Petit rappel paru dans Ouest-France du dimanche 2 janvier 2011
Il s'agit de la population "sédentaire" qui a sa résidence habituelle dans la ville.
Conclusions :
- une faible croissance en 10 ans...sauf sur Olonne-sur-Mer,
- une natalité en baisse et des classes qui ferment,
- des logements dont le nombre croît plus vite que la population sédentaire, c'est-à-dire : moins de jeunes et une moyenne d'âge de la population qui "ne se rajeunit pas !" et plus de résidences secondaires,
- les communes voisines (Grosbreuil, Sainte Foy, l'Ile d'Olonne, Saint Mathurin) ont des taux de croisance démographique qui oscillent entre 3,2% et 5%