LA DROGUE FAIT TOUJOURS MAL. NOUS SOMMES TOUS CONCERNÉS PAR CE FLÉAU QUI RONGE NOTRE SOCIÉTÉ
MERCI À PIERRE PALMADE ET ARRÊTONS DE NOUS BOUCHER LES YEUX
MAINTENANT IL FAUT ATTAQUER LE MAL SOCIÉTAL DE LA CONSOMMATION DE DROGUES QUI GÉNÈRE TANT DE DRAMES
Nous pouvons remercier le bouffon Pierre PALMADE de la terrible démonstration dramatique qu’il vient de nous offrir.
Merci Pierre, mais avant, nous devons d’abord apporter aux victimes de l’accident dont il reconnait être responsable notre grande compassion et nos vœux de prompt rétablissement. Nous soutenons le courage qu’il faudra aux victimes pour affronter ce qui les attend.
La Maire de Paris à force de fermer les yeux comme les élus des grandes villes et maintenant ceux des villes moyennes sont devenus au sens pénal du terme des complices objectifs de la délinquance liée aux trafics. Ils sont, de par la loi, responsables de la Sécurité donc de la santé de leurs concitoyens.
FACE À UN FLÉAU NATIONAL UNE MOBILISATION NATIONALE
Mais il n’y a pas encore de prise de conscience collective du danger de la drogue comme nous l’avons ressentie et vécue dans la lutte contre l’alcoolisme et le tabagisme qui restent des causes nationales.
Pourtant, on voit passer quotidiennement dans tous les Tribunaux de France et de Navarre de jeunes trafiquants, de jeunes consommateurs qui glissent souvent par besoin du petit trafic au vol, parfois au meurtre volontaire ou involontaire.
De ce que nous venons de vivre, avec l'affaire PALMADE, on peut conclure que pour organiser cette lutte contre la drogue il faut admettre que dorénavant le temps de l’indulgence et du laxisme est révolu.
UNE AFFAIRE PÉNALE EXEMPLAIRE : LE DOSSIER PALMADE
Mais surtout maintenant il faut que, pour le dossier PALMADE, la Justice suive son cours en toute sérénité et avec dignité. Pas de justice spectacle. La Justice doit dire le droit, rien que droit mais tout le droit de manière exemplaire. Au Parlement de voir s'il faut améliorer les lois pour une vraie lutte efficace contre le fléau.
D’autre part, si Pierre PALMADE veut vraiment se réhabiliter il doit d’abord accepter d’être soigné. Car derrière toute addiction il y a un malade à soigner.
Puis, comme il est devenu un symbole, il doit lui-même dénoncer le scandale dont il est l’auteur et la victime. Il est condamné à lutter et dénoncer la libre circulation de toutes les drogues en commençant par ceux qui furent ses fournisseurs, les dénoncer en respectant le secret qui entoure toute affaire pénale.
CE DRAME PALMADE DOIT FAIRE COMPRENDRE QUE TOUTE PERSONNE QUI CONSOMME UNE DROGUE EST PRÉSUMÉE DANGEREUSE ET DONC MAINTENANT IL FAUT DÉCLARER LA GUERRE AU FLÉAU
Consommateurs de drogues qu’ils soient fils de petit bourgeois, d’avocat célèbre ou pas, de hauts fonctionnaires, sans logis, jeunes, vieux, étudiants en goguette ou travailleur...ils sont tous en danger et dangereux.
Il n’y a pas des drogues dures et des drogues douces...il n’y a que des drogues qui tuent, qui altèrent les facultés, qui font des lobotomisés. Par exemple, le cannabis même à petite dose conduit à l’addiction donc à la dangerosité et pire sa consommation par des adolescents altère définitivement leurs capacités. Ne parlons pas des dégâts causés par une absorption d’une drogue sur le fœtus !
Face à ce fléau, la Justice a son rôle à jouer puisqu’il y a des délits commis, Il faut que les juges appliquent la loi, rien que la loi mais la loi et il faudrait qu’ils rappellent aussi aux parents d’enfants mineurs compromis dans une affaire de drogue leurs responsabilités pénale et civile.
Les policiers de terrain BAC et autres qui sont amenés à suivre des audiences dans les tribunaux de leur ressort se plaignent trop souvent de l’indulgence pour ne pas dire du laxisme des magistrats.
Il ne faut pas mettre les Magistrats globalement en accusation. Ce qui peut paraitre du laxisme constaté et dénoncé découle tout simplement d’une part, du manque de magistrats et d’autre part, du manque de moyens de notre Justice : manque de personnels spécialisés, auxiliaires de justice, et pour les délinquants condamnés manque d’au moins 15 000 places dans les prisons où les addictions sont traitées.
La drogue est un fléau social qu’il faut soigner en priorité : investir dans la lutte contre toutes les drogues c’est investir dans la sécurité, dans la santé publique, dans l’éducation
Avec tout le mal qu’il a pu faire à cause de ses addictions dont celle de la drogue Pierre PALMADE peut (ou doit) devenir le symbole de la lutte contre toues les drogues...ce serait un grand bien.
À QUAND UN PLAN DE PRÉVENTION CONTRE TOUTES LES ADDICTIONS ET PARTICULIÈREMENT CONTRE TOUTES LES DROGUES ?
L’ALCOOL, LE TABAC MÊME ENCADRÉS CONTINUENT À FAIRE DES RAVAGES.
MAIS N’OUBLIONS PAS QUE LE LAXISME QUI A AINSI PRÉVALU AVANT LEUR ENCADREMENT A COUTÉ TELLEMENT D’EFFORTS. ET QUE CE N’EST PAS ENCORE GAGNÉ !
SOYONS RAISONNABLES ÉVITONS DONC LA LIBÉRALISATION DU CANNABIS ET DES OPIACÉES