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17 février 2011 4 17 /02 /février /2011 23:19

Trivalis-2009-fev-033.jpg

 

Voir entre autres :Déchets, TMB, tri mécano biologique, traitement de nos déchets

 

 

 

On pouvait croire le sujet enterré...mais cette fois le TMB resurgit et est à l'honneur dans le Canard enchaîné.

Vous êtes juges, vous, qui voyez une usine TMB s'édifier à Château d'Olonne..mais sachez qu'en plus des dégâts écologiques si jamais le fameux compost est répandu sur nos terres agricoles (et c'est ce qui nous a été promis) nous aurons droit aux conséquences sur la santé  publique et que nous payerons en plus une usine qui se révélera inutile !

 

Pourquoi les élus du Conseil Général et des communes comme celle de Château d'Olonne se sont-ils entêtés ?

Nous leur avons demandé de ne pas succomber à ce mirage maléfique dit TMB.

 

00264.jpgmanifestation devant la mairie de château d'Olonne lors du conseil municipal qui a voté en faveur de l'usine TMB

 

 

Cette fois, nous avons droit à un  article de presse qui n'est pas à l'honneur de notre Vendée

 

dechets 001[1]

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<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br /> SITA-SUD....JETTE L'EPONGE!A QUI LE TOUR?<br /> <br /> <br /> MIDI LIBRE.Édition du vendredi 11 mars 2011<br /> <br /> Sita renonce à enfouir des déchets près de la Gardiole Réactions : « Très grande victoire »<br /> <br /> L'entreprise Sita sud, qui portait depuis sept ans le projet d'un centre de traitement des déchets, dont un site d'enfouissement, au bord du massif de la Gardiole, a annoncé hier l'abandon de<br /> ce dossier. Honni par la population locale, très combative, le projet n'avait plus le soutien de l'Agglomération et de l'Etat.<br /> <br /> Publié à 14 h 47 - Lâché par les collectivités, l’industriel abandonne le projet de pôle de traitement et d’enfouissement, signifie son directeur général, Stéphane Leterrier.<br /> <br /> Vous n’aviez pas réagi au retrait de l’arrêté préfectoral de projet d’intérêt général (Pig). Quelle est votre position sur ce dossier ?<br /> <br /> J’ai pris la décision d’abandonner ce projet à Fabrègues.<br /> <br /> Par quels actes le concrétiser ?<br /> <br /> Nous allons adresser à l’État un courrier de désistement de notre autorisation d’exploiter dans les jours qui viennent, et on va libérer<br /> le terrain de sa maîtrise foncière. Il n’y a plus matière à tergiverser.<br /> <br /> Ce n’était pas ce que vous aviez envisagé, en décembre, quand l’Agglo disait le projet suspendu.<br /> <br /> Non, mais on se met en accord avec la position de l’Agglomération. En pur droit administratif, on pourrait s’enferrer, nous avons d’ailleurs obtenu une victoire sur le premier Pig, restauré en<br /> tant que tel. Mais les conditions ne sont plus réunies pour conduire ce projet. En France, pour sortir un projet il faut en produire trois ou quatre et, dans cette statistique, ce ne sera pas<br /> celui de Fabrègues qui ira au bout. Ça fait partie de la vie d’entreprises comme les nôtres d’avoir plusieurs fers au feu et ne pas pouvoir les mener tous à terme. Il faut savoir arrêter les<br /> combats perdus.<br /> <br /> Avez-vous déjà rencontré aussi farouche opposition ?<br /> <br /> Objectivement non. Il y a eu une très forte mobilisation, une alliance entre les Gardiens de la Gardiole et la commune qui a donné de la force à cette opposition. Et puis on a un droit<br /> administratif de plus en plus compliqué, qui, sur des points de forme, peut tout bloquer. Ce qui est le cas. Nous avions sinon les études et les garanties environnementales pour aboutir.<br /> <br /> Vous avez beaucoup investi. Avez-vous chiffré le coût de cette longue entreprise avortée ?<br /> <br /> Oui, mais ça fait partie des aléas économiques d’une société. Les dépenses sont derrière nous et, ailleurs, c’est allé à son terme.<br /> <br /> Cet échec n’est-il pas aussi un coup porté à l’enfouissement ?<br /> <br /> Il y aura toujours du stockage, pour des raisons technico-économiques du moment. On peut tout recycler mais, parfois, ça va coûter tellement cher que ça n’aura aucune pertinence. Même en<br /> matière environnementale, à cause de l’énergie, des process qu’on va mettre en œuvre. On ne peut pas se rattacher à un Graal de la valorisation absolue, du déchet qui disparaît entièrement. On<br /> fera des centres de stockage, nous ou d’autres. Mais, en tout cas, fin du feuilleton à Fabrègues.<br /> <br /> CHRONOLOGIE : Un long feuilleton<br /> <br /> Avril 2004 : des études de sol sont menées, domaine Mirabeau.<br /> Mai 2005 : naissance des Gardiens de la Gardiole.<br /> Juillet 2005 : Fabrègues refuse de modifier son plan d’occupation des sols (Pos) et permettre le CSDU.<br /> Février 2007 : le préfet déclare le projet d’intérêt général (Pig n° 1) Pos.<br /> Octobre 2008 : le tribunal administratif annule cet arrêté de Pig.<br /> Novembre 2008 : l’Agglo sollicite du préfet un autre Pig (n° 2) pour Sita.<br /> Décembre 2008 : le préfet octroie à Sita l’autorisation d’exploiter un CSDU au titre des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).<br /> Avril 2009 : le préfet signe un second arrêté de Pig.<br /> Février 2010 : le maire recale le second permis de construire déposé.<br /> Septembre 2010 : le tribunal administratif annule le second Pig.<br /> Décembre 2010 : le préfet signe un troisième Pig au profit de Sita.<br /> Décembre 2010 : l’Agglo annonce la suspension du projet industriel.<br /> Janvier 2011 : l’Agglo retire sa demande du troisième Pig.<br /> Février 2011 : le préfet retire son troisième Pig.<br /> <br /> Recueilli par OLLIVIER LE NY oleny@midilibre.com.<br /> <br /> vos reactions<br /> <br /> 13/03/2011 à 19h01 | la révoltée<br /> BRAVO les Gardiens de la Gardiole !! un très long combat ... une belle victoire , et surtout un beau pied de nez à tous ceux qui ont décrié le combat mené par une population fière et gardienne<br /> de notre si belle Gardiole !.. Passeran pas!!<br /> <br /> 13/03/2011 à 09h50 | Bertrand<br /> Bravo au gardiens de la gardiole pour leur victoire finale contre SITA. Même problème dans le Gard a SALINDRES ou SITA veut créer une usine de tri compostage d'ordure ménagère et comme à<br /> FABREGUE, l'association de défense de l'environnement l'ADISL gagnera contre le roi du déchets SITA<br /> <br /> 11/03/2011 à 21h17 | la rançon....!<br /> c'est bien joli de s'évertuer et de s'entousiasmer de l'evolution de la population dans notre région et même toute la France ......mais le CACA suit le monde.....Que sera la planète avec 15 ou<br /> 20 milliards d''humains.....et la france 120 millions....?<br /> <br /> 11/03/2011 à 20h53 | Miguel<br /> Maintenant que Frêche est mort, et que les déchets sont devenus un problème à résoudre au lieu d'être une arme politique, il faudrait vraiment se préoccuper de la réduction du volume des<br /> déchets et de la collecte sélective. L'Agglo de Montpellier, c'est la honte par rapport aux autres villes françaises.<br /> <br /> 11/03/2011 à 19h37 | populasfabregou<br /> Passeran pas!!!!!!!! victoireeeeeeeeeeeeee sita degage, la gardiole est un lieu sacrée.... victoire, champagneeeeeeeee<br /> <br /> 11/03/2011 à 18h39 | olivier34<br /> on attend maintenant de savoir qui va récupérer le lieu de stockage... Cette histoire n'est pas encore finie.<br /> <br /> 11/03/2011 à 18h22 | VICTOIRE?<br /> et c'est ainsi que les déchets atterrissent en Afrique, en catimini, directement dans des rivières, à force de poussée victorieuses de nos coqs bien gaulois. Mais des Africains on s'en moque,<br /> ils meurent loin de chez nous.<br /> <br /> 11/03/2011 à 16h50 | gege<br /> belle victoire de toute une population et du soutien des maires des communes qui ont soutenu une bonne cause.C'est dommage d'avoir attendu si longtemps. si l 'actuel président de l'agglo avait<br /> pris position contre Mr Fréche cela n'aurai pas eu lieu .<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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V
<br /> <br /> suite....<br /> Les textes réglementant les marchés publics et la sous-traitance sont explicites mais n’empêchent nullement les dérives.Il appartient au pouvoir<br /> adjudicateur,responsable d’une bonne utilisation de l’argent public,du rapport qualité/prix et de la mise en œuvre technique d’un ouvrage,d’assurer un contrôle rigoureux de tous montages<br /> conduisant à la constitution de groupes opportunistes et (ou)d’un mille-feuilles anarchique aux détriments d’entreprises dont la capacité et la responsabilité techniques,financières et sociales<br /> sont dûment reconnues.<br /> <br /> De nombreux pays mettent en œuvre une politique d’énergie renouvelable comme le biogaz issu du traitement des déchets urbains,agricoles et de la biomasse pour la<br /> production de biocarburant ou d’électricité.La politique du tout électrique en particulier pour les véhicules conduit à désavantager la filière biogaz-biocarburant alors que celle-ci se révèle<br /> plus économique,y compris pour les flottes captives des collectivités par rapport à l’approvisionnement au prix fort sur le marché. Un véhicule fonctionnant au bio-méthanol qui ne pollue pas et<br /> d'un coût à peu près équivalent à un véhicule à essence est plus économique qu'un véhicule électrique,sans oublier l'absence de mise en oeuvre de ceux fonctionnant à l'air comprimé,en particulier<br /> les bus.L’utilisation primaire de biocarburant se doit d’être prioritaire pour les collectivités qui maitrise la production du traitement des déchets et contrairement à la vente d’électricité<br /> l'injection du biogaz dans le réseau est plus logique sur le plan technique et économique.La politique du tout électrique conduit déjà à racheter l'énergie au prix supérieur que ne le paye le<br /> consommateur et le développement des véhicules électriques ne fera qu'accroitre le parc nucléaire et le coût de l’électricité ainsi que celui des batteries qui nécessite des matières fossiles<br /> rares que les producteurs feront valser comme le pétrole !<br /> "Les filets d'eau qui s'écoulent des rus,forment des fleuves tumultueux qui,charriant les déchets de l'humanité,finissent en bouillonnant dans le chaudron magique de l'environnement par faire une<br /> soupe nauséabonde d'or et d'argent dont ce repaissent les chaudronniers!"<br /> <br /> <br /> <br />
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<br /> <br /> <br /> TRI DES DECHETS,RECORD BATTU:34 à 9!!!<br /> <br /> <br /> <br /> La presse et divers sites internet ont fait état du record en Angleterre par la ville de Newcastle pour la mise en place de 9 poubelles différentes pour le tri et<br /> le ramassage des déchets.Record largement battu par le record mondial détenu par les habitants d’un petit village Japonais qui en compte 34 chez l’habitant.<br /> Reportage publié dans un journal de Tf1 que l’on peut consulter sur le site ci-dessous :<br /> Un village japonais sans déchet - mono-dix-phobia - モノ - 十 - 恐怖症<br /> 1 message - Dernier message : 16 déc. 2009<br /> Un village japonais sans déchet. Vidéo ici à partir de 00:26 min. 0 kiff | Ajouter un commentaire - 15 commentaires |. Partager ▼ ...<br /> mono-dix-phobia.skyrock.com/2725653348-Un-village-japonais-sans-dechet.html - En cache.<br /> <br /> Heureusement avec le tri courant,les apports volontaires en déchetteries et les techniques mécanisées,nous n’en sommes pas encore là.Sauf que cela n’empêche pas<br /> la mise à disposition d’un container supplémentaire pour le tri et la collecte des déchets fermentescibles et d’une politique de valorisation de qualité tant pour le biogaz que le compost.<br /> <br /> L’article L.541-21-2 du code de l’environnement impose la collecte séparée des déchets valorisables,pour autant que cela soit réalisable d’un point de vue technique,environnemental et<br /> économique.Cela se fait déjà dans d’autres villes comme par exemple la communauté de Lorient qui distribue des seaux de 5 litres et sacs biodégrables et dans de nombreux pays.<br /> <br /> Le clan très majoritaire des élus locaux partisan de l’immobilisme,en charge de la gestion,de l’organisation du tri et des collectes des déchets urbains devrait revoir sa copie quant à<br /> l’implantation du fameux projet Canopia sur le site de BATZ et la politique rétrograde centrée sur les ordures ménagères dites résiduelles.<br /> La généralisation de la mise en œuvre de tables de tris dans les écoles,les collèges,lycées,universités et autres établissements publics,l’implantation de déchetteries et bornes<br /> supplémentaires,l’instauration de la redevance incitative et de la pesée embarquée couplée à la mise en place d’une politique de collectes sélectives des FFOM sont les bases mêmes d’une bonne et<br /> saine gestion,à moins de vouloir décourager les bonnes volontés et le comportement éco-citoyen,en privilégiant la politique archaïque de l’enfouissement des déchets et…de l’argent public.<br /> <br /> Le syndicat Bil Ta Garbi dont les élus locaux sont créateurs et membres,en charge du regroupement et du traitement des déchets est lui-même adepte du lobby des collectivités qui préconisent les<br /> collectes des OMR et l’utilisation des fameux bioréacteurs-stabilisateurs (BRS),ce qui présage le maintien d’une gestion déjà obsolète pour les 20 ans à venir.Dans le cadre d’une vérible collecte<br /> des biodéchets,les BRS qui ne servent qu’à ouvrir les sacs,déshydrater et pré-fermenter les éléments humides compostables tout en continuant un mélange polluant,commencé dans les bennes sont<br /> coûteux et inutiles.<br /> <br /> Vinci-environnement qui détient la licence du procédé suisse Kompogas(axpo) a conçu l’unité de traitement de Montpellier avec les BRS,nous en connaissons les problèmes,sauf que Kompogas qui base<br /> sont procédé sur les collectes sélectives des biodéchets n’utilise pas de BRS.L’article paru dans la revue SuisseEnergie éditée par l’office fédéral de l’énergie est intéressant sur le<br /> sujet.<br /> « A quoi ressemble une installation Kompogas et comment fonctionne-t-elle?<br /> Elle se compose, pour l’essentiel, d’une fosse profonde, d’une déchiqueteuse,du fermenteur en tant que pièce maîtresse du système, d’une centrale énergétique,d’une presse, d’un composteur et d’un<br /> dispositif de biofiltration. »<br /> <br /> « En vertu de l’analyse du cycle de vie de l’installation Kompogas à Otelfingen,une deuxième installation Axpo a été certifiée en décembre 2009 étayée par une déclaration environnementale<br /> élaborée selon le standard international ISO 14025. On s’est rendu compte que la fermentation dans une installation Kompogas représente l’une des méthodes de valorisation des déchets parmi les<br /> plus respectueuses de l’environnement.Chaque tonne de biodéchets,valorisée de la sorte au lieu de pourrir dans une décharge, permet en effet d’économiser quelque 200 kg d’équivalents<br /> CO2.L’élément majeur de la déclaration environnementale selon ISO 14025 est un écobilan. Cette méthode clairement structurée, basée sur des normes internationales,permet de quantifier et<br /> d’estimer les émissions dans l’environnement ainsi que l’utilisation des ressources durant toutes les phases de production de l’électricité, de la chaleur,du biogaz et du digestat. A cet<br /> effet,l’installation Kompogas a donné lieu au prélèvement et à l’évaluation d’une multitude de facteurs en rapport avec l’environnement. Dans ce contexte,il a été tenu compte du cycle de vie du<br /> système Kompogas dans son entier, à savoir les transports des biodéchets vers l’installation Kompogas, la construction et l’exploitation de celle-ci ainsi que le traitement des déchets<br /> générés.Sous cet angle de vue, il ne peut être que recommandé aux communes suisses de passer, dans la mesure du possible, de la gestion des déchets à la gestion des ressources. Un premier pas<br /> dans cette direction pourrait être une visite guidée de l’installation Kompogas à Otelfingen et du centre d’information qui lui est rattaché. »<br /> <br /> Concernant Urbaser-environnement,l’enquête menée par Ramuntxo GARBISU journaliste d’EITB et relatée par l’ADECH est très significative sur les problèmes de traitement des OMR avec en plus<br /> l’utilisation des BRS,la qualité du compost (la norme française 44-051 est une des plus laxiste de l’UE)ainsi que la qualité et quantité du biogaz produites n’étant pas au rendez-vous.Par<br /> ailleurs,le syndicat de la Drôme,le Sytrad en bute avec Urbaser,fait parti du même lobby que Bil Ta Garbi et vu les projets et les résultats obtenus par certains le pire est à<br /> craindre.<br /> <br /> L’utilisation de bioréacteurs-stabilisateurs nous ramène à la sous-traitance.Si Vinci fait fabriquer ses tubes en Slovaquie,Urbaser le ferait en Italie d’après<br /> les infos trouvées sur leur site.Celui-ci,par ailleurs fait état d’un contrat de 8 ans,or,jusqu’à preuve du contraire si des avenants sont prévus il n’en reste pas moins aléatoires. Si le marché<br /> de conception-construction-exploitation est prévu pour 5 ans,l’avis d’attribution de marché stipule que :<br /> "Groupement URBASER SA (mandataire) - URBASER ENVIRONNEMENT - DHA ARCHITECTE, c/o 1140,avenue Albert Einstein, F-,34935 Montpellier Cedex 09. tél. : 04 67 99 41 00. Fax : 04 67 99 41 01.<br /> <br /> V.4) Informations sur le montant du marché :Estimation initiale du montant du marché :Valeur : 88 126 000 EUR.hors TVA.Valeur totale finale du marché :Valeur : 94 586 231 EUR.hors TVA.<br /> V.5) Le marché est susceptible d'être sous-traité : oui. Indiquer en valeur ou en pourcentage la part du marché susceptible d'être sous-traitée :Inconnue." (???).<br /> <br /> Les textes réglementant les marchés publics et la sous-traitance sont explicites mais n’empêchent nullement les dérives.Il appartient au pouvoir<br /> adjudicateur,responsable d’une bonne utilisation de l’argent public,du rapport qualité/prix et de la mise en œuvre technique d’un ouvrage,d’assurer un contrôle rigoureux de tous montages<br /> conduisant à la constitution de groupes opportunistes et (ou)d’un mille-feuilles anarchique aux détriments d’entreprises dont la capacité et la responsabilité techniques,financières et sociales<br /> sont dûment r<br /> <br /> <br /> <br />
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<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Le Pays Basque n’est pas épargné et le projet CANOPIA (urbaser…)prévu à Bayonne sur le site de BATZ malgré l’opposition en est un exemple.<br /> <br /> <br /> Ce projet d’implantation dans une zone en fort développement,particulièrement urbanisée et densifiée est non seulement arbitraire et rétrograde sur le plan environnemental et du cadre de vie,mais<br /> également illogique quant au choix d’un site contraire à une gestion efficace et objective.<br /> <br /> <br /> Certes,la nécessité et l’utilité d’un pôle de valorisation doit être créé dans le cadre d’une gestion globale comprenant entre autres la collecte sélective des bio-déchets et la redevance<br /> incitative mais avec une gestion logistique dont le site de traitement est le socle et le point de centre le mieux adapté si l’on peut dire.<br /> <br /> <br /> Les déchets urbains vont provenir du BAB,de St-Pierre d’Irube mais également d’Hendaye,de la zone de Cambo,de celle d’Urrugne et peut être même,en partie tout au moins,du syndicat Bizi Garbia<br /> pour retourner en grande partie sur le site d’enfouissement de St-Pée-sur Nivelle.<br /> <br /> <br /> Or,par rapport au site de BATZ et,à moins de trouver mieux,le site de LANDA TIPIA,aux confins du BAB sur la route de Cambo,parfaitement accessible et ouvert sur l’intérieur comme sur la côte<br /> serait certainement plus logique.<br /> <br /> <br /> Concernant le dossier par lui-même,il subsiste un doute et un point de droit qui devrait intéresser les juristes et qui reste à éclaircir puisqu’il concerne le marché public de ce projet.En<br /> effet,à la lecture des documents et textes législatifs il semblerait que les élus aient abusé de leur pouvoir et usé d’une procédure erronée et irrégulière en la matière en utilisant pour ce<br /> marché,la procédure de dialogue compétitif conjointement avec celle de conception-réalisation-exploitation alors que les textes et les réglements en vigueurs sont stricts quant à leurs<br /> utilisations.<br /> <br /> <br /> Par ailleurs la loi prévoit que les délibérations d’une certaines importances prises par les collectivités sont soumises au « contrôle de légalité des actes »par les services préfectoraux et en<br /> cas d’anomalies donne pouvoir aux préfets d’intervenir auprès de ces collectivités ou du tribunal administratif selon le cas.Il est vrai qu’avec tous les actes à contrôler les services sont<br /> parait-il surchargés et la priorité du contrôle devrait se faire sur les dossiers importants, sans que l’on sache pour autant si la procédure de marché public du projet de BATZ est légal ou non<br /> .Un sujet d’examen pour les futurs juristes!!!<br /> <br /> <br /> De nombreux marchés publics concernant les déchets en particuliers,sont passés par ces procédures sans que personne n’y prête attention….<br /> <br /> <br /> Que penser du point de vue de l’ADEME lors des 11ième Assises Nationales de la Prévention et Gestion Territoriale des Déchets du 16 et 17 septembre tenues à PARIS qui dans la présentation de son<br /> étude fait état entre autres:<br /> <br /> <br /> Par rapport à quelles alternatives ?<br /> • Le PTMB :– Échantillon trop petit à ce jour.<br /> • Le compostage domestique :– Ce n’est pas une alternative mais un complément.<br /> • Aucune gestion différenciée des biodéchets :– Comparaison avec le référentiel national.<br /> <br /> <br /> Pourquoi ça marche ailleurs ?<br /> • Les biodéchets sont une priorité pour les autorités (directive biodéchets en Allemagne, Autriche et Suisse…);<br /> • Une législation imposant la réduction de la matière organique dans les OMR;<br /> • Les coûts de traitement des OMR sont nettement plus importants;<br /> • Les collectes sont optimisées : OMR en C 0,5,Collecte sélective souvent 1 x mois;<br /> • L’objectif est de produire un compost haute gamme (TMB interdit en Allemagne depuis 1998 !!)<br /> • La redevance incitative en place depuis plus de 10 ans.<br /> <br /> <br /> « Les filets d’eau qui s’écoulent des rus,forment des fleuves tumultueux qui,charriant les déchets de l’humanité,finissent en bouillonnant dans le chaudron magique de l’environnement par<br /> faire une soupe nauséabonde d’or et d’argent dont ce repaissent les chaudronniers! »<br /> <br /> <br /> <br />
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