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18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 20:20
SOLIDARITÉ !

SOLIDARITÉ !

 

 

 

L’AIDE SOCIALE À L’ENFANCE COMME LA DÉPENDANCE DES PERSONNES ÂGÉES

 

En 2025, le modèle social en France est en double échec grave : la jeunesse et la vieillesse. Pour celle-ci, nous attirons l'attention depuis deux décennies sur le problème social de la dépendance liée au vieillissement. Nous avons fait de nombreuses parutions sans attendre que les médias bougent sur le scandale dit des EHPAD. En réalité, depuis les Présidents CHIRAC et surtout SARKOZY, il y a eu des tentatives désespérantes de sensibiliser la population à la notion de solidarité nationale nécessaire qui va frapper la France avec un million de familles concernées. La seule réponse fut de donner cette compétence au « département », structure territoriale elle-même en péril.

Pour plus d’informations voir sur ce site « dépendance » devenue au niveau de la Sécurité Sociale le cinquième risque que l’Institution doit gérer surtout financièrement. Mais cela ne règle pas ce problème

Quand on examine ces deux problèmes sociaux force est de constater que le modèle français a un défaut commun : le nombre d’Institutions des secteurs public et privé qui ont des « compétences » par exemple sur la dépendance liée au vieillissement et sur l’enfance est considérable, misérable tout en étant budgétivore et d’une inefficacité redoutable.

 

LE SERVICE PUBLIC À L’ENFANCE CONDAMNÉ ! « UNE POLITIQUE PUBLIQUE EN SITUATION D’ÉCHEC », « L’ÉTAT, PREMIER PARENT DÉFAILLANT DE FRANCE»

 

L’AIDE À L’ENFANCE

Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (ASE) mettent en œuvre diverses actions dans le cadre de la politique de protection de l’enfance, à des fins de prévention, de repérage des situations de danger ou de risque de danger, et de protection. Les deux principaux modes d’intervention sont l’aide à domicile et la prise en charge matérielle.

- La première recouvre à la fois des interventions à domicile et des aides financières.

- La seconde correspond essentiellement à des mesures de placement en dehors du milieu familial. La spécificité de cette politique, est que les mesures d’aide sociale à l’enfance relèvent pour tout compliquer à la fois des pouvoirs administratifs et judiciaires.

La protection de l’enfance est un problème humain qui est complétement à la dérive et d’une extrême gravité. L’État, mauvais parent, deviendra-t-il un outil à faire nos délinquants, nos enfants perdus de demain. ? Nous en sommes là !

 

Les « rapports » pleuvent et sont consternants : Cour des comptes, Inspection Générale des Affaires Sociales, Parlement (RAPPORT FAIT AU NOM DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance, dont les titres sont des alertes d’une rare violence :

 

« Première partie : un système qui craque de toutes parts 

I. La construction du droit de la protection de l’enfance : d’un système caritatif à une législation étoffée mais largement inappliquée

Une politique publique en situation d’échec »

« L’État, premier parent défaillant de France

Une politique déléguée aux départements sans moyens pour l’assumer »

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cease/l17b1200-ti_rapport-enquete#

 
Au moins ce rapport est clair et inquiétant. Il donne même le cafard. La France est un pays qui a aussi un énorme problème dont on nous rabat les oreilles : la démographie et particulièrement la dénatalité.

Mais quand il s'agit d'aider et de sauver des enfants, l'État n'apporte plus les solutions. Nos dirigeants sont trop souvent aux abonnés absents.

Le département est responsable, mis en procès mais les moyens matériels en charge de l’État financiers et humains sont défaillants.

Dons le personnel dévoué à la cause de l'enfance en difficultés est en situation de désespérance et les nombreux bénévoles désabusés : une situation désespérante qui démobilise même les meilleures volontés.

 

POUR UNE POLITIQUE DE LA FAMILLE

Au nom d’idéologies dont on mesure le côté malsain jusqu’au plus haut niveau de l’État il n’y a plus de politique de la famille et dans ce domaine les dégâts ne cessent de s'aggraver. 

La solidarité nationale pourtant fondement des liens sociaux n’intéresse plus nos politiques (les enfants et les personnes âgées n'ont pas de bulletins de vote intéressants !)si ce n’est pour détruire. Pourtant, dans notre devise nationale « Liberté Égalité, il y a FRATERNITÉ » donc SOLIDARITÉ...la Liberté individuelle parfois ou souvent égocentrique ne doit pas chasser la SOLIDARITÉ...c’est bien de ce côté-là qu’il faudra chercher les solutions d’abord en réhabilitant et aidant LA FAMILLE.

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