Nous avons fait part de décisions du Maire de Château d'Olonne concernant ces quartiers:
voir :
CHATEAU D'OLONNE : LE DEFAUT DE CONCERTATION MENE A DES ERREURS QUI COUTENT CHER
Nous sommes à nouveau alerté par des habitants du quartier dont nous publions ci-dessous intégralement les doléances.
Il serait bien que le Maire de Château d'Olonne prompt à nous reprendre dans nos propos sur ce blog nous transmette sa réponse et peut-être reprenne avec les riverains concernés un dialogue qui devrait être positif et que nos lectuers aient ainsi les deux points de vue.
"MASSACRE À LA TRONÇONNEUSE
Aucun délit, aucune accusation pour celui-ci puisque c'est le Conseil Municipal du Château d'Olonne lui-même qui l'a programmé: les haies arbustives qui
abritent insectes et nids d'oiseaux et qui décorent agréablement les quartiers de la Bretaudière et des Lauriers vont être abattues pour "mettre les trottoirs en conformité avec la loi sur le
passage des personnes à mobilité réduite": 1m40 de large obligatoirement...
Argument malhonnête et mensonger puisque la plus grande partie du massacre se fera sur des trottoirs où l'espace libre entre deux haies est de 1m70 minimum et ce tout au long du côté pair de la rue Roberval par exemple: désinformation, duperie, les habitants de ces quartiers convoqués pour "donner librement leur sentiment" sur le sujet mercredi 28 septembre sont restés perplexes car le massacre est bel et bien programmé et devra se faire dans les huit jours et en dernier ressort c'est le conseil municipal qui prendra la décision.
Le peu de nature qui reste sur cette commune fera donc les frais d'un problème financier("L'entretien des haies a un coût" dixit le maire). Alors pourquoi faire passer ce massacre
sous le couvert d'une loi avec laquelle nous sommes en fait en conformité? Le débat n'a pas pu s'ouvrir car le maire est resté sur ses positions et martelant que la loi devait
s'appliquer.On aurait pu envisager par exemple d'inviter les habitants à tailler la haie devant chez eux? Aucun débat possible, leurre, parole bafouée, le sentiment au sortir de cette "réunion
d'information"est bien triste et affligeant. "