UNE FIN DE RÈGNE CATASTROPHIQUE : CELUI DE BRUNO LE MAIRE
En matière d’économie il faut du sérieux pour être crédible et mériter la confiance du monde des finances. Un doute maléfique vient de tomber sur la fiabilité et la sincérité des comptes des Finances Publiques de la France.
La seule stabilité qui caractérise la France ce furent ces 7 dernières années où, à BERCY, a régné Bruno LE MAIRE qui nous laisse des Finances Publiques délabrées et honteuses et où se poursuit la recherche d’une somme de 100 milliards d’euros perdue on ne sait où ?
Ce règne du Ministre des Finances se termine donc, quoiqu’il en coûte, en catastrophe.
Certes, cela pouvait arranger le Président MACRON qui pouvait sortir son carnet de chèques quand il voulait comme il l'a fait à maintes occasions y compris dans la gestion de l'Élysée et donc de la Présidence de la République où il a été rappelé à l'ordre par la Cour des Comptes pour des dépassements importants de budget. Quelle gestion !
Le Ministre des Finances a non seulement laissé la caisse vide et même plus que vide puisque la dette a poursuivi sa montée vertigineuse et des comptes où plus aucun haut fonctionnaire des Finances ne peut dire où on en est la France. Ce fut la conclusion de cette Commission mixte d’enquête de l’Assemblée Nationale et du Sénat sur « les variations et les écarts des prévisions fiscales et budgétaires 2023-2024 » : un titre de la Commission qui déjà en dit long sur une situation inquiétante.
Les auditions de la Commission se au niveau de l’Assemblée Nationale se poursuivent si l’on en croit le programme figurant sur le site de l’Assemblée même durant cette période trouble :
« Mardi 3, mercredi 4 et jeudi 5 décembre 2024, la commission des finances débute ses auditions dans le cadre des travaux d’enquête menés pour étudier et rechercher les causes de la variation et des écarts des prévisions fiscales et budgétaires des administrations publiques pour les années 2023 et 2024. »
Pour prolonger ce qui est dit ci-dessus nous allons convier nos lecteurs à faire une visite dans le monde de l’Union Européenne qui devient le « juge » de la gestion irresponsable des Finances Publiques françaises victime de son addiction aux déficits budgétaires.
Et n’oublions pas que, depuis le 26 juillet 2024, la France est en « procédure de déficit excessif » une décision prise par l’Union européenne dans le cadre du « pacte de stabilité et de croissance » ce qui implique une surveillance renforcée de son budget : la France sous tutelle ?
À Suivre...
L’ADDICTION AUX DÉFICITS BUDGÉTAIRES