Voilà ce qu'un lecteur nous transmet : apparemment cette triste réalité n'émeut pas nos élus : à quand un projet d'avenir pour le Pays des Olonnes et par conséquent à quand une cohésion des élus pour des projets porteurs ?
Nos élus devraient sentir que d'un côté, c'est la colère qui gronde et que d'un autre côté, c'est le fatalisme, le dégoût, le désarroi et le désintérêt pour la vie publique locale et pour ses acteurs élus qui sont installés dans leur place de plus en plus coupé des réalités quotidiennes de leurs concitoyens.
"Pourquoi nos écoles ferment ?
Jusque là nous avions des fermetures de classes .
Pour le pays des Olonnes, c'était 10 classes en 2009 , puis 6 classes en 2010 , pour 2011 la presse ne nous a pas renseigné, mais les chiffres ne sont pas meilleurs.
Par contre, la presse nous informe dans le "journal des Sables" :de la fermeture de l'école du passage ,et faute d'argent ou ( manque d'élèves) de la fermeture , déguisée en transfert de l'école privée St Thérèse, à l'école St Michel , et probablement du transfert de l'école privée St Michel sur le site du collège Notre-Dame de Bourgenay.
Une école c'est la vie, l'espoir, le dynamisme, l'animation. Dans une commune lorsqu'une école ferme c'est le déclin qui s'engage.
Il faut enrayer ce déclin et pour cela en prendre les moyens. Nos jeunes veulent vivre et travailler au pays. Pour cela il faut attirer sans attendre des entreprises sur des zones industrielles équipées, créer des lotissements à des prix abordables, construire des logements pour les jeunes avec des loyers qui correspondent à leur revenus.
Nous n'avons que des promesses : des ébauches de zones industrielles , des promesses de lotissements en accession à la propriété, ceux ci étant arrêtés depuis plusieurs années nous dit-on à cause d'on ne sait quels problèmes de tritons insoluble depuis des années.......
De grâce, arrêtez de bluffer les jeunes et de se moquer de nous."