Sur ce site la au centre de la photo"résidence de tourisme " dite la FERME DE VILLENEUVE ou JARDINS DU CHATEAU D'OLONNE située à 700 mètres de la mer
En partie basse de la photo (google earth) la troisième tranche du projet en cours de réalisation (2011).
UNE MISE AU POINT NECESSAIRE suite à parution dans la presse
Le dossier des Jardins de Villeneuve encore devant le tribunal
La Cour Administrative d’Appel de Nantes ayant mis l’affaire en délibéré, nous ne pouvons présumer la décision de la Cour qui reste souveraine. Nous ne commenterons donc pas les termes du rapport du magistrat rapporteur public invoqués par le Maire de Château d’Olonne dans sa déclaration à la presse et attendons l’arrêt de la Cour pour nous prononcer publiquement.
Nous faisons simplement cette mise au point.
Ce contentieux en appel n’est pas du fait de l’opposition mais c’est une initiative de la Société EQP IV promoteur des Jardins de VILLENEUVE. Le maire et les adjoints de Château d’Olonne se sont joints à cette procédure (décision du Conseil Municipal du 20 juillet 2012). Il ne faut pas inverser les responsabilités.
En effet, l’opposition castelolonnaise devant une proposition de vendre vingt mille mètres carré de terrains de la Pironnière au prix de 7.81€ le m2 a justement demandé devant la juridiction administrative l’annulation de la délibération du Conseil Municipal du 24 juin 2008 au motif que les nouveaux élus de mars 2008 n’avaient pas eu le temps d’étudier ce dossier très complexe. Le dossier présenté en Conseil Municipal était en plus incomplet. Il n’y avait aucune urgence à décider de la vente. Les élus voulaient s’enquérir aussi de la raison pour le moins exceptionnelle qui avait poussé le Président de la Communauté de Communes des Olonnes, Monsieur Louis GUEDON, à se dessaisir de cette affaire.
L’action menée par l’opposition ne visait qu’à obtenir l’annulation d’une délibération prise dans des conditions irrégulières.
C’est le Maire et ses adjoints qui portent donc l’entière responsabilité de la situation actuelle suite à des irrégularités que le Juge a relevées. Il est indécent que le maire et ses adjoints qui ont commis ces erreurs laissent entendre que les conséquences d’une situation qu’ils ont créée soient imputables à l’opposition. C’est la mauvaise gestion du Maire de Château d’Olonne et de son équipe qui a engendré les retards très importants dans l’avancement des chantiers.
Le promoteur ne peut que s’en prendre au Maire de Château d’Olonne et à son équipe.
Si le Maire de Château d’Olonne et son équipe avaient vendu les terrains à leur juste valeur et s’ils avaient démocratiquement accepté de reporter la délibération de juin 2008, s’ils n’avaient pas fait de rétention d’informations, il n’y aurait pas eu de contentieux et de « casse-tête ».