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23 novembre 2024 6 23 /11 /novembre /2024 19:46
AU 17 NOVEMBRE 2024, LE TAUX DE REMPLISSAGE DES RETENUES DE VENDÉE EAU EST DE 64,1 %

AU 17 NOVEMBRE 2024, LE TAUX DE REMPLISSAGE DES RETENUES DE VENDÉE EAU EST DE 64,1 %

 

 

AVANT L'HIVER UN TAUX DE REMPLISSAGE DES BARRAGES PLUS QU'HONORABLE

La Vendée sur le plan de l'approvisionnement en eau potable  a au moins deux caractéristiques ;

- de ne pas avoir de capacité de stockage dans des nappes phréatiques et ceci a contraint le département à créer des  retenues réparties sur tout le département et d'assurer la péréquation entre les secteurs avec un réseau qui permet les transferts d'un secteur à l'autre.

Les vendéens doivent pouvoir et devoir donc se satisfaire des eaux de ruissellement qui remplissent les reteniez malgré des périodes de fortes évaporations au moment de l'affluence estivale.

- d'avoir un Syndicat départemental VENDÉE EAU.https://www.vendee-eau.fr /qui regroupe quasiment toutes les communes et gère le bien commun nommé eau potable.

Au 17 novembre 2024, le taux de remplissage des retenues de Vendée Eau est de 64,1% .

 

ENCORE DES RESTRICTIONS DE CONSOMMATION POSSIBLES

La problématique en Vendée, c'est que la capacité maximale des retenues est d'environ 60 millions de m3. La consommation annuelle est estimée à environ 40 millions de m3. Elle peut être améliorée en rehaussant certains barrages, avec le recyclage des eaux usées (projet JOURDAIN), en réveillant le dossier de nouveaux barrages sur certains sites possibles  ...si L'Europe et les écologiques qui font la loi le veulent bien !

L'eau potable traitée n'est pas faite pour l'arrosage ni l'irrigation (d'où parfois lors de périodes longues de sécheresse des arrêtés préfectoraux viennent interdire  certaines pratiques qui ne sont pas vitales mais gênantes! ).

Nous devons donc en Vendée et dans les autres départements à risques de manque continuer à savoir  économiser l'eau potable au niveau individuel avec, par exemple, des réserves provenant des eaux pluviales dont l'achat est parfois facilité par les collectivités.

Mais il faudrait pour la Vendée pouvoir éviter l'erreur que constituerait l'implantation d'usines de déssalement de l'eau de mer qui est une solution de facilité mais très énergivore.

 

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