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30 septembre 2023 6 30 /09 /septembre /2023 20:06
L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE

L'AGGLOMÉRATION LES SABLES D'OLONNE

 

 

 

LES SABLES D'OLONNE AGGLOMÉRATION : UN DÉBAT D’ORIENTATION BUDGÉTAIRE SUR FOND D’OPTIMISME

 

Malgré un contexte économique national et local toujours impacté par l’inflation et un conjoncture économique l’Agglomération des Sables d’Olonne , confortée dans sa démarche et ses ambitions par un Rapport de la Chambre Régionale des Comptes plutôt favorable poursuit son chemin pour un territoire qui investit dans des projets structurant pour préparer l’Agglomération de demain.

  • Elle confirme 59 millions d’euros d’investissement pour 2024,
  • La maîtrise de sa dette gage de la bonne santé financière de la Collectivité,
  • Annonce le maintien du cap d’amélioration de sa capacité d’autofinancement qui pourrait être portée à 12,5millions d’euros,

 

LES RECETTES IMPÔTS...LA TAXE GEMAPI , LA TAXE D’ENLÈVEMENT DES ORDURES MÉNAGÈRES  TOEM, CFE...

Les recettes de l’Agglomération des Sables d’Olonne pourraient atteindre 73,2 M€ en 2024.RES

Le transfert de la compétence GeMAPI (gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations) à l’Agglomération pèse de plus en plus lourd sur le budget et l’Agglomération. L’Agglomération qui avait déjà consacré 2,2 millions d’euros à cette compétence se voit obligée désormais de recourir à la création de la taxe GeMAPI pour financer les actions et la gestion de cette compétence.

En effet, il est prévu de financer des investissements en 2024 à hauteur de 6,55 Millions d’euros.

 

La Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères TEOM : les exigences du tri pèsent sur les coûts ainsi que le coût de traitement des déchets effectué par le Syndicat Départemental TRIVALIS.

L’agglomération prévoit dès 2024 la mise en place du tri à la source des biodéchets. Nous espérons aussi que l’effort citoyen « je trie, donc je gagne » s’appliquera et que la gestion départementale des déchets confiée à TRIVALIS parfois hasardeuse sera aussi mieux contrôlée par les élus et pourra être mieux maîtrisée comme elle l’est dans certaines collectivités.

La Cotisation Foncière des Entreprises (CFE) est un impôt local dû par toute entreprise et toute personne exerçant une activité professionnelle non salariée. Elle est jugée lourde pour certains et injuste. L’agglomération en 2024 devra se pencher sur cette iniquité

Les recettes fiscales 2024 pourraient s’élever en 2024 à 63,35 millions d’euros ...elles étaient en 2023 de 58,8 millions d’euros soit une hausse de 8% par rapport au prévisionnel de2023.

 

LES CHARGES DE FONCTIONNEMENT

Marquées par l’inflation, les dépenses réelles de fonctionnement de l’Agglomération des Sables d’Olonne pourraient atteindre 64,2 Millions d’euros  en 2024, soit une hausse de 6%.

Le poste le plus important est celui des frais de personnel (26,5 millions d’euros + 5% par rapport à 2023). Mais sur ce poste il faut rappeler que la collectivité n’a pas son mot à dire, les variations de l’indice des agents sont fixés par l’État. La collectivité peut jouer sur la mutualisation des charges entre Agglomération et Ville des Sables d’Olonne qui commence à porter ses fruits.

 

LA DETTE

Les frais financiers seront impactés par la hausse des taux d’intérêt. Ils doivent atteindre 1,2 millions d’euros pour 2024 soit le double de 2023.

Le montant prévisionnel de la dette sera en fin 2024 de 52,8 millions d’euros avec un taux moyen espéré de 2,4% ...on est plus au temps des taux négatifs des banques centrales !

En augmentant sa dette de 13 Millions d’euros en 2023, l’Agglomération des Sables d’Olonne reste largement en dessous de 3 années de Capacité d’autofinancement.

La dette 2024 pourrait atteindre 53 millions d’euros. L’endettement est maîtrisé et serait de l’ordre de 7 années de Capacité d’autofinancement en 2026.

 

CAPACITÉ IMPORTANTE D'INVESTISSEMENT MAINTENUE

Ce qui est important, c’est de pouvoir constater que l’Agglomération peut poursuivre sa politique d’investissement en espérant pour 2024 un total de 60 millions d’euros et assumer, par exemple, des engagements financiers pour la lutte contre les risques de submersion et d’érosion, l’aide à l’habitat, les projets récurrents destinées à améliorer la qualité de vie des habitants, à entretenir et à protéger le patrimoine...ES DÉPENSES GLOBALES DE FONCTIONNEMENT

 

EN AUGMENTATION DE 6%DES DÉPENSES GLOBALES DE FONCTIONNEMENT

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20 septembre 2023 3 20 /09 /septembre /2023 18:25
UNE INSTITUTION AUJOURD'HUI RESPECTÉE MAIS PAS ASSEZ ÉCOUTÉE

UNE INSTITUTION AUJOURD'HUI RESPECTÉE MAIS PAS ASSEZ ÉCOUTÉE

 

 

 

 

LA COUR DES COMPTES, UNE INSTITUTION TRÈS UTILE MAIS ENCORE INEFFICACE CAR PAS ASSEZ ÉCOUTÉE : SES ALERTES N’ATTEIGNENT PAS L’ÉLYSÉE !

 

LES QUATRE MISSIONS DE PLUS EN PLUS LARGES DE LA COUR DES COMPTES

La Cour des Comptes est une juridiction très spécifique : elle est le « juge des comptes » et pas celui des comptables et surtout ses missions et pouvoirs vont bien au-delà de cette fonction de contrôle.

Le Contrôle est certes sa mission initiale et encore principale. Partout où de l’argent public est engagé, la Cour des Comptes veille à la régularité, à l’efficience et à l’efficacité de la gestion. Ceci explique l’étendue sans cesse croissante de ses compétences...plus l’État étend ses tentacules plus la Cour des Comptes étend ses missions.

Elle certifie les comptes de l’État et de la Sécurité Sociale.

La Cour assiste le Parlement et le Gouvernement dans l’évaluation des politiques publiques. Elle cherche à vérifier si les résultats d’une politique publique sont à la hauteur des objectifs fixés, et si les moyens budgétaires sont utilisés de manière efficace et efficiente. Cette mission de « conseil » va très loin comme l’attestent l’influence médiatique que peuvent avoir ses rapports.

Elle informe les citoyens et depuis 2022 elle assume une fonction d’interface citoyens pouvoirs publics sur tout ce qui concerne la bonne utilisation de l’argent public.

https://www.ccomptes.fr/fr/cour-des-comptes/nous-decouvrir/role-et-activites

 

LA COUR DES COMPTES JUGÉE INEFFICACE ET REMISE EN CAUSE ET POURTANT NÉCESSAIRE

Lors du Grand débat de 2018 l’efficacité et l’existence même de la Cour des Comptes ont été mises en cause.

Le Premier Président de la Cour des Comptes a repris à son compte cette suggestion et critique des Gilets Jaunes en 2019 face au premier Ministre :

« Les circonstances actuelles imposent, non pas de freiner, mais d'accélérer et de concrétiser l'indispensable démarche de transformation de l'action publique, pour un service public plus performant encore », a insisté Didier MIGAUD, rappelant que la performance des services publics n'était pas à la hauteur des moyens engagés par l’État (56 % de la richesse annuelle), comme si « une loi des rendements décroissants s'appliquait. »

Ce jugement terrible est encore d’actualité avec des dépenses publiques sans cesse en croissance pour un résultat vraiment tés médiocre.

Et en juillet 2023, le Premier Président Pierre MOSCOVICI a repris ce thème devant les sénateurs lors de son audition pour sa présentation des « perspectives des finances publiques »

Sombres perspectives !

C’est presque un réquisitoire : les finances publiques de la France vont dans le mur. La dette obère l'avenir et va plomber le budget de plus en plus.

La décadence du service public toujours plus cher et dont la qualité est de plus en plus mauvaise et le Premier Président citer l’exemple du Service Public de l’Éducation qui, dans les comparatifs internationaux, est sans cesse déclassée.

Mais qui donc a pris connaissance de cette alerte lancée par la Cour des Comptes ?

Certains parlent ainsi trop vite de son inutilité. Nous parlerons surtout de l’inefficacité de son action car elle n’a aucun pouvoir pour sanctionner les erreurs de gestion qu’elle relève. Mais les messages qu’elle nous adresse sont aujourd'hui très importants...pour ceux qui veulent bien en prendre connaissance !

Les élus et tous les citoyens ont largement accès aux documents émis par la Cour des Comptes et ils devraient en prendre connaissance et en faire bon usage.

Donc, le rôle de la Cour des Comptes aujourd’hui est essentiel par le fait que non seulement elle dénonce publiquement les dérives de la gestion des finances publiques mais, en général, elle suggère les correctifs pour remédier aux situations dénoncées. Nous venons d’en avoir des exemples avec le Plan EAU, l’électricité et l’énergie atomique...tout ou presque est dit dans ces fameux rapports.

Rappelons-nous surtout la mise en garde réitérée du Premier Président de la Cour des Comptes aux élus et au Chef de l’État :

« L’effort de désendettement de la France se fait attendre »

Effectivement, avec ce que nous avons entendu du budget 2024 et des perspectives des finances publiques de la France surendettée, le pays est sous la menace d’une crise financière d’une ampleur qu’elle n’a jamais connue.

Les citoyens sont anesthésisés par les médias maîtrisés par la Stratégie du Président MACRON, les alertes lancées par la Cour des Comptes ne les atteignent pas : le réveil sera dur !

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19 septembre 2023 2 19 /09 /septembre /2023 20:45
C'ÉTAIT POUR 2023 ! 2024 N'AMÉLIORERA PAS LA SITUATION...DES NUAGES DANS LE CIEL DE FRANCE

C'ÉTAIT POUR 2023 ! 2024 N'AMÉLIORERA PAS LA SITUATION...DES NUAGES DANS LE CIEL DE FRANCE

 

 

 

 

UNE RENTRÉE POLITIQUE SOUS LE SIGNE DE LA DIFFICULTÉ BUDGÉTAIRE ET FINANCIÈRE DE LA FRANCE

Suite de

https://www.olonnes.com/2023/09/le-budget-2024-une-equation-difficile-a-resoudre.html

 

LES CONTRAINTES 2023 NÉES DE 50 ANS DE LAXISME BUDGÉTAIRE

Le résultat de 50 ans de toujours plus de dépenses publiques conduit l'État Français à devoir se serrer la ceinture sans dire qu'il va mettre en place un plan d'austérité !

Comme cela fut clairement dit par Pierre MOSCOVICI Premier Président de la Cour des Comptes lors de sa présentation en juillet 2023 de la trajectoire financière de l'État :

Pour ceux qui veulent aller plus loin nous recommandons le document de la Cour des Comptes : Situation et perspectives des finances publiques;

https://www.ccomptes.fr/system/files/2023-06/20230629-RSPFP-2023.pdf

 

- La France au sein de la zone Euro ne peut plus se permettre d'afficher des divergences au sein de cette zone euro...la France  présente une trajectoire moins ambitieuse que celle de nos partenaires européens,

 - La France doit donc s'engager à maîtriser ses dépenses publiques ; il faudra faire porter les efforts pour obtenir 10 à 12 milliards d’économies à réaliser par an !

- Mais la France ne doit  pas dépenser plus mais dépenser mieux...et là il y beaucoup à retenir pour pouvoir répondre à la question : la France en Europe dépense plus que les autres pays pour obtenir une qualité des Services Publics dégradée,

- La trajectoire financière présentée par la France n'est pas crédible car elle est fondée sur des hypothèses notoirement trop optimistes et le France si elle ne rétablit pas ses finances publiques sera isolée au sein de l'Europe...la Cour des Comptes parle de divergences au sein de la zone Euro et c'est très grave.

Pour ceux qui veulent aller plus loin nous recommandons le document de la Cour des Comptes : "Situation et perspectives des finances publiques" :

https://www.ccomptes.fr/system/files/2023-06/20230629-RSPFP-2023.pdf

 

UN GOUVERNEMENT VEUT RASSURER LES CITOYENS POUR 2024 MAIS LA CRUELLE RÉALITÉ DE LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA FRANCE NE PERMET PAS L'OPTIMISME

Des cafouillages que nous avons entendus ces dernières semaines avec des communications divergentes entre l’Élysée, Matignon et  BERCY...il ressort :

- pour le budget 2024 qu'il n'y aura pas d'impôts nouveaux et même une promesse de baisse en...2025 ?? ce qui est intéressant mais seulement pour celui qui y croit ! et 2025 n'est pas 2024 !

- pas de hausse de la facture électricité, mission impossible...puisque la facture d’aujourd’hui est amoindrie fictivement par le bouclier tarifaire...

- une baisse des dépenses publiques de 16 milliards d'euros particulièrement en supprimant ou diminuant le "bouclier tarifaire" électricité, 

- 7 milliards de dépenses seront consacrés au plan Vert...

 

LE GOUVERNEMENT VA-T-IL FAIRE VOTER AU PARLEMENT UN BUDGET INSINCÈRE ?

Comment le Gouvernement pourra-t-il dégager des moyens pour rétablir une situation claire et saine et crédible ?

Nous découvrirons le déficit prévisionnel du budget en fin septembre : une seule chose est sûre, encore une fois, le budget de la France va être présenté avec un déficit supérieur au fameux 3% du PIB.

La situation financière de la France est dégradée : trop de dépenses, pas de recettes nouvelles possibles, une dette insoutenable qui va continuer à augmenter en 2024.

Les prélèvements obligatoires mettent la France en tête, pour la zone Euro, en battant tous les records avec un taux de 45,4  % du PIB. Or, il  n'est nullement question de rogner sur les dépenses publiques.

Les dépenses publiques culminent à 57% du PIB et la qualité des services publics paradoxalement ne cessent de se dégrader : hôpitaux, sécurité, armée, éducation...

La dette a franchi le cap symbolique et alarmant des 3 000 milliards d'euros soit 115% du PIB et les taux d’intérêts qui montent pour lutter contre l'inflation vont impacter fortement le budget : le poste "intérêts de la dette" va en 2024 dépasser le budget de l’Éducation !...il pourrait atteindre 50 milliards en 2024 et atteindre 70 milliards d'euros en 2027 ! Et face à cette situation le Président MACRON ne cesse de promettre des dépenses supplémentaires.

Face à cette situation et aussi face à l'inexistence de volonté ferme exprimée par le Gouvernement de redressement des finances publiques de la France, nous ne pouvons qu'afficher notre pessimisme.

Aujourd’hui,  déjà la Banque de France prend du recul et elle contredit les annonces des hypothèses gouvernementales pour l'élaboration du budget 2024 jugées trop optimismes pour ne pas dire mensongères particulièrement sur l'évolution de l'inflation et pour la prévision de la croissance. Les chiffres annoncées par la Banque de France sont inférieurs à ceux du gouvernement. Par exemple, pour le taux de la croissance la Banque de France annonce un taux de 0,9 % pour 2024 alors que le Gouvernement a opté pour un hypothèse de taux de 1,4 %. 

Déjà, la Cour des Comptes avait estimé que les prévisions gouvernementales étaient trop optimistes.

Maintenant, sortant de son habituelle réserve, la Banque de France contredit aussi le Gouvernement.

Tout cela n'est pas rassurant ! et n'est pas de bonne augure pour rétablir la confiance entre le peuple français et ses dirigeants : Président de la République et Gouvernement. Cela se traduit déjà par les dépôts record des français en épargne : signe patent de défiance par rapport au lendemain.

 

 

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14 septembre 2023 4 14 /09 /septembre /2023 20:10
BERCY : LA FABRIQUE DU BUDGET DE LA FRANCE

BERCY : LA FABRIQUE DU BUDGET DE LA FRANCE

 

 

 

 

AVEC LA RENTRÉE, PARLONS DU BUDGET DE L'ÉTAT

 

RAPPEL : LE BUDGET DE L'ÉTAT EST UNE ÉNORME ET COMPLEXE MACHINE

Nous allons tenter d'un peu clarifier la situation avant de vous donner une analyse de ce qui pourra, dans la difficulté, être proposé au Parlement. Et on reparlera de l'article 49 3 pour le ou les votes du ou des budgets.

Le budget de l’État doit correspond à l’ensemble de ses ressources et de ses dépenses. Il faut pour que le Parlement puisse juger et voter ce qui est le budget de l'État que la proposition du Gouvernement soit "sincère". La Cour des Comptes a dans le passé osé parler "d'insincérité" des comptes".

L’essentiel des ressources provient des impôts et des taxes payées par les citoyens et les entreprises. Les dépenses correspondent à l’argent que l’État utilise pour financer toute l'action publique : police, justice, recherche, éducation…mais maintenant cela va bien au-delà. Ne serait-ce que pour englober les dépenses au titre des engagements sociaux et autres.

En 2023, c'est 40 ans de déficit des budgets qui aboutissent à faire apparaître une accumulation au fil des années la dette de l’État qui est supérieure à 3 000 milliards d'euros ! Une situation dangereuse qui pèse sur la crédibilité de la France au regard de l'Europe et du monde financier.

Il ne faut pas oublier que les budgets des États composant la zone "EUROS" sont liés par le fameux "pacte de stabilité et de croissance" qui  désigne un ensemble de critères que les États de la zone euro se sont engagés à respecter vis-à-vis de leurs partenaires...et c'est là où la dette française colossale pose des limites au "quoi qui l'en coûte".

 

BUDGETS DE L'ÉTAT

Rappel des chiffres 2023 des budgets de l'État (sources : https://www.budget.gouv.fr/budget-etat)

 

recettes totales : 516 milliards d'euros

dépenses totales :   682 milliards d'euros 

déficit prévu : 166 milliards d'euros ...la prévision sera dépassée...quoi qu'il en coûte !

puisqu'au 31 juillet 2023, le solde général d’exécution s’établit à -169,0 milliards d'euros contre -131,2 à fin juillet 2022.

Pour le seul "Budget Général" qui est celui des fonctions régaliennes qu'on pourrait qualifier d'obligation pour un État :

recettes : 293 milliards d'euros

dépenses : 455 milliards d'euros

déficit prévu : 162 milliards d'euros pour 2023

 

LES FINANCES PUBLIQUES

Ce serait trop simple, il faut savoir que pour avoir une idée des "finances publiques" il faut englober et prendre les quatre secteurs  :

  • l’État et les Organismes divers d’administration centrale (ODAC) : ces deux secteurs réunis composent l’ensemble des administrations publiques centrales,
  • les administrations publiques locales (APUL) qui incluent l’ensemble des collectivités territoriales mais aussi les organismes divers d’administration locale,
  • les administrations de sécurité sociale (ASSO) qui regroupent les ODASS et l’ensemble des régimes d’assurance sociale : régime général et régimes spéciaux de Sécurité sociale, régimes de retraite complémentaire ou assurance-chômage.
Et c'est la surprise (les chiffres connus sont de 2020)
 
dépenses  : 1 422,8 milliards d'euros
recettes : ; 1 210,8 milliards d'euros
Déficit des finances publiques : 212 milliards d'euros !
 
Retourner à l'équilibre budgétaire, ce n'est donc pas pour demain ! et pourtant il faudra bien y arriver un jour!
 
 
À SUIVRE :
LE BUDGET 2024 UNE ÉQUATION DIFFICILE À RÉSOUDRE
 

 

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