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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 10:30

 

  Elles reviennent à l'ordre du jour...après les vacances, après la mort des sangliers et heureusement avant nouvelle mort d'homme.

 

Si nous avons participé à la campagne contre l'installation d'une porcherie industrielle au POIROUX qui aurait été une source de production de nitrates qui aurait contribuer à propager la prolifération des algues vertes sur le littoral vendéen, 

si nous vous avons alerté sur les dangers d'une productoion agricole mal maîtrisée,

 

c'était après avoir pris connaissance non d'un danger potentiel mais d'un danger réel...qui n'est "officialisé" que deux ans après les premiers "symptomes graves"apparus en BRETAGNE et malheureusement occultés trop longtemps.

 

 

  algues vertes-2-e590a

 

 

 

 

PUBLICATION DU RAPPORT DE L'INERIS SUR LA MORT DES SANGLIERS

 

 Rendu public le 6 septembre 2011, le rapport de l'Inéris à son tour vient pointer du doigt l'hydrogène sulfuré (H2S) comme la cause hautement probable de la mort de 36 sangliers en juillet, dans l'estuaire du Gouessant, près des plages, entre les communes de Hillion et Morieux, dans l'est de la baie de Saint-Brieuc, en Côtes d'Armor. 
 
 
En plus de "l'inconvénient"que constitue la prolifération des algues vertes pour l'environnement, il faut savoir que l'inhalation brutale d'hydrogène sulfuré telle que cela pourrait arriver à un promeneur qui tomberait sur des algues vertes dont la couche inférieure serait en décomposition peut entraîner une mort immédiate.
Ce gaz toxique par inhalation et à l’odeur caractéristique « d’œuf pourri » est susceptible d’entraîner la mort en quelques minutes.
 
Scientifiquement, il n'y a plus aucun doute sur ce processus macabre. Il faut tirer toutes les conclusions de cette situation. Ce n'est pas chose aisée car c'est toute la filière production agricole qui est remise en cause sous sa forme "productiviste" et il faudra des années pour abandonner les pratiques de cette agriculture et les remplacer par des pratiques et techniques non polluantes dont les "rendements" seront moins bons.
 
Une bonne réflexion, où là aussi, il faudra une solidarité active des consommateurs avec le monde rural. 

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