaix, Mantes...et aussi des quartiers de Marseille, Toulouse, Rennes, Nantes, Strasbourg, Paris et ses banlieues,  Grenoble…la liste s'allonge sans cesse.

 

LE RÉTABLISSEMENT DU PAYS MALADE

 

COVID-19, notre grande épreuve actuelle a en principe un caractère passager et elle est pourtant combattue par la "guerre" et une mobilisation déclarées, non sans mal, par nos dirigeants.

Ceux-ci seraient donc capables de s’attaquer à un virus, par définition infiniment petit, et incapable de s’attaquer à l’autre fléau qui frappe toute la société française à visage découvert, même si certains visages, eux, sont malheureusement voilés : un islamisme conquérant, destructeur des libertés fondamentales qui régnent en France et de toute une société bâtie au prix du sang versé et des larmes répandues par des générations de civilisation judéo-chrétienne.

Il faut que toi, France, grande nation, qui, certes, ne représente plus qu’1% de la population du monde, il faut que tu te réveilles pour sortir du cauchemar qui hante tes jours et tes nuits et que, comme contre la Covid-19, tu déclares la guerre avec les moyens de ta puissance à l’ennemi qui veut la destruction de ta civilisation.

 

Situation désespérée ? Certainement pas : un pouvoir qui est capable, en mars 2020, d’imposer à tous les français et étrangers sur son territoire un confinement total, un pouvoir qui est capable, en 2021, d’établir le couvre-feu et de le faire respecter a donc la possibilité, la force, le droit et le devoir de rétablir l’ordre républicain sur tout le territoire.

S’il ne le fait pas c’est bien qu’il ne le veut pas. Et dans ces conditions, il appartient au peuple souverain de reprendre le pouvoir pour rétablir la République une et indivisible défendant son sol, ses lois fondamentales, ses traditions…en éliminant sans état d’âme toutes les barrières fantomatiques et parfois idéologiques qui paralysent l’appareil d’État …

 

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7 février 2021 7 07 /02 /février /2021 23:01
LE CONSEIL D'ÉTAT SIFFLE-T-IL LA FIN DE LA RÉCRÉ ?

LE CONSEIL D'ÉTAT SIFFLE-T-IL LA FIN DE LA RÉCRÉ ?

 

LE PROJET DE LOI CLIMAT PRIS DANS UNE TEMPÊTE JURIDIQUE : LE POUVOIR EXÉCUTIF EN CONFLIT AVEC LES JURIDICTIONS ADMINISTRATIVES

Déjà en novembre 2020, le Conseil d’État dans une affaire contentieuse avait relevé « que la France s’est engagée, pour mettre en œuvre l’accord de Paris, à adopter une trajectoire de réduction des émissions permettant de parvenir, en 2030, à une baisse de 40 % par rapport à leur niveau de 1990. »

et demandait poliment mais fermement au Gouvernement de faire le point sur ce dossier .

Une polémique est maintenant déjà engagée sur ce qui a été réalisé ! Il en sera question lors de l'annonce du Conseil des Ministres su le loi Climat dont le titre déjà en dit long :

« Projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets »

 Plus récemment, nous avons commenté le récent jugement du Tribunal Administratif de Paris sur le même sujet. L’État, mauvais élève,  est condamné à s’expliquer sur ses manquements.

https://www.olonnes.com/2021/02/environnement-l-affaire-du-siecle-devant-le-tribunal-administratif-de-paris.html

Saisi le 23 décembre 2020, le Conseil d’État a rendu le 14 janvier 2021 un avis sur le projet de loi constitutionnelle complétant l’article premier de la Constitution et relatif à la protection de l’environnement.

https://www.conseil-etat.fr/ressources/avis-aux-pouvoirs-publics/derniers-avis-publies/avis-sur-un-projet-de-loi-constitutionnelle-completant-l-article-1er-de-la-constitution-et-relatif-a-la-preservation-de-l-environnement

Or, dans cet avis le Conseil d’État rappelle au gouvernement qu’« Il s’agit du troisième projet de réforme constitutionnelle portant sur la question environnementale soumis au Conseil d’État en un peu plus de trois années. »...avertissement sans frais !

Le Conseil d’État met aussi les points sur les I sur cette avalanche de projets de textes gouvernementaux sur ce sujet de l’environnement et sur les incohérences déjà relevées par le Conseil Constitutionnel. On réinvente la Constitution ! 60 articles pour un projet de loi illisible.

 

LE GOUVERNEMENT ET LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE PRIS AUX PIÈGES DE LEURS ENGAGEMENTS : RIEN MOINS QU’UNE CRISE DE RÉGIME S’ANNONCE

Le Président Emmanuel MACRON met en avant son action en faveur de la défense de l’environnement. La réalité et les projets de textes devraient modérer, la aussi, ses propos sur des espoirs qui ne se concrétisent pas et deviennent des mensonges.

Les engagements internationaux pris par la France (mondiaux, européens…) s’accumulent. Mais, le gouvernement ne tient pas les promesses qu’il a faites et qui s’imposent maintenant à lui. Par contre, ces engagements ouvrent des droits aux citoyens.

En conséquence, le Conseil d’État et les juridictions administratives osent se dresser contre cette politique gouvernementale des effets d’annonces contraires aux réalités et obligations gouvernementales.

Pour les engagements nationaux pris lors de la CCC, Convention Citoyenne pour le Climat, le Gouvernement recommence avec le projet de loi. Le texte de loi sera présenté le 10 février en Conseil des ministres ! Il ne reprend pas la moitié des recommandations adoptées par la Convention Citoyenne sur lesquelles le Président de la République s’était engagé. Nous avions prévu cet échec.

Cette attitude ferme des Juridictions administratives dont le Conseil d’État sont l’annonce d’une crise de Régime…nous l’avions annoncée après les décisions et avis du Conseil d’État et du Conseil Constitutionnel. Aucun régime ne résiste à ce type d’épreuve. Aucun gouvernement n’a pu faire plier le Conseil d’État.

Le Conseil d'État n'est plus le conseiller du Gouvernement, il devient son censeur.

 

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6 février 2021 6 06 /02 /février /2021 19:18
DES JEUNES, DES MOINS JEUNES, PAS RÉVOLUTIONNAIRES...

DES JEUNES, DES MOINS JEUNES, PAS RÉVOLUTIONNAIRES...

 

ET LES GILETS JAUNES ? ILS AVAIENT RAISON ? TROMPÉS, OUI, MAIS ILS N’ONT PAS OUBLIÉ.

Il semble bien que personne n’a osé tirer les conclusions des 2 millions de personnes qui ont participé au Grand Débat National.

 

Partons de l’élection présidentielle 2017 avec son record d’abstentions pour une présidentielle mais aussi avec le pari des électeurs qui ne se sont pas réfugiés dans l’abstention et qui ont pensé que le candidat Emmanuel MACRON apportera le souffle pour la création d’un nouveau monde.

Pour conforter leur vote ils ont élu des députés « nouveaux » qui, malheureusement, ne représentaient pas le pays mais une certaine élite tandis que les énarques envahissaient les cabinets ministériels. Ce ne sera pas du sang neuf qui coulera dans les veines du pouvoir !

Ainsi naissait la désillusion : des députés godillots, des amateurs dont nombre ont fui, un parti présidentiel qui n’est jamais né et pire qui, au contraire de prospérer et d’occuper le terrain est devenu au vu et au su de tous un club d’amateurs inconnus comme s’ils ne croyaient ni en leur mandat ni en leur avenir ! Le Président MACRON ne compte plus depuis longtemps sur ses troupes mais sur lui-même et sur des équipes qui se révélèrent décevantes à l’image de certains de ses ministres vite décrédibilisés.

En effet, l’équipe que le peuple espérait fut désespérante : des Ministres qui partent par rafales car accrochés par des enquêtes préliminaires, conflits d’intérêts, erreurs graves... (Richard FERRAND, François BAYROU, Agnès BUZYN, Nicole BELLOUBET, Nicolas HULOT, Sylvie GOULARD…)…du jamais vu dans cette cinquième République.

Il y avait donc bien pour diriger l’État des amateurs et des technocrates…ce n’était pas cela le renouveau.

La sanction des élections est tombée lors des municipales et des sénatoriales : abstentions et échecs des listes et candidats de la majorité.

La chance du Président MACRON c’est qu’en face de lui, les oppositions n’ont jamais été crédibles et que dès 2020, COVID-19 sera la grande peur qui tue tout débat.

 

2021…L’ANNÉE DE L’OUBLI DE COVID-19 et 2022…L’ANNÉE DU RETOUR DU VRAI GRAND DÉBAT ET DES GILETS « BLANCS »

Les Gilets jaunes, ce fut la grande peur du Président MACRON mais il n’a pas su tirer les conclusions de cette révolte calme, froide, réfléchie lors du Grand Débat qui s’est échoué dans les méandres de la violence bien manipulée et des entourloupes du pouvoir de la macronie.

Mais il reste que 2 millions de personnes se sont exprimées dans le Grand Débat National.

Deux millions de personnes qui n’oublient pas que le Président de la République a enterré leurs espérances, leurs cahiers de doléances…Louis XVI lui, en 1789, n’a pas enterré les cahiers de doléances de mai 1789.

Depuis 2018, personne n’a osé tirer les conséquences du Grand Débat National. Le conservatisme a eu peur, mais il s’est réinstallé sans gêne.

Personne n’a mesuré la rupture, le fossé qui sépare le peuple des élites qui ont encore et auront encore en 2022 l’espoir de continuer à vouloir gérer le Pays. Et Dieu sait si le post COVID-19 sera dur à gérer !

Mais, ce n’est pas pour cela que l’esprit du Grand Débat National et les gilets jaunes ont disparu. Aujourd’hui, ils ont conscience qu’ils avaient raison et qu’ils se sont fait avoir.

Hôpitaux, retraites, dette, inégalités, Administration pléthorique, dépensière et impuissante, centralisation du pouvoir et moquerie sur la décentralisation …tous les problèmes ressortiront du dessous de la table…aucun n’est réglé…ils ont juste été recouverts d’une toile légère que le premier vent de la juste révolte soulèvera aux nues et au su de tous…ce sera le vrai débat…mais avec qui  ? Le peuple français changera la couleur de ses  gilets  mais il ne laissera pas "n'importe qui" reprendre les rennes de l’État.

 

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5 février 2021 5 05 /02 /février /2021 17:30
DANS CETTE BELLE BÂTISSE, FACE À LA PLACE DE LA CONCORDE, IL S'EN DIT, IL S'EN FAIT DES BÊTISES

DANS CETTE BELLE BÂTISSE, FACE À LA PLACE DE LA CONCORDE, IL S'EN DIT, IL S'EN FAIT DES BÊTISES

 

DÉPUTÉS : UNE RÉMUNÉRATION ET UNE PRISE EN CHARGE GÉNÉREUSE DES FRAIS LIÉS À LA CHARGE

Les députés disposent : 

- d'une rémunération mensuelle brute de 6 953 euros (5 177 euros nets),

-  d'une  avance de frais de mandat et de secrétariat . Le montant mensuel de cette avance est de 5 373 euros et d'un crédit affecté à la rémunération de collaborateurs dont le montant mensuel du crédit est de 10 581 €.

- de la dotation matérielle des députés (DMD), une enveloppe spécifiquement dédiée aux frais de téléphonie, de taxis/VTC, et d’affranchissement du courrier qui passe en 2021 de 18 950  à 21 700 euros ? C'est cette augmentation de 15% pour 2021 qui choque la presse et nombre de citoyens.

Nous passons sur nombre d'avantages et prestations offertes aux députés comme les services au sein de l'Assemblée, les voitures avec chauffeurs, l'accès aux restaurants de l'Assemblée, hébergement, droits à la retraite, prises en charge "chômage" s'ils ne sont pas réélus ...

 

UNE DOTATION CONTRÔLÉE  DONT L'AUGMENTATION EST À JUSTE TITRE CONTROVERSÉE : +15% ! FONDÉE SUR UN ARGUMENT DÉBILE

Nous ne ferons pas de l'anti-parlementarisme de base mais quand même ! La représentation nationale mérite le respect surtout si elle-même respecte la nation. Mais, dans ces histoires comme ce fut déjà le cas en 2019 pour cette maladresse que fut  l'augmentation de la dotation pour hébergement, les députés se sont servis une nouvelle fois des fonds publics pour satisfaire un peu trop des besoins personnels. La représentation nationale a une attitude indigne et incompréhensible. Quelle maladresse !

On comprend de mieux en mieux pourquoi, parmi les projets de réformes (tombés à l'eau,) du Président MACRON figurait la diminution d'un tiers du nombre de députés et de sénateurs (discours de juillet 2017 lors du Congrès de Versailles). Il y avait de l'économie à réaliser sur le dos de la représentation nationale qu'il n'affectionne pas particulièrement.

D'une part, le Président MACRON ayant conforté le côté régime présidentiel (surtout avec les pouvoirs spéciaux concernant l'urgence sanitaire) les députés sont réduits au chômage partiel.

D'autre part, quand on voit l'hémicycle de l'Assemblée Nationale quasiment vide, le nombre de séances et le temps en commission  on peut à juste titre se demander pourquoi ils ont besoin de se faire sur-indemniser de leurs frais annexes ! Il n'y a pas, encore, dans la fonction, de la place pour les heures supplémentaires. Un député, s'il n'est que député, est un "cadre" et aussi un employeur libre d'organiser son temps de travail et de récupérer ses heures de nuit, de trajet...quand et comme il veut.

Le fondement de cette bêtise d'indemnisation augmentée exagérément déconsidérant les élus est que, suite à la pandémie, il faut que ces élus communiquent plus avec leurs concitoyens et comme le prix du timbre va augmenter ...augmentons l'indemnité !

Franchement les questeurs de l'Assemblée Nationale qui ont avancer cet argument du timbre poste "se foutent de la ...figure des citoyens."

Au contraire, cette indemnité aurait du être baissée car vous ne nous ferez pas croire que pour envoyer des messages à leurs concitoyens les députés utilisent beaucoup de timbres. Ils doivent utiliser INTERNET et toutes ses possibilités, comme tout un chacun ou presque. Donc, cette ligne budgétaire devrait être diminuée tous les ans sauf pour les députés qui veulent faire des collections de timbres et apporter ainsi une subvention à la POSTE en mal de redressement !

Il faut aussi savoir que seulement une quarantaine de députés pour ces frais personnels utilisent tout le crédit que "nous" leur offrons ...c'est-à-dire que plus de 500 députés laissent au budget de l'Assemblée une bonne part de leur dotation et c'est pour faire plaisir aux 40 autres dépensiers que cette mesure aussi idiote que critiquable à juste titre a été votée avec le budget de la France déjà tellement déficitaire!

 

PETITS RAPPELS

Nombre de députés : 577

Nombre de sénateurs : 348

La France est championne du nombre de parlementaires pour 100 000 habitants. C'est un record mondial dont on se passerait bien quand on voit ce qui est écrit ci-dessus.

Rappel en moyenne un siège de député coûte 1 million d'euros par an si on rapporte le budget de l'Assemblée au nombre de députés.

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3 février 2021 3 03 /02 /février /2021 19:18
NE PAS ABANDONNER NOTRE EAU ET NOTRE ENVIRONNEMENT  À UN MONOPOLE

NE PAS ABANDONNER NOTRE EAU ET NOTRE ENVIRONNEMENT À UN MONOPOLE

SUEZ/VEOLIA, LE RETOUR DE JEAN-MARIE MESSIER : UN AVENIR SOMBRE POUR LES CONSOMMATEURS D’EAU ET L’ENVIRONNEMENT

SUITE de

https://www.olonnes.com/2021/02/eau-veolia-suez-tous-concernes.html

 

VEOLIA se bat contre SUEZ  pour dominer le marché de l’eau en France et ce qui est sûr c’est que dans cette bagarre ce sont les consommateurs qui prendront les coups et les coûts.

Dans les nombreuses communications de tous bords concernant ce combat des deux géants de l’eau, de l’assainissement et même de l’environnement non seulement au niveau français mais au niveau mondial il n’est jamais question de ceux qui, en fin de compte, sont les plus concernés : d’abord, les consommateurs d’eau mais aussi les collectivités locales qui sont toutes responsables de la gestion de notre eau...elle-même liée aux problèmes environnementaux.

Avec Jean-Marie MESSIER (ex patron VIVENDI, VEOLIA, UNIVERSAL…), c’est le retour d’un homme de la finance qui ne sera pas au service de la collectivité. Le coût de ses folies passées représente un trou estimé à plus de 30 milliards d’euros dont chaque français « client» du groupe ou petits actionnaires de VIVENDI VEOLIA…ont payé l’addition.

En 2020, avec le retour de Jean-Marie MESSIER accompagné par des banques se joue un jeu dangereux autour de notre eau.

Depuis mi 2020 nous sommes surpris de voir les « pouvoirs publics » se dire favorables à l’opération fusion VEOLIA SUEZ œuvre de Jean-Marie MESSIER pour créer le « géant mondial » de ce secteur.

Mais à la manœuvre, autour de personnalités de la finance et avec certains grands élus s'est formé un groupe de pression des proches de Jean-Marie MASSIER et  Henri PROGLIO, tous deux déjà condamnés pour avoir enfreint les règles de protection et d’information des actionnaires qui se sont révoltés !

Oui, il y a donc bien un danger MESSIER car ce financier qui a dilapidé le fond de commerce de VIVENDI a donc bien des supporters solides au plus haut niveau. C’est toute un lobby parisien, ploutocratie bien en place, qui est à ses côtés.

 

LE MONOPOLE CONCÉDÉ DE L’EAU, DEUX GRAVES DANGERS POUR NOUS TOUS

Ce qui est insupportable ce sont les conséquences, pour nous tous, de l’absorption de SUEZ par VÉOLIA. Ce serait en France un groupe privé trop puissant qui détiendrait un quasi-monopole de l’Eau (eau potable, assainissement, recherches…urbanisation, environnement).

Ce serait un géant face à des clients, les collectivités locales, des tout petits gérés par les élus, dont le souci majeur (surtout aujourd’hui) ne serait pas le problème vital de l’eau. En effet, nous le disons et le répétons les collectivités locales ne prennent plus assez en considération leur mission de gestionnaire de l’Eau au sens large comprenant l'environnement.

Ce qui intéressera ce futur groupe monopolistique, ce ne sera pas la gestion de l’approvisionnement et de la qualité de l’eau en France et ce, pour le moyen et le long terme, mais dans un monde géré par les financiers…ce sera la rentabilité immédiate, d’où…

Les deux risques sûrs et graves et certains pour les citoyens, s’il y a monopole concédé au secteur privé, sont :

  • Que le court terme soit privilégié donc ce sera le ralentissement des investissements et leurs choix ne seront plus ceux des collectivités …car, celles-ci, répétons-le  ont abdiqué leur pouvoir sur un de leur bien précieux, celui des français : l’eau. Ce monopole VEOLIA, gérant l’eau de la collectivité, aura les mains libres et il imposera sa stratégie financière qui ne peut coïncider avec les légitimes aspirations des citoyens consommateurs d’eau et financeurs…s’il y a des bénéfices…ils n’iront pas aux citoyens ! Si Jean-Marie MESSIER, comme il l’a déjà fait, dilapide les fonds sociaux, spolie les citoyens …ce sera le consommateur d’eau, le citoyen de base qui devra payer les pots d’eau cassés,
  • La situation détériorée des installations retombera sur la population…faute d’un bon entretien et d’investissements suffisants, le redémarrage qui devra bien se faire un jour coutera une fortune aux français.

Il nous faut tous monter au créneau pour éviter que le bon peuple consommateur d’eau soit plumé et que, par déception, il se révolte contre ses élus qui concrètement et juridiquement demeurent, jusqu’à nouvel ordre, les responsables de la gestion de l’eau.

 

ON NE JOUE PAS AVEC L’EAU !

L’eau est le bien précieux irremplaçable de la collectivité. Elle est déjà en danger face aux phénomènes de pollution et à la raréfaction de la ressource.

Ce ne sont pas les financiers qui résoudront les problèmes de la gestion de l’eau dans le monde. Pour l’instant VEOLIA joue financièrement à la guerre sans s’occuper du vrai problème de l’eau.

Nous ne cessons d’afficher notre admiration pour les vrais petits et grands patrons d’entreprise... Ils portent leurs sociétés qu’ils cherchent à promouvoir dans un monde qui n’est pas facile. La finance n’est qu’un outil au service de l’entreprise.  Mais, pour ce bien commun qu’est l’eau, il ne faut surtout pas laisser la main aux seuls « patrons » financiers.

Il faut donc que les citoyens et les élus prennent conscience et exigent :

  • Le maintien d’une saine concurrence afin que les collectivités puissent la faire jouer et donc surtout qu’elles ne laissent pas VÉOLIA tuer son concurrent Suez et après d’autres sociétés pour créer un monopole incontrôlable,

 

  • que l’État et les collectivités locales et toutes les structures qui gravitent dans ce monde de l’Eau et Environnement reprennent conscience qu’ils ont à défendre un bien commun : l’eau et l’environnement…et non les ambitions purement financières de conquête de ce marché qui ne sont pas compatibles avec un marché sain de l’eau.

 

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2 février 2021 2 02 /02 /février /2021 18:09
L'EAU UN BIEN COMMUN PRÉCIEUX POUR TOUS MAIS CHER

L'EAU UN BIEN COMMUN PRÉCIEUX POUR TOUS MAIS CHER

 

DES MARCHÉS ÉNORMES ET JUTEUX SUR LE DOS DES CITOYENS : 18 MILLIARDS D’EUROS EN JEU

 

CETTE CHÈRE EAU

Il faut savoir que l’eau est un bien commun qui n’a aucune valeur. Mais il faut aussi rappeler un certain nombre de choses :

- que les maires sont responsables de l’approvisionnement en eau potable de leurs concitoyens,

- que les infrastructures des réseaux, usines de traitement des eaux, assainissement sont des investissements très importants. Si importants que les communes ont dû se grouper en syndicats et n’ayant pas les moyens humains et techniques elles ont dû avoir recours à la sous-traitance par le biais des concessions,

- que le m3 d’eau potable est facturé tout compris (taxe, traitement de l’eau pour la rende potable, réseaux assainissement…) environ 5 euros le m3. Ces 5 euros sont ainsi répartis 40% pour l’eau, 40 % pour l’assainissement des eaux usées et 20 % de taxes. La consommation moyenne par foyer est de 120 m3…donc ce marché représente environ 18 milliards d'euros TTC.

- que la ressource se raréfie suite au réchauffement climatique, à la pollution, à l’agriculture irrationnelle et qu’il faudra à l’avenir investir beaucoup pour satisfaire la demande…l’eau est donc un marché important, spécifique, porteur.

 

LE MARCHÉ

Ce marché était réparti entre les communes qui pouvaient le gérer directement (en régie) et des entreprises locales et nationales comme LYONNAISE DES EAUX, VEOLIA, SAUR ...

Il y a eu une petite révolution dans le Landerneau de l’eau potable et l’assainissement quand la durée maximale des concessions a été ramenée à 20 ans…des rentes de situation s’effondraient. Les communes ont dû faire appel à la concurrence et négocier. Elles pouvaient difficilement faire face aux investissements, à l’entretien des réseaux, usines…elles concédèrent de plus en plus l’ensemble à des société privées.

La concurrence pour le renouvellement des concessions a eu du bon car on a pu voir des prix brut du m3 de l’eau divisés par deux !

 

LES ÉLUS LOCAUX DÉPASSÉS…L’EAU UNE AFFAIRE JUTEUSE !

Les investissements nécessaires, l’entretien des réseaux et autres investissements réalisés, les évolutions telles que celles nécessaires pour la dépollution…ont rendu difficilement maîtrisables cette partie de la gestion d’une commune : celle de l’eau.

C’est donc la technique de la concession de service public partielle ou totale qu’ont utilisée les communes souvent après s’être associées avec les communes voisines.

L’envers de la médaille est que les communes trop souvent ne maitrisent plus la gestion concédée. Une fois par an les élus votent sans discussion l’approbation de la gestion présentée par le concessionnaire.

Bien que les contrats de concession soient bien ficelés, petit à petit, le concessionnaire arrive à faire ce qu’il veut, quand il veut, où il veut.

De leur côté, les grandes sociétés ont racheté les petites et moyennes locales et ont gagné des marchés. C’est facile pour une grande société avec les appels s d’offres de mettre à genou une petite société locale surtout avec une évolution des normes et exigences environnementales qu’une commune ne peut maîtriser. De plus, les grands groupes ont la technique marketing adaptée pour "conquérir les élus".

C’est par cette brèche que les grandes sociétés ont ainsi pu investir puis tenir le marché et le rendre juteux encore plus juteux…mais ces entourloupes sont payées par le consommateur.

 

 

À SUIVRE...

SUEZ/VEOLIA LE RETOUR DE JEAN-MARIE MESSIER (ex VIVENDI )  POUR LES CONSOMMATEURS D'EAU UN AVENIR QUI POURRAIT ÊTRE SOMBRE

 

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1 février 2021 1 01 /02 /février /2021 23:02
LA JUSTICE

LA JUSTICE

 

LE PRINCIPE : L’INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE, LA RÉALITÉ DEVIENT AUTRE

Suite de

https://www.olonnes.com/2021/01/l-independance-de-la-justice.html

Si comme nous l’avons vu la Constitution de 1958 proclame, en France, l’indépendance de la Justice, la réalité est plus cruelle.

En effet, le pouvoir politique garde un pouvoir sur les magistrats. Le Président de la République est Président du Conseil de la Magistrature. Position ambiguë puisqu’en plus, c’est le Président de la République qui nomme les magistrats de rangs élevés.

Ce pouvoir officiel qui est celui qui est défini aussi pour ses modalités dans la Constitution est donc dangereux en lui-même.

Les magistrats ambitieux se battent pour leur carrière et toutes les armes sont bonnes d’une part, pour obtenir les bonnes grâces du Conseil Supérieur de la Magistrature qui « donne son avis » pour les nominations et d’autre part, auprès du Pouvoir Exécutif dont le Ministre de la Justice qui nomme les magistrats !

Ainsi, les juges de rang élevés sont nommés par la Président de la République après avis (favorable ou pas) du Conseil de la Magistrature…qui est présidé par le même Président de la République !

L’indépendance de la Justice est donc fragile. Les magistrats sont un corps de 8600 membres...si au plus haut niveau l'indépendance de la Justice est mise à mal, comme nous le verrons, c'est à plus ou moins long terme, tout le corps qui sera infectée et la défiance des citoyens vis-à-vis de leur Justice deviendra un nouveau danger pour l'équilibre de la société.

 

LA CONFUSION DES POUVOIRS EXÉCUTIF ET JUDICIAIRE

L’élection des membres de l'important  Conseil de la Magistrature par leurs pairs est dominée par 2 syndicats dont celui de la magistrature SM réputé à gauche.

Depuis quelques années, le loup est sorti du bois…de hauts magistrats se sont compromis en servant la politique. Ce sont ainsi les magistrats qui ont aidé Emmanuel MACRON pour qu’il accède au pouvoir en détruisant le candidat François FILLON, favori des sondages.

Cette opération s’est montée sur la base d’un dossier concernant des faits en partie prescrits s’étalant de 1981 à 2012…et révélés au grand public, comme par hasard, en 2017. Il y avait donc bien dans les tiroirs des magistrats depuis des années des dossiers qui ont été (par hasard ?) rouverts lors de la campagne électorale 2017. En la matière, il y a bien eu chez des juges préméditation pour intervenir dans la vie politique !

Sans cette procédure Emmanuel MACRON n’aurait certainement pas été élu. Les accusations portées publiquement, sans le respect du secret de l’instruction, pendant la période électorale, ont cassé la candidature François FILLON.

Il ne faut surtout pas oublier cette donnée.

Passons au cas SARKOZY qui demeure encore pour les observateurs une menace pour les candidats potentiels en 2022. Si, dans l’affaire BYGMALION, un magistrat instructeur a refusé de renvoyer le dossier de l’ex Président SARKOZY devant la correctionnelle, il y a une raison juridique…le dossier monté à charge de l’ancien Président ; comme l’atteste l’affaire des écoutes, ne le permettait pas. Cette manipulation n’est pas ce que les français attendent de leur Justice.

Il faut que les magistrats mesurent le danger pour eux « d’entrer » ainsi en politique…Nous sommes, en France et en 2021, avec un pouvoir politique qui ne jouit plus d’une grande confiance du peuple. Donc, ces magistrats tentés et succombant remettent gravement en cause l’indépendance de la Justice.

Dans ces procédures comme dans d’autres, des juges qui, heureusement, ne sont pas la Justice s’arrogent le droit d’abandonner leur devoir d’impartialité pour peser sur l’opinion publique…c’est certes une façon de montrer l’indépendance de la Justice…en mettant la Justice au service d’un clan ou d’un homme.

S’il y a un point qui est incontestable c’est le plus, en matière d’indépendance de la Justice institutionnalisée par la Constitution et le moins, au niveau de l’impartialité dans ces affaires politiques…Ainsi, la Justice a pu voler au peuple l’élection libre et ouverte du Président de la République en 2017.

 

 

LA JUSTICE NE DOIT PAS INTERFÉRER AVEC LA POLITIQUE : QUE LE VOL DE L’ÉLECTION DE 2017 NE SE REPRODUISE PAS

L’interférence entre la Justice et la politique dans notre République est donc dans la nature des choses : souvenons-nous dans notre histoire d’autres fameuses affaires.

Les quatre pouvoirs institutionnels :

Il y a deux pouvoirs constitutionnels incontestables juridiquement même s’ils sont bien à la peine en 2021 : l’exécutif avec un pouvoir quasi présidentiel et le législatif avec un Parlement affaibli.

Mais, il y a aussi deux autres pouvoirs puissants et plus occultes : celui des juges liés avec le pouvoir médiatique…ils ont volé au peuple les élections présidentielles de 2017…il ne faudrait pas que des dossiers dormants dans des bureaux des juges ressortent en fin 2021, début 2022.

Il ne faudrait pas qu’une nouvelle collusion juges, politiques et médias nous « tuent » encore des candidats potentiels aux prochaines élections et truquent ainsi encore les élections de 2022. La réaction du peuple grugé une nouvelle fois pourrait d’être violente.

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23 janvier 2021 6 23 /01 /janvier /2021 22:21
LE CHEF DE L'ÉTAT ET LES PROCUREURS

LE CHEF DE L'ÉTAT ET LES PROCUREURS

 

ENFIN UN CHEF D’ÉTAT QUI PARLE DE LA JUSTICE !

Une « petite phrase » du Président MACRON prononcé ce jeudi 21 janvier :

« Et je le dis parce que ce qui va avec la défiance française, c’est aussi cette espèce de traque incessante de l’erreur. C’est-à-dire nous sommes devenus une nation de 66 millions de procureurs. Ce n’est pas comme ça qu’on fait face à la crise ou qu’on avance »

Avant de commenter ce qu’a ainsi tenté d’expliquer aux français le Président de la République nous rappellerons ce qu’est le Procureur de la République et l’importance de la fonction dans le système judiciaire français.

Dans une juridiction classique il y a deux têtes : le Président, magistrat du siège, qui appartient à la magistrature assise donc super protégée, « indépendant » et le Procureur, magistrat du parquet, à qui il appartient de requérir l’application de la loi au nom de la société.

La souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du référendum…dit la Constitution.

Donc, quand Emmanuel MACRON traite tous les français de procureurs, c’est une La Palissade puisqu’il est le Président de tous les français à qui il doit donc rendre compte de sa gestion. Ses décisions doivent être « jugées » par les français.

Être procureur garant de la bonne exécution de la loi est aussi un honneur puisque, par définition, le Procureur est un serviteur de la Justice et servir la Justice est une responsabilité fondamentale pour un pays.

Par contre, ce qui peut choquer les puristes c’est d’entendre le Chef de l’État se mêler ainsi du monde de la JUSTICE en jetant sans respect en pâture le mot « procureur ».

Le Président de la République est le chef de l’EXÉCUTIF et d’après le sacrosainte séparation des pouvoirs EXÉCUTIF, JUDICIAIRE ET LÉGISLATIF il n’a pas à interférer dans le domaine de la JUSTICE.

Mais, chacun sait que c’est trop de la théorie et que les chefs d‘État en France nomment les magistrats ! Donc, leur neutralité et leur indépendance est relative, même très relative.

Traiter les français de procureurs devrait être un honneur et mais remis dans le contexte de l’invective du Président de la République c’est une forme d’injure ou au moins une admonestation.

Nous pensons que les Procureurs ne sont certainement pas très heureux de l’utilisation péjorative faite de leur titre et que la Justice, justement fonction régalienne, mal traitée depuis des décennies et indispensable à la Nation attend autre chose du Chef de l’État.

La noble fonction de Procureur fait que ce mot a un sens qui va à l’inverse de ce que le Chef de l’État a voulu lui donner. Nous sommes 66 millions de citoyens français fiers d’être des procureurs chargés de veiller à l’application de la loi qui demeure encore l’émanation de la volonté du peuple souverain !

Le peuple a le droit et le devoir d’être critique vis-à-vis de ceux à qui il donne mandat avec son bulletin de vote. Vouloir retirer ce droit au peuple, c’est détruire l’édifice sur lequel est bâti la démocratie et la République.

 

66 MILLIONS DE "PROCUREURS" ! ET LEUR CHEF AUTOCRATE

Pourquoi cette invective ?

Parce que le Président MACRON ne supporte pas le mécontentement de la population dont il voudrait satisfaire tous les appétits…pour se faire réélire. C’est humain ! Mais dégradant pour la fonction de Président.

Il constate que, quoi qu’il fasse, le peuple grogne. Il gronde même…pour les masques, pour les lois d’exception prises au nom de l’État d’Urgence sanitaire, pour les vaccins qui n’arrivent pas... effectivement pour les errements dans la gestion de cette crise sanitaire…

Or, face à COVID-19, il est obligé de prendre des décisions : s’il n’en prend pas le peuple gronde, s’il en prend et que le peuple constate des errements le peuple gronde…et le Président de la République devenu un autocrate est donc, ainsi, par définition, maintenant responsable de tout ce qui se passe en France ! et particulièrement en matière de Santé. Il ne sait plus quoi faire.

Alors, au lieu de s’en prendre à lui-même, il s’en prend à son bon peuple déjà secoué par COVID-19.

Il a demandé à celui-ci de l’élire. Il a été élu. Maintenant il pense, à tort, l’injurier en traitant les français de « procureur » ; ce qui, d’une part, comme nous l’avons écrit n’est pas respectueux de cette noble fonction et de ceux qui la servent et d’autre part, voudrait être peu flatteur pour ce bon peuple qui l’a porté à la magistrature suprême !

Le Président MACRON a encore en cette occasion manqué de sang-froid et de sagesse.

Le Général de Gaulle pouvait se permettre de fustiger les français avec des petites phrases et des mots choisis.

Le Président MACRON accroché au pouvoir aujourd’hui n’est pas le Général de Gaulle qui était au-dessus du pouvoir et savait partir.

Le Président MACRON est donc avec ses 66 millions de procureurs perdant sur tous les plans.

Les 66 millions de « procureurs » sont des citoyens qui votent ou pourront voter.

 

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