LA SÉPARATION DES POUVOIRS : UNE NÉCESSITÉ ABSOLUE POUR UNE DÉMOCRATIE ET LA LIBERTÉ...AUX URNES CITOYENS !
DES MOTS FORTS POUR UNE RÉVEIL DE LA NATION FRANCE
LA SÉPARATION DES POUVOIRS : EXÉCUTIF, LÉGISLATIF, JUDICIAIRE SAUVEGARDE DES LIBERTÉS INDIVIDUELLES
La séparation des pouvoirs en démocratie est la protection la plus solide du citoyen face à l’éventuel arbitraire des abus de pouvoir de l’État et de ses serviteurs.
Cette séparation des pouvoirs a été créée afin de « limiter » l'arbitraire et d'empêcher les abus liés à l'exercice de missions souveraines.
Le principe de la séparation des pouvoirs a valeur constitutionnelle puisqu'il est consacré par l'article 16 de la Déclaration des droits de l'homme et du Citoyen de 1789 aux termes duquel : « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution ». Classiquement, la séparation des pouvoirs est conçue comme « la première condition d'un gouvernement libre » (art. 19 de la Constitution de 1848 ).
Certes, comme tout principe il a des exceptions mais elles sont extrêmement rares et encadrées. Des exceptions qui confirment la règle. Il n’y a pas et il ne peut donc y avoir des murs étanches entre les 3 pouvoirs mais la Constitution et le Conseil d’État et le Conseil Constitutionnel veillent.
Ces exceptions sont, par exemple, le cas pour les compétences du Conseil d’État qui a compétence pour annuler des actes de l’exécutif comme les mesures prises par décret.
QU’EN EST-IL EN 2022 ? : UN RÉGIME PRÉSIDENTIEL ET SEMI DICTATORIAL QUE NOUS AVONS LAISSÉ EMMANUEL MACRON ÉTABLIR ET CONFORTER
QUINQUENNAT D’EMMANUEL MACRON : LES PREUVES D'EN MARCHE VERS UNE DICTATURE
La Justice, en France, est aux ordres du Président
Preuves : l’influence du Ministre de la Justice (exécutif) voire du Président de la République (exécutif) pour la nomination de magistrats aux postes clés et surtout cet aveu de l’ancienne procureur générale du fameux Parquet National Financier PNF, toute puissante juridiction d’exception, Éliane HOULETTE qui a dénoncé un « droit de regard omniprésent » de la part des parquets généraux (émanation de l'exécutif) , indiquant ainsi avoir constaté « un contrôle extrêmement étroit » de l'exécutif dès lors qu’une « personnalité politique est mise en cause ».
Le pouvoir législatif aux ordres du Président
Le Parlement est aux abonnés absents...d'ailleurs parmi les velléités du Président MACRON il y avait bien la diminution du nombre de députés et sénateurs. Si l'on prend le Parlement de cette mandature, il a bien déjà abdiqué ses pouvoirs et ses devoirs.
Le pouvoir législatif aux ordres du Président : l’initiative des parlementaires pour faire la loi a été étouffée par l’initiative quasi exclusive du Président et de « son » gouvernement.
Le pouvoir exécutif aux ordres du Président : normal mais exagérément
Le rôle du Président déborde et écrase celui du gouvernement. Le Président règne sur "ses ministres" et sur "son" Premier Ministre qui est devenu un valet exécuteur des basses œuvres présidentielles.
Ainsi, le Président MACRON faisant fi de la séparation des pouvoirs a achevé l’établissement du Présidentialisme inconstitutionnel : pouvoir sans contre-pouvoir
Cette description sommaire est cependant aussi incontestable qu’inconstitutionnel. Pourtant, ce sujet ne sera pas le sujet central de ces pseudo campagnes électorales, véritables parodies d’exercice d’une démocratie dite parlementaire. Ce sont pour les français les garanties des libertés individuelles qui sont effectivement remises en cause.
Avec ce tableau brutal mais réaliste, tout est désormais prêt pour l’instauration en France d'une aventure dictatoriale avec l'effacement du Parlement et des libertés fondamentales : au peuple français il appartient le devoir de réagir s'il en est encore temps : aux armes citoyens ! aux urnes citoyens !