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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 21:12

 

Les-Sables-Chateau-olonne-vues05829.jpg

 

Nous aurons peut-être à reprendre en d’autres circonstances cette citation…mais moins on l’évoquera mieux se portera la démocratie locale :

"La politique est une volonté de vaincre en recourant au mensonge." Tahar Ben Jelloun

Commander et livrer à la presse un sondage bidon participe du mensonge.

Mais déjà n’oublions pas que, pour ces prochaines élections municipales de mars 2014, il faut un débat sur des programmes et non sur des menteries, des bruits de couloir... et pour  mener ce débat il faut  des hommes et des femmes de terrain prêts à s’investir pour leurs concitoyens.

Moins la "politique politicienne" se mêlera de ces élections locales mieux se portera le citoyen électeur du Pays des Olonnes. Celui-ci doit pouvoir élire un concitoyen et son équipe qui devront être les meilleurs gestionnaires du patrimoine communal et les plus proches de tous les citoyens de leur commune (et communauté de communes).

LES FAITS : un sondage  contestable et une condamnation de cette pratique sans appel

Les candidats potentiels au remplacement du maire sortant  Louis GUEDON ne se sont pas encore déclarés et déjà les manœuvres qui honorent peu leurs auteurs ont commencé.

En mars dernier (Ouest France 27 mars 2013) un pseudo sondage avait déjà éveillé notre attention…tendancieux et ridicule.

 

Maintenant que l’on s’approche de l’échéance et avant même les déclarations de candidatures voilà un deuxième sondage immédiatement contesté auprès de la Commission des Sondages.

Il ne s’agit pas d’une simple contestation mais d’une action du type contentieux ladite commission des sondages étant une Institution particulièrement sérieuse voulue par le législateur. 

En effet, le législateur a voulu, en 1977 puis en 2002, édicter les dispositions nécessaires pour que la publication des sondages électoraux portants sur des intentions de vote ne vienne pas influencer ou perturber la libre détermination du corps électoral.

La loi n°77-708 du 19 juillet 1977 modifiée relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion exige que la publication ou la diffusion des sondages électoraux soit accompagnée d'indications précises. Le" juge" de l'application de cette loi est la Commisssion des Sondages.

 La Commission des sondages est composée de neuf membres désignés, par décret en conseil des ministres pour trois ans, en nombre égal parmi les membres du Conseil d’État, de la Cour de Cassation et de la Cour des Comptes.

Tout citoyen qui entend contester la validité d'un sondage qui ne lui paraît pas conforme aux exigences de la loi peut saisir par voie de réclamation la commission de sondages dans les cinq jours de la publication litigieuse. Ces réclamations doivent en principe être motivées.

Aux Sables d’Olonne, actuellement, on cite une candidature affichée : celle du Docteur Brigitte TESSON, conseiller régional, maire adjoint. Il y a aussi des candidatures officieuses qui ne se sont pas déclarées publiquement : celles d’Yves ROUCHER premier adjoint, de Didier GALLOT magistrat et père du festival SIMENON et éventuellmeent d'autres adjoints de la majorité sortante; les déclarations de la gauche sablaise et des Verts pourraient aussi déboucher sur une ou des candidatures.

Effectivement, sur ces bases pleines d’hypothèses effectuer un sondage et diffuser des résultats peut paraître déontologiquement peu raisonnable voire condamnable.

   

RESULTATS

La Commission des Sondages, sur la requête de Madame Brigitte TESSON, a « condamné » ce sondage pour son « absence du caractère significatif des résultats » tant sur le fond que sur la forme : échantillon douteux, présentation des candidats douteux…

Ceux qui ont commandé et ceux qui ont réalisé ce sondage sont particulièrement disqualifiés pour l’avenir : avant le démarrage de la campagne électorale une telle manœuvre est disqualifiante. Par ce sondage on a  voulu tromper les habitants du Pays des Olonnes. Il faudra que les électeurs se souviennent  de cet épisode pré électorale. 

La presse, une nouvelle fois, est piégée : elle a fait croire à ses lecteurs ce qui n’était qu’un leurre. Elle se rattrape un peu en publiant largement la décision de la Commission mais le mal était fait. Elle aurait peut-être dû investiguer avant de diffuser une information qui s’est révélée très contestable.

On parle maintenant d'un sondage qui est imputé à l'UMP. Dommage pour une élection municipale…il était un temps où Louis GUEDON au niveau des municipales voire des législatives gardait ses distances par rapport aux « partis »…maintenant, c’est la course à l’investiture ! Il faudra que les candidats comprennent que les disputes internes à l’UMP pour les municipales n’intéressent pas l’électeur du Pays des Olonnes. Dans l’opinion des habitants du Pays des Olonnes, l’UMP et ses querelles internes au niveau national reprises au niveau déprtemental et local n’intéressent pas l’électeur     sablais.  Ce qui se jouera en mars 2014, c’est l’avenir du Pays des Olonnes et non l’avenir de l’UMP !

 

 

Il ne faut pas minimiser la portée de cet incident de précampagne. Il atteste du manque de maturité et d'éthique d'éventuels candidats et de l'introduction de la politique politicienne qui n'a rien à faire dans ce futur débat dont le thème sera l'avenir du Pays des Olonnes. Ce débat passera par le renouvellement de ceux que le peuple choisira pour mettre à la tête des communes et de la communauté de Communes.

 

 

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17 août 2013 6 17 /08 /août /2013 22:20

 

 

 

 En bordure du chenal un site exceptionnel qui ne pouvait qu'attiser la convoitise.

 

sous préfecture 2

 

 

 

vue-generale-3.jpg 

  Au vu de ces photos on peut imaginer tout l'attrait de ce site bien abrité des regards des curieux ; au centre, la magnifique demeure maison de Chailley qui était la maison de maître, résidence du sous-préfet.

 

 

Le parc de la sous-préfecture des Sables d’Olonne transformé…en parc public

Étrange conclusion d’un débat qui n’a pas vraiment eu lieu : le parc serait transformé en…parc ! Il était pourtant au PLU classé en zone constructible.

 

Dès l’annonce du déménagement de la sous-préfecture au centre-ville des  Sables d’Olonne une question s’est posée : que va devenir le site ?

 Le dossier de l’ancien  Lycée Tabarly, celui du Super U, celui du site de l’ancien Hôpital…tout cela a agité le monde sablais…et pour les 2 premiers dossiers les chaumois étaient concernés en premier.

Leur crainte légitime était de voir le parc rayé de la carte et être sacrifié au bétonnage ambiant.

D’où, d’un côté, la constitution d’un collectif pour la sauvegarde du Parc et de l’autre, la majorité au Conseil Municipal entre les deux la population sablaise et chaumoise.

L’idée qui allait de soi a été de consulter la population sablaise…étant entendu que les non sablo-sablais étaient exclus du droit à la parole. Normal : la fusion n’a pas été entérinée, chacun reste chez soi.

 

Malgré les critiques faites sur le mode et la date et la durée de la consultation, la mobilisation s’est faite et la quasi-unanimité de ceux qui se sont exprimés s’est prononcée à ce jour pour le maintien du parc…en parc.

Le premier adjoint des Sables d’Olonne Yves ROUCHER en a tiré la conclusion reprise dans le Journal des Sables : respecter « le choix de la population, la maison Chailley sera protégée et nous annoncerons officiellement la création de ce parc public lundi prochain ».

Nous devons aussi tirer les premières conclusions de cette procédure :

1) Pourquoi au PLU ce Parc a-t-il été mis en zone constructible ?

 

2) La création et la mobilisation d’un collectif d’associations ne peut qu’être favorable à l’ébauche de solutions correspondant aux vœux des citoyens (attendons d’avoir des chiffres sur cette « consultation » pour juger de l’ampleur de la réaction des citoyens et de son impact).

3) La période préélectorale (prochaines élections municipales en mars 2014) telle que nous la vivons en cette fin de mandat, est favorable à l’expression de la démocratie directe : pourquoi ne pas utiliser cette procédure plus régulièrement sur les grands choix ?

4) Certes il existe la procédure souvent obligatoire de l'enquête publique dont on connaît toue les défauts et qui se traduit par une fausse concertation. Les citoyens croient si peu à cette "consultation" qu'ils la boudent...il serait temps d'en revoir les modalités.

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12 juillet 2013 5 12 /07 /juillet /2013 15:11

  Réunion blockhaus

 

 Blockhaus 5

 

 

 

REUNION PUBLIQUE SUR LA DEFENSE DU PATRIMOINE AUX SABLES D’OLONNE…d’abord le BLOCKHAUS de l’ABBAYE SAINTE CROIX …vous connaissez ?

 

Une cinquantaine de personnes attentives sont venues s’informer sur le devenir du site qui jouxte l’Abbaye Sainte Croix à l’angle de l’avenue de Verdun et de la rue Alcide Gabaret.

Claire Legrand, élue de la liste « Demain les Sables », petite fille de déportés, évoque la transmission de la mémoire et la nécessité de préserver le blockhaus situé à cet endroit, vestige de la seconde Guerre Mondiale, pressenti par la municipalité pour disparaître au profit d’une médiathèque.

 Geoffroy de Baynast expose, photos à l’appui, le bon état de conservation du blockhaus qui porte la date de septembre 1943. Il est caché par de la végétation. C’est l’un des monuments historiques les plus valables du Pays des Olonnes.

...un peu d'histoire

 Local sanitaire de type H118, mesurant 27,20 m x 12,80 m, il comporte deux entrées, un local d’admission, une salle pour les gazés, des douches, des salles de soins et de repos, des locaux techniques… La disposition en labyrinthe permettrait une déambulation, si on le transforme en musée, en raison des deux accès.  En France, il y a très peu de blockhaus de ce type : un à La Rochelle et un au Havre, très dégradés, un à Brest, désaffecté. Les autres ont été rasés.

 

Après le départ des Allemands, il a servi de logement de secours à des familles sinistrées, puis de local aux services techniques espaces verts de la ville. C’est encore cet usage qui prévaut pour conserver les bulbes floraux car la température et l’hygrométrie y sont constantes et idéales. C’est un ouvrage massif où subsistent des inscriptions en allemand comme la traduction de « la nuit, pas de lumière devant les ouvertures ». Les portes fonctionnent toujours. Il est entièrement étanche et comporte un système de renouvellement de l’air, en cas de fermeture prolongée, par des bouches de soufflage à vis et des tuyaux d’acheminement de l’air. Tout est encore en état de fonctionnement.

En raison de la vocation sanitaire de l’édifice, les sols sont carrelés de tomettes dans les salles de soins et de repos et les murs peints en blanc. Dans la salle des machines, les chaudières ont disparu. Le tableau électrique subsiste, ainsi qu’une citerne d’eau de pluie et une pompe qui fonctionne encore. Des cuves servaient au stockage d’eau. L’intérieur sent le renfermé mais ne recèle pas d’humidité.

Le blockhaus, qui occupe 340 m² sur 43 000 m² libres alentour, est menacé par le projet de médiathèque de 1480 m² sur deux niveaux. Cela prendrait largement sur le jardin public attenant.

L'environnement et son devenir

 

L’école de musique neuve, dont quelqu’un rappelle l’aspect « blockhaus », cache les façades XVIIede l’ancien monument. L’architecte des bâtiments de France a donné un avis favorable au projet de médiathèque qui devrait être orné de parements de pierres comme la récente école de musique. Il y a de la place au nord, près du pavillon Maurice Durand.

Nous demandons que le blockhaus soit préservé même si le projet de médiathèque est maintenu malgré l’attaque de l’écrin de verdure qu’il provoquerait. Déjà la verrière devant l’abbaye Sainte Croix (projet d’un million d’euros) sera chauffée par un système géothermique qui portera atteinte aux racines des grands arbres alentour. La statue en mémoire des martyrs de la guerre va être déplacée.

 

Proposition : ouvrir le blockhaus au public comme celui de l’infirmerie sur l’Ile de Jersey. Compte tenu du bon état de l’édifice, cela coûterait beaucoup moins cher que de le démolir.

 Il n’est pas trop tard pour s’opposer à la démolition du blockhaus envisagée par la majorité municipale. Pour cela il faut créer une association de défense du site, et donc ainsi une personne morale sur le plan juridique.

Monsieur Pecheul réfléchit à un projet de protection pour classer ou faire inscrire le site aux monuments historiques en tant qu’édifice en voie de disparition. Les blockhaus d’Olonne sur Mer, attaqués par les tempêtes, ont dû être démolis.

Le blockhaus des Sables ne présente pas un aspect de souvenir « agressif » puisque c’était une d’infirmerie et un lieu de repos.

Une personne du public demande pourquoi il n’y a pas de plaque sur le blockhaus. Réponse : parce que la municipalité ne manifeste aucun intérêt à cet édifice. Différentes associations ont pourtant demandé un lieu de mémoire. Suggestion : faire intervenir le DRAC, le Ministère des Anciens Combattants ou celui de la Défense.

La démolition envisagée coûterait au moins 300 000 € et menacerait les immeubles alentour. La municipalité rétorque qu’il existe de nouveaux procédés sans danger. Un ancien préconisait de « ne jamais toucher à ça car on ne sait pas ce qu’il y a en dessous. » Si des explosifs doivent être utilisés, il faut que la population le sache.

La visibilité du blockhaus depuis l’éventuelle médiathèque entraînerait sa disparition à grands frais et risques, alors que la dotation de l’état va baisser de 500 000 € pour 2014.

Il faut faire savoir à toute la population que l’intérieur du blockhaus est en bon état. France 3 Pays de la Loire a demandé les clés à la mairie. Les obtiendra-t-il ?

Plus globalement, il y a urgence à établir un plan triennal, car tout est géré au coup par coup.

La Ville des Sables d’Olonne a obtenu la piteuse note de 0 sur 20 dans la notation de Contribuables Associés sur la gestion des finances publiques.

Les « vieux Sablais » sont étonnés de ce peu d’intérêt de la municipalité pour le blockhaus, alors qu’il avait fait l’objet d’un numéro de la revue Olonna en 2010. Constant Friconneau et Roger Heriaud sont au courant de la réunion et d’accord avec son objet. Ces « anciens » n’avaient pas les connaissances juridiques suffisantes pour se faire entendre. Il faut fédérer les associations opposées au bétonnage. On pourrait viser une « ville jardin » comme Singapour ou La Rochelle, attirer le tourisme par un aspect jardin, protéger le patrimoine dans une réflexion plus vaste. La représentante d’Olonna présente confirme que les traces du passé disparaissent comme les ex-usines liées à la pêche à la morue.

Actuellement se déroule une consultation sur le site de la sous-préfecture, mais la municipalité ne tient pas compte des avis émis par les Sablais. On ne les écoute pas sur des sujets comme la privatisation de rue, cadeau à des promoteurs privés, etc. La « croisée culturelle » (verrière ou « véranda ») de l’Abbaye Sainte Croix va être réalisée quelque soit l’avis des Sablais, qui pensent encore que c’est un projet non entériné.

Suggestion : le site de l’ancienne EDF, cours Dupont, serait un bien meilleur emplacement pour une médiathèque. Il est vide depuis de nombreuses années. Le monument de la Banque de France a été vendu à un promoteur 1,3 millions d’euros, soit à peine plus que le coût de la verrière.

Exemple d’aberration du PLU : le nouveau et haut immeuble du carrefour de l’avenue d’Aquitaine et du boulevard Laplace, « pieu » ou « verrue » au milieu de pavillons.

 

Action envisagée : rassembler un maximum de personnes devant la mairie un jour ouvrable pour protester et obtenir un moratoire quant à la médiathèque et au blockhaus jusqu’aux élections municipales de mars 2014. Cette décision ne peut être obtenue d’un juge qu’au nom d’une association préalablement créée au titre de « protection du site de l’Abbaye Sainte-Croix ».

Rappelons que la médiathèque n’était pas au programme de l’équipe de Louis Guédon lors des dernières élections municipales. Il n’est apparu qu’après l’annonce de la réalisation d’une médiathèque dans une commune voisine… Comme la verrière, il risque d’être mené à marche forcée en raison de l’imminence des prochaines élections.

 

 

 

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28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 16:34

Au moins les SABLES d'OLONNE ne manquent pas de têtes de liste.

On en parle beaucoup de ce sondage...faites-vous votre opinion.

En voici la teneur :

 

sondage2013

 

 

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 12:34

 

 

Espérons que ce soit sans dommage pour "Les Barges"

 

DSCF0672

 

 DSCF0669

 

 

 

 

 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 20:24

 Il n'y a pas qu'à Château d'Olonne (cas de l'ancienne clinique au Pas du Bois)  où des transferts d'activité laissent la place à des zones "abandonnées" pour toutes sortes de raisons (administratives souvent, manque de diligences, projets en sommeil..)

 

    ancien-Lycee-TABARLY.jpg

Ainsi l'ancien Lycée TABARLY à la Chaume (en triste état) qui ne fait pas la joie des voisins !

DSC09359.jpgDSC09361.jpg

 

L'ancien Hôpital en attente de projet immobilier...

  Ancien-Hopital-google-earth.jpg

 

Nous poursuivrons cette illustration des dents creuses (des espaces supérieure à 1 hectare),voire des zones en friches alors qu'il se répète que le Pays des Olonnes manque de zones constructibles !

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20 juillet 2012 5 20 /07 /juillet /2012 17:59

 

 

phare de l ARMANDECHE0001

Ce phare du haut de ses 39 mètres annonce au navigateur son arrivée aux Sables d'Olonne en VENDEE. 

Il va être classé monument historique malgré sa "jeunesse".

Puise sa lumière éclairer nuit et jour nos dirigeants et leur indiquer le chemin qui mène le Pays des Olonnes à bon port. 

 

 

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 17:53

vieux grééments 038 

      

    

Ce week-end fut un pur moment de bonheur pour les amoureux du patrimoine nautique.

Et cela grâce au « Bonheur des Dames ».

L’association qui l’a restauré a eu la bonne idée d’organiser un rassemblement de vieux gréements « Les voiles du Bonheur » au port Olona, pour animer et dynamiser notre port.

 Le soleil était présent. Les visiteurs aussi ! Ils ont pu admirer le défilé dans le chenal de ces élégants bateaux aux voiles si typiques et colorées.

Sont ainsi venus des ports d’Atlantique : l’Arawak, de Bordeaux, le Joshua (bateau de Bernard Moitessier) de la Rochelle, le Martroger  III de Noirmoutier, le St Michel II de Pornic, le Hope de St Gilles, le Saint Michel II de Pornic, le Loulou…

Bravo à tous ceux qui oeuvrent bénévolement pour restaurer ces témoignages de notre patrimoine maritime.

vieux grééments 058

...et merci à ceux et celles-ci qui nous envoient ces bien belles images, des articles...plus optimistes que certains de nos propos...un peu d'oxygène cela fait du bien !

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